Concours de chapeaux et de poĂŠmes
s e t t e n i r e h t a C s e 2018 L
2ª ÉDITION DU CONCOURS DE CHAPEAUX IES FRAGA DO EUME
Année 2017-2018
Les élèves de 1re année de l’ESO ont confectionné des chapeaux pour des Catherinettes ou des Nicolas. Avec eux on s’est souvenu d’une fête déjà disparue mais qu’il faut connaître, car quand on connaît et on réfléchit sur le passé on peut avoir un bon présent et un meilleur avenir. Les élèves de 2e, 3e, 4e de l’ESO et 1re de Bacharelato ont participé aussi au concours des Catherinettes et ont écrit un poème où ils ont imaginé comment est la femme ou l’homme qui porterait ce chapeau.
Os alumnos de 1º ESO elaboraron uns sombreiros para as Catherinettes ou os Nicolas. Con eles recordamos unha festa xa desaparecida pero que é preciso recordar, pois cando coñecemos e reflexionamos sobre o pasado, podemos ter un bo presente e un mellor futuro. Os alumnos de 2º, 3º, 4º da ESO et 1º de Bacharelato tamén participaron no concurso, pero a eles tocoulles escribir un poema imaxinando como é a muller ou o home que levase este chapeu.
L`araignée
Les sapins, les érables, les chênes...
Tu es une tisserande,
font partie de notre nature,
Tricots, crochets, toute la journée.
puisque ils la remplissent de pureté.
Écharpes, chaussettes, chemises en coton,
Ils, tout le temps, sont à ton côté,
Pour toute la famille, pour tout le village,
ils te donnent son ombre
tu ne fais pas mal.
et ils sont comme un grand ami.
Tu couds tes fils, comme une araignée, heureuse, tranquille et rapide, comme ça tu couds tes fils. (Clara V. Conchillo)
(Mateo López) Elle entre et la musique commence ses pieds dessinent sur le plancher des traces sombres, sans couleur, clé de sol sans soleil. Les touches jouent faux ou qui ne sonnent pas, mais la fête continue et elle doit le faire aussi. Il entre et la musique s’arrête, mais elle continue à sonner. Les dessins forment un chemin et quand il le touche, la couleur est faite. La clé brille, le piano et le violon sonnent dans le temps, ils se rencontrent. Il n’y a pas de place pour les mots, seulement pour un « tu me manques » (Érika Mª Yáñez) Elle étudie vétérinaire, parce qu'elle aime les animaux. Elle travaille également dans un tatouage local, parce qu'elle les aime et en a beaucoup. (Carla Mora)
De différentes coiffures,
Elle est observatrice.
bouclés ou frisés
D'un rire en été.
ses cheveux si dorés,
De nuits éteintes.
ou roux ou châtains.
Le dernier rayon de soleil.
Couper les cheveux, j’aime
(María Bravo)
parce que j’exprime sa beauté pour qu’ils aient la liberté ou quelque chose de fou. Teindre en couleurs pour de différentes occasions donc je montre leurs expressions. Ça m’aide jour après jour à continuer ma vie. Les cheveux sont mon guide. (María Díaz)
LA MER Un endroit noir, obscur. Elle te mangera si tu ne t'occupes d'elle. Tu devrais la respecter. Parce qu'elle est la mer. Fais attention! Tu pourrais te noyer. Comme dans un grand verre d'eau. Noyé à cause de l'horreur, le doleur, la pression. La mer est puissante.
Elle adore la musique, Chanter, c'est sa grande passion. Le son de ses instruments Est beau comme la douce mélodie
Le sable, l'unique capable de la toucher.
Des oiseaux piaillant
Un contact chaleureux et spécial.
le matin au printemps.
Proche. Dans la mer et le sable.
(María Beceiro)
La fille du bar Oh, mon dieu, quel prodige, quelle merveille j’ai vu hier! Dans mon quartier: la tête d’ange, le joli sourire, tout en elle, merveilleux! Je déteste le bar, je n’aime pas sa bière, mais je vais, ma chérie, pour te parler. Toi, tu es, le houblon pour mon cœur, et pour mon âme la boisson! (Carmen González)
Elle, une belle dame, la femme de mon cœur, étudie les oiseaux... mais moi, je veux étudier ses yeux. Elle marche par terre comme un cygne vole, je rêve aves ses mains légères comme deux colombes. Je veux seulement caresser sa peau, sentir sa beauté, sa chaleur. (Christina Nelson) . :
Les sucreries nous rendent tous heureux? Catherinette a six ans, Elle mange des sucreries avec ses copains. Les sucreries rendent heureux les enfants. Elle achète des friandises avec quinze ans, et un peu après avec vingtcinq Elle les mange encore avec ses amis. Catherinette a trente ans, les sucreries l'ont rendu folle mais malgré tout, elle est heureuse parce qu'elle a inventé une nouvelle sucrerie. Mais à la fin Catherinette ne l'est pas, à cause des sucreries elle meurt avant de profiter de son invention. Les sucreries nous rendent tous heureux? (Lucía Galdo)
ELLE ET SES ANIMAUX DE COMPAGNIE Elle aime les animaux. Elle a un chien, elle a deux chats et elle a trois poissons. Elle est désolée parce que son lapin est mort, elle est heureuse parce qu’elle a adopté un chien et elle est triste parce qu’un de ses chiens est malade. Elle est vétérinaire, elle travaille le matin et elle s’occupe de ses animaux de compagnie le soir. Le lundi et le jeudi elle s’occupe de ses chiens, le mardi et le vendredi elle s’occupe de ses chats, le mercredi et le samedi elle s’occupe de ses poissons et le dimanche elle joue avec tous ses animaux de compagnie. (Xiaran Pena)
LA MER, LE ROMAN DE MA VIE J’écris ton nom sur le sable mais la mer, l’efface. J’écris un poème dans mes rêves, j’écoute la mer, le calme. J’espère ton message dans mon portable, malgré le froid et la glace. Mon amour a besoin d’une trêve, sans toi, écrire, c’est en vain. J’ai écrit ton nom sur le sable mais la mer, tout l’efface. (Marcos Freijomil)
Elle est différente, elle n´aime pas se maquiller, ni aller au shopping, ni jouer aux jeux-vidéo, mais sinon elle aime lire. Quand les autres filles jouent les Barbies, elle lisait Le gourbi. Quand les autres filles achètent des vestes, elle lisait La peste. Quand les autres filles cherchent leur amour, elle est déjà une célèbre écrivain. Quand les autres filles ont déjà des enfants, elle est encore célibataire. Elle ne veut pas vivre du monde réel, parce que le monde du livre, sa famille, est plus fidèle pour elle. (Zhengyi Li)
La femme, qui a l’espoir de découvrir quel oiseau chante tous les matins la même belle mélodie près de sa maison, aujourd’hui elle obtiendra son rêve; elle sera hôtesse de l’air, mais sans avion, parce qu’elle est tellement brisée, qu’elle apprendra à voler seule. (Sara Casteleiro)
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