Pays de Lons 146

N°146

Février 2020

Pays de Lons Journal GRATUIT d’informations

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Valvital

Une belle histoire née à Lons… p. 4 Lons municipale

Jean-Yves Ravier p. 2 candidat

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p. 6-13

Poligny

Décod’hor : le minuscule dans p. 10 du grand…

Arbois Bientôt une femme à la mairie

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Connaissance du monde Le nouveau voyage de Maryline Gaud p. 18

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MaG Élus Lettre de la vie politique et des échéances électorales

Une longue période électorale se profile… Les élections municipales, intercommunales, départementales et régionales nous mènent, en effet, jusqu’en 2022. Pays de Lons entre en campagne avec un nouveau dossier mensuel, Mag’élus, consacré à l’actualité politique.

Contact rédaction : Yvon Amiot au 06 81 33 19 67 ou yvonamiot@orange.fr

LONS-LE-SAUNIER - JEAN-YVES RAVIER - CHANGER DE CAP

“On sʼest fixé un cap clair : le renouveau démocratique, lʼurgence écologique et la justice sociale...”

“Changer de cap” est né de la volonté de quatre élus d’opposition de mener une liste pour redynamiser Lons-Le-Saunier. On savait que la tête de liste se déciderait entre Anne Perrin, Claude Borcard, Thierry Gaffiot ou Jean-Yves Ravier. C’est finalement ce dernier qui est désigné. Présentations...

M. Ravier, vous êtes un Lédonien de toujours ?

Pas un pur Lédonien mais un Lédonien de longue date. Je suis marié, j’ai trois enfants et j’ai grandi depuis l’âge de 4 ans dans le quartier des Mouillères. Plus précisément à l’école des Mouillères de 1962 à 1975 où mon père était directeur. J’ai fait la maternelle et le primaire dans cette école, ensuite le collège Aristide Briand et le lycée Jean-Michel où j’ai obtenu mon bac en 1976. J’ai ensuite fait mes études de kiné à Besançon et je suis revenu m’installer en septembre 1984 rue Jules Bury à Lons. Je me suis beaucoup investi dans le domaine sportif, le tennis de table, le tennis et le basket à l’ALL où j’ai été président de 1995 à 2012.

Pourquoi cette candidature à la mairie de Lons ?

Suite au retrait de Marc-Henri Duvernet après l’élection de 2014, nous avons, au Conseil municipal, poursuivi dans l’opposition avec Claude Borcard et Anne Perrin. Nous avons eu une position constructive dans le débat avec des argumentations et des contre-propositions mais pas dans une opposition systématique. On s’interroge depuis mars 2019 sur la solution à apporter pour redynamiser la ville.

Nous avons commencé par échanger avec Thierry Gaffiot pour imaginer une complémentarité. Nous avons fixé une base de travail et au printemps dernier défini trois axes prioritaires : le renouveau démocratique, l’urgence écologique et la justice sociale qui restent le socle de notre investissement.

Pour ce qui me concerne en tant que tête de liste, la décision fut collégiale. Je suis un candidat issu d’aucun parti politique au service d’un collectif qui respecte les différences pour mieux les associer.

Comment s’est construit ensuite votre projet ?

Nous avons opté pour une démarche démocratique avec sept réunions de quartier durant l’automne dernier. On a fait une synthèse et mis en place des commissions thématiques ouvertes à tous sur la santé, les transports, la transition écologique, l’urbanisme et le logement, les sports, la culture, les affaires scolaires... au total plus de 250 personnes ont échangé lors de ces ateliers. Ce fut un échange convivial et approfondi avec la population pour échafauder un projet pour Lons.

Que ressort-il alors de ces rencontres avec la population ?

Les Lédoniens sont inquiets pour l’offre de santé et l’avenir de l’hôpital public. Sans que le maire n'ai un pouvoir direct, son rôle sera d’aller frapper à la porte de l’Etat pour que l’hôpital de Lons garde son niveau. Les transports publics, les déplacements et la circulation dans la ville posent question, tout comme la fermeture des services publics. Comme partout, les interrogations liées à l’environnement et au réchauffement climatique inquiètent, que

E TAT C I V I L

faire ? Qu’en sera-t-il demain des commerces du centre-ville qui commencent à fermer ? La jeunesse est aussi une préoccupation, le manque de formations post-bac interpelle, comment occuper, former et retenir les jeunes ici à Lons ? Les Lédoniens rapprochent la jeunesse à l’emploi, quels emplois demain et pour qui ?

On ne peut tout citer ici, mais les échanges furent riches et divers. On doit s’appuyer sur ces réflexions pour avancer.

Quelles sont alors les grandes lignes de votre programme ?

• Nous voulons améliorer la qualité de vie des Lédoniens au quotidien. Globalement l’urbanisme de la ville et la rénovation de l’habitat sont à revoir. Un effort conséquent doit être fait sur la qualité des logements.

Dans les quartiers, mais aussi en ville, tous les Lédoniens doivent pouvoir vivre dans des logements décents et confortables. C’est en lien direct avec l’environnement, les économies d’énergie, le respect de la planète. C’est une priorité pour nous, une nécessité. Audelà, c’est une prise de conscience pour rénover l’habitat et faire revenir de nouvelles familles et de nouveaux habitants à Lons. On a tout de même perdu 2 000 habitants en 30 ans, Lons, c’est 50 naissances en moins par an depuis 2008. Il est temps de réagir... Nous souhaitons par ailleurs inventer la ville de demain avec une réflexion globale sur les déplacements de chacun, sur l’utilisation de l’espace. Nous inciterons à circuler autrement, à favoriser la cohabitation entre piétons, vélos, voitures, transports en commun... comment aussi améliorer les liaisons entre les quartiers, les rendre plus accessibles.

• La santé est primordiale et la défense de l’hôpital public reste une priorité. Notre équipe est en première ligne depuis un an et nous soutenons les mouvements.

Nous défendons une présence suffisante de professionnels de santé pour maintenir un hôpital fort. Nous agirons autant qu’il le faudra... Nous souhaitons une médecine de ville et un hôpital de qualité au service du patient, que l’humain reste au centre des préoccupations. Les Lédoniens sont inquiets, ils craignent d’être mal soignés demain. Nous nous battrons avec eux...

• La solidarité intergénérationelles est dans notre ADN. Nous nous activerons pour que chaque personne en difficulté trouve l’aide nécessaire, puisse être normalement insérée. C’est ce que nous appelons la justice sociale, la vraie... une solution et un accès aux mêmes services pour tous. Ça concerne tout le monde, la jeunesse, les personnes âgées, les familles... cela rejoint la qualité des logements, les moyens donnés aux écoles publiques pour mieux accueillir les enfants, les équipements sportifs et culturels accessibles à tous...

• La sécurité une affaire de tous. Il faut donner les moyens à la police municipale d’accomplir ses missions de médiation, d’aide aux personnes fragiles ou en

Corentin de Florian CASEAUX et Charlène BELIN, Crotenay Lucas de Hervé THEVENARD et Marie Louis de Florian MAURIN et Céline GUEDE, BOURGUIGNON, Cuisia Beaufort Enzo de Yoann BROCARD et France DAMNON, Abby de Geoffrey DOMINGUEZ et Manon Domblans FORTIN, Blye Ethan de Clément PALLUD et Emelyne VERJUS, Jules de Benoît PAYSANT et Florence PROST, Domblans Blye Chiara de Julien PIAZZOLLA et Pauline FISSEAU, Margaux de Baptiste BOISSON et Laetitia DAUMARD, Écrille Bréry Liséa de Romain MONOT et Manon MEURGEY, Kélia de Jérôme GIROD et Julie BUCHAILLAT, La Marre Chilly­le­Vignoble Maël de Cédric SIMONS et Émilie FEAU, Le Léa de François DELOGE et Vanessa Villey BERNARDIN, Clairvaux­les­Lacs Gabin de Loïc MEYNET et Gaëlle BOURGEAT, Mercedes de Thierry LUDWIG et Sophie Légna TRIMAILLE, Courlans Noah de Anthony MERCIER et Lucie JACQUET, Mila de Donal SOLE et Lucie POMMIER, Lons­ Courlaoux le­Saunier

NAISSANCES

Anas de Toufik ABDELLAOUI et Jamela BOUTAHJOURTHE, Lons­le­Saunier Ilyanna de William DUCLOCHER et Amandine BONIN, Lons­le­Saunier Ziyad de Abdelmajid KAROUANI et Nadia CHANI, Lons­le­Saunier Eléna de Mickaël RONGET et Elodie SERAND, Orgelet Marius de Olivier GOYDADIN et Amandine PILLEGAND, Orgelet Rose de Etienne GRANGEREAU et Caroline TACCHINI, Plainoiseau Lisa de Sylvain CALLAND et Mélanie BEAUVOIS, Poids­de­Fiole Alexy de Anthony STELY et Marie DALLOZ­ BOURGUIGNON, Quintigny Agathe de Vincent ROCHET et Patricia COUTENOT, Relans

situation de détresse. Il faut veiller à la sécurisation des déplacements devant les établissements scolaires en lien étroit avec la police nationale.

• Pour finir, nous veillerons sur l’emploi, sur l’arrivée de nouveaux artisans, de nouvelles entreprises. C’est notre économie, c’est se développer. Nous activerons tous les leviers pour garantir l’avenir de ce territoire. Le maintien du commerce de centre-ville et de son attractivité est aussi primordial. C’est une veille quotidienne que nous confierons à un manager de centre-ville.

L’économie relève de l’agglomération. Élu maire, souhaitez-vous briguer une place de président ?

Rappelons simplement que l’agglomération assure de plus en plus de compétences et de services. Le poste de président à l’agglomération est donc un poste à temps plein. La Ville de Lons et l’agglomération sont liées avec des services mutualisés, il est donc important que le maire et le président soient en phase. Mais l’essentiel et d’inciter un travail commun, de redonner confiance aux communes périphériques. Nous élaborerons un programme partagé qui prendra en considération les besoins de toutes les communes. L’agglomération est importante, elle doit nous permettre de nous projeter vers l’extérieur.

De grands projets sont entamés ou en réflexion à Lons, quel est votre sentiment ?

• Le projet de cité des sports est engagé, il est né dans la souffrance et les travaux débuteront prochainement. Voilà un dossier que les Lédoniens attendaient depuis si longtemps. Ce dossier est porté par l’agglomération qui est en situation financière délicate, nous aurons donc des choix à faire par la suite.

• Le projet d’aménagement de la rocade n’avance pas alors que c’est un dossier très important dans le cadre de nos réflexions sur la circulation, les déplacements doux... Nous inciterons le Département à s’engager. Ce doit être un des projets phares pour l’avenir de Lons et son agglomération. On a aussi la voie de Montaigu qui reste, là-encore, en réflexion alors que deux élus de la majorité actuelle siègent au Département. Nous rechercherons une solution rapide.

• Pour le Burger King, on s’est opposé depuis le début, avec Anne Perrin, Claude Borcard et Thierry Gaffiot, à son installation face au lycée Montciel. On a sûrement mieux à faire à cet endroit clé de la ville. Un fast-food face à un lycée, cela nous pose un vrai problème de santé publique. Mais globalement on peut s’interroger sur l’occupation des espaces autour de la gare. Avionsnous pas mieux à faire ?

• Un nouveau musée dans l’hôtel-Dieu ? Effectivement le musée actuel est à revoir et nous disposons de belles collections mais il faut garder raison. Pourquoi la ville est-elle seule sur ce dossier ? Il est nécessaire d’élargir le cercle des partenaires pour assurer les futurs frais de fonctionnement. Ce dossier est en cours d’étude, nous attendons les chiffrages et les confirmations de subventions. Il faudra, le moment venu, évaluer les besoins et nos capacités, les conséquences sur les finances de la ville, sur l’environnement immédiat, sur la circulation et les déplacements, mais aussi les éventuelles retombées pour la ville.

Comment se présente cette élection ? Que ressentez-vous personnellement ?

Cette élection est un peu particulière. Le maire actuel ne se représente pas, il n’y aura donc pas de prime au maire sortant ou aux élus sortants. Pour nous, « changer de cap », c’est donner la priorité aux Lédoniens. Nous proposons un choix de société partagé et concerté, nous resterons à l’écoute pour savoir ce que chacun désire. Comme ailleurs, il y a ici aussi de réelles attentes, de la détresse, nous devrons répondre. On souhaite un projet d’avenir et de partage en prenant en compte avec conviction et fermeté la transition écologique. Personnellement ce que je ressens ? Je suis fier de la confiance que l’on m’accorde. Je suis dans notre équipe le point d’équilibre entre les diversités et les forces. On affiche une belle représentativité, une belle unité, une belle sérénité, nous restons dans le partage et l’écoute. C’est ainsi que je fonctionnerai.

Que dire aux Lédoniens en conclusion ?

Avec Anne Perrin, Claude Borcard et Thierry Gaffiot nous avons l’expérience et la connaissance des dossiers de la ville. Nous voulons redonner de la confiance, un juste retour pour les habitants dans une ville qui ne se repliera pas sur elle-même. On est prêt, on a les pieds sur terre et les Lédoniennes et Lédoniens peuvent nous faire confiance. « Changeons de cap »...

CHABOZ Henriette, Lons­le­Saunier, 94 ans ATTIAS Philippe, Lons­le­Saunier, 63 ans UNGER Martine, Lons­le­Saunier, 83 ans ROLLIN Georges, Lons­le­Saunier, 99 ans CHASSAGNOLLE Aimé, Lons­le­Saunier, 86 ans ROGER Yves, Lons­le­Saunier, 61 ans FRELIN Armande, Lons­le­Saunier, 107 ans DÉCÈS BAGNE Christopher, Lons­le­Saunier, 24 ans GAILLARD Michel, Bletterans, 65 ans PRIMATESTA Pierrette, Lons­le­Saunier, 95 ans BENOIT Michel, Chambéria, 81 ans JURY Monique, Lons­le­Saunier, 88 ans TRÉSY Clémence, Chamole, 89 ans MILOCCO Téo, Lons­le­Saunier, 21 ans LANÇON Odette, Charchilla, 94 ans PAIMBOEUF Françoise, Château­Chalon, 72 ans PERCIER Françoise, Montmorot, 77 ans BRETIN Jean, Montmorot, 69 ans PERRIN André, Commenailles, 79 ans BUCLET Solange, Revigny, 61 ans RAVET Gérard, Cousance, 86 ans BUCLEZ Paulette, Ruffey­sur­Seille, 92 ans ODOT Michel, Cousance, 69 ans DUCORDEAUX Jacques, Sellières, 78 ans SALIN Christian, Le Vernois, 63 ans HENRY Marie, Loisia, 88 ans TRÉSY Léon, Voiteur, 89 ans Agathe de Rémi DUPUIS et Sarah COCAGNE, Saint­Maur Lucile de Rémi DUPUIS et Sarah COCAGNE, Saint­Maur Lénaïs de Yoan NOUVELOT et Manon BONIN, Villevieux

Zone des Epenottes 39100 Dole Tél. 03 84 82 50 21 n°ISSN : 1 778-820X Imprimé en France

Rédaction : redaction@paysdelons.fr

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Ma mutuelle en pleine forme !

LA MUTUELLE de FRANCE UNIE GROUPE ENTIS c’est: 110 000 adhérents dont plus de 60000 grâce à un contrat collectif sont ainsi protégés au titre de la pré­ vention et de la protection sociale bénéficiant de garanties sans exclu­ sion afin de favoriser un accès aux soins à tous. La MUTUELLE concerne plus de 500 entreprises et s’adresse à la fois aux particuliers, aux entre­ prises, aux indépendants, aux agents hospitaliers, aux territoriaux, aux fonctionnaires internationaux, aux travailleurs frontaliers…

UNE ASSEMBLÉE GÉNÉRALE 2019 RICHE d’ENSEIGNEMENTS! En revenant à notre contexte natio­ nal le président Jean Jacques Ver­ chay a appelé “à faire face au pro­ cessus de déshumanisation et se battre pour lutter contre le tout libé­ ralisme. Il a conclu en remerciant les administrateurs, les élus mutualistes pour leur investissement pour que notre organisme se développe en adéquation avec nos valeurs.”

Le Lédonien FRANCIS BALAY PRÉSIDENT d’ALTERNATIVE MUTUALISTE! “L’UNION NATIONALE ALTERNATIVE MUTUALISTE est le regroupement de 20 mutuelles interprofessionnelles et d’entreprises. C’est aussi un opéra­ teur représentatif de la Prévoyance et de la Complémentaire Santé qui concerne 500000 personnes. Tous les organismes adhérents relèvent du code de la Mutualité. C’est le gage d’une gestion solidaire dans un cadre non lucratif. Nous nous plaçons dans la continuité des mutuelles des tra­ vailleurs et sur les fondements de la Sécurité Sociale de 1945, nous défen­ dons une prise en charge à 100% par l’assurance­maladie obligatoire”. En

M. Balay, accompagné par votre conseillère : Ameena

devenant Président, Francis Balay va pouvoir mettre ses connaissances et ses compétences au service de cette véritable force de frappe qui se nomme ALTERNATIVE MUTUALISTE. La Sécurité Sociale doit rester la base de notre système de protection sociale en garantissant sa solidarité et son universalité. Nos mutuelles portent les valeurs d’un mouvement mutualiste complémentaire d’une

35, av.Jean-Moulin - LONS LE SAUNIER

Sécurité Sociale au plus haut niveau pour toutes et tous!

Face à la volonté des libéraux de revenir sur les conquis sociaux, les MUTUELLES ALTERNATIVE MUTUA­ LISTE, organisent la lutte pour que la santé et la protection sociale soient pour toutes et tous un droit fonda­ mental garanti et non soumis aux logiques marchandes.

Agence ouverte du mardi au jeudi de 8h à12h et de 12h30 à 17h

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Attachés aux valeurs d’échange, d’entraide, de réciprocité, de solida­ rité, de démocratie, de partage et d’action, nos mutuelles adhérentes ont la volonté d’imposer des alterna­ tives au modèle libéral.

I publireportage Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays de Lons ° 146

Née en 2015 du fait du rapproche­ ment de la Mutuelle Familiale de Haute Savoie (implantée historique­ ment 5 rue de la gare à Annecy) avec 6 mutuelles régionales, elle porte bien son nom. Depuis, MUTUELLE de FRANCE UNIE poursuit son dévelop­ pement au niveau national, s’im­ plante dans les Dom Tom, grossit en 2016 avec 4adhésions supplémen­ taires auxquelles s’en ajoutent 2autres en 2017, enfin ce sont les Mutuelles Familiale Rhodia Belle Etoile et Mutuelle Santé 08 qui gros­ sissent ses rangs en 2019.

Contact auprès de la conseillère Ameena : 03 84 43 14 38

4 actu

Pays de Lons n°146 - février 2020

Valvital - Lons-le-Saunier

Une belle histoire en ces “thermes” !

Les travaux des thermes Valvital de Lons-le-saunier s’achèvent. Les thermes de Lons qui furent le début d’une belle histoire… En effet, Bernard Riac aurait pu ne jamais travailler dans le monde du thermalisme. Sa formation d'ingénieur chimiste lui dessinait un avenir tout tracé dans le monde de l'industrie. Certaines circonstances l'ont aidé à changer de voie. A la tête du groupe Valvital depuis 1991, Bernard Riac n’oublie pas que cette aventure a débuté ici même à Lons-Le-Saunier. Rencontre...

Comment êtes-vous entré dans le thermalisme ?

Mon père, en tant que premier adjoint à Lamalou-les-Bains dans l'Hérault vend les thermes de la ville à « La chaîne thermale du soleil » dirigée par M. Barthélémy que je rencontre. Je rentre, à 30 ans, aux thermes comme directeur marketing en 1986. Un déclenchement pour moi car je ne quitterai plus le thermalisme par la suite.

Une rencontre mais aussi une volonté ?

Oui en effet, je me passionne alors pour le thermalisme et j’envisage déjà à l'avenir de créer mon propre groupe. Après trois années à Lamalou-les-Bains, je crée ma propre entreprise, au départ dans le conseil en 1989. Je travaille pour les laboratoires Pierre Favre où je m'occupe de la marque Avène, une eau thermale. Mais mon projet c'est les thermes et je recherche un premier établissement à acheter.

Et vous voilà à Lons-le-Saunier ?

Mes démarches me mènent en effet pour un premier contact à Lons-le-Saunier. Je rencontre alors Jacques Pélissard, Hélène Pélissard et JeanClaude Servillat. Les thermes de Lons accueillent essentiellement des enfants pour des troubles énurétiques et sont régulièrement en difficulté en fin d'année. Une situation devenue intenable pour la municipalité qui souhaite transmettre la gestion. Nous faisons affaire et je rachète le fond avec un bail commercial avec la mairie. Jacques Pélissard m’a fait confiance, je ne connaissais alors ni le Jura, ni Lons-le-Saunier et c’était mes premiers thermes ! C’est mon épouse Catherine qui m’a encouragé alors que nous habitions à Paris, c’était en 1991. J’ai réorganisé les thermes, nous avons développé la communication et avons été bénéficiaires dès la première année !

Au départ cela s’appelait la Compagnie Euro-

péenne des Bains et ensuite Valvital en 1996 suite au rachat d’un spa à Besançon qui s’appelait ainsi. Le groupe se forme avec l’achat des thermes de Montrond-les-Bains dans la Loire et les thermes d’Aulus-les-Bains dans l’Ariège. Lons reste alors le camp de base qui est depuis devenu notre centrale de réservation.

Le groupe ne cesse alors de progresser ?

Les premiers thermes fonctionnent bien, de belles opportunités se présentent à partir de 1988 avec Divonnes-les-Bains, Thonon-les-bains et Bourbonnes-les-bains que nous acquérons.

Des établissements que nous faisons fortement progresser, le nombre de curistes progresse et le chiffre d’affaires aussi. En 2010 place à Montbrun dans la Drome, les thermes Eaux-Bonnes dans les Pyrénées et Berthemont-les-Bains dans les Alpes maritimes. En 2011, l’Etat vend ses derniers thermes à Aix-les-Bains que nous rachetons et nous dépassons alors les 50 000 curistes par an.

En 2014 nous investissons en Alsace à Niderbronn-les-Bains et Morsbronn-les-Bains. En 2018, nous prenons la direction des thermes d’Enghien-les-bains avec le Casino Barrière. Je rêvais d’un groupe de thermalisme je l’ai eu ! Une bien belle satisfaction car Valvital est avec 12 stations le deuxième groupe thermal de France derrière La chaîne thermale du soleil et c’est aujourd’hui 1 000 salariés pour 40 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Et vous avez encore des projets...

Nous ouvrons prochainement des établissements dans le Valais en Suisse sur des pistes de ski et nous construirons à Nancy avec la métropole les plus grands thermes jamais construit en France ! Non loin d’ici, nous « ressuscitons » en Bourgogne les thermes de Santenay qui ouvrent avec une résidence hôtelière en juillet 2020.

Bernard Riac

Les thermes de Lons-le-Saunier

Les thermes de Lons resteront ma première sta-

renouveler la concession. Notre centrale de réservation est restée basée ici et nous avons avec la municipalité entrepris de gros travaux de rénovation du bâtiment pour améliorer l’accueil des curistes et développer la phlébologie pour soigner les phlébites, des soins uniques dans la région. L’inauguration est programmée pour fin février. Voilà la belle histoire de Valvital dans ce très bel univers du thermalisme.

tion thermale ! C’est affectif et nous venons de

www.valvital.fr

J’aime développer plus que gérer... j’aime les nouvelles rencontres, les nouvelles régions, j’aime convaincre, c’est un plaisir et une fierté pour mois d’avoir ainsi permis de relancer le thermalisme en France et de constater qu’il se porte bien.

Vous n’oubliez pas vos débuts à Lons ?

Arbois - Théâtre Beaucoup de verre, un peu d’acier LA PIÈCE RETRACE UNE JOURNÉE FICTIVE DE LA VIE DE JOHN LENNON, CONFINÉ DANS SA CHAMBRE À LOS ANGELES EN 1974, ET CONFRONTÉ À UNE CRISE ARTISTIQUE PROFONDE. SIX DE SES PROCHES, SIX VISITEURS INDÉSIRABLES, VONT TENTER DE LE SORTIR DE SA TORPEUR. MAIS CES DERNIERS VONT SE RETROUVER TRÈS VITE CONFRONTÉS À LEURS PROPRES NÉVROSES ET À LEURS PROPRES DOUTES, FACE À CLAUSTRATION ET AU MUTISME DU CHANTEUR. CETTE HISTOIRE PLEINE DE TRUCULENCE ET DE PERSONNAGES RIVALISANT D'EXTRAVAGANCE NOUS PERMET DE CREUSER CETTE QUESTION FONDAMENTALE : POURQUOI AVONS­NOUS BESOIN DE L'ART ? MIS EN SCÈNE ET ÉCRIT PAR BAPTISTE DEZERCES. DISTRIBUTION : FRANÇOIS CLAVIER, BAPTISTE DEZERCES, VALENTINE KRASNOCHOK & ALEXANDRE LECROC ET LES VOIX DE FRANÇOIS DE BRAUER, ARTHUR GUILLOT, MILÈNE TOURNIER ET OLIVIER WERNER. CRÉATION SONORE : THIERRY LEGEAI. COLLABORATION ARTISTIQUE : LISA GUEZ. ENTRÉE EN VENTE SUR PLACE : 5 € / PERSONNE, GRATUIT POUR LES DEMANDEURS D'EMPLOI, LES ÉTUDIANTS MOINS DE 25 ANS ET LES JEUNES MOINS DE 16 ANS.

LYCÉE MANCY LONS - LYCÉE AGRICOLE MONTMOROT

LA JOURNÉE DU SUPÉRIEUR… SAMEDI 8 FÉVRIER PORES OUVERTES DE 9 H À 13 H

L’AGRICULTURE EN MODE SUPÉRIEUR… LYCÉE MONTMOROT

BTS GPN

Gestion et protection de la nature

Une formation de terrain…

Voilà des formations de nature à trouver toute leur utilité dans ces moments où le naturel et la protection de la nature occupent lʼactualité. Des formations en lien direct avec le milieu naturel dans son ensemble et qui débouchent sur des métiers très divers. Cela peut aller de lʼanimateur qui accompagne un public à la découverte de la nature jusquʼà la gestion, la surveillance, la restauration dʼespaces ou de réserves naturelles. Le champ dʼaction est vaste et propose ainsi une belle diversité dʼemplois à la clé dans

divers organismes en lien avec la nature.

Nombreuses sont les collectivités en recherche de personnel pour valoriser les espaces et la biodiversité. Lʼobjectif est ainsi de former des personnes en mesure dʼévaluer sur le terrain une situation, dʼassurer un diagnostic, de fixer des enjeux et un programme de gestion et de valorisation. Ce BTS est accessible avec un BAC ou BAC + 2 en formation initiale ou en apprentissage moitié en cours et moitié sur le terrain. En prise directe et face à la réalité sur le terrain, cet apprentissage supérieur forme des étudiants au final déjà opérationnels et expérimentés. Des jeunes prêts à rejoindre des collectivités, des associations ou des entreprises privées. Cette formation est agrémentée de stages en France ou à lʼétranger.

LYCÉE MONTMOROT

Lycée Mancy

BTS GPN

Filière cheval . CS UCAC

Une formation de terrain plus sports

formation continue

Option montagne

Le BTS GPN option montagne prépare aux diplômes sportifs dʼaccompagnateur en moyenne montagne, de pisteur secouriste sur domaine nordique ou de sauveteur aquatique (BNSSA). Dans le cadre dʼun emploi du temps et dʼun calendrier aménagés, ces étudiants suivent des entraînements spécifiques. De la préparation physique, de la randonnée en montagne, de la course à pied, de la course dʼorientation, du ski roues, du ski de fond… On retrouve des élèves motivés pour tous types de travail en plein air. Seize jeunes suivent cette formation unique en France dans le cadre dʼune formation complémentaire. Il est vrai que cette dernière est très prisée ! La diversité des activités possibles est importante et se situe essentiellement dans le Jura qui représente tout de même un beau terrain de jeu ! Quand agriculture et sports font bon ménage…

. TDE formation continue

. CS ETJE apprentissage et formation continue

. BP JEPS apprentissage ou formation continue

. DE JEPS apprentissage ou formation continue

Filière services . BTS DATR voie scolaire

Lycée Montmorot . BTS GPN Lycée, CFA

. BTS GPN Montagne Lycée

LYCÉE MONTMOROT

BTS ACSE LYCÉE MANCY

Filière cheval

Un monde d’excellence et de diversité…

Le centre équestre de Mancy fonctionne en lien avec les usages de la profession. Cʼest à la fois un centre équestre, un centre de formation, un élevage, de lʼévénementiel sportif, de la vente de chevaux... En formation supérieure, les étudiants sont face à des projets concrets et rencontrent régulièrement les professionnels du territoire. Les formations sont accessibles en apprentissage et en formation continue ce qui contribue à un enrichissement du relationnel entre les apprenants. « Notre objectif est de répondre aux multiples possibilités professionnelles que lʼon retrouve dans le monde du cheval et son environnement. On maîtrise lʼensemble de la filière et nous sommes en mesure de proposer du sur mesure, du modulaire car notre adaptabilité est forte. Nous somme dans lʼexcellence et à ce niveau dʼexpertise, nous faisons appel à des professionnels venus de toute la France pour encadrer les formations. On forme des élèves polyvalents... » explique Marion Sensi, coordinatrice de formation. Le lycée Mancy forme au monde du cheval, à lʼambiance du cheval... des formations qui répondent à lʼexigence du cheval. Le centre équestre est une ferme avec du vivant ouverte 7/7 jours, une organisation qui nécessite 7 salariés pour environ 75 étudiants qui sont dʼune manière ou dʼune autre en formation à Mancy en filière cheval. Nouveau : à la rentrée, le lycée développera des stages ERASMUS à lʼétranger dans des centres équestres renomés

. Licence Pro Mina Lycée

Le BTS en plus…

Le BTS Analyse Conduite et Stratégie de lʼEntreprise agricole permet à des étudiants de se préparer en deux ans après le BAC à la gestion dʼune exploitation agricole. Elevage équestre et production laitière sont les deux options possibles. A lʼissue de la formation, les étudiants travaillent en exploitations ou dans le monde agricole, dans les banques comme technico-commercial… Une formation qui offre de multiples possibilités.

. BTS Viti Oeno CFA

. BTS ACSE Lycée

LYCÉE MANCY

BTS DATR

Développement et animation des territoires ruraux

Une expertise en milieu rural…

Les étudiants du BTS DATR se forment à la gestion de projets en milieu rural. Comme son nom lʼindique, une formation qui contribue au développement et à lʼanimation des territoires ruraux. En effet, à lʼissue de leur formation, les jeunes diplômés apportent leurs compétences comme chargés de mission tant dans lʼanalyse, la faisabilité que dans lʼaccompagnement des projets confiés. Cʼest à la fois de la communication, de la médiation, de la mise en œuvre, de lʼanimation ou même de la gestion. Cette diversité de compétences permet aux élèves de gérer des structures ou des projets à

long terme. Lʼouverture, lʼautonomie, la méthodologie, le diagnostic, la connaissance du milieu et des acteurs… sont des qualités qui permettent à ces étudiants de sʼadapter à toutes les situations ce qui en fait des candidats très appréciés des collectivités territoriales, des structures professionnelles ou institutionnelles. Les champs dʼintervention se situent dans la qualité de vie, le social, le tourisme, lʼenvironnement, la culture, lʼagriculture ou lʼéconomie. Les étudiants suivent de nombreux stages notamment à lʼétranger. Une formation complète…

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n°12 Février 2020

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Décod’hor est arrivé dans la zone industrielle…

Maison du Comté, le chantier progresse…

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MaG Élus Lettre de la vie politique et des échéances électorales

Une longue période électorale se profile… Les élections municipales, intercommunales, départementales et régionales nous mènent, en effet, jusqu’en 2022. Pays de Lons entre en campagne avec un nouveau dossier mensuel, Mag’élus, consacré à l’actualité politique.

Contact rédaction : Yvon Amiot au 06 81 33 19 67 ou yvonamiot@orange.fr

Arbois, deux femmes pour une mairie…

Martine Pingat, Conseillère municipale et Valérie Depierre, Conseillère régionale, seront opposées pour succéder à Bernard Amiens à la mairie d’Arbois. Rencontres…

ARBOIS - MARTINE PINGAT - POUR ARBOIS UNISSONS NOS FORCES

“Nous formons une équipe expérimentée…”

Bernard Amiens ne sera plus maire d’Arbois, une grande majorité de ses conseillers souhaite poursuivre les dossiers engagés et impulser une nouvelle dynamique. Martine Pingat est désignée tête de liste. Rencontre…

Vous et Arbois, c’est toute une histoire...

Oui en effet ! Je suis une pure Arboisienne, née ici le 2 avril 1952 et j’y habite. J’ai fait toute ma scolarité à Arbois avant d’obtenir mon BAC au lycée Considérant à Salins. Institutrice de métier, j’ai travaillé dans les Vosges, dix ans à Planoise à Besançon, à Poligny à l’école des Perchés et pour finir à Arbois en maternelle jusqu’en 2016. Je suis élue au conseil municipal, aux côtés de Bernard Amiens, depuis 2008. Je suis adjointe aux sports et à la vie associative et maintenant candidate au poste de maire. Comme vous dites, toute une histoire qui se poursuit...

Comment est née cette candidature ?

Tout simplement. Bernard Amiens a annoncé son retrait de maire pour le prochain mandat le 16 décembre dernier. Nous avons entendu et respecté son choix. Instinctivement est née une forte volonté de l’équipe municipale en place de poursuivre le travail engagé, comme une nécessité, comme une évidence. Seize membres du conseil ont souhaité poursuivre leur investissement au service des Arboisiens, nous nous sommes retrouvés pour préparer l’avenir, pour proposer un nouvel élan, de nouvelles perspectives. L’équipe a choisi de me faire confiance, j’ai accepté car je suis bien entourée et épaulée.

C’est un honneur pour moi et cela me donne beaucoup de force, je serai disponible à 100 %.

Quelles seront alors vos priorités ?

Nous connaissons bien les dossiers en cours, la priorité sera de rapidement les mener à bien. Mais nous savons que les Arboisiens attendent plus de nous, que nous devons rapidement agir pour apporter plus encore. Nous le ferons... Avec René Molin, nous solutionnerons la qualité de la voirie grâce à un programme pluriannuel sur toute la ville. Tout comme nous agirons auprès du Conseil départemental pour valider la réalisation d’un rond-point à l’entrée d’Arbois. Cela permettra de limiter la circulation au centre-ville, d’ouvrir de nouvelles perspectives et d’envisager un projet d’aménagement et de rénovation conséquent.

Avez-vous déjà les grandes lignes de votre programme ?

La rédaction de notre programme se poursuit et nous le détaillerons prochainement. Nous savons cependant qu’il sera question de santé et de l’éventualité d’une maison médicale tant attendue, nous soutiendrons les initiatives qui vont dans ce sens.

Une nouvelle offre de logements pour les seniors est à envisager, tout comme la réhabilitation de logements vacants qui pourrait convenir à la jeunesse.

Une jeunesse qui a besoin de repères et plus d’attention encore, de plus de dynamisme, de sport, de culture en lien avec la vie associative. Le stationnement est compliqué à Arbois, il faudra le réorganiser et créer de nouveaux espaces qui répondent à l’acti-

vité touristique qui progresse mais aussi à la nécessité de faciliter au quotidien l’accès aux commerces...

Des espaces se libèrent, à nous d’en faire bon usage en fonction de nos finances. Voilà autant d’éléments que nous partagerons avec les Arboisiens avant réalisation, mais aussi avec la Communauté de communes Cœur du Jura qui soutiendra les projets qui vont dans le sens de la dynamisation de la ville, du rayonnement touristique, du développement économique et ainsi de l’emploi... Je suis très confiante pour l’avenir d’Arbois.

Quelle est alors votre position sur le projet Pasteur et la cité des vins ?

Ce sont des dossiers encore à l’étude. Ils valoriseront notre image si l’on a de l’ambition pour l’avenir. Nous les suivrons de prêt pour tenter de trouver un juste équilibre financier avec les différents partenaires. Oui nous souhaitons qu’Arbois soit une référence en terme de gastronomie et d’œnotourisme, c’est un ensemble qui passe par une nouvelle vision, par plus de modernité et de communication. Ces importants dossiers ne doivent cependant pas faire oublier le quotidien des Arboisiens, la proximité et notre présence sur le terrain. Les Arboisiens souhaitent le développement de la ville mais entendent aussi en bénéficier et profiter de leur qualité de vie, de leur tranquillité.

Vous avez déjà plusieurs fois évoqué la Communauté de communes Cœur du Jura ? Quelle est votre position à ce sujet ?

Ma position est très claire, nous ne pouvons plus nous en passer. Malheureusement Arbois s’en est

Martine Pingat

éloignée alors qu’il fallait s’en rapprocher. Une fois élus, nous soutiendrons la candidature de Michel Francony à la présidence de la Communauté de communes. Il a su créer le consensus et continuera valoriser ce si beau territoire que nous partageons avec Poligny, Salins et tous les villages alentours. Le principal c’est de progresser ensemble et d’améliorer encore les services à la personne, les services de proximité dont on a tant besoin.

Que dire en conclusion aux Arboisiens ?

Simplement dire aux Arboisiennes et Arboisiens qu’ils peuvent me faire confiance, nous faire confiance. Je partagerai la vie de la cité avec eux et mes colistiers. Nous formons une équipe expérimentée et souhaitons travailler à un nouvel essor pour la ville d’Arbois. Je le répète, je suis très confiante et disponible à 100 %, vous pouvez compter sur moi. Je sens une équipe motivée pour écrire une nouvelle page de l’histoire d’Arbois. Nous unissons nos forces.

VALÉRIE DEPIERRE - AGIR ENSEMBLE POUR ARBOIS

“Réagissons ensemble pour Arbois...”

Valérie Depierre, Conseillère régionale a été désignée tête de liste par le collectif « Agir ensemble pour Arbois ». Un collectif qui porte un projet à partager avec la population. Rencontre...

Valérie Depierre, merci de vous présenter...

qualité de vie pour les personnes âgées, pour le

J’ai passé toute ma scolarité à Arbois, en primaire, au collège Saint-just et ensuite au lycée “Les Vignes". Je suis propriétaire à Arbois, vice-présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté en charge du handicap et des formations sanitaires et sociales. Je me rappelle de mon premier travail ici à Arbois pendant sept ans à la MJC mais aussi de vingt ans de bénévolat au club de hand-ball.

maintien à domicile mais aussi pour la jeunesse

Que manque-t-il à vos yeux pour l’avenir d’Arbois ?

entre voitures, vélos et piétons. La sécurité passe

Plutôt que de manques, parlons de constats et de solutions si vous le voulez bien.

• On a beaucoup fait pour le tourisme à Arbois, pour la cité de Pasteur capitale des vins du Jura. Il faut continuer ! Mais Arbois perd des habitants car c'est une ville qui manque d’attractivité pour attirer de nouvelles familles, de nouvelles entreprises, de nouveaux commerces...

• Je constate que nous devons améliorer la

accueils de la petite enfance en un périmètre

qui manque de projets, qui ne reste plus à Arbois, qui s’ennuie. Comment garder nos jeunes et en faire venir de nouveaux avec plus d'animations et

Valérie Depierre

d'activités de loisirs, sportives ou culturelles ?

Voilà les raisons de notre candidature ?

• Je constate que les Arboisiens ne se sentent pas

Je suis candidate car Arbois est la ville que j'aime.

J’ai encore envie de m'impliquer pour servir les autres, j’ai des compétences et de l’expérience. On a créé le collectif “Agir ensemble pour Arbois” pour échafauder un programme avec une équipe diverse qui représente l’ensemble de la ville. J’ai été désignée pour porter un projet et le partager avec les citoyens sans calcul politique. Nous avons une vision d'avenir. Comment les nouvelles générations vivront-elles à Arbois demain ? Comment se sentir bien à Arbois ? Que tout le monde trouve sa place, habitants, touristes, il faut une harmonie.

en sécurité. Nous réagirons sur les incivilités via la pédagogie et le civisme. Nous améliorerons la circulation dans la ville pour trouver un équilibre aussi par le regroupement des écoles et des sécurisé qui répond aux besoins des enfants.

• Je remarque un manque de concertation. Nous souhaitons une nouvelle méthode, faire de la politique autrement, impliquer à nouveau les habitants dans la vie publique, expliquer ce que l'on fait, pour quoi, pour qui ? Les inviter à participer ensemble. Nous favoriserons une vie de quartier avec des conseils de quartier pour créer du lien et pour le partage de l’intérêt général.

Quelle sera votre position à l’intercommunalité Cœur du Jura ?

Je n'ai pas de prétention personnelle à l’intercommunalité, juste la prétention de mieux représen-

ter Arbois, nous devons progresser dans ce sens.

Il faut encore que chacun trouve sa place, bourgs centre et villages doivent se sentir concernés. On doit ensemble trouver une solution pour le rondpoint de la RN 83, c'est très important, pour un projet autour de Louis Pasteur qui ne trouve pas d'issue. Pourquoi sur ce cas ne pas trouver un lien avec l’œnotourisme, avec la cité des vins ?

Que dites-vous pour conclure aux Arboisiens ?

Je leur dis que nous avons envie de réagir ensemble pour Arbois ! Ils peuvent me faire confiance ainsi qu'à mon équipe, qu'ils fassent confiance à l'avenir ici à Arbois. On sera présents pour servir et non pour se servir. On partagera ensemble pour améliorer le bien-être et projeter Arbois dans le futur. "Imaginons ensemble Arbois pour demain !"

10 Poligny

Poligny - Décod’hor Quand le minuscule s’agrandit…

Il y a quelques années déjà, nous avions eu l’occasion de présenter le travail de précision réalisé par la société Décod’hor alors installée dans le petit village des Nans, proche de Champagnole. Aujourd’hui, c’est dans la zone industrielle de Poligny que l’on retrouve Jean-Luc Guichard directeur et co-fondateur de la société...

Décod’hor est spécialisée dans le décoltage de précision, dans la minuscule pièce que l’on retrouve notamment dans les mécanismes d’horlogerie. L’horlogerie qui fut l’essentiel client de Décod’hor depuis sa création. Depuis quelques années, la société a diversifié son activité vers l’automobile et le médical, deux secteurs qui utilisent aussi de petites pièces.

“Nous souhaitions éviter les variations de

commandes subies dans l’horlogerie. Nous avons obtenu la labellisation ISO 9001 et la certification 13485 pour le médical. Ces deux nouvelles activités nous ont amenés de nouveaux clients et une progression significative du chiffre d’affaires. Nous nous sommes rapidement retrouvés à l’étroit aux Nans. Nous avons donc décidé de construire ici sur la zone industrielle de Poligny. L’objectif de venir à Poligny est

aussi de pouvoir mieux recruter le personnel nécessaire pour nos 35 machines à commande numérique.

Le nouveau bâtiment couvre 2 000 m2 et nous avons la possibilité de 1 000 m2 supplémentaires car nos marges de progression sont encore réelles à l’avenir. Ici, nous avons pu créer un service qualité avec 4 personnes. Nous avons gagné en confort de travail à tous les niveaux” explique Jean­Luc

Guichard. La société Décod’hor a su prendre les bonnes décisions au bon moment pour assurer son développement. La société emploie aujourd’hui 15 salariés et profite de son savoir­faire pour développer une clientèle spécifique. Si les pièces produites ici sont minuscules, la qualité du travail fourni ne l’est pas !

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En BOIS depuis toujours puisqu’à l’atelier créé en 1980 à Abergement le Petit par Gilbert (le père), les dégauchisseuses, les raboteuses, les ponceuses font toujours des copeaux. “On répond aux commandes spéciales notamment de portes d’entrée, de portes intérieures, de portes de garage, de pergolas… venues de clients res­ pectueux de notre tradition”, sourit Dominique, le chef d’atelier.

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En proposant depuis 2008, une gamme de menuiseries toutes frappés du drapeau bleu blanc rouge, c’est­à­dire exclusivement fabri­ quées en France, elles sont toutes garanties 25 ans. “C’est aussi et surtout la certitude de retrouver une pièce détachée, une poignée, un gond… bien longtemps après la vente”, se satis­ fait Christophe Poux.

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Maison du Comté ça se précise…

L’ouverture de la nouvelle maison du Comté est programmée pour la fin de l’année. C’est un étendard pour la filière Comté et un outil de communication et de promotion avec une attente de 30 à 40 000 visiteurs par an. La déambulation est prévue en visite libre avec un parcours scénographique qui conduira le visiteur à la découverte de la vie du Comté. Un film immersif, plutôt poétique, avec une ambiance qui valorise les valeurs du Comté accueillera le visiteur. Ce dernier partira ensuite à la rencontre des producteurs de lait, des fromagers et des affineurs pour comprendre le processus de fabrication du

Comté. Le terroir, le cahier des charges et l’humain seront aussi expliqués aux visiteurs. Le tout représente 1 500 m² tous espaces confondus. Un parcours des sens dédié au sensoriel, au toucher, à l’écoute expliquera les subtilités et les saveurs du Comté… La visite se termine inévitablement par une dégustation pratique du Comté avec une relation humaine qui s’instaure. Le parti pris : le retour sur les bases du terroir qui font le Comté. Les visites guidées seront possibles et le parcours fera environ une heure. Un espace sera réservé aux ateliers pédagogiques et culinaires pour les classes…

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n°1 - Février 2020

Lettre d’information du Groupe scolaire Mont Roland - Dole

QUAND SPORTS ET LANGUES RYTHMENT LA SCOLARITÉ…

X VOUS AU Z E D N E R S OUVERTE PORTES

SPORTS - EPS ADAPTÉE SPORTS EMPLOIS DU TEMPS AMÉNAGÉS

15 h 10, l’heure du sport...

Si le sport est bon pour la santé, au collège Mont Roland cʼest aussi une bonne occasion de conjuguer scolarité et passion sportive. Et pour le coup, disons que cʼest sport ! En bénéficiant dʼun emploi du temps aménagé trois après-midi par semaine dès 15 h 10, ce sont pus de 200 élèves qui se répartissent sur les nombreux sports proposés en partenariat avec les clubs locaux : football, handball, judo, natation, rugby, self défense, gymnastique et cirque. Des activités qui sʼadressent aux filles et aux garçons et qui sont encadrées par des éducateurs diplômés fédéraux ou dʼEtat. Mais quelle organisation, quelle prouesse même, quand les éducateurs viennent chaque après-midi chercher les élèves pour les conduire sur les différents sites dʼentraînements en fonction des disciplines. Un rituel orchestré par Corinne Sarthe et Agnès Saintilan les deux coordinatrices

Margaud Bressand, Astrid Aubert-Peignot, Fanny Wolff, Lucile Morey, Alexandre Bourgeat et Corinne Hadorn professeur.

en charge du suivi, des relations avec les clubs partenaires, les éducateurs, les professeurs principaux, les parents... un suivi global et indispensable pour suivre lʼévolution des élèves, tant dans la scolarité que dans les sports, cʼest un équilibre à respecter. Les élèves ou équipes représentent le collège en compétitions UNSS le mercredi et sont souvent qualifiés pour les phases finales nationales. Par ailleurs, la plupart des élèves sont licenciés dans les clubs partenaires pour participer aux compétitions fédérales. Le collège Mont Roland dispose aussi de deux sections sportives scolaires en football et en natation, toujours en lien avec les clubs locaux. Le sport au collège Mont Roland est un marqueur, une référence... pas étonnant alors que les élèves viennent parfois de loin et que les clubs locaux nʼhésitent pas à postuler. Ici le sport, cʼest du sérieux !

Dispensés mais notés quand même !

LʼEPS adaptée est une spécificité du groupe Mont Roland depuis 10 ans.

“Nous faisions alors le constat que quelques élèves restaient privés de sport car dispensés pour des problèmes de santé, de blessures ou de handicap.

Des élèves dispensés parfois à l’année et sans possibilité d’obtenir une note d’éducation physique au bac comme le reste des élèves. Nous nous sommes demandés comment les amener à faire du sport malgré leurs empêchements” explique Corinne Hadorn, professeure dʼEPS. Ainsi a germé lʼidée dʼadapter à ces élèves les cours dʼEPS ou de proposer des horaires aménagés qui leur soient réservés avec des disciplines spécifiques. Une réponse innovante qui a fait son chemin et qui est maintenant acceptée par les élèves qui obtiennent ainsi une note au bac mais aussi les parents et les médecins qui prennent en compte cette éventualité. Les horaires aménagés sont ouverts aux lycéens du technologique, du professionnel et du général soit une trentaine dʼélèves qui pratiquent la sarbacane, le tir à lʼarc, la musculation... “La note au bac encourage les élèves à participer. Mais cela permet aussi d’avoir une activité, de mieux connaître son corps, de partager avec les autres... ce n’est pas une punition mais un bienfait” conclut Mme Hadorn qui partage ces cours avec sa collègue Mathilde Palanghi.

Alexandre Bourgeat, Terminale ES : “Cela permet d’être comme les autres, nous sommes sur le même pied d’égalité. Ça maintient en forme, ça permet de se libérer l’esprit et de travailler sur son corps. Je viens avec beaucoup de plaisir”

LANGUES AU COLLÈGE

ERASMUS - BAC PRO ET POST BAC

Deux langues plus tôt, c’est mieux !

L’allemand en LV1 c’est bien aussi...

Stages à l’étranger, une ouverture en plus, une découverte assurée !

Côté langues, au collège Mont Roland on commence fort avec la possibilité dʼun enseignement bi-langues dès la 6e. Anglais/allemand ou Anglais/espagnol via des horaires aménagés et intégrés dans lʼemploi du temps de lʼélève qui progresse ainsi plus vite. Le cursus normal reste possible avec anglais ou allemand (spécificité du collège Mont Roland) en langue vivante 1 et une deuxième langue au choix en 5e parmi anglais, allemand, espagnol ou... portugais (unique dans lʼacadémie). Les élèves poursuivent ensuite ces deux langues au lycée Mont Roland, portugais compris.

NOUVEAU - LANGUES CLASSE INTERNATIONALE

CM2 de Sainte Ursule en cours d'allemand avec Claire Brocard, professeure d'allemand au collège. Ces élèves se préparent à intégrer la classe bilangue anglaisallemand en 6e.

C’est unique, c’est au lycée Pasteur Mont Roland !

Ouverture de la classe internationale au lycée qui ouvre la possibilité de poursuivre bi-langues avec des horaires aménagés. Cʼest la création dʼun parcours dʼexcellence pour des jeunes qui poursuivent une formation poussée sur la base dʼune heure en plus par langue vivante et une heure en plus dans une discipline non linguistique en anglais. On peut ainsi parler dʼimmersion dans le monde des langues avec à la clé un niveau important et reconnu. Formation ouverte à tous sur aptitudes.

Tous les étudiants en Bac Pro ou en Post-bac sont tenus de suivre un stage en France, mais pourquoi pas aussi à lʼétranger ? Voilà une alternative, sur la base du volontariat de lʼélève, que lʼon tente ici de rendre possible grâce à des subventions de lʼEurope et de la Région Bourgogne-Franche-Comté et en lien avec les familles, les enseignants et les entreprises à lʼétranger. Cela représente une vingtaine dʼélèves par an qui reste à lʼétranger un mois pour les BAC pro et deux à trois mois pour les Post BAC, une expérience plutôt enrichissante. Depuis 2001, de nombreux partenariats se sont tissés, essentiellement dans des théâtres nationaux, car de nombreux étu-

diants de la filière costumes suivent ces stages en Belgique, Autriche, Italie, Tchéquie... Une belle ouverture culturelle pour découvrir dʼautres méthodes de travail, approfondir ses compétences professionnelles et linguistiques. “C’est avant tout une découverte personnelle, on encadre les élèves dès le choix et l’organisation du stage jusqu’à leurs retours. On leur rend visite à tous pour s’assurer du bon déroulement et tisser des liens avec les partenaires. Ils rentrent heureux d’avoir vécu une belle expérience... Certains y retournent même pour travailler...” explique Catherine Coutureau en charge du suivi et de lʼorganisation des stages.

Vous êtes intéressé ? Bulletin possible dʼaptitude lors de la journée Portes Ouvertes le samedi 4 avril avec des professeurs du lycée. Nʼhésitez pas...

www.groupemontroland.fr

vivre ici 15

Pays de Lons n°146 - février 2020

Lons-le-Saunier

Le calendrier 2020 des paysans-producteurs du marché est devenu introuvable !

Le marché des paysans-producteurs qui se déroule tous les mercredis soir place du 11 novembre à Lons, rencontre de mois en mois un succès grandissant.

En effet, ils présentent leurs produits bio tels que des fruits et légumes, de la viande, des confitures, du pain… des aliments de saison cultivés sur place, le plus sainement possible.

“La vente directe en circuit court nous permet de vivre dignement de nos passions et aux consommateurs d’apprécier la bonne chair.

Tout le monde y trouve son compte”, confirme Valentine, une fervente de la manifestation hebdomadaire.

Carolie Chaffy­Grandclément, productrice entre autre de fromages au lait de brebis à Augisey prend l’initiative de rassembler ses troupes afin de créer un événement “à notre image” en guise de cadeau aux assidus du marché. “L’unanimité s’est faite instantané­ ment autour d’un calendrier” se réjouit­elle.

Pour les illustrations, il fallait un photographe et un bon. Les douze ont vite désigné Jérome Genée, un professionnel qui a fait ses armes dès 1990 à l’occasion d’événements sportifs internationaux tels que les courses automo­ bile, les descentes vertigineuses en VTT...

Baroudeur autour des continents, il s’en est allé “des déserts où il a gelé, à ceux où il a

transpiré”. Revenu, il marche sans jamais cou­ rir, découvre le Jura, ses terres rudes aux innombrables contrastes et à un style inimita­ ble, il ajoute son imagination afin d’entraîner nos artisans dans des postures inattendues où transpire une sensualité discrète jamais vul­ gaire. “C’est beau, c’est chouette, ça leur res­

semble...” les éloges fusent, les clients appré­ cient et réserveraient, si c’était possible, la prochaine édition. A tous ceux qui ont eu la chance de repartir avec un exemplaire sous le bras, un conseil : “gardez le précieusement, il va prendre de la valeur”.

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Lons-le-Saunier - 21 et 22 février

Sens de l’organisation / rigueur

L’association Novata Records & Fils présente Barath’lons #3

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L’évènement hivernal soutenu par la Ville de Lons-le-Saunier revient les 21 et 22 février !

2 jours 7 bars partenaires et 1 bar éphémère 1 Marché d’Artisans 11 groupes et 3 DJ Des boissons à tarifs réduits

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Les concerts sont tous gratuits !

PROGRAMMATION : • VENDREDI 21 FÉVRIER ­ SILENT PARTY Troquez votre bonnet contre un casque audio, choisissez un canal et écou­ tez nos DJ. En changeant de canal, vous voyagerez entre les univers de Tomulic (80’s/90’s), The Dead Mix (Rock/Electro) et Basslime (Drum & Bass/Dub). Quittez votre casque et écoutez le silence de notre belle ville de Lons­le­Saunier, un soir d’hiver.

20 h 10 ­ 21 h 10 : Toni Merguez (reprises manouches) @ L’Etoile Food & Wine 21 h 20 ­ 22 h 20 : Bambou The Band (Pop) @ Bar La Paix 21 h 20 ­ 22 h 20 : Blend Of Stones (Hard Rock) @ Le Troquet 22 h 30 ­ 23 h 30 : Spoon God (Cold Wave) @ Café du Palais Lons • SAMEDI 22 FÉVRIER ­ MARATHON DES BARS 22 h 30 ­ 23 h 30 : @Motis (Rock Progressif) @ Café de La Perle Voguez de bars en bars muni de votre fidèle compagnon (votre gobelet 00 h ­ 01 h : 2 OhmsLoad (Electro Dub) @ Darius CLUB Officiel. réutilisable) et buvez la programmation selon vos envies.

14 h ­ 15 h : Fat Jeff @ Le Chalet (Bar éphémère Place de la Liberté) – Pour bénéficier des tarifs réduits dans les bars partenaires, il faudra 15 h 15 ­ 16 h 15 : Grumpy O Sheep (Bar éphémère Place de la Liberté) s’acquitter du Saint­Graal, bracelet du Barath’Lons à 3 € !

16 h 30 ­ 17 h 30 : Farmall (Country) @ Le Chalet (Bar éphémère Place de – Un marché d’artisans se tiendra Place de la Liberté durant tout l’évène­ la Liberté) ment. Pour les plus wawash ou les plus bobos, il y en aura pour tous les 18 h ­ 22 h : Tizasek (Dj Set Electro) @ Le Chalet (Bar éphémère Place de goûts, toutes les papilles. Du 100 % local ! la Liberté) La consommation de musique est fortement conseillée tout au long de 19 h ­ 20 h : Cognuss (Balkan Electro) @ Léonz’ Café la vie. L’abus d’alcool est dangereux pour la santé.

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>>>Formation Lycée professionnel et CFA : ce qui les distingue Le lycée professionnel et le CFA préparent aux mêmes diplômes mais pas avec le même statut. La formation pratique se décline plus en atelier pour l’un, en entreprise pour l’autre.

660 000 élèves sont scolarisés en lycée profession­ nel où ils préparent un CAP en deux ans ou un bac pro en trois ans. Dans des domaines d’activités très variés, il existe une centaine de spécialités en bac pro, le double en CAP ! L’enseignement comprend les disciplines générales (français, maths, histoire­ géographie…) et des travaux pratiques effectués en atelier ou sur chantier. Des stages en entreprise ponctuent la formation, à raison de 12 à 16 semaines répartis sur deux ans en CAP et 22 semaines sur trois ans en bac pro.

En application progressive depuis la rentrée 2019, la réforme du lycée professionnel regroupe cer­ taines filières en “familles de métier” en classe de Seconde, instaure la production d’un “chef­d’œu­ vre” en Première, introduit les options “insertion professionnelle et entreprenariat” ou “poursuite

d’études” en Terminale, année qui pourra désor­ mais être effectuée en alternance.

Des élèves salariés L’alternance, c’est la colonne vertébrale de l’ap­ prentissage. Les centres de formation sont soumis au contrôle pédagogique de l’État mais ne dépen­ dent pas de l’Éducation nationale. Ils perçoivent la taxe d’apprentissage (leur principale ressource) et sont gérés par des chambres de commerce, des métiers, de l’agriculture, des entreprises, des asso­ ciations.

Les apprentis ont un contrat de travail et le statut de salariés. Ils doivent trouver un employeur qui accepte de les embaucher pour pouvoir intégrer le CFA, au rythme d’une semaine de cours pour deux semaines de travail en entreprise. Ils n’ont

pas de vacances scolaires mais des congés payés !

Le contenu de la formation au CFA est identique à celui proposé en lycée professionnel mais il y a moins d’heures de cours (800 heures pour le CAP,

28 % des contrats en apprentissage sont rom­ pus prématurément. Un chiffre qui grimpe à un 38 % pour les moins de 18 ans. Dans la plupart des cas, l’entreprise constate que l’apprenti ne répond pas aux attentes ou jette l’éponge de lui­même. Ces ruptures ont, pour causes princi­ pales, des conditions de travail et horaires par­ fois difficiles, une intégration compliquée au sein du personnel, un manque de repères des jeunes qui se découragent, voire des problèmes de comportements…

Afin d’éviter de tels échecs, un nouveau module de formation est mis en œuvre depuis mars 2019. C’est la prépa­apprentissage qui “doit permettre à des jeunes, aujourd’hui insuffisam­ ment préparés, de réussir leur entrée en apprentissage”. Une sorte de “sas” en amont du contrat d’apprentissage conçu pour un accompagnement sur­mesure d’une durée variable, de quelques jours à plusieurs semaines ou mois. Le public visé : les jeunes peu ou pas qualifiés, ayant atteint au mieux le niveau CAP ou le bac sans l’avoir validé, rési­ dant dans les quartiers urbains prioritaires ou les zones rurales à revitaliser.

Remise à niveau et savoir-être Selon le ministère du Travail, une première sélection a retenu 19 projets portés à 150 cen­ tres de formation d’apprentis (CFA) offrant au total 28 000 places en prépa­apprentissage dans l’Hexagone. Les secteurs peinant à recru­ ter sont les premiers à s’engager dans ce nouveau dispositif, à l’image de l’industrie, du bâtiment, de l’agroalimentaire et de l’hôtellerie­ restauration.

L’UIMM (union des industries et métiers de la métallurgie) propose ainsi des modules de for­ mation dans plusieurs régions qui se déroulent en CFA et en stage en entreprise. Au pro­ gramme : découvrir les métiers industriels (chaudronnerie, maintenance, usinage, conduite de ligne), visiter des entreprises, remettre à niveau ses compétences de base (lecture, écriture, calcul…), développer son relationnel (communication, savoir­faire), approfondir l’approche du métier choisi et apprendre à consolider un argumentaire pour réussir un entretien d’embauche. Car l’objectif final est bel et bien d’être capable de signer un contrat en apprentissage et de s’intégrer dans le monde du travail.

APEI­actualités

Village Vacances

APEI­actualités

Pour inciter les jeunes à se tourner vers l’apprentissage, rien de tel que partager l’expérience de ceux qui le vivent, via une web-série sur la chaîne YouTube : #DémarreTaStory Cette web-série a pour but de “lever les idées reçues sur l’apprentissage et convaincre d’autres jeunes à choisir comme eux cette voie d’excellence”.

Une “prépa” pour réussir en apprentissage Nouveau dispositif de formation, la prépa-apprentissage s’adresse en priorité aux jeunes peu ou pas diplômés afin de les aider, en amont, à réussir la rentrée en apprentissage.

1 850 heures pour le bac pro) en raison du temps passé en entreprise qui constitue une expérience très appréciée sur le marché du travail.

Bac général - enseignement de spécialité : comment choisir ?

Exit les filières L, ES et S ! Pour le bac général, les lycéens suivent désormais un tronc commun et doivent opter pour trois enseignement de spécialité. Un choix parfois compliqué.

En supprimant les filières générales L, ES et S, la réforme du lycée et du baccalauréat impose désormais aux lycéens de choisir les enseigne­ ment de spécialité qui s’ajoutent au tronc com­ mun.

Dès le deuxième trimestre de la classe de Seconde, les élèves doivent exprimer leurs intentions d’orientation en émettant 4 ou 5 sou­ haits de spécialité parmi 12 propositions puis en retenir trois en fin d’année scolaire afin qu’elles s’inscrivent dans leur programme de Première.

Deux de ces trois spécialités seront conservées pour la Terminale, celle qui ne sera pas poursui­ vie faisant l’objet d’une évaluation écrite en fin de Première.

Centres d’intérêt ou option sélectives ?

Faut­il choisir en fonction de ses centres d’inté­ rêt, de sa curiosité pour une matière ? Ou dans la perspective d’un futur parcours profession­ nel ? “Il est important de suivre la pente de son désir” répond le ministre de l’Éducation natio­ nale, Jean­Michel Blanquer, estimant que sa réforme offre la possibilité de “faire des essais, des erreurs car il est normal qu’à l’âge du lycée, on puisse changer d’avis”.

Dans le cas “où l’on a des idées très claires sur le métier que l’on veut faire, le mieux est de regarder les attendus préconisés par l’enseigne­ ment supérieur”.

Reste qu’avoir un plan de carrière à 15 ou 16 ans,

c’est plutôt rare et que toutes les spécialités ne sont pas disponibles dans chaque lycée. Alors, beaucoup d’élèves et leurs familles préfèrent jouer le côté pratique et la prudence, optant pour les spécialités réputées plus sélectives en vue des études supérieures et du classement Parcoursup.

Sans surprise, les maths, la physique­chimie et la SVT (ainsi que la combinaison des trois) ont été, de loin, les plus choisies pour l’année scolaire 2019­2020 !

Un site pour vous aider Pour vous aider dans votre choix, n’hésitez pas à consulter le site horizons2021.fr mis en place par l’Onisep. Très pratique, il permet de tester des combinaisons de spécialité avec leurs pers­ pectives en terme d’enseignement supérieur et de métiers. Vous trouverez aussi des informations utiles sur le site quandjepasselebac.education.fr APEI­actualités

Infos pis www.le-ductes sur (webcam enhet.com direct)

Ouvert toute l’année Possibilité de réserver votre séjour ou votre location de chalet à ossa ture bois en ligne !

Séjours tout compris individuels, familles, scolaires, groupes et séminaires

Site nordique : pistes de ski de fond, raquettes et luge…

Location de matériel - Bar et restauration sur place - Chalets bois tout confort en location

BAC BTS TEC CAP HNO Provocatrices de réussites LIC - BP E Form NC atio EP ns s cola RO ires et a pp rent issa ge

9h -17h

PORTES OUVERTES Samedi 15 Février et Samedi 14 Mars 2020 à Mamirolle (25) et à Poligny (39)

Produits alimentaires innovants Aliments et Boissons

Biotechnologies Eau et environnement

Produits laitiers et fromages

Métiers des laboratoires

% 4 9

n tio lle er nne s in o d’ essi of pr

recrutement.poligny@educagri.fr - recrutement.mamirolle@educagri.fr - www.enil.fr

Lycée Jean-Michel LONS-LE-SAUNIER

Vendredi 14 février 14 h - 18 h BTS uniquement

Samedi 15 février 9 h - 12 h

Filières BAC et BTS 400, rue du Docteur Jean-Michel - 39100 LONS-LE-SAUNIER - Renseignements : 03 84 35 26 00

18 loisirs et culture

Pays de Lons n°146 - février 2020

Connaissance du monde

Voyagez, tout en restant à Lons…

Connaissance du monde continue à diffuser toujours autant de film documentaire à Lons. C’est désormais Maryline Gaud qui assure la gestion locale.

Depuis deux mois, c’est Maryline Gaud qui a repris les rênes de Connaissance du Monde à Lons. Après 25 ans d’investissement, les époux Mouillot ont passé la main à l’ancienne directrice générale des services à la ville de Lons et d’ECLA. “J’ai toujours apprécié Connaissance du monde.

J’en ai profité en étant scolaire et j’ai toujours vu Connaissance du monde fonctionner pendant ma carrière”. Voyageuse régulière, c’est tout naturel­ lement qu’elle s’est portée volontaire pour deve­ nir la correspondante locale de la structure.

Tohu-Bohu présente Laurent Berger auteur-compositeur-interprète

LE 16 FÉVRIER À 16 H 30 À LA SALLE POLYVALENTE

Chansons de l’instant, chansons de rencontres, Laurent Berger a l’art de fouiller derrière les apparences et de nous faire redécouvrir nos propres vies d’individus, de citoyens ou d’amants. Avec juste le grain d’une voix et la chaleur d’une guitare, les mots se font corps, paysages, fleuves, vents, silences… Ils se font ruptures, espérances, sens, contresens, espaces, temps, contretemps, signes de vie, lignes de fuite… Avec désormais cinq albums à son actif, Laurent Berger est reconnu pour son inspiration singulière et son écriture sensible et imagée.

“L’auteur est toujours présent et commente son film”

avec le programme éducatif sont intéressantes.

Autre challenge pour la correspondante lédo­ nienne : retrouver la confiance des 150 adeptes réguliers. “Le public ne savait pas forcément que Connaissance du Monde avait repris…”. Avec les communications et les affichages multiples, Maryline Gaud espère attirer davantage de public, venant même parfois depuis la Saône­et­ Loire ou le Haut­Jura pour participer…

F.P

www.connaissancedumonde.com.

Contact pour toutes questions : gaud.alain@aliceadsl.fr

Avec pour objectif la “diffusion de reportages pour faire connaître le monde”, les séances se poursuivent ensuite toujours avec les commen­ taires de l’auteur. “Tous les grands explorateurs sont intervenus dans Connaissance du monde…

C’est d’ailleurs un Jurassien, Paul Émilie Victor qui a créé l’association nationale en 1945. Si aujourd’hui il y a d’autres moyens de faire connaî­ tre le monde, l’auteur est toujours présent et com­ mente son film”. 400 salles en France proposent aujourd’hui la diffusion des films de voyage avec Connaissance du Monde. Les 20 à 25 auteurs réguliers font voyager le public. Les spectateurs sont souvent des retraités sait pertinemment Maryline Gaud. Elle souhaite d’ailleurs dévelop­ per le public scolaire pour la prochaine saison, avec des projections directement dans les établis­ sements scolaires. Entre le souhait de s’ouvrir aux autres, de découvrir de nouvelles cultures et la richesse de notre monde, les correspondances

Hell

Les prochaines projections Connaissance du Monde • 5 février : Canada, Terre de grands espaces • 18 mars : Amsterdam, héritière du siècle d’or • 8 avril : Splendeurs des lacs italiens, de la Lombardie à Venise • 13 mai : 2050, nourrir 1 milliard d’humain Ouvert à tous, sans réservation.

Au Carcom à 14 h 30 et à 20 h 30 pour chacun de ces mercredis.

Tarifs : 9 € (abonnement 8 séances 50 €). Tarif réduit pour les retraités : 8 € (abonnement 44 €). Scolaires : 4 €.

Maryline Gaud, nouvelle correspondante locale à Lons pour Connaissance du monde

by

Totalement 80

David Hallyday Chanson

MARDI 10 MARS

Anne Roumanoff

Black M

Concert

Concert

VEND. 14 FEVRIER

SAMEDI 21 FÉVRIER

Celtic Legends

Le Canard à l’orange

One woman show

Spectacle

VENDREDI 27 MARS

MERCREDI 8 AVRIL

Théâtre

Dire Straits Tribute

www.doletourisme.fr

SAM. 7 MARS

One man show

SAMEDI 25 AVRIL

Les danses du soleil Spectacle

SAMEDI 6 JUIN

DIMANCHE 19 AVRIL

www.lacommanderie-dole.fr

Concert

Sellig

Réservations Dole Tourisme Place Grévy - Dole 03 84 72 11 22 billetterie@hellodole.fr www.hellodole.fr www.lacommanderie-dole.fr

Supertramp &

www.dolexpo.fr

OuLaLa !

Mag’culture

AGENDA

L’Amuserie

Barto Contorsion, jonglage, corde molle, brin de folie…

Barto est un personnage lunaire, excentrique tout droit sorti d’un dessin animé ou d’un film de Tim Burton. Il a un sacré talent technique d’homme de cirque et tourne son solo loufoque à travers le monde. On a de la chance qu’il s’arrête à l’Amuserie !

TRIO LILAS (jazz)

DIM 02 FEV 18 h 30

DARIUS CLUB

Vendredi 7 février - 21 h - 5 € / 10 € Clown élastisque. Théâtre Gili Gili (BE).

Réservation possible (mais pas obligatoire) au 03 84 24 55 61

Parbleu !

Ces deux-là forment un vieux duo de bonhommes très particuliers et indéfinissables !

Poétique sans être niais, très inventif, technique et précis. Limite perché ! C’est du théâtre d’objets et de corps humain qui ne copie rien de connu et tant mieux. Il y a de la vraie acrobatie, de l’absurde, du mouvement lent, de la dextérité, de l’idiotie drôle. Et sans doute, du génie dans ce style… inclassable !

Vendredi 21 février - 21 h - 8 € / 12 € - Drôles de types ! par l’Atelier Lefeuvre & André (75) Grande Salle du Bœuf sur le Toit. Réservation possible (mais pas obligatoire) au 03 84 24 55 61

Douceur et énergie se dégagent des compositions et de lʼalchimie des timbres utilisés, pour une musique qui se veut à lʼimage de cette fleur emblématique du printemps : parfumée, colorée et symbole de renouveau. Le Trio fera souffler un air de printemps en plein cœur de lʼhiver, nous avons hâte de le recevoir !

BILLETTERIE EN LIGNE

COMIC STRIP (chanson française)

MER 5 FEV 18 h 30

DARIUS CLUB

Comme un scénario envoûtant, les textes de Serge Gainsbourg prennent vie à travers le récit fictif dʼune passion amoureuse en plusieurs épisodes. Une voix féminine enveloppante, des morceaux détournés, enrichis par une recherche rythmique à lʼimage de cet artiste : sensible et provocateur.

BILLETTERIE EN LIGNE

ZEROLEX (electro)

MER 12 FEV 21 h 00

DARIUS CLUB

“Le son pour moi, cʼest déjà une recherche de textures, de couleurs. Quʼon arrête de vouloir ranger les morceaux dans des catégories ! Je fais de la musique électronique. Une musique plutôt instrumentale et abstraite, mais qui va aussi puiser dans le Jazz, le Hip-Hop et des influences plus Club parfois. Une musique qui peut être aussi dansante que déstructurée.”

BILLETTERIE EN LIGNE

Les Scènes du Jura

La beauté du geste Les rapports entre l’action théâtrale et l’action politique à travers les tribulations d’une troupe de comédiens confrontés aux questions de leur temps. La “Beauté du geste”, titre initial de la trilogie, est devenue entre-temps une seule et même pièce, mais découpée en trois actes, car 3 est un chiffre solide : par exemple, il faut trois pieds pour faire tenir un guéridon debout...

Lons-le-Saunier, Le Théâtre, mardi 4 et merc. 5 février à 20 h 30 Théâtre-Création avec Nathalie Garraud et Olivier Saccomano

Bird on the wire De Monteverdi à Pink Floyd, de Verdi à Bob Dylan, des rengaines des États-Unis à celles des rues de Salvador de Bahia, en passant par des mélodies russes et des chants maloya, c’est tout un florilège que ces deux oiseaux migrateurs vous offriront afin de vous faire rire, pleurer, vibrer ou frissonner.

Lons-le-Saunier, Le Théâtre, vend. 7 février à 20 h 30.

Musique avec Rosemary Standley - Dom La Nena

VEN 14 FEV MER 19 FEV 19 h 30

GRANDE SALLE

LES TRIBULATIONS D’UN CHINOIS EN CHINE Spectacle dʼenfants. Lʼhistoire se passe dans une Chine lointaine et imaginaire. Un riche seigneur se languit dʼennui et de bienêtre. Quand il apprend sa ruine, il demande lʼimpensable à son meilleur ami. Alors sʼengage une poursuite délirante et rocambolesque!”

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ALKPOTE (rap français)

SAM 15 FEV 20 h 30

GRANDE SALLE

Dernier représentant de cette catégorie de rappeurs sans le moindre filtre, Alkpote sʼinscrit dans la droite lignée de ces personnages aussi outranciers que fascinants, comme Serge Gainsbourg, Lou Reed ou Iggy Pop. Père spirituel de la nouvelle génération, il a servi de mentor à certaines des principales têtes dʼaffiche du rap actuel.

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FLYING ORKESTAR (funk, rock)

MER 19 FEV 21 H 00

GRANDE SALLE

Le plus de ces 6 musiciens est de faire voyager le public en Boukravie, petit pays imaginaire des Balkans où la musique festive et lʼhumour sont rois ! Sortez les cotillons, le groupe le plus célèbre du pays débarque pour offrir à votre public un nouveau show détonnant pour 2019-2020 !

BILLETTERIE EN LIGNE

PARBLEU ! (cirque, théâtre)

VEN 21 FEV 21 H 00

GRANDE SALLE

Voilà bientôt vingt ans quʼils se tirent le maillot avec une complicité toujours plus naturelle et un amour de la blague bien faite. Patiemment, année après année, Jean-Paul Lefeuvre et Didier André affirment leur attachement à une forme dʼartisanat laborieux et modeste, faisant dʼeux les adeptes dʼune sorte de “slow cirque”.

BILLETTERIE EN LIGNE

Gus Sébastien Barrier, cet homme à la parole-fleuve et au talent fou, vous invite à venir découvrir son premier spectacle tout public : le portrait à la fois tendre et sans concession d’un dénommé Gus. Qui est Gus ?

Un chat. Mais pas n’importe quel chat… Car le portrait de ce mistigri n’est qu’un prétexte pour dépeindre notre belle société et tous les mécanismes d’exclusion dont elle sait si admirablement faire preuve. Au bout du compte (du conte), vous vous apercevrez que Gus, c’est vous, c’est tout un cha(t)cun...

Lons-le-Saunier, Le Théâtre, vendredi 14 février à 20 h 30. Théâtre avec Sébastien Barrier

SHELTER MATHOROCK

MER 26 FEV 21 H 00

DARIUS CLUB

(concert) Trompette à réaction et guitares sous analeptiques te propulsent dans une danse tribale suant la vodka. Les riffs épileptiques fluorescents, sʼappuyant sur un colosse rythmique tentaculaire, te perforent comme un tir de Kalachnikov.

BILLETTERIE EN LIGNE

Un partenariat

Infos, programmation, billetterie…

www.lebœufsurletoit.fr

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