MACHIA’H N°373 - CHABBAT PARACHAT MIKETZ 28 KISLEV 5778 - 16/12/2017
VIVE LE ROI
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Faites des miracles !
La fête de ‘Hanouka est bien connue pour les miracles qui y ont foisonné à l’époque des Maccabim. Une guerre totalement disproportionnée, les faibles contre les forts, la minorité contre une majorité écrasante et ce, pendant plusieurs combats. L’huile de la Ménorah qui dure huit jours, une création ex-nihilo spécialement pour cette occasion, en bref un festival de miracles à cette époque-là, mais qu’en est-il aujourd’hui ?
Béni soit Celui qui a fait des miracles pour nos pères en ces jours (passés) et en ces temps-ci (aujourd’hui)… Dans un discours révolutionnaire de 5715 sur le thème de ‘Hanouka, le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h explique en substance que le Saint béni soit-Il va augmenter la dose des miracles qui jalonnent notre période messianique actuelle et chaque jour, à chaque moment, de façon multipliée de plus en plus et que notre vie va finalement devenir une succession de miracles...
Mais la grande nouveauté est que nous pouvons tous faire des miracles, nous-mêmes, comme cette femme qui demande à ce que son mari, officier dans l’armée, monte de grade. Ou alors comme cette histoire qu’un ami m’a raconté sur ce Juif dont le père défunt devait être incinéré selon la décision de son épouse non-Juive et le fils, à force de croire dans le miracle réussit à obtenir qu’il soit enterré en Juif à la veille de ‘Hanouka, il s’appelait M. Zeytoun et il avait changé son nom (pour les affaires) en M. Lhuile ! Ou encore comme cette Juive londonnienne qui après une crise cardiaque fatale retrouve vie et santé pour nous transmettre le message de dire le Chéma Israël. Nous voyons de plus en plus des faits extraordinaires qui se déroulent sous nos yeux pour la simple et bonne raison que nous sommes le Peuple Elu par Hachem et que nous méritons aujourd’hui de vivre des miracles car c’est la Guéoula et il suffit d’ouvrir les yeux pour voir qu’elle est là et que c’est seulement par notre volonté que nous pouvons immédiatement nous y connecter. (Gabriel Beckouche)
Ye’hi Adoneinou Morénou VeRabbénou Mele’h HaMachia’h Léolam Vaèd !
L’Edit Royal Dvar Mal’hout Extraits du discours du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita Je l’ai oint de Mon huile d’onction
Chabbat Parachat Miketz - 30 Kislev 5752-1991
La nouveauté des jours de fêtes de ‘Hanouka par rapport aux autres jours de fêtes, est que lors des autres fêtes (et de même pour les Chabbatot), il y a une obligation de consommer un repas dont la majeur partie est constituée de pain et d’eau, mais aussi de viande et de vin. Ce qui n’est pas le cas de ‘Hanouka : « la majorité des repas que l’on y consomme sont des repas facultatifs car les Sages n’ont pas statué de festin de réjouissance (1) », mais « ils en ont fait des jours de fêtes de louanges et de reconnaissance (2) ». Et l’essentiel de ces jours de fêtes sont l’allumages des bougies qu’ils ont fixé à propos du miracle de l’huile (3). Et l’explication de ceci est que le miracle de ‘Hanouka tient dans la victoire sur les grecs qui ont voulu : « leur faire oublier Ta Torah et les faire transgresser les décrets émanant de Ta Volonté (4) », il s’agit d’une victoire spirituelle (contrairement au miracle de Pourim qui était de sauver le Peuple Juif du décret d’Aman portant sur le corps des enfants d’Israël. Et de même pour le miracle de Pessa’h pendant lequel les enfants d’Israël ont été sauvés de l’esclavage d’Egypte), c’est pour cela que le miracle n’a pas été célébré par la joie d’un festin qui est lié au sauvetage du corps, mais par l’allumage de bougies, comme il est dit : « Une bougie de Mitsva et une Torah de lumière (5) ». L’huile : La ‘Hassidout Nous devons tout d’abord comprendre le sens spirituel des objets matériels par lesquels ont été célébrés les jours de fêtes, le pain, l’eau et le vin (pour les repas des jours de fêtes) et l’huile de l’allumage des bougies de ‘Hanouka. Il est dit dans Likoutei Torah sur le « Cantique des cantiques », que le pain, l’eau, le vin et l’huile font référence à différents niveaux de la Torah : le pain et l’eau sont la Torah révélée, le vin est la Kabbale, « le secret », le côté caché de la Torah et l’huile fait allusion aux « secrets des secrets » de la Torah. Or, l’huile ne peut se boire seule, mais uniquement lorsqu’elle est mélangée avec d’autres aliments, de plus elle surnage au-dessus de tous ces aliments, elle fait donc allusion au « luminaire de la Torah », l’intériorité de la Torah. Et le dévoilement de l’huile, « les secret des secrets » de la Torah, lors du miracle de ‘Hanouka, s’opère lors de Youd Teth Kislev, le 19 Kislev, car à compter de ce jour a eu lieu l’essentiel de la « diffusion des sources du Baal
rement Chabbat – 11), comme fixé en cette année, après la cinquième bougie, jour de la seconde délivrance de l’Admour Hazaken, et en ce jour de Roch ‘Hodech qui désigne le renouvellement d’Israël, « qui vont se renouveler comme la lune (12) », lors de la délivrance véritable et complète. Concrètement Et dans les sujets qui rapprochent la délivrance dans la réalité de manière dévoilée : Nous devons nous renforcer dans la foi, le désir et l’attente de la venue du Machia’h au point que ce soit visible sur nous, car tant que le Machia’h ne s’est pas dévoilé de manière concrète, on ressente que le manque s’est introduit dans notre vie… De plus, et c’est le principal, il nous faut rajouter dans l’étude, Chem Tov, l’enseignement de la ‘Hassidout, la diffusion de l’intériorité de la Torah, l’huile l’huile de la Torah, vers l’extérieur (6) ». de la Torah, d’organiser des réunions ‘hassidiques joyeuses et donner l’argent de ‘HaLa fin de l’exil Tout ceci est relié avec la Parachat Mikets, car nouka. le nom de la Parachat : « Mikets » est relié avec « Kets HaYamim, la fin des jours (7) », la fin de Maoth ‘Hanouka l’exil et « Kets HaYemin, la fin de la droite (8) », Et que soit Sa Volonté, avant même que l’on rac’est-à-dire le début de la Guéoula, de la déli- joute dans tous les sujets de ‘Hanouka, que le vrance, le mot « Mikets » peut aussi signifier Saint béni soit-Il nous donne concrètement notre « Argent de ‘Hanouka » (pas seulement « au commencement (9) ». Et l’on doit dire que ces deux notions « Kets comme un cadeau, mais bien comme le règleHaYamim » et « Kets HaYemin », la fin de la ment d’une dette) car « Israël est un jeune et Je Galout et le début de la Guéoula, sont tous deux l’aime (13) » en amenant ce qui nous est le plus reliés avec le dévoilement du Chemen, de urgent et le plus indispensable, la Guéoula l’huile de la Torah dans notre génération, car Haamitith VeHachléma, la délivrance véritable on y trouve la domination de l’obscurité, d’une et complète par l’intermédiaire du Roi Mapart, et le rapprochement de l’arrivée du Ma- chia’h et grâce à lui « ‘Hanouka (l’inaugurachia’h, car l’augmentation de l’obscurité est une tion) » l’inauguration du troisième Temple qui preuve de la fin de l’exil (Kets HaYamim) et la descendra déjà construit du ciel (14) et le jeûne proximité de la venue du Machia’h, est reliée du 10 Tevet sera transformé en jour de fête et au début de la Guéoula, de la délivrance (Kets en joie comme il est dit : « Ainsi parle l’Eternel, D.ieu des Armées… le dixième jeûne sera pour HaYemin). la maison de Yehouda, un jour d’allégresse, de De plus, puisque notre génération est la dernière de l’exil, la fin de l’exil, et la première de joie, transformé en jours de fêtes (15) ». la délivrance, le début de la délivrance, nous nous trouvons dans des jours choisis pour appartenir à la délivrance. Que ce soit du côté de la Paracha Mikets (Kets HaYamim et Kets HaYemin) que du côté des jours de ‘Hanouka qui ont été fixés suite au miracle de l’huile, qui appartient au verset « Je l’ai oint de Mon huile d’onction (10) » et plus précisément en ce Chabbat de ‘Hanouka, car le Chabbat est lié avec la Guéoula (le monde futur qui est entiè-
Notes 1/ Choul’han Arou’h 670.2 - 2/ Chabbat 21b 3/ Rachi - 4/ Liturgie de ‘Hanouka - 5/ Proverbes 6.23 - 6/ Torat Chalom p.112 - 7/ Or Hatorah - 8/ Fin du livre de Daniel - 9/ Ibn Ezra – Chela’h 13.25 - 10/ Psaume 89.21 - 11/ fin du traité Tamid - 12/ Sanhédrin42a - 13/ Oshea 11.10 - 14/ Rachi et Tossefot sur Soucca 41a 15/ Za’haria 8.19
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Le «Délai Minimal» à l’époque messianique
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Dans sa vie spirituelle - son service de D.ieu - le Juif remercie son Créateur au mois trois fois par jour : pour le fait qu’il est vivant, pour la présence en lui d’une âme divine, et pour les quantités de miracles dont il est quotidiennement bénéficiaire … Le Centre des «Igueroth-Kodech» à Re’hovoth est dirigé par le Rav Herzl Boro’khov et son épouse ‘Haguit. Ceux-ci ont filmé un certain nombre d’histoires miraculeuses, et les ont enregistrées sur Internet, ce qui rend possible à chacun de les visionner et d’en tirer le plus grand profit. C’est de l’un de ces miracles que nous entretient Madame Orna Weinfeld. Elle commence par expliquer que ses liens avec la famille Boro’khov remontent à l’époque où ce couple venait la visiter sur son lieu de travail, et qu’ils faisaient savoir qu’ils avaient organisé des cours de Torah. Ils proposaient ainsi à toutes les jeunes filles ((il s’agissait d’une école) de venir s’y associer, et ajoutaient que l’on pouvait aussi écrire au Rabbi, roi Machia’h, par le canal des «Igueroth-Kodech», pour demander sa bénédiction ou ses conseils éclairés. «Bien entendu, tout cela nous semblait détaché de la réalité», raconte Orna, «et nous n’étions pas du tout convaincues, mais la Rabbanith ne se décourageait pas. Tous les mois, elle nous appelait pour que nous nous joignions au repas de Roch-‘Hodech qu’elle organisait, et nous, de manière aussi régulière, n’y répondions pas. Mais, comme le dit la maxime populaire, «un effort soutenu ne reste jamais vain». Les paroles de la Rabbanith finirent par faire leur effet, comme on va le voir… J’étais parvenue au sixième mois de ma grossesse, et la Rabbanith me dit qu’il était au plus haut point opportun de faire vérifier nos Mézouzoth. J’acceptai leur proposition,
ce qui amena le couple Boro’khov à venir à la maison. Le Rav vérifia les Mézouzoth sur place, et il releva le fait que toutes étaient impropres, sans compter qu’il nous en manquait quelques-unes. A cette occasion, la Rabbanith me proposa d’écrire au Rabbi, pour faire savoir que nous avions fixé de nouvelles et belles Mézouzoth aux portes de notre maison». Orna regarda son interlocutrice avec étonnement, et lui fit remarquer qu’elle ne parvenait pas à comprendre à qui, et de quelle manière, on était censé écrire. La Rabbanith lui expliqua que, même actuellement, il était possible de joindre le Rabbi, roi Machia’h, par le canal des «Igueroth-Kodech», et de recevoir sa sainte bénédiction. Elle lui montra un volume de cette correspondance, qu’elle avait amené, et elle proposa à Orna d’écrire d’elle-même sur place. Ainsi pourrait-elle constater de visu les conséquences de cette correspondance. «J’étais dans un état d’esprit très joyeux», raconte t-elle, «aussi je me suis tournée vers mon mari, qui venait de recevoir, car il est militaire de carrière, le grade de commandant, et je lui ai demandé: «Tu veux que je
demande au Rabbi que tu sois nommé lieutenant-colonel? Il m’a répondu, avec évidence: «Bien sûr ! Pourquoi refuserais-je?» Et la Rabbanith m’encourageait, me disant: «Ecrivez donc qu’il reçoive le grade de lieutenant-colonel!» Il faut savoir que, sur le plan rationnel, il n’y avait aucune probabilité. En ce domaine, celui de l’avancement, il existe un principe incontournable dans Tsahal, qui porte le nom de «Pezem» (contraction de trois mots qui signifient «Laps de temps minimal»), et qui oblige tout impétrant à attendre un délai minimal avant de recevoir un grade supérieur. Dans le cas de celui de lieutenant-colonel, ce délai se situe entre trois et quatre ans! La suite nous a coupé le souffle. Nous avons rédigé notre lettre, je rappelle pour mémoire que j’en étais à mon sixième mois de grossesse, or il ne s’était écoulé que huit mois (!) lorsqu’il fut informé qu’il venait d’être nommé lieutenant-colonel… Pour moi, il n’y avait pas le moindre doute, c’était un miracle prodigieux. Cette lettre fut suivie de bien d’autres. Orna commença à suivre les cours de Torah dispensés au Centre par le couple Boro’khov. Ces cours la fortifièrent de manière notable, et fortifièrent son lien avec le Rabbi, roi Machia’h. «Aujourd’hui», conclut-elle, «je ne prends aucune décision importante et significative sans avoir reçu au préalable la sainte bénédiction du Rabbi, roi Machia’h». (Tiré du Courrier de la Guéoula)
le Léviathan et le « vin gardé » et les Juifs se trouvent déjà autour de la table, « la table de leur Père », (le Roi des rois, le Saint béni soit-Il), avec le Machia’h, comme il est écrit dans les livres qu’il y a dans chaque génération un homme qui est apte à être le Machia’h, et dans Si tout ce qui précède a toujours été valable pour les Juifs de toutes les notre génération mon beau-père, le Rabbi ; et quarante ans après le générations, à plus forte raison est-ce pertinent aujourd’hui, alors que départ de ce monde de mon beau-père le Rabbi, il y a déjà aussi « un d’après les signes donnés par nos Sages nous nous trouvons déjà cœur pour comprendre, des yeux pour voir et des oreilles pour entenconcrètement à l’étape de la Délivrance. Comme nous l’avons dit à pludre ». Il faut seulement maintenant ouvrir le «cœur pour sieurs reprises, nous avons terminé tous les « Birourim, étapes du rafcomprendre», ouvrir les «yeux pour voir» et ouvrir les finement du monde », y compris celui de « Essav qui est Edom », «oreilles pour entendre» et, de la même manière, exploiter tous comme nous le voyons aujourd’hui chez des peuples qui descendent de les 248 membres et les 365 nerfs de son corps physique, pour étudier Essav et qui se comportent comme des « royaumes de bonté ». Il est la profondeur de la Torah telle qu’elle a été révélée dans la ‘Hassidout donc clair que nous nous trouvons aujourd’hui dans une situation où et pour accomplir les instructions des Rébbeïm, ce qui inclut d’étudier le corps physique et le monde matériel ont été raffinés au point de pouvoir recevoir toutes les lumières et les sujets spirituels, ce qui inclut les sujets relatifs à la Délivrance de façon à ce que cela ouvre le cœur, les yeux et les oreilles, et que l’on comprenne, voit et ressente concrèla lumière du Machia’h, la lumière de la Délivrance, jusqu’à la révélation de l’Essence Divine qui se révélera dans l’essence du Machia’h et, tement dans la matérialité du monde la Délivrance, et d’étudier la à travers cela, dans l’essence de chaque Juif. Torah du Machia’h (la partie profonde de la Torah) avec un niveau Et la seule chose qui manque est qu’un Juif ouvre les yeux de « vision », car tout ceci est accessible, il suffit d’ouvrir les correctement, et il verra comment tout est prêt pour la Déli- yeux et on verra cela ! vrance ! Il y a déjà la « table dressée », il y a déjà le « Grand Buffle », (Dvar Mal’hout Vayetsé 5752)
Machia’h & Guéoula Le Grand Festin
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Mivtsa ‘Hanouka
Encore des merveilles à Chaaré Tseddek
Ce mardi après-midi, l’équipe de Guéoula News est partie faire Mivtsaïm à l’hôpital Chaaré Tseddek pour les Tefilines, distributions de journaux pour les Juifs et de flyers en arabe pour les sept Mitsvot, et l’allumage des chandeliers de ‘Hanouka. Alors qu’on en était encore au stade de proposer la Mitsva des Téfilines, on entra dans une chambre au 8ème étage et là se trouvait une famille de Méa Chearim dont le grand-père était hospitalisé depuis plusieurs jours. La belle-fille nous expliqua qu’il était sans réaction depuis son entrée à l’hôpital à cause d’un évanouissement. Elle nous encouragea tout de même à essayer de lui mettre les Téfilines. J’ai commencé à lui mettre délicatement les Tefilines sur la tête car son bras était endommagé par les perfusions. Et la réaction ne tarda pas puisqu’il ouvrit les yeux et surpris de me voir à son chevet, il me fit un grand sourire et me demanda si j’étais un Chalia’h du Rabbi. Il me prit la main et demanda mon nom et comment j’allais en Yiddish et il m’expliqua qu’il priait tous les jours au Minyan de ‘Habad à Méa Chearim. Il a déclaré : « Le Rabbi m’a envoyé son Chalia’h » puis il a fait le Chéma Israël et a enfin commencé a dialoguer avec ses proches... Un miracle a eu lieu ici à ‘Hanouka 5778 ! (GN) ‘Haïfa
Un nouveau sommet atteint
Cette semaine, la ville de ‘Haïfa installe aux quatre coins de la ville une trentaine de chandeliers de ‘Hanouka géants afin de servir pour les allumages publiques qui y auront lieu. Et ce, en supplément des chandeliers plus modestes qui illuminent la ville à cette occasion. C’est à l’initiative de l’émissaire du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h, le Rav Yossi Lipch qui a œuvré auprès de la Mairie afin de travailler de concert à ce grand projet. (HG) Farbrenguen
Mercredi soir au Beit Machia’h d’Har ‘Homa à Jérusalem
Une grande réunion ‘hassidique a eu lieu à l’occasion de la fête de la Guéoula au Beit Machia’h de Har ‘Homa à Jérusalem. Le Rav Chlomo Yossef Tsion, a organisé, malgré la météo, une fête vraiment ‘hassidique avec une ambiance de Guéoula. Le Rav Chlomo Chmida a été l’invité d’honneur. Le Rav Enkavé a commenté le Tanya avec brio. La musique et les chants ont été accompagné par le musicien Ifta’h Hillel. (GN) Farbrenguen
La Yéchiva Tiouvta pour Youd Teth Kislev Fidèle aux habitudes, la Yéchiva Tiouvta a ouvert ses portes Jeudi soir pour une réunion ‘hassidique de Guéoula. Près de deux cents personnes, surtout des jeunes, ont participé à ce grand moment de joie, de chants avec le Rav Alon Smoller qui a orchestré cette soirée d’une main de maître avec le directeur de la Yéchiva, le Rav Doron Oren. La soirée fut retransmise sur les réseaux sociaux. Une vidéo de cette soirée peut être vue sur le facebook de Vive le Roi Machia’h Now ! (GN)
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Petites Annonces
Jérusalem Cours de Torah en français Centre ville de Jérusalem au Merkaz Machia’h & Guéoula. 8, rue Yaavets. Cours en français du dimanche au jeudi sur le Tanya à 9h15 (hommes) et à 14h00 Séminaire sur le Dvar Mal’hout (femmes) par le Rav Gabriel Beckouche - Infos 053-2770419
Beit Machia’h à Har ‘Homa pour les jeunes Nouveau local : 2, Re’hov Eliahou Koren (6ème étage). Cours tous les jours en hébreu. Taharat HaMichpa’ha pour les femmes. Minyan pour les jeunes le Chabbat à 10h00 Infos : 054-4449770 Nathanya Jeudi à 17h00 : cours sur les discours du Rabbi Rachab (Emche’h Aïne Beth) et le Dvar Mal’hout par le Rav Yaacov Corda. Pour plus d’infos : 050-9157707
Cours pour femmes à Nathanya Par Michèle Zis : Sur le Tanya, la ‘Hassidout ‘Habad et les discours du Rabbi (Machia’h & Guéoula) Infos : 054-7687709
Pour un partenariat avec la Newsletter de la Guéoula, Rav Its’hak Pachter au 050-9122770 L E
C A R N E T
Pour la réussite de: ‘Hanna Bat Mercedès Sarah, Line Bat Mercedès Sarah, Michaël Ben Mercedès Sarah, Henri ‘Haïm Ben Julia, Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel, Noa Sarah Bat Menou’ha Ra’hel, la famille Liraz Touval. Pour la bonne santé de: Sivan Bat Sarah Hadassa Leilouï Nichmat de: Julia Bat Elie, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Ayala ‘Haya Bat Méïr Raphaël, Serouya Beya Bat Myriam, Moché Maurice Ben Yossef et Fifine, Sylvia Hassiba Bat Nissim et Yona Ben Sarah
La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation de l’âme de Norbert Avraham Ben Gavriel et Pnina La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation de l’âme de Chalom Ben Gracia
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Le journal « Vive le roi Machia’h, Now ! » est un hebdomadaire édité par l’association « Vive le roi Machia’h », loi 1901 (Paris) – Directrice de la publication, Menou’ha Ra’hel Beckouche – Rédacteur en chef et graphisme, Gabriel Beckouche Diffusion à Jérusalem, centre Machia’h & Guéoula Diffusion à Nathanya, Rav Its’hak Pachter.
Horaires de Chabbat ________________
Chabbat Miketz Jérusalem : 16h01 - Sortie : 17h16 Tel Aviv : 16h17 - Sortie : 17h18 ‘Haïfa : 16h08 - Sortie : 17h15