ÉDITORIAL
Edition de Mai 2011
Actualités du
Une initiative de Benoît XVI :
Le Parvis des Gentils En présentant ses vœux au personnel de la Curie, à Noël 2009, Benoit XVI indiquait combien il avait été touché par la chaleur de l’accueil que lui avait réservé la nation Tchèque lors de sa visite à Prague : une nation dont la tradition n’est pourtant pas catholique (contrairement à la Slovaquie), et qui a subi cinquante ans d’un athéisme d’Etat particulièrement dur. Il constatait aussi que, dans le même temps, les sociétés de vieille Chrétienté se sécularisaient dangereusement et évacuaient de leurs réflexions les questions les plus essentielles sur l’homme, sa finalité, son ouverture à la spiritualité et, pour finir, sur Dieu Lui-même.
A
Père en organisant à Paris les 24 et 25 mars 2011 le lanussi le Pape souhait-il qu’à côté du dialogue intercement de ce moderne Parvis des Gentils. Sur le thème religieux l’Eglise prenne l’initiative de susciter, entre commun de “Lumières, religions et raison commune”, croyants et non croyants des confrontations pacifiques, quatre colloques ont eu lieu dans des lieux symboliques respectueuses des convictions de chacun mais sans et prestigieux : l’Unesco, en concession au syncrétisme parce Sorbonne, à l’Institut de France qu’animées par la recherche de NOS MISSIONS la Vérité et l’exercice de la raison • Mission de vérité sur les combats de la France et au Collège des Bernardins. Abordé sous des angles diffécommune à tous. dans l’histoire récente de notre pays, calomniés soir et matin par les sinistres hérauts de la “repentance”, fosrents, ce thème général a permis Pour illustrer sa pensée il a évo- soyeurs de l’honneur et de l’identité nationale. à des personnalités de premier qué le Parvis des Gentils, lieu réMission de charité active pour les “victimes de leur • servé dans la Jérusalem antique foi en la Patrie” : soldats vietnamiens de notre corps plan, croyantes et non croyantes aux discussions que les non juifs, expéditionnaire d’Indochine, harkis, vieux soldats en de confronter leurs idées sur des difficulté, anciens de la Légion Etrangère, victimes de “les Gentils”, pouvaient avoir la violence civile abandonnés par les pouvoirs publics. questions qui nous concernent tous : la spécificité de l’homme, avec les scribes et les docteurs • Mission d’espérance au service de jeunes et la liberté de conscience et l’oude la Loi. d’écoles qui partagent les valeurs de l’Association, et de communautés chrétiennes du Proche et verture à la transcendance qui du Moyen-Orient menacés de dispariDes questions en découlent, les principes fontion sur les lieux mêmes où notre hériqui nous concernent tous tage spirituel a commencé de se forger. dateurs de toute vie en société, la finalité de la vie économique, Le Conseil Pontifical de la Culture, Pour en savoir plus et nous soutenir la place de l’art et de la culture, présidé par le cardinal Ravasi, a dans ces actions, voir page 6. fondements de toute civilisation. concrétisé ce souhait du Saint
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(suite page 2)
DEVOIR DE CONVICTION
Le Parvis des Gentils (suite) La publication, en septembre, des Actes de ces différents colloques, permettra d’en tirer toute la richesse. Ils ont d’ores et déjà prouvé la pertinence de l’intuition de Benoît XVI : il est possible à des personnes de convictions religieuses ou philosophiques différentes d’apporter une contribution féconde à la recherche de la vérité sur les questions majeures de l’existence humaine, aujourd’hui trop souvent occultées dans nos sociétés “modernes”.
Des témoignages particilièrement émouvants Une soirée à Notre-Dame qui a connu un grand succès populaire, a prolongé ces échanges. Elle a été marquée par le discours du Pape retransmis depuis Rome sur deux écrans géants et écoutés dans un silence impressionnant, les débats passionnés dans des tentes dressées sur le parvis, des spectacles créés pour cet événement (pièce de théâtre de Fabrice Hadjadj, chants, chorégraphie), le recueillement dans la cathédrale ouverte à tous et un exceptionnel Son et Lumière qui a embrasé Notre-Dame. Les témoignages recueillis à la suite de cette veillée, souvent très émouvants – notamment de la part de noncroyants - montrent qu’elle a touché les esprits et les cœurs des douze à quinze mille personnes massées sur le parvis. Jean-Marie Schmitz
Un DVD en cours d’élaboration reprendra les temps forts de cet événement. Comme les actes des colloques, il pourra être commandé au siège de l’association Parvis des Gentils : 10 place Vendôme, 75 001 Paris. Cette association compte aussi sur la générosité de ceux qui veulent assurer dans le temps la concrétisation de l’intuition de Benoit XVI. Vous pouvez envoyer un chèque libellé à l’ordre du Parvis des Gentils, association habilitée à délivrer un reçu fiscal. Après Paris, d’autres grandes cités accueilleront le Parvis des Gentils : Florence, Bucarest, Palerme et Tirana à l’automne 2011. Stockholm, Milan, Prague, Assise, Berlin et Québec en 2012. Puis en 2013, Genève, Marseille (qui sera cette année là capitale européenne de la culture), Chicago et Washington. Cela contribuera à remettre à leur vraie place les interrogations que se pose tout homme sur le sens de sa vie.
Chers amis du Secours de France, grâce à vous nous pouvons : uS oulager les détresses des soldats, rapatriés et harkis que leur engagement au service de la France a meurtri dans leur chair et leur cœur ou a fragilisé leur situation. u Contribuer à ce que soit rétablie la vérité sur nos combats. (voir page 3). – C’est ainsi que nous avons réédité Les Soldats oubliés de Louis STIEN, officier du célèbre 1er BEP, Homme de Dieu, homme de guerre du Père Casta, et fait réaliser des films diffusés sur France 3 ou la chaîne Histoire, qui sont disponibles en DVD : Le destin d’un capitaine (sur les SAS en Algérie), Face à la mort (sur les camps vietminhs). Cet automne, un film coproduit avec l’ECPAD retracera avec la voix de Jean Piat la tragédie de l’engagement et de l’abandon des harkis. uS ecourir certaines communautés chrétiennes du Liban et d’Irak (voir page 4), menacées de génocide du seul fait qu’elles sont chrétiennes. C’est ce qui continue de justifier que le Secours de France soit, depuis sa création, placé sous la protection de Saint Martin. u Préparer l’avenir en soutenant des écoles où sont enseignés la foi et l’amour de la Patrie (voir page 5), et en accordant des bourses d’excellence à des enfants ou petits-enfants de harkis pour leur permettre de poursuivre leurs études ou de développer leur projet professionnel.
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DEVOIR DE MÉMOIRE
Cinquantenaire du “putsch des Généraux” :
La révolte des Centurions Le cinquantenaire de ce que nous appelons, par routine journalistique, le putsch des généraux convoque l’Algérie française à notre vivante mémoire. Ce terme de “putsch” ne convient pas. Un putsch est une affaire politique, un coup d’état perpétré par des militaires pour tenter de prendre le pouvoir. Rien de tel dans l’aventure conduite par le Général Challe, accompagné de Jouhaud et de Zeller, rejoint par Salan.
L
e mouvement du 21 avril 1961 était une insurrection militaire qui voulait rester militaire. L’armée disait avec force au pouvoir politique qu’il était hors de question, pour elle, d’abandonner une terre qu’elle avait pacifiée et des populations à qui ses officiers avaient fait le serment qu’ils ne les abandonneraient jamais. Affaire d’honneur. Affaire de serment et de foi jurée. Affaire essentiellement militaire.. Politiquement ce fut un désastre. De Gaulle en profita pour accélérer sa politique d’indépendance de l’Algérie, faisant passer auprès des Français de métropole leurs frères d’Algérie pour des excités, des rebelles les “agités d’Alger” et les militaires pour des fascistes dangereux. Comme il avait joué du parti communiste “Moi ou le chaos“, il joua de l’OAS et de l’extrême-droite. La vie politique française porte encore la marque de ce jeu pervers.
Un grand geste d’amour, pur de toute ambition Mais à l’échelle de l’histoire, ce raidissement de l’honneur, ce refus du mensonge et du parjure, couronnés par les condamnations judiciaires et les années de forteresse, demeurent comme le dernier grand et tragique témoignage de ce que peut être un officier français. Aucun de ces généraux étoilés et décorés, aucun de leurs officiers supérieurs ou subalternes, aucun de leurs jeunes lieutenants n’étaient des aventuriers. Aucun n’avait la moindre
morts. Figures que n’entache ni le sang inutilement versé, ni le reniement de la parole donnée, figures de jeunesse et de courage que, mieux que le succès, auréole le malheur, elles attendent le dramaturge, le romancier, le cinéaste qui saura faire rêver les générations futures à la noblesse de leur sacrifice.
ambition politique. Leur démarche était pure de toute idéologie comme de tout esprit de système. Ils ne réclamaient pas plus ou moins de démocratie. Ils n’aspiraient pas à un changement de régime. Ils voulaient simplement rester fidèles à la parole qu’ils avaient donnée. Fidélité et amour pour une terre qui, pour la plupart d’entre eux, n’était pas leur terre. Fidélité et amour, pour les populations qu’ils avaient appris à connaître et travaillé à protéger. Quelle autre nation que la France a vu, dans son armée, fleurir à une telle hauteur, de tels sentiments ? Rien de plus noble. Rien de plus désintéressé. Rien de plus français. Ils ont perdu ? À court terme certainement. Mais le rayonnement grandissant de l’œuvre et de la personne d’Hélie de Saint Marc dit déjà les honneurs que l’histoire commence à leur rendre. Leur geste et leur malheur font partie de notre Grande Geste nationale et les placent là où les Romains, après les avoir souvent méconnus de leur vivant, installaient leur héros
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Rendre enfin à l’Honneur … les honneurs qui lui sont dus ! Cette dernière fière et noble révolte de notre histoire est comme un trésor que le temps garde et affine encore pour les poètes qui viendront. Mais, dès maintenant, grâce à ces soldats perdus pour leur carrière mais fidèles à leur vocation, l’image ultime de l’Algérie française, c’est sur le Forum d’Alger la Blanche, dans le printemps de Notre-Dame d’Afrique, un peuple et une armée rendant ensemble, une dernière fois, les honneurs à l’Honneur. Jacques Trémolet de Villers
NOS ACTIONS Secours
de France lutte contre la désinformation systématique qui frappe l’histoire des derniers conflits, notamment celui de l’Algérie, au moyen de bulletins, lettres électroniques, films, DVD, livres, articles, émissions de radio…
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Pour en savoir plus, et nous soutenir dans ces actions, voir page 6
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DEVOIR DE SOLIDARITÉ INTERNATIONALE
Le projet audacieux des Dominicains de Bagdad Une réunion sur l’avenir de la chrétienté en Irak a eu lieu le 23 mars dans les locaux de la société EPEE, à l’occasion du passage à Paris du Supérieur des Dominicains de Bagdad Dr Fr. Amir Jaje, et de Fr. Youssif Thomas Mirkis, rédacteur en chef d’ “Al-Fikar Al-Massihi“, journal de la pensée chrétienne en Iraq, paraissant en langue arabe. Jean-Marie Schmitz et Michel Carbonnier y participaient, pour le Secours de France.
L
a réunion a débuté par un exposé du Dr Jaje portant sur la chrétienté en Irak et l’action des Dominicains. Les chrétiens de Bagdad se trouvent majoritairement dans la “Zone Rouge“, la plus dangereuse. Leur nombre global a diminué de moitié, à 5% de la population contre 10% antérieurement. Il y a à Bagdad 5 Dominicains (20 en Irak plus 5 en formation). .. La chrétienté irakienne a pris naissance aux premiers siècles, bien avant l’’invasion musulmane. Les Dominicains d’Irak, rattachés depuis 160 ans à la Province de France furent présents dès le XIVème siècle, puis interdits ; ils revinrent en 1760 et n’ont plus quitté l’Irak depuis, malgré les persécutions de tous ordres. Aujourd’hui les chrétiens irakiens ne sont certes plus “jetés aux bêtes“ comme sous l’Empire romain, mais leur existence est menacée. La protection dont ils bénéficiaient du temps de Saddam Hussein, comme les autres minorités, a fait place à des tracasseries, des humiliations, des menaces, hélas souvent mises à exécution, qui rendent difficile leur vie quotidienne et incertain leur futur.
L’Université ouverte de Bagdad Dans ce contexte tragiquement oppressant, les Dominicains se sont donné trois missions : n sauver l’identité chrétienne et travailler à l’unité de tous les chrétiens.
NOS ACTIONS Secours de France apporte une aide
matérielle concrète à plusieurs communautés chrétiennes du Proche et du Moyen-Orient qui luttent pour leur survie dans un environnement de plus en plus hostile, notamment en Egypte, en Orak et en Palestine.
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Pour en savoir plus, et nous soutenir dans ces actions, voir page 6.
n Soutenir la “reconstruction” des hommes et des femmes de 25 à 55 ans, abîmés par trente ans de guerres (guerre Iran-Irak, puis les deux guerres du Golfe) qui ont fait plus d’un demi-million de morts irakiens, et la politique “anti-intellectuelle” voulue par Saddam Hussein pour étouffer toute contestation. n renouer le dialogue avec les musulmans (sans prosélytisme, le contexte l’exclut) sous le signe de l’Amour envers Dieu, envers les hommes et envers la nature. Les Dominicains de Bagdad ont pour cela entrepris la concrétisation d’un projet original et ambitieux, “In Hay Al-Wihda”, l’Université ouverte de Bagdad dédiée aux sciences humaines. Elle s’adressera à tous ceux qui veulent apprendre sans considération de race ou de religion. L’Université ouverte sera aussi un outil de réhabilitation des sciences humaines oubliées depuis des décennies et du dialogue multiconfessionnel, mis
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à mal par les dérives islamistes actuelles. L’enseignement y sera diffusé en langue française et gratuitement, tant au profit de ceux qui résident en Iraq, chrétiens ou musulmans, que des membres de la diaspora qui en bénéficieront par l’internet. L’équipe projet se compose de quinze personnes, universitaires, scientifiques, jeunes frères et sœurs dominicains. 40% de la construction des bâtiments ont été achevés en cinq ans, et 5000 livres de sciences humaines ont déjà été acquis. Obtenir un tel résultat à Bagdad, dans l’environnement que l’on sait, mérite une profonde admiration.
Secours de France répond présent ! Ce projet, qui est un véritable défi, est de ceux qui donnent un contenu concret à l’Espérance chrétienne qui habite ces courageux Dominicains. Il mérite d’être soutenu. La société EPEE s’est proposée de préparer un dossier pour faire connaître ce projet et solliciter des donateurs potentiels, individuels ou institutionnels qui pourraient, soit participer à la deuxième tranche des dépenses d’investissement, soit parrainer des étudiants. Secours de France, sous une forme que nous allons examiner, apportera sa contribution à cet audacieux, mais ô combien nécessaire projet. Secours de France
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DEVOIR D’éducation
Le droit des parents à choisir leur école :
théorie et pratique, mythe et réalité Le droit des parents à élever leurs enfants dans les écoles de leur choix – des écoles conformes à leurs attentes pédagogiques, mais aussi à leurs convictions morales et religieuses – reste “un principe fondamental reconnu par les lois de la République” (décision du Conseil Constitutionnel, 23 novembre 1977). Ce principe de droit naturel qu’appliquent en droit tous les pays démocratiques du monde est confirmé depuis plus d’un demi-siècle par la Convention européenne de sauvegarde des Droits de l’Homme et des Libertés fondamentales .” (Traité de Rome, 1950). – La France reste ainsi le seul pays du monde “libre” où ce droit ne soit pas reconnu !
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n France, seule nation du monde libre à maintenir un monopole d’Etat sur l’éducation des enfants, la faillite de l’Education Nationale programme l’échec scolaire et social depuis plusieurs décennies : on peut entrer aujourd’hui en classe de 6ème sans savoir lire, écrire ni compter ; le “bac“ lui-même n’offre plus aucune garantie sur les capacités à analyser des données, tirer profit d’une expérience, progresser dans l’acquisition de nouvelles compétences... L’entreprise n’est pas seule à en subir les conséquences, car l’effondrement des valeurs de civilisation a suivi. Face à cette catastrophe nationale, les écoles privées hors contrat – libres de choisir leurs manuels et leurs méthodes pédagogiques, autonomes aussi dans le recrutement et la formation des maîtres – ne cessent de se développer. Leurs objectifs d’excellence intellectuelle et morale attirent de plus en plus de familles, qui consentent parfois de très grands sacrifices financiers pour y inscrire leurs enfants. Car cette liberté essentielle a un prix : les frais de scolarité. L’Etat en effet récuse dans la pratique ses propres principes constitutionnels en ne subventionnant que les écoles privées sous contrat, soumises aux programmes, aux méthodes et aux règlements de l’Education Nationale... Si bien que de nombreuses familles doivent renoncer, faute de moyens, à confier leurs enfants à l’école de leur choix. L’Association Education Solidarité (AES) est partie de ce triple constat pour aider les familles en difficulté, qui sont souvent des familles nombreuses, à exercer pleinement leur responsabilité éducative, par la liberté du choix. Depuis cinq ans, grâce à la générosité de ses premiers donateurs, plusieurs
centaines de bourses ont pu être accordées... Mais ce sont aussi des centaines d’écoles hors contrat qui se créent chaque année, partout en France, et des milliers de nouvelles demandes de bourses qui parviennent aujourd’hui à l’Association. Il faut répondre à ce besoin nouveau, et il y a urgence à le faire pour l’avenir même de notre civilisation : l’éducation d’aujourd’hui fabrique les citoyens et les parents de demain ; elle préfigure la société dans laquelle nos enfants vont vivre ; elle garantit que les valeurs intellectuelles, morales et spirituelles de notre civilisation sauront triompher des assauts de l’ignorance, de la violence et du “chacun pour soi”.
Le choix de l’excellence a un prix Aidez les parents aux revenus modestes à faire le choix de “l’excellence”, selon des convictions qui sont aussi les vôtres, pour l’éducation de leurs enfants. L’Association Education Solidarité sélectionne les écoles bénéficiaires sur des critères pédagogiques rigoureux, attestés par le niveau des résultats aux examens, et des
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critères d’exigence morale dont la formation des hommes ne saurait se passer. Eduquer, étymologiquement, c’est conduire vers le haut : préparer l’enfant à se confronter loyalement aux apprentissages de sa vie sociale, familiale, professionnelle ; et à se reconnaître au moins autant de devoirs que de droits dans toutes les circonstances de sa destinée. L’enjeu reste essentiel. N’en manquez pas le rendez-vous. H.K.
Association Education Solidarité 155 E, Chemin de la Palma, 69210 L’Arbresle Tel : 06 09 09 28 28 u courriel : asseducsol@yahoo.fr site : www. asseducsol.com (Association Loi de 1901, Préfecture du Rhône n°W691056489)
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SECOURS DE FRANCE
Parmi les soutiens apportés… • Le Général Maxime Weygand,
Membres d’Honneur
membre de l’Académie Française
• Marcel Aymé, “l’écrivain du siècle” selon P. Gripari • Jacques Laurent, écrivain, de l’Académie Française Weygand, Marcel Aymé, Jacques Laurent… • Georges Bidault, Résistant et homme politique • Michel Déon, écrivain, de l’Académie Française • Gilbert Renault dit “le Colonel Rémy”,
La soif de vérité et de justice de Clara Lanzi était fortement communicative. Sous son impulsion, puis celle de ses successeurs, l’Association Secours de France a été et continue d’être soutenue par d’éminentes personnalités de l’Eglise catholique, du monde de la politique, du Barreau, des lettres et des arts. Ils pourraient être Membres d’Honneur, ils sont Membres pour l’honneur, celui de la France. Si vous reconnaissez chez eux votre propre famille d’esprit, rejoingnez-les au sein de notre Association.
héros de la Résistance
Georges Bidault, Michel Déon, Colonel Rémy… • Pierre Sergent, le “capitaine historique de l’Algérie Française”
• Pierre Schoendoerffer, scénariste, réalisateur et écrivain français
• Gustave Thibon, philosophe chrétien Capitaine Sergent, P. Schoendoerffer, Gustave T • Hélie de Saint Marc, Résistant, déporté, héros des guerres d’Indochine et d’Algérie
• Jean Raspail, écrivain et journaliste • S.E. le Cardinal Audrys Juozas Backis, ancien archevêque de Vilnius
Saint Marc, Jean Raspail, le Cardinal Backi • Geneviève de Galard, infirmière militaire française dans le camp de Dien Bien Phu
• Sœur Sophie Boueri, surveillante générale de l’hôpital de la Sainte Famille à Bethléem
• SAR Le Prince Jean de France Geneviève de Galard, Sœur Sophie, le Princ
Pour la justice et la charité envers les “oubliés de l’histoire”… Pour le devoir de vérité sur l’histoire de notre pays… Pour l’avenir des valeurs chrétiennes et françaises que nous défendons…
… participez aux actions du Secours de France :
faites un don !
u Par paiement sécurisé en ligne sur notre site internet : www.secoursdefrance.com Ou par l’envoi d’un chèque bancaire ou postal à l’ordre de Secours de France v (C.C.P. Paris 16.590-11D) et à l’adresse de l’Association (voir ci-dessous). u
Vos dons sont la condition de notre indépendance :
Secours de France est animé par une équipe de bénévoles et ne perçoit aucune subvention. Toutes ses ressources proviennent des cotisations de ses adhérents et des versements de ses donateurs. Les sommes recueillies sont entièrement consacrées aux actions, à l’exception des frais de secrétariat et de location du bureau.
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Vous bénéficiez d’importantes réductions d’impôts :
Particuliers : une réduction d’impôt sur le revenu de 66% des sommes versées,
dans la limite de 20% du revenu imposable. (Exemple : pour un don de 100 €, coût réel : 34€) – Entreprises : une réduction d’IS de 60% des sommes versées, dans la limite de 0,5% du chiffre d’affaires. – Pour tout don au Secours de France, un reçu fiscal vous sera adressé (Art. 200 et 238bis du CGI).
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de succession (art. 2-II de la loi n°87-571 du 23/07/87). Pensez-y au moment de préparer votre succession : contactez-nous au 01 46 37 55 13.
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