Connaissons-nous!

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Connaissons-nous!

AĂąadir subtĂ­tulo


Portraits de notre EIM-ULA, 2017 Professeurs 1.

Judith Febres: “El Coco”

2.

Libia Justo : une femme passionnée pour l’enseignement

3.

Andreas Hangartner : le feu qui enflamme l'intérêt pour la langue allemande

4.

Professeur Melva Márquez, une source d’inspiration

5.

Inés Rojas : une enseignante de classe mondiale

6.

Jesús Sosa, professeur et musicien

7.

Bosetti : Un nom de famille plein d'académie

8.

Nohelia Parra : une politologue dans notre Faculté de sciences humaines

9. La vie d’un voyageur : Monsieur

Parada

Employés 10. ¡Buenos días, señora

Ana!

Étudiants 11. Elvis

Briceño: une vie d’effort

12. Une femme aux multiples talents : Andry

Manrique

13. Qui est Landys? 14. Sileyma

Briceño, femme, coccinelle

et clown


Dans le cadre de la Semaine internationale de la francophonie 2017, les élèves de Français IV de l’EIM-ULA ont préparé une série de portraits dédiés à quelques membres de notre communauté, inspirés justement par le fait que chaque intégrant enferme en soi-même des particularités qui le font extraordinaire. Bravo, mes élèves ! Nous vous invitons donc à nous connaitre un peu mieux et a avoir un regard plus humain envers le gens qui partagent votre quotidien ! Petite note : Etant donné que les portraits exposés font partie du travail du cours, les textes montrent quelques imperfections persistantes lors de révisions. On considère que ces « faiblesses » ne font que montrer une image vraie de cette étape d’apprentissage, soyez donc gentils, n’est-ce pas ? Et vous, venez nombreux,

connaissons-nous !


Judith Febres:

El Coco”

Rédigé par : Glendy Monsalve et Yohan Cifuentes.

Judith Febres Fajardo, professeur d´anglais et de didactique de l´EIM-ULA, est née à Mérida, Venezuela, fille de Carlos Febres Povedo et Maria Jose Fajardo de Febres, Voici l´une de professeurs les plus célèbres de la université dû à son charisme, son caractère particulier et à son indiscutable passion par l´enseignement de la langue anglaise. Elle est l’une de professeurs les plus anciennes de la Faculté, car elle a déjà 40 ans d´expérience. Elle a eu une excellente formation académique, on dirait que toute sa vie a été dédiée aux études: D’abord elle a étudié l´architecture, cependant elle a quitté cette carrière universitaire et plus tard, en Italie, elle s´est dédiée à apprendre l´italien, l´anglais et le français. Une de ces langues est devenue sa passion : l´anglais. En ayant cet amour par la langue anglaise, elle a fait des études d´anglais dans l´université de Cambridge, à Londres, en Angleterre. Après avoir été plusieurs années à l´étranger, elle a décidé de retourner au Venezuela. Elle fait une maîtrise en éducation et plus tard devient professeur d´anglais, profession qu´elle maintient jusqu'aujourd'hui. En plus d´être une passionnée par les langues, elle est aussi intéressée par la histoire, la culture, la littérature, la religion et le féminisme. Leur passions culturels l’ont menée à fonder, à l’aide de quelques collègues, une librairie à but non lucratif appelée:

« Los Comuneros », dont l´intention était d´encourager

la lecture et l´intérêt par la littérature chez les merideños, spécialement les plus jeunes. Avec un caractère très forte, souvent intimidant, elle est l´une des professeurs le plus aimée et respectée de notre école. Pour quoi «

El Coco

»?

Parce que c´est l´image que beaucoup d´étudiants universitaires, notamment les

débutants, ont d´elle, à cause de sa très stricte et rigoureuse façon d´enseigner et dû au fait qu´elle est une personne très honnête et alors elle dit toujours la vérité aux étudiants. Mais attetion ! Ce surnom n´a pas été choisi par les étudiants mais par elle-même ! Elle connait bien les rumeurs a propos d’elle et elle aime ça. Voilà « El Coco » ! Une professeur qui peut faire qu’un étudiant parle anglais parfaitement lorsqu’il soit prêt à travailler beaucoup. Vous pouvez dire du bon ou du mauvais mais personne ne peut nier que Judith Febres fait toujours sortir le meilleur de ses étudiants, et après tout cela, c´est le but de tout enseignant !


Libia Justo : UNE FEMME PASSIONNÉE POUR L’ENSEIGNEMENT ! Rédigé part : Andrea Peña et Yorgelis Dominguez Voici une femme souriante, positive, compréhensive et toujours amoureuse avec ceux qui sont autour d’elle : Libia Justo. Actuellement elle est professeur à l’EIM-ULA où elle apprend aux élèves

Libia Justo au Québec

la compréhension et production écrite en français

depuis 12 ans. Parmi les qualités les plus remarquables de cette belle femme, on trouve qu’elle est complètement engagée avec sa profession, raison pour laquelle elle est fière quand ses étudiants avancent dans l’apprentissage de la langue française. Pour arriver à être si bonne, elle a parcouru un chemin très long en faisant des études au Venezuela et à l’étranger. D’abord, elle a obtenu son diplôme en Langues Modernes à l’Université Central de Venezuela. Puis, elle a voyagé en France pour améliorer son niveau de français grâce au rôle d’assistante d’espagnol. À son retour au Venezuela étant plus expérimentée, Madame Justo a fait un master en ligne en Sciences du Langage et Didactique des langues à l’Université des Antilles et de Guyane-Martinique-France pendant qu’elle travaillait à l’Université Central comme professeur de français. Quelque temps après, le destin l’a amenée à travailler à l’Université des Andes où elle a fini son master. Après une forte préparation, elle a gagné le concours d’opposition pour être professeur de Lecture et Écriture. Dans cette institution, elle a fait beaucoup d’efforts pour améliorer le programme de cette discipline. Par ailleurs, chaque semestre elle identifie les faiblisses de ses étudiants et en fonction de cela, elle conçoit la manière dont elle donnera le cours. En conclusion, le dévouement de la professeur Libia est incontestable. Ainsi, à la fin de chaque semestre elle donne quelques mots de motivation à chaque étudiant :

« … Tu as été une excellente étudiante. A chaque fois que des étudiants comme toi finissent mon cours, je sens que ça vaut la peine, que mon travail a du sens. Ta compétence écrite a beaucoup amélioré. Bonne continuation, le succès t’attend ! « . MERCI PROFESSEUR !


Andreas Hangartner : le feu qui enflamme l'intérêt pour la langue allemande Rédigé par Carmen García et Edixon Diaz

Depuis 7 ans, l´EIM-ULA compte sur la collaboration d´Andreas Hangartner ; un professeur qui vient de la Suisse pour contribuer au développement du département des langues optionnelles.

Ses contributions concernant l’enseignement de la culture germanophone ont augmenté l’intérêt des étudiants de langues modernes, lesquelles ont montré leur intérêt apprendre la langue allemande. Ayant un sens particulier sur l’enseignement, M. Hangartner représente le pont entre la culture vénézuélienne et la diversité linguistique de la langue Allemagne. Le professeur Hangartner dicte le cours suivants : Culture et civilisation allemande, lecture et écriture de l’allemand et Allemand III. En même temps, il suit des études pour obtenir le diplôme de Doctorat en Sciences humaines à l’Université des Andes.

Le Professeur Andreas ne limite pas ses intérêts au champ de la sociologie, mais aussi a ceux de l'économie et de la politique. C’est un défenseur du progrès de la société et de la pensée autocritique. Il st aussi un homme cultivé avec un niveau élevé de rhétorique. Tous ces caractéristiques font la base pour impulser les reformes nécessaires dans l’école de langues modernes, raison pour laquelle nous comptons avec son importante collaboration.


PROFESEURE MELVA MÁRQUEZ, UNE SOURCE D’INSPIRATION Rédigé par Stefanny Vargas et Wuilmary Vargas La vie académique et professionnelle de la professeure Melva est très intéressante. Elle travaille à l’Université des Andes depuis 24 ans. Elle a un diplôme universitaire en Lettres, un master en linguistique appliquée, un DEA et un Doctorat dans le même domaine, obtenus dans l’Universitat Pompeu Fabra (Barcelone, Espagne) ainsi qu’un Post-doctorat en Telecom-Bretagne (Brest, France), pour citer quelques un de ces réussites. InMemoriAn: Ingeniería Lingüística de la Memoria Cultural Andina et Diccionario de Ecocultura del Páramo Andino de Mérida (DEPAM). Un Project très innovador ! La professeure Melva Márquez et le professeur Jacinto Dávila ont commencé il y a 3 ans, un projet innovant : C’est la création d’un corpus linguistique et un dictionnaire. Le but? Il cherche de regrouper la mémoire collective des Páramos Andinos. Cela veut dire qu’il agglutine des souvenirs, des connaissances et coutumes de nos peuples. Vous pouvez le consulter en accès libre et le comprendrez vous-même !

La professeur Melva dans les journées de traduction, 2016

Si le projet tout seul est intéressant, la manière dont il a été développé est encore plus intéressante. Les créateurs disent euxmêmes “nous n’aurions pas pu faire la description et la

diffusion des résultats (l’explication du vocabulaire et le sens) sans la participation des communautés parameras”. Pour réussir les buts programmés, ils ont fait des interviews, des conférences, des forums, des discussions et des débats avec les habitants des páramos. Le résultat est impressionnant ! DEPAM : le Diccionario de Ecocultura del Páramo 45 heures de conversation et 16 heures des expositions audio-visuelles ont donné lieu au Corpus de InMemoriAn. Il montre les définitions fournies par les habitants du páramo. À partir de cela, ils ont créé le Diccionario de Ecocultura del Páramo Andino qui vise à garder une mémoire de l'expression orale. En fait, chaque définition du dictionnaire est accompagnée d’une image, d’un segment d'audio ou d’une vidéo contenant des explications de la part de personne de la zone, ce qui permet d’apprécier et maintenir et valider la définition proposée. Ce projet est la preuve de la richesse qu’on a dans notre propre région et en même temps, il fait preuve de l’engagement et excellence de notre professeur Melva. Elle représente un vrai esprit académique au service de notre communauté. Ici, le lien pour vous inviter à connaitre et partager ce merveilleux projet : http://nux.ula.ve/inmemorian


Inés Rojas : un enseignant de classe mondiale Rédigé par Andrés Belisario et Ferney Potes

Dans l’année 2002, Inés Rojas a gagné une bourse Fullbright pour compléter ses études de maîtrise et de doctorat en sciences politiques à Georgia State University. Professeur expérimenté de l’illustre Universidad de Los Andes, Inés est née le 19 octobre 1967 à Mérida. Cette merideña a vécu une grande partie de sa vie dans la ville de montagnes enneigées. À 16 ans, notre professeur a participé dans un programme d'échange d'étudiants et elle est allée aux États-Unis pendant une année où elle a étudié et appris l'anglais dans un lycée. Les voyages à l'étranger, d’une énorme importance pour sa formation en relations internationales, lui ont permis d’ouvrir ses yeux aux nouveaux horizons. Grâce à la connaissance d'autres modes de vie et de penser, Inés a pu enrichir sa forme de percevoir le monde. Ce professeur a vécu aussi en Angleterre presque une année. Juste après, elle a fait un tour autour de l'Europe, pendant qu’elle résidait plutôt en Espagne. À la fin de ses études en Lettres en 1991, elle a commencé une maîtrise en linguistique. Après un certain temps, elle a eu l'opportunité de faire une autre maîtrise et un doctorat à « Georgia State University », grâce à une bourse d'études Fullbright. Ces voyages ont marqué non seulement sa vie mais celle de ses enfants qui sont aussi multiculturels et bilingues. Inés affirme que : "l'expérience d’un autre contexte académique, cela a enrichi ma profession, ma vie et mon identité". Actuellement, elle dicte des cours de droits humaines, de communication interculturelle et d’organisations internationales à l’EIM-ULA.

Ses cours sont très

intéressants, ne perdez pas l’occasion d’y assister!


Jesús Sosa, professeur et musicien Rédigé par María Gabriela Alvarado

Jesús Sosa, notre cher professeur de l’EIM-ULA a d’autres facettes que peut-être vous ne connaissez pas ! Saviez-vous qu’il est aussi musicien ?

Cette histoire commence en 1997, quand il a été inscrit par sa mère dans les auditions pour entrer à l’orchestre de Guayana…dommage ! il a refusé d’assister à l’audition. Cependant, pendant la même année, Jesús a assisté à un concert de célébration du jour de l’étudiant et il est tombé amoureux de la musique. Il a donc décidé de faire l’audition pour entrer à l’orchestre. Quand il était dans l’audition, il a oublié les paroles de « Los pollitos dicen » donc il a décidé de continuer avec la parodie « Los pollitos fuman...». Jesús est ainsi entré dans l’orchestre car le jury a aimé son courage et sa créativité. A partir de ce moment, il a commencé ses études de musique avec une bourse. On peut dire qu’il a trouvé sa place dans le monde de la musique car il est devenu tromboniste, même s’il est aussi capable de jouer d'autres instruments. Grâce à son succès comme tromboniste, il a fait plusieurs travaux importants à Guayana. Les deux passions de sa vie se sont trouvées quand il est arrivé à Mérida pour étudier les langues modernes. Pendant sa formation dans l'École, il a fait une présentation dans laquelle il a développé la relation entre la formation d’un musicien et d’un interprète et la manière dont l’union de ces deux domaines peut apporter des avantages, comme il

« Bien sur, il y a beaucoup de valeurs qu'on peut appliquer dans l'université» le dit:

qu'on apprend dans l'orchestre

D’entre ses contributions pour la communauté musicale, on peut mentionner son travail comme professeur de l’orchestre régional juvénile, comme professeur fondateur de l’orchestre régional infantile et aussi comme superviseur de la chaire de trombone et directeur de l’ensemble sousrégional de cuivres. Il a travaillé dans les centres musicaux de Mérida, Tabay, El Vigia, Mucuchies et Ejido. Son travail le plus important est l’organisation du premier séminaire qui a servi à la création du centre musical de Tucaní. Grâce à cela, il a reçu quelques reconnaissances. Actuellement, ce musicien est votre professeur d’anglais ! Jouez donc à son rythme !


Bosetti : Un nom de famille plein d'académie Rédigé par Maria Virginia Jaimes et Abril Ovalles

Belkis Bosetti, fille de l’exdoyen de la Faculté de Sciences Humaines de l’Université de Los Andes, Mario Bosetti (19811984), est professeure du département de français de l’école de langues modernes depuis 1976. établit une relation de responsabilité et de respect : Actuellement, elle est aussi coordinatrice académique du Décanat, poste qu’elle accepte quelque temps après avoir été Directrice de notre École (2001-2005). Il faut remarquer aussi qu’elle fait partie de la génération qui a vu la naissance et la croissance du département de langues de l’école de lettres,celui qui a évolué et a donné origine à l’EIM-ULA. Elle célèbre avec joie et orgueil la trajectoire de notre institution. Notre chère professeur Belkis a construit sa réputation grâce à son excellence académique, à sa dévotion et à sa collaboration dans la construction et développement de notre École et Faculté. Pour faire un bon travail, elle a appris de son père que l'honnêteté, la responsabilité et le respect des autres sont essentiels pour occuper des postes universitaires. La bonne communication entre ses collègues et ses étudiants

le respect est la plus grande consigne, attitude qu'elle a appris de Belkis affirme que

son père et qu'elle met toujours en pratique. C'est une formule simple mais très puissant que son « héros » (comme elle appelle à son Père) lui a donné et qu'elle suit chaque jour pour atteindre le succès. Elle se définit comme : « une professeure qui

veut que les élèves apprennent et pour réussir, je prépare mes cours religieusement et comme j’aime ce que je fais, j’assume chaque classe avec joie et patience. » Voici une professeure dévouée, celle qui met le bien-être des autres avant le sien, c'est la manière parfaite de décrire la professeur Belkis Bosetti.


NOHELIA PARRA : UNE POLITOLOGUE DANS NOTRE EIM-ULA Rédigé par Scarlet Fernández et Amexaday Navarro La première fois que nous l’avons vue, nous avons rencontré une femme jeune, élégante avec un visage aimable, doux et souriant. Elle semblait une professeure tout dynamique, énergique, active et très décidée. Pendant les cours de religion et de conflits dans la spécialisation d’organisations internationales, nous avons découvert une amoureuse des sciences politiques. La passion qu’elle a pour ces domaines est admirable et pour cette raison nous voulons raconter son histoire. A qui nous faisons référence? C’est Nohelia Parra,une professeure remarquable. Elle a commencé ses études dans la carrière en Langues Modernes, option professionnelle « Organisations Internationales » à l’Université de Los Andes. Peu après, elle a débuté dans la maitrise des sciences politiques en obtenant le titre de spécialiste en relations internationales. Dès ce moment, elle a trouvé sa passion dans ce domaine et celui de la globalisation, la communication interculturelle et la religion. Son expérience académique est impressionnante. Elle a travaillé comme bénévole à l’association des nations unies de Venezuela, une labeur très intéressante et passionnante, comme elle a précisée « faire partie de ce groupe a été une expérience merveilleuse », elle a ajouté aussi, qui le fait d’être professeur universitaire est l’expérience académique la plus précieuse et nous sommes d’accord puisque ses cours sont amusants et fascinants.

nous les étudiants de langue devons utiliser nos compétences communicatives et culturelles pour améliorer les situations de conflit dans la sphère internationale. Elle considère que

Nohelia Parra, une professeure sage, généreuse, serviable, courageuse, honnête, juste, franche, ponctuelle, habile, soigneuse, ordonnée, sociable qui vous fera tomber amoureux de la politique au sein de la Faculté des sciences humaines.


La vie d’un voyageur : Monsieur Parada Rédigé par: Gabriel Lara Rangel et María Núñez Itriago

Suivez un cours du Monsieur Parada et vous noterez un homme sage, mais d’un certain type de sagesse qu'on obtient d'après la jonction de l'expérience et de l'étude. Monsieur Parada, professeur de littérature française dans l'Université des Andes, partira en 2017 du Venezuela, poussé par la crise qui afflige son pays natal, mais encore plus, par son désir de découvrir de nouveaux lieux. Il arrivera à Monterrey, Mexique, destination choisie dans un parcours extensif de voyages qui comprennent pres de 25 pays parcourus tout au long de sa vie. Ces voyages ont commencé pendant son adolescence, à travers la lecture. Ainsi, il est allé

aux mondes

littéraires de Defoe, Swift, Twain, Stevenson, Verne et Hesse , comme l’affirme luimême. Les autres voyages –les réels– ont commencé à l'âge de 17 ans, lorsqu’il est parti en Jamaïque où il est resté pendant un an. Grâce à ce voyage, il a appris voir le monde d'un autre œil, c’est une expérience qui marquerait toute sa vie. Un autre voyage important a été de nature spirituelle, il l'a fait en compagnie de sa sœur et ils ont traversé la Colombie, l'Equateur et le Pérou pour arriver au Machu Picchu. Après, Monsieur Parada est allé en France pour travailler comme assistant d'espagnol. Ce fait lui a donné l’occasion de satisfaire sa soif des voyages: il a réussi à visiter presque toute l’Europe. Pendant ces voyages, il a eu la possibilité de connaître le pays de ses rêves, l’Allemagne, et de retrouver de petits trésors comme la Hollande. Peu à peu, il a pu réaliser des autres voyages courtes et sporadiques grâce à son travail à l’université et il a su toujours profiter les occasions pour découvrir d’autres cultures, d’autres visions du monde et d’autres langues. Enfin, sa grande expérience de voyageur démontre sans doute un caractère de liberté, une affinité pour la diversité dans l'unité, un sens de déterritorialisation et une sagesse formidable. Alors, nous nous demandons, qui n’admirerait pas un tel professeur ?


¡Buenos días, señora Ana! Rédigé par: Castillo Winder etManrique Andry Elle s'appelle Ana Rosales de Santo Domingo et elle est la surveillante du bâtiment “C” de la Faculté de Sciences Humaines de l'Université des Andes. Elle est née à Mérida. Son Père et sa mère avaient un mariage très uni et amoureux qui a permis qu’Ana ait eu une enfance excellente. Ils avaient deux fermes qui se trouvaient à Bailadores et à Santa Cruz de Mora oú ils cultivaient des fleurs, des carottes, du cacao et du café. Les souvenirs de cette époque précieux pour Ana parce qu'elle profitait le temps avec sa famille. Elle s'est mariée à l’âge de 19 ans. Un peu plus tard, moment qu'elle est

de sa vie sont très

son mari et elle ont eu une fille. Dès le

née, madame Rosales a destiné son temps à s'occuper d'elle et sa maison.

Malheureusement, à l’âge de 14 ans, la petite fille est morte dans un accident automobilistique. Ana a eu seulement l'opportunité de faire ses études de baccalauréat. Malgré cela, elle ne s'est pas démotivée et elle a fait un cours de secrétariat et d'informatique. Grace à cette initiative, elle a trouvé son premier poste de travail à la mairie de Mérida. Elle travaille il y a quatre ans à la Faculté de Sciences Humaines. Ici, ses responsabilités sont:

 Surveiller l'entrée de chaque étudiant et professeur.  Superviser les couloirs du bâtiment “C” pour garantir l'ordre.  Eviter que les étudiants garent les motos à l'entrée du bâtiment. Ana aime aider tous ceux qui ont besoin de sa collaboration. Elle aime son travail et elle est considérée par ses collègues une personne aimable, responsable et noble. Néanmoins, elle voudrait que les étudiants soient plus agréables avec les surveillants. Elle pense que l'éducation est admirable, spécialement chez les jeunes. Ana nous raconte que tous les matins, sa petite fille lui disait “Buenos días, mamá”. Maintenant, elle se souvient d'elle quand elle regarde les étudiants. Elle nous dit avec un sourire ¡Buenos días!… Répondons donc avec un sourire :

“¡Buenos días, señora Ana !”.


ELVIS BRICEÑO: UNE VIE D’EFFORT Rédigé par Daniel Martínez et Reina Beatriz Rivas Elvis Briceño, étudiant de langues modernes, c’est un garçon qui a su gagner l’amitié de toutes les personnes qui l’entourent. Sa vie a été un chemin difficile à parcourir qui l’a conduit au monde des langues modernes. Sa passion pour les langues nait à l’âge de 10 ans, parallèlement à son fanatisme pour la ligue majeure de baseball. Son enfance se passe dans la ville de Maracaibo au nord-ouest du Venezuela où il jouait pour une équipe locale de base-ball. En regardant et en écoutant les joueurs de baseball dans la télévision, son désir de comprendre ce qu’ils disaient en anglais provoquait dans l’esprit du petit garçon le besoin de comprendre et communiquer dans une autre langue. Si un mot peut définir la personnalité d’Elvis, c’est le dévouement qu’il a toujours par les activités qu’il fait. Dès très petit, il gagne sa vie grâce à l’effort et le travail. C’est grâce à sa ténacité qu’il obtient une place pour aller huit mois en France en tant que assistant d’espagnol dans deux écoles françaises. Cette expérience a élargi sa vision du monde à partir d’une autre forme de vivre et de penser, ce qui renforce son intérêt pour connaître le monde. Pendant son séjour en France, il emploie tout ce qu’il a appris dans l’Université des Andes pour aider ses élèves français à apprendre l’espagnol. Par ailleurs, il partage son amour pour les langues avec d’autres activités comme : marcher en montagne, écouter tout type de musique, manger des plats typiques vénézuéliens… c’est-à-dire, il profite les petits détails de la vie. Il planifie retourner au Venezuela a la fin de son stage et travailler comme professeur de français pour partager ses expériences avec ses futurs étudiants vénézuéliens tout en ayant Dieu comme un pilier fondamental pour faire réalité ses rêves .



Qui est landys? Rédigé par Ninibeth Ocando Pour pouvoir continuer ses études, elle a commencé une petite entreprise avec une amie : elles font des carnets d`adresses artisanaux, fabriquées avec matériel de recyclage. Tous les samedis, Landys voyage au village de Chiguará pour travailler comme professeur d`anglais dans un lycée.

O

rlandys

Carolina

González

Sarmiento, mieux connue comme Landys, est l’une de ces étudiants qui « habitent » dans notre Faculté de Sciences Humaines de l`ULA. Il y a 6 ans qu`elle est arrivée à Mérida, provenant de Portuguesa et elle fait actuellement le septième semestre de ses études en Langues Modernes. Son histoire a c’est comme la notre, une jeune enthousiaste de langues étrangères qui s’est aventurée pour venir étudier a l’ULA. Landys est sensible, sympathique, amicale, sociable, optimiste et idéaliste.

Elle nous raconte sa propre expérience de venir habiter à Mérida: « Venir ici a été une grande aventure, le fait de vivre seule depuis mes 18 ans m`a fait mûrir rapidement. Heureusement, mes parents chaque fois que possible. Cependant, l`argent n`est pas suffisant car le cœur a besoin de la compagnie de la famille, il y a des moments où je voudrais tout quitter pour aller manger chez mes parents!!! Mais il faut continuer, beaucoup travailler, beaucoup étudier, il faut continuer pour que nos familles soient fières de nous ! Voici le conseil que nous envoie Landys.


SILEYMA BRICEÑO, FEMME, COCCINELLE ET CLOWN.

Sileyma Briceño, femme, coccinelle et clown. PORTRAIT

S

Ileyma Briceño est une étudiante d’éducation préscolaire dans l’Université des Andes. L’année 2012 a été « le Big Bang » des idées dans la tête de cette jeune « merideña », cette explosion de passion pour les enfants, le design d’accessoires et l'étincelle du rire, ils font une combinaison digne d'être admirée.

La machine à coudre et la naissance d’un rêve : « Coquito Diseño » C’est important à dire que étant une excellent étudiante, elle a la capacité d'avoir sa propre entreprise en même temps. Sa personnalité innovante et un cadeau de sa mère donné naissance à une incroyable entreprise d’accessoires avec un seul objectif « fournir des produits de qualité, faits à la main, à prix accessibles, que tout le monde peut utiliser et qui s’adaptent à tout style de vie ». En effet, il a un grand succès et, « Coquito Diseño »a participé dans des différents bazars et marchés de design, dont le plus important a été la FILU 2016. Actuellement, cette entreprise vénézuélienne produit des accessoires de mode,des sacs- à-dos et des sacs à main.

Le secret derrière le nez de clown Sileyma fait partie du «Doctor Yaso » une fondation de bénévoles qui reçoivent des soins médicalisepour les gens. Ils visitent les hôpitaux, les maisons de repos et les orphelinats. Sileyma nous raconte très importante : « une fois, des filles m’ont poursuivi autour de l'hôpital avec une baguette magique, ils me gelaient et ils me dégelaient elles riaient, et c’était vraiment spécial! ».La clé est de garder le sourire et retrouver la stratégie parfaite pour donner l’amour. C’est pour cela que de garde à ceux qui ont besoin responsabilité

«Les enfants sont des super héros! » Le principal moteur de cette fille andine est l'amour des enfants :« Je les aime parce que je pense que les enfants ont le potentiel de changer le monde ». Malgré le fait que l'éducation préscolaire exige beaucoup de travail, elle n'a pas hésité une seconde pour commencer à étudier cette merveilleuse carrière à l'Université des Andes :. « Je savais que si j'ai étudiais cela, il me permettrait de comprendre le monde des enfants d'une meilleure manière ». Ainsi, Mlle Briceño montre que ses comment les passions peuvent être intégrées et générer un soutien pour les enfants. C’est est un mélange qui produit la joie et à la fin de la journée nous fait sentir un mieux.


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