CAMALEON

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Auteurs Paula Alejandra

Arevalo Granados

Liliana Marisa

Cesar Augusto Leslie Johanna Jose David Maria Juliana Carlos Mario Carolina Karen Maria Angelica Laura Victoria Karla Gigliola Alexandra Palmar PROJET FRANÇAIS 5 CO 2011‐1

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Becerra Mariño Carranza Aristizabal Florez Lindarte Galindo Gaitan Huertas Plata Medina Mejia Parra Pinzon Peña Cardenas Ramirez Nieto Villamarin Gonzalez


TUTORIELS

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FICHE DE FICHE DU RESUME L’ENREGISTREMENT VIDEO Groupe: Leslie et Carlos.

Pour faire le résumé Titre ‐qui, quoi, où, quand comment? ‐ordre= processus—résultat ‐135 à 150 mots ‐essentiel‐idées principales ‐pas d’opinion

Groupe: Liliana M. Becerra.

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Universidad Nacional de Colombia Français Écrit 5 Projet : Journal Télévisé Liliana M. Becerra. Editrice. Paramètres de l’Enregistrement de la Vidéo Camera : Le format de l’enregistrement doit être de préférence en « .AVI ». C’est pourquoi, Je vous renseigne sur le prêt d’une camera chez Fredy. Pour faire un emprunt vous devez… Demander la camera 2 jours à l’avance. Le prêt ne durera que 2 heures au maximum. Les Lieux, L’Enregistrement et Le Temps estimé: L’ambiance de l’enregistrement dépend de chaque partie, mais elle doit toujours inspirer à la réflexion et ne pas être imposée, ni doit exprimer des idées personnelles (c'est‐à‐dire qu’à l’arrière‐plan, il n’y ait pas de messages écrits par les étudiants de l’université sur les murs, parce qu’ils peuvent compromettre l’opinion du journal télévisé). En plus, vous devez chercher des images appropriées par rapport à vos sujets pour les mettre sur la présentation des nouvelles. La présentation des novelles : va être réalisée dans un lieu fermé et sérieux où on peut présenter des images par rapport aux nouvelles. La camera sera mis en face de la présentatrice, on va prendre seulement un plan. Entre 3 et 4 minutes.

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la biographie du personnage peut être réalisée dans un espace ouverte ou fermée, mais tranquille. La camera braquera la personne qui va raconter l’histoire (préférablement en adresse directe, comme dans le cas de la présentation des nouvelles). Entre 4 et 6 minutes. le débat : pourra être dans une des salles de clase du bâtiment « Postgrados de Ciencas Humanas » du premier étage, qui possèdent une table, donnera un meilleur emplacement aux participants. On aura besoin de 2 cameras à fin de prendre deux points focaux, (voir l’image suivant). Entre 6 et 8 minutes.

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Les interviews doivent être dans un endroit tranquille où les voix des participants s’entendent bien et si sont réalisées en plein air, on doit faire attention à la lumière. Ils peuvent avoir un arrière‐plan qui renforce le sujet à traité. Les cameras doivent être si statiques possible et l’une doit être dirigée vers l’intervieweur et l’autre sur la personne interviewée. Entre 4 et 5 minutes.

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Le micro‐trottoir : Comme se réalise en plein air, on doit tenir compte la lumière, le mouvement et le son. La camera doit être si statique possible et on doit avoir deux cameras, l’une fait la mise au point sur l’intervieweur et l’autre sur la personne interviewée (Comme dans les interviews). Entre 4 et 5 minutes. Les Erreurs : Attention! Vous devez : Quand vous tous faites des erreurs, vous devez dire vers la camera : «on a fait tell erreur et on va recommencer depuis tell partie». Laisser suffisant image enregistre dans le début, la fin et entre les erreurs et le recommence. Rien supprimer, parce que c’est mon travail d’édition. Ce texte a le but de ne vous donner que des paramètres, vous pouvez faire les enregistrements sans être si exact à ce qu’on vous suggère ici.

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FICHES

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FICHE DU DEBAT

Groupe: Alejandra Arévalo et Jose Galindo.

L’objectif principal : Inciter à la réflexion pour devenir acteur clé Objectifs spécifiques : • Susciter l’intérêt du public (en ce cas, les téléspectateurs) pour le sujet traité • Mettre en discussion la véracité des arguments de chaque intégrant. • Arriver à une conclusion à travers les arguments donnés et le résumé du projet du cours de Français Oral 5. Durée estimée : entre 4 et 6 minutes Format : (AVI) Il pourra être dans une des salles de clase du bâtiment « Postgrados de Ciencas Humanas » du premier étage, qui possèdent une table, donnera un meilleur emplacement aux participants. On aura besoin de 2 cameras à fin de prendre deux points focaux, (voir l’image suivant).

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Sujet : Est‐ce que les étudiants du Département de Langues Etrangères de l’Unal sont des acteurs clé du changement? Personnage(s) présenté(s) : • L’invité : Intégrant 1, Augusto Carrillo. • Jose Galindo: Intégrant 2 • Alejandra Arévalo: Modératrice Lien : http://www.megaupload.com/?d=GLEQVL3Z Activité: 1. Le modérateur commencera avec la question suivante : Pensez‐vous que les étudiants du Département de Langues Etrangères de l’Unal sont des acteurs clé du changement ? 2. Le modérateur donnera le tour à un intégrant (1 minute pour chacun) 3. Le modérateur doit arrêter la discussion avec une autre question, selon les sujets développés dans les arguments. Pour organiser le débat, on délimite le sujet : - ‐ Utiliser les questions avec lesquelles on a fini par délimiter le sujet dans le cours de français 5. (Ex : Est‐ce que l’Unal encourage ou facilite l’apparition des acteurs clé du changement ?) - Mise en place des critères pour être un acteur clé par le modérateur. - Les intégrants montrent les exemples ou les arguments qui soutiennent la position de chacun, a partir de ce qu’on a accordé comme critères. - Mise en évidence des degrés d’acteur clé : petit acteur clé, moyen acteur clé, grand acteur clé. Définition et discussion. 4. Apres avoir écouté chaque partie, le modérateur donnera la conclusion. Plan de réalisation (avec dates de chaque activité) : Préparation (de 16 à 20 mai), rendez‐vous préliminaire pour renseigner l’invité (20 mai 11, à 9 heures), enregistrement (20 mai dès 4 heures de l’après midi) Lieu : Le salon ou lieu destiné au JT. On y devrait avoir une table a chaque coté du modérateur RÉSUMÉ Trouver une conclusion… toute une tâche. Par Alejandra Arévalo Pendant le parcours que nous avons suivi dans Français Oral 5, on n’a pas seulement discuté sur notre engagement comme citoyens envers la société, mais on a arrivé à délimiter la notion d’« acteur clé du changement », à travers plusieurs activités comme argumentations (en tenant compte des exemples), et en faisant aussi des exposés présentant des personnes considérés comme « acteurs clé » par les étudiants. D’une part, les personnages présentés avaient des différences selon leur rôle : gouverneurs, créateurs des fondations, inventeurs, divulgateurs, etc. Et d’autre part, on a pu classer leurs actions selon leurs conséquences : des actions de grand impact (changements concrets ou tangibles, avec une grande couverture), des conséquences mauvaises, incitation à la réflexion, commencement d’un mouvement ou d’une idée révolutionnaire, coopération avec une communauté spécifique, etc. À partir de cela, le cours a posé plusieurs questions qui entouraient tout ce qui compose la notion d’acteur clé et tout ce qui nous ferait acteurs clé du changement, étant des étudiants de l’Université National de Colombie. Ensuite, nous nous sommes mis d’accord sur les critères pour être un acteur clé, bien entendu notre intérêt pour les actions plutôt positives : Página 11 de 98


o C’est un ensemble de personnes et d’idées o Une personne critique, observatrice, analytique o Une personne engagée o Quelqu’un qui fait des choses que personne ne ferait pas. o Qui est accepté par la communauté o Qui est créative, imaginative et active o Qui inspire la réflexion et la liberté o Qui a une relation avec le passé Dans le débat, on envisage de transmettre ce travail de délimitation qu’on a fait pendant le cours et le travail de réflexion avec le Journal Télévisé « Caméléon », en mettant en discussion tous les arguments développés à travers les petits projets des participants du JT. C’est pour cela qu’on a invité le professeur Augusto Carrillo, pour qu’il puisse ne pas seulement montrer son avis, mais donner une perspective plus globale et administrative au sujet qui nous concerne : Est‐ce que les étudiants de l’Université National sont des acteurs clé du changement ? Comment inciter aux étudiants de le devenir ? Possibles Questions du Débat : o Est‐ce que les étudiants de l’Université National de Colombie sont des acteurs clé du changement ? o Quel visionnement avez‐vous par rapport aux groupes comme Hatsuhinode et aux personnages comme Fals Borda ? Est‐ce qu’ils ont eu jusqu’ici un impact qui leur donnerait le titre d’ « acteurs clé du changement » ? o Est‐ce que l’Unal limite le développement d’acteurs clé ? Oui ou non et pourquoi ? o Selon l’enquête réalisée par le groupe journalistique de Caméléon, on trouve une tendance optimiste en face du développement d’acteurs clé chez les étudiants des premiers semestres du Département de Langues Etrangères. Par contre, on trouve que cet optimisme diminue chez les étudiants des derniers semestres. Pourquoi pensez‐vous que ce phénomène a lieu ? Que feriez‐vous, comme professeur et administratif et comme étudiant de l’Unal, pour que les étudiants des dernières semestres se sentent plus engagés et motivés pour être des acteurs clé? o Qu’est‐ce que vous avez fait pour améliorer la situation qui vous entoure ? Vous vous considéreriez vous‐mêmes acteurs clé du changement ? Conclusions préliminaires À travers les travaux qu’on a faits dans nos projets, on a pu arriver à une conclusion : Est‐ce que les étudiants de l’Université National de Colombie sont des acteurs clé du changement ? Oui, pas tous évidement, mais ceux qui le sont, soit des petits, des moyens ou des grands acteurs clé, ils ont fait Página 12 de 98


beaucoup des bonnes choses grâce à leurs efforts et actions. Cependant, c’est qui est le plus important, c’est qu’ils ont pris cette décision de l’être malgré toute adversité. Alors, Il faut voir si le reste d’étudiants la prennent aussi… Si le reste d’étudiants décident finalement d’agir et de devenir acteurs clé du changement. Merci Beaucoup À bientôt. Página 13 de 98

FICHE DE L’INTERVIEWE HATSUHINODEU DEBAT

Groupe: Carolina La vie


Projet Caméléon Problématique: Est‐ce que nous, étudiants de l’Unal sommes des acteurs clé du changement ? Objectifs: Inciter à la réflexion pour devenir acteur clé Démontrer que les étudiants de l’Unal sommes des acteurs clé du changement développer la compétence argumentative Produit du projet: journal télévisé Titre : Hatsuhinode et son rôle à l’Université Nationale de Colombie Groupe : Carolina Parra Durée estimée : entre 4 et 6 minutes. Format : .AVI Personnage(s) présent(s) : Journaliste, Carolina Invité, Gabriela Páez : membre du groupe culturel japonais Hatsuhinode Activité: Entretien Plan de réalisation (avec dates de chaque activité1) : 1 Rappelez‐vous que la délai c’est jusqu’au 21 mai, pour qu’on puisse éditer la vidéo en temps. Préparation (11‐ 17 mai 2011) Rendez‐vous préliminaire avec Gabriela Paez et Lina Mejía, membres du groupe Hatsuhinode (18 mai 11) Enregistrement de l’entretien (20 mai 11) Ma pré‐édition (20 ‐21 mai 11) Remise du matériel enregistré (21 mai 11) Lieu de l’enregistrement: Universidad Nacional de Colombia Bâtiment de Ciencia y Tecnología Extérieur Jour MISE EN SCENE PROGRAMÉE Journaliste/Voix FULL : Bonjour à tous, nous sommes aujourd’hui avec Gabriela Páez, étudiante de philologie française ici à l’Université Nationale et un de membres du groupe Hatsuhinode constitué depuis le 2007 grâce au rassemblement de Jhovany Camelo, étudiant de philologie allemande et connaisseur de calligraphie japonaise et Diego Suarez, diplômé en histoire et expert en origami, principaux fondateurs du groupe. Au présent il est composé de 10 personnes qui se sentent engagées avec le sujet de la propagation des connaissances de la culture japonaise en Colombie, ayant comme centre d’activités principal l’Université Nationale de Colombie.

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Pendant quatre ans à‐peu‐près le groupe a promu les aspects traditionnels de la culture japonaise en faisant des activités extra‐académiques diverses comme des ateliers de Shodo, Origami et Washiningyou parmi d’autres. Journaliste/Voix FULL : Vous êtes d’abord commencé les activités du groupe sans soutient d’aucun sorte mais dans l’année 2010 l’université vous a reconnu comme groupe actif dans l’espace universitaire ; quel sorte d’appui vous recevez de la part de l’université ? Invitée/Voix FULL: . . . Journaliste/Voix FULL : Maintenant, d’après vos activités croyez‐vous que votre groupe est un appui pour les personnes qui veulent s’approcher de la culture japonaise ? Invitée/Voix FULL: . . . Journaliste/Voix FULL : Bon et quel serait l’apport académique offris aux étudiants de l’Université Nationale ? Invitée/Voix FULL: . . . Journaliste/Voix FULL : et alors, s’il vous plaît dîtes nous : est‐ce que vous tentez de faire un changement dans la pensée des étudiants de l’UN ? Lequel ? Invitée/Voix FULL: . . . Journaliste/Voix FULL : Et de la même façon, est‐ce que vous essayez de faire un lien avec la culture colombienne ? Invitée/Voix FULL: . . . Journaliste/Voix FULL : Est‐ce que vous vous sentez appuyez par la communauté universitaire ? Invitée/Voix FULL: . . . Journaliste/Voix FULL : Et finalement, quelles sont vos projections pour l’avenir en tant que groupe de travail ? Invitée/Voix FULL: . . . Journaliste/Voix FULL : Bon, merci bien Gabriela d’avoir répondu à nos questions et d’avoir participé à notre journal télévisé Caméléon. On revient avec Laura qui vous introduira d’autres infos. Á bientôt ! Pd : Tant la journaliste que l’invitée seront devant la caméra. Je pense mettre quelques images, si possible.

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RÉSUMÉ Le chemin parcouru et à parcourir Ce semestre le cours de Français V a suivi un processus de réflexion à propos de notre rôle estudiantin tant qu’à l’Universidad Nacional que dans la société colombienne. De cette problématique une question principale est sortie : « nous nous considérons comme des acteurs clés du changement ? » ; pour vérifier cela nous avons mis en marche le projet Caméléon afin de chercher la réponse. Dans le déroulement nous avons discuté des caractéristiques d’un acteur clé, les illustrer dans des personnes ‐possibles actrices clés‐ et, après ça, de lancer un regard sur notre université pour enfin trouver la réponse. De cette façon, nous nous sommes mis à la recherche des étudiants pouvant représenter un minimum de points accordés par tous. A partir de ce point‐là, j’ai pensé au groupe universitaire japonais Hatsuhinode comme des personnes qui rejoignent les caractéristiques principales d’un acteur clé et ce que j’envisage est de le montrer en élucidant ses propos étroitement comparés et argumentés avec les nôtres : inciter à la réflexion en démontrant que les étudiants sont capables d’être ou devenir des acteurs clés du changement. Comment je le ferais ? Je ferais une présentation du groupe et un entretien à un de ces membres, Gabriela ; juste de cinq minutes pour arriver à notre but. J’espère pour cela que les questions seront précises de ma part et de même, que les réponses seront aussi correctes de leur part. Finalement, pourrais‐je arriver, avec ma partie, à réussir le but du Caméléon ? CAROLINA PARRA FRANÇAIS V cparrap@unal.edu.co

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FICHE Fals Borda CAMÉLÉON Journal télévisé Français Communication écrite 5 Résumé

Groupe:Karla et Angelica

Paramètres Titre : REPORTAGE HISTORIQUE Groupe : ANGELICA PEÑA Y KARLA VILLAMARIN L’objectif principal Inciter à la réflexion pour devenir acteur clé Objectifs spécifiques • Démontrer pourquoi Orlando Fals Borda a été un Acteur Clé du changement L’université • Présenter un témoignage vivant de l’engagement de Fals Borda par rapport à L’Université Nationale. Durée estimée : entre 4 et 6 minutes Format : (Liliana) Sujet : acteurs clé à travers l’histoire Personnages présentés : Orlando Fals Borda, Maria Elvira Naranjo. Activité: Documentaire et interview Plan de réalisation: 11 mai : interview à Maria Elvira Naranjo en tant que témoignage vivant des années 60 à L’Université Nationale 20 mai : Documentaire Lieu : Département de Sociologie CAMÉLÉON Journal télévisé Français Communication écrite 5 Résumé REPORTAGE HISTORIQUE C’est une rubrique du journal télévisé CAMÉLÉON proposé par Angélica Peña et Karla Villamarín, deux journalistes qui feront un petit documentaire par rapport à Orlando Fals Borda, acteur clé du changement à l’Université Nationale. On a décidé de parler de ce personnage parce qu’il a fait des transformations vraiment significatives pour l’éducation universitaire plutôt pour la Faculté de Sociologie au niveau académique et politique, en plus Fals Borda a attaché l’académie avec la réalité Página 17 de 98


social de Colombie de cette époque‐là. Alors, afin de réussir à inciter à la réflexion pour devenir acteur clé on a fait une recherche sur le personnage et une interview à Maria Elvira Naranjo en tant que témoignage vivant de l’époque. L’entretien a été réalisé 11 mai dans le campus de L’Université National. Ensuite on a dû traduire en français tout ce que Maria Elvira nous a raconté afin de le joindre au petit documentaire. Voici les questions de l’entretien : • Quelle était l’opinion que les gens avaient par rapport aux actions d’Orlando Fals Borda ? • Quelle anecdote pouvez‐vous nous raconter à propos de M. Fals Borda ? • Quelle était l’opinion des étudiants vers les problèmes de l’université, est‐ce qu’on peut dire que les nombre d’étudiants engagés aux problèmes était majeur dans le passé ?

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FICHE PRESENTATRICE

Groupe: Laura Ramirez Fiche Technique • Etudiante : Laura Victoria Ramirez Nieto • Rôle : Présentatrice • Endroit : Salle de Vidéo • Description : Murs blancs, contrôle de l’éclairage, appareils électroniques • Couleurs : *Fond : Blanc = symbole de la simplicité et de la connaissance *Couleur secondaire : Vert = symbole de la Nature (caméléon), représente ce qui bouge, change varie *Vêtements : Couleurs foncées (obscures) qui contrastent avec les deux premières • L’objectif principal : Inciter à la réflexion pour devenir acteur clé • Durée estimée : 3 minutes environ Titres= 30 secondes des titres, 10 secondes de l´Introduction, 15 secondes par chaque actualité [x4] • Format : vidéo .AVI • Sujet : Titres, présentation et Introductions • Plan de réalisation (avec dates de chaque activité1) : jeudi 26 Mai 2011, 7– 9 heures Ordres des sections : 1. Titres 2. Introduction 3. Documentaire historique 4. Reportage : Hatsuhinode 5. Enquête : Analyse : Acteurs clé de la filière 6. Débat du jour Présentation : Bonjour, bienvenues au journal télévisé : Le caméléon le journal du changement, ce sont les nouvelles pour l’émission du jour Titres : 1. Fals Borda ancien professeur de l‘Université Nationale de Colombie, qu’est‐ce qu’il a fait pour que le bâtiment de sociologie porte son nom ? un regard rétrospectif 2. Hatsuhinode plus qu’une passion pour la culture japonaise, noyau des acteurs clés 3. Est‐ce que les futures philologues se sentent acteur clés du changement ? la faculté de Sciences Humaines appuie leurs initiatives ? les résultats d’un sondage ont les réponses 4. Quelle est la perspective d’un professeur de cette faculté ? dans le débat du jour parlera des différentes opinions par rapport au sujet Página 19 de 98


Introductions 1. Reportage historique : à travers le parcours de l’université Nationale, on a connu plusieurs personnages qui ont bouleversé son histoire, l’un de ces personnages est Fals Borda, qu’est‐ce qu’il a fait ? Maria Elvira Naranjo, Une des étudiantes de l’époque nous raconte. Karla Villamarin et Angelica Peña avec le reportage. 2. Hatsuhinode : d’accord aux certaines caractéristiques d’acteur clé du changement, on a fait un recherche parmi les étudiants de l’université afin de Groupe: Juliana et Cesar trouver ceux qui incitent à la réflexion. on a trouvé un groupe aimant la culture japonaise appelé Hatsuhinode dont les idées pourraient favoriser la construction des acteurs clés, Notre collègue Carolina Parra nous informe. 3. Est‐ce que les étudiants de la filière de philologie française se sentent acteurs clés du changement ? Nos collègues Juliana Huertas et César Carranza ont fait un sondage pour éclaircir la situation actuelle par rapport à la formation des acteurs clés dans la fac (faculté) de sciences humaines. 4. Il est difficile de trouver une conclusion à propos de notre sujet, les acteurs clés du changement, c’est pourquoi dans le débat du jour, modéré par Alejandra Arevalo, on a un invité prêt à nous donner son avis, face à l’opinion de notre collègue Jose Galindo, ________________bonjour Paramètres Titre : EN CHERCHE DU CHANGEMENT Groupe : Juliana et César L’objectif principal : Inciter à la réflexion pour devenir acteur clé Durée estimée : entre 4 et 6 minutes Sujet : Opinions des étudiants de la filière de français, sur qu’est un acteur clé du changement.

FICHE MICRO TROTTOIR

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Personnage présenté : différents camarades de la filière, de tous les semestres. Activité: Montrer quelques extraits des interviews, et présenter les analyses des interviews. Plan de réalisation (avec dates de chaque activité1) : INTERVIEW Population : Étudiants de tous les semestres de français. Echantillon : 3 étudiants de chaque semestre. # Questions : 3. QUESTIONS 1. Pour vous, qu’est‐ce que c’est un étudiant de l’UNAL qui promeut les changements ? 2. Vous vous considérez un étudiant qui incite aux changements ? 3. Dans le cas du Département de Langues Étrangères, vous vous considérez un étudiant/agent du changement. DÉLAIS Lieu : dans les bâtiments de la Faculté de Sciences Humains. Communication écrite 5 Enquête pour le journal télévisé Caméléon En cherche d’un changement Tout d’abord, nous vous remercions de nous permettre de réaliser cette activité. Dans le cours de français 5 oral, nous sommes dans un processus d’analyse à propos des personnes qui font de la promotion des ouvres qui font des changements dans la société, même s’ils sont tous petits, comme la prise de conscience et la réflexion. Caractérisation de nos acteurs clés: ‐Quelqu’un qui fait quelque‐chose que personne ne ferait. ‐ Qui inspire la liberté. ‐ Qui soit un exemple. ‐ Qui donne un appui. ‐ Qui a une portée. ‐ Qui inspire une réflexion. ‐ Action continue. ‐ Altruist. Acteurs clés du changement Donnant un chiffre de 1 à 5, où 1 signifie « pas du tout », et 5 «complètement », Répondez aux questions suivantes. 1. Vous vous considérez un acteur clé de changement dans notre université? 2. Croyez – vous que la Faculté des Sciences Humaines à l’université nationale est concernée par l’éducation de personnes comme protagonistes des transformations dans divers domaine ? 1

Rappelez‐vous que la délai c’est jusqu’au 21 mai, pour qu’on puisse éditer la vidéo en temps.

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3. À votre avis, les cours offerts par la filière de philologie française permettent de réaliser des analyses à propos de notre rôle dans l’université comme des personnes qui peuvent faire un apport à la société ? 4. Pensez‐vous qu’il soit nécessaire que les professeurs fassent des activités envisagées à la réflexion de nous étudiants de l’UNAL comme des personnes capables de faire un changement ? a. Oui b. Non 5. Si vous faites, ou vous connaissez cas des étudiants de notre filière qui font des projets qui envisagent des changements à n’importe quel degré, considérez vous que le Département de Langues Etrangères appuie les initiatives des étudiants ? Communication écrite 5 Résumé pour le journal télévisé Caméléon En cherche d’un changement En cherche d’UN changement En cherche d’un changement est une partie du journal télévisé Caméléon proposé par César Carranza et Juliana Huertas, deux journalistes qui ont décidé de faire un sondage d’opinion par rapport à la formation des acteurs clés du changement à l’Université Nationale. Cela pose l’inquiétude de savoir si les étudiants considèrent que la Faculté des Sciences Humaines et même le Département de Langues sont des institutions formatrices de personnes concernées pour la transformation, dans n’importe quel dégrée. Après avoir délimité le problème, on a établi comme méthodes pour obtenir l’information une enquête et un micro‐trottoir. L’enquête a été menée vendredi 13 mai dans les différents cours de base de la filière de Philologie Française à L’Université National. Les résultats de l’enquête sont : SEMESTRES 1,2 et 3. Le 47% des étudiants ne sont pas sûrs d’être agents du changement (ils ont mis 3) ; les autres opinions sont partagées aux deux côtés (‐24% ; +30%). On peut voir que ces étudiants attendent que la Faculté promeuve en eux les outils pour devenir un acteur clé (5‐42% ; 4‐32%). Seulement un petit pourcentage (6%) ne croit pas que la Faculté soit concernée à la formation de protagonistes de transformation. Ensuite, les étudiants ne sont pas totalement sûrs que leurs cours leurs permettent de réaliser des analyses des problèmes de l’UN (3, 42%) ; cependant, il y a une tendance plus optimiste (5‐10%, 4‐35%) que pessimiste (2‐ 10%, 1‐3%). En sens, ils pensent qu’il est vraiment nécessaire que les professeurs fassent des activités pour promouvoir la réflexion d’eux comme personnes capables de faire des changements (5‐55%, 4‐23%) ; ils sont très peux les étudiants qui pensent que cela n’est pas nécessaire (2‐6%, 1‐3%). Finalement, on voit qu’il n’y a pas une tendance pour savoir si les étudiants pensent que leur département appuie les différents projets (2‐4‐5 : 16%) ; par contre, dans cette question, la ponctuation 1 reçoit le plus haut pourcentage (16%). SEMESTRES 4 et 6. Par contre, dans la première question, on voit qu’il y a des étudiants qui ne se considèrent pas agents du changement (1‐20%, 2‐8%), et d’autres qui pensent en eux‐mêmes comme Página 22 de 98


transformateurs (4‐40%, 5‐4%). Par rapport a la Faculté, les opinions sont vraiment partagées : le range de pourcentage est de 12% à 28%, où 1 est le plus bas et 4 le plus haut ; cela démontre que la relation des étudiants avec la Faculté n’est pas la même. Ensuite, ces étudiants croient que les cours de la filière ne donnent pas les outils pour faire des analyses de notre rôle comme personnes capables de faire des changements (1‐24%, 2‐24%), seulement un 24% pense que leurs courses leur en donnent (4‐20%, 5‐4%). Par contre, la majorité considère indispensable que leurs professeurs incite à la réflexion (5‐64%, 4‐32%). Finalement, la plus grande partie de ces étudiants ne croit pas que le Département appui à ces élèves (1‐12%, 2‐44%), toute fois, une très petite partie pense que le Département soit un soutien (5‐8%). Communication écrite 5 Résumé pour le journal télévisé Caméléon En cherche d’un changement En cherche d’un changement En cherche d’un changement est un parti du journal télévisé Caméléon proposé par César Carranza et Juliana Huertas, deux journalistes qui ont décidé de faire un sondage d’opinion par rapport à la formation des acteurs clés du changement à l’Université Nationale. Cela pose l’inquiétude de savoir si les étudiants considèrent que la Faculté des Sciences Humaines et même le département de langue son des institutions formatrices de personnes concernées pour la transformation, dans n’importe quel dégrée. Après avoir délimité le problème, on a établi comme méthodes pour obtenir l’information l’enquête et le micro‐trottoir. L’enquête a été menée vendredi 13 mai dans les différents cours de base de la filière de Philologie Française à L’Université National. Après l’analyse des donnés obtenus, les journalistes feraient les micros‐trottoirs pour avoir une vision qualitative des opinions des étudiants. BÁSICO 1‐2

BÁSICO 3

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BÁSICO 4

BÁSICO 6

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GRUPO 1‐3

GRUPO 4‐6

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TOTAL

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Communication écrite 5 Sondage d’opinion pour le journal télévisé Caméléon « En cherche d’un changement » Juliana Huertas ‐ César Carranza Donnant un chiffre de 1 à 5, où 1 signifie « pas du tout », et 5 «complètement », Répondez aux questions suivantes. GROUP 1‐3 Échantillon: 1ère question: 30 personnes; 2ème question: 31.

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GRUPO 4‐6 Échantillon: 25 personnes.

TOTAL Échantillon: 1ère question: 55 personnes; questions suivantes: 56 personnes.

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SYNTHESES

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CRITERES D’EVALUATION Premier partiel français 5 communication écrite I semestre 2011 Note _______/15 soit _____/5 Tableau de synthèse Présentation de la bibliographie (3 textes de 3 pages web) sous forme des textes Icontec Choix des textes pertinents par rapport au sujet Respect de la consigne de longueur* Respect du contenu des documents Peut respecter la règle d’objectivité (absence d’éléments étrangers aux textes). Capacité à traiter les textes Peut dégager la problématique commune, sélectionner et restituer les informations les plus pertinentes. Cohérence et cohésion Peut organiser les informations sélectionnées sous forme d’un paragraphe fluide et bien structuré. La mise en page et la ponctuation sont fonctionnelles. COMPÉTENCE LEXICALE / ORTHOGRAPHE LEXICALE Etendue et maîtrise du vocabulaire Dispose d’un vaste répertoire lexical qui lui permet de reformuler sans effort apparenT**. Maitrise de l’orthographe L’orthographe est exacte à l’exception de quelques lapsus occasionnels COMPÉTENCE GRAMMATICALE / ORTHOGRAPHE GRAMMATICALE Maintient constamment un haut degré de correction. Les erreurs sont rares et difficiles à repérer. Elaboration des phrases/souplesse Dispose d’une variété de structures lui permettant de varier la formulation

0.7 0.5 0.5 /0.3 /1.5 /3 /3

/ 2.5

/3

Légende : *Le respect de la consigne de longueur (250 mots) fait partie intégrante de l’exercice (fourchette acceptable Donnée par la consigne).Dans le cas où la fourchette ne serait pas respectée, on appliquera exceptionnellement une correction négative : – 1 point par tranche de 10 % en plus et en moins. **Dans le cas où l’étudiant reprendrait, sans les remanier, des passages entiers des documents (plus des 3/4 du texte final), les notes à attribuer pour les critères « compétence lexicale » et « compétence grammaticale » seraient mises à 0. NP : NO PRESENTO : SC : SIN CALIFICAR Vocabulaire orthographe Grammaire Interférence Ponctuation méthodologie

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04446687: bien pour innover avec la colonne des catégories ; idées bien regroupées par thème et avec l‘intégration de deux opinions dans un même paragraphe. Bien aussi pour l’introduction et la conclusion. Très bien pour les textes. Dommage de ne pas avoir présenté la bibliographie avec les normes icontec. Il faudrait aussi travailler sur votre compétence lexicale qui mettrait votre texte en valeur. 04446802: La structure des paragraphes est correcte ainsi que la cohérence entre chaque élément de la synthèse. C’est une bonne rédaction hormis les répétitions de certains mots qui appauvrissent votre rédaction. En ce qui concerne la méthodologie, il faut que vous soyez beaucoup plus synthétique au moment de faire le tableau. On ne met pas de phrases !! 04446731 : vous avez une bonne capacité pour synthétiser(tableau synthèse), ce qui vous facilite la tâche au moment de rédiger la synthèse. On voit que vous avez apprécié votre projet Caméléon avec les enquêtes, c’est quelque-chose que l’on retrouve ici avec le thème choisi. Finalement, on observe votre intérêt pour réutiliser le vocabulaire vu en classe. Mais on regrette que pour le reste, vous utilisiez un vocabulaire si peu varié. 04446734 : il est intéressant de voir que les journaux se rejoignent assez concernant la démission de Madame Christine Ockrent. Et vous arrivez à le transmettre non seulement dans le tableau, mais aussi, dans votre texte. Au niveau de la méthodologie, c’est bien pour les normes icontec, c’est moins bien pour le tableau, car souvenez-vous, on ne fait pas de phrase. 04446782 : Le fossé existant dans votre texte entre un français très soutenu et un français standard nous amène à conclure que vous n’arrivez pas à reformuler avec vos propres mots. Dommage de ne pas avoir mis en valeur votre capacité se synthèse dans un texte plus près de vous sans avoir à reprendre des petits passages sur internet. Pour le tableau, c’était moins bien que d’habitude. Bien pour les normes icontec 04446813 : vous avez lune grande habileté pour trouver les informations pertinentes, cependant, vous ne la mettez pas suffisamment en valeur dans la rédaction avec votre tendance à commettre beaucoup d’interférences ou au moment de construire les phrases d’utiliser des expressions de l’oral. Il faut être plus rigoureuse dans ce sens pour mieux exploiter votre capacité de synthèse. Dommage de ne pas avoir présenté la bibliographie avec les normes icontec 04446818 : On voit un grand progrès dans la structure du texte, des idées, dans l’utilisation d’un vocabulaire varié. Par contre, il y a encore beaucoup à faire sur des ponts prés de grammaire. Bien pour les normes icontec !! c’est moins bien pour le tableau, car souvenez-vous, on ne fait pas de phrase.

NOTES

04446687

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barème

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Présentation de la bibliographie (3 textes de 3 pages web) sous forme des textes Icontec Choix des textes pertinents par rapport au sujet

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Respect de la consigne de longueur Respect du contenu des documents Capacité à traiter les textes Cohérence et cohésion

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04446687 LES MÉDIAS ET LES MESSAGES CHEZ LES ENFANTS Les textes à aborder sont L’éducation aux médias, de Jaques Piette ; Nouvelles perspectives pour l’éducation aux medias, de Peraya et Rickenmann, et De l’éducation aux médias à l’éducation à la paix, de Pax Christi. On verra la fonction des medias dans l’éducation des enfants et le la conceptualisation des messages des médias. D’abord, les auteurs sont d’accord quand ils assurent que les médias sont toujours dans la société, par exemple, dans les connaissances que les enfants apprennent dès qu’ils peuvent recevoir des stimules des différents médias (Radio, Télévision, Cinéma, etc.). Par contre, Peraya donne un autre point de vue en disant que les médias sont générateurs de violence, soit par mimétisme soit par catharsis. Ensuite ils proposent l’objectif commun de l’éducation aux médias : créer une pensée critique et créatrice, en utilisant comme moyen les savoirs de « non‐transparence ». Par contre, Piette assure qu’il y a des professeurs qui transfèrent leurs appréciations aux étudiants, à cause d’un manque de préparation des écoles dans les nouvelles formes de médias. Pour arriver à l’éducation aux médias, les trois auteurs se ressemblent dans l’idée que les messages des médias ne sont pas neutres, il n’y a pas une transparence de la réalité, sinon une représentation de celle‐ci. En plus, les idées se complémentent si on considère que chaque message des médias a une point de vu différent, résultat d’une reconstruction de la réalité. C’est ainsi que les médias ont un enjeu démocratique et social, car ils sont un reflet et un produit de la société, et les messages jouent un rôle dans la création chez les enfants, puisque chaque idée viendra accompagnée des différents sortes de langages. Página 33 de 98


L’ÉDUCATION AUX MÉDIAS IDÉES IDÉES IDÉNTIQUES DIFFÉRENTES *Omniprésence *Générateur de des médis dans la violence (3) société (1‐2‐3)

CATEGORIE

THÈME

EFFETS SOCIAUX

Influence dans la société

*Connaissance du *Élève : Source consommation d’apprentissa monde (1‐2) sans réflexion (2) ge

Labeur Système Éducative

Générateur de Pensée Critique

Message

Image

Nouvelles Formes (internet)

TRAITS DE MEDIAS

*Éducation de l’enfant‐ Consommateur (1‐2‐3) *Construction comme objectif (1‐3)

*Générateur de violence (3)

IDÉES COMPLÉMENTAIRES *Création de liens sociaux (2) *Formation de l’élève (1) *Source de divertissement (1) *Apprentissage d’autres langages (2) *Moyen socialisateur de l’enfant (1)

*Opinion calque de *Pensé créatrice. (1) l’enseignent (1) *Enjeu démocratique et social (3) *Médias reflets de *Non‐ la société (2) transparence (2)

*Manque de neutralité (1‐2) *Point de vue des Médias (1‐3) *Rapport image‐ *Transporteur de Parole (1‐2‐3) ce attendu (3) *Parole sur l’image (2) *Enfants plus *Écoles ne sont pas préparés (1) engagés (1‐3)

* Mode sémiotique (2)

*Nouveaux langages de communication (2)

TEXTES : 1. L’EDUCATION AUX MÉDIAS. JACQUES PIETTE. 2001. 2. NOUVELLES PERSPECTIVES POUR L'EDUCATION AUX MEDIAS, THEORIE ET PRATIQUE. DANIEL PERAYA ET RENÉ RICKENMANN. 3. DE L’ÉDUCATION AUX MÉDIAS À L’EDUCATION À LA PAIX. PAX CHRISTI. 2007 Página 34 de 98


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UN REGARD À L’ÉDUCATION AUX MÉDIAS L’éducation aux médias est devenue de plus en plus dans les pays développés un besoin. Trois articles : un du Réseau Éducation‐Médias, un de la Revue Synergies et un du journal online OWNI, parlent de ses nuances et les démarches à faire pour une homogénéité parmi tous les pays. Les médias sont maintenant une source d’information pour tout le monde, mais surtout pour les jeunes qui, pourtant, ne savent pas l’arranger mentalement. D’après l’article 3, ils sont citoyens consommateurs mais pas analystes. Cependant, il y a déjà une intention d’apprendre les élèves à tenir une vision critique des médias. On le voit, par exemple au Québec, comme l’illustre l’article 1, et dans quelques pays européens, selon l’article 3, où l’éducation‐média est déjà traité comme un sujet individuel à l’école. Bien sûr, il y a des avantages et des inconvénients. Les auteurs se rejoignent pour dire que l’absence de diffusion à propos du sujet produit des confusions, en affaiblissant son importance. En revanche, les deux premiers articles précisent qu’elle apporte aux jeunes une pensée critique des médias. Par ailleurs, l’article 3 croit qu’elle sert à soutenir la nécessité d’une économie centrée aux technologies de l’information. Finalement, les trois articles proposent chacun des démarches à suivre selon leurs acteurs dans le processus d’information, respectivement : l’école et les jeunes, les enseignants et les journalistes et pour conclure le gouvernement. L’école, de sa part, doit avoir conscience des nouveaux processus d'apprentissage, les jeunes acquerront une compétence critique aux médias. Les enseignants tiennent à utiliser les médias comme outils en classe, tandis que les journalistes gérer l'information pour attirer l'attention et la préférence des jeunes. Et, en dernier lieu, le gouvernement désignera ressources monétaires à l'éducation aux médias. Vocabulaire orthographe Grammaire Interférence Ponctuation méthodologie rédaction

290 mots Bibliographie: BÉLIVEAU, Cécile. L'éducation aux médias : une nécessité. Réseau Éducation‐Média. 2009. BARTHELEMY, Fabrice. L’éducation aux médias : Une composante essentielle du capital culturel des élèves. Révue Synergie Algérie. No. 2. 2008. BLANC, Sabine ; NOOR, Ophélie. EDUCATION AUX MÉDIAS: ANARCHY IN THE EU. Journal Online OWNI. 28 Février 2011. Página 35 de 98


Documents Texte 1 Texte 2 Texte 3 * Réseau Éducation‐ Médias 2009 L'éducation aux L’ éducation aux EDUCATION AUX *Révue médias : une médias : Une MÉDIAS: ANARCHY IN Synergies nécessité. Cécile composante essentielle THE EU. Sabine Blanc et Algérie 2008 Béliveau, Ph.D. du capital culturel des Ophéli Noor *OWNI 28 élèves. Dr. Fabrice Février 2011 Barthelemy Les jeunes comme Situation des Les jeunes utilisent les médias comme jeunes et source d'information, mais ils ne savent pas citoyens consommateurs l'organiser. des médias. médias Éducation aux médias à l'école

Au Québec, meilleure compréhension des médias par les élèves.

Il n'y a pas une harmonie au moment de la mettre en pratique.

Exemples

P.E. Finlande, Norvège et Suède l'éducation aux médias est traitée comme un sujet individuel. En Italie, Allemagne et Espagne, les différences régionales empêchent de la mettre en prattique uniforme partout le pays.

Avantages de Peut soutenir la necessité l'éducation aux Crée une conscience critique et une pensée critiques d'une économie centrée aux de médias de l'information médias médias. Inconvénients de l'éducation L'absence de diffusion des études à propos de l'éducation aux médias qui produit des aux médias. confusions à propos de certains sujets et la rend beaucoup moins importante. L'école: Avoir conscience des Les enseignants: Utiliser les nouveaux processus médias comme outils pour la d'apprentissage. classe le plus possible. Les jeunes sont pratiquement immergés dans les médias, alors il ne Les journalistes: gérer doivent qu'acquérir Le gouvernement: désigner l'information pour attirer une compétence Qu'est‐ce qu'il critique par rapport à l'attention et la préferance ressources monnétaires à faut faire? des jeunes. l'éducations aux médias. eux.

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Comme l'évaluation de compétences.


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« La transparence des sondage d'opinion dans les élections présidentielles » Actuellement, la France est concernée par les élections présidentielles qui auront lieu en 2012. Cela a crée une avalanche des sondages d’opinion qui ont eu un impacte dans la population française, car les différents résultats des enquêtes ont été contraire aux suppositions, en laissant une porte ouverte le débat sur la fiabilité des mécanismes de consulte d’opinion. C’est pourquoi ces différents journaux et page d’opinion font une analyse à propos de la transparence des mesures pour connaître l’intention de vote des français. On peut lire dans les différents articles que la transparence dans les enquêtes menées n’est pas évidente, car dans les enquêtes les plus représentatives on ne tient pas compte la marge d’erreur, qui est significative pour l’interprétation des sondages. Pour trouver une solution à cette problématique, Jean Pierre Sueur a proposé un projet de loi pour réguler les sondages d’opinion, qui suggère la diffusion des mécanismes de collecte d’information. En plus, on trouve dans les différents articles que ce manque de transparence est une cause de la manipulation d’opinion des institutions faisant des enquêtes, lesquelles ne font pas des conclusions neutres des résultats obtenus. Finalement, on aperçoit que tous les articles se rejoignent pour indiquer que la résurgence des parties politiques qui n’étaient pas si solides avant, est une conséquence de la malhonnêteté des médias qui diffusent des informations qui ne sont pas si valables. 242 mots (1) De la manipulation de l'opinion publique par des sondages d'un troisième type‐ Regards Citoyens (2) Sondages: «L'absence de transparence peut favoriser les manipulations d'opinions» ‐ 20 Minutes France (3) Les sondages, mouton noir de la démocratie? ‐ Libération Tableau de synthèse

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Thèmes • Manque de transparence dans les sondages.

• Manipulation de l’opinion

• Malhonnêteté dans l’analyse des résultats.

Idées Identiques • Importance de la marge d’erreur (1‐2‐3) • Régulation des enquêtes comme mesure législative (2‐3) • Manque de rigueur au moment de mener une enquête (2‐3) • Méfiance des sondages (1‐2)

Idées Différents • Impossibilité de la transparence absolue (3 ‐ Sainte‐Marie)

• Résurgence apparente du Front National (1‐2‐3) • Centralisation sur les candidats DSK et Sarkozy (1‐2)

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Idées Complémentaires

• Publication des informations de la méthodologie de l’enquête (2)

• Découragement des autres candidatures(1)


http://www.regards‐citoyens.com/article‐de‐la‐manipulation‐de‐l‐opinion‐publique‐par‐des‐sondages‐ d‐un‐troisieme‐type‐68868027.html Mardi 8 mars 2011 Regards Citoyens Par Yann Amar De la manipulation de l'opinion publique par des sondages d'un troisième type 14 mois avant l'échéance électorale, les citoyens sont abreuvés chaque jour de sondages tous plus farfelus les uns que les autres en mettant en scène des candidatures qui n'existent pas ! Cette fois‐ci, ce sont des sondages par internet qui défraient la chronique ! Et quels sondages ! On sent bien que les "faiseurs d'opinion" ont pris le parti de soutenir deux candidats : Nicolas Sarkozy et Dominique Strauss Kahn, ces deux hérauts de ces cercles "d'élites" où l'on fait et refait le monde après l'avoir défait ! Percevant le risque de plus en plus prégnant que ni l'un ni l'autre ne soit finalement présents dans cette campagne, la perspective d'une défaite dissuadant même les meilleurs ..., les "faiseurs d'opinion" manipulent comme ils le peuvent une opinion qui commence à en avoir passablement assez d'être prise pour ce qu'elle n'est pas ! Dans ce contexte des plus nauséabonds, le camp du président agit pour se maintenir au pouvoir au‐delà de 2012 alors que ses résultats économiques et sociaux sont catastrophiques et que loin d'avoir rassemblé la nation, il concourt tous les jours à sa fracture ! Sans aucune subtilité aucune, le voilà à la manœuvre pour susciter une fois encore la torpeur ! Après le terrorisme, l'islamisme, l'immigration, les banlieues, .... C’est au tour de la menace d'une déroute électorale face à cet épouvantail politique que constitue un Front national revigoré ; un Front national dont non seulement ce camp ‐ de plus en plus retranché ‐ n'a pas hésité à épouser les thèses les plus radicales et stigmatisâtes mais il n'a cessé de donner un contenu politique et une traduction législative dans des lois sécuritaires plus liberticides les unes que les autres ! Profitant de la complicité ‐ passive ou active, selon les cas ‐ de journalistes médiocres qui s'aventurent, sans doute en plein accord avec leur rédaction politique ‐ à livrer des commentaires tous plus ridicules les uns que les autres tant ils ne prennent jamais en compte les marges d'erreur qui, en pareille circonstance, interdisent quelque conclusion que ce soit, ceux qui cherchent à se maintenir au pouvoir à tout prix ne visent qu'une seule chose : dissuader les candidatures alternatives en les mettant responsables d'un échec annoncé ! Et éviter les primaires, à gauche comme à droite ! Décidément, Noam Chomsky a une fois encore raison ("Dix stratégies de manipulation", de Noam Chomsky ) ! La France parviendra‐t‐elle à en finir avec cette dictature de ces "élites parisiennes" qui n'ont aucun scrupule à piétiner la démocratie et, avec elle, les citoyens, quel qu’ils soient ? Et si Nicolas Sarkozy ni Dominique Strauss‐Kahn n'étaient finalement pas candidats ! ..... http://www.20minutes.fr/presidentielle/682530‐politique‐sondages‐l‐absence‐transparence‐peut‐ favoriser‐manipulations‐opinions Publié le 7 mars 2011. 20 minutes‐ France Página 39 de 98


Maude Pierron Présidentiels Sondages: «L'absence de transparence peut favoriser les manipulations d'opinions» INTERVIEW – Jean‐Pierre Sueur, sénateur socialiste du Loiret, a préparé une proposition de loi visant à encadrer les sondages avec un sénateur UMP... Vous êtes remontés contre le sondage Harris Interactive publié ce week‐end qui donne Marine Le Pen en tête au premier tour, pourquoi? Les chiffres sont discutables. D’abord on ne connaît pas le chiffre brut de Marine Le Pen et comment il a été redressé. Selon les instituts, le score du FN est multiplié par 2 ou par 3 parce que les gens qu’ils votent pour le FN. Mais la référence du redressement, c’est Jean‐Marie Le Pen. Pour Marine Le Pen, il n’y a pas de précédent. Ensuite, il s’agit d’un «échantillon issu d'un échantillon représentatif», précise le journal: on ne sait pas vraiment ce que c’est. Enfin, l’institut ne donne pas la marge d’erreur. Or, dans un tel sondage, il est au minimum de 2%, et dans ce cas, cela change tout [il y a 2% de différence entre Marine Le Pen, Nicolas Sarkozy et Martine Aubry]. Diriez‐vous comme Benoît Hamon que ce type de sondage participe d’une manipulation de l’opinion? On peut dire en tout cas que l’absence de transparence et de rigueur en matière de sondage sur ces questions fondamentales peut favoriser les manipulations d’opinion. L’institut va refaire un sondage en testant cette fois François Hollande et DSK, c’est une bonne chose? On ne pourra pas comparer les deux sondages tout simplement parce qu’il y aura un effet d’halo du premier sondage sur le second. Les réponses des sondés interrogés pour le second sondage seront conditionnées par le premier: les électeurs de gauche peuvent par exemple surréagir. On ne pourra rien dire de ce sondage qui va paraître comme on ne pouvait absolument pas déduire du premier sondage que Marine Le Pen serait en tête du premier tour. Il y a une boulimie de sondage en France, à quatorze mois seulement de la présidentielle, c’est inquiétant? On est parmi les champions du monde du sondage. On en fait en moyenne trois par jours et vingt par semaine. Mais l’excès de sondage peut avoir des effets délétères. C’est pourquoi il faut de la rigueur, de la sincérité et de la transparence. Des élus passent leur temps à ausculter les sondages et à se demander comment satisfaire l’opinion. Mais si la classe politique n’agit que comme ça, elle va devenir inintéressante. On ne peut pas vivre jusqu’à la présidentielle, en ayant les mêmes débats que ce week‐ end sur des sondages discutables et avec des accusations de manipulation. C’est pourquoi il est absolument indispensable que la proposition de loi que nous avons préparée avec le sénateur UMP Hugues Portelli, adoptée à l’unanimité au Sénat soit votée. Quand on voit les débats actuels, on ne peut pas nier qu’il y a un problème. Ce serait dans l’intérêt de tout le monde, des élus, de l’exécutif, des sondeurs, des Français. Ces débats, c’est le meilleur argument pour faire adopter notre proposition de loi. Que préconisez‐vous? Nous voulons de la rigueur et de la transparence. Pour cela, les instituts seraient obligé de dire qui finance les sondages, de publier les questions telles que posées aux sondés, de donner la marge d’erreur Página 40 de 98


pour chaque étude et enfin de dévoiler la méthode utilisée pour le redressement. On ne demande pas à ce que ces données soient publiées dans l’immédiat mais qu’elles soient transmises la veille à la commission des sondages et que chacun puisse ensuite consulter les chiffres bruts. Les sondeurs nous disent: «ce sont nos secrets de fabrication» et de l’autre côté, ils nous disent qu’ils font de la science. Il faut savoir. S’ils font de la science, il faut avoir une attitude scientifique et mettre toutes les données sur la table. http://www.liberation.fr/politiques/01012332075‐les‐sondages‐mouton‐noir‐de‐la‐democratie 15 mai 20011 Libération Politiques Pauline Baumer Les sondages, mouton noir de la démocratie? En mars dernier, la publication d’un sondage réalisé sur Internet par Harris Interactive, pour «Le Parisien», plaçait Marine Le Pen en tête aux prochaines élections présidentielles. Une vive polémique s’en est suivie sur la réelle fiabilité des résultats d’une telle méthode quantitative. Le forum Libération à Rennes est l’occasion de revenir sur le rôle que peuvent jouer les sondages dans l’opinion publique, auprès des électeurs et des décideurs. Jean‐Pierre Sueur, rapporteur du texte de loi sur les sondages adoptée au sénat, et Jérôme Sainte‐Marie, directeur du département politique et opinion au CSA, ont débattu sur cette question. « Le culte de l’opinion est un poison pour la démocratie » (JP Sueur) « Tous les politiques sont esclaves de l’opinion ; le culte de l’opinion est délétère pour la démocratie ». Jean‐Pierre Sueur est ferme sur ces positions : les sondages formatent la démocratie. Le public rennais a d’ailleurs manifesté une certaine méfiance vis‐à‐vis des instituts de sondage. L’idée selon laquelle les sondages seraient synonymes d’irrespect est aujourd’hui partagée. Jérôme Sainte‐Marie en convient. Il a tenu à démystifier « le fantasme d’un enfermement de l’avenir ». Et ce ne fut pas chose facile. Dans leurs projets de lois, Messieurs Sueur et Portelli exigent une régulation et une transparence totale, garante de la scientificité des résultats. C’est la confiance qu’il faudrait accorder aux sondages qui inquiète. Et notamment l’interprétation de la montée du Front National. La méthode des quotas utilisée en France prend en considération un échantillon de personnes représentatif. Mais Jean‐Pierre Sueur a tenu à souligner l’importance de la marge d’erreur : plus ou moins 3 % malgré le redressement effectué en aval par les instituts de sondage. Jérôme Sainte‐Marie a décrit la méthode utilisée pour corriger les résultats bruts : « L’information brute est par nature très approximative donc nous prenons une élection de référence pour se rapprocher de la réalité. » Il en ressort une information crédible. Alors, comment expliquer la surprise de 2002 ? A cette époque, les médias n’avaient pas émis la possibilité d’un renversement des résultats entre Jospin et Le Pen ‐ 17% pour l’un, 14% pour l’autre avant le 21 avril 2002. Vincent Giret, directeur délégué de Libération et modérateur de la conférence, Página 41 de 98


l’avoue : «Pour nous journalistes, c’était de l’ordre de l’impossible.» Si les Français avaient été informés, ils auraient peut‐être voté utile dès le premier tour. Une opinion manipulée ? Le sénateur socialiste réclame alors que la commission des sondages et les médias communiquent sur les chiffres bruts, la méthode utilisée et les questions posées. « La bonne solution c’est la transparence quant aux méthodes, le redressement est normal. Mais la marge d’erreur doit être dite afin que les électeurs s’y habituent ». La réponse de Jérôme Sainte‐Marie fuse : « je pense que la transparence absolue rendrait impossible le fonctionnement réel des sondages. » Les sondages ne sont pas une science dure mais une science sociale. Un auditeur s’interroge ainsi sur le degré de manipulation de l’opinion par l’intermédiaire des sondages. Les discours des hommes politiques n’iraient‐ils pas dans le sens des résultats de ces enquêtes? Les différents ministères commandent des sondages afin de connaître les satisfactions et les demandes de la population. Jean‐ Pierre Sueur admet que les sondages sont un bon indicateur. « Mais ce sont des outils parmi d’autres, le moteur du débat politique ne sont pas les sondages mais les idées des hommes politiques, ce que je pense », argumente Jean‐Pierre Sueur. Avant de conclure sur une citation de Bourdieu : « l’opinion n’est pas une donnée, c’est un produit ! »

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La directrice Christine Ockrent quitte l’AEF À partir d’une nouvelle très importante pour les moyens de communication en France, les journaux, Le Nouvel Observateur, Le Monde et Le Figaro, ont confirmé le départ de Christine Ockrent, directrice générale de l’audiovisuel extérieur de la France (AEF). L’audiovisuel extérieur de la France est une société qui supervise et coordonne les activités de la radio et de la télévision publique, détenues par l’état avec une diffusion internationale. À travers l’interview qui a fait le journal Le Figaro à madame Ockrent, les autres journaux soulignent les mots précises de Christine Ockrent, «je prends acte de ma révocation déguisée et sans motif » pour mettre en évidence la position de Madame Ockrent face au évènement. La situation initial de cette problématique, remarquent le monde et le figaro, était une guerre entre Alain de Pouzilhac PDG et Christine Ockrent. Cependant, seulement Le Figaro souligne que la guerre a commencé avec les rumeurs de remaniement ministériel. Aussi le journal Le Figaro est le seul qui a montré l’opposition de Madame Ockrent à propos de la fusion de rédaction entre France 24 et RFI. De plus, les journaux Le Monde et Le Figaro, remarquent une situation d’espionnage à l’intérieur de l’AEF. Le Nouvel Observateur et Le Figaro font référence à la situation de Madame Ockrent par rapport à ses sentiments de souffrance et d’isolement dans cette circonstance. Finalement les trois journaux mettent en évidence que Christine Ockrent maintient un processus juridique pour montrer qu’elle a été victime d’une campagne pour la discréditer. 254 mots Página 43 de 98


Thème

Idées égales

Idées différentes

Départ de l’AEF

Les trois journaux confirment le départ de Christine Ockrent, directrice générale de l’AEF.

Témoignage‐ interview

‐Interview fait par le Figaro. ‐les autres deux journaux et ses notes pour les reportages. ‐ citation «je prends acte de ma révocation déguisée et sans motif. » ‐Selon Le Monde et Le Figaro, il existait une guerre entre Alain Pouzilhac et Christine Ockrent.

Guerre

Accusation

Le journal Le Monde et Le Figaro remarquent une situation d’espionnage dans l’AEF. Situation‐ ‐Le Nouvel Observateur et Le sentiments‐peine Figaro font une référence à la situation de Madame Ockrent par rapport à ses sentiments de souffrance et d’isolement dans cette situation. Processus Les 3 Journaux mettent en évidence que madame Ockrent maintient un processus légal pour montrer qu’elle a été victime d’une campagne de pour la discréditer. Página 44 de 98

Idées complémentaires

‐Le Figaro fait référence au début de la guerre entre les deux personnages. ‐La rupture des relations a commencé avec les rumeurs de remaniement ministériel. ‐ Le journal Le Figaro montre l’opposition de Christine Ockrent à propos de la fusion de rédaction entre France 24 et RFI


Bibliographie • [En línea] disponible en: Christine Ockrent annonce son départ de l'AEF http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/media/20110525.OBS3932/christine‐ockrent‐ annonce‐son‐depart‐de‐l‐aef.html 01/06/2011. • [En línea] disponible en: Mme Ockrent annonce son départ de l'AEF http://www.lemonde.fr/actualite‐medias/article/2011/05/26/mme‐ockrent‐annonce‐son‐ depart‐de‐l‐aef_1527654_3236.html 01/06/2011. • [En línea] disponible en: Christine Ockrent : «Pourquoi je quitte l'AEF » http://www.lefigaro.fr/medias/2011/05/25/04002‐20110525ARTFIG00667‐christine‐ockrent‐ pourquoi‐je‐quitte‐l‐aef.php 01/06/2011.

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446782 L’affaire DSK. Une des nouvelles de laquelle Les medias en profitent pour augmenter leurs chiffres d’audience L’affaire (Dominique Strauss‐Kahn) ayant eu lieu pendant la deuxième moitié du mois de mai a permis la continuation de l’élan que les médias étaient en train d’obtenir surtout pendant ce mois grâce aux plusieurs évènement qui se sont passés au niveau mondial, tel que le signalent les journaux Figaro, Le Monde, et Libération. D’abord le Figaro met en évidence le sujet de cette affaire, l’agression sexuelle qu’une femme de chambre d’un hôtel affirme avoir subi de la part de DSK, délit à cause duquel ce personnage se trouve menacé d’être condamné à plusieurs années de prison. Étant donné que cette genre de nouvelles n’est pas si courant Le Figaro Et Le Monde suggèrent que c’est grâce à la vague de épisodes exceptionnels que les médias ont compris que le fait de passer pendant toute une journée une émission spécial parlant de ces épisodes peuvent augmenter jusqu’à quatre fois l’audience. Du côté des chaînes, le figaro le constate en faisant une comparaison entre les horaires et les tours que les émissions télévision ont mené afin de couvrir les moindres détails de cette nouvelle. D’autre part Libération ajoute l’explication des chiffres concernant la fréquence de consultation à propos de ce sujet, de cette manière précise que 150000 titres de journal ont eu relation avec DSK entre le 15 et le 22 mai. Le journal Le Monde s’interroge sur la culpabilité et l’influence des journalistes dans la pensée des citoyens, et démontre que le fait de aller plus au‐delà de là où l’on va maintenant peut être un bon nouveau modèle de journalisme, plus intéressant aujourd'hui que les nouvelles extraordinaires comme l’affaire DSK ont beaucoup d’accueil chez les public. 276 mots BIBLIOGRAPHIE ‐ Derreumaux, Olivia «les médias ont adapté leurs dispositif à l’affaire DSK » . Le Figaro.17 mai 2011. [En ligne]Disponible sur : http://www.lefigaro.fr/medias/2011/05/16/04002‐20110516ARTFIG00755‐les‐ medias‐ont‐adapte‐leur‐dispositif‐a‐l‐affaire‐dsk.php ‐ Vitkine, Benoît « Affaire DSK : le procès des journalistes » Le Monde. 18 mai 2011. [En ligne]Disponible sur : http://www.lemonde.fr/dsk/article/2011/05/20/affaire‐dsk‐le‐proces‐des‐ journalistes_1524766_1522571.html ‐« U nes" consacrées à DSK » Libération. 20 mai 2011 [En ligne]Disponible sur : http://www.liberation.fr/medias/01012339859‐chiffre Página 46 de 98


L’affaire DSK . les medias en profitent pour augmenter leurs chiffres d’audience

• Texte 1 (1): Le Figaro Les médias ont adapté leurs dispositifs à l'affaire DSK • Texte 2 (2): Le Monde Affaire DSK : le procès des journalistes • Texte 3 (3): Libération Chiffre. "Unes" consacrées à DSK Titre Idée Idées identiques Idées différentes Idée complémentaires Une belle époque de nouvelles peu courantes

Les divers médias ont couvert la nouvelle

Chiffres (1)(3)

Les chaines de télé(1) Les journaux (2)(3)

Le rôle des journalistes et des médias

Peu respecte par rapport à l’intimité(2) Subjectivité des journaux(1) (2)

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Qu’est‐ce qui s’est passé(1) D’autres nouvelles du même type ont aidé à la centralisation de l’attention du public(1)(2) Plus d’audience en général dans le chaînes informatives(1) Habitude de couvrir les nouvelles de ce type(1) Nouveau modelé d’obtenir et présenter l’information(2)


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Ils ne sont pas isolés Les auteurs Christian Gauteillers, Jacques Piette et ceux de l’organisation UNESCO abondent, dans leurs textes, le sujet de l’éducation aux médias pour élucider son portée ; ayant comme justification la forte influence qui a les divers médias chez les personnes, surtout chez les jeunes. De cette façon, on signale important la mise en marche des programmes éducatifs dans ce domaine, pour dresser la vision et utilisation des ceux et les montrer comme quelque chose d’étroite dans la vie des personnes, comme le sont : le CREM avec son projet « moi je lis entre lignes » et MENTOR avec son kit‐manuel appuyé par l’UNESCO. Ces deux documents se centrent sur des buts qui doivent être liés au vrai développement des compétences et habiletés dans un premier lieu chez les apprenants et enseignants et puis, chez les parents et professionnels. Quelques compétences, accordées aussi dans le premier article, sont ceux d’un développement d’une pensée critique chez les personnes, rendre conscient aux personnes des droits et devoirs envers les médias dans leur vie, se familiariser avec les technologies, parmi d’autres. En conclusion, ils sont unanimes pour remarquer la nécessité de former des citoyens analytiques dès leurs premières années de vie car, bien que les medias soient une source importante d’information et un loisir pour certains, il est très important de voir au fond ces différentes représentations présentées et de n’est pas penser à ceux comme un moyen isolé de la formation des personnes, il est nécessaire donc de mettre l’accent sur leur affermissement dans l’éducation des personnes. 260 mots Bibliographie LES JEUNES ET LES MÉDIAS, au‐delà d’un enjeu d’éducation, un enjeu de société majeur http://www.collectifciem.org/spip.php?page=imprimer&id_article=65 Développer la pensée critique des élèves par l'éducation aux médias ‐ Jacques Piette: http://www.viepedagogique.gouv.qc.ca/numeros/129/vp129_42‐45.pdf Education aux médias http://unesdoc.unesco.org/images/0014/001492/149278f.pdf Página 48 de 98


ARTICLES

SOURCE ET DATES TITRES

LES JEUNES ET LES MÉDIAS, au‐delà d’un enjeu d’éducation, un enjeu de société majeur

DÉVELOPPER LA PENSÉE CRITIQUE DES ÉLÈVES PAR L’ÉDUCATION AUX MÉDIAS

L’ÉDUCATION AUX MÉDIAS : un kit à l’intention des enseignants, des élèves, des parents et des professionnels

Par Christian Gautellier http://www.collectifciem.org /spip.php?page=imprimer&id _article=65 27 mars 2007

par Jacques Piette http://www.viepedagogique. gouv.qc.ca/numeros/129/vp1 29_42‐45.pdf novembre ‐ décembre 2006

Par l’UNESCO http://unesdoc.unesco.org/images/0 014/001492/149278f.pdf 2006

Intégration des médias dans l’éducation = Programme éducatif scolaire CREM. Projet « moi, je lis entre lignes »

Intégration des médias dans l’éducation = Kit‐manuel développé par le projet « MENTOR » appuyé par l’UNESCO.

Importance des Usage courant et répandu médias des médias de la part des jeunes. Faire une charte intégrante pour les projets d’éducation Principales buts aux médias. Former des jeunes citoyens. Qui sont Enfants, jeunes. concernés ?

Former des personnes avec une pensée critique envers les médias et leur utilisation. Jeunes apprenants, enseignants.

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Intégrer l’éducation aux médias dans toutes ses dimensions. Développer des connaissances et aptitudes. Jeunes apprenants, enseignants, parents, professionnels des médias.


Idées identiques

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Idées différentes

Idées complémentaires

La fiabilité d’internet, Comment valider une information? À propos des médias, l’internet est le plus utilisé, dont sa fiabilité est un sujet controversé et polémique vu l’incertitude de ses contenus. C’est pourquoi ces trois documents et cette vidéo nous sont proposés, afin d’élucider les points de validation d’une information. L’internet sert principalement pour se renseigner académiquement, par conséquence, la méthodologie pour rechercher est indispensable. Soit en utilisant un moteur de recherche ou un méta‐moteur, soit les annuaires des sites qui registrent les modifications, il faut qu’on identifie les mots‐clés qui permettront discerner les informations pertinentes et qualifiés d’accort au but. Aussi, pour bien choisir, il est impératif connaître l’intention du site duquel elles proviennent. Néanmoins, des pièges qu’on doit éviter apparaissent, parmi eux, les informations incertaines, où parfois on trouve les utilisées wikis, puisque tous les internautes peuvent apporter leurs savoirs, donnant contenus non incontestables. Aussi la présence des info‐pollutions: la surabondance, la médiocrité, la manipulation et l’invasion publicitaire de l’information empêchent de trouver les résultats adéquats. Les auteurs partagent l’idée d’une série de donnés à valider fiables. D’abord on établit la source du document comme respecté, puis on constate la formation académique d l’auteur, après on identifie le type d’article et ses nuances. Quand même, on peut simplement comparer plusieurs sites ou d’autres supports comme physiques et utiliser des logiciels pour recouper résultats dans une seule application. Cependant l’évaluation humaine est plus significative, car toute information est produit d’un regard humain, c’est pour cela que dans la bonne formation des étudiants réside la solution. On connait des moyens pour valider des informations quoiqu’il existe des informations peu fiables, aussi une solution à future a été proposée. Bibliographie •

SALVARY, Benoit. L’information sur Internet, fiable ou pas fiable? Ou comment valider une source, valider une information. En : Benobis, l'Internet en bibliothèque (en ligne) publié le 18 novembre 2008. [Consulté le 2 juin 2011] Disponible sur : http://www.benobis.net/news/linformation‐sur‐internet‐fiable‐ou‐pas‐fiable‐ou‐comment‐valider‐ une‐source‐valider‐une‐information/

La fiabilité d’internet. Au CDI du Collège Saint Gauthier (en ligne) [consulté le 2 juin 2011] Disponible sur : http://cdisaintgauthier.e‐monsite.com/rubrique,la‐fiabilite‐d‐internet,320991.html SERRES, Alexandre. Evaluation de l’information sur Internet : le défi de la formation. [Consulté le 2 juin] Disponible sur : http://hal.inria.fr/docs/00/10/84/34/PDF/ArticleEvaluationInfoBBF.pdf

• •

Vidéo] Recherches sur Internet : quelle fiabilité ? Disponible sur : http://www.dailymotion.com/video/xf5pqr_recherches‐sur‐ internet‐quelle‐fiab_lifestyle

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Se renseigner pour faire des devoirs (Vidéo) (art3)

Le but de rechercher La recherche

À Propos des contenus

En identifiant les mots‐ clés du sujet (art1) (vidéo) En utilisant les moteurs de recherche ou les métas moteurs (art1) (vidéo) les annuaires des sites (art1)

Sélectionner l’information afin de ne garder que ce qui nous intéresse, On ne doit pas choisir le premier résultat (vidéo) (art2)

Différents types provenant des différents types des sites (art1) (art2) La pertinence et la qualité de l’information en relation avec but (art3)

Il y a une préférence par rapport aux sites informatifs (art1) (vidéo)

Les pièges

Informations incertaines Les canulars, (art1) Les incertitudes historiques, scientifiques..(art1) Le plagiat (art1) Les sites douteux (art1) Les wikis (art1) (vidéo)

La vérification informations

Info‐pollutions (art3) La surabondance de résultats La désinformation et de la médiocrité de l’information la manipulation des infos par des organisations L’invasion publicitaire Vérifier dans plusieurs sites. (art2) (vidéo) Recouper les informations avec un logiciel (art1) Utiliser des autres supports (Vidéo)

des

Vérifier les renseignements de l’auteur (art1) (art2) (art3) (vidéo) Valider la source (art1) (art2) (art3) (vidéo) Identifier le type d’article/ site (art1) (art2) (art3) Faire attention aux pièges (art1) (art2) (art3) (vidéo)

l’évaluation humaine : aucun outil ou procédé technique ne pourra jamais la remplacer (art3)

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Avec des informations préalables (art3) La formation des usagers à l’évaluation des informations est élémentaire (art3)

En évaluant la pertinence et la qualité de l’information (art3) On doit consulter les différents onglets des sites (vidéo)


FORUMS

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Université Nationale de Colombie Faculté de Sciences Humaines Département de langues Etrangères Premier semestre 2011 Français 5‐Communication écrite Professeur Véronique Bellanger Forum No1 Texte original de l’étudiant

Texte corrigé de l’étudiant NOUVELLE LOI ORGANIQUE D’EDUCATION SUPERIEURE ARTICLE 111. Le Gouvernement National est autorisé à créer une société d’économie mixte attachée au Ministère d’Éducation Nationale, qui opérera sous le nom de Société pour la promotion de l'investissement privé dans l'enseignement supérieur, résident à Bogotá, constituée comme société publique dont le principal objectif sera d’agir comme instance qui structure des projets pour attacher du capital privé à la prestation du service public d’éducation supérieur. Son administration corporative sera intégrée par : l’assemblée générale d’actionnaires, qui sera l’organe suprême de gouvernement ; le conseil directif, où seront cinq membres principaux, désignés par l’assemblée ; et le gérant général, nommé para le conseil directif, qui sera le représentant légal. Le capital social sera constitué de contributions des partenaires. Légende des corrections : Vocabulaire orthographe Grammaire Interférence Ponctuation Vocabulaire du changement Commentaires du professeur : *** Pour la partie de la rédaction, c’est un bon travail, les premières corrections avaient été faites en classe. Dans un cours de traduction, il faudrait bien peaufiner ce que vous proposez pour être bien sûr. Intervention sur le forum Página 53 de 98


Bien que l’objectif du cours de français 5 ne contemple pas des activités de traduction, l’introduction de cet exercice aura été pertinent car il aura permis de travailler non seulement sur la rédaction du texte, mais aussi de donner à la classe un outil de réflexion sur les problématiques actuelles de l’UNAL et de l’éducation générale en Colombie, sans pour autant s’éloigner de ses activités académiques. Et quelle arme plus puissante pour combattre des problèmes que la connaissance, le savoir….. Texte original de l’étudiant

Texte corrigé de l’étudiant Je crois que c’est un moyen pour donner un budget important pour le développement de l’éducation publique, mais c’est insuffisant, je suis d’accord avec Leslie et Juliana… avec l’idée de prendre en compte les articles et les énoncés pour qu’ils ne soient pas ambigus, plus spécifiquement pour les personnes qui vont prendre les décisions les plus importantes pour l’avenir de l’université. Je fais référence à ca, parce que j’ai écouté dans les journaux télévisés, que les décisions clés seront prises par les universités, et non pas par le gouvernement ou les organismes privés, cependant selon Página 54 de 98

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quelques commentaires des étudiants, les décisions clés et la destination du budget, seront‐ils pris par les directives du gouvernement ou les organismes privés. Commentaires du professeur : ** En ce qui concerne la rédaction du texte sur le forum, il ya essentiellement des fautes d’orthographes, et on aurait pu penser que votre intervention serait plus conséquente, nous voulons dire pas aussi courte. Vous ne nous laissez pas beaucoup matière à corriger. Intervention sur le forum Intervention qui a le mérite de soulever le problème de l’ambigüité au moment de lire, d’interpréter et mettre en application les articles de cette loi. Il semblerait que ni les journaux télévisés, ni les organismes de l’éducation publique, ni les étudiants n’en aient la même lecture et compréhension. Ce qui a pour conséquence de dévier la problématique de l’article 111 à la nomination des responsables des institutions éducatives, laissant de côté le problème réel : le financement. Texte original de l’étudiant

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Texte corrigé de l’étudiant Bien que la Loi 30 ne soit qu’une réforme pour régler l’éducation supérieure et « solutionner » les problèmes financiers des universités publiques du pays, le gouvernement a oublié de consulter et discuter avec l’acteur principal: la communauté universitaire. Selon un article de l’Agence de Nouvelles UN les présidents d’université des Institutions Educatives telles que l’Université Nationale, l’Université Jorge Tadeo Lozano, l’Université UDCA, etc. ; ont exprimé leur désaccord en ce qui concerne la décision du Gouvernement donc celui‐ci n’a tenu en compte ni l’avis académique ni l’opinion de ASCUN. De ce fait, quelques présidents d’université avaient demandé de réviser la loi qui régissait l’éducation supérieure car il était nécessaire de modifier et reformuler quelques aspects de l’éducation. Cependant le Ministère d'Education Nationale n'a pas consideré important ni valable le point de vue de la communauté éducative. Página 55 de 98

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Commentaires du professeur : ** Il est intéressant de voir comment vous essayer d’illustrer au niveau linguistique le non respect du gouvernement des démarches à suivre pour faire des réformes dans le système éducatif, par contre, vous avez tendance à laisser glisser vos opinions dans des interférences au niveau de la rédaction, ce qui fait que vous arrivez malheureusement à produire l’effet contraire désiré. Les interférences se retrouvent aussi dans l’utilisation du vocabulaire, de l’orthographe et de la grammaire. Au niveau méthodologique, on peut apprécier votre esprit de synthèse et votre capacité à vous concentrer sur un seul point, c’est bien.et Où est le vocabulaire du changement ? Intervention sur le forum Karla, vous avez raison, il est regrettable de voir que la communauté universitaire ne soit pas prise en compte dans l’article qui nous concerne (N°111). On peut ainsi observer que cette loi jette les bases d’une nouvelle conception de l’éducation avec très peu de participation provenant de la communauté universitaire, que ela est aussi contradictoire avec toutes les politiques de l’accréditation qui vient à intégrer tous les acteurs du système éducatif pour améliorer un cursus. Il serait intéressant de savoir pourquoi ils ont réduit le nombre de personnes au niveau de la gérance, qu’est‐ce que cela a à voir avec le financement, et pourquoi il n’y a plus les étudiants (selon la traduction de César). Seraient‐ils les nouveaux actionnaires. On peut voir lá aussi qu’il y a un grand flou au moment d’interpréter les informations, comme le signalait Carlos. Il faudrait en effet se mettre d’accord sur les positions prises par les universités, que ce soit avec Carlos ou Macie. Ainsi, dans le texte de Jesús Macchi, on a l’impression que l’Unal appuie cette réforme, tandis que dans le votre, elle affirme que l’Unal a pris position contre cette loi, alors, lequel des deux dit juste ? Comment un même article de la loi peut être interprété différemment ? Où est la faille ? Est‐ce cela serait du à une lecture défaillante des articles parus dans la presse ? ou un manque de fiabilité dans les sources portant sur ce sujet ? Texte original de l’étudiant

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Texte corrigé de l’étudiant

La reforme à l’éducation supérieure publique, selon le brouillon présenté par le présidente Santos, cherche à transformer essentiellement les rapports entre le secteur privé et le secteur public en ce qui concerne á la formation de professionnels. Ce genre de bouleversement est possible parce que la nouvelle loi donne un rôle principal aux intérêts des propriétaires du capital, qui décideront où investir leur argent et, en conséquence, seront capables d’influencer sur la prestation du service éducative de la même façon qu’ils le font dans les marches. Cette perspective est exprimée par le recteur de l’Université Nacional en disant que la privatisation se produira sur le cadre de la qualité et sans faire disparaitre la figure d’université publique. Mais, laisser à cette dernière sans moyens (faible et sans budget) et la jeter à la lutte avec les entités privées et le nouveau monstre mixte, produira les mêmes résultats que sa dissolution. C’est‐à‐dire que, permettre au gouvernement la tuer d’une lance avec une loi de privatisation, nous rapportera des conséquences semblables à lui permettre le faire lentement en l’offrant aux vicissitudes du profit des hommes qui ont le seul vice de l’avarice. Finalement, on n’est pas si loin de la vérité si on affirme que la nouvelle loi c’est un outil audacieux, désigné pour réussir, souterrainement, la destruction d’une des dernières possibilités du peuple colombien de sortir de leur état de rusticité, aussi que pour le contrôler avec plus de facilité en cernant définitivement le joug de l’ignorance sur sa tête. Légende des corrections : Vocabulaire orthographe Grammaire Interférence Ponctuation Vocabulaire du changement Commentaires du professeur : ** C’est un texte très riche en vocabulaire et aussi en analyse, avec des fautes au niveau des interférences, ce qui ne semble pas être difficile à corriger pour vous qui aimez travailler sur le style d’un texte Intervention sur le forum

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Il faudrait aussi se mettre d’accord sur les positions prises par les universités. Dans votre texte, on a l’impression que l’Unal appuie cette réforme, tandis que dans celui de Karla, elle affirme que l’Unal a pris position contre cette loi, alors, lequel des deux dit juste ? Où est la faille ? Est‐ce cela serait du à une lecture défaillante des articles parus dans la presse ? Ou un manque de fiabilité dans les sources portant sur ce sujet ? D’un autre côté, vous décrivez une situation assez lugubre pour les universités publiques avec cette nouvelle loi. Mais ne pensez‐vous pas que cela pourrait être pire si on continuait avec la loi 30 ? Ne sommes‐nous pas déjà engloutis sous votre affirmation ?: « Finalement, on n’est pas si loin de la vérité si on affirme que la nouvelle loi c’est un outil audacieux, désigné pour réussir, souterrainement, la destruction d’une des dernières possibilités du peuple colombien de sortir de leur état de rusticité, aussi que pour le contrôler avec plus de facilité en cernant définitivement le joug de l’ignorance sur sa tête » . Une réforme ne nous aiderait‐elle pas à donner un nouveau souffle ? Texte original de l’étudiant Página 58 de 98


Texte corrigé de l’étudiant La distribution du budget national que le gouvernement a décidé de pratiquer dans les dernières années a produit du non‐conformismes chez les citoyens, autrement dit, il n’a pas été si efficient qu’on le pensait car on peut y voir des conséquences du fait que le gouvernement aie donné moins d’importance à l’éducation qu’à d’autres affaires, fait qu’au même temps entraîne des conséquences comme ce qu’aujourd’hui nous devions dépendre du budget privée pour continuer à être éduqués. La loi dont on parle fait référence à la transformation que le système d’éducation supérieur « doit » avoir concernant la nouvelle source d’argent qui emportera un bouleversement du concept d’autonomie par rapport au fonctionnement des institutions. Le point de ce question est de savoir jusqu’à quel point ce budget va diriger le processus d’éducation et de recherche dans les institutions, afin de recevoir des bénéfices majoritairement économiques. Alors on doit se centrer et chercher la vraie cause du problème d’éducation, c'est‐à‐dire qu’on doit savoir si vraiment le pays ne produit pas la quantité suffisant d’argent nécessaire pour améliorer au niveau de l’éducation ou si ce qu’il faut faire c’est de réviser et proposer une réassignation du budget, ce qui implique une regarde minutieuse de tous les aspects concernant la situation socio‐économique du pays dans le but faire une distribution qui soit proportionnelle aux besoins. Légende des corrections: Vocabulaire orthographe Grammaire Interférence Ponctuation Vocabulaire du changement Commentaires du professeur : ** On voit dans votre texte un effort dans l’organisation de vos idées (arguments) et aussi le mérite de suivre un fil conducteur. On remarque néanmoins des difficultés au niveau grammatical, ce qui peut aussi être considéré à des interférences. Il vous faut donc travailler sur ce point. Intervention sur le forum Votre intervention est intéressante car elle essaie d’aller au cœur du problème : l’argent. Cependant, il nous semble un peu hasardeux de confirmer que tous les mals de l’éducation proviennent d’une mauvaise assignation du budget, d’un manque de proportionnalité avec les autres budgets de l’Etat. Par exemple, personne ne se pose la question de savoir si les ressources de l’état dans l’éducation son bien gérées. Qu’est‐ce que nous faisons en tant que professeurs, administratifs ou étudiants pour veiller à cette bonne gestion ? Devons‐nous le faire ? Pourquoi ne pas le faire ? Aussi, il faut voir que la conception de l’éducation a changé. Nous vivons dans un monde globalisé, et toutes les sociétés essaient de se mettre à la page… peut‐être que le gouvernement colombien a besoin de mettre en place ce type de loi pour s’intégrer à ce monde. Página 59 de 98


L’analyse que vous proposez est donc intéressante, mais serait encore plus conséquente si vous essayez d’intégrer ces autres données. C’est un peu comme lorsque l’on analyse la situation actuelle de nos formations. Beaucoup pourrait penser que les bons résultats obtenus aux examens ECAES(aujourd’hui appelés Examen De Estado De Calidad De La Educación Superior SABER PRO )sont dus à la formation donnée par centaines filières, mais personne ne regarde si ces étudiants ne provenaient d’avance de bons collèges. Il est donc nécessaire de prendre en compte tous les facteurs avant d’affirmer quelque‐ chose, même si la tentation est forte. ☺ Texte original de l’étudiant

Texte corrigé de l’étudiant J'ai lu dans "EL TIEMPO" que même si on augmente le budget, les institutions d'éducation supérieure auront un déficit de 300 000 000 millions de pesos. Donc, on a besoin d’une solution effective pour réussir à résorber le problème sans bouleverser tout le système déjà institué dans le pays. Je suis d’accord avec Juliana puisque il aura toute une mutation par rapport à la loi 30 et il faut lire plusieurs fois cette loi de façon qu’il n’y ait aucune double intention. Moi, je suis convaincue que la reforme de la loi 30 soit suffisante pour améliorer la situation des universités publiques. C’est un processus beaucoup plus long et difficile, où toutes les propositions à propos du sujet devraient être évaluées et tenues en compte. Légende des corrections: Vocabulaire orthographe Grammaire Interférence Ponctuation Vocabulaire du changement Página 60 de 98


Commentaires du professeur : ** Petit texte, ma chère, mais avec une bonne réutilisation du vocabulaire du changement. On peut voir quelques fautes de grammaire Intervention sur le forum Nous partageons votre avis concernant les moyens à mettre en œuvre pour améliorer la situation d’un pays : évaluation, intégration de toutes les idées, lecture minutieuse de la loi. Par exemple, la lecture minutieuse nous éviterait d’avoir des confusions quand nous avons deux sources différentes : celle de Macchie, Carlos et Karla, et peut‐être des manipulations de la part de certaines personnes malintentionnées, c’est par la connaissance que l’on peut argumenter par la suite, Peut‐être que les activités que nous avons faites peuvent être une invitation à ce que d’autres personnes le fassent, peut‐être que non, car est‐ce que l’on peut considérer avoir une bonne connaissance de la situation en ayant étudié un seul article, voire deux, de la loi. Que se passe‐t‐il avec le reste ? Et comment intégrer toutes les idées ? Est‐ce que cela intéresse le gouvernement ? Est‐ce que cela intéresse les manifestants ? Quant au concept d’évaluation, nous sommes tout à fait d’accord. Seule celle‐ci peut aider à diagnostiquer les problèmes voir s’il y a une évolution, etc. Mais reste à savoir si tout le monde peut évaluer et sait évaluer. Texte original de l’étudiant

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Texte corrigé de l’étudiant On nous a informé que cette démarche se produisant en ce moment n’est pas une modification mais une loi complètement nouvelle qui restructure le secteur de l’éducation supérieure colombienne profondément. Il existe des personnes qui pensent que la Loi 30 n’est pas ajustée à la réalité d’aujourd’hui ; et justement on peut assurer cela grâce ‘a l’information que nous a donné Juliana : cette loi a été conçue en 1992 et il est discutable si même au présent les articles y présentés sont valables. De ce fait, on peut apercevoir un non‐conformisme qui s’est dénoncé plusieurs fois en assurant que cette loi est devenue un facteur de détérioration de la capacité financière des universités publiques. Il est bien entendu que la Loi 30 n’envisage pas des faits centraux comme l’autonomie ; il existe encore une confusion à propos de la conception des types d’Institutions d’Éducation Superieure; aussi la loi ne contemple pas la position de l’université colombienne dans le monde ; et elle a été rédigée à une époque où l‘université n’était aussi forte en activité investigatrice. D'après ça, ce qui nous faut est de faire un analyse de ce qui propose cette nouvelle loi, critiquer ce qui soit pertinent, se bien renseigner pour faire cela et si possible proposer des améliorations avec des forts arguments. Comme dit le camarade Cesar, il est possible que nous les étudiants ayons un impact dans les prises de décisions de l'Université mais pour que ce soit possible il faut agir d'une façon intelligente. Légende des corrections: Vocabulaire orthographe Grammaire Interférence Ponctuation Vocabulaire du changement Commentaires du professeur : *** C’est un bon texte qui présente des fautes au niveau de la grammaire qui réutilise aussi le vocabulaire du changement sans pour autant innover. L’argumentation est quant à elle très pertinente, avec une Página 62 de 98


grande capacité pour se poser les questions et non pas imposer des idées. C’est par ce chemin que l’on peut faire avancer une discussion. C’est bien. Intervention sur le forum Vous insistez beaucoup sur le fait que la loi 30 est non seulement désuète pour notre contexte actuel, mais qu’elle n’a pas eu les résultats attendus. Il serait bon de savoir pourquoi elle n’a pas fonctionné, pourquoi elle est devenue un « facteur de détérioration de la capacité financière des universités publiques? Comment peut‐on expliquer que de 1992 à 2011, la loi 30 n’ait pas pu élucider la « confusion à propos de la conception des types d’Institutions d’Éducation Supérieures». C’est seulement en ayant les réponses à ces questions que l’on pourra mieux analyser les bien‐faits ou non de la nouvelle loi et se demander en quoi la nouvelle loi va y arriver ? Selon quels moyens ? Comment est envisagée l’assemblée générale d’actionnaires ? avec toute personne confondue ? est‐ce qu’ils auront finalement défini le type d’institutions? Est‐ce que la contribution de partenaires va solutionner le problème de la détérioration de la capacité financière des universités publiques ? Pourquoi ne pas l’avoir fait par l’intermédiaire des impôts ? Votre intervention soulève beaucoup de questions, encore moins des affirmations, c’est une bonne invitation au débat ☺ Texte original de l’étudiant

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Texte corrigé de l’étudiant En 1992, on a créé la Loi 30 pour régler les institutions d'éducation supérieures, Néanmoins, après 19 ans en vigueur, des événements qui rendent obsolet cette loi ont eu lieu, comme le gonflement du nombre de étudiants dans les universités publiques et la stagnation du budget depuis 13 ans. Pour trouver des solutions aux différentes problématiques, le Gouvernement a proposé un brouillon pour réformer la loi qui bouleversera la façon dont on conçoit les intitutions d'éducation supérieure publiques. Le brouillon propose de réformes comme l'introduction de capital privé dans les universités publiques, la création des universités à but lucratif et l'amoindrissement de l'autonomie universitaire. Tout d'abord, le gouvernement autoriserait l'investissement de l'entreprise privée dans les institutions publiques pour qu'ils aident à financer les universités étant donné le maigre budget actuel et aussi pour qu'ils aident à augmenter l'investigation académique, en modifiant le principe qui affirme que les universités pourraient réaliser des travail de conseil pour les entreprises mais sans avoir une association. Ensuite, Le brouillon propose la création des universités à but lucratif qui peuvent investir, s'associer ou créer des institutions d'éducation supérieure, ce point là, aliénerait la conception d'université en Colombie, car l'université est conçue comme une institution à but non lucratif, cela veut dire qu'elles doivent investir en soi‐mêmes les profits obtenus. Finalement, La nouvelle loi veut transformer la conception d'autonomie dans les universités présentant l'idée que le gouvernement puisse contrôler la prise des décision et surveiller l'activité des entreprises investisseurs, cependant, ça diminuera l'importance des opinions des organismes directifs des universités. Enfin, on trouve que ce brouillon mue la nature de la loi 30, il faut avoir une regarde objectif pour juger si cette transformation aura des conséquences négatives ou positives pour l'éducation supérieure de notre pays. Légende des corrections: Página 64 de 98


Vocabulaire orthographe Grammaire Interférence Ponctuation Vocabulaire du changement Commentaires du professeur : *** Vous avez suivi la consigne au pied de la lettre d’où l’excellent travail ! Il faut tout de même faire attention au vocabulaire ! Intervention sur le forum Quand nous lisons votre texte, ce qui nous interpelle est de savoir si la loi est l’outil‐clé pour faire des réformes. Même si la loi 30 avait au départ toute les intentions du monde pour solutionner un cas, on se rend vite compte qu’elle n’a pas eu l’impact attendu, et n’a pas pu faire face à tous les problèmes survenus de 1992 à nos jours. Avant de mettre en place ces lois, il faut voir si elle est adaptée non seulement à la situation présente, sinon aux cas futurs. Un travail de planification rigoureux est donc nécessaire. La loi 30 a connu des difficultés suite à une démographie d’étudiants à laquelle elle n’avait pas fait face. Il faut donc bien prendre en compte tous ces imprévus. En ce qui nous concerne, quels seraient les imprévus qui pourraient apparaitre avec la nouvelle loi ? …..que se passerait‐il si tous les étudiants devenaient actionnaires ? Quel serait le gérant ? pourrait‐il gérer ? Texte original de l’étudiant

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Texte corrigé de l’étudiant Je suis tellement d’accord avec le mot utilisé « gonflement », parce que, si on regarde les chiffres par rapport à la quantité d’étudiants qui sont rentrés, chaque année à l’université, on voit que cet accroissement s’est passé démesurément. En raison de celui‐ci, on peut constater que l’université a vraiment des problèmes par rapport au budget, puisque, même si le nombre d’apprenants est augmenté, pas le budget, alors les administratives on dû faire tout que possible afin que l’université puisse se maintenir. Si on analyse les circonstances, est raisonnable de dire que ce que la Nationale demande n’est que ce que l’université en a vraiment besoin pour accomplir tous ses objectifs comme une institution éducative publique qui doit être protégée et soutenu par l’état et pas par des entreprises privées. Légende des corrections: Vocabulaire orthographe Grammaire Interférence Ponctuation Vocabulaire du changement Commentaires du professeur : ** Mademoiselle, comment voulez‐vous que l’on puisse de faire une idée de votre rédaction sur un texte si mini‐mini ? Intervention sur le forum Nous sommes entièrement d’accord avec vous, l’éducation (tout comme la santé) revient à l’état, et non pas à des organismes privés. Il se peut que ces derniers interviennent dans l’éducation supérieure (stagiaire, étudiants faisant de la recherche, etc) mais pas dans tous les domaines de l’éducation supérieure. C’est la responsabilité de l’Etat, quel qu’il soit. Université Nationale de Colombie Faculté de Sciences Humaines Département de langues Etrangères Premier semestre 2011 Français 5‐Communication écrite Professeur Véronique Bellanger Forum No2 Página 66 de 98


Texte original de l’étudiant

Texte corrigé de l’étudiant Cesar: Chers amis, Merci à vous tous pour vos interventions sur notre premier débat sur la loi 30. Nous vous invitons maintenant à partager vos opinions sur les mesures proposées dans l’article 45 de la loi 30 ‐ Il s’agit d’un autre thème qui nous touche: celui de notre participation dans la vie universitaire !!!! Alors, voici le sujet de réflexion: Si on observe les propositions de la loi 30 ou tout simplement notre situation actuelle concernant notre participation dans la vie universitaire et si on compare avec le cas des étudiants francophones, pouvons‐nous nous considérer comme des étudiants privilégiés? Article 45 de la loi 30 Dans les établissements d'enseignement supérieur public, le Conseil Supérieur est composé de neuf membres: a) Le gouverneur, qui présidera dans les institutions nationales de régionaux, ministère, ou le maire qui présidera dans les institutions de l'ordre municipal ou de district. b) Le ministre de l'Éducation ou son représentant. Dans le cas de l'Université National de Colombie, l'Université nationale ouverte et à distance, et Pédagogique Nationale, l’Université présidera le ministre de l'Education nationale ou un de ses vice‐ministres. Página 67 de 98


c) Un membre nommé par le président, qui doit répondre ou avoir des liens avec le secteur de l'enseignement supérieur. d) Un représentant de la politique scientifique de l'établissement. e) Un représentant des enseignants. f) Un représentant des diplômés. g) Un représentant des étudiants. h) Un représentant du secteur productif et i) Un ancien président de l'école. Le recteur de l'établissement participera par voix consultative mais sans droit de vote. Chaque Haut Conseil a émis ses règles de fonctionnement qu’il doit inscrire auprès du registre national public de l'enseignement supérieur. PARAGRAPHE. Les lois réglementent la qualité, le choix et la période séjour au sein du Conseil Supérieur, les membres visés dans paragraphes d) i) du présent article, qui est élu par le secteur qu'ils représentent. Légende des corrections: Vocabulaire orthographe Grammaire Interférence Ponctuation Vocabulaire du changement Commentaires du professeur : ** Voir corrections faites auparavant. Intervention sur le forum : Vous avez bien choisi votre article, il nous permet d’intégrer les problématiques actuelles des mesures du gouvernement colombien avec le rôle que l’on pourra jouer dans ce nouveau système. Quel sera le champ d’action des étudiants prochainement dans nos institutions? Est‐ce que ce système favorisera l’investissement des acteurs‐clés du changement ? si on compare la place donnée aux étudiants pour qu’ils participent dans la vie universitaire avec celle des pays francophones, pouvons‐nous nous considérer privilégiés? Il semble qu’Angelica, Juliana, Leslie, Carolina, César et Karla nous donnent quelques pistes de réflexions…. Texte original de l’étudiant

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Texte corrigé de l’étudiant Voici mon petit commentaire par rapport au Maron, au Burkina Faso et Colombie: D’après la comparaison parmi les trois pays on peut voir que les étudiants de l’Université Nationale sont privilégiés face aux étudiantes de Burkina Faso qui n’ont pas l’opportunité de contribuer aux reformes éducatives, même pas dans un niveau minimum. Même, si on compare la situation des étudiants ici en Colombie, avec ceux au Maroc, les étudiants là‐bas sont plus privilégiés parce qu’il y a plusieurs faisant partie du Conseil Supérieur de l’enseignement, non comme ici, où seulement un étudiant peut représenter tous les autres dans le Conseil Supérieur. Cependant le cadre d’action, du Conseil Supérieur au Maroc est plus large, parce qu’il est intéressé à tous les problèmes de l’éducation et c’est pourquoi il inclut des membres des tous les milieux éducatifs, primaire et secondaire, non comme celui colombien qui est concerne principalement à l’éducation supérieur. Légende des corrections: Vocabulaire orthographe Grammaire Interférence Ponctuation Vocabulaire du changement Commentaires du professeur : ** Décidément, vous aimez les interventions « minmini. » C’est dommage car vous n’explorez pas suffisamment vos sources, d’autant plus que vous aviez tout de même 3 pays. C’est bien d’avoir un esprit de synthèse, mais il faut aussi étayer votre argumentation. Au niveau linguistique, vous avez du mal à faire la comparaison entre plusieurs éléments, vous avez tendance à commettre des fautes d’interférences. Intervention sur le forum Página 69 de 98


Il semblerait donc que les étudiants du Maroc soient beaucoup plus privilégiés avec le nombre de leurs représentants dans le Conseil Supérieur et l’intégration de tous les niveaux de l’éducation. Mais quel est le rôle que toutes ces personnes jouent dans le Conseil Supérieur, Laura? Est‐ce qu’ils ont un droit de vote ou est‐ce que c’est seulement consultatif ? Il serait bon de savoir pour mieux délimiter leurs champs d’action, et savoir si c’est vraiment représentatif. De toute façon, l’intégration de tous les niveaux d’éducation ne peut être que fructueuse car les universités peuvent s’informer de la réalité des situations éducatives, et non pas former des professionnels sans connaître les besoins réels. Texte original de l’étudiant

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Texte corrigé de l’étudiant D’après moi on est plus que privilégiés si l’on compare notre participation avec celle d’Haïti, puisque la priorité de ce pays est de tout reconstruire après la catastrophe naturelle qui a eu lieu en 2010. Alors qu’en Colombie et au Maroc on peut s’inquiéter d’autres aspects tels que la participation à la vie académique, universitaire, etc. Comme je viens de mentionner, les conditions des trois pays sont très différentes car Haïti n’est pas du tout au même niveau que celui de la Colombie ou du Maroc en ce qui concerne la technologie et l’infrastructure. D’après le livre « Situation actuelle de l’éducation des jeunes et des adultes en Haïti » de Michel Frantz Grandoit, la situation de l’enseignement en Haïti est déplorable à cause d’un manque de Página 71 de 98


cadres dans le domaine éducatif et du très faible niveau de qualification de corps enseignant. De plus, concernant les infrastructures : Le campus universitaire n’est pas l’idéal de part la dispersion et exigüité des locaux des facultés. Par ailleurs, il y a très peu de bibliothèques, de laboratoires, de restaurants et l’accès à l’internet est limité. Par conséquent le taux de désertion d’étudiants est élevé. En revanche, en Colombie et au Maroc, les conditions des campus sont tout à fait appropriées pour que les étudiants puissent participer aux activités offertes par l’institution. Les sites web Il est évident que le moyen le plus utilisé par les élèves qui veulent participer aux différentes activités, est l'internet. On voit ici une divergence très grande car, contrairement à l'Unal et aux universités du Maroc, presque toutes les universités haïtiennes ont un site web assez précaire qui ne donne guère d'information concernant la vie des étudiants. D'ailleurs, la seule information qu'on peut trouver dans certains sites, est « en construction ». C'est‐à‐dire que la participation des étudiants est, d'une certaine façon, mise de côté par les universités de ce pays. La vie universitaire On peut voir une similitude par rapport à la participation des élèves à la pratique de sports parce que c'est une activité dont on est fier dans les trois pays. Les universités Haïtiennes mettent l'accent sur le fait que la vie universitaire se caractérise par les activités sportives. La Nationale a également une participation active dans les sports et elle offre des bourses pour les étudiants qui gagnent aux championnats, donc c'est un bon stimulus entrainant plus de participation. L'université « Ibn Zhor » du Maroc incite les étudiants à participer, en publiant sur la page web toutes les photos des équipes, des matches etc. Par ailleurs, l'une des universités haïtiennes promeut les « vendredis littéraires » qui occupent une place prioritaire parce qu'on peut trouver le lien sur la page d'accueil. L'activité culturelle a été inaugurée en décembre 1994 et ils sont un lieu d'expression et de rencontre offert aux producteurs de textes littéraires. À cet égard la Nationale a aussi cet espace de rencontre qu'on appelle les « viernes de poesia », pourtant la participation des étudiants n'est pas significative. Les conseils : A l'Unal les étudiants ont la possibilité de participer aux plusieurs conseils, donc on a voix délibérative concernant les décisions que l'Université prend. On a le conseil académique, le conseil supérieur, le conseil de faculté, le pre‐conseil des affaires estudiantines, le conseil de bien‐être entre autres. Par contre, l'Haïti compte avec le conseil supérieur et académique seulement. Finalement, le Maroc est à mon avis, un peu injuste car la participation des professeurs est beaucoup plus significative que celle des étudiants, en plus on n'a que les conseils academique, supérieur et de faculté. Alors, on peut affirmer qu'on est définitivement privilégiés par rapport aux universités francophones, car l'importance qu'on nous donne et les opportunités qu'on a, on ne les trouve pas à l'étranger comme on le croit la plupart des fois. Pour conclure, je peux dire que mon point de vue a complètement changé parce que j'étais sûre que les universités francophones étaient meilleures, néanmoins, à travers la recherche que j'ai faite, j'ai appris à apprécier mon alma mater. Légende des corrections: Vocabulaire orthographe Grammaire Interférence Ponctuation Vocabulaire du changement Commentaires du professeur : **** C’est un très bon travail, comme nous vous avions dit…il faut faire attention à la ponctuation. Página 72 de 98


Intervention sur le forum : Angelica, c’est bien que ce travail de réflexion vous ait aidé à mieux apprécier votre université, et voir que vous étiez aussi privilégiée par rapport aux possibilités d’agir, de vous intégrer. C’est en effet seulement grâce à cette connaissance que vous pouvez agir en connaissance de cause. Votre lecture de la situation est intéressante, car vous vous concentrez sur toutes les possibilités de participation, ce qui nous amène à conclure que même si votre université ne permet pas d’intervenir sur la vie universitaire (conseil supérieur), les étudiants ont à leur disposition tout un système de participation qu’ils n’utilisent pas comme en Haiti ou au Maroc. Ils perdent ainsi l’occasion de s’intégrer indirectement à tous les niveaux et celle de garantir que cette participation ait une portée réelle. Il y a certes beaucoup d'acteurs clés du changement en herbe, mais très peu savent profiter de ce que donne leur université. Haiti et le Maroc, en dépit de leur situation, semblent, eux, avoir saisi cette chance. Texte original de l’étudiant

Texte corrigé de l’étudiant D’après l’information que j’ai trouvée à propos de l’éducation supérieure en Belgique et la comparaison que j’ai fait avec celle de la Colombie, notamment à L’UNAL, on peut se rend compte que nous, les étudiants de Philologie et Langues étrangères, sommes privilégiés de participer dans la vie universitaire donc cet institut éducatif nous offre quelques espaces non seulement académiques mais des espaces culturelles, sociaux, sportifs, récréatifs, artistiques, scientifiques et politiques quand‐même. Par rapport aux universités belges, j’ai appris que celles‐ci ont des programmes et des activités de bien‐être qui promeuvent la participation et l’intégration à la vie universitaire, de même ces programmes sont enclenchés dans le but de satisfaire les besoins et les intérêts de la communauté estudiantine. Malgré la situation économique de notre université, celle‐ci a les mêmes critères et objectifs des universités Página 73 de 98


belges. Quant à l’organisation du Conseil Supérieur, chez l’Unal le conseil est composé par 1 étudiant qui nous représente alors que le conseil supérieur d’une université belge est composé par 3 étudiants, alors cela nous montre que l’opinion des étudiants n’est pas si nécessaire au moment de prendre une décision quelconque de notre université ; Pourtant les étudiants de L’Unal peuvent participer aux autres conseils. En ce qui concerne les réformes à l’éducation supérieure, le but de la Loi 30 en Colombie et La Déclaration de Bologne en Belgique est de répondre aux besoins et à la nouvelle dynamique sociale, économique, technologique, démographique et culturelle du pays et du monde. De sorte que c’est nécessaire d’améliorer la qualité de l’enseignement supérieur et augmenter le budget à l’éducation pour qu’elle soit compétitive et puisse contribuer au développement du pays. Mais pour y réussir dans le cas de Colombie, l’investissement de l’entreprise privée et amoindrir l’autonomie universitaire n’est pas de bonnes solutions; Il faut que le gouvernement respecte la position des universités et profite de l’espace de diversité, connaissance et critique des institutions éducatives. Légende des corrections: Vocabulaire orthographe Grammaire Interférence Ponctuation Vocabulaire du changement Commentaires du professeur : * Vous ne répondez pas à la question du Débat, Karla, on vous demandait de savoir si vous vous sentiez privilégiée par rapport aux étudiants francophones en ce qui concerne la participation étudiante. Or, ce que vous faites est plus descriptif. Vous faites aussi beaucoup de fautes au niveau grammatical qui ne vous permettent pas d’écrire un texte fluide. Intervention sur le forum Vous rejoignez l’intervention d’Angelica en abordant tous les types de participation possibles au sein des universités. On voit que la Belgique propose elle aussi un grand éventail d’espaces, en plus de celui de la représentation des étudiants au conseil supérieur. Par contre, on ne perçoit pas votre opinion sur le sujet du débat de la classe. D’un autre côté, pourquoi pensez‐vous que l’’investissement de l’entreprise privée et l’amoindrissement de l’autonomie universitaire ne sont pas de bonnes solutions»? En quoi « ils ne répondent pas aux besoins et à la nouvelle dynamique sociale, économique, technologique, démographique et culturelle du pays et du monde « ? Texte original de l’étudiant

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Texte corrigé de l’étudiant Je crois que c’est difficile d’avoir une seule position par rapport à notre participation dans la vie universitaire en relation avec des autres pays francophones. Pour moi, nous sommes dans un point moyen à propos de ce sujet, parce qu’on a un certain degré de participation dans les décisions de l’université, mais ce n’est pas suffisant quand on compare avec les universités du Québec ou, disons, d’Haïti, bien, on se rend bien compte que c’est tout à fait différent. D’abord, le Québec a un système très différent. On voit qu’il doit avoir 4 conseils différents dans chaque université : le conseil administratif, le conseil universitaire, le conseil des études et le conseil de la recherche. Indépendamment du gouvernement, les universités, même les publiques, ont chacune ces 4 conseils ou la participation des étudiants est active, puisqu’ils font partie importante des décisions de l’université. Lorsqu’on fait la comparaison avec le Conseil Supérieur colombien, on voit déjà que la participation des étudiants et beaucoup moins importante ici, et que la parole du gouvernement décisive pour les actions à prendre. Ensuite, je trouve que les universités au Québec sont beaucoup plus organisés, grâce au nombre de conseils, on peut voir qu’il y a une meilleur administration des universités et on fait grande attention à la recherche et les études, ceux étant différentiés des sujets de l’argent et d’autres nuances. Tandis qu’en Colombie, toutes ces décisions sont prises par le Conseil Supérieur ou des petits comités de faculté où les étudiants ne prennent pas partie des débats et la prise de décisions. Finalement, on ne doit pas faire la comparaison seulement avec les pays plus développés, mais aussi avec les autres pays, comme l’Haïti. Où la précarité et la mauvaise éducation ne permettent pas à l’étudiant de participer activement dans la vie universitaire, en plus qu’on n’en connaît beaucoup de ce sujet à cause de le peu d’information qu’on trouve sur internet. En conclusion, je crois que nous sommes privilégiés dans un certain degré parce qu’on a plusieurs façons de participer à l’université. Cependant, c’est encore insuffisant de dire que nous soyons contents avec la Página 75 de 98


situation actuelle, en comparant les universités du Québec, on se rend compte qu’il y a encore beaucoup de choses à améliorer, donc ce qu’il faudrait faire, c’est emprunter les caractéristiques les plus appropriées pour les adapter dans notre propre système éducatif. Légende des corrections: Vocabulaire orthographe Grammaire Interférence Ponctuation Vocabulaire du changement Commentaires du professeur : *** Votre texte est bien rédigé hormis les fautes d’interférences. Il est en effet bien structuré, avec une progression logique, et respecte la consigne de donner son opinion, et propose des solutions. C’est bien. Intervention sur le forum Analyser notre situation avec le cas Canadien n’est pas si évident quant on voit la conception que les universités de ce pays ont de la participation des étudiants, et de celle de son collège universitaire en général. Il est vrai qu’en Colombie, cela est assez centralisé, et la représentation d’une seule personne au conseil supérieur pour tous les domaines peut difficilement regrouper toutes les opinions, en assurer leur pluralité, et la maitrise presque spécialisée de toutes les problématiques(administratif, universitaire, études et recherche). Un professeur de l’université de Bordeaux disait que celui qui est spécialiste de tout est spécialiste de rien. Texte original de l’étudiant

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Texte corrigé de l’étudiant D’après la comparaison des Statuts universitaires et les lois nationales qui les régulent, on va aborder les différents aspects de ces conseils en démontrant que nous ne sommes pas privilégiés si on se compare avec l’Université de la Polynésie Française. Ainsi, on pourra voir comment les deux universités répondre aux besoins différents. Le premier grand changement à remarquer est le nombre de personnes qui ont des places dans les conseils supérieurs des universités. Tandis que l’Université Nationale de Colombie (UN) a seulement 9 membres, l’Université Publique de Polynésie Française (PF) reporte 28 membres. D’un côté, parmi les personnes qui font partie du conseil de l’UN, il n’y a que 5 membres de l’université ; d’un autre côté, seulement sept personnes ne font pas partie active de la vie universitaire dans la PF. Ici, je crois que deux aspects nous démontrent la thèse principale: 1. Le nombre des personnes qui ne font pas partie de l’université, sont des représentants des différentes secteurs économiques du pays, et non pas comme à l’UN ou seulement il y en a un (privé, comme l’actuel). 2. Comme il existe plus membres en PF et les secteurs économiques travaillent réciproquement avec l’université dont le développement du pays sera la principale raison d’être. Le deuxième grand changement est le pourcentage d’inclusion des étudiants dans la prise de décisions de l’université. Dans la PF, tenu en compte le nombre de personne dans le Conseil, les étudiants ont droit à 5 places, cela rapporte un 17.9% de la représentation des étudiants. Or, l’UN a seulement une place dans le Conseil supérieur, cela montre que ses étudiants ont seulement le 11% de représentation au moment de prendre des décisions. On a ici, pour moi, une des grandes différences entre les deux universités : les étudiants ont l’opportunité d’avoir plus inclusion dans les décisions de l’université, en plus qu’il y a plus voix des étudiants, et non pas une comme à l’UN. Finalement, il est incontestable qu’en termes d’autonomie et de représentation, la PF possède plus avantage que l’UN, et le panorama est plus différent encore si on considère d’autres aspects comme la représentation des professeurs, 42% en PF et 11% en Colombie. Légende des corrections: Vocabulaire orthographe Grammaire Interférence Ponctuation Vocabulaire du changement Commentaires du professeur : *** Vous avez respecté la consigne, en donnant votre opinion sur la base d’un travail de synthèse. C’est un texte court, mais qui reprend pertinemment les informations. Il vous faut faire attention à bien utiliser les adverbes, la présentation des statistiques au moment de comparer. Intervention sur le forum Pour une fois, vous êtes d’accord avec Leslie concernant la grande différence entres les universités quant au nombre d’étudiants qui participent à la vie universitaire !!! Il semblerait donc que le Canada et la PF donnent une espace privilégié pour que les étudiants puissent participer aux décisions de leurs universités. Et ce, au niveau du pourcentage de participation sinon de la qualité de cette participation….Ainsi, tandis que la représentation des étudiants au Canada est presque « professionnalisée » tant de conseils, la PF offre aux étudiants la possibilité de débattre aux côtés d’une grande diversité de représentants du secteur économique, le système actuel de l’Unal les limite à quelques‐uns, ce qui réduit considérablement le contact de la représentation des étudiants avec la vie « réelle » et d'intervenir objectivement. Página 77 de 98


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Texte corrigé de l’étudiant Voici ma réponse au deuxième forum: pouvons‐nous, étudiants de l'UN, nous considérer comme des étudiants privilégies par rapport à ceux des pays francophones? Página 78 de 98


Oui, par apport au pays francophone dont j’ai cherché information à propos de son système éducatif, qui a été l’Algérie, les étudiants de la Colombie sont privilégiés. Nous, les étudiants du cours Français V, avons eu l’opportunité de nous renseigner sur la situation des pays francophones et ensuite de nous mettre à l’analyse des aspects comme les reformes académiques ou participation estudiantine à l’université afin d’avoir des éléments forts pour argumenter notre point de vue. De cette façon, l’exercice m’a permis de me rendre compte que, en dépit des souffrances dans notre système éducatif, les étudiants des universités publics colombiennes sont un pas en avant si l’on compare avec ceux de l’Algérie. Par exemple, en observant premièrement l’organisation administrative de ces deux pays on trouve que, bien qu’il y ait une basse participation des étudiants à l’UN –il existe le Conseil Académique Supérieur ou l’on trouve un représentant estudiantin quand même‐ les étudiants de l’Université d’Alger n’ont pas clairement une poste d’intervention parce qu’il n’y a même pas un organe pareil ! De ce fait, un point de comparaison se situe aux réactions des étudiants suivant des études supérieurs envers leur situation, spécifiquement dans le cas de reformes éducatives : La Colombie et l’Algérie ont subi différents processus (tenons en compte les forts problèmes sociaux et politiques qui ont affecté la société algérienne) de sorte que, les reformes ici appliquées, après l’indépendance algérienne, cherchent à améliorer le rendement scolaire et de pallier aux carences de l’ancien système éducatif qui se manifestait par un taux très élevé de déperdition et d’échecs scolaire affectant ainsi toute sa société ; mais c’est un processus qui est encore en cours et les plus touchés, sans doute, sont les étudiants dont le moyen à portée de la main est la proteste et la grève pour élucider leur mécontentement. Alors on se pose la question : comment les étudiants se manifestent en Colombie ? Est‐ce que les moyens utilisés sont valables ? On sait qu’aussi en Colombie il est remarquable les protestes, les grèves, les blocages et même la violence publique de la part des étudiants (vraiment des étudiants ?) qui refusent les injustices ; pour approfondir un peu sur ce point là, posons un regard sur la qualité éducative tant de la Colombie comme de l’Algérie : d’après des documents et des forums sur internet, j’ai trouvé qu’en Algérie il est difficile de poursuivre une éducation de bonne qualité et les étudiants mettent en évidence leurs non‐ conformisme envers le système quand ils se rendent compte des désavantages qu’ils ont par rapport aux autres pays francophones au moment où ils préfèrent laisser leur pays pour suivre des études à l’étranger. Maintenant, quoi par rapport à la Colombie ? Même si c’est vrai qu’en Colombie on sent aussi un non‐conformisme il faut « se mettre dans la peau de l’autre » en voyant la difficile situation et les témoignages des algériens. Est‐ce qu’on se sent tellement mécontent avec l’éducation colombienne à tel point de rejeter l’enseignement qu’on suit? On doit donc profiter de ce qu’on a accès et faire de son mieux pour exploiter les ressources qui offre la Colombie.Enfin, à mon avis, il est nécessaire d'avoir un regard critique et non négativement explosif envers notre situation, une réflexion de nos actions et réactions en qualité d’étudiants et surtout en qualité de citoyens,d'êtres sociales, de colombiens. Légende des corrections: Vocabulaire orthographe Grammaire Interférence Ponctuation Vocabulaire du changement Commentaires du professeur : **** C’est un texte très spontané très riche en informations, il faut faire attention aux interférences !!! Bien pour la sitographie…. Intervention sur le forum Carolina, La participation des étudiants dans les universités est souvent considérée en termes de représentation aux conseil(s). Nous partageons votre vision, car elle nous invite à réfléchir sur un autre Página 79 de 98


type de participation : celui de l’accès à une bonne formation. Il est vrai que si en Algérie, ils n’ont pas un minimum de conditions pour se former (qualité des cours, accès aux ressources….), sur la base de quels savoirs, savoir‐faire, savoir‐être, peut‐ils intervenir? Nous sommes très loin ici en Colombie de cette situation. En donnant de bonnes bases dans la formation des étudiants, ne leur donnent‐on pas de bonnes bases pour participer aux décisions des universités ?l’Unal n’est‐elle pas privilégiée dans ce sens de part la qualité de ses cursus ? http://www.guiaacademica.com/educacion/personas/cms/colombia/noticias_academicas/2010/ARTICU LO‐WEB‐EEE_PAG‐8788421.aspx Texte original de l’étudiant

Texte corrigé de l’étudiant À mon avis, on doit tenir en compte quelques aspects pour dire si nous sommes vraiment privilégiés si on compare avec des pays comme Burkina‐Faso et Maroc, comme les fonctions et priorités des institutions gouvernementales qui sont en charge de régler les politiques éducatifs ; et le contexte politique dans lequel se trouve chaque pays. En premier lieu, dans le cas de Burkina‐Faso, il y existe le Ministère des Enseignements Secondaire, Supérieur et de la Recherche scientifique (MESSRS), où appartiennent les Conseillers d'Education (CE) qui sont les fonctionnaires élus par concours et qui ont en charge la prise de décisions. Dans cette organisation il n’y a pas un représentant des étudiants car il ne existe pas une politique qui permette l’insertion des étudiants dans les conseils, parce que le but actuel du gouvernement est améliorer la politique langagière dans les écoles primaires. Tout au contraire à la situation colombienne dont l’objectif est développer l’investigation dans l’éducation supérieure avec une réforme de la loi 30. Cependant, on ne peut pas affirmer catégoriquement que la participation estudiantine est mise à côté Página 80 de 98


au Burkina‐Faso, car on doit tenir en compte que le pays est dans un processus différent, où l’accent des politiques gouvernementales est sur l’augmentation du nombre des personnes alphabètes. Dans le cas de Maroc, il y a plusieurs représentants des étudiants dans le Conseil Universitaire, mais la raison pour laquelle il y en a beaucoup c’est que ce conseil ne s’occupe pas exclusivement des universités, mais aussi des tous les institutions éducatives, le Ministère d’Éducation est concerné également par l’éducation primaire et secondaire. En deuxième lieu, La situation politique dans les trois pays est différente. Par rapport au contexte politique du Burkina‐Faso, il faut tenir en compte que le pays est en train de changer la politique langagière des écoles primaires, car les personnes ne veulent pas que leurs enfants étudient seulement la langue imposée par un pays colonisateur, donc le gouvernement envisage ses actions sur une augmentation du nombre des pays bilingues pour qu’il y ait plus participation de la culture autochtone du pays. Il y a une situation semblable au Maroc, les personnes ne veulent pas étudier avec une langue étrangère comme le français car pour eux, cela serait permettre l’invasion su néocolonialisme dans leur territoire. Tout au contraire en Colombie, où le conflit n’a rien à voir avec la langue mais avec les décisions du gouvernement. Finalement, je crois que nous sommes privilégiés par rapport à la participation estudiantine si on fait une comparaison avec un pays comme Burkina‐Faso où il n’y a pas des représentants des étudiants, mais il faut être conscient qu’on fait tous un processus différent. Au futur, Burkina‐Faso aurait des représentants des étudiants, peut‐être en Colombie, nous aurions plus de participation dans les organes administratifs. Légende des corrections: Vocabulaire orthographe Grammaire Interférence Ponctuation Vocabulaire du changement Commentaires du professeur : **** C’est un texte posé avec un très bon niveau de langue, sauf pour la fin, on ne comprend pas la dernière phrase. Intervention sur le forum Juliana , Vous abordez un sujet dont personne n'a parlé : celui de la participation liée à l’’identité. Tandis qu’au Burkina Faso les manifestations sont en relation avec le besoin d’être reconnu, en Colombie, il semblerait que cela soit plus pour accomplir une fonction «politique». Cela ne veut pas dire pour autant que l’identité n’est pas prise en compte dans les représentations des étudiants. Ce n’est peut‐être pas un besoin si fort qu’au Burkina Faso….Aussi, nous sommes d’accord sur la difficulté dont vous parlez au moment de comparer plusieurs situations. Il est donc nécessaire de prendre en compte tout cela pour ne pas biaiser toute analyse. Website Forum 1 et 2 Carlos Medina www.unperiodico.unal.edu.co http://www.unperiodico.unal.edu.co/dper/article/respuestas‐equivocadas‐en‐la‐reforma‐a‐la‐ley‐de‐ educacion‐superior/ http://www.unperiodico.unal.edu.co/dper/article/una‐reforma‐incompatible‐con‐la‐realidad‐nacional/ Página 81 de 98


Cesar www.loraineadarraga.globered.com En disturbios terminó celebración del Día del Trabajo en Bogotá ‐ eltiempo.com http://prensauniversidad.blogspot.com/2011/05/evidencias‐del‐seguimiento‐de‐la.html Ļa Vië Carõlinę http://www.mineducacion.gov.co/1621/articles‐85860_archivo_pdf.pdf http://www.youtube.com/watch?v=sGbpdwd0HPY&feature=player_embedded#at=220 Veronique Bellanger http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/_91960.html http://www.agenciadenoticias.unal.edu.co/educacionsuperior http://www.lepoint.fr/monde/belgique‐record‐mondial‐de‐la‐crise‐politique‐celebre‐par‐une‐ revolution‐de‐la‐frite‐17‐02‐2011‐1296368_24.php http://www.rdfaenligne.com/oic http://www.ciep.fr/ries/introries45.pdf http://www.unesco.org/education/educprog/wche/principal/ag‐21‐f.html http://www.cemea‐npdc.org/vie‐mouvement/les‐enjeux‐de‐transformation‐politique‐de‐ l%E2%80%99education‐populaire‐fin‐ou‐renaissance/ www.cemea‐npdc.org http://www.nouvelleuniversite.gouv.fr/‐livret‐les‐clefs‐de‐la‐reforme‐des‐universites‐.html http://www1.oxfam.qc.ca/sites/oxfam.qc.ca/files/Quest‐ce‐que‐la‐cooperation‐internationale.pdf www1.oxfam.qc.ca http://blog.crdp‐versailles.fr/usagestice92/public/RTC/jt‐rtc.pdf blog.crdp‐versailles.fr www.issuu.com/veronique.bellanger http://www.google.fr/search?hl=es&xhr=t&q=cam%C3%A9l%C3%A9on&cp=8&bav=on.2%2Cor.r_gc.r_p w.&um=1&ie=UTF‐8&tbm=isch&source=og&sa=N&tab=wi&biw=1538&bih=689 http://fr.news.yahoo.com/concilier‐lislam‐sport‐québécoise‐lance‐hidjab‐sportif‐052336717.html http://www.youtube.com/PlaneteReporter#xtor=AD‐32280428 www.youtube.com/planeterepor Gigliola Vil www.operacionurbana.com www.linternaute.com www.clemi.org www.amherst.edu Leslie Johanna Florez Lindarte http://www.eltiempo.com/revista‐credencial/ARTICULO‐WEB‐NEW_NOTA_INTERIOR‐9257001.html Heiner Mercado Percia http://www.elespectador.com/impreso/negocios/articulo‐269984‐construccion‐sostenible Página 82 de 98


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Charte de la classe pour la présentation de votre travail: Respect/Tolérance * Faire attention au vocabulaire utilisé * Ne pas se moquer * Ne pas imposer ses idées * Parler avec des arguments * Harmonie : point minimum d’accord (caractérisation) * juste

Projet : Problématique: Est‐ce que nous, étudiants de l’Unal sommes des acteurs clé du changement ? Objectifs: o Inciter à la réflexion pour devenir acteur clé o Démontrer que les étudiants de l’Unal sommes des acteurs clé du changement o développer la compétence argumentative Produit : journal télévisé Comment allons‐nous travailler ? Dates : Etablir des dates pour que le projet soit bien organisé, Respecter les délais

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Dates Mardi 26 avril

Jeudi 28 avril

Activités Réflexions Bien connaitre la problématique commune étape Présentation des personnages clés préliminaire comment on fait un journal ? - Diversite : Cesar : chronique Plan de Juliana : telesur notre Laura : Tv espagnole travail Calos : citi‐tv Leslie: cnn Angelica: tv5 Liliana: caracol alejandra:cable noticias Carla:cmi carolina:prisma tv Comment on va le faire: - Temps : combien de temps du journal…. ? alejandra, carlos - Sections : juliana,laura - Lieu: liliana, carolina - débat, monologue: césar,angelica - nom du projet : Carla - Définir (diviser)le rôle de chaque personne pour faite le journal ? - invitès : Savoir de quoi on va parler Construction du type de personnage Trouver les moyens techniques Edition du journal diffusion : plusieurs lieux (google, youtube, club de Página 85 de 98

responsables tous tous jose

leslie

tous individuel liliana


français) Caractérisation de nos acteurs clés : Quelqu’un qui fait quelque‐chose que personne ne ferait Qui inspire la liberté Qui soit un exemple Qui donne un appui Qui a une portée Qui inspire une réflexion Action continue Altruiste

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DEVOIRS DEVOIRS DEBATS Document de la classe Français écrit V Mardi 12 avril 2011 Question principale du projet : Est‐ce que nous, étudiants de l’Unal, sommes des acteurs clés du changement? Activité proposée par la professeur Véronique : Problématiser, c’est‐à‐dire le fait de poser de questions qui permettront d’éclaircir, de répondre à la question principale. Ci‐dessous les questions proposées pendant la classe : • Est‐ce qu’une personne qui ne travaille pas (un étudiant) peut avoir une vision suffisamment juste et réelle pour apporter un bouleversement dans la conception de la reforme ? • Est‐ce que le fait d’être de l’Unal nous rend plus sensibles de transformer notre réalité ? • Est‐ce que le fait d’être de l’Unal nous donne plus de responsabilité ? • Est‐ce que nous les étudiants pouvons influencer le progrès de l’Unal ? • Est‐ce qu’il faut que nous soyons de l’Unal pour être concernés par la problématique de l’éducation ? Página 87 de 98


• Est‐ce que les étudiants de notre génération sont plus engagés que ceux d’avant ? • Est‐ce que notre engagement doit se limiter à la vie universitaire ? • Est‐ce que les actions faites par les étudiants d’autres générations sont valables aujourd’hui ? • Est‐ce qu’il reste encore un rôle à jouer à votre génération ? • Qui suis‐je pour évaluer cela ? Questions des étudiants sur la marche : • Est‐ce que l’engagement est égal dans tous les sièges de Caractérisation de l’Unal ? (Jose) l’engagement : Bogota ≠ Amazonie. - Limites (géographiques, • Est‐ce que le simple fait de se plaindre est suffisant pour domaines) transformer la réalité ? (César) - Types d’action Non, besoin de connaître la situation au - Quoi préalable ! Contextualisation (génération) On suit un processus. • Est‐ce que l’engagement est nécessaire pour un acteur clé ? (Carlos) Autres ambitions. • Est‐ce qu’il y a maintenant un affaiblissement de l’engagement à l’Unal ? (Leslie) Autres générations, autre mécanisme. • Est‐ce que les mobilisations déjà faites par les étudiants, aux yeux des personnes dehors de l’Unal, sont valables pour la transformation du pays ? (Carolina) Vision de l’extérieur. • Est‐ce qu’être acteurs clés du changement signifie s’intéresser seulement aux problèmes de l’éducation ? (Laura) Autres projets différents. • Est‐ce qu’il faut appartenir à une certaine classe sociale pour être révolutionnaire et améliorer les questions du pays ? (Juliana) Bourgeoisie. • Est‐ce que les étudiants sont les acteurs clés, ou l’Unal est par soi‐même une actrice clé ? (César) Conscience critique. • Est‐ce que nous les étudiants sommes bien renseignés au moment de se plaindre ou manifester contre des résolutions ou décisions prises pour les instances supérieures de l’Unal ? (Karla) Manque d’information. Questions envoyés Leslie Quelle type d'actions possibles pourraient toucher le plus les étudiants de l'UNAL? Est‐ce que tous les étudiants de l'UNAL sont engagés à elle d'une ou d'autre manière? Est‐ce qu'il est valable seulement penser à obtenir un bon travail à travers d'un diplôme de l'UNAL? La révolution, est‐elle possible aujourd'hui? Est‐ce qu'il est possible que les étudiants des universités privées soient aussi engagés aux universités publiques? Carolina Página 88 de 98


Est‐ce que les personnes dehors de l’Université trouvent aux étudiants de l’Unal comme développeurs actifs et positifs de la société ? Est‐ce qu’un étudiant de l’Unal croit avoir la capacité d’améliorer ce qui l’entoure ? Est‐ce qu’on peut considérer qu’il existe à l’Unal plus d’agents du changement que ceux qui ne le sont pas ? Laura Est‐ce que les étudiants sont indispensables pour améliorer la situation de l’université ? Carlos L’engagement est complètement nécessaire pour un acteur clé ? L’UNAL développe la formations des acteurs clé? L’UNAL limite le développement d’un acteur clé? Devoirs panels d’idees De: Karen Maria Angelica Pena Cardenas <kmpena@unal.edu.co> Para: Veronique Bellanger <veronique_bellanger@yahoo.es> Enviado: sáb,19 marzo, 2011 17:58 Asunto: devoir profesora aqui esta mi tarea gracias CHARTE: 1. Etablir des dates pour que le projet soit bien organisé. 2. Etablir les rôles de chacun, pour que chaque personne sache exactement ce qu’elle doit faire 3. Se renseigner beaucoup si par exemple on analyse la loi 30 4. Concevoir le projet par écrit 5. Définir les objectifs du projet. ACTIONS POUR FAIRE UN CHANGEMENT : 1. Faire les devoirs 2. Aller aux réunions de la Faculté de Sciences Humaines 3. Appartenir à une communauté qui vise à changer quelques aspects de l’université 4. Travailler à l’université 5. Profiter des bourses et des opportunités que l’université offre aux étudiants 6. Ne pas abimer les tableaux, les tables, les chaises 7. Ne pas peindre sur les murs ou écrire sur eux Página 89 de 98

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8. Obéir quand on nous demande de montrer le carnet, ou d’ouvrir les sacs, ou de rester en dehors de l’université. 9. Enregistrer les objets à l’entrée 10. Répondre aux enquêtes par rapport aux professeurs ou aux changements à l’université. De: Leslie Florez <lulu.sensei.sama@gmail.com> Para: veronique_bellanger@yahoo.es Enviado: jue,17 marzo, 2011 21:48 Asunto: La réponse à la question du projet Bonsoir, Je vous écris pour vous répondre à la question "Est‐ce que nous, étudiants de l'UNAL sommes des acteurs clés du changement?". Bon, je parle au nom de 4 de nos copines (Paula Alejandra Arévalo, Juliana Huertas, Carolina Parra et Lauva Victoria Ramírez) et moi pour vous répondre que ce n'est pas facile de trouver des exemples et des arguments pour dire si c'est vrai ou faux. Donc, c'est pourquoi nous nous sommes mises d'accord pour proposer une solution. Voilà que nous avons trouvé que l'on comprend acteur clé. Il s’agit d’une personne qui fait partie du développement d’un projet, celui qui est capable de développer une série d’actions qui permettront d’acquérir les objectifs du projet. On peut justifier ce qu’on vient de dire avec la définition du mot « Acteur » donné par le dictionnaire en ligne cnrtl.fr : « Celui qui joue un rôle important, qui prend une part active à une affaire » C’est‐à‐dire que c’ est la personne chargée d’exécuter des tâches déterminentent pendant les processus nécessaires pour la réalisation du projet. Donc, nous pensons à ce projet comme une façon de démontrer que les étudiants de l'Université Nationale peuvent être des acteurs du changement dans la société, soit dans où en dehors de l'espace universitaire. Il est certain qu'à l'Université, ils existent des personnes qui sont concernées, de diverses manières, à la mise en marche des actions qui peuvent générer un effet positif dans les contextes où elles sont destinées et appliquées. D’abord on fera un travail de recherche à propos des étudiants qui sont engagés dans un projet sérieux, soit ce dernier envisagé où déjà crée, à fin d’avoir les plus d’expériences et témoignages possibles. Ainsi qu’on veut montrer aux spectateurs les actions possibles, actions qu’ils peuvent prendre à leur tour afin d’entretenir une meilleure vie en commun dans les espaces universitaires. Finalement, nous voudrions savoir si vous pensez que c'est une bonne idée ou pas. Ou s'il y a des choses à corriger ou à spécifier. En attendant votre réponse, nous vous en prions d'agréer nos salutations respectueuses. Página 90 de 98

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Paula Alejandra Arévalo Leslie Johanna Florez Maria Juliana Huertas Carolina Parra Laura Victoria Ramírez De: Cesar Augusto Carranza Aristizabal <ceacarranzaar@unal.edu.co> Para: Veronique Bellanger <veronique_bellanger@yahoo.es> Enviado: jue,17 marzo, 2011 21:26 Asunto: Devoir RÈGLES POUR LE PROJET: 1. Penser que le projet est réalisable. 2. Avoir une conscience critique vis‐à‐vis des différentes situations. 3. Comprendre qu’on est dans un débat, et qu’on oppose des idées, pas les personnes. ACTEUR DU CHANGEMENT. Un acteur du changement est une personne capable d’analyser les différents processus de ce qu’il veut changer, et de créer des sorties ou aides à partir de la compréhension du phénomène. César Augusto Carranza Maria Juliana Huertas 17 mars 2011 Règles pour le projet: 1. Le projet sera une partie très importante de nos activités académiques de cette semestre, il ne sera pas laissé de côté et nous serons engagés envers lui. 2. Respecter les délais accordés avec les copains pour rendre les activités prévues. 3. Nous devons être responsables des devoirs assignés. Si une personne ne fait pas les devoirs concernant le projet, ça empecherait le développement du projet, même si les autres copains font de leur mieux. 4. Il faut éviter de toucher des sujets très personnels comme la religion, cela garantira l'harmonie dans le groupe et éviter des disputes qui peuvent faire du mal aux autres. Acteurs du changement pour le projet: ‐Les étudiants appartenant à l'Université Nationale qui font des projets sociaux. ‐Nous, les étudiants appartenant au cours de français 5. ‐Étudiants qui ont un sens critique dans les sujets problématiques concernant à l'université et qui créent des éspaces pour discuter et réfléchir sur eux, pour qu'on fasse prendre conscience. Activités qu'on fait tous les jours: ‐Faire les devoirs. ‐Écouter les problèmes des amis et copains et aider à trouver une solution. ‐Recycler des matériaux. Página 91 de 98

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‐Faire le ménage à la maison. ‐Discuter à propos des sujets politiques et sociaux. ACTE DE LA CLASSE No 001 Le mardi 22 mars 2011 la professeur Véronique Bellanger et les étudiants du cours Français Oral 5, se sont réunis dans le but de discuter et réfléchir sur la question: Est‐ce que nous, étudiants de l’Unal, sommes des acteurs clés du changement? Pourtant avant de répondre à cette question on a posé trois critères et des caractéristiques pour bien l’analyser: • Qu’est‐ce qu’un acteur clé du changement? o Un ensemble de personnes et d’idées o Une personne critique, observatrice, analytique o Une personne engagée o Appui o Acceptation par la communauté o Avoir une relation avec le passé o Formation académique affectation, responsabilité o Une personne créative, imaginative, active o Une personne informée sur la situation sociale • Quel type de changement peut‐être? o Positif, négatif o Petit/ grand o Une transition, tolérance, social, politique, culturel, académique, économique • Qui et comment on évalue le changement? o Est‐ce que si on est aimé, on est un bon acteur? o Nos intérêts : qui le fait? qui le reçoit? o Conséquences du changement : amélioration, éradier un problème. Après la Prof Véronique a lu quelques opinions des étudiants par rapport à ce qui est un acteur du changement : Juliana a pensé que les acteurs du changement sont « des étudiants qui font des projets sociaux, en plus ils sont engagés avec le changement social et ils ont un sens critique » ; alors que Laura a dit que: « avec des petites actions on devient acteur du changement ». Mais Karen a dit qu’en participant dans les activités de l’Université, en assistant aux réunions de la Fac, en faisant les devoirs, en profitant les bourses, etc. on est acteur du changement. Página 92 de 98


Quant à Leslie et Caroline, elles ont proposé de faire une recherche sur les étudiants qui font de projets à l’université, par contre César a proposé d’analyser la Loi 30 de l’éducation supérieure. Finalement grâce aux points de vue de ces étudiants, la prof nous a demandés de chercher et présenter pour jeudi prochain des personnes étant où n’étant pas acteurs clés du changement, et réfléchir sur nous‐mêmes en tant qu’acteurs du changement dans la vie quotidienne. Karla Villamarín Acte de classe No. 2 25 Avril 2011 leslie Pour le journal télévisé, nous avons mis en commun un nombre de caractéristiques de chaque journal télévisé et on a commencé à discuter lesquelles de ces caractéristiques étaient plus appropriées pour notre projet. Personnages (Rôle, familier, sentiment): • 1 présentateur ou plusieurs (3) selon les nouvelles • 2 invités – 1 sur le plateau, autre en dehors du plateau. Débats ou information. • Envoyés spéciaux Temps : • 1 heure • Horaire = nocturne, du matin, midi • 21 minutes • Reportages = de 3 à 5 minutes Lieu : • Sur le plateau • Ambiance spontanée • En dehors du plateau • Blanc et bleu Página 93 de 98


• Musique = Aucune ou plusieurs • Attirant • Écran = Beaucoup ou pas du tout Public : • International • Francophone = à l’étranger = expatriés, Afrique, Canada • Espagnole • Hispanophone • Colombien = tous, femmes, la famille, etc. • Bogotá • Université National • Des étudiants de philologie Caractéristiques : • Calme • Mélangé De quoi ? • Transport • Culture • Interview • Plein de choses • Santé • Reportages • Recettes • Résumés • Enquête • Économie Quoi ? (En fonction de ce qu’il a été dit avant) • Images = Beaucoup, très fortes, en relation avec le texte. • Information utile, précis, sérieuse Ordre = pas défini Acteurs : • Présentateurs • Éditeurs • Directeur • Journaliste

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Étapes avant le journal : • Réunion avec les journalistes • Prise en compte de la sensibilité politique • Nombre de reportages identiques = partagés • Reportages brefs • Pas d’approfondissement • Script improvisé avec la téléprompteuse • Faire une synthèse, résumé des actualités L’objectif est encore à discuter= Inciter à la réflexion pour inciter à devenir un acteur clé du changement. Idées complémentaires : • On peut mettre des sous‐titres en espagnol pour pouvoir le diffuser plus. • Le journal doit avoir reportages, un débat et une enquête minimum. • Tout le monde va travailler sur tout le projet, mais il y aura des petits groupes d’étudiants qui travailleront sur les différentes sections. JEUDI ON FERA, SI POSSIBLE, LA DISTRUBUTION DE RÔLES POUR LE JOURNAL TÉLÉVISÉ. MARDI PROCHAIN ON AURA UN SIMULACRE D’UNE CONFÉRENCE DE JOURNALISTES POUR CHOISIR LES SUJETS DONT ON VA PARLER. Finalement, réfléchir sur la question : Comment montrer que c’est une réflexion et pas une imposition ? ACTE DE CLASSE NO. 3 04 Mai 2011 leslie D’abord, on a mis en commun nos rôles dans le journal télévisé. Ensuite on a commencé à parler des tâches de chaque groupe. On a parlé avec Angélica à propos son documentaire sur des acteurs clé du changement à travers l’histoire de l’Université. Nous avons donc accordé qu’il y aura une interview avec Maria Elvira Naranjo, mais aussi, on montrera la vie de 3 personnages plus. On a encore à faire le choix des acteurs clé. Puis, on a discuté à propos du sujet du débat. Il y a encore beaucoup de confusion à propos de ce qu’on va faire, donc les membres du groupe Jose et Alejandra doivent proposer une chose beaucoup plus définie. Véronique leur a proposé aussi de penser à un reportage de 2 minutes au maximum pour inciter à la discussion du sujet.


On a, cependant, été d’accord avec le temps pour chaque actualité : 5 minutes environ, pour faire une vidéo finale de 30 minutes de durée. Finalement, il y a encore quelques questions pour discuter : • On envisage quel type de public ? • Quelles vont être les dates de remise de devoir? • Qui vont être nos acteurs clé ? Pour définir les réponses, on a dit que demain, jeudi 5 Mai, on devait apporter des différents personnages et les critères qu’on a déjà défini en classe pour évaluer si sont des vrais agents clé ou pas. Paramètres Leslie‐Carlos Titre : Groupe : L’objectif principal : Inciter à la réflexion pour devenir acteur clé Durée estimée : entre 4 et 6 minutes Format : (Liliana) Sujet : Personnage(s) présenté(s) : Activité: Plan de réalisation (avec dates de chaque activité2) : Lieu : 2

Rappelez‐vous que la délai c’est jusqu’au 21 mai, pour qu’on puisse éditer la vidéo en temps.

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Comment allez‐vous faire votre journal télévisé ? 1.

La réunion a. réflexion sur ce qui va se faire ou non : acteurs clés b. travail d’équipe : respect, minimum d’accord, c. temps, discuter les images, Présentation, présence de tous, synthèse des informations, 2. idéologie : a. réflexion b. objectif c. information 3. Quoi ? qu’est‐ce que l’on va faire pour atteindre notre objectif ?(inciter à la Réflexion sur les enjeux des acteurs clés dans notre faculté). Directeur connait toutes l’info, aide les carlos d’information journalistes Présentateurs laura Journaliste Reportage historique Angelica karla Correspondant (extérieur) Carolina Débat Alejandra y josè Enquête‐micro‐trottoirs Juliana y cesar Editeurs de donnent leurs avis Leslie et Liliana l’information partie technique a. Qui fait quoi ? a. Journalistes: présentent des sujets, donnent leurs avis : 1. Correspondant 2. présentent des sujets, donnent leurs avis Página 97 de 98


3. Mots clés b. : 1. Vocabulaire : Karla c. laura 4. La préparation des écrits, reportages, actualités, 5. Edition‐correction 6. Réalisation Website http://www.4shared.com/get/G61Sus9E/Techniques_and_Principles_in_L.html

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