tract manif services publics 70/02/13

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Bogaert e r t o n à e h c u o t s a p ! e l l i u e f e port nnaires contre io ct n fo s e d s . Les nt les action d’État Bogaert e ir Le PTB soutie ta é cr se le crise, ni rises par les mesures p onsables de la sp re s a p t x n ne so vous, mais au à s a p fonctionnaires st ’e n e goule budget. C néfices que le é b du trou dans s e d u a ve u nt à no facture. banques qui fo it présenter la o d o ro C e D & Rupo vernement Di

Pas touche à la prime de compétence (de 100 à 200 euros par mois pour un fonctionnaire à plein temps). Non à la suppression des formations certifiées. Non aux primes basées sur les prestations et octroyées après évaluation individuelle par les supérieurs directs. Non à l’abolition des primes pour les prestations irrégulières. Non à la flexibilité. Non au passage aux 38 heures pour le personnel des prisons.

uche au o t s a p , t r e a g Bo aires ! nn io t c n o f s e statut d Si on ne met pas fin à ces attaques, d’autres viendront, puis d’autres encore. Di Rupo & De Croo cherchent toujours 2 fois 5 milliards d’euros. Et devinez dans les poches de qui ils vont les chercher ? Bogaert s’en prend à présent au statut des fonctionnaires : • Primo, il veut un statut unique, mais plutôt que de convertir les fonctionnaires contractuels en fonctionnaires statutaires il propose que tous deviennent à terme des contractuels. En effet, il est plus facile de mettre la pression sur un contractuel, il est aussi plus simple de le licencier et il bénéficie d’un régime de pension moins avantageux.

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Nous avons donné ! t n e m m a is f f su quand ? ça s’arrêtera Toutes ces mesures d’économie viennent s’ajouter aux mesures déjà prises : • travailler plus longtemps • calcul plus désavantageux des pensions (sur les dix dernières années de carrière et non plus les cinq dernières) • forte limitation des interruptions de carrière • L’accord pour l’augmentation de la prime de fin d’année doit encore être appliqué

• Secundo, la « nouvelle carrière » qu’il propose n’offre aucune amélioration, que ce soit pour les statutaires ou les contractuels. • Tertio, Bogaert enterre les services publics encore un peu plus en refusant de remplacer un fonctionnaire sur trois. Ce qui nuit gravement à la qualité des services rendus à la population. Tout cela n’a rien à voir avec une soi-disant modernisation de la fonction. Le gouvernement prétend aussi vouloir « combattre la fraude fiscale ». Or en six ans, 4532 emplois ont été supprimés au SPF Finances. Et au cours des trois prochaines années, 5000 nouvelles suppressions d’emplois sont prévues. Qui va lutter contre la fraude ? Un programme informatique ?


Pourquoi les services publics sont-ils dans le collimateur ? Il y a bien plus en jeu. Au-delà des attaques contre le statut, les primes, les pensions, etc. c’est aux services publics en général que l’on s’en prend. Les organisations patronales, FEB, Voka et UWE imposent leurs dictats avec énormément d’agressivité et sont de plus en plus suivies par les partis traditionnels. Ils cherchent à se débarrasser d’une communauté sociale où l’argent des impôts sert à la collectivité, et notamment à payer et développer l’enseignement, les soins de santé, les transports en commun. Ils aspirent à une société hyper-individualiste, une société où chacun doit se débrouiller seul comme aux États-Unis, sans syndicats, sans défense collective. Le fait que de plus en plus de familles paient de leurs poches ne leur pose aucun problème. Pas plus que le fait que les plus faibles soient régulièrement abandonnés tandis que les plus riches continuent de faire ce qu’ils veulent.

Les services publics : plus que jamais une nécessité ! Chacun sait que rogner sur les services publics ne fait qu’aggraver la crise. Une crise qui rend plus que jamais nécessaire le maintien des services publics pour tous les citoyens. Des transports en commun pour ceux et celles qui ne parviennent plus à payer leur voiture ou leur essence. Une aide de l’État pour ceux et celles qui ont perdu leur emploi dans le secteur privé. Des crèches, des écoles et des professeurs pour nos enfants et nos jeunes. Des maisons de repos, des résidences-services abordables, des hôpitaux publics pour les anciens. Et plutôt que de s’intéresser à ces besoins sociaux, nos partis traditionnels obéissent au doigt et à l’œil aux patrons et super riches. Les 50 entreprises les plus rentables paient moins de 2% d’impôts. Les millionnaires ne paient pas un centime sur leur fortune.

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s La taxe des millionnaire pour une société à taille humaine. Plutôt que d’aller chercher l’argent chez ceux qui ont déjà donné, le PTB veut aller chercher l’argent chez ceux qui n’ont encore jamais contribué et s’enrichissent sans rien faire en investissant en bourse, c.-à-d. les millionnaires, les spéculateurs et les grands actionnaires. Le PTB propose une taxe des millionnaires de l’ordre d’un pour cent visant tous ceux dont la fortune s’élève à 1 million ou plus (habitation personnelle non comprise). Seuls 2% des familles belges les plus riches sont concernées. Ce qui rapporterait 8 milliards d’euros que le parti réinvestira dans le développement d’une société à taille humaine, avec plus d’emplois publics et un renforcement de la sécurité sociale.

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