PAULERICSCHIRRBONNANS by Paul-Eric schirr-bonnans

PAUL-ERIC SCHIRR-BONNANS ARCHITECTE A: 2 AVENUE BARTHOU 35000 RENNES T: 02 99 14 94 25 M:06 82 29 31 53 E: CONTACT@PAULERICSCHIRRBONNANS.COM W: WWW.PAULERICSCHIRRBONNANS.COM

PAUL-ERIC SCHIRR-BONNANS ARCHITECTE Laureat 2013 DU CONCOURS POUR La Cité DE LA REALITE VIRTUELLE , LAVAL Laureat 2012 PRIX ARCHITECTURE BRETAGNE , CATEGORIE REHABILITER Laureat 2012 Du CONCOURS POUR LE CENTRE DE VALORISATION DES VIEILLES CHARRUES, CARHAIX Laureat 2011 PRIX EVOLO SKYSCRAPER COMPETITION, 2IEME PRIX

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SELECTION DE TRAVAUX

TRAVAILLER HABITER EXPOSER CONTEMPLER AMENAGER

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TRAVAILLER LIEUX DE TRAVAIL & D’ENSEIGNEMENT

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LAVAL VIRTUAL

Laureat

CENTRE DE LA REALITE VIRTUELLE, LAVAL (53)

Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission:

LAVAL/2012 PAUL-ERIC SCHIRR-BONNANS ARCHITECTE AVEC MUOTO ARCHITECTES (MANDATAIRES) 12 000 000 € HT/ 7 200 M2 SHON REGION PAYS DE LOIRE CONCOURS RESTREINT 2012 / LAUREAT 2013

Cahier des charges Identité visuelle: le flagship. La cité virtuelle et la salle de spectacle sont des programmes idenditaires de la ville, du département, de la région.Ces objets posséderont une visibilité forte, sur une entrée de ville qu’ils contribuent à redéfinir.

La cité virtuelle sera en conséquence comme un ”Flagship”, un porte-drapeau à la visibilité régionale. Des architectures qui communiquent:Les deux équipements sont en étroite relation d’usage, la cité virtuelle réalisant ses expositions et conférences dans la salle de spectacle,

les spectacles renvoyant vers les activités et expositions de la cité virtuelle.Cette réalité se traduit dans les logiques d’implantation, de programmation et de conception : les bâtiments se côtoient ,échangent,communiquent,autr ement dit s’imbriquent et partagent un espace d’échange,se déforment ou s’harmonisent mu-

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LIVRAISON 2016

tuellement. Une cohérence de conception : une histoire commune. La cohérence de l’identité visuelle est obtenue, non pas par des choix esthétiques extérieurs, mais par la règle du jeu donnée aux concepteurs par les enveloppes capables.

Les enveloppes capables: Les implantations sont données dans les 3 dimensions et forment des enveloppes capables à l’intérieur desquelles les bâtiments seront déterminés. Les surfaces au sol et les surfaces aériennes sont données pour chaque programme.

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CADRAGES PERIPHERIQUES IMMEUBLE DE BUREAUx-ATELIERS, RENNES (35) Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission: Equipe:

RENNES / 2012 PAUL-ERIC SCHIRR-BONNANS ARCHITECTE 1 400 000 € HT/ 806 M2 S.P. PriVE ESQUISSE JOAKIM LEBRUN

CONTRAINTES

469 M2 CONTRAINTES

94 M2

328 M2

TERRAIN SUPERFICIE : 469 M2

BATI COEF. D'EMPRISE AU SOL : 70% MAX SOIT : 328 M2

469 M2

ESPACE LIBRE COEF. D'EMPRISE AU SOL :20 % MINI SOIT : 94 M2

94 M2

328 M2 16.50

TERRAIN SUPERFICIE : 469 M2

BATI COEF. D'EMPRISE AU SOL : 70% MAX SOIT : 328 M2

ALIGNEMENT

ESPACE LIBRE COEF. D'EMPRISE AU SOL :20 % MINI SOIT : 94 M2

LIMIT

16.50

OBLIGATION D'ALIGNEMENT

E DE

PALE

INCI

E PR

BAND

BANDE DE CONSTRUCTIBILITE PRINCIPALE: 16.5M AU DELA DES VOIES

LIMITES LATERALES :RETRAIT MINIMUM DE 4 M POUR BAIES PRINCIPALES

16.50

ALIGNEMENT

LIMIT

16.50

OBLIGATION D'ALIGNEMENT

E DE

PALE

INCI

E PR

BAND

BANDE DE CONSTRUCTIBILITE PRINCIPALE: 16.5M AU DELA DES VOIES

PROPOSITION 227 M2

PROPOSITION E DE

LIMIT

BAND

E PR

E DE

BAND

E PR

PALE

102 M2

227 M2

102 M2

ACCES PIETONS

NOYAU DE CIRCULATION

ACTIVITES

PALE

INCI

E PR

BAND

POUBELLES

ACCES VEHICULES LIBRE CIRCULATION AUTOUR DU BATI

JARDIN

8.00

BUREAUX

E DE LIMIT

227 M2

JARDIN

INCI

OBLIGATION D'ALIGNEMENT

227 M2

LIMITES LATERALES :RETRAIT MINIMUM DE 4 M POUR BAIES PRINCIPALES

PALE

NOYAU DE CIRCULATION

LIMIT

RETRAIT

INCI

OBLIGATION D'ALIGNEMENT

227 M2

RETRAIT

ACCES PIETONS DISSOCIATION DES ACCES

STATIONNEMENTS ET RETOURNEMENT DES VEHICULES ACTIVITES

E DE LIMIT

PALE

INCI

PR NDE

POUBELLES

ACCES VEHICULES

pinière d’entreprise, la typologie pavillonnaire et artisanale se La rue de Redon à Rennes est en du bâtiment est dédié à l’accueil prépare pleine effervescence, proche de AUTOUR LIBRE CIRCULATION DU BATI a cette arrivé. Le projet DISSOCIATION DES ACCES d’activités de bureau en opense veut annonciateur de ce futur l’ancien centre France Télécom, space. Chacun des niveaux est proche, en prolongement la pôle a initié son renouvellement. De aménager en plateau autour de quartier commerçant au nouvelles constructions appad’un noyau central. rez-de chaussée et implantant raissent. La ligne 2 du métro Situé à l’angle de deux rues, un immeuble de bureau-atelier va s’y installé d’ici quelques anl’emprise retenue permet de désur quatre niveaux. Tel une pénées. Le quartier, avec son tissu

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8.00

BUREAUX

227 M2

P gager des vues à 360°. Détaché des STATIONNEMENTS limites latérales, l’espace ET RETOURNEMENT DES VEHICULES libre accueille à la fois la circulation des véhicules et l’implanation d’un espace paysagé .

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HABITER LOGEMENTS COLLECTIFS LOGEMENTS GROUPES LOGEMENTS INDIVIDUELS

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ECLECTISME EN BANDE

PROJET CLASSE 2IEME

CONCOURS POUR 62 LOGEMENTS , RENNES (35)

Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission:

RENNES/2011 MUOTO ARCHITECTES (MANDATAIRES) & PAUL-ERIC SCHIRR-BONNANS ARCHITECTE 5 880 000 € HT/ 4700 M2 SHON ARCHIPEL OPH DE RENNES & COOP HABITAT CONCOURS RESTREINT, 2iEME PRIX

Notre parti urbain repose sur la volonté de répondre aussi précisement que possible à une double condition, à une situation d’angle qui permet la rencontre de deux identités urbaines aussi singulière l’une que l’autre. Un front horizontal bati

le long de la très passante route de Lorient s’articule avec une ligne discontinue et crénelée qui s’étire le long de la voie secondaire. En plan masse, le projet se dessine comme un ensemble de 3 bandes bâties reliés entre elles par un

jardin en coeur de parcelle et une voie piétonne en prolongement de la ruelle située à l’arrière. Ces deux bandes non-bâties apportent des respirations visuelles à l’échelle du quartier et s’inscrivent dans des continuités paysagères lisibles à plus

grande échelle. Architecturalement, les trois bandes correspondent aux trois programmes de logements sociaux, en accession libre, et accession aidée. Une écriture homogène est appliquée aux différents bâtiments dans un souci

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de distinger les entités sans les hiérarchiser. Le gabarit des constructions est volontairement compact. L’écriture de façade en trame visible cadrant sur les espaces extérieurs se veut porteuse de valeurs pérennes exprimant une nouvelle modernité

insistant sur la rigueur de la construction, l’ouverture, la générosité et le confort.

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HABITONS LA NAPPE PAYSAGERE

CONCOURS D’uRBANISME POUR LA CONSTRUCTION DE 550 LOGEMENTS , GENEVE (CH) Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission: Equipe:

GENEVE / 2013 PAUL-ERIC SCHIRR-BONNANS ARCHITECTE 550 LOGMENTS SCHG CONCOURS EUROPEEN OUVERT JOAKIM LEBRUN

VERTICALITÉ ET HORIZONTALITÉ: Le site de VieusseuxVillars-Franchises possède de grandes qualités paysagères, un incroyable potentiel d’espaces disponibles et un ensemble construit dessinant une urbaine fortement identifiable. Deux directions caractérisent ce lieu : l’horizontalité et la verticalité.

Tandis que les formes urbaines en présence font l’éloge de la vie verticale, de vastes pelouses, ponctuées de grands arbres dans un relief accidenté, offrent de grands vides horizontaux entre les bâtiments. Pour nous, habiter ici sera simplement se loger dans ce paysage, tel qu’il est. OCCUPER LE SOL : L’hori-

zontalité est la direction qui nous convainc. L’implantation horizontale fera corps avec la topographie tout en l’épousant. Elle autorisera la création d’un contour urbain clarifié souligné par les alignements d’arbres existants. Elle exploitera au maximum le précieux sol tout en réduisant les vides résiduels.

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Elle laissera l’habitant s’approprier le sol et le réinvestir tel qu’il le souhaite. NAPPE HABITÉE: Nous proposons une nappe construite qui se propage pour dessiner les limites du quartier à clarifier. Une typologie quasi-unique d’habitat groupé en R+2 est proposée. Nous offrons le niveau

rez de chaussée aux habitants pour faire éclore une diversité du végétale. Il en résulte un jeu de pleins et de vides riche créant de véritables cours. Un habitat, qui dans son encloisonnement partiel, crée une multitude de cités au sens propre du terme. RÉSEAU VIAIRE: Sous la forme d’une trame générique,

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nous orientons le bâti, non pas vers le lac ou la montagne, mais le soleil. Ainsi perpendiculairement à l’existant nous créons un réseau de venelles irrigant le site de passage piétons. Les rues existantes sont conservées et prolongées.Elles seront dédiés principales aux mobilités douces. Des contre-allées sont

proposées pour fluidifier l’accès périphérique aux stationnements de voitures existants. TYPOLOGIE:Ce type d’habitat groupé visent à intégréer ou réintégrer des notions de confort. Les appartements sont tous traversants. De longues loggias filantes offrent de larges espaces appropriables. Les jardins

sont investis. EQUIPEMENTS PUBLICS: Au nord-ouest nous proposons de concentrer tous les équipements autour de l’école des franchises. Deux pôles, l’un en trapèze (salles de sport et salles de classes), l’autre sous la forme d’une longue bande (maison de quartier, crêche et bibliothèque), affirme

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la limite du site et intensifie l’activité et les liaisons fonctionnelles. A ce titre, il est proposé de démolir la ludothèque mais également l’école de Vieusseux. Jouxter à ces équipements est développé un ensemble de 3 bâtiments verticaux répondant aux formes urbaines existantes. 550 LOGEMENTS: Les 550

logements (69 T2, 175 T3, 216 T4, 45 T5 et 45 T6) sont repartis en 2 grands types : les habitats groupés (type A, B et D) et les immeubles collectifs (C1 et C2). Les habitats de type A sont déclinables en A1, A2 et A3 pour offrir une grande diversité et souplesse de répartition de taille d’appartement.

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QUALITÉ ENVIRONNEMENTALE: Nous misons sur la répétitivité pour répondre à cet enjeu. Nous imaginons un système de préfabrication (ossature en bois massif pour l’enveloppe

principale et des structures métalliques pour les loggias). Sont proposés en vue d’atteindre d’habitat passif :des stores extérieurs, des terrasses végétalisées, du chauffage solaire

et du stockage inter-saisonnié (sous la forme de grands ballon d’eau chaud) pour chacun des bâtiments. CONCLUSION: Nous pensons qu’en répondant avec autant de

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radicalité par l’usage d’une nappe habitée, nous créons une nouvelle épaisseur urbaine en vue de valoriser, voir de sublimer ce patrimoine des années 70 pour révéler toutes ses qualités. Qua-

rante plus tard, les notions de confort se mettent en résonance pour enrichir ce paysage.

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JUXTAPOSITIONS TYPOLOGIQUES CONCOURS POUR 65 LOGEMENTS , RENNES (35)

Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission:

RENNES/2012 MUOTO ARCHITECTES (MANDATAIRES) & PAUL-ERIC SCHIRR-BONNANS ARCHITECTE 6 500 000 € HT/ 5500 M2 SHON ARCHIPEL OPH DE RENNES CONCOURS RESTREINT

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insistant sur la rigueur de la construction, l’ouverture, la générosité et le confort.

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INTRAMUROS

HABITAT PROSPECTIF ET ECONOME

UNE MAISON FAIBLE COUT EXTENSIBLE DE l’INTERIEUR Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission: Equipe:

BRETAGNE /2012 Paul-Eric Schirr-Bonnans ARCHITECTE 88 m2 PRIVE ESQUISSE JOE GAIGNON

Ce projet vise à questionner les notions d’économie dans l’habitat individuelle. Comment construire avec un budget limité, comment étendre son maison dans un second temps, comment habiter en relation avec son environnement.

Les composantes de la conception sont: un bâtiment compact, un rez de chaussée largement ouvert et traversant, des locaux humides rassemblés formé par la cuisine, la salle de bain et le toilette, et un batiment ex-

tensible de l’intérieur. En effet, le prix des extensions de maisons étant relativement élevé par rapport à l’apport réel de surface, nous proposons d’inclure dans l’édifice l’espace disponible pour recevoir de nouvelles

pièces et notamment des chambres , c’est -à-dire un investissement de départ un peu plus élévé pour préparer un futur incertain. La clé est finalement de proposer un salon en triple hauteur. Les chambres sont super-

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posées au dessus du bloc «humide» et desservies via un escalier central. Ce dispositif spatial libère un volume adjacent en verticalité: le séjour en triple hauteur. Il sera aisé de remplir ce vide par un ou deux niveaux

et offrir de nouveaux espaces. Dans un premier temps, l’oeil , «grand loggia inaccessible»,offre de la lumière naturelle au séjour. Cet oeil fera par la suite office de baie classique pour le futur.

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SUR LA CRETE

CONSTRUTION D’UNE MAISON, MONFORT-SUR-MEU (35)

Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission:

MONTFORT-SUR-MEU / 2011 PAUL-ERIC SCHIRR-BONNANS ARCHITECTE AVEC CECILE GAUDOIN 260 000 € HT/ 150 M2 SHON PriVE ESQUISSE

Le projet de maison explore et exploite les limites définies par son environnement. A la limite de la zone naturelle

, à la limite de la ligne de crête, à la limite de la volumétrie autorisée par le plan local d’urbanisme. Sur une parcelle dont la

zone constructible longue et étroite le batiment s’inscrit dans celle-ci et s’oriente sur deux côtés bien disctints. En bord de

route, au sud, la facade est ouverte au minimum. Seule une fenêtre de toit de grande dimension laisse traverser la lumière

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à l’intérieur du patio central. Le côté forêt est au Nord, et est densément boisé. La façade s’ouvre généreusement. Le patio

ouvert via un grand cadre paysagé.

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HABITER L’INTERSTICE

Laureat PRIX ARCHITECTURE BRETAGNE 2012

EXTENSION ET RENOVATION D’UNE MAISON, RENNES (35)

Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission:

RENNES/2011 ONZIEME ETAGE (MANDATAIRE) & PAUL-ERIC SCHIRR-BONNANS ARCHITECTE 120 000 € HT/ 200 M2 SHON PriVE ESQUISSE

La maison existante des Années 30, habitée par les mêmes personnes depuis sa construction, est réhabilitée pour offrir confort et espace à une nouvelle famille (redistribution des pièces, isolation des parois opaques, menuiseries extérieures thermiquement performantes, mode de chauffage performant). Dans ce quartier popu-

laire d’après guerre, très minéral sur rue et verdoyant sur l’arrière, les minuscules jardins sont visuellement agrandis par un «emprunt de paysage», les clôtures existantes basses permettant une échappée visuelle sur l’ensemble des jardins environnants, qui forment une unité de verdure.

Plutôt que de s’étendre par une extension sur le jardin et nuire a la qualité du paysage existant, il a été propose aux maitres d’ouvrage de s’integrer au maximum dans le bati. L’extension utilise l’escalier de façade qui se transforme en circulation intérieure, en continuité de l’alignement sur rue.

Côté jardin, elle s’aligne discrètement sur la façade Sud. Le passage mitoyen devient la nouvelle entrée de la maison, de plain pied. La partie cave est décaissée et aménagée en salle à manger et cuisine grâce à une ouverture élargie au Sud, la surface du garage ne conservant que la place de parking règlementaire. Les espaces de

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vie s’ouvrent au jardin au lieu de le surplomber, tandis que le R+1 devient un grand salon et les combles trois chambres accessibles par un escalier métal sur mesure. Le magnifique abricotier, préservé, continue de s’épanouir au soleil.

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HABITAT MANIMALISTE

UNE CABANE POUR INVENTER L’ARCHITECTURE DE DEMAIN Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission: Equipe:

HABITAT PROSPECTIF ET AUTONOMNE

MUTTERSHOLZ /2012 Paul-Eric Schirr-Bonnans ARCHITECTE & THOMAS DaRAGON architecte 30 m2 ARCHI 20 Concours EUROPEEN OUVERT Systemiq, Quinze-A, Force & Appuis, HINOKI

HABITAT MANIMALISTE Au loin, cette silhouette évoque la forme d’un animal. Puis, immédiatement , la position et la générosité d’une grande ouverture vitrée raconte son orientation, signe comme tous les éléments vivants de son besoin prépondérant de fonctionner avec la source de lumière et de chaleur qu’est le

soleil. En s’approchant encore, sa texture accidentée aux milles facettes emprunte à la nature sa matérialité faite de différences et de répétitions. Toujours au dehors, cette architecture nous invite, au milieu de ce champ, à nous abriter entre ses épaisses colonnes et même à nous assoir. Malgré la sécheresse

probable des Rieds l’été, le projet en révèle sa présence. Placé sur 3 «pattes» il raconte la présence de l’eau. Ce batiment ne sera plus là au retour de l’hiver. Il est un animal dans le champ. Il est là un court instant; 3 mois, et il s’enfuit. ARTICULER A l’aide d’une échelle nous grimpons dans le volume prin-

cipale de ce petit édifice. Haut sous plafond, lumineux , nous sommes dans l’unique seule pièce. C’est ici que tout se passe. Manger, cuisiner, lire, dessiner, se reposer, se rechauffer, se rafraichir. A moins que nous n’ayons vu ni les espaces sanitaires logés dehors dans l’épaisse colonne, ni la chambre observatoire dont on per-

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coit la trappe d’accès au plafond. Sous la toiture, au point haut, se loge un petit espace, il est celui qui permet d’observer au loin. Sa fenêtre de toit, nous invite, allongé sur un large lit, à regarder passer les nuages ou briller les étoiles. Cette répartition simple et étagé est proportionnelle à l’importance accordée

aux 3 étapes précédemment décrites. L’espace bas est le lieu d’accueil extérieur articulation entre le dedans et le dehors. L’espace intermédiaire est un lieu généreux de réunion et du plus grand nombre d’activités. L’espace haut, dédié au sommeil et à l’observation est le plus réduit et bas sousplafond. Il est un lieu où le

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privilège de sa situation et de sa fonction transforme sa petitesse en qualité. C’est notre manière de raconter son importance. Nous n’oublions pas que la cabane est l’essence même de la verticalité. L’objet principal est de monter le plus haut possible, mais de manière séquencée, pour regarder le plus loin possible.

S’ORIENTER En considérant l’implantation comme libre, nous favorisons les apports de lumière en créant une baie unique de grand format. Nous orientons le batiment plein sud. Pour maitriser l’ensoleillement, un auvent complété d’un store extérieure à lamelles orientables est placé en partie supérieure de

la baie. Nous complétons l’éclairage naturel par l’ouverture du toit au nord, créant une lumière type atelier d’artiste. BASSE CONSOMMATION OU PASSIF? Batiment étanche à l’air, le projet anticipe la ou les destinations futures. Une maison secondaire ouvrable le week-end et nous miserons sur le

poêle pour une mise en chauffe rapide. Un appartement d’étudiant en milieu urbain? Un simple ordinateur suffira à chauffer tout l’espace. Dans les deux cas, une ventilation double flux est nécessaire. Par contre l’habitat est conçu pour un climat tempéré. Le festival des cabanes étant en été, une partie

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des équipements dédiés à une utilisation d’hiver tel que le poêle ou autre système de chauffage seront probablement installés dans un second temps. BARDAGE EXTERIEUR ET INTERIEUR CORIANNous choisissons le corian parce qu’il est le matériau de notre temps. Résistant, souple, inusable. Seul matériau aujourdh’ui

qui autorise d’être moulé pour construire des formes organiques tout en maitrisant les coûts, nous proposons de l’utiliser en façade ventilée (matrice voronoï) et en finition intérieure (matrice turing).

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ENGAWA GRAND FORMAT

LIVRAISON PRINTEMPS 2014

EXTENSION ET RENOVATION D’UNE MAISON, PONT-PEAN (35)

Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission:

PONT-PEAN / 2011-2014 PAUL-ERIC SCHIRR-BONNANS ARCHITECTE (MANDATAIRE) & ONZIEME ETAGE 130 000 € HT/ +42 M2 SP PriVE COMPLETE

Le terme japonais engawa «symbolise et ménage la relation du bâtiment avec l’extérieur (en particulier avec le jardin), et c’est aussi un lieu qui occasionne et favorise la relation entre gens du dedans et gens du dehors» Augustin Berque, 2011.

Les maîtres d’ouvrage avaient acheté cette maison pour son grand jardin, caractéristique de la zone pavillonnaire des années 70. Dedans cependant, le jardin était à distance, les porte-fenêtres offrant un passage plutôt qu’une relation intérieur/extérieur. La commande de surface

supplémentaire a permis, par un réaménagement total du rez-de chaussée, un nouveau rapport au dehors: être dans le jardin, y recevoir les amis. L’extension s’étire sur toute la longueur Sud de la maison, doublant la surface du séjour existant, tout en se faisant discrète

parmi les maisons alentour. La cuisine, auparavant côté rue, s’ouvre dorénavant toute l’année sur le jardin. L’étroite terrasse incite au bain de soleil, forme banc pour les banquets d’été. L’extension, avec sa façade vitrée plein Sud et

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sa dalle béton résinée à grande inertie thermique, son isolation performante en plancher, murs et toiture, nécessite un chauffage minimal en hiver. Les stores extérieurs à lamelles orientables garantissent le confort d’été, encore amélioré par le vide ventilé en toiture. Le

bois, matériau bio-sourcé, a été utilisé en murs et toiture : un chantier sec et rapide pour une maison habitée tout au long des travaux.

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PONT-PONT-PEAN

FAIRE LE TOUR DE LA MAISON

EXTENSION D’UNE MAISON Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission:

PONT-péAN (35) /2011 Paul-Eric Schirr-Bonnans ARCHITECTE 40 000 € / 20 M2 PRIVE ESQUISSE

Un pont pour Pont-Péan, telle est la réponse à la commande d’extension de maison comprenant une cuisine et une terrasse extérieure. L’analyse des comportements des occupants et en particulier de leur rapport à l’extérieur

a permis de souligner l’importance de l’accessiblité au jardin, notamment pour son potager et sa piscine située à l’arrière. A ceci s’ajoute l’accès des voitures au garage. Ainsi, logiquement, l’extension repose sur un principe

simple: faire le tour de la maison. Le projet suit le principe à la lettre en devenant un franchissement avec deux escaliers. L’extension est un pont où se loge une cuisine, un espace repas et une terrasse extérieure. Elle

est dissociée de la façade pour laisser entrer la lumière dans l’existant. Elle renforce le dialogue entre une écriture architecturale régionaliste bretonne avec, non pas une écriture architecturale spécifiquement contemporaine, mais

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un ouvrage d’art. A la suite de nombreuses réunions: «Nous souhaitons finalement une simple véranda et un escalier en colimaçon».

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UNE CUISINE SUR LE JARDIN

ESPACE dEjeuner

UNE TERRASSE EXTERIEURE

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IN MY BACKYARD EXPANSION / EXTENSION D’UNE MAISON Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission:

MONTPELLIER, FR /2010 Paul-Eric Schirr-Bonnans ARchitecte 43 000 € HT / 35 M2 PRIVE ESQUISSE

Arrivée d’un nouvel enfant, nécessité de concilier vie de famille et travail dans un même lieu sont les points de départ de cette extension de maison. La proximité du voisinage, la compacité de l’existant sont les principales contraintes qui nourrissent l’articulation

du projet. Dans un souci d’économie et d’efficacité, l’axe principal de distribution de la maison est maintenu, affirmé et prolongé après destruction de l’annexe. La trajectoire en ligne droite se brise pour offrir une continuité vers les nouvelles pièces et le

jardin. Le règlement du plan local d’urbanisme détermine la surface maximale qu’il est possible de créer. La localisation des constructions avoisinantes et des baies existantes déterminent où implanter la nouvelle construction pour maintenir l’éclairage naturel

dans chacune des pièces. L’orientation influe sur leur répartition. Une grande chambre et une chambre cabane sont placées en retrait à l’Est autour de patios plantés créant fraîcheur et intimité. Le couloir vers le jardin, traversant. offre des nombreuses vues et

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se prolonge par un bureau semi-enterré « au ras des pâquerettes ». Cette longue façade Sud-ouest, largement vitrée est épaissie pour affiner sa fonction. Elle est munie de cadres profonds cernant les ouvertures pour occulter le soleil d’été, créer des assises articulant inté-

rieur et extérieur.

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TETRIS ROOM

CHANTIER LIVRAISON NOEL 2014

RENOVATION D’UNE MAISON, PONT-PEAN (35)

Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission:

PONT-PEAN / 2011-2014 ONZIEME ETAGE (MANDATAIRE) & PAUL-ERIC SCHIRR-BONNANS ARCHITECTE 120 000 € HT/ 150 M2 SHON PriVE CHANTIER EN COURS

Une famille et trois enfants vient acquérir cette maison des années 60 dans une petite ville aux abords de Rennes. Une des caractéristiques de cette époque est le positionnement du niveau de vie à l’étage où le rez-de

chaussée est un niveau technique et les combles sont inexploitées. L’enjeu est de retrouver le rapport au sol pour cuisiner dans son jardin et de conserver au maximum l’étage existant pour des raisons économiques. Nous pro-

posons d’exploiter pleinement la volumétrie offerte structuré le projet autour de l’apport de lumière à l’ouest depuis la rue et de la vue à l’Est sur le Jardin, en perçant les planchers existants et amplifier le projet dans sa vertica-

lité. Le séjour-cuisine est baignée de lumière par la création d’une large baie sur la rue placée en hauteur. La circulation verticale est proposée sous la forme d’une triple hauteur dans lequel est placé un esca-

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lier avec vue plongeante sur la cuisine. Le séjour, laissé à sa place est désormais lui aussi ouvert sur le vide. Cet assemblage volumétrique rassemble ainsi les trois lieux de convivialité que sont la cuisine, le sé-

jour et l’espace enfants dans les combles, pour former ce que nous appelons une tétris-room.

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BARBOTAGE EN LIGNE BAIN EXTERIEUR DANS LE PERCHE Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission:

LAUREAT

NOGENT LE ROTROU /2007 PAUL-ERIC SCHIRR-BONNANS ARCHITECTE 6000 € / 9 ML PRIVE CONCOURS PRIVE ENTRE AMIS/ PROJET LAUREAT

ASSISES

BASSIN

MUR + BASSIN

Sous le soleil écrasant de l’été, prendre un bain dans la campagne. Juste un bain. Se tremper. Rien d’autre. Il ne s’agit pas de nager. Non. Juste s’asseoir dans l’eau et regarder, au loin.

Particularité de ce corps de ferme, il forme une placette en surplomb par rapport aux champs avoisinants, obtenue grâce à l’édification d’un mur de soutènement en pierre. Ce mur contourne les

différents bâtiments pour former une ligne brisée dans le paysage. C’est ici que les occupants s’assoient pour contempler le lointain. Pour se tremper, nous n’irons pas plus loin. Nous

nous logerons dans ce mur. Nous le dédoublerons. De l’eau, quelques buttes créeront des assises. C’est tout.

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EXPOSER EQUIPEMENTS PUBLICS et CULTURELS

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FRAME

GUGGENHEIM ART & DESIGN MUSEUM Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission: Equipe:

HELSINKI / 2014 PAUL-ERIC SCHIRR-BONNANS ARCHITECTE 12 000 M2 SHON GUGGENHEIM FONDATION DESIGN GUGGENHEIM HELSINKI INTERNATIONAL COMPETITION LEONARD BOUGAULT & SAMUEL HERVAULT avec BOLLINGER & GroHMANN

GUGGENHEIM HELSINKI AND ARCHITECTURAL CONCEPT FRAME Guggenheim Helsinki is an art & design enhancer, a combination of primitivism and high technology architecture. This museum is a monumental hollowed cuboid 80m height building, made of two flat floors and four gigantic columns. A huge outdoor inbetween space, allowing seeing

through and keeping historic city waterfront intact, offers incredible potential for outdoor sculptural and architectural interventions. Visible from below, from above, and from far, the void becomes a window to look at: A frame. Guggenheim Helsinki is an opportunity to question relation between art, design and climate. GUGGENHEIM HELSINKI

AND FINLAND LANDSCAPE MONUMENTALITY PRESENCE IN COUNTRY’S CAPITAL When a country well-known for its beautiful country side comes together with a strong institution dedicated to art, architecture role is to support huge potential to amplify both art and capital interest , particularly in an outdoor environment. Contemporary architecture of

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Guggenheim Helsinki in Finland is a unique chance to question monumentality in the broad sense. GUGGENHEIM HELSINKI AND CITYSCAPE 21ST CENTURY CULTURAL MONUMENT Large Helsinki cityscape reflects changes of the city’s courses of the last hundred fifty years. Religion presence is reflected

by a cathedral and churches; Industrial revolution by central heating and central station; Globalization by container cranes; High quality living conditions by Cirrus apartment tower. All this constructions reaching an average threshold of 80 meters over sea level are participating to Helsinki skyline. Aiming at promoting Art & Design, Guggenheim Helsinki and Helsinki

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have the possibility to set the new course of culture by building a new monument of XXI century. GUGGENHEIM HELSINKI PROGRAMM ONLY TWO FLOORS FOR AN OPTIMIZED FUNCTIONALITY Bottom floor is a combination of all related activities. The floor is designed as vast open-flow art & design comfortable lounge

space in a hushed atmosphere. Fixed programs are arranged all around the contour of a strictly rectangular plan. Empty center is a highly flexible multi-purpose zone. Top floor is entirely dedicated to exhibition galleries conceived as flexible continuous space that can be combined as needed with a 9m x 9m grid. Terrace level is a gigantic outdoor space for the display

of sculpture and architectural interventions offering a 360° public panorama of the harbor. Natural flow between outdoor and indoor spaces is insured by gigantic stairs. Dotted pattern circular holes are lie back seats for comfortable vertical views. Large columns, including lifts and emergency staircases, insure vertical flows of people, goods and artifacts.

STRUCTURE, SUSTAINABILITY, MATERIALITY THERMAL EXCHANGE BUILDING Horizontal structure is made of 8 meters height glue-laminated wood beams. Vertical main structure of gigantic columns is made of tinted corrugated concrete acting as thermal mass for “trombe” wall passive solar technique behind glass façade

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allowing a greenhouse effect. Deep piles foundation under the gigantic columns used as thermal exchange are containing glycol water to either heat or cool the building. Light greybrown tint matte warm interior is made of semi-polished wooden patterned concrete floor. For visual and acoustic comfort, main ceiling is made of felt padded ceiling unlighted tunnels.

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UNDER BLURRED BOUNDARIES MUSEE HONGROIS DE LA MUSIQUE Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission: Equipe:

BUDAPEST / 2014 PAUL-ERIC SCHIRR-BONNANS ARCHITECTE 22 000 000 € HT / 11 000 M2 SHON CITY OF BUDAPEST LIGETBUDAPEST INTERNATIONAL COMPETITION LEONARD BOUGAULT

Situé dans le grand parc urbain de Budapest, nous proposons un musée de la musique aux contours flous. Dans ce vaste espace vert a été édifié une constellation d’architecture. Des

micro-architectures , tels que des kiosks, des maisonnettes, des bancs, des luminaires et des macro-architectures, les musées et monuments de la ville. A ce constat et cette volonté d’im-

planter un nouveau musée dans ce poumon vert nous souhaitons pointer ce paradoxe en proposant de combiner micro-architecture en surface et macroarchitecture sous terre. Sur un

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seul niveau s’agence l’ensemble du programme. N’émergent alors que des bancs, des kiosks et des luminaires publics. La partie visible a pour registre celui du parc. La partie invi-

sible, a pour registre l’univers caverneux fait de murs épais, de voutes, de lumières zénithales, et bien entendu d’une acoustique unique.

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SOUTHERN GATES

MUSEES DE L’ARCHITECTURE , DE LA PHOTOGRAPHIE ET DE L’ETHNOGRAPHIE Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission: Equipe:

BUDAPEST / 2014 PAUL-ERIC SCHIRR-BONNANS ARCHITECTE 90 000 000 € HT/ 44 000 M2 SHON CITY OF BUDAPEST LIGETBUDAPEST INTERNATIONAL COMPETITION LEONARD BOUGAULT

1 batiment , 3 musees : une anticpiation du future

1 Cloture urbaine , 9 ARCHES : une limite poreuse entre ville et parc

1 schema fonctionnel repete pour une grande adaptabilite programmatique et fonctionnelle

La ville de Budapest propose trois emplacements spécifiques isolés pour ses 3 nouveaux musées et suggère une distinction architecturale particulière pour chacun d’entre eux. Le site à la frontière sud entre ville et parc n’appartient aujourd’hui ni à

l’un , ni à l’autre. La construction de ses édifices est l’occasion unique de questionner la monumentalité très présente dans l’histoire hongroise. En fusionnant les 3 musées en un seul bâtiment, nous clarifions la limite entre ville et parc postionnant le

projet linéairement sur 800 m. Dissocié du sol, l’édifice-murail est laissé entièrement perméable par le biais de 9 arches monumentales , lieux de dialogue entre ville et parc. Intérieurement, une double galeries nord et sud avec vue sur

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le parc et la ville joue à la fois le rôle de circulation des flux, de tampon thermique, et de visions panoramiques sur le paysage. Un niveau est dédié aux espaces d’expositions et à leurs fonctions attenantes tels que la conservation ou la restauration. Le ni-

veau principal d’accueil contient les magasins, la cafétéria, les salles de conférences et les bureaux du personnel. Le gigantisme du projet offre à Budapest à la fois un nouveau repère urbain et un lieu pour se repérer.

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BOUCLE AERIENNE

MUSEE DE LA VILLE & HOTEL DE VILLE , MEDELLIN (CO) Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission:

MEDELLIN/2011 PAUL-ERIC SCHIRR-BONNANS ARCHITECTE 6000 € / 14 000 000 M2 ARQUITECTUM CONCOURS INTERNATIONAL OUVERT (JP)

Une tour? Nous refusons clairement de construire une tour au pied du mont Nubitara. Premièrement, au regard du paysage urbain de Medellin, une tour est loin d’être une typologie idéale pour une nouvelle icône de la ville. Deuxièmement,

un musée de cent mètres de haut engendrerait, pour fluidifier le parcours des visiteurs, une dépendance accrue aux ascenseurs. Troisièmement, construire au pied du Mont Nubitara signifierait créer de nouvelles voies d’accès et de nouveaux impacts

infrastructurels et topographiques. Une boucle. Nous proposons, en relation direct avec le petit hameau Pueblito Paisa, de prolonger le caractère piéton du lieu en étendant la place centrale.

Nous créons une double promenade aérienne. L’une pour le public, l’autre pour les visiteurs du musée. Chacune d’entre elle est une boucle. Cet imposant anneau en porte-à-faux plane en direction de la ville. La coque structurelle régule

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par sa géométrie complexe, la taille des ouvertures selon l’orientation et le type de programme. Le noyau technique en béton ancre le bâtiment dans la montagne. Notre projet devient une infrastructure publique.

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CINE 32

CONSTRUCTION D’UN CINEMA 6 SALLES Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission:

AUCH/2010-2013 ENCORE HEUREUX (MANDATAIRE), PAUL-ERIC SCHIRR-BONNANS ARCHITECTE SOUS-TRAITANT CONCOURS 3 500 000 € / 2700 m2 Association CINE 32 Concours RESTREINT / PROJET LAUREAT 2010

Derrière une façade en référence aux cinémas du siècle dernier, se développe un équipement de six salles en projection numérique. Cette révolution technologique est l’occasion pour

l’association Ciné 32 de poursuivre son action de diffusion de tous les cinémas, en s’installant sur l’ancien site de la caserne d’Espagne en centre ville d’Auch. Deuxième jalon après l’implantation d’une

structure dédiée aux arts du cirque, la construction de ce cinéma poursuit la vocation culturelle de ce nouveau quartier de la ville. Plutôt qu’une grande infrastructure type mul-

tiplexe, nous souhaitons donner l’image d’une collection de petits cinémas de quartiers côte à côte.Par un bardage bois avec un motif à chevrons disposés en clairvoie, nous réinterprétons les ancien-

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nes façades à frontons en y ajoutant un grand numéro pour identifier chaque salle. Le dernier de ces six volumes est un grand hall d’accueil, sous verrière, avec les bureaux de l’associa-

SOUS-tRAITANT CONCOURS LAUREAT LIVRAISON 2013

tion en mezzanine. Entre les ateliers jeune public, les espaces d’expositions et le bar, c’est un endroit simple et vivant comme contrepoint indispensable aux salles obscures.

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RAZZLE DAZZLE

LAUREAT PROJET STOPPE

CENTRE DE VALORISATION ET DE FORMATION DES VIEILLES CHARRUES - LE SILLON Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission: Equipe:

CARHAIX (29) /2012 Paul-Eric Schirr-Bonnans ARCHITECTE & ENCOREHEUREUX ARCHITECTES (MANDATAIRES) 2 400 000 € / 2000 m2 COMMUNAUTE DE COMMUNE DU POHER Concours RESTREINT / PROJET LAUREAT AVEC ATELIER JES (DESIGN) EGIS (TCE), ACOUSTIBEL, FRANCOIS MAGOS (LUMIERES)

Pour accomplir la métamophose du Strikart en véritable Centre de valorisation des Vieilles Charrues, nous proposons la construction d’une extension qui joue à la fois le

rôle d’entrée et de signal. Largement vitrée en rezde-chaussée, la nouvelle entrée accueille les visiteurs et les oriente clairement vers les différentes activités, avec une grande

enseigne lumineuse. Signal visible de loin, cette émergence abrite un périscope vidéo qui culmine à 21 mètres. Ce nouveau volume, construit en ossature bois, nous a permis

d’organiser l’ensemble des circulations en optimisant les flux. Nous avons procédé en conservant au maximum certains éléments structurants du bâtiment existant

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comme l’ascenseur ou une partie de la structure des espaces du squash, pour minimiser les interventions et réduire les coûts. Nous avons cherché à fluidifier les parcours, en dif-

férenciant clairement les diverses fonctions (exposition, boutique, bowling, restaurant, ateliers...).

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CRENELAGE MUSEOGRAPHIQUE

MAGNIFIER L’ARTIFICIALISATION DU PAYSAGE

Centre DE LA CULTURE asiatique , KYOTO (JP)

Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission:

KYOTO/2005 PAUL-ERIC SCHIRR-BONNANS 18 000 000 € / 11 000 M2 CENTRAL GLASS CONCOURS INTERNATIONAL (JP)

Représenter l’Asie. Telle est la question à laquelle ce projet tente de répondre. L’Asie fascine par son intensité, aussi bien en construisant des villes de plusieurs millions d’habi-

tants qu’en modelant son territoire par le développement de son agriculture. Nous proposons de révéler une essence de l’espace asiatique aussi bien au niveau local, des rizières de

Kyôto qu’au niveau territorial, l’Asie toute entière. A partir de l’observation de l’urbain et du rural, nous retenons comme éléments générateurs du projet: -la répartition et la po-

pulation des grands métropôles asiatiques dessinent une topographie, un espace d’exposition. -le crénelage du paysage rural par l’agriculture en terrasse fa-

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çonne cette topographie. -l’artificialisation de la topographie par la création de giganstesques musr de soutènement-matrice sur des pans de colline nous indique la manière dont

nous enveloppons l’espace. Ces échantillons du global et du local sont intimement liés dans le nouvel édifice.

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CONTEMPLER TOURS & NON-TOURS

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TORME

LAUREAT DU 2EIME PRIX 700 PARTICIPANTS

TOUR-DOME POUR PETITE METROPOLE Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission: Equipe:

RENNES /2011 Paul-Eric Schirr-Bonnans ARCHITECTE EVOLO Concours INTERNATIONAL OUVERT SYSTEMIQ

Le prestigieux jury du concours new-yorkais Evolo 2011 Skyscraper competition a tenu à récompenser l’un de mes projets prospectifs interrogeant les questions de hauteur et d’écologie dans la petite métropole

rennaise. Le projet Torme, Tour-dôme, vient d’être désigné lauréat du 2ième prix parmi 715 propositions venant de 95 pays différents. Le choix du site étant laissé aux candidats, il m’a paru juste d’apporter

une vision de la ville dans laquelle je réside car le futurse situe bien sûr ici aussi bien qu’ailleurs. La visite de la Tour Burj Kalifa (800m) lors d’une récente expérience dubaïote m’a convaincu que Rennes n’accueillerait jamais la

plus haute tour du monde. Par contre, en négociant avec deux principales contraintes que sont la hauteur (pas plus haut que la tour rennaise des «Horizons», 120 m) et le franchissement des voies de chemin de fer (quartier

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Baud-Chardonnet), le projet Torme offre une large surface exploitable écologiquement (photovoltaïque et récupération des eaux pluviales), innove en hybridant l’ascenseur et le funiculaire, et autorise la réappropriation du

sol pour inventer un parc urbain semi-protégé. Il est un projet à la fois urbain et architectural, une réponse à la question de la densité. Flirtant certes avec l’utopie, le Torme se veut un projet futuristicopragmatique.

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WE ARE SUSHIS

MUSEE DE LA MODE, AVENUE OMOTESANDO, TOKYO, JAPON

Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission:

TOKYO, JP /2010 Paul-Eric Schirr-Bonnans (MANDATAIRE) AVEC HAIKO CORNELISSEN ARCHITECTE 3500 m2 ARQUITECTUM Concours international OUVERT

SKYBAR TERRACE RUNWAY OFFICES PRESENT PRESENT 1990s 1980s 1970s 1960s 1950s 1940s 1930s 1920s TERRACE ENTRANCE LOADING STORAGE PARKING PARKING

La petitesse de la parcelle et la hauteur de 100 m autorisés font de la verticalité la meilleure direction pour organiser le programme. Ainsi, pour la conception d’espace sd’exposition superposés nous proposons d’utiliser des technologies innovan-

tes d’ascenseur sutilisés dans le transport de personnes ou de voitures. Ce nouveau type d’ascenseur, à cabines multiples, fonctionne tel un télécabine. Il est un hybride entre l’ascenseur traditionnel et la grande roue. L’espace d’exposition

est à la fois la cabine et l’épaisseur de la façade. Le mouvement lent permet de contempler le contenu fixe situé au sol et un contenu mouvant fixé dans cette peau épaisse. La façade fait office également de gigantesque vitrine parmi les vitrines

de l’avenue commerçante Omotesando. Ce sont donc 12 ascenseurs qui forment cette boucle. Les robes exposées et les spectateurs deviennent des sushis en références au fast-food japonais tournant: le kaiten-sushi.

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Aux extrémités sont localisés les programmes fixes. En combinant l’ingéniosité japonaise d’utilisation des espaces, et la capacité d’innovation apportée par le Hitachi Multi-car Elevator System, un nouveau type de musée est crée, et

une nouvelle expérience muséographique.

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CITE DE LA CREATION ECOLE d’ARCHITECTURE ET ECOLE DE DESIGN Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission: Equipe:

EURORENNES /2014 Paul-Eric Schirr-Bonnans ARCHITECTE ENSAB PROPOSITION LIBRE LEONARD BOUGAULT

Tem dolore dunt adipit prat. Quis nonsequam, vel inisit, cor aliquis do do commy nim alisi. Um vendre dipisl ectet, quam quismodolore magna facinci bla facil eum nullum quisi. Nim zzrit at. Duisit alis augue eliquatuer sim

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quam nullaore dip eummy niamconullum do corperat eugiating erciduis aut alis at. Diat prate min henibh esse feumsandip elesto consequat. Delisi. Idunt ipis nonummy nonsequ amconsequat. Digna consequisim dolestrud dolenis nullut non

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POLAROID

CADRAGE URBAIN POUR UN HOTEL Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission:

BARCELONE / 2011 Paul-Eric Schirr-Bonnans ARCHITECTE 8 500 000 € /4 400 m2 ARQUITECTUM Concours INTERNATIONAL OUVERT

Ces deux projets pour un même concours d’hotel explorent la question de la hauteur. 100 m de haut telle était la demande, 4400 m2 uniquement

à batir. Situé au coeur de Barcelone , à proximité immédiate du MacBa, les deux propositions répondent à la maximisation

dans l’une ou l’autre des dimensions. L’horizontalité est affirmée dans la solution qui loge la majeure partie de la programmation

dans la partie supérieure du bâtiment. La logique structurelle implique la construction deux gigantesques novyaux. Les cafés et boutiques au rez-

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de-chaussée blouclent ce cadrage urbain. C’est le projet Polaroïd.

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BLADE

LAME POUR UN HOTEL Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission:

BARCELONE / 2011 Paul-Eric Schirr-Bonnans ARCHITECTE 8 500 000 € /4 400 m2 ARQUITECTUM Concours INTERNATIONAL OUVERT

Dans le projet Blade, «la lame», c’est la verticalité qui est mise en avant. Ceux sont uniquement 2

chambres par niveaux qui dimensionnent l’étage courant répété 30 fois. Les autres éléments

programmatique forment dans ce cas le socle de cette lame.

Le règlement du concours offrait, possibilité peu fréquente, la possibilité de soumettre plusieurs

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propositions. Nos deux résolutions nous ont évité de trancher, ce que nous ne referons jamais!

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TOWERBRIDGE II KIND OF PYRAMID Lieu/Date: Architectes: Co没t/Surface: Client: Mission: Equipe:

BORDEAUX / 2014 Paul-Eric Schirr-Bonnans ARCHITECTE EVOLO Concours INTERNATIONAL OUVERT Leonard Bougault

Beyond sophisticated column: Our challenge is to experiment new possibilities of relations between a skyscraper and its urban environment. For obvious question of stability to reach the sky, the gigantic column (more and more sophisticaly sculpted) is the main structural developped scheme . The column shape implies a single footprint of the building. Relation with its immediate surrondings comes

down to a simple attraction/ repulsion point urban phenomenum, a entrance/exit to reach the sky. In this vertical direction, challenge can only be related to height perfomance.We propose to look at how a simple but radical structural approach can create new interactions between a skyscraper and its urban environnement, how architecture can merge structure and urbanism domains to invent

an (infra)-structural urbanism and smarter distributed flows of people. Horizontal and vertical combination. Looking at London skyline, we observe a continuous skyscraper developement on both side of Thames allowed by city regulation. Here, most of this gigantic buildings belong to the single architectural typology of tower. Finally stylistic approach was what makes the

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differences between this giganic inhabited columns. Doric, Ionic, Corinthian...? Among other significant landmarks, we notice the presence of Towerbrigde built an hundred years ago, a mix of towers and bridge , which calls out all of us. As skyscrapers today, this building has fully contribute to balance north and south banks of London. Looking again at the London skyline we see structural and infrastructu-

ral innovations combining their strength to build the city. Towers and bridges : a lead to follow in our site with more difficult conditions. Unregulated void accross rivercities. Bordeaux is now developing density accross the River Garonne only by multipling bridges constructions. In 2013, Jacques Chabans-Delmas Bridge was inaugurated. In 2018, Jean-Jacques Dubosc will be

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built. Designed for 2030, Towerbrigde II project is inscribed in showing possibilities to increase redeveloppement in Bordeaux South around central train station and in old industrial district on the other side of the river, by multiplying bridges connections. And,Bordeaux city doesn’t answer height question in one of the lowest metropolitan city of France (in terms of height). We answer by placing a skyscraper over the river.Our proposal is a

question to the double challenge of crossing the River Garonne and dealing with height limitation by simpling mixing bridges and towers. We occupy the theorically «unbuildable» and unregulated void on top of the river: a place for adding towers and bridges. Kind of pyramid: We propose to simply shift to another primitive shape hyperstable : a pyramid. As a standard frame work, structurally based of compres-

sion and traction to annul forces, the assemblage of four triangles becomes a gigantic tetrahedron frame like rigid structure, composed of three inclined towers and three bridges without any pillar. With the kind of pyramid, we can then realise simultaniously the dream of Pisa tower and brigde without any column Connected to original city fabric: With one skyscraper project we realize the multiconnections points excepted. Each branch of

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the polygonal base is accepting long and large programmatic entities and can behave as inner city streets containing public facilities, shopping malls and also public transportation system. On top of this branches, a gigantic roof allows outdoor events to happen. In inclined branches we imagine housings and offices programmes depending on faces orientation. Superb views are offered all around the city but also down into the river. Origami

like three dimensional triangulated facades are proposed for its huge potentials in light control optimization but also as ornement presence extending historical use of sculpted stone in Bordeaux. Towerbrigde II is our (infra)structural urbanistic project for many other cities.

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AMENAGER ESPACES PUBLICS

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HARBOR FULL ACCESS PLAN URBAIN POUR LE PORT SUD DE HELSINKI Place/Date: Architects: Cost/Surface: Client: Mission:

HELSINKI /2011 Paul-Eric Schirr-Bonnans ARCHITECTE & HAIKO CORNELISSEN ARCHITECTE VILLE DE HELSINKI Concours INTERNATIONAL OUVERT

VEGETAL

PARK & WATER PARK

MARKET

OFFICES &RETAIL

NEW FERRY TERMINAL

MINERAL

Le port sud-est d’Helsinki est aujourd’hui le théatre de gigantesques mouvements de ferries, de poidlourds et de voitures s’engrouffrant à l’intérieur. Tel un aéroport le front de

mer se caractérise par la présence de clôtures tout le long de la baie. Seul de creux est accessible au public. Ce simple état des lieux est celui que nous questionnons. Ren-

dre accessible l’ensemble. Le projet de création d’un nouveau terminal est la solution radicale et unique pour espérer libérer la baie de son paysage dédié à la logistique. Construire

sur l’eau s’inscrit dans la tradition finlandaise d’extension sur la mer. Ainsi le parc de l’université, situé à l’ouest peut se prolonger jusqu’à l’eau. Les anciens docks, au nord, sont réa-

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ménagés pour devenir des espaces publics minéralisés. A l’Est, le nouveau terminal traité comme une topographie dissociant flux de piétons, de véhicules, et de ferries. L’accès

à l’eau se développe ainsi sous différentes formes et de manière continue le long de toute la baie.

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MINERAL VEGETAL

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SOUS LES VOITURES, LA RUE AMENAGEMENT DE LA 42e RUE A MANHATTAN Lieu/Date: Architectes: Coût/Surface: Client: Mission: Equipe:

NEW -YORK / 2014 Paul-Eric Schirr-Bonnans ARCHITECTE 3 km x 30 m VISION42DESIGN COMPETITION Concours INTERNATIONAL OUVERT SAMUEL HERVAULT & ETIENNE AMOURET

To rethink and redesign 42nd Street in Midtown Manhattan, we propose to clear the street, not by simply removing cars but moving them up. Covered whith an artifical tree crown, posts become markers and blurred boundaries of public space. We offer an almost empty and flat ground dedicated to multi scale events and flows of public transport.

From horse-drawn tram to electric cars, 11 decades of transport’s vehicle from 1900 to 2000 are flying in the sky of 42nd Street. Placed on posts from 20 to 100ft high, 600 cars are describing a sinusoidal flow, exhibiting at the same time past century car industry development and creating an unexpected futuristic vision.

Our proposal aims at preserving fast and intense flows along store fronts by preserving sidewalks and placing light-rail tracks on both sides. Central part becomes a large area for more quiet uses and slow city aspirations. Cars posts density increases toward intersections and decreases in the middle part of each block, imitating previous traffic

congestion. This density variation allows multiple sizes of open space for multiple uses. Each block framework is based on a raster point respecting car dimensions. Posts position imitating traffic congestion is the primary geometrical contraint determining open-area sizes, large in the center, small at the ends. Two flows of taxi,

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bicycles, fire lane and light rail are combined on two separate tracks. Tram platforms are placed on the sidewalks and its canopy mingles with another storefront canopies and awnings. Various types of seats, from individual to collective, such as stool, benches, platform , and chairs with café are located in the central area of the street.

Middles of each block are caracterized by glades conceived as island of slowness in bustling environment. We wish to give inhabitants possibilities to participate in amenitities choice. That’s why, to answer precisely unique conditions of each block along 42nd Street, specific needs of users , we proposed a crowdsourced design.

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PORTFOLIO 2014

PAUL-ERIC SCHIRR-BONNANS ARCHITECTE

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PAUL-ERIC SCHIRR-BONNANS ARCHITECTE A: 2 AVENUE BARTHOU 35000 RENNES T: 02 99 14 94 25 M:06 82 29 31 53 E: CONTACT@PAULERICSCHIRRBONNANS.COM WWW.PAULERICSCHIRRBONNANS.COM