Fin de série à la maison
RA P P RO C H E Z -VO U S D E VOTR T RE C INÉ M A .
Battu en tirs de barrage par les Predators hier, le Canadien n’est pas reparti avec les deux points pour la première fois en cinq matchs au Centre Bell. page 22
Relâche scolaire
quatre idées à mettre en pratique Odile Archambault, auteure du blogue Maman a un plan, suggère notamment de jouer dans la neige... dans la maison. pages 14-15
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Montréal
Le film Lost Soul, sans dialogue, mais accompagné par l’album du même titre d’Anik Jean, raconte l’histoire d’une mère qui quitte sa famille. page 11
Le quotidien le plus lu sur l’île de Montréal
Certains sacs en plastique bannis en 2018 Environnement. Le maire de Montréal, Denis Coderre, a annoncé hier que la Ville bannirait les sacs d’emplettes courants à partir du 1er janvier 2018. Mathias marchal
mathias.marchal@journalmetro.com
Rouler
vert à Vancouver page 3
En entrevue avec Métro, Lon LaClaire, le directeur du pendant de la STM à Vancouver, explique sa stratégie pour que les énergies fossiles ne soient plus utilisées dans les transports de la ville de l’Ouest canadien d’ici 2050. / josie desmarais\métro
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«On en est rendu là, en tant que société. On espère maintenant que les autres villes du Québec vont emboîter le pas», a-t-il déclaré hier, indiquant qu’il avait aussi les bouteilles de plastique dans sa mire. Début décembre, à la suite d’une consultation publique, la Commission permanente de l’environnement avait notamment recommandé au maire Coderre de bannir les sacs d’emplettes les plus répandus (ceux dont l’épaisseur est inférieure à 50 microns), de même
que les sacs biodégradables qui peuvent détériorer les autres plastiques déposés dans les bacs de recyclage en raison d’un additif chimique qui le compose. «Le bannissement ne concerne pas tous les sacs en plastique, mais les sacs légers utilisés aux caisses, qui s’envolent plus facilement, a ajouté Réal Ménard, l’élu responsable de l’environnement à la Ville. Quand ils sont abandonnés dans la nature, ils peuvent causer d’importants problèmes environnementaux.» «Si les sacs en plastique sont un fléau aussi grand, pourquoi attendre jusqu’en 2018?» se questionne de son côté Sylvain Ouellet, élu de Projet Montréal, l’opposition officielle. Il souligne en outre que l’administration Coderre manque de cohérence dans le dossier environnemental en soutenant le prolongement de l’A19 ou le mégaprojet commercial Quinze/40. En n’autorisant que les sacs en plastique de plus de 50 microns, la Ville n’élimi-
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Impact
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En tout, 23 entreprises totalisant 1 000 emplois fabriquent des sacs à Montréal.
nera pas complètement les sacs en plastique des épiceries. Ces dernières pourront simplement utiliser des sacs plus épais, comme le font déjà les bannières en France et aux États-Unis, et qui sont réutilisables environ 50 fois. L’association canadienne de l’industrie des plastiques s’est dite «consternée» par le futur règlement, qui aura un «effet néfaste pour l’environnement et occasionnera des coûts additionnels pour les citoyens et les commerçants. Cette mesure aura aussi un effet négatif sur les emplois locaux, car [les futurs sacs plus épais] devront être importés d’Asie», selon Marc Robitaille, son porte-parole.
chantal lévesque\métro
s’exiler en silence et en musique
Mardi 23 février 2016 journalmetro.com