SMART Magazine # 17

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ARCHITECTURE - DESIGN - FRENCH TOUCH MARRAKECH EDITION -

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PIERRE LOUIS MASCIA



© La Mamounia - Marrakech

É D ITO

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Ce magazine semestriel est édité par : Éditions Iconiques SARL au capital de 1 000 € 46 bd des Brotteaux, 69006 Lyon T. 06 80 84 98 56 E-mail : editionsiconiques@gmail.com www.editionsiconiques.fr ediconiques

editionsiconiques

Dépôt légal : à parution N°ISSN : 2257-1221 Tirage : 8 000 exemplaires. Diffusion : envoi postal (6 000 ex.) et 2 000 ex. en réseau sélectif (restaurants, hôtels, boutiques...) en Région Auvergne-Rhône-Alpes Directeurs de publication associés : Philippe Bettant, Pierre Bonnet Directrice de la rédaction : Sophie Guivarc’h Directeur artistique : Manuel Fernandes A participé à ce numéro : Marine Henault Conception Graphique Maquette & Mise en page : MOG DESIGN www.mog-design.com La rédaction n’est pas responsable des textes, illustrations et photos qui lui sont communiqués par leurs auteurs. La reproduction totale ou partielle des articles ou photos publiés dans Smart Magazine est interdite sans accord écrit préalable de la société éditrice.

Céder à la tentation Si le syndrome de la page blanche est la terreur de tout journaliste, il faut bien le reconnaître, la rédaction des Editions Iconiques peut se réjouir des multiples sources d’inspiration qui participent au bonheur de réaliser cette nouvelle édition de Smart Magazine. Pas un jour sans une nouvelle idée, une rencontre qui nous anime, une visite qui nous séduit… Lyon est en effervescence, mine de sujets en instance, d’ouvertures qui suscitent notre curiosité. Des lieux mais aussi des hommes et des femmes qui mènent des projets contre vents et marées, ambassadeurs de l’art de vivre à la française, de Megève au Beaujolais.

Mais si nous tenons à valoriser la France que l’on aime à travers son savoir-faire, son terroir, son patrimoine, ce n’est pas sans un enthousiasme assumé que nous partons à la découverte de contrées plus lointaines. Aller simple cet hiver pour Marrakech, ville de couleurs, de senteurs et de contrastes. Sur les traces d’Yves Saint Laurent elle se dévoile singulière et plurielle et toujours attachante. Qu’on en convienne, cette 17ème édition est une invitation à la gourmandise, au voyage, à la tentation… On vous aura prévenu !

Smart 46 bd des Brotteaux, 69006 Lyon T. 04 78 24 54 93 www.smart.fr

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S OMMAIRE

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MARRAKECH EDITION VILLE DE COULEURS ET DE SENTEURS M A R R A K E C H V I BR E E T NOUS ENIVRE.

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NEWS

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Yves Saint Laurent et Marrakech

ÉVÉNEMENT

Coup d’éclat pour la boutique, Smart Femme s’offre un nouveau make-up !

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WHAT TO VISIT ? Le musée YSL marrakech Le Jardin Majorelle Insiders Le Jardin Secret

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ART

WHERE TO STAY ? La Mamounia Riad Dar Kawa L’Hôtel Marrakech Riad Tarabel

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WHERE TO SHOP ?

Kulchi : Tapis et plus encore… Yahya : Sculptures de lumière The Moroccans Chabi Chic Lalla

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FRENCH TOUCH ! À LA R E NC O NT R E D’H O M M E S E T DE F E M M E S Q UI PO R T E NT À B RA S LE C O R PS L’E NV I E DE

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ARCHITECTURE DESIGN Q UE L’O N SO I T UN I NC O NDI T I O NNE L D’A R NE JA C O B SE N O U D’A R C H I T E C T UR E ,

F A I R E R A Y O NNE R LA

PLA C E A U DE SI GN !

F RA NC E .

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Ariane de Rothschild

Passion pour l’art de vivre et l’hôtellerie de luxe. Rencontre avec une femme fascinante

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Christophe Gruy

Une histoire de famille, de passion, partagée le temps d’une visite exclusive du Château de la Chaize

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Jean-Claude Lavorel

Autodidacte et visionnaire, l’entrepreneur lyonnais peut être fier du chemin parcouru et son développement dans l’hôtellerie !

Immersion architecturale avec Airbnb

10 hébergements conçus par des architectes de renom à travers le monde et disponibles à la location

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Le Presse papier

Vos murs n’ont jamais été aussi bien habillés !

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Pierre Paulin

L’icône du Design Français des années 50 à 80

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Forever design

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HOME SWEET HOME

Ca y est, l’hiver est là, et avec lui l’envie tenace de se terrer sous la couette ! Que l’on est bien chez soi ! Pour cela, la boutique Douce Cocoon Store nous a concocté tout le nécessaire afin de recréer Avec Douce à la maison une vraie bulle Cocoon Store de détente et de douceur. On y retrouve des créations de la marque Le Chat, conçues dans les environs de Lyon : pyjamas de soie, caracos à la dentelle fine, pulls en cachemire ultra doux… Pensé comme un véritable petit cocon de bien-être, l’espace Douce Cocoon Store, propose à côté des créations maison et des collections capsules Made In France, une sélection d’accessoires déco et bien-être coups de cœur. Tasses et théières Jars, bijoux, plaids, bougies et parfums d’intérieur Cousu de fil blanc… De la tenue douillette aux petits détails chaleureux pour la maison, cette nouvelle boutique du 6ème arrondissement nous invite à savourer les premiers frimas de l’hiver.

COLE & SON

2 rue de Sèze, 69 0 0 6 L y o n T . 09 51 48 92 9 2 w ww.linger ielecha t. c om

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Cole & Son et l’Atelier italien Fornasetti Nouvelle collection dévoilent une de papiers peints toute nouvelle collection de papiers peints « Fornasetti », un florilège de dessins emblématiques de l’Atelier qu’ils revisitent dans des tonalités originales. Cole & Son a été invité à plonger dans les dessins de Piero Fornasetti, célébré comme l’un des talents les plus créatifs et originaux du 20ème siècle et nous fait partager l’univers créatif inspiré de l’imaginaire fantaisiste de l’artiste. D’une passion commune pour le design et d’un savoir-faire hors du commun résulte une collection collaborative de 12 dessins intemporels. Cette collection met en scène des dessins uniques du monde merveilleux de Fornasetti dans une palette de teintes renouvelées : « Macchine Volanti » « Acquario » « Nuvole et Nuvolette » « Teatro » « Ex Libris »... Cole & Son y ajoute son talent créatif en insufflant l’élégance et l’originalité de ses harmonies de teintes.

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OUVERTURE DU BOSCOLO LYON

Le luxe à l’italienne Le Boscolo Lyon ouvre ses portes, un événement attendu par les lyonnais qui peuvent découvrir la renaissance d’un bâtiment emblématique du quartier Grolée, majestueux par son architecture de la fin du XIXème siècle.

Après plusieurs années de mise en sommeil, le chantier suscitait de nombreuses interrogations et beaucoup de curiosité. C’est donc avec un enthousiasme certain que nous pénétrons dans ce nouvel écrin plus que prometteur dès l’entrée. Par son identité singulière et son élégance assumée, l’hôtel ne peut laisser indifférent. Marbre précieux, statues romaines, délicats velours, consoles et miroirs vénitiens donnent le ton… Celui d’un design contemporain et raffiné baigné d’influences italiennes. Le grand salon sous verrière, pièce maitresse de l’hôtel est un lieu à vivre pour les clients comme pour les visiteurs extérieurs qui sont accueillis pour un petit déjeuner, une pause thé ou un aperitivo dans un cadre qui emmène pour un aller simple en Italie. Une immersion dans le pays

de la dolce vita qui se poursuit dans l’assiette du restaurant Angelo dans lequel officie le chef milanais Nicolas Pepe qui propose une cuisine gastronomique italienne qui sublime les produits en faisant « danser la France et l’Italie » ! Pour profiter du Spa de 350 m² inspiré des thermes romains et plonger dans la piscine intérieure il faudra attendre le début de l’année 2019. Le Boscolo Lyon nous invite à voyager et vivre un moment privilégié dans un cadre luxueux, chargé d’histoire, et cela en plein cœur de la ville. Destiné à être un des hôtels 5 étoiles de référence à Lyon, ce nouvel établissement de luxe à l’identité forte participe au dynamisme de la ville et à son rayonnement. En un mot voilà une renaissance qui nous réjouit ! Benvenuti !

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La nouvelle Continental GT.

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OLD SCHOOL FESTIVAL

MAISON NÔ

L’hôtel Maison Nô a dévoilé Tutoie le ciel son visage en septembre dernier, ses quarante-cinq chambres quatre étoiles, son bar et restaurant en rooftop, son sauna et sa salle de fitness haut de gamme et sa salle de réunion. L’hôtel quatre étoiles porte les valeurs du théâtre Nô et s’érige autour d’un incroyable atrium dans une ancienne banque datant de 1881. L’architecture unique du bâtiment a été repensée par Steve Wook avec à ses côtés QBDA Lyon Blezat Architecture et Ingénierie et le designer Rémi Bouhaniche chargé d’habiller avec poésie et élégance les espaces intérieurs. Il a dessiné ainsi l’ensemble de la Maison Nô jusqu’à certaines pièces du mobilier, comme la lampe Nô, pièce unique disposée dans chacune des chambres de l’Hôtel. La construction étonnante du lieu renouvèlle les codes de l’hôtellerie et de la restauration classique. Le rooftop sous verrière illumine le sommet du bâtiment qui s’impose tout en verticalité dans un style haussmannien et de pierre brute. Et dans ses escaliers, se cache un musée d’art contemporain exceptionnel ! En toute discrétion, trente artistes reconnus du street-art ont investi les deux escaliers principaux en un week-end pour offrir leurs oeuvres aux regards des curieux qui viendraient descendre ou monter les marches jusqu’à leur chambre ou jusqu’au toit-terrasse. Côté restauration, Edouard Deplus aura la charge de préparer les centaines de couverts au sommet de la Maison Nô qui offre une vue imprenable sur Fourvière et le dôme de l’Opéra. Formé par le grand chef français Philippe Mouchel en Australie, il servira tout au long de la journée une cuisine singulière, réconfortante et contemporaine. Une nouvelle adresse originale au cœur de la presqu’île que l’on se presse de découvrir depuis son ouverture.

On connaissait déjà le Marché de la Mode Vintage, devenu Le nouvel événement depuis 2001, un événement attendu du Marché leader en Europe. de la Mode Vintage Cette année, Market Prod, organisateur de ce rendez-vous depuis trois ans, lance le label MMV qui signera la prochaine édition du Marché, d’ores et déjà programmée pour les 6 et 7 avril 2019 ainsi qu’un nouvel évènement d’hiver dédié au vintage. Rendez-vous les 1 et 2 décembre 2018 à la Sucrière pour retrouver dans un espace de 1 700m² 80 exposants présents pour satisfaire toutes vos envies de pièces déco, mode et design. 10 000 personnes sont attendues sur cet évènement, pour chiner vêtements et accessoires, objets déco, petit mobilier… Ou tout simplement découvrir les tendances vintage ! Tout au long du weekend, une ambiance rythmée par les DJ sets, bals swings, et bien d’autres animations attendent les chineurs. Les visiteurs pourront aussi se restaurer sur place grâce à l’offre food and drinks du Collège Hotel, qui invitera pour l’occasion sa célèbre déco vintage sur le thème de l’école au cœur de la Sucrière. MMV nous promet un évènement festif et inspiré !

Old School Festival Du samedi 1er au dimanche 2 décembre 2018. Samedi 10h – 20h / dimanche 10h – 19h. Adulte : de 5 à 6 € (5€ en ligne / 6€ sur place). Gratuit pour les moins de 12 ans.

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NOUVEAU SUZUKI

*Un style de vie !

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Voilà une nouvelle qui va nous met d’ors et déjà l’eau à la bouche ! En sommeil depuis quelques années, l’emblématique bâtiment de la Tour Rose s’offre une nouvelle jeunesse avec un concept moderne et hyper alléchant : le Food Traboule.

FOOD TRABOULE

La renaissance gourmande de la Tour Rose A l’origine du projet Tabata et Ludovic Mey, les deux magiciens du goût du restaurant l’Apothicaire, ont souhaité réunir autour d’eux un casting de chefs portés par des valeurs communes : créer un lieu de restauration convivial, vivant, accessible et surtout très gourmand. Bien plus qu’un traditionnel food court, Tabata et Ludovic Mey ont souhaité créer « un lieu de vie dans un endroit unique que l’on veut à la fois familial mais aussi festif, où l’on vient boire un verre, manger, écouter de la musique, se retrouver entre amis quand on veut. C’est la Tour Rose 2.0 portée par une génération qui veut s’éclater tout en faisant plaisir à travers une cuisine décomplexée et accessible… ». Le principe est simple : sept comptoirs sont répartis sur trois niveaux, où des chefs cuisineront devant les clients les plats de leur création imaginés pour le Food Traboule. On y retrouvera Le Bistrot du Potager, Substrat Restaurant, La Meunière, the Butcher, Lyon’s GastroPub, Piquin. A cela s’ajoutent quatre corners tenus respectivement par Mon Salade Bar, le glacier Unico, Trop chou et Smør & Brød. Pour une parenthèse sucrée, c’est la Maison Bouillet qui s’invite du

côté du Coffee Shop. A chacun alors de commander ce qu’il souhaite selon son envie du moment, avant de se retrouver dans l’un des espaces communs. Une véritable invitation à la convivialité et à la gourmandise ! Pour ce tout nouveau chapitre de la Tour Rose c’est le Collectif Saône qui s’est donné pour mission de repenser les différents espaces afin d’y insuffler une ambiance propre à chacun tout en respectant l’identité du lieu. Ambiances poétique, nature, cosy, hors du temps ; chaque espace se conjugue avec les différents univers culinaires proposés et convie les visiteurs à la découverte de l’âme du Food Traboule. Côté hôtellerie, ce sont les créatrices de MiHotel, Stéphanie Marquez et Nathalie Grynbaum qui ont pris les rênes et font entrer la Tour Rose dans la modernité, en proposeront des suites digitales et connectées. Encore plus que la renaissance de la Tour Rose, l’ouverture du Food Traboule annonce la naissance d’un nouveau lieu de vie et de gastronomie, rassemblant un éventail de jeunes chefs passionnés et créatifs dans un lieu unique ! On ne manquera pas d’y être, dès l’ouverture, début 2019…

2 2 Ru e d u B œu f 6 9 0 0 5 L y on

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L’AUBERGE DE L’ÎLE BARBE

Restaurant gastronomique d’exception niché au cœur de l’île du même nom, l’Auberge de l’île Au fil de l’eau Barbe est désormais accessible par voie fluviale depuis l’inauguration cet été de son ponton. Un atout charme supplémentaire pour ce lieu déjà reconnu pour son cadre unique et bucolique au bord de l’eau. Depuis 1967, l’Auberge de l’île Barbe est un établissement renommé de la gastronomie lyonnaise. A l’époque simple guinguette sur les bords de Saône, Jean-Louis et Renée Ansanay-Alex en font un établissement gastronomique exigeant. Avec l’arrivée aux fourneaux de leur fils Jean-Christophe Ansanay-Alex en 1991, le restaurant connait un nouveau souffle créatif, récompensé deux ans plus tard par une étoile au guide Michelin. A la recherche constante de l’excellence culinaire et des meilleurs produits, l’établissement soigne aussi un cadre exceptionnel, entre terrasse ombragée et décoration soignée Restaurant gastronomique incontournable à Lyon et hors de nos frontières, l’Auberge de l’île Barbe nous promet avec cet accès par le fleuve une évasion gastronomique plus enchanteresse encore.

Auberg e de L’ Ile B ar be Place Notre Dame de l ’Î l e Bar be, 690 0 9 L y o n T . 04 78 83 99 49 www.aubergedelil e. c om

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GRÉGORY CUILLERON

Enfin une réponse à cette sempiternelle question ! Le Qu’est-ce qu’on mange nouveau livre de Grégory ce soir ? Cuilleron est une source d’inspiration qui tombe à pic en cette rentrée bien chargée. Le cuisinier lyonnais nous fait partager ses recettes fétiches, rapides et accessibles. Après s’être fait connaître en remportant le concours national « Un dîner presque parfait : le combat des régions », ce cuisinier atypique participe au concours Top Chef face à onze professionnels de la cuisine. Séduisant le public par sa gentillesse, sa créativité et surtout son talent, il a su se créer une vraie place dans le paysage culinaire français. Il revient cette fois avec son livre « Qu’est-ce qu’on mange ce soir ? » illustrant à merveille son crédo : cuisiner pour s’amuser, faire découvrir et surtout partager… A travers 160 recettes simples et accessibles, il permet à chacun de composer des menus simples et bons : tartare de bœuf à l’italienne, blanquette de veau, fleurs de courgettes farcies, salade lyonnaise… C’est promis on s’y met !

Q u ’e s t - c e - q u ’o n m a n g e c e s o i r ? Chez Grégory Cuilleron 8 0 me n u s pou r le s jou r s d e la s e ma i n e .


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AUTHENTIC

Cela faisait plusieurs mois que les habitués du cours Food & design Vitton et les lyonnais friands de nouveautés, s’interrogeaient sur le devenir de la boutique de Béatrice Collin. Depuis début septembre c’est chose faite, le secret est enfin dévoilé ! Sous l’enseigne Authentic by Béatrice Collin, se cache un lieu gourmand où l’on vient prendre un thé, se retrouver pour déjeuner mais aussi pour dénicher l’objet déco, le luminaire et même le canapé qui viendront habiller nos intérieurs. La chaise sur laquelle vous êtes assis, la vaisselle dans laquelle vous êtes servis, la plante qui se trouve à proximité ou le cadre au mur… Tout est à vendre ! A la fois concept store et restaurant, Authentic a été pensé comme un lieu de vie où l’on se sent bien, un peu comme chez soi, lové dans un petit coin canapé pour travailler ou entre amis autour d’une chaleureuse table en bois brut. Une fois encore, Béatrice Collin a créé un décor comme elle aime où se mêle matériaux nobles, bois et végétal avec les marques qu’elles affectionnent : House Doctor, HK Living, Seletti, Pomax… « C’était une idée que je nourrissais depuis longtemps. Dans une boutique, les clients ne font que passer, ici ils se posent, discutent… C’est un lieu de vie et d’échange que j’ai souhaité chaleureux, accueillant. » En cuisine, Martine prépare des petits plats à l’image de la décoration, authentique, sincère mais aussi dans l’air du temps, fraîche et goûteuse. Chaque jour est proposé un bowl, un plat, une tarte salée, une suggestion et des desserts maison comme la soupe de fruits, la tarte façon crumble… Porc caramélisé, tarte au saint marcellin et amandes… La carte nous donne d’ores et déjà l’eau à la bouche ! Et difficile de ne pas succomber à l’envie de repartir avec l’objet déco coup de cœur, le thé Mariage frères ou le jus de fruit artisanal dégusté sur place. Bref, on adore !

Aut h entic 2 5 c ours Vitton , 6 900 6 L y o n T . 04 78 93 6 0 05

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LE GRAND RÉFECTOIRE ET L’OFFICINE

Renaissance gourmande au Grand Hôtel-Dieu En dévoilant son visage en avril dernier, le Grand Hôtel-Dieu a permis aux Lyonnais de se réapproprier un lieu emblématique du patrimoine de la ville. Après 4 ans de travaux sans commune mesure, les visiteurs ont pu découvrir les nouvelles enseignes dont les ouvertures se succèdent.

Cette fin d’année nous réserve encore de belles surprises avec l’ouverture minovembre de deux nouvelles adresses qui font grand bruit : le Grand Réfectoire et l’Officine. Le premier, une brasserie bistronomique, a pris ses quartiers dans l’ancien réfectoire des sœurs de l’Hôtel-Dieu, tandis que le second, un bar à cocktail a ouvert ses portes sur la mezzanine. A l’origine du projet, Mathieu Cochard, Thibaut Salvat et Marc Bonneton, trois Lyonnais passionnés ont eu à cœur de créer deux adresses en harmonie avec le lieu qui les abrite. Les architectes et décorateurs Franck Vella et Damien Carreres les ont donc accompagnés pour concrétiser leurs souhaits en créant deux endroits uniques, à l’atmosphère douce et à la décoration épurée. A la clé, un restaurant et un bar

dans l’air du temps, qui assument les réminiscences du passé de l’Hôtel-Dieu. Côté cuisine, le chef Marcel Ravin derrière les fourneaux du Grand Réfectoire propose aux visiteurs sa cuisine colorée et généreuse, toute à la fois ancrée dans le terroir lyonnais et nourrie d’influences mondiales. De son côté l’Officine, située en annexe du Grand Réfectoire avec une vue imprenable sur l’architecture du Grand Hôtel-Dieu, nous propose une gamme de six cocktails emblématiques et six cocktails signature par saison, tous concoctés par le chef Barman Marc Bonneton. Avec le Grand Réfectoire et l’Officine, le Grand Hôtel-Dieu nous promet de nouvelles expériences gourmandes, à partager sans plus attendre, si ce n’est pas déjà fait !

G r a n d H ôt e l- D i e u 3 c ou r S a i n t H e n r i , 6 9 0 0 2 L y on

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LES HALLES GRAND HÔTEL-DIEU Ouverture annoncée !

Neuf artisans et Meilleurs Ouvriers de France s’associent pour incarner les Halles du Grand Hôtel-Dieu, dont l’ouverture grand

public est prévue début décembre 2018. Un haut lieu de gastronomie conçu par l’architecte Albert Constantin sur deux niveaux et pas moins de 1 200 mètres carrés attend Lyonnais et visiteurs du monde entier pour un voyage gustatif à la découverte des artisans qui font la réputation de la Capitale des Gaules. De la boulangerie Pozzoli au chocolatier Voisin, en passant par la boucherie Trolliet, la fromagerie Mère Richard, la poissonnerie Vianey, la Maison de vins Guyot, le primeur Cerise et Potiron et le restaurateur du Théodore, les Halles du Grand Hôtel-Dieu s’illustrent comme l’emblème du savoir-faire et de l’excellence, entre tradition et innovation, où terroir et saveurs du monde se rencontrent et se complètent. Nos papilles n’ont plus qu’à patienter !

© Inui Maison du Lac

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BLANC CERISE

Depuis le printemps dernier une nouvelle enseigne a investi le Grand Hôtel-Dieu pour Du beau linge au le plus grand bonheur inconditionnels de la Grand Hôtel Dieu ! des marque et les lyonnais curieux de la découvrir… Sur 80 m² Blanc Cerise expose désormais ses collections, une première en province après l’ouverture des deux boutiques parisiennes. Née en 2011 sur le web, la marque française créeé par Fabienne Motteroz allie subtilement créativité, savoir-faire et sens du détail. Elle poursuit son expansion avec cette boutique-showroom qui présente tout son univers, du linge de maison au homewear en passant par le linge de bain, le linge de table, les accessoires de maison ou encore l’univers enfant. Pour que toutes les envies soient satisfaites et proposer une mise en situation des pièces, un espace connecté avec un écran tactile est proposé. Il donne également la possibilité de commander l’ensemble des produits Blanc Cerise qui ne sont pas disponibles en boutique. Et pour bénéficier d’un conseil personnalisé sur-mesure un service de personal shopping est également proposé sur rdv avec une vendeuse dédiée. On aime le style épuré, l’harmonie des couleurs, le raffinement des finitions de collections intemporelles que l’on imagine déjà chez nous ! G r a n d H ot e l- D i e u 1 1 C ou r d u M i d i , 6 9 0 0 2 L y on T . 0 4 7 2 32 9 9 1 4 w w w . b l an c - c e r i s e . c o m

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Bruno Lehmann Nouveau coiffeur à l’Hôtel Lyon Métropole

Lyon Ouvert du mardi au samediGalerie 9H-19h Hôtel dimanche et Métropole lundi sur demande. quai Joseph coupe Gillet - 69004 Lyon - Tél. 0430€ 78 28 94 93 Prestations de base85,: Shampoing coiffage homme Du mardi au samedi : 9h / 19h, en soirée et dimanche sur demande. /femme 50€.

SALON FITNESS & CO

BL deux initiales avec lesquelles il faudra désormais compter ! BRUNO LEHMANN, artiste coiffeur qui a travaillé avec les plus grands noms du milieu de la coiffure, s’est installé depuis moins d’un an au sein de l’ HÔTEL LYON MÉTROPOLE. Un salon élégant qu’il a entièrement repensé, mis en valeur avec des couleurs douces et actuelles pour créer une atmosphère chaleureuse où l’on se sent vite bien. Que ce soit pour une coiffure de tous les jours (colorations, balayages…), une retouche brushing ou un évènement particulier (soirée, gala, mariage…), Bruno vous guidera et vous conseillera. L’écoute et le conseil c’est ça la « Bruno touch » ! Pour répondre aux exigences et s’adapter au rythme de ses clients, Bruno Lehmann reçoit même le Dimanche et en soirée sur RDV. Un nouvel espace barbier est également proposé aux messieurs. L’essayer c’est l’adopter ! Qualité, détente et professionnalisme sont les maitres mots de ce nouveau salon à découvrir de toute urgence. GAL E R IE H ÔTE L LY ON M ÉT R OP OL E 85 quai Joseph Gillet, 690 0 4 L y o n T . 04 78 28 94 93 PA RKING GRATUIT

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Il arrive enfin à Lyon ! Le premier salon Sport Santé Prêts ? Entrez, bougez, Bien-être s’annonce échangez ! comme un événement attendu par tous les adeptes des activités sportives et des disciplines propices au bien-être. Le Salon offrira au grand public et aux professionnels sur 2 000 m² un large panorama d’activités, des solutions concrètes pour répondre aux attentes de chacun. Durant ces 3 jours, les visiteurs pourront rencontrer plus d’une cinquantaine d’exposants dans de nombreux univers : club de sport, fitness, prêt à porter, formation, nutrition, médecine du sport et ostéopathie, mais aussi méthodes douces, yoga, sophrologie… Un vaste programme de cours proposé aux visiteurs permettra de tester de nombreuses disciplines : Yoga - Pilates - Body Pump – Stretching - Body Sculpt – Zumba… Que ce soit pour s’informer, se dépenser ou échanger, toutes les raisons sont bonnes pour s’y rendre !

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84, quai Joseph Gillet • 69004 LYON • 04 72 10 44 34 • www.lyon-plage.com © A. Stenger


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GO GREEN

Le groupe Arteloge prône son engagement en matière d’écoresponsabilité et de développement durable. Il soutien l’association Unisoap et participe à son action, pour la moins admirable, celle de récupérer les savons usagés à des fins humanitaires. © Alexandre Moulard

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Lorraine Batta, directrice des hôtels Lyon-ouest et ParkSaône, et Jérôme Rivier directeur de l’Hôtel des Congrès, tous deux en charge du projet Go Green.

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Le groupe Arteloge s’engage pour une vie en vert !

Leader de l’hôtellerie indépendante lyonnaise, réputé pour son excellence en matière de service, le Groupe Arteloge souhaite offrir une grande diversité d’établissements suceptibles de répondre à tout type de demande. De l’hôtel cinq étoiles La Villa Florentine membre de Relais & Châteaux à l’ouverture de l’hôtel Park Saône 3 étoiles, le groupe familial dirigé par Eric Giorgi poursuit son aventure avec passion. Avec son projet « Go Green » le groupe hôtelier lyonnais prône son engagement en matière d’éco-responsabilité et de développement durable. Ses ambassadeurs reconnaissables grâce à leur boomerang vert épinglé sur leurs uniformes fédèrent tous les collaborateurs afin de les faire adhérer à un guide de bonne conduite et multiplie les actions au sein de ses sept établissements. De la réduction de la consommation d’eau et d’électricité à la participation à des évènements mondiaux comme la « earth hour », le programme s’enrichit de nouvelles idées, pour que chaque geste compte ! L E S S A V O NS U SAG ÉS R E C Y C L É S À DES F INS H U M A N IT AIRES

C’est ainsi que le groupe n’a pas hésité à soutenir l’association Unisoap et participer à son action, pour la moins admirable, celle de récupérer les savons usagés à des fins humanitaires. Alors que 2,2 millions d’enfants meurent tous les ans dans le monde de maladies liées au manque d’hygiène, 949 millions de savons sont jetés chaque année par les hôtels dans le monde ! De ce constat est née l’association Unisoap à l’initiative de Pauline Grumel, entrepreneuse lyonnaise. Au cœur de la mission, l’accès à l’hygiène dans les pays défavorisés. Unisoap récupère les savons usagés des hôtels, confie le recyclage à des travailleurs handicapés au sein des ESAT de Lyon et Dubaï et les distribue à des associations partenaires, une partie des savons étant dédiée aux missions d’éducation à l’hygiène dans les écoles et les hôpitaux. Convaincu par l’enjeu environnemental, humain et social de la démarche, en mars 2018 l’hôtel Lyon Métropole est le premier hôtel à leur faire confiance et adhère au projet. Les savons usagés sont récupérés et stockés par le personnel de l’hôtel puis collectés, recyclés et distribués par Unisoap. Une belle implication pour un monde meilleur ! www. u n i s opa . or g w w w . ar t e l o g e . c o m


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SUP ERBECANE

Stylé même à vélo ! Avec un nom comme celui là, le concept ne peut être que prometteur ! De quoi susciter notre curiosité et nous amener au cœur du 6ème arrondissement à pénétrer dans l’antre du vélo, la boutique qui nous donne irrémédiablement envie de chevaucher la petite reine !

Révolu le cliché du cycliste fâcheusement accoutré. Avec Superbecane rouler en bicyclette est l’occasion d’afficher son style et de se faire plaisir avec des accessoires qui allient fonctionnalité et esthétisme. Si porter un casque s’avère particulièrement conseillé, franchir le pas pour les coquettes que nous sommes n’est pas chose facile ! Mais lorsque Patrice et Alexandre, les fondateurs de Superbecane vous présentent les modèles ultra stylés de la marque Thousand, qui s’inspirent de l’esprit vintage des bikers californiens des années 1950 et 1960, les plus réfractaires se laissent rapidement convaincre. Ici rouler à vélo est un véritable art de vivre. C’est à Noirmoutiers que Superbecane voit le jour sous l’impulsion de Patrice Cassard. Lorsque ce dernier revient à Lyon, sa ville natale en 2016 il décide

de s’associer avec son ami d’enfance Alexandre Tardy pour implanter le concept dans le 6ème arrondissement. Une boutique qui ravit rapidement une clientèle en recherche de produits haut de gamme et design, des accessoires de marques scandinaves, des exclusivités… Une sélection qui s’enrichit régulièrement de nouveautés. Bagagerie Linus, selles en cuir Brooks au look si british, kits d’éclairage, couvre selle en peau de mouton…, sans oublier les créations originales de tee-shirts et le blouson coupe-vent estampillés Superbecane. A l’affût de toutes les innovations, nos deux compères proposeront d’ici quelques semaines les casques connectés. Une sélection coup de cœur à retrouver sur le site de vente en ligne. C’est décidé je me mets au vélo !

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Le Groupe Central Autos voit les choses en grand ! pa r So phi e G u iva r c ’ h

Acteur incontournable de l’univers automobile lyonnais, le groupe Central Autos s’apprête à investir le pôle situé à Saint-Fons, près du périphérique Laurent Bonnevay. Avec deux espaces de 2 800 et 2 300 m² consacrés respectivement aux marques Audi et Volkswagen, le groupe familial voit les choses en grand ! Mais c’est surtout en matière de services que Central Autos, avec la création de ce nouveau lieu, tient à répondre à toutes les attentes, même les plus exigeantes de ses clients. « Nous avons eu la chance de partir d’une feuille blanche, c’est pourquoi ces bâtiments et leur aménagement ont été pensés sur mesure pour nos activités et pour les besoins de nos clients » souligne Adrien Moine-Coquillat, responsable marketing du groupe. Horaires élargis, service de voiturier, configuration en réalité virtuelle, « Twin-service » pour les réparations

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afin de réduire l’attente…, autant de confort et de gain de temps qu’apprécieront à coup sûr les utilisateurs des deux constructeurs allemands. A partir du 2 janvier, ce nouveau terminal Audi et cette nouvelle concession Volkswagen rejoindront le site Hyundai Lyon Sud du Groupe Central Autos, et offriront une visibilité optimum au cœur du plus grand pôle automobile de Lyon.

ainsi à toutes les attentes, du SUV Coupé Premium Audi Q8, résolument sportif, au Kona 100% Electric signé Hyundai, offrant une autonomie de 484 kms ! Vivement 2019 !

Créé en 1960, Central Autos, historiquement distributeur Audi et Volkswagen n’a eu de cesse de se tourner vers l’avenir, étoffant son offre en 2014 avec la marque Hyundai dont il est aujourd’hui le 1er distributeur en France, et plus récemment avec le rachat de Deruaz Auto (Fiat, Skoda, Mitsubishi, Land Rover Service). Aujourd’hui le groupe familial distribue 6 marques sur 10 sites, répondant

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185 avenue Paul Santy - Lyon 8ème - Tél. 04 72 78 88 00 Nouvelle adresse le 2 janvier 2019 : Pôle automobile de Lyon Sud 51 Boulevard Lucien Sampaix - 69190 Saint-Fons - Tél. 04 72 78 88 00

www.audi-lyonsud.com


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CHR ISTOPHE COT TET-BRETONNIER Reconnu pour sa prestance et sa pugnacité aussi bien sur un court de tennis que dans une cour d’appel, l’avocat Christophe Cottet-Bretonnier se confie volontiers sur son métier, ses victoires et ses déceptions mais toujours animé par une même passion depuis sa prestation de serment il y a 20 ans.

La parole est à la défense ! Avocat pénaliste, du travail et de la famille, associé à Maître Eddy Navarrete depuis un an, Christophe Cottet-Bretonnier et ses collaborateurs accompagnent une clientèle d’entreprises sous contrat annuel (assistance juridique, droit social…) en instaurant un lien privilégié de proximité. Le cabinet est également spécialisé en droit immobilier, droit bancaire et droit de la famille (divorce, succession, indivision..) avec une expertise toute particulière en matière de divorces contentieux nationaux et transnationaux (résidence des enfants, pensions alimentaires, devoir de secours, prestation compensatoire, liquidation de régime matrimonial..). « Le droit de la famille est souvent dévalué alors que c’est une spécialité très complexe qui requiert de nombreuses compétences techniques mais aussi psychologiques ! Les avocats font souvent office de véritables « éponges » face à la noirceur de la nature humaine : la perversion dont sont capables certaines personnes lors d’un divorce ou pour l’argent est sans limites ! On ne s’y habitue jamais vraiment ».

Papa comblé de deux jeunes filles Doriane et Charlotte, Christophe CottetBretonnier reconnaît que si tout dossier est potentiellement défendable, il refuse aujourd’hui les affaires de viols. « En tant que père de famille, je n’ai plus le recul nécessaire, je fais jouer ma clause de conscience » reconnaît-il.

Réputé pour son rôle en 2006 dans l’affaire Fauviau considérée comme l’affaire la plus grave jamais jugée au sein du sport amateur, il sera surtout remarqué pour sa défense de Toni Musulin, le convoyeur de fonds reconnu coupable à Lyon du vol de 11,6 millions d’euros. Un des « casses du siècle », médiatisé et retracé au cinéma dans le film 11.6 dans lequel François Cluzet interprétera Musulin et Christophe Cottet-Bretonnier jouera son propre rôle. « J’ai eu la chance de suivre de très beaux dossiers » reconnaît-il. Aujourd’hui, partagé entre ses cabinets de Lyon, Annemasse et Paris (créé en avril dernier), il s’évertue à préserver davantage sa vie privée « Il faut aussi un peu se ménager dans ce métier, sinon, il vous mange tout entier, surtout physiquement. » À 47 ans, ce grand sportif semble avoir trouvé la voie de la sagesse. « Si pour défendre mes clients je ne lâche rien, le besoin de décompresser est essentiel. Pour cela, je fréquente assidûment le Spa Lyon Plage de l’Hôtel Métropole et les courts de tennis.» Très impliqué dans la vie associative et sportive, nommé récemment Président de la commission des agents à la Fédération française de tennis et membre de la commission interfédérale des agents au CNOSF (Comité national olympique et sportif français) avec comme perspective pour l’avocat lyonnais le comité d’organisation du tournoi de tennis olympique à Roland Garros aux J.O de Paris en 2024.

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TOUTE UNE

BANQUE

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LES PROFESSIONNELS DU TOURISME LE CRÉDIT AGRICOLE PARTICIPE AUSSI AU DÉVELOPPEMENT DES MÉTIERS DU TOURISME.

Caisse régionale de Crédit agricole mutuel Centre-est, Société coopérative à capital variable, agréée en tant qu’établissement de crédit - Siège social 1, rue Pierre de Truchis de Lays 69410 Champagne au Mont d’Or – 399 973 825 RCS Lyon – Société de courtage d’assurance immatriculée au Registre unique des Intermédiaires en Assurance, Banque et Finance sous le numéro 07 023 262 (www.orias.fr).


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BENTLEY BENTAYGA

Essai

Par Christophe Cottet-Bretonnier, avocat associé au Barreau de Lyon.

« Tout est calme, luxe et volupté ». C’est cette phrase de Baudelaire qui me vient d’emblée à l’esprit pour caractériser le mieux la Bentley Bentayga après l’avoir longuement essayé à la cam-

pagne et sur autoroutes. Enfin calme, tout est relatif : quand on accélère, on est impressionné par la musique du douze cylindres de plus de 600 chevaux, excusez du peu.. Mais pas que. L’habitacle de la Bentley Bentayga est d’un luxe proche de la perfection, reprenant sans fausses notes les canons habituels de la marque : essence des bois, qualité des cuirs, profondeur des sièges, harmonie du tableau de bord, moquette moelleuse… Le confort est absolu. Je ne peux m’empêcher de faire le parallèle avec une Rolls Royce, mais en tellement plus sportive… Malgré un poids conséquent, la tenue de route est exceptionnelle, tant dans les courbes d’une route de campagne que sur les

autoroutes allemandes. Accompagné et poussé par Philippe Bettant lors d’une escapade outre Rhin, c’est la première fois, sur une très longue ligne droite d’autoroute sans risque, que je dépassais les 300 km/h ! J’ai été impressionné et surpris par la rigidité du châssis très rassurant en mode sport et le peu de bruit aérodynamique, même à cette vitesse. Tout en étant prestigieuse, la Bentley Bentayga reste fonctionnelle : quatre roues motrices, grand coffre, espace arrière... C’est pour moi le très grand luxe mais pas ostentatoire. A l’image de ce style britannique immarcescible des grandes berlines de prestige.

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C A R A C TÉ R I ST I Q U E S T ECH NI Q U E S Nom du moteur W12 6.0 Energie Essence Architecture Douze cylindres en W Alimentation Bi-Turbos Injection Injection directe essence

Cylindrée 5 950 cm³ Puissance réelle maxi 608 ch / 447 kW Au régime de 5 250 tr/min Couple maxi 900 Nm Nombre de soupapes 48

Rapport volumétrique 10.5:1 Norme anti-pollution Euro VI Disposition du moteur Longitudinale Avant Boîte de vitesses Automatique 8 rapports Mode de transmission Transmission Intégrale

Type de chassis Monocoque Matériau du chassis Aluminium / Acier Direction assistée Oui Type de direction Electrique Diamètre de braquage (trottoir) 12,4 m

Type de suspension avant Double triangulation à quatre tirants Type de suspension arrière Trapézoïdale


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BLUE VALET

MERCEDES-BENZ RENT

ule en entretien ? location courteB… durée d’une avonsLavoiture un plan d’exception A, GLA. journée

Que diriez vous de partir en week-end au volant d’une voiture d’exception ou de proposer une virée à la montagne à vos meilleurs amis confortablement embarqués au sein du classe V monoplace ? Avec le service exclusif Mercedes-Benz Rent mis en place par la concession de Saint Fons, à vous le plaisir de conduire un modèle cabriolet, coupé, luxe ou sportif le temps d’une journée, d’une semaine ou d’un mois. Le jour de votre mariage, le classe C cabriolet vous emmène pour partager un moment unique et pour une escapade à la montagne quoi de mieux que de se sentir en toute sécurité avec un véhicule tout terrain, luxueux de surcroit ! Avec un interlocuteur dédié, Mercedes-Benz Rent répond à toutes les attentes d’une clientèle exigeante. Et pour être sûr de combler les amateurs de belles voitures à Noël, pensez au bon cadeau qui leur offrira le bonheur de vivre une nouvelle expérience.

Que faire de sa voiture quand on prend l’avion ou Un voiturier à le train ? S’il est l’aéroport pour partir bien un cassetête éternel c’est en toute sérénité celui de la place de parking ! Pour simplifier ces soucis de dernière minute, Blue Valet, jeune start-up créée en 2015 par deux frères entrepreneurs, Hugo et Benoit, propose de prendre en charge le véhicule des voyageurs durant leur absence. Une solution innovante « clé en main » efficace et connectée ! L’objectif : ne plus faire du stationnement un parcours du combattant avant de prendre le train ou l’avion, puisque Blue Valet s’impose comme le nouveau réflexe pour rejoindre sans stress aéroport ou gare en garantissant un rapport confort/prix imbattable. En un clic, je réserve en ligne mon voiturier jusqu’à la veille de mon départ. Le jour du départ, je confie mon véhicule au voiturier directement au dépose-minute. Il ira ensuite le stationner dans un parking sécurisé. À mon retour, mon voiturier me restituera mon véhicule à l’endroit où je l’ai déposé, prêt à prendre la route !

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MONTE LE SON !

Tedd Connexion Tedd Connexion, un partenaire à l’écoute des professionnels

Pour la réalisation de ses nouveaux Bureaux situés dans l’emblématique Grand Hôtel Dieu, Millésime Patrimoine a confié à Thierry Mestrallet et son équipe son aménagement high-tech multimedia. Sur un plateau de 250 m² Tedd Connexion, référence lyonnaise dans l’univers du son et de l’image a conçu le projet dans sa globalité : écrans TV encastrés, sonorisation, paperboards électroniques, webcams embarquées pour la visioconférence… Parfaitement intégrées à la décoration qui fait la part belle aux objets design et aux œuvres contemporaines, les enceintes Phantom Devialet offrent un son XXL, une expérience intense et révolutionnaire ! Espaces de restaurant et de réunions de l’Octave « by Iway » à Vaise

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Pour les inconditionnels de l’image, les puristes du son et les férus de high tech, Tedd Connexion offre depuis sa création le must en matière d’installation, avec des marques premium comme Bose, Devialet ou Loewe. Des équipements intégrés dans un projet global de construction ou de rénovation, notamment de bureaux, salles de conférence ou de réunion, restaurants ou encore salles de sports. De la domotique à la sécurité, de l’acoustique aux écrans tactiles, Tedd Connexion accompagne les professionnels dans leurs projets, même les plus audacieux !

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C O U P D’ÉC L AT PO U R L A BO U T IQ U E, S M AR T FEM M E S ’O FFR E U N N O U VEAU M AK E- U P !

L e s i n c on di t i on n e l l es de c e t a n t re de l a mode f é mi n i n e à L y o n a u ron t c e rt a i n e me n t re ma rq u é l e t rè s ré u ssi re l ooki n g de l a b ou t i q u e q u i s’ of f re un n ou v e a u dé c or i ma g i né p a r Ma ri e - A g n è s e t Sa n dri n e . Si on c on n a i ssa i t son g oût t rè s sû r e n ma t i è re d e t e n u e s v e st i me n t a i r es dé sorma i s c ’ e st da n s l a dé c ora t i on q u e l e du o de c hoc e t de c ha rm e excelle !

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u choix de la teinte bleu Klein pour sa touche éclatante aux murs habillés d’un papier peint panoramique arboré tel une gravure dessinée à la main, elles ont su apporter à l’espace raffinement et modernité. Un parti pris personnalisé par la présence de malles anciennes chinées ou encore du fauteuil de famille !

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Dès l’extérieur, les vitrines plus spacieuses mettant en valeur les collections dans des mises en scène savamment orchestrées sont d’ors et déjà prometteuses… Un nouveau corner dédié à la marque de lingerie Livy attire le regard avec ses modèles sensuels exposés tels des éléments de décoration dans d’élégantes étagères en bois et laiton. Des matériaux dont la noblesse s’accorde harmonieusement à l’ADN de la boutique, reconnue pour sa sélection de marques haut de gamme. Mais c’est encore dans l’espace accueil que le changement est le plus notable avec la création d’un coin bureau encadré d’une verrière esprit atelier. « C’est notre capsule de réflexion ! » Dans l’escalier qui mène au sous-sol, un magnifique papier peint représentant les toits de Paris capte inévitablement l’attention du visiteur. On aime la précision des détails de cet habillage mural ressemblant à une esquisse. Dans ce nouvel écrin il fait bon flâner ou se poser pour partager la bonne humeur et profiter des conseils avisés des maitresses de maison. Les clientes retrouvent les collections incontournables signées Moncler, Aeronautica Militare, Canada Goose ou encore Mackage pour affronter l’hiver avec style, mais aussi les modèles créatifs de chez Dsquared2, MM6 Maison Martin Margiella et les tenues rivalisant d’élégance de Paul Smith, Max & Moi ou Notify. Des tenues à porter avec un manteau Tagliatore et des boots Hogan, sans oublier le sac de la marque lyonnaise Lolo Chatenay.


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D E S MA TÉRIAUX DON T L A N OBL ES S E S ’AC C O R DE HA R MONIEUSEM EN T À L’ADN D E L A BO U T IQ U E, R E C ONNU E POUR SA SÉL ECTIO N DE M AR Q U ES HA UT D E G AM M E.

Smart Femme accueille pour la saison automne-hiver 2018/2019 la collection espagnole Villalba ainsi que les robes smoking de Oud Paris. La nouvelle marque fétiche des stars fait parler d’elle avec ses couleurs, ses formes et ses motifs grandioses. Une liberté d’inspiration qui fait aujourd’hui de Oud une marque référence pour beaucoup de femmes qui raffoleront, à coup sûr des robes fleuries attendues pour le printemps prochain. Les prétextes pour venir chez Smart Femme ne manquent pas, même juste pour le plaisir. Alors avec son nouveau décor et sa sélection toujours aussi canon, je suis étonnée que vous n’y soyez pas déjà !

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LIV Y L A N OUVELLE LI NGE RI E Q UI PAR LE AUX FE MM E S… ET AUX HOM ME S ! Après avoir fait ses études chez Esmod et travaillé au sein de maisons prestigieuses telles que Dior, Kenzo, Cacharel ou John Galliano, Lisa Chavy décide de lancer sa propre marque, qui suive sa vision de la lingerie, savant contraste entre tradition et modernité, sensualité et puissance à l’image des femmes d’aujourd’hui. « La lingerie m’a toujours fascinée, car elle est au plus près du corps, de l’intime et des sentiments. On la devine sans la voir, comme une limite troublante et secrète que seules les femmes peuvent révéler » annonce la créatrice de Livy. Une griffe destinée à celles qui ont envie d’être sexy un soir et le lendemain d’être en brassière en coton. Les lignes sont osées, nerveuses, sportives, sensuelles, troublantes et ultra-modernes, flirtent avec le luxe tout en restant accessibles. Bref, Livy répond à toutes nos attentes ! Pour des femmes multiples, Lisa Chavy propose plusieurs lignes. Trois collections trois lifestyle trois lignes baptisées : Paris, New York et Los Angeles. La première se veut audacieusement sexy et glamour avec de la dentelle française tandis que la deuxième design et graphique mise sur des produits techniques et innovants. La dernière, enfin, plus casual, se porte davantage le week-end «dans un esprit très slow life». Diversité des matières, dentelles sublimes, microfibre, coupes ultra design … avec une collection très complète du bonnet A au bonnet E composée de 350 modèles, Livy est une nouvelle et jeune marque à suivre et surtout à adopter ! www.li-vy.com

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L O LO C HA TEN AY C H AN G ER DE SAC E N UN T O UR DE M AIN ! Marque de maroquinerie haut de gamme créée par la lyonnaise Laurence Carry, rejointe par sa fille Marlène, Lolo Chatenay propose un concept inédit de sacs réalisés à partir de pièces interchangeables. Le MAGIC METAMORPHOSE ! Le sac à main change de look au gré des vos envies. Imaginez, jouez, composez, osez ! À partir d’une base de sac proposée en trois tailles little, small, large vous choisissez les rabats interchangeables et réversibles.

Laurence Carry crée de nouveaux modèles au fil de son imagination. « Des touches de fantaisie qui viennent habiller une base classique. » En fourrure, à paillettes, zebré, zippé tel un perfecto… le sac adopte un style différent comme par magie. Les poignées sont proposées en deux longueurs différentes, portée main ou portée épaules avec un jeu de chaines et un important choix de couleurs. De quoi transformer en un tour de main le traditionnel sac noir. Fabriqués en France dans des ateliers au savoir-faire reconnu, les sacs sont réalisés à partir de matières d’exception sélectionnées avec soin auprès des tanneries qui fournissent

les maisons de maroquinerie les plus prestigieuses. Des pièces uniques et sur mesure. Sur demande, à partir d’un choix de matières, d’un nuancier de couleurs vous pouvez imaginer votre propre modèle, un sac unique… le vôtre ! Entreprise familiale et indépendante, LOLO CHATENAY s’entoure d’ambassadrices afin de commercialiser ses modèles en ventes privées.
Présente également au sein du Grand-Hôtel du Cap-Ferrat et de boutiques multimarques dont Smart Femme, elle choisit d’ouvrir sa première Boutique en nom propre dans le centre de Lyon, projet pilote cher à notre duo mèrefille. w w w . l o l o - c h at e n ay . c o m

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NOUVEAU CHEZ

B A OBA B COLLE C TION A C HAC UN S ON T O TEM ! Inspirée par les contrées africaines, à la rencontre de l’objet de décoration et de la signature olfactive, Baobab Collection a su se créer une identité unique ave ses bougies reconnaissables entre toutes. L’histoire de la marque débute en 2002 dans les paysages enchanteurs de la Tanzanie. Puis c’est en Belgique que les collections sont créées. Reconnue pour son savoir-faire unique, la marque belge sélectionne avec soin ses matières premières, la cire minérale vient d’Allemagne, les verres de Pologne, les cuirs d’Italie et les parfums sont élaborés à Grasse. Toutes les bougies sont coulées à la main, dans des verres soufflés à la bouche par des artisans verriers, faisant de chaque pièce un modèle unique. Une collection qui compte aujourd’hui un grand nombre d’inconditionnels ! Nul doute qu’ils seront également conquis par la nouvelle collection de diffuseurs de parfum Totem assortie aux collections phares des bougies de Baobab Collection : Black Pearls, White Pearls, Platinum, Aurum, Feathers et Feathers Touareg. Deux flacons sont proposés dans chaque gamme, un grand qui peut contenir environ cinq litres de parfum et un plus petit pouvant contenir environ deux litres

de parfum. Les flacons sont vendus vides avec leurs recharges de parfum correspondant aux identités olfactives des bougies portant le même nom. Chaque flacon est terminé par un bouchon en céramique unique et décoratif réalisé à la main par des artisans portugais. Un objet de décoration à part entière qui trouvera élégamment sa place sur la table du salon ou la console de l’entrée. Une belle inspiration pour Noël !

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2 4 BOTTLES LA G OUR DE DE SI GN ET ÉC O L O GI QUE En 2013, les italiens Giovanni et Matteo se sont fixés une mission : réduire le nombre de bouteilles plastique utilisées chaque jour. Ils ont donc élaboré une gamme de bouteilles en inox réutilisables et stylées : 24Bottles était née. La marque italienne propose une

large gamme de bouteilles en inox alimentaire, sans bisphénol A, aux designs soignés et faciles à transporter tout au long de la journée. Plus solides et saines que leur équivalent plastique, les bouteilles 24Bottles tiennent le pari d’une alternative durable aux bouteilles jetables. « Pour nous, un design bien pensé peut aider à améliorer la santé et la qualité de vie des gens, tout en s’harmonisant à leur style et ce d’une

façon écologique. En tant qu’entreprise, nous faisons tout notre possible pour réduire chaque jour un peu plus notre impact sur l’environnement.» Chaque bouteille est ainsi gravée d’un chiffre : -0,08. « C’est la quantité de CO2 (80g) en moins dans l’atmosphère à chaque fois que vous choisissez de boire dans votre bouteille 24Bottles plutôt que dans une bouteille plastique. » La démarche du duo se veut la plus durable possible. C’est pourquoi ils tentent de contrebalancer l’impact carbone de la fabrication de ces bouteilles en plantant des arbres dans cinq pays, de l’Italie au Népal, en passant par le Mexique. Et l’on peut être écologique sans pour autant sacrifier design et esthétisme. Avec 24Bottles le style n’est pas en reste, bien au contraire ! Présent dans plus de trente pays à travers le monde, 24Bottles propose des modèles aux look varié et multiplie les collaborations : Reebok, Vivienne Westwood, Musée ThyssenBornemisza de Madrid… Les produits 24Bottles combinent un design moderne et attractif et un poids hyper léger, pour un mode de vie plus durable et confortable, tout en gardant un style à la pointe. Un sans faute ! www.24bottles.com

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NOMADE La Roche-Posay lance le nouveau Anthélios Pocket au format nomade (30 ml) à glisser dans toutes les poches. Un lait hydratant pour le visage et le corps pour une protection optimale solaire en haut des cimes. www.laroche-posay.fr

BARRIÈRE CUTANÉE Enrichi en céramides essentiels et en acide hyaluronique, le baume hydratant CeraVe diffuse en continu ses actifs pour hydrater et protéger la peau toute la journée. www.cerave.fr

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GOURMAND BAUME À LÈVRES BIO COCO AROMAZONE Riche en huile végétale de Coco BIO, en beurre de Karité BIO et en Bisabolol végétal BIO, réparateur, ce soin naturel nourrit, protège et adoucit les lèvres. Un baume à croquer ! www.aroma-zone.com

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INTENSE La crème Intensive Nourrissante et Réparatrice Benefiance de Shiseido enveloppe le visage d’un voile protecteur qui nourrit et assouplit l’épiderme. Sa texture ultra riche procure un apaisement immédiat aux peaux malmenées par l’hiver. www.shiseido.fr

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BAGUTTA

À L’HEURE DU RENOUVEAU Depuis 1945, la marque Bagutta nous propose des classiques de nos garde-robes dans un style inimitable. Avec une capacité surprenante à renouveler la tradition du prêt à porter italien de haute qualité, la maison Bagutta nous livre cette année une collection automne-hiver 2018 qui revisite les coupes et les matières pour des créations toujours plus exigeantes. Depuis janvier dernier, sous le management du directeur général de l’entreprise Mario Stefano Maran et de la famille Gavazzeni, Bagutta reste fidèle à ses origines tout en portant l’âme de la marque à un tout autre niveau, en testant, transformant et en surprenant sans cesse. Pour cela, Bagutta s’est embarqué dans une révolution à tous les niveaux. Le changement s’est emparé de l’entreprise, d’une refonte de son organisation en interne à la création de collections de prêt-à-porter masculin et féminin proposant la tenue parfaite pour chaque occasion, avec les lignes Bagutta First Dressing Choice, Bagutta Milano, Bagutta The Shirt et Bagutta Contemporary. Pour mettre en valeur le travail accompli, la

marque a fait appel à certains des plus grands noms de la photographie dont David Bailey, Patrick Demarchelier, Peter Lindbergh ou encore Aldo Fallai. Ces artistes qui ont mis leur talent au service de la marque exaltent la force de ses créations. Grâce à ce souffle de nouveauté, la marque a été adoptée par certaines des personnalités les plus en vue d’Italie, et connait une notoriété grandissante en Extrême Orient. Elle peut aussi désormais se vanter de s’être fait une place dans les plus grands magasins de luxe japonais, Isetan, Bearns and Barneys et dans l’enseigne de luxe sud-coréenne Shingsegae. En juin dernier, c’est par sa collaboration avec l’entrepreneur italien et icône

de la mode Alessandro Squarzi que la marque a fait parler d’elle. Sa collection capsule Bagutta x Alessandro Squarzi a fait sensation en juin dernier au salon Pitti Uomo. La collection est née de la décision d’exprimer les valeurs fondamentales de Bagutta en se concentrant sur cet incontournable qu’est la chemise, dans une célébration du style et de la sophistication. C’est sans-doute le relooking le plus profond que la marque a pu entreprendre ces dix dernières années, un effort ambitieux entrepris avec passion, recherche constante de la perfection et une confiance totale dans la qualité des produits. Une marque à suivre !

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Mar rakech singulière

Marrakech fait rêver. Yves Saint Laurent en est tombé amoureux, la jet set bohème des années 70 fut captivée par la magie singulière de cette destination, depuis, la ville ne cesse de séduire. Voyageurs mais aussi artistes et designers ne jurent plus que par elle. Avec l’ouverture du Musée Yves Saint Laurent, Marrakech est de nouveau sous les lumières. Appréciée pour son climat, son art de vivre, sa créativité ou encore sa gastronomie, la ville se singularise par ses magnifiques riads qui bénéficient de soigneuses rénovations, quintessence d’une décoration dans l’air du temps qui inspire plus que jamais instagrameurs et magazines. De belles adresses avec toits-terrasses et luxuriants patios fleurissent au cœur de la médina, rivalisant de style. Des invitations à la contemplation et au dépaysement à l’abri de l’effervescence de la ville. © Zoltan Tasi - Unplash

Ville de couleurs et de senteurs, riche de son histoire et de ses contrastes, Marrakech vibre et nous enivre. On se laisse emporter par l’effervescence de ses ruelles, de ses marchés, envoûter par le calme et l’élégance de ses insoupçonnables riads. Le temps ne semble pas avoir d’emprise sur l’ancienne cité impériale qui ne dort jamais. Ni tout à fait une autre, ni tout à fait la même, elle se découvre de mille façons… L’équipe des Editions Iconiques vous dévoile la ville rouge telle qu’elle l’aime, authentique, attachante ou somptueuse.

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Marrakech plurielle

© Frederico Gutierrez - Unplash

Mais Marrakech surprend avant tout pour ses contrastes. Alors qu’à quelques mètres des quartiers les plus populaires se dressent palaces et luxueux riads, qu’une horde de mobylettes usagées se faufile au milieu des taxis hélés par les nombreux touristes, les femmes voilées cohabitent avec des jeunes filles courtes vêtues. Sous une lumière changeante, la couleur des luxuriants bougainvilliers, se mêle, quant à elle à celle des façades rougeoyantes et des paniers d’épices. Tout n’est qu’exubérance ! Sur les traces de notre guide, nous approchons le cœur le la ville, la Médina. Nous traversons le quartier du Guéliz, la nouvelle ville moderne avec ses nombreux commerces et restaurants et l’Hivernage, ancien quartier fondé par les Français sous le Protectorat, apprécié pour ses élégantes maisons entourées de jardins, ses somptueux hôtels où il fait bon séjourner à l’écart de l’agitation de la ville. Enfin nous passons les remparts qui délimitent la Médina, cœur historique de Marrakech, inscrite

depuis 1985 au patrimoine mondial de l’Unesco. La vieille ville quasi millénaire a conservé son architecture, ses palais, ses jardins, ses souks mais surtout son âme. Si la Place Jemaa El Fna fait partie des lieux incontournables de la Médina, déambuler dans ses ruelles, sur ses marchés traditionnels et populaires vous plonge là où bat le cœur de la ville. La médina ce n’est pas que des échoppes et des artisans. Partager un instant la vie quotidienne des marrakis c’est prendre le temps d’acheter un pain au vieillard ambulant, côtoyer ces femmes qui se retrouvent au hammam, partager un thé à la menthe, à l’écart des adresses touristiques. Et si l’on ne peut que vous inciter à visiter le Jardin Majorelle (en dehors des heures d’affluence), le Palais de la Bahia ou encore le Musée Yves Saint Laurent, laissez vous inspirer au détour d’une ruelle ou au delà des remparts. Si Marrakech est unique et singulière elle est aussi multiple. Tout simplement envoûtante.


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Yves Saint Laurent. Place Djemaa El Fna ® Reginald Gray

« Au Maroc,
j’ai compris que mon propre chromatisme était celui des zelliges,
des zouacs, des jellabas et des caftans. Les audaces
qui sont depuis les miennes, je les dois à ce pays, à la violence des accords, à l’insolence des mélanges, à l’ardeur des inventions.
Cette culture est devenue la mienne, mais je ne me suis pas contenté
de l’importer, je l’ai annexée, transformée, adaptée. » Pierre Bergé et Yves Saint Laurent

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Yves Saint Laurent et Marrakech

© Didier Fèvre

Nous sommes en 1966, le couturier Yves Saint Laurent se rend pour la première fois à Marrakech avec Pierre Bergé. Un voyage dans la ville ocre qui marquera pour toujours sa vie personnelle mais aussi professionnelle. Avec Marrakech, Yves Saint Laurent, qui ne jurait jusqu’alors que par le noir, découvre les couleurs, fasciné par les habits traditionnels des femmes, les jellabas, les foulards mais aussi les façades colorées et la luxuriante végétation. La ville devint rapidement sa nouvelle source d’inspiration. Un lieu de rencontres artistiques, de

découverte culturelle et surtout un eden pour le couturier qui choisit d’y séjourner régulièrement. Totalement épris de cette ville aux 1001 couleurs, les deux hommes font l’acquisition d’une maison dans la médina «Dar el Hanch» avant de devenir propriétaires en 1980 de la villa Oasis et des jardins de Majorelle, ayant appartenus au célèbre peintre. Un lieu qui inspire Yves Saint Laurent, notamment pour son « bleu Majorelle » si particulier. Tous les ans avant chaque collection, le couturier part quinze jours à Marrakech pour dessiner ses croquis

loin de l’effervescence parisienne. C’est ici, que Pierre Bergé et Yves Saint Laurent vivront leurs plus belles années, partageront leur amour mais aussi leur travail. A la mort d’Yves Saint Laurent en 2008, ses cendres sont dispersées dans la roseraie de la villa Oasis et un mémorial est édifié dans le Jardin Majorelle. Un hommage à l’amour du génie pour la ville ocre qui se poursuit avec la création du Musée Yves Saint Laurent consacré à son œuvre.

« Lorsqu’ Yves Saint Laurent découvrit Marrakech 
en 1966, ce fut un tel choc qu’il décida 
tout de suite d’y acheter une maison et d’y revenir régulièrement. Il est donc parfaitement naturel, cinquante ans après,
d’y construire un musée
 consacré à son œuvre qui doit tant à ce pays. » écrit Pierre Bergé à l’initiative du projet. Le 8 septembre 2017, ce dernier s’éteint à l’âge de 86 ans sans avoir pu inaugurer le musée qui ouvre ses portes en octobre 2017.

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Le musée YVES SAINT LAURENT marrakech Situé rue Yves Saint Laurent, à proximité du Jardin de Majorelle, le musée de 4 000 m² ouvre ses portes au public le 19 octobre 2017.

Dédié au couturier et à son œuvre, il accueille une partie de la collection de la Fondation Pierre Bergé – Yves Saint Laurent qui comprend 5 000 vêtements, 15 000 accessoires haute couture, ainsi que des dizaines de milliers de dessins, conservés au 5 avenue Marceau à Paris. Plus qu’une rétrospective incluant les «incontournables» d’Yves Saint Laurent (le caban, la robe Mondrian, le smoking, la saharienne) l’exposition, ancrée à Marrakech, est un voyage au cœur de ses inspirations. Cinquante modèles articulés autour des thèmes chers à Yves Saint Laurent (le « Masculin-Féminin », « le Noir », « l’Afrique et le Maroc », « les

www.mus eeys lma rra k ec h . c om Rue Y ves St Lauren t, M ar r akech 40 0 0 0 , M ar o c

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voyages imaginaires », « les jardins », « l’art ») dont certains rarement présentés au public sont magnifiés dans un écrin noir et minimal par la scénographie de Christophe Martin. On découvre également l’univers du couturier, ses dessins, des étoffes, des photographies…, avec en fond sonore la voix d’Yves Saint Laurent, envoûtante !

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Le musée accueille également une salle d’exposition temporaire, une bibliothèque de recherche rassemblant plus 5 000 ouvrages, un auditorium de 150 places, un café terrasse et une librairie directement inspirée de la première boutique d’Yves Saint Laurent Rive Gauche, à Paris. C’est aussi un hommage au parfum Opium, à travers le rappel à la laque bordeaux du flacon de parfum. La conception du projet du musée a été confiée à Studio KO, un cabinet d’architectes fondé par Olivier Marty et Karl Fournier. Le tandem s’est inspiré des courbes et des lignes droites, de la succession des déliés et coupe présents dans l’œuvre d’Yves Saint Laurent pour concevoir un bâtiment

pour le moins singulier. Un projet qui répond au cahier des charges de Pierre Bergé qui ne souhaitait pas de grandiloquence mais un bâtiment à l’architecture à la fois contemporaine et marocaine qui se fonde dans son environnement notamment avec une gamme de couleurs conforme à celle de Marrakech, entre le rose et l’ocre. En façade, il se présente comme un assemblage de cubes, habillés de dentelles de briques, motifs qui rappellent la trame d’un tissu. L’intérieur lui, telle une doublure de vêtement, est lisse, lumineux, doux et apaisant. La lumière illumine l’atrium et sa fontaine pavée de zelliges verts. Autre caractéristique de ce lieu hors du commun, ses vitraux aux couleurs du

Maroc qui sont également celles de Saint Laurent. L’entrée se fait par un passage étroit qui nous mène sur une cour circulaire dans laquelle trônent sur un mur en béton bouchardé dans un décor minimaliste, les trois lettres YSL. Le Studio KO signe également le patio intérieur, typique des maisons marocaines couvert de zelliges verts tandis que le paysagiste Madison Cox a soigné les jardins avec notamment des lianes de Floride qui tombent en cascade du toit, une abondance de plantes luxuriantes sans oublier les odorants figuiers. Une immersion dans l’univers du couturier mais aussi dans le Maroc qu’il aimait. Incontournable.

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« Très vite nous devînmes familiers de ce jardin, il n’était guère de jours sans que nous nous y rendions. Il était ouvert au public mais il n’y avait presque personne. Nous fûmes séduits par cette oasis où les couleurs de Matisse se mêlent à celles de la nature. » Yves Saint Laurent, Une passion marocaine, de Pierre Bergé Éditions de la Martinière, 2010

Jardin Majorelle L’eden au bleu intense Yves Saint Laurent et Pierre Bergé découvrent le jardin Majorelle en 1966, au cours de leur premier séjour à Marrakech. C’est un coup de foudre, une source d’inspiration pour le couturier ébloui par les couleurs uniques de cet eden au cœur de Marrakech dont les origines remontent aux années 20.

www.jardinmaj orelle. c om

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En 1919 le peintre français Jacques Majorelle (1886-1962) s’installe dans la médina de Marrakech qui était alors sous protectorat français. En 1922, il achète une palmeraie en bordure de celle de Marrakech et fait construire sept ans plus tard la Villa Bousafsaf d’architecture classique marocaine. En 1931, il fait appel à l’architecte Paul Sinoir pour lui concevoir une villa cubiste, bâtie près de sa première maison. Il y aménage une habitation au premier étage et un vaste atelier d’artiste au rez-de-chaussée pour peindre ses immenses décors. Des balcons et une pergola d’inspiration arabe viendront transformer la construction en 1933. Autour de sa demeure, Jacques Majorelle, passionné de botanique, va créer un jardin luxuriant qui sera son tableau le plus éclatant. Ce jardin est

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une œuvre d’art vivante, composé de plantes exotiques et d’espèces rares, qu’il rapporte des voyages qu’il effectue dans le monde entier: cactus, yuccas, nénuphars, nymphéas, jasmins, bougainvillées, palmiers, cocotiers, bananiers, bambous... Pendant près de quarante ans, il continuera à l’enrichir de nouvelles variétés de plantes venues des cinq continents pour en faire « une cathédrale de formes et de couleurs », « un jardin impressionniste ».En 1937 l’artiste crée un bleu outremer cobalt, « qui rappelle l’Afrique » fort, profond, intense : le bleu Majorelle, dont il teinte son jardin qu’il ouvre au public en 1947. Lorsque Jacques Majorelle décède en 1962, le jardin est totalement laissé à l’abandon jusqu’à son acquisition en 1980 par Yves Saint Laurent et Pierre Bergé qui la rebaptisent Villa Oasis.
 Les nou-

veaux propriétaires décident d’habiter la villa et entreprennent d’importants travaux de restauration du jardin Au décès d’Yves Saint Laurent, Pierre Bergé décide de faire don du Jardin Majorelle à la Fondation Pierre Bergé – Yves Saint Laurent. Le jardin, qui se déploie sur moins d’un demi-hectare aujourd’hui, est un havre de fraîcheur avec ses bassins, ses chemins d’eau et ses fontaines. Eden des oiseaux, havre de paix à l’abri du brouhaha de la ville, le jardin est malheureusement aussi envahi par les nombreux touristes et visiteurs (plus de 700 000 par an !) venus des quatre coins du monde qui se pressent pour être pris en photo devant le bleu des façades si renommé. A voir impérativement aux heures les moins fréquentées pour apprécier pleinement la magie des lieux.


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Insiders Marrakech en sidecar vintage Insiders, agence spécialisée en slow travel à bord de véhicules vintage vous propose de vivre une expérience unique en dehors des sentiers battus. A l’origine du projet, Thomas Chabrières qui fonde son entreprise il y a une dizaine d’années à Shangaï puis à Marrakech. Son constat ? La meilleure façon pour découvrir une ville est de se laisser guider par un ami qui y vit depuis des années. C’est

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pourquoi il propose de prendre place aux côtés de ses insiders, architectes, designers, paysagistes, ou professeurs qui prennent sur leur temps libre pour faire découvrir leur Marrakech inattendu hors pistes, ses trésors cachés, ses adresses confidentielles et improbables… Le programme ? Le vôtre ! Conçu en fonction de vos envies et centre d’intérêt, Insiders vous emmène dans la Palmeraie,

dans la Médina pousser les portes de riads secrets, bourlinguer dans le désert d’Agafay, passer une nuit dans une casbah en pleine montagne… Le tout à bord d’un sidecar vintage pour vous offrir une expérience vraiment unique. En option, la compagnie d’un photographe professionnel ou la mise à disposition d’une gopro pour immortaliser votre ride, sans oublier la bouteille de champagne !

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© Marianne Majerus

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Le Jar din Secret Renaissance d’un eden abandonné Inauguré l’an dernier et ouvert pour la première fois au grand public, le Jardin Secret porte bien son nom. Qui pourrait croire, dans la médina, qu’un tel palais et jardin se cachent derrière ces murs du XVIe siècle ? Un véritable eden. Conçu au cours de la deuxième moitié du XVIème siècle, l’endroit a traversé les époques et les affres de l’histoire, affrontant effondrement et renais-

sance à plusieurs reprises. Aujourd’hui, le jardin nous offre une chance unique de flâner au cœur de l’un des plus grands et des plus anciens riads de la médina de Marrakech. De grands travaux ont été entrepris en 2013 afin de rendre à l’endroit laissé à l’abandon durant des décennies sa splendeur passée. La réussite est totale. Au gré des déambulations, l’endroit propose au visiteur de découvrir l’histoire du

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jardin, de son architecture et des arts qui l’agrémentent. Le cœur du jardin est une oasis de fraicheur dans la chaleur de la ville. Les fontaines, vasques et bassins du riad créent reflets et jeux de lumière dans chaque recoin, tandis que le murmure de l’eau invite à la détente Les oiseaux sont au paradis, et nous aussi !

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Where to stay ?

photos © La Mamounia - Marrakech

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La Mamounia Histoire d’un mythe ! Pour toute rédaction, concevoir un article sur Marrakech implique d’évoquer les hauts lieux historiques et emblématiques de la ville. La Mamounia, hôtel 5 étoiles au nom évocateur de luxe et d’excellence fait fantasmer voyageurs, esthètes et épicuriens depuis des siècles. Retour sur l’histoire d’un palace mythique…

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L’histoire de La Mamounia remonte au XVIIIème siècle avec le sultan alaouite Sidi Mohammed Ben Abdallah qui avait pour habitude d’offrir un domaine en cadeau de mariage à chacun de ses fils. C’est ainsi que ses quatre fils: Abdessalam, Mamoun, Moussa, et Hassan sont devenus les éponymes des jardins qu’ils ont reçus du Roi. Ces jardins « Arsats » sont connus encore aujourd’hui, mais seul arsat Al Mamoun ayant appartenu au prince Mamoun deviendra célèbre et inspirera le nom de La Mamounia. Deux siècles plus tard, sur une superficie de quinze hectares, est créé l’hôtel, propriété de l’Office national des chemins de fer (ONCF).En 1923,

les architectes Henri Prost et Marchisio dirigent le début des travaux avec comme maître d’ouvrage, Jacques Majorelle. Celui-ci décore notamment le salon qui porte aujourd’hui son nom. En 1925, l’hôtel, à la décoration sobre et moderne ouvre ses portes et très vite bénéficie d’une renommée internationale. Au fil des années, la réputation de Marrakech et de La Mamounia attire les personnalités du cinéma, de la musique, du show bizz et du monde politique. Winston Churchill y établissait ses quartiers d’hiver. Il avait pour habitude d’aller de balcon en balcon pour guetter le soleil comme pour mieux capter les couleurs et les

reproduire sur ses toiles. Plusieurs de ses peintures, représentant le parc ou certains coins de l’hôtel, peuvent être admirés au Musée Churchill en Angleterre. On raconte aussi que le Général de Gaulle y a également passé une nuit à cette époque ; le directeur de l’hôtel aurait été obligé de confectionner un lit à la mesure du grand homme. Le lieu inspire les cinéastes français et américains. Jean Tissier y tournera « Alerte au sud » avec Eric Von Stroheim en 1953, Alfred Hitchcock « L’homme qui en savait trop » et, plus récemment, l’hôtel sert de décor au film « Queen of the Desert » de Werner Herzog.

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La Mamounia accueille depuis décembre 2017 la première boutique Pierre Hermé du continent Africain.

L’hôtel a connu de nombreuses restaurations jusqu’à la dernière en 2009 qui a su redonner au palace toute sa splendeur d’antan dans un style arabomauresque. Remarquable pour ses 135 chambres 65 suites, 6 suites d’exception, 3 riads et son spa de 2500 m², la Mamounia émerveille par ses jardins qui s’étendent sur 8 hectares. Un domaine délimité par des remparts datant du 12ème siècle composé de 700 orangers, 5 000 rosiers, 21 espèces de cactus et 6 de palmiers, 200 oliviers... des chiffres mais surtout un festival de couleurs, de senteurs, de formes, de textures ! Citronniers, jacarandas, bougainvilliers, amarantes agaves, figuiers de Barbarie..., les jardins de La Mamounia sont façonnés par la main de jardiniers passionnés depuis plus de quatre-vingt-dix ans ! S’échapper dans ces jardins au calme presque incongru à l’écart de l’agitation de la ville est une parenthèse enchantée. Côté table, coup de coeur pour l’incontournable restaurant Marocain, petit pavillon de 3 étages dans le parc qui

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offre des espaces intimes, des petits salons privés dans lesquels des musiciens passent jouer du luth pour une totale immersion culturelle ! Le chef Rachid Agouray revisite la gastronomie nationale. Au menu sont présentés des mets classiques, familiaux, mais également une carte contemporaine à base de produits inédits comme la fameuse pastilla au homard et épinards.

Un écrin soigneusement pensé pour mettre en valeur et faire découvrir les couleurs, saveurs et textures des délicieuses créations raffinées. La boutique Pierre Hermé propose à la clientèle du mythique établissement les classiques du grand Chef, des petits plaisirs Marocains revisités en plus de pâtisseries exclusives renouvelées au gré de l’inspiration de celui qui a été nommé le meilleur pâtissier du monde en 2016 par l’Académie des World’s 50 Best Restaurants.


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Riad Dar Kawa by Valérie Barkowski Il faut se rendre dans un des plus anciens quartiers de la médina « Kaat Ben Nahed », à proximité de la Medersa Ben Youssef et de la Place des Epices pour pénétrer dans le Riad Dar Kawa, demeure à l’architecture saadienne construite au début du 17ème siècle.

www.darkawa.net 41 Derb Sidi Lahce n o u A l i , Bab D o u kkal a, 40 0 0 0 M a r r a k e c h

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Il règne ici une atmosphère inspirante par sa simplicité. La décoration combine tradition marocaine et influence contemporaine dans un ensemble raffiné sans être pompeux. Un luxe subtil comme on l’aime.

Un luxe subtil comme on l’aime.

Il faut dire que sa propriétaire des lieux n’est autre que Valérie Barkowski, créatrice belge qui a apporté sa touche personnelle dans l’aménagement et le choix des matériaux. Pour la rénovation elle s’est entourée de l’architecte Quentin Wilbaux, passionné par l’architecture islamique, qui tente de sauver les veilles demeures de la médina de Marrakech depuis trente ans dans le respect des matériaux et de l’architecture traditionnelle. Un duo de taille qui a su restaurer le riad avec justesse pour lui apporter tout le confort moderne tout en conservant son style d’époque. La maison, qui s’articule autour du patio s’apprécie en toutes saisons avec ces

différents espaces intérieurs et extérieurs. L’été, on cherche la fraîcheur au rez-de-chaussée. L’hiver, on vit sur la terrasse, plus proche du soleil. Les tons neutres et les éléments décoratifs remarquables par leur simplicité contribuent à un sentiment d’apaisement mais aussi de voyage et d’évasion. Les textiles signés Valérie Barkowski s’associent avec un mobilier essentiellement acheté au Maroc, un canapé Caravane et des luminaires de La Maison Pernoise. En bonus ? Une cuisine maison qui fleure bon les produits locaux. Pour se sentir chez soi tout en étant merveilleusement dépaysé.

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L’Hôtel Marrakech by Jasper Conran Après le design et le stylisme, le designer anglais Jasper Conran a choisi la ville rouge et une demeure historique du 19ème pour se lancer dans l’hôtellerie. Le résultat est à la hauteur de toutes les attentes. Idéalement situé à proximité de la Mosquée Koutoubia du 12ème siècle, l’hôtel Marrakech est un riad composé de cinq suites spacieuses qui entourent un luxuriant jardin et une piscine de 10 mètres, rarissime au sein de la médina. Baigné par des effluves de fleurs d’orangers et de jasmin, le lieu est un concentré des passions du styliste anglais, la décoration épurée, l’élégance des années 1930, la tradition marocaine. Une ‘Jasper Conran touch” qui donne à cette maison son caractère si singulier. Véritable eden, le riad allie le savoir-faire marocain au mobilier ancien et aux objets d’art de la collection du propriétaire. La restauration a été exécutée avec des artisans locaux et des matériaux traditionnels, tandis que la décoration

adopte un syle chaleureux et intemporel : rideaux de voile blanc sur les terrasses, simples murs blanchis à la chaux, hauts plafonds zouak, couleurs reposantes… Coup de coeur pour le jardin planté de bananiers, d’orangers et de citronniers et la terrasse sur le toit qui offre une vue extraordinaire sur les montagnes de l’Atlas. Le petit-déjeuner, le déjeuner et le thé l’après-midi peuvent être pris sous la pergola entre chevrefeuilles et bougainvillés qui descendent en cascade sur les murs. Un pur bonheur ! Le soir, le dîner peut être dégusté dans la salle à manger et quand les nuits sont plus fraîches, qu’il est bon de se retrouver devant le feu de cheminée. Car l’hôtel Marrakech vous accueille en toute saison avec une piscine chauffée sublimée la nuit lorsque les lanternes et les bougies sont allumées. Une version romantique de Marrakech qui s’inspire des hotels des années 30 au charme indéniable. Un pari réussi.

www.l-hot elmarr a k ec h . c om 41 Derb Sidi Lahce n o u A l i , Bab D o u kkal a, 40 0 0 0 M a r r a k e c h

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Cinq suites spacieuses qui entourent un luxuriant jardin et une piscine de 10 mètres

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Riad Tarabel Un semblant de paradis Vous recherchez un havre de paix au cœur de la vieille médina de Marrakech ? Un écrin verdoyant imperceptible depuis l’extérieur nous ouvre les portes d’un petit paradis !

www.r iadt arabel.c om 8 Derb Sraghna, Qu ar ti er D ar El Bacha, M ar r akech

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Le riad Tarabel est une demeure ancienne que Rose Fournier et Léonard Degoy ont redessiné avec goût à deux pas de la célèbre place Jemaa El Fna et à côté du palais Dar El Bacha.

Un style second Empire sur les vestiges d’une architecture araboandalouse

Rénové dans un style second Empire sur les vestiges d’une architecture arabo-andalouse, la maison conçue autour de trois cours est façonnée dans le plus pur esprit des anciennes demeures coloniales. Un lieu qui nous fait revivre l’âge d’or de la ville rouge avec ses photos anciennes, ses oiseaux de paradis et ses meubles de famille. Ici le temps semble s’être arrêté. Tout invite à la contemplation et au repos. Les chaises longues en rotin, le frémissement du vent dans les feuillages, le clapotis de l’eau nous fait oublier que nous sommes au cœur de la bouillonnante médina ! Le riad dispose de dix chambres (trois chambres, une chambre supérieure,

trois suites junior et trois suites), une piscine installée dans un riad destiné uniquement à celle-ci, un espace restauration et un lounge bar. L’ouverture d’un Spa est prévue pour le mois d’avril 2019. Une exquise évasion le temps d’un rêve éveillé.

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Kulchi Tapis et plus encore… Le tapis berbère, chouchou des intérieurs et des magazines déco trouve sa place partout. On l’aime pour son authenticité et surtout pour toutes les histoires qu’il raconte… Il donne une touche ethnique, évoque les contrées lointaines. C’est au Maroc que l’australienne Cassandra Karinski, fondatrice de Kulchi, découvre son goût immodéré pour le design et la décoration. Inspirée par les intérieurs de Marrakech, elle

www.kulchi.com 60 R ahba derb N khal , 40 0 3 0 M ar r akech

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imagine volontiers les pièces, tapis, textiles et ameublement s’exporter dans les maisons du monde entier, à apporter partout. Elle parcourt le Maroc, ses souks et ses villages pour dénicher notamment des tapis de qualité, des pièces uniques et originales. Elle tisse des liens étroits avec des fournisseurs de confiance, des relations privilégiées qui lui permettent de proposer à ses clients des tapis dimensionnés et

personnalisés selon la demande. Les plus anciennes pièces berbères traditionnelles comme les kilims tissés à la main par les femmes berbères à l’aide de laine d’agneau 100% naturelle sont toutes uniques, caractéristiques de leurs régions d’origine. Kulchi enrichit régulièrement ses collections de nouveautés, textiles, mobilier et pièces de créateurs… A retrouver dans le showroom au cœur de la Médina.

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Yahya L’homme qui sculpte la lumière Ses œuvres lumineuses investissent les plus beaux hôtels de Marrakech, les palais royaux et somptueuses villas… Yahya Rouach est un artiste né à Londres dont les créations ont acquis une renommée mondiale. Autodidacte il découvre le travail du métal, l’art de la dinanderie lors d’un voyage au Maroc. Depuis dans son atelier de Marrakech, il travaille les métaux pour créer des œuvres uniques au

design épuré remarquables par leur raffinement et la perfection des finitions. Inspirées par l’Orient et dignes d’un conte des mille et une nuits, elles sont merveilleusement réinterprétées de manière minimaliste et contemporaine. Un mariage entre Orient et Occident qui les rend si singulières. Chaque pièce est soigneusement créée à la main en collaboration avec les artisans de Marrakech et de Fès,

www.yahyacr ea ti on . c om

un travail d’orfèvre jusque dans les moindres détails. Fasciné par les jeux de lumière, Yahya signe une collection de luminaires empreinte de poésie et d’élégance et redonne à l’art de la dinanderie ses lettres de noblesse. Un univers enchanteur. 1. Lustre flamme 2. Lustre boule 3. Table octogonale

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61 rue Y oug oslav i e, P as s ag e Ghan do u r i , n ° 49, Gué li z, M a r r a k e c h photos © Benoit Linero

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The Moroccans Tout le terroir marocain dans une crème ! C’est dans la prestigieuse rue Yves Saint Laurent à côté du musée éponyme et des Jardins de Majorelle que nous découvrons la première boutique lancée par The Moroccans. La jeune marque de cosmétiques naturels est présentée aux côtés d’autres designers marocains dans un concept store chic et branché qui rend hommage au Maroc. A l’origine de The Moroccans, un duo de jeunes marocains qui décident fin 2015 de créer une gamme de cosmétiques naturels qui s’inspire du terroir, respecte la nature et l’homme. The Moroccans dispose de sa propre oliveraie et de son laboratoire situés entre Essaouira et Marrackech et s’attache depuis toujours à encourager le commerce équitable, le progrès social et humain en confiant la fabrication de sa gamme de produits à une coopérative du sud marocain. En hommage à ces mains expertes dans l’extraction de l’huile, à ce savoir-faire ancestral, les portraits des femmes travaillant au sein de la coopérative ornent le packaging de certains produits. Sous ces emballages originaux et pratiques, se cachent des produits aux vertus étonnantes ! Des vertus puisées dans les plantes, le terroir marocain, la

www.t hemoroccan s . m a

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nature qui offre ce qu’elle a de meilleur. Le Savon Noir à l’huile d’olive, l’Argile « Rassoul » au géranium, le baume à lèvre à la cire d’abeille et miel, l’Eau Rose de Megouna, l’Eau de fleur d’oranger, le Henné à la rose de Damas et les fabuleux gommages au miel et bois de cèdre…, autant de produits conçus selon des recettes inédites et originales qui préservent au maximum l’efficacité naturelle des ingrédients. Bien connue des femmes berbères qui l’utilisent depuis toujours pour se protéger du vent brûlant du désert, et préserver leur beauté, l’huile de Figue de

Barbarie enrichit également la gamme, considérée comme le meilleur antiride naturel de par sa richesse incomparable en vitamine E. Des produits désormais disponibles sur la E-boutique avec une livraison partout dans le monde. Voilà une excellente nouvelle !

Les cosmétiques qui célèbrent le Maroc et la nature

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Cha bi Chic Les objets Chabi Chic envahissent toute la maison, du petit accessoire de déco aux senteurs d’intérieur. La marque créée il y a quatre ans propose à l’origine un large choix de vaisselles aux motifs traditionnels marocaines faites à la main par des artisans marocains. Mais très vite la gamme s’élargit avec des articles de décoration mais aussi de mode, une ligne inspirée de l’art de vivre et du design traditionnel marocain. Chabi Chic a été créé par Vanessa Di Mino

et Nadia Noël. Toutes deux originaires de Paris, elles se sont installées à Marrakech il y a plus de dix ans. A l’affût des nouvelles tendances, elles créent une marque à leur image, authentique, chic et dans l’air du temps. Présente à Marrakech dans ses propres boutiques, Chabi Chic est également diffusée dans 200 points de vente dans le monde. Depuis septembre, elle accueille sa clientèle dans le quartier de Guéliz au sein d’une Villa de 1000 m² sur trois niveaux où les visiteurs peuvent

www.chabi-chic.com 322 rue Princip ale, ZI . Si di Ghan em , 40 0 0 0 M ar r ake c h

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désormais pleinement vivre l’expérience et le style Chabi Chic. Outre les créations de la marque, la Villa comprend un Candle Bar pour faire confectionner une bougie avec la senteur de son choix, un restaurant autour des tapas «MAROCAINS» (servies dans la vaisselle Chabi Chic bien-sûr !) ainsi qu’un SPA où sont dévoilés les secrets de beauté traditionnels marocains… Un beau projet travaillé en secret depuis 8 mois avec les fondatrices. Une visite s’impose ! by Sophi e Gui var c ’h


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Lalla On ne jure que par ses pochettes en éponge, ses sacs bourse en peau qui complètent parfaitement nos tenues…les créations de Laetitia sont toutes des pièces uniques ou des séries limitées au look ethnic chic. La fondatrice de sa propre marque de Sacs et d’Accessoires baptisée LALLA (qui signifie « Madame » en Arabe) mélangent les matières, scrute les tendances pour offrir une sélection de pochettes, besaces en cuir, cabas, trousses, bracelets fantaisie, petit mobilier qu’elle expose dans sa boutique de Guéliz.… Une mise en scène soignée et une collection qui compte aujourd’hui ses inconditionnels dans le monde entier

www.lalla.fr 3 5 boulevard E l M an s o u r Eddahbi , 40 0 0 0 M ar r ak e c h photo © Cécile Perrinet Lhermitte

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French Touch !

Château de la Chaize © Jean-Luc Mege

Afin de vous extraire, une fois n’est pas coutume, de la morosité ambiante, les Editions iconiques ont choisi de partir à la rencontre d’hommes et de femmes qui portent à bras le corps l’envie de faire rayonner la France, assument pleinement leur amour d’un terroir exceptionnel et d’un art de vivre perpétué depuis des siècles. Conscients de la richesse unique de notre patrimoine, ils sont les défenseurs et les ambassadeurs de la France que l’on aime, celle de nos vignobles, de nos montagnes et du savoir vivre. Des projets menés avec pugnacité et passion qui nous donnent du baume au corps !


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Ariane de Rothschild On c o nn a is s a it l a b a nquièr e p u gn ace, l a femme d ’ affair es au c h a r i s m e et à l ’én ergie natur els, m ai s a vec s o n in ves tissement au s e i n d ’E d mo n d d e Rothschild H e r i t age Aria n e d e R othschild dév o i le s a pa s s io n pour l’ ar t de v i v re et l ’hô tel l erie de lux e. Ren c o ntre a vec u n e f emme f a s c i n an t e.

© Bernard Bisson

Avec l’ouverture de l’hôtel Four Seasons au cœur du Domaine du Mont D’Arbois à Megève, « Madame » comme chacun la nomme ici confirme son ambition de développer les activités non financières du groupe. Et pourtant la Présidente du comité exécutif du Groupe Edmond de Rothschild a déjà fort à faire ! A 52 ans, elle gère d’une main de fer (dans un gant de velours !) la banque d’affaires de la famille, veille entre autres sur les 500 hectares de vignes à travers le monde, les hôtels et restaurants du Mont d’Arbois avec désormais le

Four Seasons, sans oublier d’élever ses 4 filles ! Déterminée, visionnaire et passionnée, Ariane de Rothschild n’a pas découvert la finance et l’investissement en devenant « la femme de », loin s’en faut. Enfant, elle parcourt le monde de la Colombie au Bangladesh, poursuit de hautes études commerciales à Paris avant d’obtenir un MBA de la Pace University à New York. Elle est négociante en devises et métaux au sein de la Société Générale en Australie et à New York, puis rejoint AIG, assureur américain, en 1990. Trois ans plus tard, Ariane Langner (son nom de jeune fille) rencontre Benjamin de Rothschild dont les parents ne sont autres qu’Edmond de Rothschild et la baronne Nadine de Rothschild, grande prêtresse du savoir-vivre !

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FRE N CH TOU CH !

© Anne Charlotte Marcade

L E FO U R S EAS O N S H O T EL , U N E N O U VEL L E ÉT APE DAN S L ’H I S T O I R E D’EDM O N D DE R O T H S C H IL D H ER IT AG E À M EG ÈVE.

© Anne Charlotte Marcade

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Présidente du comité exécutif du Groupe Edmond de Rothschild depuis janvier 2015 et membre du conseil d’administration d’Edmond de Rothschild Heritage, elle est aujourd’hui la seule femme à Genève à diriger une banque privée, reconnue autant pour sa forte personnalité que pour son rire communicatif !

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Entrepreneuse dans l’âme, en décembre 2017, elle ouvre le Four Seasons Hotel Megève sur le Domaine du Mont d’Arbois, un ensemble de chalets composé de 41 chambres et 14 suites, dont l’ ADN reflète un Art de Vivre qui lui est cher.

Noémie de Rothschild a initié le développement du village en tant que station d’hiver dès 1919, avec une ambition ferme : en faire une destination emblématique. Au cours des cent dernières années, la famille s’est attelée à cette tâche, développant deux hôtels, cinq restaurants et un Golf de montagne dix-huit trous. Elle est allée plus loin avec l’ouverture en décembre 2017 d’un Four Seasons Hotel. L’engagement de la famille dans la promotion de Megève sur le long terme reflète la stratégie globale du groupe Edmond de Rothschild Heritage. Ariane de Rothschild a toujours considéré ces activités lifestyle comme un laboratoire d’innovations entrepreneuriales pour le Groupe.


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© Christophe Meireis

© Anne Charlotte Marcade

Situé sur les hauteurs de Megève, face au paysage naturel et frappant du Mont d’Arbois, de la vallée de l’Arly, et des massifs de la Côte 2000, de Rochebrune et du Jaillet, l’hôtel est le premier de Megève à proposer à ses clients un accès direct aux pistes du Mont d’Arbois. Il offre un vaste choix de restaurants et bar, dont Le 1920**. Le chef Julien Gatillon, qui a obtenu deux étoiles Michelin en 2016, est reconnu pour sa cuisine raffinée et délicate, et plusieurs de ses créations culinaires mettent en valeur les produits de la Ferme des Trente Arpents, domaine familial de Benjamin et Ariane de Rothschild, dont le fameux brie de Meaux fermier. « Ne trouvant pas de Brie de Meaux à son goût, Edmond de Rothschild décida de produire son propre brie fermier ! » Dès l’origine du projet, Ariane de Rothschild a été très impliquée dans la décoration intérieure du Four Seasons Hotel Megève et dans la sélection des œuvres d’art. Avec l’architecte Bruno Legrand et le décorateur d’intérieur Pierre-Yves Rochon, qui connaît la famille de longue date, ils ont veillé à ce que l’Hôtel reflète l’histoire et l’art de vivre de la famille Edmond de Rothschild.

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© Taylorand

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La plupart du mobilier et des pièces décoratives de l’Hôtel provient de la collection personnelle d’Ariane de Rothschild, ou a été acheté auprès de fonds d’investissements et de fondations responsables. Le bâtiment est certifié “HQE” (haute qualité environnementale). Dans l’ensemble de l’Hôtel flotte un esprit années 1930, que l’on retrouve dans les cheminées, les motifs géométriques, la piscine ou le Spa. Pierre-Yves Rochon s’est inspiré d’Henry Jacques Le Même, installé à Megève à partir de 1925 et figure majeure de l’architecture du XXe siècle en France, notamment grâce à ses réalisations pionnières dans l’architecture de villégiature des Alpes. Le Spa du Four Seasons Hotel Megève est le plus grand Spa d’hôtel des Alpes françaises : il s’étend sur 900 m². Il dispose de six salles de soins, dont une suite VIP pour les couples avec bain et douche sensorielle et espace de relaxation.

© Anne Charlotte Marcade

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Ici, tout a été pensé pour vivre un séjour unique, du ski safari en hélicoptère dans le Massif du Mont Blanc à la randonnée à cheval. Cours de yoga en plein air sur la terrasse panoramique, promenades en traîneaux à chiens ou en motoneige, sorties en raquettes avec déjeuner dans un refuge, été comme hiver, les équipes sont à l’écoute des attentes des hôtes accueillis dès leur arrivée par la mascotte de l’Hôtel, un bouvier bernois dénommé Némo ! Des vignobles d’Afrique du Sud aux pâturages de la Brie en passant par les vallées alpines, Edmond de Rothschild Heritage conjugue audace et art de vivre à la française. Des projets portés par une femme de tête et de cœur. Une belle rencontre.

Château Clarke

À PROPOS D’EDMOND DE ROTHSCHILD HERITAGE Depuis le 24 novembre 2016, l’ensemble des activités non financières gérées par Benjamin et Ariane de Rothschild a été regroupé sous la marque Edmond de Rothschild Heritage. Sous leur houlette, cet héritage est devenu un véritable laboratoire d’incubation pour les nouvelles idées entrepreneuriales, grâce à une stratégie ambitieuse adoptée pour chacune des sphères de compétences exploitées : le vin, la gastronomie, les hôtels de luxe et les exploitations agricoles.


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Château de la Chaize Le projet pionnier de Christophe Gruy I l n o u s su rpren d l à o ù on ne l’ attend pas. E t p a r f o is l a s u rpris e est de taille ! Avec le r a c h a t en 20 17 d u C hâteau de la Chaize d a n s l e Bea u jo l a is a u cœur du cr u B r ouilly, l’ i n du s t riel l yo n n a is a suscité étonnement, a dmi r a t io n et cu rio s it é. C h r i s t o p he G ru y s e co nfie sur ce pr oj et, c e t t e r éha b il it a t io n d u patr imoine et d u v i g n o b l e qu i l u i tient tant à cœur . U n e h i s t o ire d e fa mil l e, de passion qu’ il n o u s f a it pa rta ger l e t emps d’ une visite exc lu s i v e. Il n o u s o u vre les por tes de ce c h ât e a u co n s tru it a u XV IIème par Mansar t, p r emi er a rchit ecte d e Louis X IV et dont les ma g n i f i q u es ja rd in s o n t été cr éés par Andr é Le Nô t r e. To u t s impl ement époustouflant !

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Alors que la visite débute par le chai qui s’étire sur 110 mètres de long, Christophe Gruy s’entretient quelques instants avec l’architecte Didier Reppelin, architecte en chef des Monuments historiques en charge de la restauration de tous les espaces. La question des éclairages des foudres dans le cuvage est source, ce jour-là de toutes les attentions. « Je travaille avec Didier Reppelin en parfaite confiance partageant la même volonté de conserver toute la majesté des lieux et de mettre en valeur l’ensemble du domaine de 285 hectares d’un seul tenant, les 1 200 m² château, les jardins, le cuvage et le chai inscrit en 1972 au titre des monuments historiques. »

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Pour cela, Christophe Gruy a vu les choses en grand. « Il faut avoir les reins solides et mouiller sa chemise ! Je ne suis pas un mécène. C’est un vrai projet entrepreneurial. » Le Président du groupe lyonnais Maïa est, il est vrai, un homme d’affaires dans l’âme qui a toujours su se diversifier avec succès. Après le développement des énergies renouvelables, il se lance dans la construction de Villa Maïa, hôtel 5 étoiles sur la colline de Fourvière avant de racheter Valcena, entreprise de cosmétiques. Pour cet esthète amoureux du patrimoine français, pas question de transformer le château en une maison d’hôtes de luxe ou un haut lieu de séminaires. Mais avec ses 100 hectares du cru Brouilly et un vaste projet de restructuration du vignoble couplé au passage à une viticulture bio, la gestion du domaine n’est pas une mince affaire ! Une mission que Christophe Gruy choisit de confier à son neveu Boris Gruy. « C’est moi à son âge ! » ajoute-t-il, confiant dans la ténacité, la volonté et le professionnalisme de ce jeune homme de 30 ans, nommé directeur de production. Fort de son expérience dans une exploitation viticole du Jura. « Outre les 100 hectares de Brouilly, nous avons également acheté quinze hectares de Fleurie, une quinzaine d’hectares en Côte de Brouilly, avec comme objectif d’atteindre les 150 hectares et de pouvoir proposer ainsi un panel beaucoup plus large avec

Boris et Christophe Gruy © Anne Charlotte Marcade

AVEC L ’AM BIT IO N DE PR O DU I R E 6 0 0 0 0 0 BOUT EIL L ES T O U T EN R ES PEC T AN T L’EN VIR O N N EM EN T , L ES DEU X H O M M ES S E LAN C EN T U N DÉFI DE T AIL L E PO U R L ’AVEN I R .

des vins de garde plus complexes » précise Boris Gruy. Avec l’ambition de produire 600 000 bouteilles tout en respectant l’environnement, les deux hommes se lancent un défi de taille pour l’avenir. « Nous avons encore de nombreuses idées afin d’être cohérents dans notre démarche environnementale comme celle de produire notre propre électricité avec l’installation de panneaux photovoltaïque ou encore exploiter les bois pour chauffer le château avec des granulats. » Le projet prend toute sa dimension, à la hauteur des rêves et des ambitions d’un homme qui contribue à la sauvegarde et la valorisation du patrimoine tout en mettant à l’honneur les vignobles du Beaujolais. Alors un grand merci !

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Jean-Claude Lavorel Le bâtisseur A u t o di d a ct e et vis io n nair e, l’ entr epr eneur l y o n n a is , cl a s s é pa rmi les plus gr osses for tunes f r an ç a is es peu t être fier du chemin par cour u. Sa n s étu d es s u périeu res ni hér itage familial, J ea n - Cl a u d e La vo rel a bâti un empir e, L VL Méd i c al , et a u jo u rd ’hui se développe dans l ’ h ô t el lerie !

Jean-Claude Lavorel connaitra un début de carrière chaotique dans le prêt-à-porter. « Un milieu pas facile » reconnaît-il, convaincu aujourd’hui que les échecs sont aussi constructifs. Une expérience qui le remet sur le chemin du salariat, commercial durant 10 ans dans le secteur de la santé. Jeune entrepreneur dans l’âme, très vite, de nouvelles ambitions le nourrissent. Lorsqu’il apprend que les acteurs privés sont autorisés à réaliser des prestations respiratoires à

domicile, une voie semble s’ouvrir devant lui. « J’étais sans doute utopiste mais convaincu que le maintien et les soins à domicile des patients allaient se développer. J’avais par ailleurs expérimenté les bienfaits de ces services après un grave accident de voiture. Dès lors que l’on quitte l’hôpital on se sent déjà moins malade. » Visionnaire, combatif et déterminé face aux lobbys administratifs, il fonde en 1989 LVL Médical, spécialisée dans l’assistance médicale

à domicile de personnes perfusées, souffrant de diabète, d’insuffisance respiratoire ou d’apnée du sommeil. Le succès est au rendez-vous avec la création de filiales en France et en Europe et l’entrée en Bourse de l’entreprise. Mais en 2012, coup de théâtre Jean-Claude Lavorel annonce la vente de LVL Medical à Air liquide pour la modique somme de… 300 millions d’euros !

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« J’étais très impliqué personnellement dans l’entreprise, tout reposait sur mes épaules et sa cotation en bourse ajoutait une forte pression, je voulais sécuriser ce que j’avais construit. » Si l’entrepreneur lyonnais conserve tout de même les activités de LVL Médical en Allemagne, c’est dans un tout autre univers qu’il réinvestit sa fortune. Une nouvelle vie dans l’hôtellerie qui débute en 2008 avec l’acquisition d’un premier hôtel de luxe, les Suites de la Potinière 5* à Courchevel. « Je cherchais à racheter un chalet sur les pistes et on m’a proposé un hôtel ! C’était une belle opportunité. Je me suis lancé. » Un virage radical dans l’hôtellerie et l’art de vivre qui ne fait que commencer. En 2012, il acquiert le magnifique Château de Bagnols 5* dans le Beaujolais, puis l’hôtel Hilton de la Cité Internationale en 2014. « Je venais régulièrement y faire du sport et constatais son piteux état. Lorsque j’ai su qu’il était en vente j’ai pensé qu’il avait un réel potentiel pour le faire monter en gamme. » Propriété de Jean-Claude Lavorel, l’établissement passe sous la bannière Marriott Hotels & Resorts, entièrement rénové par l’architecte et décorateur Albert Constantin. Pour Jean-Claude Lavorel, une troisième vie commence, une nouvelle acti-

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Palace de Menthon © CHC-HD

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Château de Bagnols 5*

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vité qui partage néanmoins un point commun avec le maintien à domicile. « Il s’agit toujours de service à la personne qui exige une grande qualité d’écoute, d’empathie. Que ce soit dans le médical ou dans l’hôtellerie il faut avant tout aimer les gens. Sinon il faut changer de métier. » Des valeurs qu’il transmet à ses équipes. « La recette de la réussite ? Rien de compliqué. La rigueur, l’exigence bien-sûr mais aussi un management de partage. Pour moi il est important d’échanger avec ses salariés, les écouter, accepter leurs remarques, leurs conseils. Et surtout toujours se mettre à la place du client

pour comprendre ses attentes. » Aujourd’hui, Jean-Claude Lavorel est un homme serein qui se réjouit d’évoluer dans un univers de plaisir avec des établissements de charme. Alors qu’il inaugure le Kopster Hôtel 3* au cœur du Groupama Stadium de l’Olympique lyonnais et entame la rénovation de l’Auberge de Létraz au bord du lac d’Annecy, il annonce l’acquisition du somptueux Palace de Menthon 5* et avoir encore de nombreux projets en tête. « Le Kopster est un concept lifestyle novateur, créé de toutes pièces par Lavorel Hôtel et tout à fait duplicable dans d’autres villes. » ajoute-t-il.


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Kopster Hôtel 3* © Frédéric Durantet

© Frédéric Durantet

A UJ OUR D’ HUI, JEAN -CL AUDE LAVO R EL ES T U N HOMME S EREIN QUI SE RÉJOUI T D’ÉVO L U ER D A NS UN UN IVERS DE PL AISIR AVEC DES É TA BLIS SEMEN TS DE CHARME.

Quant à son développement à l’international, il reconnaît « être attentif aux opportunités mais sans aller trop loin car j’aime pouvoir me rendre dans mes hôtels facilement pour toujours pouvoir y jeter un œil ! » Dans une logique de diversification, le groupe a également mis la main il y a un an sur la compagnie fluviale Lyon City Boat rebaptisée Bateaux Lyonnais qui regroupe une flotte de six bateaux avec 3 activités distinctes pour une clientèle affaires et loisirs : croisières promenade, croisières restaurant et croisières privatives pour les événements. Lavorel Hotels est désormais un acteur qui compte et semble poursuivre sa course avec tout l’enthousiaste et la détermination de son fondateur. « Je suis joueur » souligne-t-il à propos du Kopster, un nouveau pari avec un concept décalé en dehors des standards hôteliers. Avec ses fils, Stanislas (qui dirige la branche allemande de LVL medical), Maxime (à la tête du restaurant du Kopster) et Benjamin (aux commandes de la Maison à Gerland), Jean-Claude Lavorel est un homme comblé, fier d’avoir pu transmettre ses valeurs et sa soif d’entreprendre.

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Le R e f u g e des A i glons

Lieu de vie et de rencontres www.aiglons.com 2 7 0 A v . de Co u r m ay e u r , 7 4 4 0 0 C h a mon i x - M on t - B la n c

En plein cœur de Chamonix, le Refuge des Aiglons vous invite à découvrir le premier refuge de montagne 4 étoiles. Un hôtel au style soigné et étudié, mais chaleureux avant tout. Fruit du travail de l’architecte d’intérieur Oscar Lucien, en collaboration avec Eric Baptista, directeur général du groupe TEMMOS, l’hôtel adopte les codes du refuge traditionnel en les transposant dans un concept urbain et moderne. Construit autour d’espaces de vie ouverts et modulables invitant à la convivialité, le rez-de-chaussée s’articule autour d’un vaste atrium. Oscar Lucien y fait se rencontrer deux styles et crée ainsi une atmosphère unique, où papiers peints chaleureux et accessoires chinés côtoient une fresque monumentale de Vincent de Mestral et un lustre de 10 m de haut créé par Sylvie Marchal de « Beau et Bon ». Autant d’éléments qui confèrent au refuge sa personnalité propre. Côté cuisine, le jeune chef Damien Ducharlet prolonge l’aspect convivial du lieu grâce à sa cuisine généreuse, gourmande et authentique : picketcroq’, plats uniques, cocottes, mijotées où incontournables spécialités régionales à partager, il y en a pour tous les goûts. En salle, à vous de choisir entre grande tablée et petites alcôves intimistes, dans une ambiance au design simple mais assurément chic. Pour la détente après une journée sur les pistes, le Refuge des Aiglons vous invite à déguster un cocktail du chef barman mixologiste Ophelys Guiet, ou à une parenthèse relaxation au Spa Deep Nature. Sauna, hammam, jacuzzi ou encore piscine chauffée extérieure face au Mont-Blanc… Cadre chaleureux, prestations soignées, le Refuge des Aiglons a assurément tout prévu pour un séjour hivernal sans fausse note.

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Le s A r c s P anor am a

Resort signé Club Med www. c lub m e d . f r / r / L e s - A r c s - Pan o r a m a/ w A r c 160 0 , 7 37 0 0 B ou r g- S a i n t - M a u r i c e

Nouveau venu sur le plus grand domaine skiable de France, Le Club Med Les Arcs Panorama accueillera ses tous premiers hôtes cet hiver, à partir du 16 décembre. Et une chose est sûre, ce nouveau haut lieu de la détente porte bien son nom : niché au milieu d’une forêt de sapins et d’épicéas, le resort épouse le relief de la montagne environnante et nous offre en toute saison une vue époustouflante sur la vallée de la Tarentaise et le Mont Blanc. La décoration intérieure signée Didier Rey puise dans cet environnement privilégié pour créer une ambiance moderne et chaleureuse inspirée des codes traditionnels de la montagne. Et pour nous assurer de vraies vacances sans contrainte du premier au dernier instant, l’hôtel nous offre le meilleur du « happy digital » : avec le service Easy Arrival les arrivées et les départs sont facilités grâce aux pre-check-in et checkout, on s’inscrit aux cours de ski en amont, on réserve la place du petit dernier au Baby Club Med et même le matériel de ski ! Une fois sur les pistes l’hôtel les Arcs Panorama offre à chacun le meilleur des sports de glisse, avec un accès direct aux 425 km de pistes du domaine de Paradiski. Du débutant au plus chevronné, chacun trouvera de quoi satisfaire ses envies. Après l’effort, le réconfort, au sein de l’espace bien-être. On profitera de la vue sur la vallée en bénéficiant des soins du Spa Cinq Monde ou en se détendant dans les piscines et jacuzzis intérieurs et extérieurs ; avant de filer dans l’un des trois restaurants pour un moment gourmand. Ce resort premium (4 Tridents) dispose d’un espace Exclusive Collection (5 Tridents), Le Belvédère, pour un séjour plus intimiste et personnalisé.

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Architecture Design Si le temps file à toute allure certaines choses semblent immuables et cela nous rassure. Plus les années passent et plus nous nous attachons au passé, à ces objets empreints d’histoire, emblèmes d’une époque pas si révolue et qui au contraire nous rattrape comme par surprise avec un clin d’oeil espiègle ! Un éternel recommencement.

Le décoration combine harmonieusement pièces chinées et icônes du design tandis que l’architecture moderniste des années 50 envahit pinterest ! Une ode au passé qui ne freine nullement l’engouement pour les constructions les plus contemporaines créatives et inspirées par une vision avantgardiste. L’innovation et l’audace donnent naissance à l’exception… Alors que l’on soit un inconditionnel de la chaise œuf d’Arne Jacobsen ou féru d’architecture futuriste, place au design !


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ARCH ITE CTU R E

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Im mer si on a rch i tec tur a le avec Airbnb

VOUS ÊTES FAN DE DESIGN, FÉRU D’ARCHITECTURE ET VOUS RÊVEZ DE POUVOIR UN JOUR DORMIR DANS UN APPARTEMENT OU UNE MAISON SIGNÉS PAR UN CÉLÈBRE ARCHITECTE ? VOILÀ QUE LA COMMUNAUTÉ MONDIALE D’HÔTES ET DE VOYAGEURS, AIRBNB NOUS OUVRE LES PORTES DE CES CRÉATIONS UNIQUES.

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Pour célébrer la Journée Mondiale de l’Architecture le 1er octobre dernier, Airbnb a sélectionné 10 hébergements conçus par des architectes de renom à travers le monde et disponibles à la location. Séjourner dans des chefs d’œuvre signés Franck Lloyd Whright, Alvar Aalto ou encore Shiegeru Ban n’est plus un rêve. Bienvenue chez vous !

LA MAISON EPPSTEIN PAR FRANCK LYOD WRIGHT - MICHIGAN Construite à la fin des années 1940 et imaginée par un groupe de scientifiques, la maison Eppstein était l’une des 21 maisons, toutes dans un même complexe, designées par l’architecte américain Franck Lloyd Wright. Aujourd’hui, Marika vous accueille dans cette maison décrite comme « invendable » ! Pour vivre une expérience unique au cœur du Michigan.

FORÊT VERTICALE PAR STEFANO BOERI MILAN, ITALIE En Italie, l’architecte Stefano Boeri imagine un nouveau type de végétation : la forêt urbaine et verticale. En 2014, il fait construire 2 tours avec plus de 20 000 plantes et arbustes. La Bosco verticale de Milan, est un véritable défi pour la biodiversité urbaine et offre une expérience de vie peu commune. Rendez-vous pour la partager au deuxième étage dans l’appartement de Francesca décoré minutieusement avec les pièces des meilleurs designers en plus de mobilier sur mesure.

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MAISON CUBE PAR PIET BLOM ROTTERDAM, PAYS-BAS Toutes droites sorties d’un magazine d’architecture, Les maisons cubes inclinées à 45 degrés construites dans les années 70 représentent un éventail de maisons innovantes à Rotterdam, désignées par l’architecte Piet Blom et basées sur le concept « living as a urban roof ». Chaque maison dont l’espace intérieur est optimisé représente un arbre et l’ensemble une forêt. Lilian & Mitch propriétaires de l’une d’elle vous ouvrent leurs portes pour un séjour étonnant ! L’HÔTEL DE VILLE DE SÄYNÄTSALO PAR ALVAR AALTO SÄYNÄTSALO, FINLANDE En décembre 1951, la mairie de Säynätsalo inaugure un bâtiment multifonctionnel conçu par le maître du mouvement moderne, Alvar Aalto. A l’intérieur de ce complexe unique et moderniste, Herri vous accueille dans ses appartements résidentiels riches en histoire.

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MURALLA ROJA PAR RICARDO BOFILL ALICANTE, SPAIN Complexe de 50 appartements construits au début des années 70 sur la côte rocheuse de Calp par Ricardo Bofill, architecte espagnol, la Muralla Roja (mur rouge) est un véritable labyrinthe de nuances qui s’inspire des Qasbas arabes qui se dressaient sur les rives de la Méditerranée comme citadelles fortifiées. Escaliers enchevétrés, aplats de couleurs, vue sur la mer… Vous n’avez pas fini d’afficher votre séjour sur instagram !

photo © Jérôme Mondière

SCHWARTZ PAR FRANK LLOYD WRIGHT La maison Bernad (et Fern) Schwartz, connue également sous le nom de Still Bend, a été conçue par Frank Lloyd Wright à Two Rivers, dans le Wisconsin. À l’origine, Wright a imaginé cette maison pour le magazine Life en 1938. La maison se caractérise par sa structure rouge brique et cyprès et son balcon intérieur qui surplombe la pièce principale de 65 mètres de long. Un joyau de bois et de brique pour les passionnés d’architecture.

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MAISON PAR SHIGERU BAN ARCHITECTS MIRISSA, SRI LANKA Connu pour son utilisation unique du bois, le studio japonais Shigeru Ban Architects a conçu cette villa située dans un jardin tropical de 8 hectares, sur la falaise de la baie de Weligama, au Sri Lanka, pour Koenraad, qui a commandé la maison de ses rêves en 2003. OFF-GRID ITHOUSE PAR TAALMAN KOCH PIONEERTOWN, CALIFORNIA La maison, designée par Taalman Architecture en 2007, est un dialogue entre le design vert et l’esthétisme qui s’intègre merveilleusement dans son environnement. L’itHouse est un système 100% autonome, alimenté par des panneaux solaires et situé dans une vallée isolée et vierge dans le magnifique désert de Californie. Pour se sentir loin de tout.

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THE TEMPLE HOUSE PAR LAWRENCE MURRAY DIXON MIAMI, FLORIDE En 1933, l’architecte américain Lawrence Murray Dixon pose la première pierre du Temple House, une résidence Art Déco de deux étages au cœur de South Beach à Miami Beach, en Floride. Reconnue à l’échelle internationale, la propriété longtemps fréquentée par des célébrités est aujourd’hui ouverte à tous grâce à Daniel, nouvel hôte de la maison.

DUPLEX LA CITÉ RADIEUSE PAR LE CORBUSIER À MARSEILLE, FRANCE Bâtiment historique datant de l’après seconde guerre mondiale, la Cité radieuse a été conçue par l’architecte suisse Le Corbusier. Inscrite sur la liste du Patrimoine mondial de l’Unesco, la résidence fait partie intégrante de l’histoire de Marseille. Le projet expérimental et innovant de la cité jardin verticale est un modèle avant-gardiste. Avec Airbnb, offrez vous une immersion au cœur de la Cité radieuse dans un appartement en duplex de 50 m² avec vue sur mer situé au 7ème étage. Il a conservé une partie de ses lignes d’origines comme l’escalier de Jean Prouve ou les menuiseries, classées monument historique… Sans oublier la vue sur mer, cerise sur le gâteau !

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L e Presse pa pi er

Vos murs n’ont jamais été aussi bien habillés !

À LA FOIS CONCEPTEUR, ÉDITEUR ET FABRIQUANT DE PAPIER PEINT, LA MARQUE LYONNAISE CONÇOIT DEPUIS 2012 SES PROPRES COLLECTIONS DE A À Z, ALLIANT TECHNICITÉ D’IMPRESSION ET PASSION POUR LES ESTHÉTIQUES ARCHITECTURALES, LA COULEUR, LA DÉCORATION INTÉRIEURE, LES ARTS DÉCORATIFS …

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Les motifs sont travaillés avec minutie et élégance dans la tradition de l’artisanat de luxe et les imprimés de qualité sont fabriqués par des machines de dernières générations !

Le presse papier nous séduit au premier coup d’œil par ses formes géométriques, ses dessins à la main, ses motifs floraux, s’inspirant des années 20 aux années 60, du design, de l’architecture, du jazz, du cinéma et des artistes de l’époque. Sébastien Barcet fonde ses ateliers au pied de la colline de la Croix Rousse en 2012, deux dessinateurs talentueux Olga Ilic et Pierre Bonetto l’accompagnent aujourd’hui pour imaginer et dessiner des motifs audacieux aux lignes éditoriales fortes et colorées. Les motifs sont travaillés avec minutie et élégance dans la tradition de l’artisanat de luxe et les imprimés de qualité sont fabriqués par des machines de dernières générations qui font naître les motifs sur de beaux papiers intissés, lisses ou tex-

turés, le tout sans solvants. En effet, Le Presse Papier souhaite au mieux répondre aux enjeux environnementaux actuels et s’engage dans une démarche de production responsable qui a été récompensée en février 2017 par le label Imprim’ Vert. Made In France, les ateliers Le Presse Papier encadrent toute la chaine de production de ses collections, étant à la fois le concepteur, éditeur et fabriquant. Coup de cœur pour son papier peint repositionnable, qui se colle par adhésif et se décolle en laissant le mur intact, idéal pour personnaliser les murs dans les logements en location ou pour ceux qui aiment changer régulièrement de décoration. L’entreprise collabore avec de nombreux partenaires liés à l’aménagement intérieur et la marque est capable de répondre à toutes les typologies de projet en proposant des solutions sur-mesures et adaptées. La qualité des papiers peints est reconnue à l’international et habille les murs du monde entier : hôtels, restaurants, cabinets d’architectures, boutiques... Quant à nous, on se laisserait volontiers tenter par l’exotisme de ses motifs floraux colorés pour faire souffler un vent tropical dans notre décoration !

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L’icône du Design Français des années 50 à 80

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Pierre Paulin est né en 1927 à Paris, débute dans les années 50, remarqué par ses créations et installations (TV, Thonet, Bertrand Faure, Disderot et Artifort), il fait entrer la modernité à l’Elysée en 1972 pour le Président Pompidou, Il crée tous les meubles du bureau officiel de F. Mitterrand, il rénove la salle à manger pour J. Chirac. En parallèle, il crée ADSA avec deux associés, et travaille à des projets industriels (Calor, Allibert, Stamp), des images d’entreprise (Air France) et aménage des gares (Gare de Lyon, Gare de Versailles Rive Gauche). Ses meubles sont présents dans de nombreux musées dans le monde, et en 2007/2008 plusieurs expositions lui sont consacrées. Le MOMA à New York a agrandi sa collection de meubles Paulin.

La rencontre de Pierre Paulin et Michel Roset en 2007 s’est traduite dès 2008 par le lancement couronné de succès des canapés et fauteuils Pumpkin, réinterprétation des sièges dessinés en 1971 pour le salon aux tableaux des appartements privés de Claude et Georges Pompidou au Palais de l’Elysée. Le président Pompidou avait alors souhaité que cette création ne reste pas une oeuvre unique, mais que ce même mobilier soit édité en série, ce qui ne fut pas le cas. Ainsi, tant pour répondre au voeu de Georges Pompidou qu’en honneur du travail visionnaire de Pierre Paulin, Ligne Roset a ainsi rendu accessible au public les canapés, fauteuils et pouf directement inspirés de ceux qui ont meublé l’Elysée de 1971 à 1974.

BONNIE 1975 - Réédition 2018


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LA BIBLIOTHEQUE FIL 1972 - Réédition 2015

Cette bibliothèque marie la laque de sa structure en fil d’acier au bois multiplis de ses étagères. Elle est construite sur un module de largeur 70 cm qui peut se multiplier. Récompense Label Via 2015

Le courant de sympathie qui s’est alors établi entre Michel Roset et Pierre Paulin jusqu’à la disparition de ce dernier en juin 2009, ainsi qu’avec son épouse Maïa, son fils Benjamin et sa femme Alice Lemoine, réunis au sein de la structure familiale de valorisation de son oeuvre PaulinPaulinPaulin®, les a rapidement conduits à approfondir leur collaboration en lançant depuis une bonne vingtaine de projets : créations, éditions et rééditions. C’est à partir d’un des très rares exemplaires disponibles acquis sur le marché des collectionneurs que Ligne Roset a pu étudier la réédition des sièges Bonnie. D’emblée, les sièges Bonnie frappent

par leur confort visuel et réel : ils épousent radicalement les formes du corps humain qui s’y pose. Les recherches rigoureuses de Pierre Paulin sur les matériaux nouveaux trouvent ici un aboutissement qui place le confort et le bien-être de l’utilisateur au centre de sa démarche, à l’apogée du fonctionnalisme sensuel qui le caractérise. Si Pierre Paulin a toujours exécré le mou, pour lui le siège doit protéger, le confort être un réconfort. Il se croit rigide, rigoureux, puritain mais à travers ses dessins, il recherche le plaisir. Pour tenir le corps, il suffit d’une empreinte à sa forme, d’une coque idéale pour qui s’y love, s’y blottit, un vrai cocon, un bon nid…

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FOREVER DESIGN

Lampe Bellevue dessinée par Arne Jacobsen en 1929 et rééditée par &tradition. www.andtradition.com

Fridge Carafe Eva Solo www.evasolo.com

Lampe à poser Niel chez Ligne Roset www.ligne-roset.com

Bird, Charles & Ray Eames, Vitra chez RBC www.rbcmobilier.com

Suspension Vertigo – Petite friture www.petite friture.com

Poufs Fuji MDF Italia www.mdfitalia.it

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Modèle traditionnel du Fauteuil Acapulco BOQA www.boqa.fr Nouveau 70, miroir Julie Hugau & Andrea Larson pour Reflections Copenhagen chez RBC www.rbcmobilier.com

Fauteuil Sweet Gervasoni - Designer Paola Navone www.portobello-decoration.fr

Le Componibili de chez Kartell prend des couleurs Collection la double J www.kartell.com

Etagère ronde sur pieds super sonix BOQA www.boqa.fr

Miroir volet Geoffrey chez Ligne Roset www.ligne-roset.com

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Le petit monde imaginaire On reconnaît son style si singulier, son foisonnement de couleurs, son accumulation de symboles issus de l’univers de la BD, des super héros, du streetart …, les œuvres du peintre lyonnais Jakè nous interpellent par leur expression joyeuse et leur poésie. Rencontre avec Laurent Jacquet, un homme touchant qui se cache derrière son nom d’artiste.

Enfant de l’Hôtel-Dieu, né il y a tout juste 50 ans dans ce lieu emblématique, il évoque ses années laborieuses passées sur les bancs du collège de la Martinière. « La scolarité m’ennuyait terriblement. Ma seule passion était le dessin, une façon de me créer une bulle, un refuge. J’ai eu la chance d’être repéré par un professeur qui a changé ma vie. Il m’a convaincu d’intégrer les Arts Appliqués à Paris. » Avec un style déjà affirmé, il se lance dans le dessin sur textile puis la direction artistique durant 10 ans. « avec la révolution de la PAO, le dessin

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à la main devenait has been ! J’ai donc choisit d’abandonner définitivement l’univers de la communication. » De retour à Lyon, il se lance dans la restauration puis l’immobilier de commerce avant de se consacrer pleinement à sa peinture. « Un jour j’ai ressenti le besoin de « vider mon sac » en réalisant chez moi une toile XXL représentant les 10 dernières années de ma vie ! Le succès a été immédiat auprès de mes proches et de mes amis qui ont commencé à me confier des commandes de tableaux. »


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Jakè, alors âgé de 36 ans, sort du cadre des toiles pour peindre des voitures, des meubles, des fresques murales, des containers… Un travail de création qui s’exprime sur de multiples supports tout en restant fidèle à son style. Un univers peuplé de personnages, de super-héros, de messages. « Toutes mes œuvres racontent une histoire, qui peut partir d’une rencontre, d’un événement, d’une musique, d’un film… Si mon graphisme semble très enfantin, parfois derrière le dessin se cache un message beaucoup plus grave. Il y a différents niveaux de lecture. » Assimilées au street-art, les peintures de Jakè recèlent une technique identique depuis ces débuts. Il peint, à l’acrylique, à l’aérosol et aux marqueurs Posca, des aplats de couleurs vives (14 précisément !) qui ne se mélangent jamais. « Mes toiles séduisent car elles sont optimistes, spontanées. Je suis d’ailleurs un adepte du Live Painting qui me permet d’être en lien avec un lieu, un public. » Une démarche généreuse qui contribue à la notoriété grandissante de l’artiste missionné pour réaliser une fresque de 25 m dans le restaurant Miss Paradis au cœur du Grand Hôtel Dieu ou la nouvelle collection de vaisselle Vista Alegre. Egalement très engagé auprès du programme alimentaire mondial, Jakè a su se faire un nom et donner du sens à sa création. Véritable boulimique pictural, il reconnaît se pas savoir s’arrêter « c’est sans doute pour cette raison que je peins souvent les bords des tableaux ! » w w w . j ak e a r t w o r k . c o m

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ART

by Sophi e Gui var c ’h

CÉLINE CHOUVENC

Sculptures en papier Intégralement constituées de papier, les femmes imaginées et modelées sous les doigts de l’artiste stéphanoise Céline Chouvenc interpellent.Transformer les pages du Progrès en sculpture, une idée pour le moins surprenante !

Fasciné dans un premier temps par la créativité de ces œuvres, le spectateur peut en faire une lecture riche de sens. Car ces femmes longilignes nous disent beaucoup de choses ! Par ce travail de transformation et de récupération de la matière, le papier destiné à être jeté à la poubelle est ici sublimé, utilisé pour ses qualités plastiques et esthétiques. Un mode de recyclage inventif ! Le visage est sculpté à partir d’une boule de papier journal local d’où les tonalités de gris qui le composent. Pour les yeux et les lèvres, des couleurs apparaissent grâce au collage et au modelage d’une multitude de bouts de journal. Pour former le corps, Céline

Chouvenc superpose de « cordons » de papier torsadé. Un corps abstrait d’où surgit le visage comme une naissance. Une femme libre, indépendante, forte, insoumise…, en un mot, moderne. La sculpture des cheveux évoque volontairement un métissage, de la coupe afro aux couettes hautes, la chevelure demeure un symbole de féminité, élément de singularité et d’affirmation du style. Enigmatiques, ces femmes vous avaient donné rendez-vous pour une exposition unique au sein de la boutique Smart Femme, écrin dans lequel elles trouvaient indéniablement leur place.

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Celine Chouvenc Sculptrice d e Pap i e r

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