Espace GO, Les lettres d'amour

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CLI ENT:: CLIENT ESPACE GOL -ALES LETTRES D'AMOUR J OURSDE TERRE 12 AVRIL 2016 datedel’ événement: 22AVRI L201 2 ROSEMONDE COMMUNICATIONS Service des relations publiques et de presse

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REVUE DE PRESSE


LES LETTRES D’AMOUR --Programme






LES LETTRES D’AMOUR --Extraits de critiques


LES LETTRES D’AMOUR Extraits de critiques courts Le résultat est spectaculaire. Macha Limonchik est au sommet de son art. Là elle atteint un niveau d’intériorité et de puissance inégalé. Cet univers est à la fois visuel, sonore, très émotif. Tous ces mots-là sont portés par Macha Limonchik, comme si c’était toujours les siens. Moi j’ai pleuré, et c’est rare que je pleure au théâtre. C’est ce même genre de peine viscérale que transmet Macha Limonchik. C’est physique. C’est tellement physique, c’est tellement puissant. Moi ça m’a renversé, c’est une performance d’actrice hallucinante. La musique y ajoute beaucoup. Il y a une trame sonore qui ajoute beaucoup d’émotion. C’est très très très très beau, Les Lettres d’amour. Catherine Pogonat, Dessine-moi un dimanche

Réjouissance à l’Espace GO et au Théâtre d’Aujourd’hui : les pièces Les lettres d’amour et Unité modèle ont pris l’affiche la semaine dernière et vont assurément marquer cette deuxième partie de la saison théâtrale 2015-2016. Les lettres d’amour est un spectacle hybride qui croise la parole forte d’Evelyne de la Chenelière à la musique vibrante de Dear Criminals, en plus d’un travail vidéo et d’un dialogue entre la parole et l’acrobatie. De ce spectacle interdisciplinaire, on retiendra d’abord la beauté de cet arrimage entre les voix de la comédienne Macha Limonchick, qui dit la douleur de la perte de l’être aimé, et celles des chanteurs Charles Lavoie et Frannie Holder, qui chuchotent l’amour vulnérable et la sensualité originelle. Le spectacle oscille ainsi entre la colère et la douceur. Colère devant l’abandon. Douceur à la lueur du souvenir de l’être aimé. L’esprit s’anime, survolté, puis la chair se réveille et frissonne. Le sujet est vieux comme le monde. Ainsi, les spectateurs en quête de perspectives nouvelles sur le couple seront laissés de côté par cette pièce qui se consacre plutôt à célébrer l’écriture épistolaire et à croiser la plume contemporaine et délicate d’Evelyne de la Chenelière avec l’écriture ancienne et furieuse d’Ovide. Un jeu de contrastes qui offre un portrait nuancé du deuil amoureux et qui crée des ponts entre les époques, puisant finalement dans les mêmes fondements archaïques et pulsionnels. Limonchick, avec l’assurance d’une femme mûre mais la fragilité des premiers émois, incarne ces sentiments avec panache. À ses côtés, le jeune acrobate Anthony Weiss, au corps preste et au visage doux, matérialise le souvenir de l’homme aimé, figé dans une éternelle jeunesse. Intégrer le cirque au théâtre est souvent périlleux en raison de la virtuosité des acrobates, plus portés vers le numéro prodigieux et racoleur que vers la poésie du mouvement. Mais ici, même si le piège de l’adulation aveugle de l’athlète n’est pas toujours évité, le metteur en scène David Bobée a réussi à favoriser des images signifiantes : le corps de l’homme fantasmé s’envole dans un éclairage


bleuté et semble de plus en plus inatteignable, devenant peu à peu fantôme ou présence surplombante, ou encore objet du rêve et des réminiscences. On pourra néanmoins reprocher à ce spectacle une élégance artificielle, des images léchées, proches de l’esthétique d’une publicité un peu trop lisse, qui empêchent parfois de mesurer la douleur amoureuse évoquée par les corps et les voix. Philippe Couture, voir.ca

***1/2 D'entrée de jeu, disons que Macha Limonchik est grandiose dans le rôle d'une femme qui écrit (et crie) son manque et sa peine d'amour. Esthétiquement, cette production est une belle réussite. Les musiciens du groupe Dear Criminals accompagnent habilement la complainte de l'amoureuse solitaire. Anthony Weiss s'exécute avec des acrobaties spectaculaires. Luc Boulanger, La Presse

David Bobée a choisi la sobriété pour donner vie à cette douleur passionnelle et toute féminine. Les effets sont ailleurs. Macha Limonchik semble transcendée par ce texte. Son jeu est resserré au maximum et s’en dégage une intensité qu’on ne lui connaissait pas. Son visage est torturé et, à aucun moment, elle ne relâche la tension qui s’exprime à travers son corps, que sa parole soit dans la détresse, avec des larmes sur les joues, ou dans la furie. La vidéo, projetée sur deux immenses écrans, vient appuyer cette intensité, tout en donnant de magnifiques scènes statiques quasi-cinématographiques. Installé sur le côté du plateau, le groupe d’électro-folk Dear Criminals livre en direct une musique tout aussi intime et organique qui s’imbrique bien dans la respiration du texte. L’utilisation des effets comme la pluie (trop de pluie!) ou les projections vidéo est intéressante, mais ils sont à certains moments surexploités et perdent leur utilité. Avoir des moyens financiers importants peut parfois être un frein créatif qui éloigne de l’essence première du texte et perd le propos dans tout un tas d’artifices, David Bobée évite ce travers de justesse grâce à l’implication complète de son actrice qui transcende les peines d’amour de générations immémoriales de femmes. Samuel Pradier, revuejeu.org


En tout cas, hier, Macha Limonchik brillait sur la scène d’ESPACE GO. Très belle musique du groupe montréalais Dear Criminals. Il y a certaines petites choses qui retroussent, mais dans l’ensemble il y a beaucoup, beaucoup d’émotion. C’est vraiment une pièce qui veut exprimer cette douleur qu’on ressent quand on perd l’être cher. Il y un niveau d’intensité très élevé tout au long de la pièce, sachez-le. On respire une fois au début de la pièce et on expire à la fin. Katerine Verebely, Gravel le matin

Macha Limonchik est sublime dans son long dialogue à une voix, dans son monologue pour un absent. Tantôt fragile tantôt puissante, elle parle avec douceur dans un sourire triste, les larmes débordant des paupières, puis elle gronde d’une voix de furie, tremblante comme un orage qui approche. La comédienne maîtrise parfaitement sa partition : elle est vibrante d’émotion, touchante et juste - une performance qu’on salue d’autant plus qu’elle a dû remplacer au pied levé l’actrice française Béatrice Dalle qui devait initialement tenir le rôle. Le vrai plus de la mise en scène de David Bobée, c’est d’avoir donné un corps à cet homme absent : celui de l’acrobate Anthony Weiss. Entre des déambulations silencieuses sur la scène et de superbes figures aériennes au bout de deux sangles suspendues au-dessus du lit marital, il incarne la figure masculine sans un mot. Dans les airs, Weiss est puissant et subjuguant : il se balance audessus de la foule, se tord et se retord, danse en douceur dans ses figures d’équilibre. La comédienne et l’acrobate offrent un spectacle balancé, sans jamais se voler la vedette, mais en se complétant. Ce spectacle est presque trop beau parfois, trop léché, blanc et bleu. C’est parfait, calculé, visuel, puissant. Marie Pâris, montheatre.qc.ca

***** Aristote disait à propos de la tragédie qu'elle transporte son public, lui permettant ainsi de purger ses passions excessives pour mieux revenir à la normalité de l'existence. Avec une généreuse rigueur, Evelyne de la Chenelière ne nous en épargne aucune, ni celles de la colère, ni même celle de la plus humiliante reddition des armes pour récupérer l'amour perdu, le tout, servi sur un plateau d'argent par l'époustouflante interprétation de Macha Limonchik. Mais la magie qui opère sur la scène où s’étalent les Lettres d’amour est plus profonde: ce n’est pas seulement les femmes d’hier qui semblent nous interpeller dans la lourde marche à travers les ténèbres qu’elle raconte, mais toute l’antique mécanique tragique qui parvient à saisir les spectateurs de notre siècle pour leur broyer efficacement le cœur. Toutefois, on ne pourrait en aucun cas reprocher à l’ensemble son excès de classicisme, puisque Bobée, fidèle à son indomptable esprit d’innovation, a pris soin d’inviter, en guise de choeur, Dear Criminals, ainsi qu’un acrobate pour planer quelques mètres au-dessus du lit des chagrins, en plus de faire pleuvoir et venter dans la chambre, ce qui, au départ, étonne. Il faut dire


qu’avant d’éblouir avec ses élans dans les sangles aériennes Antony Weiss s’introduit plus en douceur dans la chambre, avec un jeu sans paroles assez réussi. Ainsi, la mise en scène de Bobée parvient à trouver un équilibre entre les silences et les élans de génie de chacun, ce corps en fuite parvient à alimenter la rage tandis que le trio mêle ses sons et ses voix à ceux de la pluie et le vent pour en augmenter l’effet pathétique. Mais le discours d’Evelyne de la Chenelière prend aussi la liberté, en finale, de faire ressortir dans le drame qu’elle décrit un trait qui la distingue des icônes du passé. Ainsi Limonchik saura nous montrer ses larmes, mais aussi la force du renoncement qui pousse à reprendre le chemin de la vie… une vie qui promet d’être bien longue encore pour les artisans de cette petite merveille! Marie-Hélène Proulx, labibleurbaine.com

Une fabuleuse énergie créatrice dans tout son ensemble se dégage de la production Les lettres d’amour. Jamais ce petit théâtre n’aura paru si grand, et n’aura été grandi autant aussi par la qualité de la proposition artistique hyper urbaine et actuelle que nous offre le metteur en scène et scénographe français David Bobée. Les trois musiciens ne vont pas se contenter de jouer live une musique originale. En plus, comme des âmes agitées, ils viendront ponctuer le texte, en soutenir la respiration et la texture avec de petits cris, des plaintes, des lamentations retenues, des éclats. Frannie Holder, en particulier, livre une performance par petites teintes vocales mélancoliques absolument remarquable, et dont la pièce ne pourrait pas se passer. En mêlant comme à son habitude les vecteurs complémentaires que sont le théâtre, la musique, le chant, la vidéo et le cirque, David Bobée crée une œuvre globale, indissociable et magistrale dans chacune de ses parties comme dans son entièreté. Macha Limonchik, en particulier dans la lettre de Didon, joue sur toutes ces facettes à la fois. Elle est bouleversante de véracité, mordant dans les mots avec une rare intensité sur une scène. Elle pleure, d’ailleurs, à quelques reprises. Au-dessus du lit déserté par l’amant, l’acrobate Anthony Weiss exécute des prouesses avec des numéros de sangles aériennes qui demandent beaucoup de force physique, d’adresse et de précision. Après l’Espace Go où des supplémentaires sont à prévoir, Les Lettres d’amour, une pièce coproduite avec le Centre dramatique national de Haute-Normandie, se transporteront à Rouen, pour entamer ensuite une longue tournée française vouée au succès. Gilles G. Lamontagne, sorstu.ca


Les Lettres d’amour est une pièce vibrante qui va au-delà de nos attentes et qui nous amène dans les dédales des sentiments amoureux de façon surprenante. Une mise en scène multidisciplinaire et novatrice! Pour un rendu retentissant et touchant des lettres d’une amoureuse délaissée, le metteur en scène français David Bobée et la directrice artistique Ginette Noiseux ont fait appel à l’actrice chevronnée Macha Limonchik et sa voix envoûtante, à la vibrante musique composée et jouée par le groupe montréalais Dear Criminals et aux acrobaties aériennes d’Anthony Weiss. La réunion de ces artistes sur scène fait de la pièce un incontournable. Cette tourmente a du punch grâce notamment à la voix modulée et juste de la comédienne, aux mouvements acrobatiques spectaculaires, à la présence d’un band dont la musique électrise les textes et par l’arrivée sporadique d’une pluie sur scène. L’image globale qui s’en dégage est saisissante. Bravo à toute l’équipe qui a rendu ces textes bien vivants et qui ont su les mettre dans un environnement moderne bien de notre temps. C’est une belle surprise! Micheline Rouette, alternativerockpress.ca

En proposant une scénographie interdisciplinaire, alliant acrobaties, musique, vidéo et textes, [David Bobée] offre un spectacle contemporain dont les effets miroir approfondissent et décuplent la puissance du sujet traité : le déchirement amoureux. Le groupe Dear Criminals joue en direct une musique envoûtante et intimiste. D’emblée, le ton est donné. Le spectateur pénètre dans un espace investi de toutes parts. Magnifiques textes d’Evelyne de la Chenelière. Le jeu incarné de Macha Limonchik est troublant de vulnérabilité et de souffrance. Son visage est d’une beauté crue, déchiré de détresse, et tout son corps tente d’exulter une charge émotive pénible à supporter, dont les espoirs resteront inassouvis. Une grande solitude se dégage de ses incantations. Bobée réussit par sa scénographie à créer une œuvre achevée. La musique, omniprésente, amplifie l’aspect dramatique des textes. Les gros plans d’images parfois statiques, créent aussi une dimension poétique poignante. Et l’acrobate, tel le fantôme de l’être aimé, est stupéfiant par la force de sa présence, tout en étant inaccessible. Fil ténu entre tous les aspects des choix scéniques, c’est la force vitale de cette femme esseulée, cherchant à renaître à travers les mots, qui scellent une proposition théâtrale complexe et audacieuse. Marie-Paule Primeau, lesmeconnus.net


Dans la pièce Les lettres d’amour, la douleur créée par l’absence de l’être cher subit un traitement multidisciplinaire et épistolaire absolument captivant. Optant pour une scénographie alliant acrobaties, performances musicales, pluie (de larmes) et projections vidéo, David Bobée plonge les spectateurs au plus profond de l’âme de la femme désemparée, incarnée passionnément et intelligemment par Macha Limonchik. Si l’écriture résolument contemporaine d’Evelyne de la Chenelière jure d’abord avec le classicisme d’Ovide, elle prend tout son sens au fur et à mesure que la pièce avance, fusionnant avec l’évolution des sentiments exprimés par la protagoniste. Limonchik campe, avec une authenticité désarmante, les histoires dépeintes dans les mots savamment choisis par les auteurs. Sans changer sa voix et sa posture, elle devient concrètement la colère, la peur et la tristesse des femmes célèbres et celle mise au monde par Evelyne de la Chenelière qui, elles, symbolisent tous les types de personnalités féminines. Matérialisant les ombres fuyantes des hommes ayant pris le large, les prouesses aériennes planantes d’Anthony Weiss émeuvent. Les chorégraphies, nullement tape-à-l’œil, s’inscrivent dans la poésie crue et cruelle des textes. Les chansons hypnotisantes, interprétées sur scène par le groupe Dear Criminals, rehaussent la portée dramatique du récit même si certains titres s’étiolent inutilement. La voix à la fois douce et écorchée de Frannier Holder séduit à chaque note. Dans Les lettres d’amour, l’amour a perdu toute sa joie. Il a fait place à une haute charge de drame, parfois insoutenable tellement les émotions sont puissantes et véridiques. Marie-Claude Lessard, matTV.ca

Une œuvre coup-de-poing présentée à scène ouverte, comme si les spectateurs se trouvaient eux-mêmes au cœur de cette plaie béante laissée par le départ de l’être aimé. Macha Limonchik est superbe dans sa peine, pleurant d’un côté la disparition du père de ses enfants avant de le vouer aux gémonies, traversée par des émotions aussi cruelles que violentes. En plus de la scénographie éclatée, le groupe Dear Criminals offre une trame sonore éthérée, déchirante, tortueuse. L’ambiance musicale parfaite pour plonger dans l’abîme. Car plongeon il y aura. Dans ce qui est finalement un monologue, Limonchik puise dans son âme pour mettre ses tripes sur la table. Quelques petits accrocs empêchent toutefois de ressortir de l’Espace Go en étant pleinement satisfait. Bref, Les lettres d’amour se traînent un peu les pieds, et l’œuvre finit davantage par tenir de la lubie d’artiste que de la représentation théâtrale. Ce qui est bien dommage, d’ailleurs, puisque l’idée fondatrice est solide, tout comme la performance de Mme Limonchik. Hugo Prévost, pieuvre.ca

Les Lettres d'amour à l'Espace Go. Poignant avec les belles chansons à fleur de peau de Dear Criminals et les larmes de Macha Limonchik. Émilie Côté, La Presse (sur Twitter)


Macha Limonchik se plonge à corps perdu dans ce rôle avec une troublante authenticité. Sa prestation est à fleur de peau, touchante et passionnée. De l’amante esseulée, elle restitue toute la fragilité, le désespoir, la mélancolie et la fureur. Chaque fêlure du personnage est rendue avec une telle intensité, une telle justesse, que son interprétation nous atteint en plein cœur. Elle épouse les contours de cette âme écartelée, déracinée de l’être aimé, dont le cœur est gonflé de larmes. Et avec un texte d’Evelyne de la Chenelière, il ne pourrait en être autrement. Chaque mot est habilement pesé pour faire sens, pour coller au plus près de ce drame du quotidien. Alors quand on y ajoute des extraits des Héroïdes d’Ovide, la tragédie transcende les âges. Peu importe l’époque, le vide affectif reste le même. Macha Limonchik n’a d’ailleurs aucun mal à prêter sa voix à ces héroïnes antiques, victimes de l’absence. Pénélope, Didon, Phèdre et Ariane sont d’autres figures pour évoquer le désir, la solitude ou la douleur. Et là encore, la comédienne ne se contente pas de réciter ces lettres, elle donne vie à chaque phrase. Sur scène, Dear Criminals est un écho direct aux états d’âme de la femme blessée. Le groupe est une pièce importante de la mise en scène, car ses rythmes électro-folk dévoilent une autre facette du personnage. Quant à Anthony Weiss, ses numéros de voltige ajoutent une touche de symbolisme, car il incarne la figure de l’amant qui se dérobe sans cesse. Les lettres d’Amour est une pièce hors-norme montrant les ravages du désamour d’un homme pour sa femme. Une histoire portée par un texte d’une extrême sensibilité et un brillant mélange des genres. Thomas Campbell, mazrou.com

Laissez-vous porter par la voix de Macha Limonchik au sommet de son art! Une pièce d'une rare intensité qui vous frappera en plein cœur. Thomas Campbell, mazrou.com (sur Twitter)

Intense. C’est exactement la sensation que le spectateur peut éprouver dès les premières notes de musique. Le groupe montréalais Dear Criminals vient accompagner avec puissance l’interprétation de Macha Limonchik. Se forme alors une parfaite osmose entre la musique, la vulnérabilité et la force de l’actrice, ainsi que les prestations acrobatiques d’Anthony Weiss. Du théâtre pas du tout comme les autres, puisque cette pièce, c’est un peu une expérience immersive qui plongerait n’importe quel adepte des concerts et du théâtre dans un monde parfait où tout converge. C’est profond, émouvant, ça fait un peu mal, mais c’est épatant. De loin l’une des choses les plus bouleversantes que j’ai eu à voir cette année dans une salle sombre. Claire-Marine, Me Myself & Montréal


Une pièce époustouflante, rythmée par la musique live des Dear Criminals. Sylvie Michelon, vitaminedaily.com

Cette semaine, Métro craque pour Les lettres d’amour… La musique électronique, les acrobaties aériennes torturées et la scénographie dégoulinante renforcent la violence des lettres d’amour prononcées par une Macha Limonchik. La femme blessée est prise dans un cauchemar qui ne finit jamais, passant du déni à l’automutilation, et à la tentative d’oubli. Son désespoir fait écho à celui de milliers de femmes abandonnées depuis la nuit des temps Roxane Léouzon, Journal Métro


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Gravel le matin 14 avril 2016 Katerine Verebely : En tout cas, hier, Macha Limonchik brillait sur la scène d’ESPACE GO. Moi j’y étais. Les Lettres d’amour, c’est présenté jusqu’au 7 mai. C’est une œuvre qui pourrait être rebaptisée Chronique d’une peine d’amour. Vous savez les étapes du deuil : le choc, le déni, la colère. C’est un petit peu ça qu’on nous raconte dans cette pièce-là. Je pourrais aussi dire que c’est Histoire d’un sauvetage parce qu’au départ, c’est une comédienne française qui devait jouer le rôle-titre, Béatrice Dalle, et il y a un mois à peine elle a dit « désolé, je ne peux pas être à Montréal ». Alain Gravel : À Montréal? Elle devait être à Montréal? K.V. : Elle devait être à Montréal, je vous l’avais annoncé à ce micro. Finalement, elle a décidé qu’elle ne pouvait pas parce qu’elle avait des ennuis de santé et vraiment, il y a à peine un mois, c’est Macha Limonchik qui a récupéré ce texte. Hier, on voyait qu’il y avait quelques aménagements qui avaient été faits pour elle, pour faciliter finalement la présentation de tous ces textes-là parce qu’il y en a beaucoup. Textes d’Evelyne de la Chenelière inspirés d’Ovide et du théâtre de l’Antiquité. Vraiment, on est dans Phèdre, on est dans tout ce théâtre très classique pour raconter une peine d’amour. Alors imaginez sur scène un lit blanc, directement posé au sol. Macha Limonchik qui est là avec un artiste du cirque qui s’appelle Anthony Weiss qui ne dit pas un seul mot, mais qui représente l’homme qui n’est plus là, et tout ça c’est enrobé par la très belle musique du groupe montréalais Dear Criminals. [Extrait de la chanson du début] Et ajouté à ça de grands grands écrans pour des projections. Par moment, on avait l’impression d’être dans un vidéoclip plus que dans une pièce de théâtre. Il y a certaines petites choses qui retroussent, mais dans l’ensemble il y a beaucoup beaucoup d’émotion. Macha Limonchik qui pleure très souvent sur scène. Donc c’est vraiment une pièce qui veut exprimer cette douleur qu’on ressent quand on perd l’être cher. Il y un niveau d’intensité très très élevé tout au long de la pièce, sachez-le. On respire une fois au début de la pièce et on expire à la fin. C’est une heure vingt sans entracte avec, malheureusement, malgré tout, certaines longueurs dans cette proposition-là. Mais si vous aimez le théâtre d’un très haut niveau d’intensité, si vous aimez Macha Limonchik et si vous aimez le théâtre ancien également, ça devrait vous plaire. Les Lettres d’amour, présentées à ESPACE GO. Katerine Verebely, Gravel le matin


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Dessine-moi un dimanche 17 avril 2016 Franco Nuovo : Alors ça, il paraît que c’est extraordinaire, la lettre d’amour de Macha Limonchik… Catherine Pogonat : C’est pas de Macha Limonchik… F.N. : En fait, elle a remplacée Béatrice Dalle. C.P. : Les Lettres d’amour, oui, c’est un texte d’Evelyne de la Chenelière. C’est une coproduction France-Québec. Donc une mise en scène d’un Français, écrit par la Québécoise Evelyne de la Chenelière. Et ça devait être Béatrice Dalle dans le rôle principal, en fait l’unique rôle parce que c’est vraiment une pièce pour une femme. Et en mars dernier, Béatrice Dalle, scandale, showbiz, annonce qu’elle ne le fera pas, qu’elle ne jouera pas dans... F.N. : Elle était brûlée, elle avait quoi? Combien de représentations? C.P. : C’est ça. Qu’elle ne jouera pas à Montréal parce que pour des raisons de santé elle avait besoin de repos impérativement. Donc il fallait trouver quelqu’un pour remplacer Béatrice Dalle à très peu de temps d’avis. Et un solo comme ça, parce qu’il y a des gens qui sont sur scène avec Macha Limonchik, mais elle est la seule à parler. Donc c’est elle qui porte vraiment les mots, tous les mots de la pièce sur ses épaules. C’était pas simple de trouver quelqu’un qui allait être capable d’apprendre tout le texte en si peu de temps et de bien le rendre, bien entendu. Alors les billets étaient vendus, il fallait trouver in extremis cette personne qui a trouvé corps, âme, cœur… F.N. : Il paraît qu’elle est extraordinaire. C.P. : … en la personne de Macha Limonchik… F.N. : Notre réalisatrice l’a vue et dit que c’était… qu’elle était vraiment, vraiment remarquable. C.P. : Je me souviens quand elle a accepté de jouer dans la pièce, Macha Limonchik avait fait un statut Facebook d’angoisse et de peur au ventre et on comprend parce que de se dire bon d’un il faut que j’embarque dans les souliers de Béatrice Dalle avec les attentes que les gens avaient et le résultat est spectaculaire. Au centre de la scène, il y a un lit, et c’est tout. On est au cœur d’une chambre. Il y a cette actrice, Macha Limonchik, qui est au sommet de son art. J’ai l’impression qu’elle est vraiment là… elle a attend un niveau… elle a toujours été bonne Macha Limonchik… mais que là elle a atteint un niveau d’intériorité et de puissance inégalées. Il y a des musiciens sur le côté de la scène, c’est le groupe Dear Criminals. Il y a l’artiste de cirque Anthony Weiss et donc il y a cet univers qui est à la fois visuel, sonore, très très très émotif. Une heure vingt. Pendant une heure vingt Macha Limonchik nous dit, elle ne nous lit pas, elle nous dit les lettres d’amour qu’elle écrit à son mari, son chéri, son amour, le père de ses enfants qui l’a laissée. Donc c’est l’histoire d’une peine d’amour, comme il y en a plein. C’est une pièce de mots, parce que tout est construit autour de ces mots qui portent la rage, la peine, le désespoir, l’absolu, des fois la renaissance de l’espoir. Les mots d’Evelyne de la Chenelière, les mots d’Ovide aussi parce qu’il y a les lettres de Pénélope à Ulysse, de Phèdre à Hyppolite, d’Ariane à Thésée, de Didon à Énée. Bref, il y a toute sorte de lettres d’amour, mais tous ces mots-là sont portés


par Macha Limonchik, comme si c’était toujours les siens. Tous ces mots, de différentes époques, s’entremêlent, s’entrecroisent en une seule voix et en un seul sentiment très puissant, ce sentiment de manque absolu, et ce sentiment de manque, on le comprend. Moi j’ai pleuré, et c’est rare que je pleure au théâtre, j’ai pleuré comme, c’est une drôle de comparaison, mais comme dans la scène finale de Sean Penn dans Dead men walking, vous savez quand il pleure, il y a ces espèces de pleurs qui lui viennent, on dirait du bas du ventre tellement il a peur d’aller vers ce qui l’attend, vers la mort. C’est ce même genre de peine viscérale que transmet Macha Limonchik. C’est physique. C’est tellement physique, c’est tellement puissant, on retrouve ça aussi dans Dance in the dark avec Björk quand elle a si peur, elle est si habitée par la peur et par la peine. C’est ce même genre de peur de « j’y arriverai pas, je ne survivrai pas à cette peine d’amour-là ». Moi ça m’a renversé, c’est une performance d’actrice hallucinante. La musique y ajoute beaucoup. Il y a une trame sonore qui ajoute beaucoup d’émotion. Le côté cirque aussi, cette artiste de cirque qui se suspend, vous savez tous ces numéros suspendus à des cordes où il tournoie dans les airs… F.N. : Et il sert à quoi lui exactement? C.P. : Lui, il sert à incarner le côté charnel, parce qu’on est vraiment dans le mot, dans le mot et dans l’interprétation de ce mot-là. Lui incarne le corps, donc le côté charnel de l’amour, mais je pense que Macha Limonchik pourrait porter cette pièce-là à elle tout seule. Il pourrait y avoir juste elle au milieu de la pièce et… F.N. : C’est à l’affiche pour combien de temps encore? C.P. : C’est à l’affiche à l’ESPACE GO jusqu’au 7 mai. Il va y avoir une tournée, une tournée en France qui va se poursuivre. F.N. : Ah oui? Avec Macha Limonchik? C.P. : C’est pas précisé dans les communiqués si c’est elle qui va aller en France ou si c’est Béatrice Dalle qui va reprendre, mais j’ai l’impression que c’est Macha Limonchik qui va le porter. Mais ce que je souhaite surtout, c’est une tournée ici, que ça aille dans tous les théâtres. C’est très très très très beau, Les Lettres d’amour. F.N. : En tout cas, vous nous avez convaincus. C.P. : J’espère. Catherine Pogonat, Dessine-moi un dimanche


par Macha Limonchik, comme si c’était toujours les siens. Tous ces mots, de différentes époques, s’entremêlent, s’entrecroisent en une seule voix et en un seul sentiment très puissant, ce sentiment de manque absolu, et ce sentiment de manque, on le comprend. Moi j’ai pleuré, et c’est rare que je pleure au théâtre, j’ai pleuré comme, c’est une drôle de comparaison, mais comme dans la scène finale de Sean Penn dans Dead men walking, vous savez quand il pleure, il y a ces espèces de pleurs qui lui viennent, on dirait du bas du ventre tellement il a peur d’aller vers ce qui l’attend, vers la mort. C’est ce même genre de peine viscérale que transmet Macha Limonchik. C’est physique. C’est tellement physique, c’est tellement puissant, on retrouve ça aussi dans Dance in the dark avec Björk quand elle a si peur, elle est si habitée par la peur et par la peine. C’est ce même genre de peur de « j’y arriverai pas, je ne survivrai pas à cette peine d’amour-là ». Moi ça m’a renversé, c’est une performance d’actrice hallucinante. La musique y ajoute beaucoup. Il y a une trame sonore qui ajoute beaucoup d’émotion. Le côté cirque aussi, cette artiste de cirque qui se suspend, vous savez tous ces numéros suspendus à des cordes où il tournoie dans les airs… F.N. : Et il sert à quoi lui exactement? C.P. : Lui, il sert à incarner le côté charnel, parce qu’on est vraiment dans le mot, dans le mot et dans l’interprétation de ce mot-là. Lui incarne le corps, donc le côté charnel de l’amour, mais je pense que Macha Limonchik pourrait porter cette pièce-là à elle tout seule. Il pourrait y avoir juste elle au milieu de la pièce et… F.N. : C’est à l’affiche pour combien de temps encore? C.P. : C’est à l’affiche à l’ESPACE GO jusqu’au 7 mai. Il va y avoir une tournée, une tournée en France qui va se poursuivre. F.N. : Ah oui? Avec Macha Limonchik? C.P. : C’est pas précisé dans les communiqués si c’est elle qui va aller en France ou si c’est Béatrice Dalle qui va reprendre, mais j’ai l’impression que c’est Macha Limonchik qui va le porter. Mais ce que je souhaite surtout, c’est une tournée ici, que ça aille dans tous les théâtres. C’est très très très très beau, Les Lettres d’amour. F.N. : En tout cas, vous nous avez convaincus. C.P. : J’espère. Catherine Pogonat, Dessine-moi un dimanche


15-18 20 avril 2016

[Extrait de la pièce] Annie Desrochers : Mélanye Boissonneault, c’est tiré de la pièce Les Lettres d’amour. C’est présenté ces jours-ci à l’ESPACE GO. Mélanye Boissonneault : Oui, c’est un texte d’Evelyne de la Chenelière. D’ailleurs hier, elle était dans le hall d’entrée en train de dessiner au mur à travers tous les mots qui sont sur le mur de l’ESPACE GO. Et donc des textes d’elle, mais aussi quelques textes d’Ovide, oui, le Ovide romain de l’Antiquité. Et des thèmes qu’Evelyne de la Chenelière a déjà creusés. Ces destins de femmes, et elle a jamais peur de creuser très très loin, même dans la douleur. Et une mise en scène, une scénographie aussi, du Français David Bobée parce que c’est une coproduction entre l’ESPACE GO et le Centre Dramatique National de Haute-Normandie. Il y aura d’ailleurs tournée en France. Avec Macha Limonchik qui succède à Béatrice Dalle qui à la dernière minute s’est désistée. Il y a aussi un acrobate, Anthony Weiss aux sangles aériennes. Et ceux que vous entendiez, pour la musique, Dear Criminals, qui créent la trame sonore de ce spectacle en direct. Ils sont à un bout de la scène. Le public est de part et d’autre et au centre, on a une scène, un tapis et au centre ce lit, qui est à peu près toujours défait. Et cette femme. Et vous l’avez entendu, Macha Limonchik arrive avec son « quand tu m’as dit je ne t’aime plus, j’ai pensé quel courage », qui va revenir, comme un leitmotiv répété. Ça vient rythmer le spectacle, mais en même temps, on comprend à un moment donné que c’est cette lettre, ultime lettre, à l’être aimé qu’elle a fait et refait. Elle va en faire une centaine. Pas toutes. Il y a des fois, on fait juste esquisser un chiffre, mais à toutes les fois va un peu plus loin. Ça nous permet en fait de voir comment se fait ce deuil, cette peine d’amour est vécue comment. Des moments évidemment de colère, des moments d’abattement complet jusqu’à la fin et, entrecoupé, à travers ces lettres de cette femme, il y a donc les textes d’Ovide, par exemple la lettres de Pénélope à Ulysse qui l’attend, l’attend, l’attend et se demandant même est-ce qu’il reviendra et s’il ne revient pas et qu’il pourrait revenir, est-ce qu’il est avec une autre. Il y a aussi le texte d’Ariane à Thésée, qui se sent complètement trahie, qui dit « je t’ai aidé à sortir avec ce fil et là, voilà tu me laisses ». Didon et Énée. Je vous dirais peut-être que j’ai moins compris comment, ou pourquoi, on insérait Phèdre, la lettre de Phèdre à Hyppolite parce que c’est un amour entre beau-fils et belle-mère, donc un peu incestueux alors que dans l’histoire, on n’avait pas vraiment ça. Mais on a aussi par moment, pour faire respirer tous ces mots, les Dear Criminals. Et si vous aimez les Dear Criminals, vous allez être vraiment servi. Certains ont trouvé que c’était peut-être un peu lourd, moi je vous dirais que la seule chose que je peux peut-être formuler comme un bémol, c’est qu’on n’entend pas beaucoup les paroles. En fait, on les devine plus qu’autre chose. En même temps, ça laisse toute sa place au texte en français parce que les chansons de Dear Criminals sont en anglais. Il y a deux tableaux très forts où on fait intervenir la pluie, et à un autre moment c’est le vent, qui viennent comme faire écho, comme si les éléments répondaient à la fureur des sentiments. On sent une Macha Limonchik fragile, et en même temps intense. Il y a aussi cet acrobate, je le mentionnais, qui devient un peu comme un homme idéal. C’est l’homme aussi détesté, un peu fantomatique parce qu’avec ces sangles, il s’enroule, monte et flotte au-dessus de ce lit conjugal. Si j’ai des réticences, je


dirais, c’est vraiment une question de sensibilité personnelle, j’aurais bien aimé que cet homme-là à un moment donné parle. Ou à un moment donné, lorsqu’ils sont ensemble tous les deux sur le lit, ils ne se touchent pas vraiment, ce qui fait qu’on n’a pas l’impression que c’est l’amant qui vient de la laisser. C’est vraiment une figure fantomatique esquissé. Ça rappelle aussi comme projet, pour ceux qui l’auront vu, Douleur exquise à partir de Sophie Calle qui avait été mis en scène par Brigitte Haentjens avec Anne-Marie Cadieux qui faisait justement toutes ces lettres à un être aimé qui avait laissé la femme. En même temps, ça donne un résultat, c’est la beauté de l’art, ça donne un résultat complètement différent et ça permet de voir, en fait de moduler la douleur. Les gens qui étaient là hier étaient très heureux, une foule vraiment très enthousiaste. Ce n’était pas un soir de première, j’ai envie de dire donc que ce n’était pas un public gagné d’avance. Mais si ça vous intéresse, une proposition, Les Lettres d’amour. D’ailleurs Evelyne de la Chenelière, qui est en résidence à ESPACE GO. Mélanye Boissonneault, 15-18


LES LETTRES D’AMOUR --Médias sociaux (échantillon)


TWITTER Rentrée Luc Chauvette @ESPACEGO 11 août Ne manquez pas la talentueuse Céline Bonnier ce soir à @Penelopemcquade! La comédienne sera de retour sur nos planches en janvier prochain! Luc Chauvette @ESPACEGO 11 août Tout le monde travail fort afin d'être prêt pour demain, à l'occasion du dévoilement officiel de la saison 2015‐2016 d'ESPACE GO! CulturelQc @CulturelQc 12 août Une saison nommée désir http://ift.tt/1UCaj8I Fonds de Tiroirs @Tftiroirs 12 août Lancement de saison de GO hier: Five Kings en octobre. Vous le saviez mais l'occasion est belle pour redire que... http://fb.me/7qPyftcoQ Luc Chauvette @ESPACEGO 12 août La saison 15‐16 est lancée! @MoniaChokri , Céline Bonnier, Béatrice Dalle sont à l'affiche, plus 6 autres spectacles! http://espacego.com Théâtre PÀP @theatrepap 12 août #AN38 s'ouvre avec FIVE KINGS ‐ L'HISTOIRE DE NOTRE CHUTE du 20 octobre au 8 novembre 2015 @ESPACEGO #projetfk http://bit.ly/FKings Théâtre PÀP @theatrepap 12 août #AN38 se poursuit avec SAINT‐ANDRÉ‐DE‐L'ÉPOUVANTE du 18 février au 12 mars 2016 @espacego http://bit.ly/StAndre #AndreEpouvante JEU Revue de théâtre @revue_jeu 12 août Espace GO dévoile sa saison 2015‐2016 | Revue JEU http://www.revuejeu.org/nouvelles/anonyme/espace‐go‐devoile‐sa‐saison‐2015‐2016 … Théâtre PÀP @theatrepap 12 août L'#AN38 se terminera avec RÉVOLUTION À LAVAL, du 29 mars au 9 avril 2016 dans la salle 2 d'@espacego #RevoLaval http://bit.ly/RevoLaval Julien Silvestre @juliensilvestre 12 août ESPACE GO : une saison nommée désir. http://goo.gl/Uum8oq via @LeDevoir Journal Voir @voir 12 août La saison 2015‐2016 d'Espace GO est dévoilée http://voir.ca/nouvelles/2015/08/12/la‐saison‐ 2015‐2016‐despace‐go‐est‐devoilee/ …


Danacaster @danacaster 12 août Novembre #espacego https://instagram.com/p/6TCP6gLSJa/ Daniel Meyer @MeyerD 12 août Bientôt viendra le temps un nouveau cycle @Theatre_Opsis à ne pas manquer sûrement @ESPACEGO http://theatreopsis.org/fr/index.php/portfolio/bientot‐viendra‐le‐ temps/?fb_action_ids=10153214350508425&fb_action_types=og.likes … Métro Montréal @metromontreal 13 août Une saison nommée désir @ESPACEGO http://bit.ly/1P7WJGz Monia Chokri @MoniaChokri 13 août Je serai seule en scène dans Peepshow de la merveilleuse Marie Brassard du 15 sept. au 10 oct. À Espace Go http://espacego.com/saison2015‐2016/saison‐2015‐2016‐ Infos Comms & Web @Isarta_Infos 13 août Saison 2015‐2016 d’ESPACE GO (@ESPACEGO) : Le désir à nu dépeint au grand jour par Cossette (@COSSETTEfr): http://isarta.com/infos/?p=21356 Arnaud Granata @arnaudgranata 13 août L’Espace Go présente sa nouvelle saison sous le thème du «désir à nu» ‐ Infopresse http://www.infopresse.com/article/2015/8/13/l‐espace‐go‐presente‐sa‐nouvelle‐saison‐sous‐ le‐theme‐du‐desir‐a‐nu … CulturelQc @CulturelQc 13 août Espace Go 2015‐2016: la saison de tous les désirs ‐ Le Huffington Post Quebec http://ift.tt/1INUpRo Vitrine culturelle @la_vitrine 13 août Nouvelle programmation sous le thème du désir pour l'@ESPACEGO! Via @metromontreal => http://bit.ly/1Txs5aW Grenier nouvelles @Grenier_enbref 13 août Nouvelle campagne d'affichage par @COSSETTEfr pour la saison 2015‐2016 d' @ESPACEGO: http://bit.ly/1JVYwiz COSSETTE @COSSETTEfr 13 août Nouvelle campagne d'affichage signée Cossette pour la saison 2015‐2016 de @ESPACEGO: http://www.infopresse.com/article/2015/8/13/l‐espace‐go‐presente‐sa‐nouvelle‐saison‐sous‐ le‐theme‐du‐desir‐a‐nu … Christian Lalumière @ChrisLalumiere 13 août @COSSETTEfr @ESPACEGO Je capote! C'est tellement beau (comme toujours)! WOW! François‐Xavier @FXIDK 14 août VOIR.CA La saison 2015‐2016 d'Espace GO est dévoilée VOIR.CA Traversée par des œuvres de Marie Brassard et… http://dlvr.it/BrRj3K


Mario Tremblay @mtremblay2010 15 août @LLatraverse ...j'y serai! Texte d'Archibald et vous à l'affiche! Go...à l'Espace GO! La Presse Arts @LP_Arts 15 août Espace Go: 35 ans de désir http://bit.ly/1TFP74L Sylvie Quenneville @SylQuenneville 15 août Bravo à Ginette pour cette fidèle passion! @ESPACEGO / THÉÂTRE ‐ Espace Go, 35 ans de désir #lapresseplus http://plus.lapresse.ca/screens/0a83e787‐866b‐4a82‐9ac9‐ a4c7de27cc7d%7C_0.html … Winston McQuade @winurbain 15 août La maison THÉÂTRE rêvée ‐ Espace Go, 35 ans de désir #lapresseplus #GinetteNoiseux http://ln.is/plus.lapresse.ca/scr/H6fy4 … Eric Heze @EricHeze 16 août D'excellentes affiches ! J'ai été transi lorsque j'avais vu celui de Dalle. L'avoir à Montreal est, pour moi, une... http://fb.me/4nlDpD9UR atuvu.ca @atuvu_ca 18 août atuvu.ca, le journal est sorti de presse! http://paper.li/atuvu_ca/1327729632?edition_id=12b41c40‐4597‐11e5‐b7c2‐0cc47a0d164b … Les unes d'aujourd'hui via @CamilleDg @ESPACEGO @Patwhitecom Daniel Meyer @MeyerD 20 août 35 ans de désir @ESPACEGO via @MarioCloutierD @LP_Arts http://www.lapresse.ca/arts/spectacles‐et‐theatre/theatre/201508/14/01‐4892751‐espace‐go‐ 35‐ans‐de‐desir.php … #culture #theatre david gutnick @davidgutnick 21 août A voir a Montreal des le 15 septembre: Peep Show @MoniaChokri #theatre @espacego yann @yewan75 24 août Béatrice Dalle dans les lettres d'amour d'Ovide en avril 2016 à espace Go à Montréal mes David Bobee Graphisme_CSF @Graphisme_CSF 27 août Le Cookbook, Adobe Preview CC… enfin. La Nouvelle‐Zélande change de drapeau, Campagne pub de l’Espace GO http://bit.ly/aV3btI Patrice Lavoie @patricelavoie_ 28 août Wow! Superbes affiches pour la saison 2015‐2016 de l'@ESPACEGO. You had me at... @MoniaChokri ;) Valérie Blondeau @v_Manouche 29 août Énorme programmation 2015‐16 @ESPACEGO & superbes affiches #MoniaChokri #CélineBonnier #BéatriceDalle


Mélina Kéloufi @Ameriquebecoise 12 sept. Espace Go : 35 ans de désir http://www.lapresse.ca/arts/spectacles‐et‐ theatre/theatre/201508/14/01‐4892751‐espace‐go‐35‐ans‐de‐desir.php … (avec de nombreuses théâtrices) #Théâtre #Quebec Médium Large @RC_ML 17 sept. Entrevue avec Ginette Noiseux, directrice artistique et générale du théâtre @ESPACEGO => http://espacego.com/ Médium Large @RC_ML 17 sept. Ginette Noiseux et la part des femmes au théâtre => http://ici.radio‐ canada.ca/emissions/medium_large/2015‐2016/chronique.asp?idChronique=383473 … @ESPACEGO #théâtre Julien Silvestre @juliensilvestre 17 sept. À Médium Large ce matin: Ginette Noiseux directrice d'@espacego, et la place des femmes au théâtre http://ici.radio‐canada.ca/emissions/medium_large/2015‐ 2016/archives.asp?date=2015/09/17&indTime=2460&idmedia=7344037 …


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Les Lettres d’amour Luc Boulanger @lucboulanger2 8 mars #BéatriceDalle annule sa présence à Montréal. #EspaceGO http://www.lapresse.ca/arts/spectacles-ettheatre/theatre/201603/08/01-4958358-beatrice-dalle-annule-sa-presence-a-montreal.php … via @lp_lapresse JEU Revue de théâtre @revue_jeu 8 mars Béatrice Dalle ne jouera pas Les Lettres d'amour à Espace GO | Revue JEU http://www.revuejeu.org/nouvelles/anonyme/beatrice-dalle-ne-jouera-pas-les-lettres-damour-a-espace-go … GRIS-Montréal @GRISmontreal 9 mars Félicitations à notre pte-parole Macha Limonchik pr son rôle ds la pièce Lettres d'amour! @ESPACEGO #lettresdamour MonTheatre @montheatre 15 mars Mise à jour de l'affiche pour "Les lettres d'amour" (@ESPACEGO) fiche de la pièce : http://bit.ly/1RkGFkg Médium Large @RC_ML 7 avr. «Je n’ai jamais eu une vraie peine d’amour» Macha Limonchik a fait appel à son imagination pour Les lettres d’amour http://espacego.com/saison-2015-2016-2/les-lettres-damour/ … Médium Large @RC_ML 7 avr. C'est quoi une peine d'amour? Macha Limonchik & @DavidBobee donnent leur définition=> http://ici.radio-canada.ca/emissions/medium_large/20152016/chronique.asp?idChronique=403012 … #lettresdamour @ESPACEGO ESPACE GO @ESPACEGO 7 avr. Les lettres d'amour : un spectacle multidisciplinaire de David Bobée et d'Evelyne de la Chenelière | Médium large http://ici.radio-canada.ca/emissions/medium_large/20152016/chronique.asp? Plateau @PlateauCom 7 avr. RT @ESPACEGO: Les lettres d'amour: spectacle multidisciplinaire de David Bobée et Évelyne de la Chenelière http://ici.radio-canada.ca/emissions/medium_large/20152016/chronique.asp?idChronique=403012 … ENT @ENTduCanada 8 avr. «Les lettres d'amour» avec Macha Limonchik, décor par Max-Otto Fauteux, costumes par Ginette Noiseux - 12 avril au 7 mai @ESPACEGO


Elisabeth Locas @elisabethlocas 13 avr. Elisabeth Locas a retweeté Médium Large Conquise par Les lettres d'amour @ESPACEGO avec la vibrante Macha Limonchik. C'est pour ça, que j'adore le théâtre. Arianne Caron @Arianne_CP 13 avr. Magnifique affiche pour «Lettres d'amour». C'est wow! @ESPACEGO @COSSETTEfr Bible urbaine @Bibleurbaine 13 avr. «Lettres d’amour» avec Evelyne de la Chenelière à @ESPACEGO jusqu'au 7 mai | http://www.labibleurbaine.com/theatre/lettres-damour-a-espace-go-du-12-avril-au-7-mai2016/ … Clémence Rampillon @clemenceRmp 14 avr. Première de "Les lettres d'amour", collaboration de @ESPACEGO et du CDN Haute-Normandie avec le soutien @FranceQC Catherine Feuillet @CGFeuillet 14 avr. À l'@ESPACEGO pour "Les lettres d'amour" d'Evelyne de la Chenelière : #théâtre & #culture à #Montréal co-prod Sylvie Michelon @Sylvie_Michelon 14 avr. Les lettres d'amour à @ESPACEGO, du théâtre comme on l'aime qui nous emmène un peu plus haut, un peu plus loin. Laurier Rajotte @laurierrajotte 14 avr. Brillante Macha Limonchik à @ESPACEGO #sauverleshow & magnifique musique des @dearcriminals #leslettresdamour PieuvrePointCa @pieuvrepointca 14 avr. Les lettres d'amour, le grand cri dans la nuit - http://bit.ly/1p1R3q1 Pieuvre.ca #Culturel @ESPACEGO MonTheatre @montheatre 14 avr. à lire: critique de "Les lettres d'amour" (@ESPACEGO) http://bit.ly/20Fjzfd #critiquetheatre Alice Côté Dupuis @alice_cdupuis 15 avr. #LesLettresDamour @ESPACEGO : Le souffle coupé devant tant de perfection... auditive (@dearcriminals) et dans le jeu de #MachaLimonchik WOW! Alice Côté Dupuis @alice_cdupuis 15 avr. 140 caractères ne sont pas suffisants pour décrire la beauté de #LesLettresDamour d'Evelyne de la Chenelière + Ovide @ESPACEGO m.e.s superbe Sors-tu.ca @sorstu_ca 15 avr. Les Lettres d'amour à @EspaceGO : Magistral ! Critique : http://www.sorstu.ca/les-lettresdamour-a-lespace-go-magistral/ …


Le Verbe_théâtre @LeVerbeTheatre 15 avr. #critiquetheatre @ESPACEGO Les Lettres d’amour : Variations sur le même thème | @revue_jeu http://www.revuejeu.org/critiques/samuel-pradier/les-lettres-d-amourvariations-sur-le-meme-theme … Le Verbe_théâtre @LeVerbeTheatre 15 avr. #critiquetheatre @ESPACEGO - Ne nous quittez pas! http://www.ledevoir.com/culture/theatre/468276/theatre-ne-nous-quittez-pas … via @LeDevoir MatTv.ca @MatTvWebzine 15 avr. @Lessard_MarieC a assisté à la pièce «Les lettres d'amour» à l'@ESPACEGO. Voici son compte rendu. http://www.mattv.ca/les-lettres-damour-a-lespace-go/ … Èric Viladrich @ericviladrich 16 avr. Merci, @EDarier! #LettresdAmour @ESPACEGO Les Méconnus @LesMeconnus 16 avr. « Les lettres d’amour » à l'@ESPACEGO: les mots pour te dire http://lesmeconnus.net/leslettres-damour-les-mots-pour-te-dire/ … Émilie Côté @emicote 16 avr. Lettres d'amour à l'Espace Go. Poignant avec les belles chansons à fleur de peau de Dear Criminals et les larmes de Macha Limonchik. Camille Cloutier @camillecloutier 17 avr. Magnifique Macha Limonchik dans Les Lettres D'amour. Merci @ESPACEGO pour ce beau moment. De toute beauté. Catherine Pogonat @catpogonat 17 avr. "Je t'écris à voix haute au cas où tu ne me lirais pas" Troublantes Lettres d'amour à voir impérativement @ESPACEGO Dessinemoiundimanche @dessinemoi 17 avr. .@catpogonat a vu la «très très très belle pièce» Les lettres d’amour d'Evelyne de la Chenelière à l'@ESPACEGO. Bible urbaine @Bibleurbaine 17 avr. Ces «Lettres d’amour» qui font trembler l’@ESPACEGO: la purgation des passions | http://www.labibleurbaine.com/theatre/ces-lettres-damour-qui-font-trembler-lespace-go/ … Dessinemoiundimanche @dessinemoi 17 avr. [CHRONIQUE] Écoutez la critique de @catpogonat sur la pièce Les lettres d'amour d'Evelyne de la Chenelière.@ESPACEGO ActusCulture @Actus_Culture 17 avr. Ces «Lettres d'amour» qui font trembler l'ESPACE GO http://ift.tt/1U0930Z #culture


La France à Montréal @FranceaMontreal 18 avr. L'amour vous bouleverse ? #leslettresdamour & @dearcriminals présents @ESPACEGO chambouleront votre soirée à #MTL Nancy Lachance @Miss_Farley 19 avr. Hâte de retrouver la merveilleuse Macha Limonchik ds #Lettres d'amour d'Evelyne de la Chenelière & Ovide @ESPACEGO Publicité Sauvage @PubSauvage 19 avr. -AMOUR- ce soir nous sommes à la représentation de Les lettres d'amour à l'ESPACE GO #theatre… https://www.instagram.com/p/BEZkIzXPkv2/ Hugo Roberge @hugoroberge 20 avr. Il faut aller voir Lettres d'amour avec @dearcriminals et Macha Limonchik @ESPACEGO bravo! Sylvie Michelon @Sylvie_Michelon 20 avr. Les lettres d’amour à l’ESPACE GO... https://shar.es/1jDPhI Mireille Lacroix @MLacroixDGQP 20 avr. Mireille Lacroix a retweeté Vingtième Théâtre @Quebec_FR Actuellement, succès critique pour De la Chenelièreà Paris et à @ESPACEGO Mtl avec @DavidBobee . Bravo! ESPACE GO @ESPACEGO 20 avr. La bande-annonce des LETTRES D'AMOUR Lynda @Galyee77 21 avr. Magnifique Macha Limonchik dans Les lettres d'amour @ESPACEGO. À voir! ESPACE GO @ESPACEGO 21 avr. LES LETTRES D'AMOUR reçoivent de bons commentaires critiques! Geneviève Pineault @GPineault 22 avr. Jour 2 de mon marathon théâtral, 3e spectacle "Les lettres d'amour @ESPACEGO. Hier, Nuit de la patate @grosbecs + Plywood @espacelibre1 Yoann Rouvray @Yoann_Rouvray 23 avr. #LesLettresDAmour #EspaceGo #MachaLimonchik #AnthonyWeiss Geneviève Pineault @GPineault 23 avr. @ESPACEGO @dearcriminals Merci, Merci, mille fois merci! CarolinePernelle @Caro866 23 avr. Les lettres d'amour espacego : show à la fois théâtral, musical et acrobatique pour illustrer la… https://www.instagram.com/p/BEhn_Kdtmmz/


Yoann Rouvray @Yoann_Rouvray 23 avr. Yoann Rouvray a retweeté Le Devoir Quand tu m'as dit "Je ne t'aime plus", j'ai pensé "Quel courage"... @dearcriminals @DavidBobee @ESPACEGO #Ovide Nancy Lachance @Miss_Farley 23 avr. Les Lettres d'amour d'E. de la Chenelière sont magnifiques. Limonchik est époustouflante, Weiss génial & @dearcriminals parfaits! @ESPACEGO L.Moussakova @LM_ArtsSciences 23 avr. L.Moussakova a retweeté ESPACE GO Magnifique Macha #Limonchik en " tunique trempée de larmes" cherchant avec brio la "Note de l'Existence"! @ESPACEGO La Salamandre - CnC @salamandreCnC 26 avr. LES LETTRES D'AMOUR à ESPACE GO http://bit.ly/1rxdNk4 Cm Beha @Mynamescm_ 27 avr. Cette pièce de théâtre sublime que j'ai vu à l'@ESPACEGO à lire ici : http://memyselfandmontreal.com/2016/04/20/les-eternelles-lettres-damour/ … #LesLettresDamour @dearcriminals Valérie Blondeau @v_Manouche 30 avr. Fantastique Macha Limonchik dans LES LETTRES D'AMOUR avec A.Weiss, @dearcriminals extraordinaire mise en scène @DavidBobee courez @ESPACEGO MCOMPLÈTEMENTCiRQUE @mtlccirque 4 mai Jusqu'à samedi! Les Lettres d'amour @ESPACEGO, 3raisons & +: David Bobee, Evelyne de la Chenilière & @dearcriminals https://www.facebook.com/44415519957/videos/10153707410204958/ …



















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