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Toutes les lectures que nous pouvons avoir des évènements actuels démontrent que la logique des cycles est parfaitement obsolète. Nos environnements traversent des ruptures fortes et il est essentiel d’être visionnaire, précurseur en un mot acteur. Deux modèles se distinguent et s’imposent à nous par leur nouveauté et par l’engouement qu’ils suscitent. • La mise en évidence que la valeur se concentre de plus en plus sur les flux plutôt que les biens. Base 10 est un groupe récent qui a construit un premier développement sur le thème de la relation bancaire en posant comme préambule que deux mondes dont les interactions sont vitales ne se comprennent pas et ne se parlent pas. Jusqu’alors, les moyens mis en œuvre de part et d’autre sont des consultations individuelles, des stratégies unitaires coûteuses et ponctuelles. Or, la valeur à trouver est dans l’acceptation et dans la compréhension réciproque et celle-ci ne peut-être envisagée que dans une logique de masse et de flux. • Le travail collaboratif, pour beaucoup ne consiste qu’à travailler ensemble. Nous sommes très loin de ce concept. En effet, à la base il y a un changement radical de posture et d’état d’esprit car il fonctionne sur le partage, la générosité et l’entraide. La puissance est que chacun prend et donne en permanence, loin des logiques d’appropriation, dans un objectif de performance et de bien être. Les valeurs vénales sont parfois mises à mal car ces nouvelles approches peuvent réduire le prix des biens de manières très significatives et dans certains cas jusqu’à la gratuité en créant de nouveaux axes de richesse. Le meilleur éclairage est l’étude du web 2.0 qui change tous nos repères et permet une excellente lecture des nouvelles pratiques.
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Aux aguets, loin d’être une posture statique, ce rôle d’observateur est capital et s’inscrit dans une véritable dynamique. Il traduit le fait que le groupe Ellipse, tout en poursuivant son activité et son développement, se réserve du temps de réflexion loin de l’opérationnel dans l’objectif de «penser différent !».
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«Améliorer la relation bancaire est essentiel.»
Dans l’entreprise, la fonction finance est au centre de toutes les préoccupations et représente un axe vital réciproque. Malgré cela l’opposition qui règne entre les deux mondes est très forte. L’entreprise concentre sa valeur et son énergie exclusivement sur son métier et son savoir faire alors que le monde de la finance ne regarde que la rentabilité dans une logique de court terme. La grande valeur ajoutée de Base 10 réside dans son intelligence à créer des outils de décodage qui sensibilisent les deux univers. Il est parfaitement utopique de mettre en perspective que l’un et l’autre puisse parler un jour le même langage. Quand bien même cette opportunité pourrait exister, serait-ce vraiment une solution ? L’issue est tout autre, accepter et admettre les fondamentaux et fonctionnements de chacun dans une logique commune d’objectif et de rentabilité. Les entreprises développent l’économie et l’emploi, et la finance structure et permet les développements. Chacun a besoin de l’autre. Base 10 propose en ligne, trois applications révolutionnaires : - PME Bank : La possibilité pour toute entreprise d’avoir en permanence sa vision à travers le prisme d’un banquier tant sur les aspects crédit que tarification. Dossier permanent à jour, simulations, points forts et axes de développement... - Expert Bank : Cet outil d’analyse donne aux experts comptables ainsi qu’à tous les métiers d’accompagnement des entreprises la possibilité en temps réel de suivre leurs clients dans tous les axes de l’ingénierie financière et d’élaborer de façon minutieuse et efficace des stratégies parfaitement adaptées et personnalisées qui tiennent compte des besoins et des capacités. Par ailleurs, cette application permet de renforcer le rôle de conseil et d’anticiper. - Eval Bank : Pour la première fois, les entreprises ont coté les établissements bancaires. C’est le parfait exemple qui éclaire la pertinence de Base 10. Les entreprises se sont exprimées et ont valorisé la relation bancaire au travers d’une étude soutenue par l’AFCI et le magazine «Challenges». Cette action constructive permet donc à chacun de s’exprimer dans un objectif global d’amélioration et de renforcement. De nombreux autres développements sont en cours dans le groupe Base 10. Les nouvelles économies envoient de nombreux signaux qui nous questionnent et nous font réagir sur l’importance de comprendre rapidement où sont les véritables valeurs. Base 10, Think value. P06
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«Notre époque se caractérise par la profusion des moyens et la confusion des intentions.» A.Einstein
Notre époque parcourt une véritable révolution des règles et des moyens de communication. L’arrivée du Web 1.0 a lancé une ère d’affichage, d’appropriation d’outils technologiques nouveaux banissant les contraintes logistique et géographique d’accessibilité à l’information. Le web 1.0 a permis de lier et relier les acteurs. Aujourd’hui, le web 2.0 permet de mettre en avant un paradoxe : valoriser l’individu et faciliter le partage entre les différentes personnes qui ont posté les informations qui leur semblent importantes. L’échange est né, non seulement nous pouvons poster des informations mais également commenter et réagir sur celles des autres. Le web 2.0 est la seule révolution qui permet l’acceptation des idées et l’engagement des autres. Il permet l’évolution des concepts d’individualisme, prônés depuis toujours dans nos systèmes éducatifs, vers des logiques et modèles forts basés sur le partage. Les outils sont performants et ne souffrent d’aucune contrainte d’accessibilité grâce à une mobilité accrue. Le travail collaboratif oriente vers l’ouverture des horizons, l’acceptation des autres et de nouveaux éclairages. Cette approche si différente nous dirige vers des changements fondamentaux sur nos façons de penser, nos façons d’agir et nos façons de travailler. C’est une nouvelle culture où la réussite n’est plus individuelle mais dans l’échange. L’objectif est commun, loin des valeurs vénales et se rapproche de logique solidaire et de bien être. P09
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• CZ 13 aborde avec une grande largeur la problématique de l’acceptation et nous laisse réfléchir sur le concept de la normalité. Ce projet, mis en lumière par une randonnée glaciaire qui va relier Chamonix à Zermatt, est avant toute chose une véritable prise de conscience et un projet managérial puissant. • Amis des Maldives, cette entreprise concentre à elle seule des valeurs trè s fortes de courage, d’aventure, d’ouverture dans le plus pur respect de l’environnement. En créant il y a plusieurs années cette société, la famille Manesse a construit des axes de développement forts pour le pays tout en préservant la nature et les populations locales. • Les enfants, toutes les photos que vous découvrirez se situent dans le même espace temps. Les richesses sont diverses, les préoccupations bien différentes mais on peut lire dans de nombreux regards une curiosité énorme, une envie de construire et de vivre débordante. Notre rôle est peut-être de les aider à comprendre et entreprendre en nous posant la question suivante, que souhaitons-nous leur laisser ?
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Engagée, chacun admet aujourd’hui que l’entreprise a un rôle déterminant dans le développement de l’économie et plus largement de la vie. Les nouveaux signaux et repères indiquent qu’une société doit créer de la richesse et de la puissance pour son propre développement et sa pérennité, mais qu’elle doit également afficher et soutenir durablement des actions conformes à ses valeurs. Ces engagements seront de nature à donner du sens et de la profondeur pour défendre une philosophie de vie et construire une identité forte. Les trois thèmes que vous allez découvrir mettent en avant des valeurs importantes.
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Accepter. Crainte et contrainte sont les deux approches habituelles de la relation au handicap. Difficile donc de construire. Les apparentes différences créent un mal-être dont la source est l’incompréhension. Celle-ci obère toute opportunité d’acceptation de part et d’autre. Comme trop souvent en pareil cas, la solution proposée est la constitution de règles, lois, obligations, contraintes. La crainte d’une maladresse annihile tout rapprochement. D’ores et déjà, acceptons tous d’être maladroits les uns envers les autres, de faire des erreurs, ceci dans un seul objectif de comprendre les hommes tels qu’ils sont. Est-il possible d’accepter un nouveau paradigme ? Une personne handicapée est une personne comme les autres dès lors que l’environnement lui est adapté. Ce projet CZ 13, c’est profiter du fabuleux éclairage qui se porte sur une expédition glaciaire pour que chacun revisite sa perception et mette en perspective d’accepter l’autre sans crainte ni contrainte.
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www.cz13.com
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Nous sommes souvent actifs face à l’avenir,
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la richesse de l’instant.
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Moments rares,
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à idéaliser bâtissent nos envies. Accepter l’exceptionnel dans notre présent, c’est faire évoluer notre perception. Chacun est acteur et tous les moments deviennent uniques. Cet espace temps que nous partageons sur un bateau demeure un moment exceptionnel et s’inscrit au rang des grandes expéditions. C’est aussi cela, Amis des Maldives.
www.amisdesmaldives.com
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«Nous n’héritons pas de la Terre de nos parents, nous l’empruntons à nos enfants.» Antoine de Saint-Exupéry P16
L’énergie qui se dégage de leurs attitudes est palpable. Quelles que soient leurs conditions de vie, ils jouent, construisent, partagent, inventent, rêvent... Quel est notre véritable rôle ?
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Dans les moments sombres il y a plus que jamais la place pour les échappées artistiques. La création artistique ouvre des voies vers la lumière et l’espoir. Quand tout se fragmente il reste le courage, et les artistes n’en manquent pas. C’est dans l’énergie et le courage que renait l’envie de tout recommencer, de relancer l’inspiration, fondation du travail créatif. Des nuages qui se profilent, nait la sensation que penser différemment devient une nécessité. Nous sommes tous uniques et singuliers et nous devons tous faire les choses avec notre propre personnalité. Il est grand temps de sortir de la passivité pour bousculer les schémas proposés et la médiocrité de leurs états. Capitale européenne, Berlin se positionne aujourd’hui comme la plateforme incontournable de l’art contemporain. La dernière biennale d’art contemporain a couvert un ensemble de projets d’artistes et autres activistes engagés en traitant de sujets d’actualité. Elle est une plateforme d’échange d’idées, dont les artistes sont à la fois les acteurs et les médiateurs tentant d’éveiller les consciences politiques auprès d’une large audience.
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Sortir de la passivité.
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Forget fear - Berlin 2012
Explosion des repères : L’ar t contemporain est-il encore de l’ar t ? Face à la multiplication des lieux et des foires d’art contemporain, on pourrait croire à un enthousiasme collectif partagé. Polémique et malentendus s’accumulent plutôt entre le public et les œuvres proposées. Autant dire que l’art contemporain déroute, agace et frustre nos attentes. En un mot, est-ce encore de l’art alors qu’à première vue au contraire, «un enfant pourrait en faire autant» ? Dans l’art comme dans bien d’autres domaines contemporains, nos repères sont bousculés, voire renversés. Le «ni fait ni à faire» s’est substitué à la virtuosité du savoir-faire ; les matériaux les plus vulgaires ont remplacé la beauté idéale ; la froideur intellectuelle nous frustre de toute émotion. On ne parle d’ailleurs plus de peintre ou de sculpteur mais «d’artistes plasticiens». Et plus question de rester contemplatifs devant leurs objets exposés, leurs «installations» nous obligent au contraire à nous déplacer autour ou à interagir de manière active. Bref, soit les artistes se moquent de nous, soit nous passons pour des crétins ! L’explosion des repères n’est pas des plus confortables à vivre. Et si, face à cette inversion des critères de l’art, nous changions à notre tour de regard sur l’art ? Après tout, pourquoi ne pas nous emparer de la proposition interactive des artistes et jouer avec ? Pourquoi ne pas cesser de toujours prendre au sérieux l’œuvre d’art comme objet sacré réservé à une élite savante ?
Pourquoi ne pas nous approprier un regard critique et personnel, sans nous laisser contaminer par les jargons savants ? Pourquoi subir le musée comme un lieu de savoir supérieur et les œuvres commes des icônes sacrées ? L’enjeu de l’art contemporain n’est pas seulement de provoquer nos attentes et exigences. Il est aussi de nous inviter à apprivoiser de nouveaux repères, moins obsolètes et plus adaptés au monde contemporain. Quand on songe aux mutations qui secouent la société, la culture, la politique, l’économie depuis l’ère industrielle de la machine et de la vitesse, soit depuis le XIXe siècle, il n’y a guère de quoi s’étonner que l’art ait muté lui aussi. Les cathédrales gothiques étaient le miroir d’un fervent Moyen Age chrétien; la Joconde ou la Chapelle Sixtine symbolisent l’Humanisme occidental et de la renaissance. Pourquoi l’art d’aujourd’hui ne serait-il pas lui aussi une sorte de sismographe de qui nous sommes, un miroir où décoder notre époque complexe ? Par leur capacité à mettre en forme leur environnement sans passer par sa compréhension intelligible, les artistes produisent des formes signifiantes, qui dépassent les «tendances» de surface que nous avons appris à repérer. Ce sont les signaux faibles de mutations beaucoup plus profondes et durables qu’ils donnent à entendre.
Hélène Mugnier P35
Robert Filliou «La Joconde est dans les escaliers», vers 1968 Installation (carton, seau, balai-brosse, serpillière) P36
De qui se moque-t-on ? De la femme de ménage qui a oublié de ranger son matériel avant l’ouverture du musée ? De la sacro-sainte Joconde, identifiée à une vulgaire concierge ? Du visiteur et spectateur venu chercher un peu de rêve et de beauté ?
«L’art, c’est ce qui rend la vie plus intéressante que l’art». Robert Filliou refusait de prendre l’art au sérieux et cherchait à affranchir le spectateur de sa timidité face aux œuvres. Il entendait l’inviter à en faire un jeu.
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Wolf Vostell, «Fandango», 1975 Installation (portières de voitures, marteaux, moteurs, peintures sur toile, métal)
De qui se moque-t-on ? A quoi bon aligner de vieilles portières de voitures ? Pourquoi ce tintamarre de marteaux branchés pour frapper le métal ?
Emblème de la réussite industrielle, la voiture fanfaronne en témoin des 30 Glorieuses. Libre de déclencher ou pas le concert, le spectateur est co-acteur de l’œuvre avec son metteur en scène, l’artiste Vostell.
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Jana Sterbak «Catacombes», 1992 Chocolat et table en métal P40
Squelette = mort. Table de légiste = police ou médecine ? Os fabriqués en chocolat = désinvolture ou provocation ?
Repère incontournable de l’existence humaine, obsession de l’art depuis la Préhistoire, la mort prend ici le visage de notre époque : Médicalisée et non plus sacralisée Ironisée plutôt que respectée Mais ce repère atemporel continue de faire peur…
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Jean-Jacques Lebel «Portrait de Désirée» (Ou comment regarder un tableau), 1962 Sculpture modifiable (bois, métal, papier, tissu)
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De qui se moque-t-on ? Assemblage et collage de bric et de broc : ça, une œuvre d’art ? Peinture ou sculpture ? Impossible d’avoir une vue d’ensemble.
Construite comme un puzzle ou un rébus, l’œuvre n’est pas imposée au spectateur : libre à lui d’inventer son histoire, de trouver le point de vue qu’il préfère, de s’en inspirer pour un art de «récup» etc. A nous de jouer !
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Berlin est une ville mondiale culturelle et artistique de premier plan. Le choix est immense, depuis l’ancien jusqu’à l’ultracontemporain – l’Egyptienne Nefertiti, l’autel grec de Pergame, les peintres de Die Brücke et le «Bauhaus», les pièces de Baselitz et de Beuys. Les œuvres qu’on peut découvrir dans les musées, les collections de la ville et les galeries privées sont aussi passionnantes que diverses.
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Berlin compte plus de 170 musées et collections et plus de 300 galeries.
Berlin Depuis la chute du mur en 1989, Berlin explose toutes les frontières. Art, musique, nouvelles tribus se sont épanouis sur les décombres du passé.
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www.berlinbiennale.de
Berlin, capitale europÊenne de l’art contemporain. P45