Wawa Magazine été 2022

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Le magazine du Brabant wallon

ans

és n n o i s Pas

Magazine

wawa

Numéro 47

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e tê d e s i pr


EDITO Et nous voilà encore une fois... Pour cette édition estivale nous allons vous parler de Tameoh, artiste que nous ne présentons plus bien sûr ! Régulièrement de passage sur les ondes radio du pays cet artiste n’arrête pas de nous surprendre, découvrez son interview. Côté découverte on garde le cap avec de nouvelles personnalités du Brabant wallon toutes plus intéressantes les unes que les autres. Pussyfy les culottes menstruelles bio, la déco des tables de Françoise à Limal, la Box fun pour vos compagnons à quatre pattes, la sexologue Marie-Eve Gremmens, de l’humain avec le docteur Schmitz, de la cuisine avec Curtis Mulpas, le chemin vers la réussite scolaire avec Florie Willaert, l’art de retrouver ses ailes avec Muriel Wey et le copywriting avec Christine Helin. Découvrez toutes ces personnalités sans plus attendre... Bonne lecture

Jean-François de Lavareil e info@wawamagazine.com www.wawamagazine.com 0479 96 60 91


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de manière irréfutable la qualité de votre pierre. Après vous avoir soumis un croquis sous plusieurs profils et avoir recueilli vos remarques et éventuelles corrections,le projet sera réalisé en atelier,confié à l’expérience et habileté du joaillier et à la précision sans failles du sertisseur. Une expérience enrichissante dont vous garderez un souvenir inoubliable. Quant à vos alliances de mariage, elles seront également fabriquées sur mesure en atelier. Ceci permet à la gemmologue davantage de flexibilité, d’adapter une largeur ou la couleur de l’or. Bref, de concevoir pour ses clients une pièce unique et de partager un moment privilégié, toute la richesse et la raison d’être de son métier somme toute.

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Rue des Combattants 60 - 1310 la Hulpe tel. 02 652 24 39 - www.leblans.be Je vous accueille du mardi au samedi de 10h00 à 18h30

Isabelle Leblans Gemmologue


SOMMAIRE

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Pussyfy

Wawa Magazine Editeur responsable Jean-François de Lavareille Rédaction Jean-François de Lavareille Muriel Lombaerts Virginie Stassen Photographe Jean-François de Lavareille Infographie dbStudio.be Avertissement • Nous déclinons toute responsabilité pour le contenu des publicités. • Le contenu des articles n’engage que les personnes interrogées. • Aucun article ne peut être reproduit même partiellement sans l’autorisation expresse de la rédaction. • Ne pas jeter le magazine sur la voie publique

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On l’avait découvert ent pendant le confinem avec la chanson « Mes solitudes ». Depuis, Tameoh a fait du chemin : il prépare son deuxième album et son nouveau morceau « Combien de temps », est actuellement diffusé sur les radios nationales. Une réussite pour celui qui fera toujours de la musique, « quoi qu’il arrive ». Rencontre.

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Tameoh, quel chemin avez-vous parcouru depuis « Nos solitudes », sorti en 2020, et dont le clip avait été tourné dans les rues désertées par le confinement ? La période qui est arrivée juste après a été assez éprouvante car l’événementiel s’est totalement arrêté. J’ai néanmoins signé avec un petit label belge, CMB Belgium, pour un deuxième album qui s’appellera « Sans retour » et sortira à la rentrée. Un deuxième titre est également sorti il y a deux mois : « Ça ne changera rien », qui a déjà récolté 30 000 vues sur You Tube et est bien présent sur la scène médiatique...


Il y a deux ans, vous nous faisiez part de votre difficulté à être diffusé sur les radios nationales, ce qui est aujourd’hui le cas. Comment avez-vous réussi cette prouesse ? Disons que les portes des médias belges ont commencé à s’ouvrir lorsque j’ai décidé de relâcher la pression... Mon but n’est pas d’être une star mais bien de me faire plaisir et de partager ma musique. Rien de tel que l’interaction avec le public, qu’il y ait 50 ou 5 000 personnes.

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Quoi qu’il arrive, je continuerai toujours à composer, car je ne peux pas m’en passer. Mais il n’y a pas d’objectif absolu. Je me définis aujourd’hui comme un passionné, mais sans prise de tête. Peut-être ce lâcher prise m’at-il aidé ? En 2022, trouvez-vous qu’il est difficile d’être un chanteur sur la scène musicale belge ?

Les paroles sont

Oui, je ne vais pas vous dire le contraire... J’ai une boîte d’événementiel et je chante à titre professionnel depuis 2009, surtout en cover. Or, la majorité des entreprises ne prennent pas de risques lorsqu’elles engagent un chanteur : en pratiquant une cover, elles savent que le public connaîtra les chansons et que la prestation sera réussie. Oser engager un chanteur dont personne ne connaît les morceaux est beaucoup plus risqué... Mais tant que l’on ne nous donne pas notre chance, on ne connaît pas nos chansons, et nous demeurons donc une « entreprise à risque ».

mais le ton

Quels sont les thèmes que vous développez dans votre second album, prévu pour septembre ? On y trouve des sujets tels que le temps, à travers le morceau « Combien de temps », que chaque personne pourra s’approprier, qu’il s’agisse du temps qu’il reste, ou encore du

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temps utile pour comprendre certaines choses et grandir... J’aborderai également la fatalité avec « Ca ne changera rien », qui évoque l’amour et la perte d’un être cher à travers la maladie... Enfin, je toucherai à la violence conjugale... Mes textes, sans être vraiment engagés, sont travaillés et s’adressent à tout le monde.

importantes, reste léger. Est ce voulu ? Oui, tout à fait... J’aime les chansons à texte assez tristes, mais je me vois mal accompagné d’un simple piano... Les paroles nostalgiques s’associent au contraire à un rythme frais et ensoleillé... Je m’adresse de cette façon autant aux personnes qui aiment les textes, qu’à ceux qui préfèrent la mélodie... Où puisez-vous votre inspiration ? Dans le quotidien, mais il est évidemment plus facile de m’inspirer d’expériences que j’ai moimême vécues. Ou encore d’histoires dont j’ai été témoin... Pour mon second album, certaines chansons ont été écrites il y a longtemps, et je les ai ressorties de mes vieux tiroirs... Je les ai néanmoins remises au goût du jour, car j’avais évolué au fil des années, et il fallait qu’elles continuent à me ressembler... D’autres morceaux ont en revanche été écrits récemment.


Quels sont vos projets ?

Je suis en train de finaliser mon deuxième album. Les chansons sont déjà définies, mais il reste un tas d’arrangements musicaux, qui peuvent prendre énormément de temps, car je souhaite que l’ensemble demeure cohérent avec mon univers. Les sonorités sont extrêmement importantes dans le résultat final. L’objectif est de présenter mon album lors d’un concert qui sera donné le 16 septembre aux fêtes de Wallonie, à Namur, sur la place des Théâtres. Je vous y donne d’ores et déjà rendez-vous ! Virginie Stassen

om Infos : www.tameoh.c

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e r v i V é t r e en l i b s e l g e r s se

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Maman de trois enfants, Nathalie Assi est maquilleuse free-lance au théâtre royal de la Monnaie. Mais ce n’est pas tout. Active et entrepreneuse, elle a déjà eu plusieurs vies et après avoir travaillé dans de belles maisons de l’Horeca bruxellois, elle fait de la danse et prend le temps de voyager. Un jour elle décide de participer à des séminaires de développement personnel. Et là, lui vient l’envie irrépressible d’un nouveau challenge. A cette époque, elle est interpellée par des publicités qui parcourent régulièrement Facebook, vantant des coupes et des culottes menstruelles. Au même moment, des amis achètent une grande ferme près de chez elle, se lancent dans la permaculture et prônent la biodiversité. Son mari, très sensibilisé à l’écologie, ne cesse de lui parler de la nécessité d’un retour au naturel. Synchronicité ? Toujours est-il que tout cela résonne en elle et que le déclic se fait : Nathalie veut vendre des protections hygiéniques naturelles et réutilisables aux femmes et aux adolescentes.

On le sait, de nombreuses études mettent en évidence la présence de résidus de phtalate et de glyphosate dans les protections hygiéniques féminines, tampons ou serviettes. L’un est suspecté par l’Agence européenne en charge des substances chimiques de pouvoir altérer la fertilité, l’autre n’est pas plus réjouissant, cet herbicide est classé « cancérigène probable » par le Centre international de recherche sur le cancer. C’est assez inquiétant, surtout quand on imagine le nombre de tampons qu’une femme utilise sur une vie ! Des chocs toxiques se sont d’ailleurs manifestés chez des jeunes filles. L’idée de Nathalie est de vendre en ligne, de faire du e-commerce, de manière à rendre ses articles très accessibles. Elle commence donc par faire ce qu’on appelle du « drop-shipping ». Expérience non concluante qui ne durera pas trois jours. Ça ne correspond pas du tout à la démarche responsable, écologique et locale qu’elle envisageait et elle en tire des leçons pour mieux avancer en accord avec ses principes. Elle veut offrir aux femmes des produits qui répondent à ses critères. Parce qu’elles le valent bien ! Toujours dans le but de vendre via internet, Nathalie a créé sa marque, « Pussyfy » et fait fabriquer ses culottes en Belgique. Ce sont des produits 100 % belge. On adore !

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Actuellement, les serviettes viennent encore de Chine mais à terme, elle les fera aussi produire dans le royaume. Les cups quant à elles proviennent de Marseille parce qu’il n’y a aucun fabricant chez nous. La société française Mïu, établie à Cavaillon, les réalise dans deux tailles et deux souplesses, en silicone médical, pour une utilisation sur plusieurs années. En fonction de son flux, de son mode de vie, de ses besoins du moment, chaque femme choisira l’une ou l’autre et pourra la garder jusqu’à douze heures. Pour une sécurité maximale, il est évidemment possible d’associer une cup avec une serviette ou une culotte.

Les culottes sont confectionnées dans trois niveaux de protection, trois coloris et trois tailles ado, 10, 12 et 14 ans. Ces deux dernières peuvent tout à fait être portées par des femmes adultes de corpulence mince ou moyenne. Les culottes pour dames sont en cours de fabrication et seront prêtes tout prochainement. Noires, avec une finition en dentelle pour le côté féminin et sexy, elles se déclineront, dans un premier temps, du 36 au 44. C’est bien dans les projets de Nathalie de pouvoir répondre à des femmes qui ont une taille supérieure. L’extérieur est en coton 100% bio, l’intérieur est un mélange de 15% de coton bio, de 30% de fibres de bambou, de 5% de polyester et de 50% de tissu imperméable. La protection est optimalisée par la serviette qui remonte bien à l’arrière, pas de crainte de débordement, pas d’angoisse de la tâche ! L’entretien est super facile puisqu’elles se lavent en machine à 30°. Nathalie conseille le séchage à l’air libre, histoire de les conserver au top le plus longtemps possible, c’est-à-dire jusqu’à trois ans ! On croit rêver ! Non seulement, on respecte son corps, on participe à la protection de l’environnement en évitant une quantité hallucinante de déchets et on fait du bien à son portefeuille. Le coût de l’achat de protections hygiéniques est colossal dans une vie de femme, depuis le début des règles jusqu’à la ménopause complète. En investissant dans du réutilisable, même si le montant de départ est évidemment plus important que le prix de quelques boîtes de tampons ou serviettes, sur le long terme, on est plus que gagnante ! Imaginez les petits plaisirs que vous allez pouvoir vous offrir avec ces belles économies ! Un massage par-ci, un soin du visage par-là, une nouvelle tenue, un resto, un voyage …

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Il est bon de signaler que ces culottes peuvent être utilisées par des femmes confrontées aux fuites ou autres problèmes urinaires. On n’en parle peu et pourtant, nous sommes nombreuses à souffrir en silence de ces désagréments. Voilà une solution. Dernière chose, c’est très rassurant de savoir que Nathalie gère tout de A à Z. Derrière le site internet, il y a une femme qui peut vous aider et vous conseiller. Elle s’occupe de l’envoi et a choisi BPost pour la sécurité et la rapidité. Cerise sur le gâteau, les emballages sont super chouettes !

www.pussyfy.com

PROMO de

D’ÉTÉ

A partir de 3 serviettes, une jolie pochette offerte

Alors, qu’attendons-nous ? Il faut juste franchir la petite appréhension de la nouveauté, et essayer. Et comme on dit, « l’essayer c’est l’adopter ». cc

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Les tables de Françoise Demeuldre D: l’aventure continue à Limal !

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Enseigne emblématique depuis six générations dans le domaine de l’art de la table, Demeuldre Établissements est devenu « Les tables de Françoise » il y a six mois, passant d’un bâtiment bruxellois de la chaussée de Wavre à une coquette fermette limaloise aux accents intimistes...

Françoise Demeuldre, vous êtes l’héritière d’une histoire riche, celle de Demeuldre Établissements, fondée par votre famille...

Oui, je représente la sixième génération de cette entreprise spécialisée dans l’art de la table... Avant que nous nous ne nous installions dans nos bâtiments bruxellois de 5 000 m2, une manufacture de porcelaine occupait les lieux. Aujourd’hui, j’ai revendu l’édifice à un antiquaire parisien qui continuera à faire vivre le site dans un même esprit, avec l’organisation d’événements etc.

Pourquoi avoir changé de concept ? La mobilité à Bruxelles est de plus en plus problématique, et l’après-confinement a constitué le moment idéal pour s’installer au vert. J’avais aussi envie d’un rapport plus personnalisé et intimiste avec ma clientèle. De plus, la villa qui abrite « Les tables de Françoise » est facilement accessible, y compris pour les Bruxellois...

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Comment définiriez-vous votre concept ? Nous proposons depuis toujours tout ce qui tourne autour de l’art de la table et de la décoration. Nous misons avant tout sur la qualité, des marques de référence, la durabilité et le service après-vente. Côté look, nous privilégions le décor, les motifs et les couleurs. Nous laissons les assiettes blanches à la grande distribution. Les gens qui fréquentent « Les tables de Françoise » savent qu’ils y trouveront une touche différente de ce qu’ils peuvent voir ailleurs, avec des mises en scène grandioses, des tables « du soir », du classique, du festif, du contemporain...

Au fil des décennies, comment les tendances ont-elles évolué au niveau de l’art de la table ?

Tout d’abord, la grande ère des listes de mariage est désormais révolue. On achète rarement des services complets comme cela se faisait à l’époque. Aujourd’hui, les gens ont plutôt envie de redonner vie à ce qu’ils ont dans leurs placards, comme par exemple des services dorés qu’ils souhaitent moderniser. Nous leur apportons alors tout notre savoirfaire pour les remettre au goût du jour, par exemple en y ajoutant une touche de couleur, un complément, un autre assortiment...

Pourquoi avoir rebaptisé l’entreprise « Les tables de Françoise » ?

Nous comptons lancer un service de table garnie (avec vaisselle, nappe, couverts, décoration) que nous louerons à domicile

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pour des occasions particulières. Nous avons envie de donner le « goût de la table » à nos clients ! Nous n’hésitons pas non plus à nous déplacer chez les particuliers afin de leur offrir nos meilleurs conseils et nos plus belles mises en scène décoratives...

Vous avez également mis en place des activités annexes comme des ateliers...

Oui, tout à fait ! Nous organisons une fois par mois un atelier autour de l’art de la table, de la cuisine, avec par exemple, prochainement, une rencontre thématique sur l’aiguisage des couteaux. Nous disposons aussi d’une vraie cuisine au sein de la villa, ce qui facilite les choses... Nous avons en outre débordé vers le jardin avec du mobilier et de la déco d’extérieur... Désormais, une visite aux « Tables de Françoise » s’envisage comme une balade. Nos clients sont heureux de nous retrouver dans un cadre différent, à taille humaine, avec une touche de charme en plus.

Quels sont vos critères de sélection et vos marques phares ?

Au fil du temps, nous avons conservé les mêmes valeurs de qualité et de service. Nous demeurons donc dans une certaine continuité, avec un intérêt marqué pour la durabilité, le suivi et l’aspect européen. Nos marques les plus emblématiques vont de Villeroy & Boch à Christofle, en passant par Gien, Raynaud, Bernardaud, Pip Studio ou encore Le Creuset... Le tout est agrémenté de labels divers que nous retrouvons pour la décoration, les meubles, fauteuils, tables...


Quels avantages ce déménagement vous a-t-il apporté ?

L’installation dans cette fermette limaloise est née d’un coup de cœur, mais la véritable plus-value réside surtout dans les aspects pratiques : désormais, il n’y a plus de problèmes de parking, et nous avons pu resserrer nos produits autour de l’essentiel. Nous fonctionnons en fonction des saisons avec une ambiance qui change chaque trimestre... Enfin, le contact est beaucoup plus personnalisé qu’autrefois, car nous nous trouvons dans un espace intime et cosy.

Pour ceux qui ne veulent pas se déplacer, il est également possible de commander des articles via le web... Oui, en effet... Nous sommes d’ailleurs très actifs sur les réseaux sociaux via Facebook et Instagram sur lestablesdefrancoised Nous proposons aussi des promotions hebdomadaires et mensuelles afin de dynamiser nos pages et d’offrir les meilleures opportunités à ceux qui nous suivent... Virginie Stassen

ed.com lestablesdefrancois

HORAIRE MAGASIN Jeudi – vendredi – samedi de 10h à 18H Mardi et mercredi, uniquement sur rendez-vous 010/88 10 01 bonjour@lestablesdefrancoised.com Rendez-vous à notre concept store Avenue des Fauvettes, 1 - 1300 Limal

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Z E T GÂ toutou

! n u F Box

votre la

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avec

, dans la finance s n a 3 2 é s s a p Après avoir lez a réinventé Sophie Capouil utour sa profession a ur : les chiens. œ c e d n io s s a de sa p ins original et o m le r u o p t s e Son concept a en effet eu e is to n o m u a h innovant : la c ue Fun via la marq x o B e n u r e ré c l’idée de our dorloter Jack & Russel p votre toutou...


Sophie Capouillez, d’où vient cette passion pour les chiens ? Depuis mon plus jeune âge, j’ai toujours évolué au milieu de chiens. Le jour de mes huit ans, mes parents m’ont offert un caniche nain qui m’a suivi tout au long de mon enfance et de mon adolescence. Par la suite, j’ai continué à être baignée dans l’univers canin. Cela dit, j’aime les chiens, les chats, les poissons rouges, les big five... C’est le monde animalier qui me séduit avant tout.

Vous avez déjà quelques concurrents en Belgique. Quels sont vos atouts par rapport à eux ? Avant tout, la personnalisation ! En effet, un questionnaire est disponible sur mon site avant de proposer la Box idéale. De cette façon, je peux choisir les produits en fonction du type de chien et de sa personnalité... Il existe trois catégories : les Minus (jusqu’à 10 kg), les Moyens (entre 10 et 25 kg) et les Molosses (plus de 25 kg). Les accessoires livrés, qui varient chaque mois, sont adaptés à leur gabarit, leur âge et leur tempérament. Quels sont les accessoires « typiques » que l’on peut découvrir dans la Box Fun ? On y trouve cinq articles au total. Tout d’abord un jouet adapté au profil de l’animal... Mais aussi, par exemple, une couverture, un produit

Comment l’idée d’une Box Fun pour chiens est-elle née ? Le licenciement sec que j’ai vécu dans le monde financier m’a donné l’occasion de rebondir et de me lancer dans une activité qui me correspondait vraiment. J’ai commencé par me former et visionner de nombreuses vidéos sur l’e-commerce, et cela m’a donné envie de me lancer autour du monde du chien. Je suis ensuite tombée sur un concept proche du mien qui existait aux ÉtatsUnis et je me suis dit « Bingo ! »

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d’hygiène (comme un baume pour les coussinets plantaires), un accessoire (comme un clicker pour éduquer un chien, lui apprendre un ordre, par exemple s’asseoir ou le rappel), du fromage de yack à mâcher qui fonctionne comme un os et améliore la dentition, et d’autres friandises... A noter que ces derniers ne peuvent pas excéder 10% de la ration journalière. Les Box Fun se suivent mais ne se ressemblent pas... En effet, chaque mois, en bonne cheffe de meute et dogshoppeuse que je suis, je sélectionne de nouveaux articles pour votre toutou... Trois formules sont possibles : pour les Minus, pour les Moyens et pour les Molosses. Il est possible de souscrire à un abonnement de 3, 6 ou 12 mois. Ces formules sont plus avantageuses et donnent accès à quelques surprises et bonus comme des Boxes à

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thèmes personnalisées pour le héros et son humain. Je propose aussi des Boxes thématiques, comme la Box anniversaire, avec des ballons, des bandanas, et des friandises que tous les chiens apprécient. Vous mettez également l’accent sur les produits locaux et sains... Oui, particulièrement pour les friandises, je me concentre sur les produits de marques belges quand c’est possible, et au maximum européens... Le local, le sain et le bio constituent l’une de mes priorités afin que votre poilu soit chouchouté au travers de produits bien de chez nous ! Qui sont les humains qui succombent à la Box Fun ? D’après une étude de marché, ce sont d’abord les ménages qui considèrent que leur chien fait partie intégrante de leur famille, et qu’il apporte de la joie au sein du clan. Ces humains n’ont pas toujours l’espace pour se renseigner sur les préférences de leur compagnon à quatre pattes et la Box Fun apparaît alors comme une solution confortable, à plus


forte raison qu’elle est plus personnalisée que ce que l’on peut trouver en animalerie, et souvent moins onéreuse que ce que l’on propose dans les boutiques spécialisées. Quelques coups de cœur parmi les articles que vous proposez ? Oui, j’épinglerai d’abord le bâton en bois d’olivier qui sert à être lancé pour être rapporté par le toutou. Cet article est lisse et ne peut pas blesser le chien. De plus, il est comestible et est excellent pour les dents. J’apprécie aussi le Kong, qui permet au chien de jouer lorsqu’il se retrouve seul pendant plusieurs heures. Il s’agit d’un support dans lequel on enfourne des friandises, de la crème, des fruits... Grâce à une petite ouverture, le chien y plonge son museau le temps d’engloutir les délices qui s’y trouvent (ce qui peut durer car elles peuvent être congelées). Le concept de Jack & Russel va bien plus loin que la simple vente de Box Fun... Oui, en effet... On trouve de nombreux conseils vétérinaires sur le blog, on y mentionne tout ce qu’il est important de faire pour maintenir son poilu en bonne forme, on y partage les coordonnées des groupes canins FB, qui valent le détour... On y explique aussi qu’un chien, ce n’est pas un jouet, et qu’il a besoin de temps et d’attention pour être heureux. A ce sujet, un chien qui aboie sans raison ou demeure apathique est souvent un chien qui manque de stimuli ou d’attention... Et heureusement, il existe des solutions simples et efficaces à appliquer pour qu’il conserve sa bonne santé mentale.

J’ambitionne aussi de créer des interactions sur les réseaux sociaux avec les humains qui craqueront pour la Box Fun, ainsi que des actions ponctuelles en association avec des refuges comme Sans Collier. Nous n’en sommes aujourd’hui encore qu’aux prémisses, puisque le projet a été lancé il y a à peine 3 mois... Mais je suis de nature optimiste et j’ai hâte de partager mon univers !

Virginie Stassen

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RUBRIQUE INSOLITE Une puce peut sauter jusqu’à

34 centimètres soit près de 340 fois sa taille Les habitants de Villechien, dans la Manche, s’appellent les

Toutouvillais

Un mucophage est une personne qui mange ses «crottes de nez»

55% des européens sont déjà allés chercher

en ligne des réponses à leurs soucis de santé plutôt que chez le médecin

Le street!art limiterait de 17% les accidents de la route La petite

boule rose au coin des yeux est le reste d’une

troisième paupière 22

sexuels s t r o p p a r e d Le nombre ète est n la p la e d s e lt u d a moyen par habitants un total de it o s , n a r a p 0 1 1 estimé à

192,5 milliards d’ébats sexuels


La

musique La tour Eiffel peut grandir de 20 cm lorsqu’il fait chaud, et diminuer de 10 cm par temps froid

Le colibri est le seul oiseau capable de voler

à reculons

peut faire ralentir le coeur

onducteurs c s e d % 0 8 e d s lu P en se déplacent seul voiture le matin

En 50 ans, 3

milliards

de Playmobils ont été

vendus

Aux États-Unis un employé a reçu

450.000 dollars en compensation d’une fête d’anniversaire non désirée

L’empereur du Japon n’a pas le droit de vote Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a sa propre figurine LEGO

Le drapeau de l’Alaska a été dessiné par un enfant de 13 ans 23


De la

chrysalide au papillon... papillon ... Marie-Eve Gremmens fait partie de ces éveilleuses d’âme dont la mission est de libérer les patients de leurs chaînes intérieures. Si elle a commencé par des études en sciences de la famille et de la sexualité à l’UCL, sa pratique est aujourd’hui bien plus vaste : hypnose éricksonienne, NGH, coaching humaniste globale, hypnose minceur/tabac, burn-out parental et/ou professionnel, communication non-violente, PDMY (pour traiter les traumas), EFT... « Je suis une jusqu’au-boutiste et, lorsque je suis passionnée, je me forme en permanence », sourit-elle. Rencontre.

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Marie-Eve Gremmens, après un bac en assistante sociale, vous avez poursuivi vos études en sciences de la famille et sexologie à l’UCL. Pourquoi ce choix ? Mon mémoire tournait autour de la sexologie, « Les victimes d’abus sexuels en hôpital psychiatrique » et, étant issue de la génération « Julie et Mélissa », j’ai eu l’envie d’aller plus loin. J’ai adoré cette formation universitaire qui m’a révélée : tant les cours que les professeurs témoignaient d’une authenticité, d’une humanité, et d’un parler vrai qui m’ont conquise. Je me sentais vraiment comme un poisson dans l’eau, raison pour laquelle j’ai décidé de poursuivre avec un certificat postuniversitaire en sexologie qui m’a apporté un bagage plus médical, avec notamment les effets des antidépresseurs et de la dépression sur la sexualité, mais aussi l’addiction au sexe ou la sexualité des personnes handicapées...

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sexuelle de son couple pourra être améliorée. A mon sens, il faut se rendre à la source pour bien prendre en charge le problème.

Vous traitez également les traumas de toutes sortes, y compris sexuels...

Votre parcours atypique vous a ensuite menée vers une panoplie d’autres formations complémentaires... Oui, je me suis inscrite dans un processus de formation continue. Je me suis, en effet, rendu compte qu’en sexologie, il était nécessaire de disposer d’une large boîte à outils. Je me suis formée en CNV (Communication non-violente) car je reçois beaucoup de couples. Puis en PNL (Programmation neuro-linguistique), en hypnose éricksonienne, en NGH et en coaching humaniste global, et enfin à la prise en charge du burn-out parental et professionnel. La raison de ces formations est de pouvoir offrir des portes d’entrée différentes à un problème donné. Il n’est pas rare de recevoir un patient en sexologie classique, et de se rendre compte qu’il existe, en fait, un burn-out sous-jacent. Une jeune maman en burn-out familial (un cas très fréquent) n’aura par exemple pas spécialement envie de sexe, et peut être amenée à consulter pour un manque de désir. Si je lui donne des outils pour guérir de son burn-out et pour travailler son amour pour elle-même (comment prendre soin d’elle, se consacrer du temps et agir avec elle-même avec bienveillance et amour), la dynamique

Oui, tout à fait... Pour ce faire, je me suis formée en PDMY, une forme d’EMDR mais avec des protocoles plus élargis. L’objectif est de désensibiliser le patient. Il faut savoir qu’en temps normal, après dix jours, un processus de désensibilisation naturel s’opère après un trauma grâce aux mouvements naturels des yeux pendant le sommeil (phase REM). Mais dans certains cas, le schéma se grippe et le trauma demeure. A titre d’exemple, une femme qui a vécu avec un pervers narcissique et a perdu toute estime d’elle-même, notamment au niveau sexuel, pourra être désensibilisée après plusieurs séances de PDMY car une distance émotionnelle sera créée entre ce qu’elle a vécu et ce qu’elle vit aujourd’hui. Durant ces séances, certains recadrages seront effectués afin que la personne reprenne le pouvoir sur sa vie. Une séance de PDMY peut être inconfortable (c’est un peu comme percer un bouton pour en faire sortir le pu) et nécessite une réelle capacité d’accompagnement… C’est vraiment important de soutenir le patient dans ce qu’il vit pour lui donner la force de plonger dans ses émotions et ses souvenirs et en sortir plus fort. C’est un peu comme s’il traversait une espèce de tempête émotionnelle interne dont il sort soulagé et détendu.

INFOS : Marie-Eve Gremmens reçoit à Ittre et à Ottignies. www.lesdigues.be www.marie-eve-gremmens.be

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La thérapie comportementale en hypnose que vous étudiez est quelque peu différente... Oui, il s’agit là d’un outil pour aider les personnes à faire un deuil, à dépasser une douleur, une dépendance au tabac, un trauma, à retrouver une silhouette mince... A partir de la mi-juin, j’accompagnerai aussi celles et ceux qui souhaitent placer un anneau gastrique virtuel... J’adore suivre ces formations complémentaires car j’observe immédiatement les résultats sur mes patients, qui sont tout bonnement extraordinaires...

Que préférez-vous dans votre métier ?

Mon plus grand bonheur, c’est de voir à quel point les personnes renaissent après avoir suivi une thérapie... Par effet domino, leur vie sexuelle s’améliore aussi... En fait, tous les domaines de la vie sont touchés. Les techniques utilisées, comme par exemple le PDMY, ne sont pas toujours confortables, mais mènent toujours vers un mieux. Mon rôle est d’encadrer et d’accompagner le patient vers un mieux-être. Il arrive alors que les traits du visage se détendent, que la posture change, que le style se modifie. La personne reprend possession de son être et de son corps. C’est magnifique, comme une fleur qui s’ouvre... Je leur apprends aussi quelques petites techniques au niveau de la gestion des émotions. J’aime rendre mes patients autonomes en leur offrant des outils afin qu’ils puissent développer eux-mêmes leurs propres techniques.

Au fil de votre carrière, quelle expérience vous a le plus marquée ? L’accompagnement de mon papa, en fin de vie, m’a donné énormément de confiance dans ce que je faisais, malgré la tristesse ressentie. Souffrant d’un cancer, il subissait de fortes douleurs durant son traitement. J’ai alors pratiqué l’hypnose anti-douleur afin de le soulager lors de ses séances de chimiothérapie. Cela a merveilleusement fonctionné. Il m’a aussi reconnue dans mes compétences, lui qui était si rationnel. Alors qu’il se trouvait aux soins palliatifs, la veille de son décès, j’avais vraiment l’impression que quelque chose le retenait ici et je me disais qu’il avait besoin d’être rassuré. J’ai pratiqué une séance d’hypnose pour qu’il se détende, qu’il lâche prise, et qu’il puisse partir en paix. Il est décédé le lendemain matin. Je ne peux m’empêcher de penser que j’ai contribué à son départ serein.

Virginie Stassen

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L’HUMAIN AVANT TOUT Précédemment, on vous a déjà parlé du Docteur Thierry Schmitz, médecin passionné, toujours curieux des dernières découvertes médicales, intéressé par les approches alternatives de la santé. Convaincu par l’ozonothérapie qu’il pratique depuis plusieurs années, fort de son expérience des médecines naturelles, il a réuni une belle équipe de thérapeutes, spécialisés dans des disciplines diverses et complémentaires et il a créé OZON 2000, tout nouveau centre installé à La Hulpe, à deux pas de la gare. Quand on franchit la porte d’OZON 2000, on est vite charmé par l’espace et l’ambiance cosy qui y règne. Il faut dire que 700 m² dédiés à la santé et au bien-être, ce n’est pas rien. Les salles de soin ou de consultation sont vastes, certaines lumineuses, d’autres plus intimistes, toutes agréables et joliment décorées. Bref, on ne peut que s’y sentir bien.

enthousiasme certain : « Le corps et l’esprit sont étroitement connectés. L’un et l’autre sont indissociables et c’est très important pour nous d’envisager la personne dans sa globalité. » L’équipe travaille dans une démarche holistique, bien loin de l’opposition binaire physique-mental.

« Aucun de nous ne sait ce que nous savons tous, ensemble. » (Euripide) Entre les différentes prestations proposées par le centre existent des ponts qui permettent une collaboration optimale entre tous les spécialistes. L’équipe multidisciplinaire d’OZON 2000 est le pilier du centre. Seize praticiens entourent les deux médecins, Thierry Schmitz et sa

« Mens sana in corpore sano »

Le centre fondé par Thierry Schmitz offre de nombreuses possibilités d’améliorer sa santé, de soigner des pathologies, même sévères, ou tout simplement de se faire du bien, tant physiquement qu’émotionnellement. D’ailleurs, le corps et l’esprit vont-ils l’un sans l’autre ? « Non », répond Nele sans hésitation. Nele, naturopathe et massothérapeute, travaille avec le Dr Schmitz depuis plusieurs années. Elle ajoute avec un

« C’est important que nous soyons animés de bienveillance entre nous, elle rejaillit sur nos patients. » 28


collaboratrice Violette Orban, et partagent leurs valeurs. L’écoute empathique et la bienveillance en font partie. Ils ont créé entre eux des liens très forts qui favorisent leur travail collectif. Ils échangent régulièrement, de manière pertinente, éthique, avec une conscience professionnelle aiguisée, sur l’évolution des patients. « On est une vraie famille, avec l’esprit de famille. Avant de prendre soin des autres, nous prenons soin de nous. C’est important que nous soyons animés de bienveillance entre nous, elle rejaillit sur nos patients. » Leurs points forts sont multiples : la disponibilité, présente dès l’accueil et pendant tout le cheminement, la possibilité de diriger vers le praticien le mieux adapté, l’ouverture vers des thérapies différentes et de nouveaux protocoles.

OZON 2000 se plie en quatre pour vous « Notre établissement repose sur quatre grands pôles et chacun est important, même si la pratique de l’ozonothérapie et des injections intraveineuses l’est plus particulièrement, déjà

parce que nous sommes les seuls en Belgique à utiliser ces techniques, à des hautes doses et selon les protocoles que nous avons établis. » explique Guillaume Schmitz, fils de Thierry, kinésithérapeute, orienté lui aussi vers des techniques douces et moins conventionnelles. L’ozonothérapie telle que pratiquée au centre OZON 2000 se fait dans un cadre et avec une prise en charge selon une ordonnance bien définie, individualisée et avec une évaluation régulière de la santé du patient.

Les thérapies alternatives, le bien-être et les formations viennent compléter l’offre. La rigueur scientifique d’OZON 2000 est indiscutable et se base sur une centaine d’études scientifiques. La structure médicalisée, bien qu’utilisant des techniques de pointe, laisse une place prépondérante à l’humain où chacun, s’il le souhaite, peut déposer son vécu et toute la charge émotionnelle qui le traverse. Il trouvera toujours une écoute attentive et au-delà, une proposition d’accompagnement.

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Ozonothérapie en pratique Malgré qu’elle soit encore trop méconnue chez nous, l’ozonothérapie existe depuis 50 ans et se pratique dans de nombreux pays en traitement de pathologies diverses, comme la sclérose en plaques, le cancer, la maladie de Lyme ou encore la maladie de Crohn. Elle a tout son sens et également de très bons résultats sur des pathologies plus légères telles que la covid, la rectocolite hémorragique, les nécroses et plaies qui cicatrisent difficilement. Les allergies et l’asthme, même s’ils demandent un traitement de fond différent, font aussi partie du tableau car l’ozone aide à augmenter l’immunité. Vous êtes en bonne santé ? C’est aussi pour vous car quoi de plus important pour le rester que la prévention ? L’ozonothérapie s’inscrit dans une hygiène de vie au long cours et même si notre santé nous semble correcte, nous ne sommes pas à l’abri de petits bobos. Prendre soin de soi, profiter d’une détox, amenuiser les petits maux de l’âge, régler des soucis de poids ou de sommeil, retrouver de l’énergie, mieux gérer ses émotions, éviter la maladie, c’est se prendre en main et (re)devenir acteur de sa santé.

Concrètement, comment ça se passe ?

Avec un cathéter on prélève 200 ml de sang dans une fiole reliée à un appareil qui va y déverser un gaz composé de 95 % d’oxygène et de 5 % d’ozone. Le sang assimile le mélange gazeux et est réinjecté, enrichi, au patient. On renouvelle l’opération plusieurs fois pour conditionner deux

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litres de sang. C’est un traitement absolument non maltraitant et indolore. Les injections intraveineuses se pratiquent couramment aux Etats-Unis et se généralisent en Europe du Nord et en Allemagne. A l’instar de l’ozonothérapie, à des hautes doses et selon un protocole strict, OZON 2000 est le seul centre à les pratiquer dans notre pays. Il s’agit d’injections de Vit C, bien connue comme un puissant booster d’immunité. Le glutathion quant à lui, est une protéine produite naturellement par le corps humain, qui contribue à stimuler les défenses naturelles et à ralentir les effets du vieillissement en limitant les dommages du stress oxydatif. Autre antioxydant, la coenzyme Q10, présente un peu partout dans l’organisme, intervient dans tous les processus de dépenses énergétiques. Même avec une alimentation équilibrée, nous sommes toujours en manque de ces précieux éléments. Nos modes de vie, l’alimentation dénaturée, le stress, défavorisent leur production. Les autres substances injectées sont la curcumine, molécule active du curcuma, également antioxydante et anti-inflammatoire et un extrait d’Artemisia, plante de Madagascar, antifongique, anti-infectieuse, antiparasitaire, qui s’est montrée efficace contre la covid et qui est utilisée avec succès dans le traitement de la maladie de Lyme et des cancers. Les avantages de l’injection sont indéniablement des doses importantes de produit qui arrivent directement dans le sang, pour une efficacité et une assimilation optimale.


Avant une séance d’ozonothérapie ou d’injection, il y a toujours une première consultation avec un médecin, pour une anamnèse complète et une vérification de tous les paramètres. Et il n’est pas question de venir faire son « shopping », comme ça se pratique outre atlantique. Le médecin dirige le patient vers la naturopathe, ensuite d’autres traitements ou soins peuvent s’ajouter, toujours en fonction du problème, de la personnalité, du mode de vie, du niveau de stress de la personne. « On prend le temps avant chaque séance de réévaluer l’état du patient et on n’insiste jamais à faire une séance qui ne serait pas judicieuse ou profitable. » précise Guillaume. Le nombre de séances nécessaires et la régularité dépendent de l’état de santé de chacun et de ses attentes. Une personne qui n’a aucune pathologie pourra se faire beaucoup de bien avec une, deux

ou trois séances à un moment donné, par exemple au changement de saison. Une personne atteinte d’une maladie sera plus assidue et en ressentant les effets positifs, recherchera elle-même une régularité plus importante. « On sait ce qui fonctionne, théoriquement, mais chaque cas est unique. On cherche le meilleur traitement et on accompagne sur le chemin de la guérison, on aide les gens à maintenir une énergie vitale pour sortir de la maladie. » conclut Nele.

OZON 2000 Place A. Favresse 45/2, 1310 La Hulpe (vaste parking devant le bâtiment) 010 40 24 22 Ouvert du lundi au vendredi de 9h30 à 17h30 secretariatozon2000@gmail.com www.drschmitz.com

Docteur Thierry Schmitz & son équipe. Le plus grand Centre de Santé Alternative en Belgique. www.drschmitz.com Ozonothérapie et injections en intraveineuses : Vitamine C, Glutathion, Artemisia, … Thérapies holistiques Bien-être Formations et conférences santé

Place Favresse 45/2 • 1310 La Hulpe • Belgique +32 10 40 24 22 • secretariatozon2000@gmail.com ozon2000 Horaires : du lundi au vendredi de 9 heures 30 à 17 heures 30


Curtis Mulpas n’a que 25 ans et affiche déjà un solide parcours culinaire

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Après ses études à Namur, en 2014, il poursuit sa formation à l’école Ferrandi en alternance chez le chef Christian Constant à Paris. Il continue d’accumuler les participations aux concours et en 2016, c’est sa participation à l’émission Objectif Top chef qui le fait connaître du grand public. A la suite, il rejoint Yannick Alléno et les prestigieuses cuisines du Pavillon Ledoyen. Là, sous les couleurs italiennes, Curtis Mulpas participe à l’épopée du Bocuse d’or où lors de la sélection européenne, il sera déclaré meilleur commis de la compétition. En janvier 2019, il participera à la grande finale mondiale à Lyon qui mettra un terme momentané à son aventure culinaire internationale. Il rentre en Belgique où il s’engage auprès de la Cheffe Arabelle Meirlaen à Marchin. Comme beaucoup de ses collègues, 2020 et la crise sanitaire mettra en veilleuse ses ambitions culinaires.

Comment a-t-il vécu cela ? Comment entrevoit-il l’avenir de la gastronomie? De sa cuisine ? Quels sont les projets? Curtis Mulpas nous dévoile où se situe ses ambitions. L’année 2020 a vraiment été une année charnière dans ton parcours. Comment as-tu vécu cela ? 2020 a complètement rebattu les cartes du secteur. Tout le monde a un peu été pris à la gorge. J’ai été contacté par l’IPES suite à l’émission Zéro Trace sur TVCOM qui était à la recherche d’un professeur de cuisine. Fort de mon expérience, cette proposition est tombée à pic. Devenir professeur, c’est la volonté de transmettre aux étudiants, ce que j’ai appris lors de mes formations en France et en Italie. A l’époque, il fallait réfléchir sur son avenir et, clairement, cette situation sanitaire, ne me convenait pas. Ma passion c’est la cuisine. Il

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fallait que je continue à l’alimenter. Devenir enseignant, c’était la plus belle opportunité qui pouvait m’arriver.

Cette réorientation est-elle momentanée ? Le secteur de l’Horeca a été durement touché par cette crise sanitaire. Mes ambitions professionnelles ont donc légitimement évolué car la donne au niveau de la gastronomie a aussi changé. On le voit aujourd’hui, après deux années de crise sanitaire, beaucoup de gens qui travaillaient dans le secteur se sont réorientés. Et aujourd’hui, on se trouve face à une pénurie de personnel. Valoriser la fonction de chef de cuisine ou de chef de salle, c’est désormais mon credo.

Outre l’aspect formateur dans l’enseignement provincial, tu es aussi devenu formateur pour Horeca Wallonie et pour l’asbl Cook & Serve. De quoi s’agit-il? C’est une structure qui a été mise en place pour encadrer les jeunes talents culinaires qui veulent participer à des concours. Il s’agit de coaching. On apporte des éléments concrets de gestion du temps, des recettes, du stress aux candidats.

Et à titre personnel, participer à des concours culinaires, cela reste en grande partie de ton ADN? Un concours en vue, le quel? Il s’agit du Pierre Wynants Trophy dont la finale se déroulera le 23 novembre, dans le cadre de Horeca Flanders Expo à Gand. Ce concours n’a lieu que tous les deux ans? Ce genre de concours demande beaucoup

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d’investissements personnels. Mais pour le moment, nous n’en sommes qu’aux stades des qualifications et de la remise des dossiers. La sélection se clôturera fin juillet.

Et une participation à l’émission Top Chef, en 2023, est-ce que ce serait possible? Quand j’ai fait Objectif Top Chef, j’avais à peine 19 ans. Aujourd’hui, j’en ai 25. Disons que j’ai un peu plus de maturité. Entre-temps, j’ai eu la chance de côtoyer et de travailler pour de nombreux chefs étoilés que ce soit en France, en Italie ou en Belgique. Si on devait me proposer de participer à l’émission je pense qu’il y aurait


deux choses qui me ferait dire oui. La première est plutôt sentimentale. Le fait de retourner en France, de retrouver la gastronomie française, cela me ferait énormément plaisir. La seconde, en tant que Belge, est évidente. C’est toujours un honneur de défendre les couleurs de son pays. Finalement Top Chef pourquoi pas.

Il n’y a toujours pas d’adresse, ni de restaurant Curtis Mulpas. Pourquoi? C’est vrai. A titre personnel, je n’ai pas de restaurant mais cela ne veut pas dire qu’il

n’y a pas de projet et cela ne veut surtout pas dire que je ne cuisine pas. Je travaille actuellement sur l’élaboration d’un concept culinaire dévoilé dans l’émission My Tiny Restaurant sur le RTB F. Cela demande du temps car cela se construit petit à petit. Ce projet culinaire n’est pas basé sur l’ouverture d’un restaurant. C’est plutôt un concept événementiel qui part de l’idée d’un repas avec un chef à domicile. L’idée maîtresse est de lier la cuisine gastronomique à l’art et d’associer un créateur, un artiste à une création culinaire et de revisiter un univers artistique en l’accompagnant d’une expérience gastronomique ciblée. On est donc sur un concept événementiel graphique au niveau artistique et culinaire.

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CENTRE DYSCOLAIRE LE CHEMIN VERS LA RÉUSSITE SCOLAIRE Une équipe pluridisciplinaire pour un suivi pluridisciplinaire des enfants et adolescents en demande d’aide ou d’accompagnement, ça ne se trouve pas partout. A Waterloo, ça existe. Le Centre Dyscolaire, dirigé et coordonné par Florie Willaert, elle-même spécialisée en orthopédagogie, propose un travail sur la scolarité et le bien-être. L’approche globale et une collaboration multiple intègrent aux côtés de l’enfant, les thérapeutes, les parents et les enseignants. Parce que chaque jeune mérite une attention personnalisée pour grandir dans la joie et devenir un adulte épanoui et accompli, le Centre Dyscolaire accueille tous les enfants en difficulté scolaire, avec une déficience intellectuelle, les enfants autistes ou qui manifestent des signes d’autisme, les enfants dits « haut potentiel », les enfants dysgraphiques, dyslexiques, dyspraxiques, bref, tous les enfants « dysférents ».

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Qui est Florie Willaert ?

ART

Les enfants, Florie, elle connaît ! Institutrice, elle a enchainé avec la psychopédagogie pour passer un Master en Sciences de l’éducation, tout en exerçant dans l’enseignement spécialisé. Passionnée par son métier, elle continue à se former sur les troubles de l’apprentissage et échange avec d’autres professionnels. Son but ? Rassembler un maximum d’outils afin d’apporter aux enfants qui ont des besoins particuliers, de meilleures réponses et un accompagnement plus personnalisé. Tout naturellement, elle arrive à l’orthopédagogie qui lui permet d’aller plus loin, de dépister les troubles qui vont freiner l’enfant dans son cursus et son développement. Parallèlement, elle s’intéresse au numérique, à ses atouts et aux moyens pédagogiques qu’il peut apporter dans l’enseignement.

Une équipe au top

Quand on passe la porte du Centre Dyscolaire, on est un peu comme à la maison. C’est d’ailleurs dans la maison de sa grand-mère, entièrement rénovée, que Florie Willaert l’a installé. On est loin du cadre scolaire, loin d’une ambiance médicalisée et d’emblée on s’y sent bien. C’est plutôt rassurant tant pour les petits bouts que pour les plus grands. Et pour les parents, quelle facilité de trouver une équipe complète dans un même lieu, une équipe d’experts interactifs et disponibles !

Parce que les difficultés sont multiples, les préoccupations diverses et les enfants tous différents, Florie a rassemblé autour d’elle une solide équipe de thérapeutes. Psychologues, neuropsychologues, orthopédagogues, éducateurs, psychomotriciens, logopèdes, coachs scolaires travaillent en concertation, avec des enfants, dès le plus jeune âge, des élèves du secondaire et de jeunes adultes de l’enseignement supérieur. Prochainement, une nutri-thérapeute et une réflexologue viendront agrandir le staff. Le rôle de la coordinatrice, après avoir établi le profil de l’enfant, est de l’orienter vers le ou les thérapeutes les mieux adaptés à le

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l’école, ça passe parfois par le bien-être à la maison. Il est donc pertinent de travailler avec les parents, et d’autres éducateurs, afin de les aider à entourer au mieux le jeune dans son cheminement. » souligne Florie Willaert. Toujours dans l’esprit d’un suivi global, des ateliers de psychoéducation encadrés par des professionnels seront organisés autour de différentes thématiques, afin d’expliquer aux enfants les troubles auxquels ils sont confrontés, le TDA/H, les troubles « dys », etc.

prendre en charge. L’équipe collabore et crée des ponts entre les différentes disciplines, échange sur les différents dossiers dans un respect total et une éthique professionnelle absolue. Le but est d’offrir un accompagnement global et d’établir des protocoles d’aménagements concrets, réalistes et réalisables, tant pour la partie scolaire que pour le quotidien de l’enfant. En effet, l’objectif premier est d’apporter une expertise et un suivi dans la scolarité mais de manière plus large, l’équipe s’intéresse au bien-être de l’enfant. « Si un enfant doit se sentir à l’aise et bien dans sa peau à

« Ils peuvent perdre des points alors qu’ils connaissent la matière. »

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Elèves 2.0

Comme nous l’avons mentionné plus haut, cette pédagogue déjà formée à pas mal de matières est aussi fan d’informatique et convaincue que c’est un outil formidable et très accessible, qui donne la possibilité de contourner certaines difficultés, comme la dysgraphie ou la dyslexie, pour ne citer que ces deux-là. L’élève qui a un problème, voire plusieurs problèmes, a tendance à se concentrer sur celui-ci et se ferme au reste. Gênés par leurs troubles, ces enfants ne parviennent pas à exploiter et à montrer leurs capacités réelles. « Ils peuvent perdre des points alors qu’ils connaissent la matière. » regrette la psychopédagogue.


Travailler avec du matériel informatique leur permet de faire abstraction de difficultés d’écriture ou d’autres blocages pour mieux se centrer sur les consignes et les questions, pouvoir démontrer leur savoir et continuer à évoluer. En effet, une fois débarrassé des difficultés qui l’ont conduit à l’échec, l’enfant pourra se réconcilier avec l’apprentissage et retrouver de la motivation. L’ordinateur est un allié de taille, Florie Willaert l’a bien compris. Dernièrement, durant les congés de Pâques, un stage a été organisé sur ce thème. Le matin, apprentissage et utilisation des outils informatiques et l’après-midi, activités diverses, plus libres. Vu le succès et l’enthousiasme rencontrés, le projet est de le refaire cet été. Informations en temps utiles sur le site, soyez attentifs !

Et les enfants ou jeunes autistes ? Le Centre Dyscolaire se démarque aussi sur un autre terrain et c’est plus qu’intéressant car cela se fait très peu, du moins de cette manière, dans l’approche holistique que nous avons déjà décrite. Le centre est ouvert aux enfants autistes, quasi dès la naissance et jusqu’à l’âge adulte. Cinq personnes sont formées et spécialisées dans les aspects liés à l’autisme et peuvent assurer la prise en charge, le suivi et les différentes évaluations. Le bilan qui sera établi pourra être très utile chez le neuropédiatre.

Intéressé ?

Contactez le centre au 0478 16 08 08 ou par mail : contact@centredyscolaire.com Contactez directement les thérapeutes sur www.centredyscolaire.com Ouvert tous les jours de 8h30 à 20h, sur rendez-vous.


s e il a s e t r e v u o r t Pour re ! E I O J A T , H # CAS

6:3

u le leitmotiv de pe un t es C’ ? ire sp in Cash, ta joie ! Ça vous kinésiologue.

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Muriel Wey,


C’est en se connaissant soimême, en cherchant en nousmêmes, que nous trouvons l’harmonie. Tout au long de son parcours et forte de ses différentes expériences, Muriel Wey l’a bien compris. Être soi-même, accepter qui on est pour enfin ne plus répondre à des injonctions familiales ou sociétales qui nous freinent ou nous bloquent sur notre chemin, c’est fondamental. Passionnée et enthousiaste, la jeune femme a longtemps observé les gens autour d’elle, avec l’empathie qui la caractérise, sa mémoire émotionnelle hors du commun et son côté caméléon. Elle n’est pas arrivée à la Kinésiologie par hasard. La kinésiologie c’est son ADN.

De son expérience personnelle, Muriel Wey a fait des atouts. Elle a longtemps souffert du syndrome de l’usurpateur, a souvent pensé ne pas être à sa place et en même temps, a toujours été consciente qu’elle voulait avant tout se consacrer au bien-être. Sans cesse elle recherche l’équilibre, l’harmonie, elle veut se brancher sur ce qui la fait vibrer, créer des liens, apprendre et transmettre. Pour elle, la vie c’est avant tout des rencontres. « J’ai assez tendance à voir le diamant à l’intérieur » souligne la Kinésiologue.

Dès l’enfance, elle est impactée par la dépression d’une personne proche. Confrontée au désespoir et à la perspective de la perte et de la mort, elle tombe dans les travers du syndrome du sauveur : vouloir à tout prix guérir les souffrances de l’âme. Plus tard, elle entame un travail d’introspection : elle comprend que pour apporter de l’aide aux autres, il faut être en paix avec soi-même, aller bien. Elle comprend que la souffrance peut se vivre et est liée à notre représentation souvent erronée de nous-mêmes et de notre situation, que nous avons le pouvoir de transformer des épreuves en enseignements et en outils d’évolution personnelle. Depuis toujours, elle attire les confidences des uns et des autres, elle tend à comprendre les fonctionnements humains et elle est passionnée par les sciences humaines. Malgré une évolution professionnelle dans différents milieux, elle ne trouve pas l’épanouissement. Elle a des céphalées douloureuses, à répétition, elle consulte divers médecins. La réponse est chaque fois la même : « On ne peut pas vous aider, c’est lié au stress. » Elle arrive complètement perdue à sa première séance. « On vient généralement à la Kinésiologie quand on a tout essayé » ajoute Muriel. Elle en sort métamorphosée. Du « au fond du trou » elle passe à un état de grâce : C’est comme si quelque chose avait été débloqué : « Comme si on avait rouvert le robinet d’énergie, d’enthousiasme et de confiance en soi. ». Elle a trouvé comment accomplir sa vocation : la Kinésiologie !

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établit un dialogue avec le corps et accède à sa mémoire. Il va permettre d’identifier les facteurs qui créent les blocages, de détecter les déséquilibres, de désamorcer les bombes qui restent actives pour se libérer des souffrances du passé, éveiller le potentiel qui est en chacun de nous, se focaliser sur les ressources qu’on a pour atteindre nos objectifs. On va créer un nouveau discours intérieur et enclencher de nouvelles compétences, ou en récupérer parce qu’elles étaient associées à des situations traumatisantes. Le test utilise le lien entre les émotions, le cerveau et les muscles.

6:3 Elle s’inscrit à un premier séminaire d’Andrew Verity, une sommité en matière de Kinésiologie et pendant six ans, elle suivra une dizaine de formations différentes. « La Kinésiologie est un chemin de la connaissance incroyable ».

L’objectif de la kinésiologie est de désamorcer le stress pour permettre à chacun la possibilité de se récupérer et développer son potentiel, de retrouver son pouvoir personnel et d’accéder à ses propres solutions.

Elle ajoutera un baccalauréat en Conseil conjugal et familial pour enrichir sa pratique et continue sa propre évolution pour fournir le meilleur accompagnement possible.

La Kinésiologie apporte des clés de compréhension et génère des déclics pour que la personne retrouve sa boussole intérieure. « La personne qui consulte amène une problématique et je l’invite à trouver ses propres clés, je ne veux pas la formater » précise Muriel.

Qu’est-ce que la Kinésiologie ? La Kinésiologie, étymologiquement « la science du mouvement », est une pratique professionnelle qui utilise un ensemble de techniques de rééquilibrage psychocorporel. Elle permet de trouver l’origine de stress répétitifs qui induisent des blocages, des maladies chroniques, des symptômes physiques. Sa principale caractéristique est l’utilisation du test musculaire. Muriel Wey insiste : « Il n’y a pas d’interprétation, tous les symptômes sont explicables ». Le test

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Qui n’a jamais été submergé par ses émotions au point d’en perdre tous ses moyens ?

Si elle utilise les outils de la Kinésiologie, entre autres le « One Brain », le Touch For Health, et la morphopsychologie, sa formation de conseillère conjugale et familiale apporte un vrai plus à sa faculté d’écoute. Muriel aime enrichir sa pratique avec d’autres disciplines. « Quand on travaille dans le bien-être, à la reconstruction des gens, on utilise des techniques, de la théorie mais on se sert de ce qui nous nourrit, des lectures, des rencontres …Et Il n’est pas possible d’accompagner les personnes sans


travailler sur soi en continu pour éviter de polluer la relation d’aide ».

Déroulé des séances Après un entretien préliminaire, la kinésiologue instaure en douceur un dialogue avec le corps grâce au test musculaire et recherche les informations et les équilibrages qui aideront la personne à trouver ses solutions et avancer vers une version de soi plus sereine et plus joyeuse. Muriel garantit un cadre sécure, une totale confidentialité. Il faut que le ou la consultant.e se sente parfaitement à l’aise, en confiance. Elle ne porte aucun jugement et peut tout accueillir. Elle propose au minimum trois séances espacées de trois semaines. Surtout elle s’adapte en fonction de la demande et fournit un suivi : « Nous sommes une équipe, nous allons travailler ensemble. ».

Pourquoi consulter un kinésiologue ? La Kinésiologie s’adresse à tout le monde, pour une demande générale ou une question plus précise. Il n’existe aucune contre-indication. Elle peut apporter une aide à des problèmes physiques (douleurs, maladies, etc.) et psychoémotionnels (stress, peurs, phobies, anxiété, angoisses, difficultés d’apprentissage, de sommeil, d’alimentation). La Kinésiologie peut également compléter des thérapies lorsqu’elle aide à prendre conscience du sens de l’état dans lequel on se trouve. Elle peut soutenir par un accompagnement émotionnel des personnes face à leurs pathologies et à leurs conséquences dans le quotidien, même si elle n’intervient pas sur la pathologie elle-même. Pour trouver ou retrouver la paix intérieur, l’amour de soi, s’accepter tel que l’on est, ça semble évident, consulter Muriel Wey est sans doute la solution, tout au moins une aide précieuse et appréciable. N’hésitez pas à prendre rendez-vous, prenez soin de vous ! Et dernière chose, les séances peuvent se faire en Anglais. What else !

Si Muriel détecte que ce n’est pas le bon moment, qu’elle n’est peut-être pas la personne qui vous correspond, elle a l’honnêteté de le reconnaître et de vous l’exprimer, c’est pour elle une question d’intégrité.

Cash, ta joie – Muriel Wey Rue des Jardins 13 – 1300 Wavre 0486 42 71 01 murielweycashtajoie@gmail.com contactez-moi – Cash, Ta JOIE ! LaMuKiRiLol @LaMuKiRiLol

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Christine Helin

Le

COPYWRITING

pour développer son activité

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Quel que soit leur secteur d’activité, toutes les entreprises ont le même objectif : vendre. Pour vendre, il faut avoir des clients. Et comme le dit l’expert en marketing Seth Godin : « Les gens n’achètent pas des produits et des services. Ils achètent des relations, des histoires et de la magie. » C’est là que le copywriting intervient. Il va devenir un réel outil de vente en racontant une histoire et surtout en créant un univers unique autour des produits ou services de la société. Vous pensez pouvoir écrire ? Sans doute. Mais avez-vous le temps de le faire ? Avez-vous les compétences pour le faire ? Si ce n’est pas votre job, vous allez y passer beaucoup trop de temps, du temps précieux à consacrer à votre activité, et pour un résultat qui risque d’être trop peu satisfaisant. C’est là que Christine Hélin intervient. Elle sera le porte-voix de la promesse que vous faites à vos clients, vos membres, vos visiteurs.

Depuis 4 ans, elle exerce le métier de rédactrice web mais depuis toujours l’écriture la passionne. Toute jeune, Christine rédigeait déjà dans le journal des scouts. De là, elle a aligné une série d’activités autour de l’écrit : chargée de communication en entreprise ou rédactrice en chef dans différents magazines, elle a exploré maints sujets et des formes d’écriture variées. Également écrivain public, elle rédige du courrier spécifique comme des lettres de candidature ou des réclamations et relit ouvrages d’entrepreneurs et mémoires d’étudiants. Elle le raconte humblement mais c’est à souligner, cette passionnée des mots a obtenu le troisième prix d’écriture lors d’un concours organisé par une Fédération des plannings familiaux.

Aujourd’hui, elle s’attèle à apporter son aide à des entreprises de tous horizons, tant dans les

ressources humaines, le management, le secteur bancaire que le domaine de la santé ou de la nutrition. Et cette liste n’est pas exhaustive.

Écrire pour vendre, un art. Toutes les entreprises - ou quasi – ont aujourd’hui un site internet. Malheureusement, nombre d’entre eux restent figés avec une présentation sommaire, quelques photos et des coordonnées. C’est déjà bien mais très insuffisant si, en tant que chef d’entreprise, indépendant, entrepreneuse, vous souhaitez booster votre business et trouver plus de clients. Pour faire vivre un site, il est essentiel de lui adjoindre un blog, qu’on l’appelle blog ou autrement, peu importe. C’est là que vous allez vous raconter, inspirer vos futurs clients, leur donner des informations sympas, des trucs et astuces, des idées … C’est la partie dynamique que vous allez pouvoir partager sur les réseaux et qui va montrer à Google que ça bouge, qu’il

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y a des mises à jour, que votre site ne dort pas. C’est tout bon pour le référencement naturel et un meilleur positionnement dans les moteurs de recherche. Résultat, votre groupe cible vous trouvera plus facilement et plus rapidement ! Outre un positionnement optimal grâce aux mots-clés, le blogging démontre une maîtrise du sujet, apporte de la crédibilité au site, donc à votre entreprise, lui confère une image de sérieux et surtout, une identité propre. L’écriture donne le ton, personnalise votre commerce et chaque article, posté à un moment donné, pas choisi au hasard, est un nouveau rendez-vous inspirant qui va fidéliser vos acheteurs ou vos contacts. Au-delà de l’écriture, le travail d’un rédacteur web est de bien comprendre l’ADN de l’entreprise, ce qui la rend unique, ce qui la démarque des autres, de ses concurrents, ce qui fait d’elle un incontournable. Tout le talent de Christine Hélin repose sur sa capacité à traduire en émotion votre offre de services et de produits.

Christine Hélin, créatrice d’émotion Christine Hélin, qui prend son métier très à cœur, va commencer par observer : Votre entreprise est-elle facilement trouvable à l’aide d’un mot clé ? Est-ce que votre nom correspond à votre activité de manière évidente ? En découle un travail sur la cible, les “Persona” et leurs attributs. En bon

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copywriter, elle a créé sa propre méthode basée sur un questionnaire qui va vous aider à définir les personnes à qui vous vous adressez et de quoi vous devez leur parler. Elle peut aussi vous accompagner dans l’établissement d’un calendrier éditorial, c’està-dire le calendrier de tous vos sujets d’articles sur une année, determiné en fonction de vos événements, des événements extérieurs, des saisons, de nouvelles opportunités … Créer une cohérence et imprégner, tant vos newsletters que votre page Facebook ou votre profil Linkedin de la même ambiance que votre blog, tout en cultivant votre différence, fait aussi partie du travail et des compétences du copywriter. Cette professionnelle de l’écriture n’hésitera pas à surveiller la concurrence et à proposer


des réponses et des solutions différentes en incluant subtilement votre entreprise. Elle concluera toujours par un appel à l’action.

Vous allez dire que tout ça a un coût !

Bien sûr. Mais ça va surtout vous faire gagner en notoriété, en visibilité et par conséquent de l’argent. Vous devez considérer le copywriter comme un véritable partenaire de votre stratégie marketing, qui va œuvrer vers le même objectif que vous, séduire vos clients et des prospects judicieusement ciblés. Il est important de noter qu’un article de blog est loin d’être un “One Shot” et qu’il peut être réutilisé dans le cadre d’une nouvelle actualité ou d’une newsletter, c’est ce qui s’appelle dans le jargon, du recyclage de contenus.

Vous aimeriez savoir combien ça rapporte ? C’est difficile à dire. Il est néanmoins possible de savoir quels sujets ont été les plus performants sur votre blog et de se faire un

Linkedin :

www.linkedin.com/in/christine-helin-0987a713a/

Groupe Facebook : Débloque ton blog

hit-parade des meilleurs articles afin d’affiner sa cible, de réorienter ou développer certains services, de proposer de nouveaux produits... et de nouveaux sujets de blogs. Christine Hélin propose un panel de services assez complet, jusqu’à des projets multilingues et de la rédaction de fiches produits pour un e-commerce. Vous êtes convaincu que ses talents d’écrivain peuvent vous aider ? Contactez-la. Vous n’êtes pas tout à fait convaincu de la pertinence d’un copywriter à vos côtés ? Un conseil : Contactez-la !

Christine Helin 47


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