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Edition Edition Edition du du78 6juin du juin 52015 2015 juin
Politique
La Libre Frôce
Education : vers une nationalisation totale? Peut-on nationaliser l’enseignement scolaire ? C’est la question que pose la Ministre de l’Enseignement Scolaire (et Premier Ministre), Urumi Nakamura. Pour cela, elle a mis en place un débat public préparatoire dans son ministère, auquel chaque citoyen peut participer. Le projet, soumis par la Ministre, a pour objectif que tous les enseignements scolaires privés deviennent publics d’ici le 15 juillet 2020 (si la loi est adoptée en 2015). Ce bouleversement dans le système d’éducation se ferait alors progressivement. Ce sont d’abord les établissements scolaires privés non confessionnels qui seraient nationalisés. Puis ce serait au tour des établissements proposant une éducation confessionnelle de passer par cette étape de nationalisation. Quant au personnel, il complétera, s’il le souhaite, les effectifs de l’Education Nationale en devenant à ce titre, fonctionnaire de l’Etat.
Si la plupart des citoyens approuvent l’idée d’un débat public, les avis sont très partagés en ce qui concerne le projet en luimême. Pour un certain nombre de citoyens, c’est le côté religieux qui pose problème. L’Etat n’aurait pas à intervenir dans le domaine religieux. Or, le gouvernement prévoit, dans un texte qui suivra, d’instaurer des cours de religion à l’ensemble des établissements scolaires. Pour d’autres, c’est le coût de cette nationalisation qui ne passe pas. La Ministre estime le rachat de ces établissements à 24,5 milliards de pluzins (soit 5,5 milliards par an). C’est ainsi ce que reproche le député RPF, Gaspard Salcedo : « 5,5 milliards de pluzins par an, c’est
pluzins par an, c’est énorme. C’est purement idéologique». Et au-delà du coût, c’est surtout l’idée même du projet qui ne convainc pas. Pour beaucoup, il n’y a aucun intérêt de nationaliser. Angela Van Bertha, députée UFR explique ainsi ne pas comprendre « en quoi la juxtaposition d'établissements publics et d'établissement privé peut poser problème ». La Ministre se justifie en évoquant sa volonté de mettre fin à la séparation entre le public et le privé pour permettre un meilleur brassage. Pas sûr pour autant que cela suffise pour convaincre ses opposants.
Politique
La Libre Frôce
Salinovitch en Amérique Latine
Après la tournée du Président de la République au Proche-Orient (Libre Frôce du 7 juin), c’est au tour du Ministre des Affaires
Etrangères de voyager. Michaël Salinovitch, tout juste nommé Ministre après la démission de son prédécesseur, est donc en Amérique Latine. Après Cuba, le Ministre est actuellement au Venezuela où il a rencontré le Président de la République Nicola Maduro. L’objectif pour le ministre est clair : débuter
les négociations pour, à terme, signer un contrat commercial. Sa tournée se poursuivra ensuite dans les pays voisins : Bolivie, Brésil, Uruguay, Argentine et Chili. La mission pour monsieur Salinovitch est cruciale. Il doit essayer de convaincre au maximum afin d’avoir la possibilité par la suite de signer des contrats
commerciaux. L’idée d’un traité de libre circulation entre l’Argentine et la Frôce a même été évoquée. Il s’agit donc d’un voyage test pour le ministre qui va devoir se montrer le plus charismatique possible afin de parvenir à des négociations intéressantes. Retour en Frôce prévu le 13 juin.
Dernier lever de rideau pour Lazaridis La Fédération Nationale des Travailleurs tiendra un Congrès interne pour le renouvellement des statuts dans les prochains jours. A cette occasion le Secrétaire Général de la Fédération, Pierre Lazaridis a annoncé sa volonté de passer la main. C’est ainsi une grande page qui se tourne pour la FNT. Pierre Lazaridis avait intégré la Fédération en 1985. Il n’était alors qu’un simple militant. A peine
deux ans plus tard, avec pleins de projets et d’espoirs dans la tête, le jeune militant devenait secrétaire de la section Lloyd et Guibert. En 2010, à l’occasion du Congrès renouvelant les statuts, Lazaridis était élu à la majorité des voix, Secrétaire Général. Et il faut dire que depuis, il faisait entendre sa voix. A l’âge de 50 ans, Pierre Lazaridis raccroche donc ses combats militants sur le papier, mais certainement pas dans le cœur. Il aura
mené son dernier grand combat dans l’affaire Gesca Motors, et les salariés peuvent lui être reconnaissant. Les candidatures au poste de secrétaire sont ouvertes. Quant à monsieur Lazaridis, il ne nous reste plus qu’à lui dire bonne route !
Élections
La Libre Frôce
Aspen : la droite s’effondre A l’approche du scrutin, les tensions s’exacerbent dans la capitale frôceuse. Hillary Milton, qui conduit la liste « Aspen ensemble » vient de passer un nouveau cap. Selon La Gazette d’Aspen, la candidate socialiste remonte dans les intentions de vote. Elle serait actuellement à 41% (soit une augmentation de 4pts).
Le candidat de droite quant à lui continue sa descente infernale. Il ne recueillerait ainsi que 25% des voix (-3 pts). Ce résultat constituerait une défaite historique pour la droite à Aspen. Et ce n’est pas le seul à reculer. La liste d’extrême gauche perd un point (18%). Constat identique pour la liste sans étiquette « Aspen aux citoyens » qui stagne à 16%. Si la Secrétaire d’état
continue sa progression, c’est aussi grâce aux nombreux soutiens qui continuent à affluer dans la capitale. Le dernier en date est celui de l’exmaire de Nobles-desPrigors Michel Poudou. S’il ne faut rien lâcher jusqu’à la dernière ligne droite, jamais un candidat socialiste n’avait paru aussi prêt de remporter la capitale frôceuse.
Les candidatures s’accumulent Après la démission de la maire d’Esperanto, Nathalie de Froe vient d’annoncer sa candidature à la mairie. Candidate UFR et pourtant encore inconnue du grand public, la jeune femme est donnée favorite dans les sondages. C’est même un plébiscite puisqu’elle obtiendrait près de 55% des voix loin devant la liste
« Socialistes, en avant » qui recueillerait 30%. La Liste Sans étiquette ne convaincrait que 15% de la population. A Anglès, si la campagne électorale n’a pas officiellement débutée, le candidat Michel Poudou est déjà en action. Il a notamment critiqué l’action du maire actuel, Charles Lubernac, en
poste jusqu’au 13 juillet prochain, pour son inaction. « Que fait le maire actuel ? » at-il déclaré. En face de lui, Valentino Borgia ne lui concède rien : « Je demanderai à ce candidat comment il compte justifier son abandon de Nobles-desPrigors ». Et alors que les candidatures se multiplient à Anglès, aucune réaction n’émane pour le moment de la mairie. La campagne électorale s’annonce intense.
Sport
La Libre Frôce
Josh Duhamel endosse le maillot jaune Après la victoire 3-1 du FC Casarastra sur la Juventus d’Anglès lors de la finale de la Ligue des Champions, c’est au cyclisme d’être au cœur de l’actualité. La première étape du championnat national organisait par la Fédération Frôceuse de Cyclisme avait lieu entre Elrado et Esperanto. C’est sous des températures dépassant les 30° que les cyclistes ont pris le départ. Au total, ce sont 25 kilomètres qu’ils ont parcouru. Et dès le premier coup de pédale, c’est Josh Duhamel qui a prit
la tête de la course. En s’échappant du peloton dès le départ, il n’a laissé aucune chance à ses concurrents et endosse ainsi le maillot jaune après 35 minutes de course. Ce n’est pas pour autant que les autres cyclistes ont abandonné. Désignée la plus combative du jour, Nathalie de Froe est arrivée 2e avec moins de 3 minutes d’écart avec Duhamel. La surprise de la journée vient de Angela Van Bertha qui termine 3e de la course, devançant même Joseph Vann Letto, pourtant donné favori. Edouard
De Trance, longtemps dans le trio de tête à très vite lâché. Même constat pour Marc Donovan. Quant à Nick Zelmer et Simon Duhamel, ils ne sont jamais vraiment rentrés vraiment dans la course. Ils terminent respectivement avec 16 et 18 minutes de retard sur le grand gagnant de l’étape. Prochain rendezvous est d’ores et déjà donné dimanche prochain, avec une épreuve de montagne cette fois-ci.