Actualité du Secours de France

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EDITORIAL

Novembre 2011

Actualités du

L’honneur des harkis

Le film produit par Secours de France – Harkis : histoire d’un abandon – commence à susciter de nombreuses réactions. Voici celle de nos amis Hélie de Saint Marc et François Meyer, dont le texte intégral a paru dans Valeurs Actuelles en septembre dernier.

M

arcela Feraru, cinéaste d’origine d’Evian à la merci d’un adversaire vaincu au roumaine, vient de faire aux Harkis plan militaire mais vainqueur politique, des un présent magnifique. Elle leur a en effet dizaines de milliers d’entre eux furent exéconsacré un film qui rend leur honneur à cutés dans des conditions horribles... et ces hommes trahis, qu’une entente de fait une indifférence à peu près générale. entre les autorités de l’époque et le nouCeux qui purent être sauvés, parfois avec veau pouvoir installé par elles en Algérie a leurs familles, le furent grâce à des offivoulu déconsidérer, sinon faire disparaître. ciers qui eurent le courage de contrevenir (…) La fille d’un harki veut aujourd’hui à des instructions formelles visant à laiscomprendre les raisons qui ont amené son ser sur place harkis, goumiers et moghazpère à s’engager du côté de la France. C’est nis, leurs soldats. Ils échappèrent ainsi aux le fil rouge de ce film, qui va apprendre conséquences de ce que Maurice Allais, sans doute aux générations qui n’ont pas prix Nobel d’économie et partisan de l’indéconnu la guerre d’Algérie quelques vérités pendance de l’Algérie, qualifia de “décision POUR COMMANDER, dérangeantes et jusqu’à présent occultées. barbare qui restera comme un opprobre voir page 5 Des entretiens riches en anecdotes, pleins ineffaçable pour notre pays … un crime d’émotion et de vérité, ainsi que des documents d’arcontre l’humanité”. chives, font revivre cet idéal d’une Algérie nouvelle et Près de cinquante ans ont passé depuis cette tragédie. fraternelle où les communautés auraient pu vivre en Et après de longues années d’isolement et de deuil, les paix. (…) descendants de nos frères d’armes, les fils et les filles C’est à ces hommes et à ces familles, auxquels les des harkis, ont peu à peu réussi à prendre leur place au plus hautes autorités de l’Etat avaient dit : “Venez à sein de la société française. la France, elle ne vous trahira pas !”, que ce film rend Restait toutefois à leur rendre leur fierté en réhabilitant justice de leur fidélité. A Mostaganem, le FLN abattra les engagements de leurs pères et à faire connaître aux à neuf reprises le porte-drapeau des anciens combatFrançais d’aujourd’hui ce qu’ils doivent d’estime et de tants musulmans. Neuf fois, un autre volontaire viendra reconnaissance à ceux qui ont combattu aux côtés de prendre sa place. Pour l’immense majorité des harkis, la France en Algérie pour une noble cause. on sait qu’ils resteront fidèles à la France jusqu’au bout, Ce film va contribuer profondément à cette prise de alors même que les signes d’un probable abandon deconscience. Peut-être fallait-il ici un regard neuf et étranvenaient chaque jour plus manifestes. ger à la guerre d’Algérie. Au nom de tous ceux que cette tragédie a meurtris dans leur chair, et sinon dans leur âme, Evidemment, ils l’ont chèrement payé. Désarmés que Marcela Feraru en soit vivement remerciée. n par les autorités françaises, puis livrés par les accords


ARCHIVES SECRÈTES

50 ans de silence sur les “disparus d’Algérie” L’historien Jean-Jacques Jordi a fouillé quatre ans de suite dans les archives secrètes de la guerre d’Algérie : près de 12 000 documents explosifs, qu’il a pu consulter et photographier. Il en est sorti effaré : “Jamais, confie-t-il, je n’aurais imaginé découvrir de tels faits.”

“J

usque-là, la thèse officielle était que l’OAS, refusant les accords d’Évian, avait plongé l’Algérie dans la terreur, légitimant la riposte du FLN. Cela n’est qu’en partie vrai. D’abord parce que le terrorisme FLN a précédé celui de l’OAS, mais aussi parce qu’il a été beaucoup plus meurtrier. Ensuite, sous prétexte de lutte anti-OAS, le FLN et l’ALN (Armée de libération nationale) se sont essentiellement livrés à des exactions dirigées non contre les activistes, mais de manière aveugle contre l’ensemble de la population –

Silence : on tue ! “Je

commandais en second un commando de chasse dans l’Algérois. Mes quarante musulmans ont été pris par les rebelles, dans les premiers jours de juillet. Ils n’ont pas été tués tout de suite. Je crois savoir que certains sont encore vivants.

“Ils sont au camp de Taourtatsine,

dans l’Atlas blidéen. A notre connaissance c’est le camp le plus important de la région. Il y a peut-être plusieurs centaines de prisonniers. Parmi eux, des Européens, femmes et enfants. Les rebelles les torturent peu à peu : on coupe un bras, le nez, on fait des plaies qu’on sale, etc… Quand leur état est trop lamentable et qu’ils ne peuvent plus servir à rien, on les tue.

“Il

n’est pas question d’émettre l’idée d’aller les délivrer, ce qui serait pourtant bien simple. Les cadres sont dégoûtés d’eux-mêmes et de ce qu’on les oblige à accepter.” (Témoignage d’un sergent-chef du régiment d’infanterie en garnison à l’Alma, près d’Alger, recueilli le 10 août 1962 par Abd-El-Azziz Meliani.)

l’instauration de ce climat de terreur ayant pour but avoué de précipiter le départ des Français, y compris après le 19 mars (cessez-le-feu) et le 5 juillet (indépendance).” Documents parfois terribles à l’appui, Jean-Jacques Jordi révèle une “autre” guerre d’Algérie, où les “héros de l’indépendance” livrent la face obscure de leurs méthodes : enlèvements, viols, tortures, actes de barbarie… Parmi les milliers de cas évoqués dans son livre, Jordi cite le sort de ces “quarante Européens séquestrés jusqu’à ce que mort s’ensuive” pour servir de “donneurs de sang” aux combattants FLN ! Ces faits, démontre l’ouvrage, étaient connus, et même soutenus, par les dirigeants algériens de l’époque. Mais les archives secrètes n’épargnent pas non plus les autorités françaises et le rôle des “barbouzes” envoyés sur place : oui, des Français ont torturé d’autres Français ; oui, des listes de militants supposés de l’Algérie Française ont été transmises au FLN ; oui, des ordres ont été donnés afin de ne pas intervenir, condamnant à mort des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants… Au-delà de la passivité, une véritable complicité. Comment qualifier autrement l’attitude – révélée par un rapport – de ces gendarmes mobiles rendant à ses bourreaux FLN un ressortissant français “torturé à l’électricité et battu” qui était parvenu à s’enfuir et à se réfugier dans leur cantonnement ?» “En deux mois et demi, écrit Jordi, du 19 mars à la fin mai 1962, il y a eu plus

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d’enlèvements et de disparus qu’entre novembre 1954 et le 18 mars 1962.” Des disparus dont l’Etat français n’a jamais voulu demander compte au gouvernement algérien. “Parmi les faits rayés des manuels, des mémoires et des débats, déclarait un jour le Colonel de Blignières, le désarmement des harkis et l’abandon à leur sort des disparus pèse d’un poids exceptionnel sur la conscience de la France et sur l’honneur de son armée.” n Jean-Jacques Jordi : Un silence d’Etat. Les disparus civils européens de la guerre d’Algérie. Soteca 2011, 200 pages, 25 €

Civils français livrés au FLN à Oran, le 5 juillet 1962

NOS ACTIONS Secours de France défend la vérité sur notre histoire : celle de l’œuvre civilisatrice de la France au XIXe e et XX siècles ; celle de ses combats contre les assauts conjugués du communisme et du terrorisme en Indochine puis en Algérie ; celle aussi des engagements plus récents de nos forces en Afrique ou au ProcheOrient. Cette mission s’accomplit par la diffusion de livres, d’articles, d’émissions de radio ou de télévision, de films ou de reportages.

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Pour en savoir plus, et nous soutenir dans ces actions, voir page 5.

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Noël en Palestine

Accueillir, relever, rendre espoir aux enfants ! La “Crèche de Bethléem” fait partie des œuvres soutenues par le Secours de France, en raison de son exemplarité : l‘accueil des plus petites victimes de la tragédie palestinienne, que les Filles de la Charité vont dénicher jusque dans les poubelles pour leur redonner leur dignité d’enfants. Sœur Sophie Boueri raconte ici les difficultés de cette belle mission, telles qu’elle les vit au quotidien.

“L

e ‘printemps arabe’, avec ses révolutions, ses impasses et ses guerres civiles, ensanglante notre région. Chacun est angoissé de ces conditions d’insécurité. Les enlèvements de jeunes pères de famille, de jour comme de nuit, éclatent et séparent les familles. La guerre à Gaza rend la vie trouble et angoissante. Ainsi des enfants subissent cette situation, et nous accueillons les petits qui sont abandonnés, au bord de la route ou dans les détritus, à cause de ces guerres et du fanatisme.

Meurtris par la violence des parents “Notre mission est d’accueillir, relever, rendre espoir. Accueillir un enfant, c’est le prendre dans nos bras, lui sourire, l’appeler par son prénom. Relever un enfant, c’est prendre conscience de son histoire, et tout mettre en œuvre pour lui permettre de dépasser cela. Qu’il soit résiliant ou non, il a besoin d’amour, besoin d’apprendre, besoin d’être soigné, besoin d’être reconnu et encouragé. Rendre espoir et dignité à un enfant, c’est lui procurer une vie d’enfant de son âge, c’est lui donner un prénom lorsqu’il n’en a pas. C’est lui permettre de retrouver sa famille, ou de trouver une famille. “Il n’est jamais simple de se confronter à ces petits meurtris par la violence même de leurs parents. Nous devons les aider à se reconstruire, leur montrer que nous les ai-

mons, et que tout un chacun est capable de cela. Pendant ce temps, notre travailleur social se mobilise à l’extérieur afin de rétablir une situation digne au sein de la cellule familiale. “Autre que les coûts de fonctionnement, nous devons supporter financièrement des besoins particuliers. La grande prématurité des nouveaunés abandonnés, les conditions de vie précaires au domicile familial, tout cela a des conséquences sur la santé des plus fragiles. “Ainsi le petit Youssef a besoin d’effectuer un examen neurologique ; la dernière petite arrivée nous a été confiée par une institution qui, apprenant son retard de développement et les possibles séquelles psychiques et motrices, nous a enfin alerté. C’est un bébé de 3 mois qui a l’apparence d’un bébé d’un mois. Elle doit subir aussi des échographies du cœur très régulièrement pour voir son développement. Peutêtre devra-t-elle endurer une opération à cœur ouvert…

Soutenir aussi les jeunes mamans “Notre maison est toujours ouverte et disponible pour l’accueil de tout enfant en détresse. Aujourd’hui, une petite fille abandonnée doit nous être apportée, sa maman est une jeune mère célibataire. Trois autres nouveau-nés au moins nous sont annoncés pour les jours ou semaines à venir. Nous veillons aussi très parti-

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culièrement aux jeunes mamans que nous aidons dans ces moments difficiles ; elles doivent prendre une décision, ou l’ont déjà prise lorsqu’elles viennent à la crèche pour accoucher.

Seule la vie compte… “Tous ces petits ne demandent que l’amour et la santé. Nous faisons tout ce qui est nécessaire les concernant, entre examens médicaux, hospitalisations, traitements… Cela coûte parfois très cher, notamment lorsque nous devons aller en Israël, mais nous ne pouvons pas retarder ces dépenses ; seule la vie de cette enfance compte.” n

Sœur Sophie, la “Mère Térésa” de Palestine, avec un de ses nouveaux protégés.

NOS ACTIONS Secours

de France apporte une aide matérielle concrète à plusieurs communautés chrétiennes du Proche et du MoyenOrient qui luttent pour leur survie dans un environnement de plus en plus hostile, notamment en Egypte, en Irak et en Palestine.

plus, et nous soutenir 8 Pdans our encessavoir actions, voir page 5.

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IN MEMORIAM

Commandant Roger Faulques Dans son émission du 21 novembre dernier à Radio Courtoisie, Roger Saboureau a tenu a évoquer “un personnage exceptionnel, figure de légende de la Légion étrangère et des Parachutistes, disparu dans la plus grande discrétion il y a quelques jours : le Commandant Roger Faulques, dont tant le parcours d’homme de guerre que le caractère trempé ont marqué l’histoire de ces unités et bien au-delà”.

“Tu as été un soldat” “Oui, Roger, tu as été des nôtres et

bien davantage encore. Tu as été des nôtres car tu appartiens à cette étonnante génération de soldats qui n’a cessé de faire la guerre, sur trois continents, pendant plus de vingt ans, placés aux avant-postes des tumultes du monde. (…)

“Tu as aimé la guerre parce qu’elle

ne permet pas de tricher, comme tu l’as écrit : “Face à la souffrance et à la mort, l’homme exprime ce qu’il est vraiment. Il se bat pour une cause qui le dépasse. C’est ce qui donne sa vraie grandeur à un soldat digne de ce nom.” Portant la main du Capitaine Danjou, le 30 avril 2010, fête de la Légion.

“Tu as pratiqué le noble orgueil qui permet de rester digne et droit dans les épreuves, tu as parfois choisi l’indiscipline comme expression de la révolte contre les compromissions et les lâchetés. Tu as été un soldat.

“Les camarades de toutes les luttes,

les présents, les absents qui sont ici par la pensée et le souvenir, ceux qui ne sont plus mais dont nous sentons la présence impalpable et mystérieuse, tous tes frères d’armes sont là, autour de toi : la cohorte des légionnaires tombés dans le fracas des batailles, la peur au ventre et le courage au cœur, les compagnons de tous tes combats, vivants ou disparus, inconnus ou célèbres, nous sommes ici, tous égaux devant le mystère de la mort, immobiles et silencieux, fidèles et fraternels, pour un dernier salut.” (Eloge funèbre du commandant Roger Faulques, par le capitaine Dominique Bonelli, le 9 novembre 2011

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l avait obtenu sa première citation au sein des Forces Française de l’Intérieur (FFI) en 1944, à l’âge de 20 ans. Mais c’est en Indochine, dans l’affaire de la RC4, en 1950, que son courage et son tempérament indomptable, déjà connu de ses hommes et de ses compagnons d’armes en feront, contre son gré, ce qu’on appelait alors un héros. Quand son unité, le 1er BEP (Bataillon Etranger de Parachutistes), est encerclée par des forces très supérieures en nombre, à la tête de ses légionnaires, il multiplie les assauts dans des conditions terribles. Blessé très grièvement à plusieurs reprises, il sera laissé pour mort par les Viets sur le champ de bataille, la cuvette de Coc Xa. Le 1er BEP, décimé, il sera dissout une première fois, puis de nouveau

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après Dien Bien Phu et enfin définitivement (devenu REP) en 1961, à l’issue de la rébellion militaire dite du putsch. Chevalier de la Légion d’honneur à 23 ans, commandeur à 35, titulaire de dix-sept titres de guerre, Roger Faulques attendra 44 ans pour être fait grand officier. Entre-temps, ayant quitté l’armée, il vivra des aventures extraordinaires à la tête de ce qu’il est convenu d’appeler des soldats de fortune, dans des pays exotiques et des situations très complexes. Il est dommage que sa modestie et sa discrétion lui aient interdit d’écrire ses mémoires, auprès desquelles nombre de romans du genre appaR.S. raîtraient bien fades.

MARKETING VIRAL Cette nouvelle lettre électronique du Secours de France s’inscrit dans une opération de modernisation, de rajeunissement et de développement de tous nos supports de communication. Si vous partagez les convictions qui s’y expriment, faites circuler ce message dans le cercle de vos relations. Vous pouvez aussi nous envoyer par mail une liste d’adresses électroniques, pour renforcer notre impact et enrichir notre liste de sympathisants. Face au silence ou à la désinformation systématique des plus grands médias, le “marketing viral” est devenu une arme particulièrement efficace dans le combat de la vérité et de la générosité françaises.

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Soutenez nos actions L

es actions du Secours domaines :

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France portent sur trois n Une croissance de nos ressources récentes a per-

La Vérité sur nos Combats, une lutte permanente contre la falsification de l’Histoire non seulement de la guerre d’Algérie, mais aussi “d’opérations extérieures” comme celle du Rwanda.

mis de remédier à des situations de grande précarité engendrées par une crise qui atteint en priorité des personnes déjà démunies. C’est le cas en particulier des veuves de nos vieux soldats… Une quinzaine de dossiers ont été ainsi traités en quelques mois.

La Charité pour les Oubliés, vieux combattants ou certains de leurs descendants, pour la plupart de la communauté harkie.

n L’attribution de nouvelles “bourses d’excellence” porte à 25 le nombre de leurs bénéficiaires, qui viendront ainsi grossir les élites de la génération harkie…

Enfin l’avenir des valeurs, qui recouvre à la fois l’aide à des communautés chrétiennes qui luttent pour leur survie et les “bourses d’excellence” attribuées à des jeunes de la communautée harkie motivés et engagés à fond dans la poursuite de leur projet professionnel.

Harkis : histoire d’un abandon DVD à commander à l’adresse suivante : ECPAD • Pôle commercial, département ventes - 2 à 8, route du Fort - 94205 Ivry-sur-Seine Cedex.

Les derniers mois ont connu une activité importante dans chacun de ces trois domaines : n La phase finale de la coproduction du film “Harkis Histoire d’un abandon”, projeté en avant-première le 8 novembre, et assorti d’un DVD. (Voir ci-contre.)

Chèque de 14,90 € port compris pour la France métropolitaine à l’ordre de : l’agent comptable de l’ECPAD Vous pouvez aussi commander et payer en ligne sur www.boutique.ecpad.fr

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Pour la justice et la charité envers les “oubliés de l’histoire”… Pour le devoir de vérité sur l’histoire de notre pays… Pour l’avenir des valeurs chrétiennes et françaises que nous défendons…

… participez aux actions du Secours de France :

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u Par paiement sécurisé en ligne sur notre site internet : www.secoursdefrance.com Ou par l’envoi d’un chèque bancaire ou postal à l’ordre de Secours de France v (C.C.P. Paris 16.590-11D) et à l’adresse de l’Association (voir ci-dessous). u

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Secours de France est animé par une équipe de bénévoles et ne perçoit aucune subvention. Toutes ses ressources proviennent des cotisations de ses adhérents et des versements de ses donateurs. Les sommes recueillies sont entièrement consacrées aux actions, à l’exception des frais de secrétariat et de location du bureau.

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dans la limite de 20% du revenu imposable. (Exemple : pour un don de 100 €, coût réel : 34€) – Entreprises : une réduction d’IS de 60% des sommes versées, dans la limite de 0,5% du chiffre d’affaires. – Pour tout don au Secours de France, un reçu fiscal vous sera adressé (Art. 200 et 238bis du CGI).

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Vous pouvez aussi faire un legs :

Secours de France est habilité à recevoir des legs en exonération totale des droits

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