Pays de Lons 145

Page 1

N°145

Janvier 2020

Pays de Lons Journal GRATUIT d’informations

Toute l’équipe du journal Pays de Lons vous souhaite une bonne et heureuse année

2020 JOURNÉES

39 e DE

Lons-le-Saunier

L’HABITAT DU 24 AU 27 JANVIER 2020

Trois candidats de la majorité en lice… p. 4/5

À GAGNDEEL’ARIR

Pages 9 à 11

BAPTÊMES LFIÈRE, EN MONTGO VIALES,

et PARKINGS GRATUITS

REP RNIS… PANIERS GA

Vendredi 24 janvier

U BALADES FL OMIQUE, N O TR S AS GA

Pages spéciales

REUX ET DE NOMB S AUTRES LOT

Evita Muzic

Cycliste professionnelle

p. 02

ENTRÉE

G

JEUX CONCOURS G

G

CONFÉRENCES

RESTAURATION SUR PLACE TERROIR

14 h : Ouverture 18 h 30 : Inauguration

Samedi 25 et dimanche 26 janvier 10 h à 19 h

Lundi 27 janvier 10 h à 18 h

G

DOLE

Bletterans

Stéphane Lamberger candidat p. 03

LE PARTENAIRE À VOTRE SERVICE EN 2020 ! NETTOYAGE INDUSTRIEL

SERVICE À DOMICILE

TRAVAUX DU BÂTIMENT

03 84 82 49 90 - www.journeehabitatdole.fr

03 84 24 43 45

www.grouperubin.fr DÉCAPAGE - AÉROGOMMAGE

Avant

Après


2 actus

Pays de Lons n°145 - janvier 2020

Portrait du mois

Evita Muzic : “Mon nouveau rêve :

championne du Monde… ” Evita Muzic est cycliste professionnelle depuis le 1er janvier 2020 dans l’équipe de la Française de Jeux. Elle a débuté à l’âge de 5 ans au Guidon Bletteranois. Elle est championne de France espoirs et vise bien d’autres titres. Rencontre… Evita Muzic qui êtes-vous ? Je suis née à Lons en 1999. J’ai fréquenté l'école Artistide Briand en primaire, le collège Rouget de Lisle et ensuite directement le lycée Jules Haag à Besançon en Pôle espoirs cyclisme Bourgogne Franche-Comté. J’ai obtenu le BAC avec mention en 2016 et je suis entrée en deuxième année de STAPS (sciences et techniques des activités physiques et sportives) grâce à mon statut de sportive de haut niveau. J’ai validé ma licence en mai dernier. Pour l'heure, je suis inscrite en master MEEF (Métiers de l’Enseignement, de l’Education et de la Formation) et depuis le 1er janvier 2020 mon métier est “cycliste professionnelle”, mon rêve de petite fille ! Comment avez-vous débuté le vélo ? Avec mon papa qui tient les “Cycles Muzic” à Lons depuis 25 ans et ma maman qui entraînait au Guidon Bletteranois j'ai fait du vélo à 3 ans et mes premières courses à 5 ans. J'ai donc débuté au Guidon Bletteranois avec ma maman dans le club dirigé par Roger Chevalier. Une super bonne école jusqu’en minimes avant de rejoindre l'Amicale Bisontine à Besançon à 14 ans. Vous avez rapidement gagné des courses ? Oui, j'ai gagné des courses dès le plus jeune âge, je battais même les garçons ! Je participais à des courses toute l'année car je courais sur route et en cyclo-cross. J’y allais toujours pour gagner, je n'aimais pas perdre. J’ai beaucoup progressé au Pôle espoirs à Besançon, une progression linéaire qui m'a emmenée en compétitions nationales et inter-

nationales durant ma terminale, j’étais souvent en déplacement. J'ai eu quand même mon BAC avec mention AB, j’étais contente. Vous devenez championne de France juniors en 2017 ? Oui avec l'équipe de Bourgogne Franche-Comté. On a fait une belle course. Je ne m'y attendais pas, j’ai tout donné et, ce jour-là, ça a marché. Cela m'a bien aidé pour rentrer comme espoir dans l’équipe féminine de la Française des Jeux. Le cyclisme féminin a bien progressé ces dernières années, je suis arrivée au bon moment, dans la bonne vague. 2019, encore une belle année. Vous êtes maintenant Championne de France espoirs ? Oui championne de France espoirs dames le 22 août à Beauvais, c'était une première pour cette catégorie. Encore une belle course avec l'équipe de Bourgogne Franche-Comté. J’ai gagné au sprint alors que je suis plutôt une grimpeuse ! J’ai participé à des épreuves de la coupe du monde avec la FDJ, j'ai fait deux fois première dans ma catégorie. J’ai fait le GIRO en Italie, une course de 10 étapes, c’était très dur. Je termine 26e au général et 3e en espoirs. J’ai participé aussi au championnat du monde avec l'équipe de France. J’ai franchi un cap en 2019, c’était une belle année.

tionnée pour les JO de Tokyo en 2020 mais le profil plat de la course ne m’avantage pas. Je me tiens prête sans pression supplémentaire. Je me préparerai pour les JO de 2024 à Paris, le profil me correspondra peut-être mieux. Maintenant je rêve d'un podium en championnat du monde et pourquoi pas un titre dans les années qui viennent ? Il faut rêver haut pour réussir. Comment virez-vous cette réussite ? Je suis à 100 % dans le vélo. Je m’entraîne tous les jours, je ne veux rien regretter. Il faut toujours y croire, ne jamais abandonner, aller au bout de ses rêves. Oui j'aime bien revenir ici à Lons, j'aime rouler ici, c'est un beau terrain d'entraînement.

Et maintenant, encore des rêves ? Je suis heureuse d'être cycliste professionnelle, c’est déjà un beau rêve de réaliser. En course, je reste espoir encore deux saisons. Je suis présélec-

Arlay : rendez-vous à la Pressée du vin de Paille La Pressée du Vin de Paille a lieu depuis 12 ans à Arlay pour la Saint-Vincent patron des vignerons mais aussi d’Arlay qui compte aujourd'hui trois vignerons. Le vin de paille est élaboré selon une méthode traditionnelle avec de belles grappes spécialement sélectionnées et pressées trois à cinq mois après les vendanges. Au départ une simple messe, cette fête traditionnelle s’est développée dans les rues pour célébrer la première pressée de l’année. Cette année encore, l’association “Brin de culture” prépare l’événement pour le dimanche 19 janvier avec la Commanderie des nobles vins du Jura et du Comté. Au programme messe (10 h), intronisation, pressée (11 h 45) et repas à la salle des fêtes. Les rues seront animées avec un marché des saveurs, des dégustations et des spectacles de rue et la fête patronale sur la place du village. Les enfants de l’école ont préparé une exposition sur leur propre pressée. C’est Marc Turpin, chef de Saint-Germain-les-Arlay qui prépare le repas gastronomique fixé à 40 euros sans les vins. Réservations auprès de Françoise Regard la présidente au 06 88 41 82 99 ou à l’épicerie du village au 03 84 44 90 77.

E TAT C I V I L

Pryshaïna de Sadjina M'KADARA et Msilimati HOUMADI, Lons­le­Saunier Tahir de Ugur KORKMAZ et Serap ONCU, Lons­ Margot de Eric GENTET et Julie BALZER, Arlay le­Saunier Tristan de Jean­Damien GIROD et Charline Mehmet de Ramazan ÇAKIR et Özlem ÖZÇELIK, BULLE, Beaufort Lons­le­Saunier Kenzo de Tiphaine CUENIN et Jessica LAUGIER, Iman de Laïd BENAISSA YAHIA et Amira LAMRI, Courlans Lons­le­Saunier Gabin de Enrik GUICHARD et Victorine Nino de Charly CONTINI et Clarisse MARILLIER, GUICHARD, Courlaoux Montaigu Augustin de Michaël ADRAST et Laure Amélia de Ivan GRANDCLÉMENT et Wendy SERVOUSE, Cressia THURTLE, Montmorot Hava de Sezer BAS et Patricia JANOD, Nogna Anaë de Kevin CERCLEY et Alexia COUCHOT, Larnaud Sana de Ali YAHIAOUI et Lydie MERCERET, Louise de Fabien VIVERT et Nadège LECOMTE, Perrigny Larnaud Émile de Amandine LAURENT, Perrigny Timéo de Damien LAFAIX et Flavie GREUSARD, Camille de Sylvain ROUVIER et Flore LIONEL­ Lons­le­Saunier MARIE­D'ARC, Pimorin

NAISSANCES

Jaya de Didier RAPIN et Charlène LAHEURTE, Plainoiseau Esma de Ugur BIYIK et Gulsum KOLU, Poligny Noa de Frédéric BELLERAUT et Charlotte BRUGNOT, Quintigny Loan de Nicolas BANDERIER et Charlène BEREPION, Thoiria Éthan de Damien PERREAU et Emilie EDELINE, Vertamboz Victoire de Dylan HENRY et Marie VIVIER, Villevieux DÉCÈS DAMMAN Stéphane, Beaufort, 84 ans PERROT Jacques, Besain, 68 ans PICAUD Adrienne, Bletterans, 86 ans VARRIN Chantal, Bletterans, 69 ans MARGUET Bernard, Blois­sur­Seille, 71 ans

Ruffey-sur-Seille : rendez-vous à la Percée du vin Jaune La Percée du vin Jaune a lieu cette année à Ruffey-sur-Seille le samedi 1er et dimanche 2 février. Pas une nouveauté car le village l’avait déjà accueilli en 2012. Jean-François Michel, seul viticulteur du village au Domaine des Toussons se réjouit d’accueillir 55 confrères dans les belles caves mises à disposition par les Ruffeysiens. Quelques indiscrétions nous laissent entendre que l’invité surprise viendra du monde du sport… Les parkings pour prendre les navettes sont prévus à Lons-le-Saunier et Bletterans alors que la sortie autoroute d’Arlay sera fermée. L’incontournable décoration est assurée par le comité de décoration et une équipe de 95 bénévoles sous la responsabilité de Patrice Brun et Marc Muttoni. “Nous avons choisi pour thème l’arcen-ciel et les vieux métiers de la vigne. Ce sera très coloré ! Des scénettes avec mannequins représenteront les vieux métiers dans les rues du village. Les ateliers de confection des

NICOLAS Jean, Cesancey, 91 ans FOISSOTTE François, Champrougier, 92 ans BERTRAND Juliette, Chaumergy, 90 ans MAILLARD Marie, Chavéria, 65 ans MICHEL Cécile, Cousance, 90 ans JOUVENCEAU Marcel, Cousance, 89 ans BOUTIN Henri, Lavigny, 84 ans DOYON Jeanne, Lons­le­Saunier, 77 ans BRESSAND Gérard, Lons­le­Saunier, 87 ans DERUTY Simone, Lons­le­Saunier, 98 ans COMMEREUC Yvonne, Lons­le­Saunier, 97 ans GRÉE Colette, Lons­le­Saunier, 91 ans ANTIER Colette, Lons­le­Saunier, 92 ans JOANNET Antoinette, Lons­le­Saunier, 92 ans FASSEL Irène, Lons­le­Saunier, 91 ans GILLE Janine, Lons­le­Saunier, 82 ans LARRAN Sébastien, Lons­le­Saunier, 52 ans BARBEAUX Jacqueline, Lons­le­Saunier, 67 ans

décorations ont débuté depuis le 5 septembre et se réunissent tous les lundis et jeudis. L’ensemble des décorations sera installé courant janvier : des guirlandes, des banderoles, des tonneaux peints des oriflammes et arc-enciel sur le vieux pont. C’est une grosse mobilisation, un travail formidable ! Nous remercierons tous les bénévoles lors de notre pré-percée à nous le 25 janvier. Une petite pause avant l’installation finale les derniers jours de janvier” nous explique Patrice Brun. Percée du vin Jaune, 1er et 2 février 2020. Pass’journée 20 euros, Pass’week-end 35 euros uniquement en ligne sur : www.percee-du-vin-jaune.com

BOISSARD Georgette, Lons­le­Saunier, 92 ans PICHERY Eliane, Lons­le­Saunier, 88 ans LOISEAUX Georgette, Lons­le­Saunier, 79 ans BUFFET Monique, Lons­le­Saunier, 86 ans VILLET Geneviève, LONS­le­SAUNIER, 102 ans BOFFY Annie, Moutonne, 83 ans BUATOIS Madeleine, Nance, 89 ans DAL GOBBO Joseph, Orgelet, 92 ans LEQUET Guy, Poligny, 99 ans JACQUEMARD Marie, Poligny, 86 ans DELACROIX Serge, Pont­de­Poitte, 62 ans LOUREAU Solange, Quintigny, 97 ans GAUTHIER Michel, Rotalier, 89 ans FAVIER Michel, Saint­Lothain, 86 ans OUDARD Patrick, Soucia, 61 ans PROST Renée, Villeneuve­sous­Pymont, 88 ans LAMBELIN Marie, Villevieux, 86 ans

Zone des Epenottes 39100 Dole Tél. 03 84 82 50 21 n°ISSN : 1 778-820X Imprimé en France

Rédaction : redaction@paysdelons.fr

Régie publicitaire Tél. 03 84 82 50 21 Portable 06 33 79 00 94 commercial@paysdelons.fr


MaG Élus Lettre de la vie politique et des échéances électorales - 01-09/19

BLETTERANS - STÉPHANE LAMBERGER

“Il faut avancer et encore innover pour lʼavenir...” Stéphane Lamberger est maire de Bletterans depuis deux ans maintenant. Son souhait est d’être élu maire pour valider une légitimité et poursuivre les grands projets validés ces derniers mois pour l’avenir de Bletterans… Que retenez-vous de ce mandat dont plus de deux années en tant que maire ? Je retiens que c’est un engagement fort au service de la ville, du territoire et des citoyens. J’aime ce travail d’équipe, je suis plutôt un développeur, j’aime imaginer et construire, c’est ce qui me passionne. Ce projet de revitalisation du centre bourg était ma mission depuis le départ. Je me suis investi plus encore en tant que maire. C’est différent, je suis au cœur des décisions, je suis dans le pilotage… Je suis comme un chef d’orchestre qui cherche les talents et les compétences pour créer une partition. Pour moi, les meilleurs projets sont collectifs, j’aime fédérer et avancer. Permettez-moi de remercier ici toute l’équipe municipale pour son investissement ces derniers mois. Quels étaient vos objectifs ? Notre ambition était de terminer et valider la programmation de revitalisation “centrebourg” avant la fin du mandat. Aujourd’hui c’est le cas et nous avons un beau projet qui va au-delà de ce que nous avions imaginé. Nous avons créé de belles perspectives pour l’avenir de Bletterans, pour le court, le moyen et le long terme. Nous avons maintenant

une vision commune. La grande rue est stratégique pour l’économie et le commerce, la place du Colombier sera plus un lieu de partage et de convivialité, la grande place de Bletterans. Ces deux chantiers débuteront prochainement. Vous êtes candidat pour poursuivre ? Oui je suis candidat à ma première élection par les citoyens en tant que maire. C’est important pour moi de me présenter au suffrage afin de valider une légitimité mais aussi une adhésion aux projets que nous portons. Oui je souhaite poursuivre les actions entamées. Dans quel état d’esprit êtes-vous ? Je suis volontaire, nous avons créé un cadre, maintenant il faut des choses concrètes, il faut avancer et encore innover pour l’avenir. Je pense à un lieu pour les jeunes, à la dynamique commerciale, à la vie associative, aux circuits courts, aux déplacements doux, à l’animation culturelle… Nous devons imaginer de nouveaux projets en lien avec la vie au quotidien. Nous avons valorisé la proximité et le monde agricole à la mi-septembre, c’est un engagement fort. Je crois au potentiel du monde rural, à nous de le valoriser, de privilégier l’artisanat et les commerces locaux. C’est une volonté et une organisation nécessaire pour notre avenir.

Quels sont alors vos souhaits pour l’avenir de Bletterans ? Nous devrons répondre à certains manques pour améliorer notre cadre de vie. Je souhaite que la place de la mairie soit plus vivante, un lieu de rencontre avec des terrasses, avec une nouvelle dynamique. La valorisation de l’eau qui nous entoure attirera aussi notre attention pour rendre les berges accessibles, pour favoriser les promenades. Il nous manque une maison pour les jeunes et les associations, ce sera en réflexion tout comme l’utilisation de la salle des fêtes et l’attractivité du marché. Il est important de mener une réflexion dans sa globalité au moment où les transformations majeures débutent. La vie associative est aussi importante ? La vie associative est une force pour Bletterans. Nous la soutiendrons encore, tout comme la dynamique culturelle qui se développe en lien avec la Communauté de communes. Associés à l’ensemble des services de proximité, ce sont des éléments qui favorisent l’attractivité de la ville et l’arrivée de nouveaux habitants, de nouvelles entreprises. Bletterans joue son rôle de bourg centre et dans ce sens il sera nécessaire d’améliorer notre offre de loge-

Rencontrez-nous au salon les journées de l'Habitat à DOLE Le bien-être à votre porte

Sauna

LA MAISON

LA POSE

SPA intérieur

Spécialiste tre du bien-ê SPA de nage

Quel est votre message pour conclure ? Au final, nous souhaitons réussir le projet “centrebourg” et accompagner au mieux les Bletteranois et les commerçants pendant les travaux. En parallèle, nous améliorerons la qualité de vie de chacun au quotidien. Bletterans reste une place forte du territoire, nous poursuivrons son développement en lien avec les communes voisines et l’évolution de Bresse Haute-Seille, notre communauté de communes qui assure de plus en plus de services. Nous avons constitué une équipe renouvelée pour moitié et nous travaillerons dans la continuité en valorisant tous les points déjà évoqués. C’est une équipe volontaire et représentative qui veut poursuivre les projets imaginés pour l’avenir. Je veux dire aux Bletteranoises et Bletteranois qu’ils peuvent compter sur moi pour poursuivre les transformations tout en favorisant la convivialité, le partage et un esprit de collaboration.

DE

— DOLEEXPO — (24 au 27 janvier 2020)

ments, dans la rénovation en centre-ville mais aussi en créant de nouveaux espaces de construction.

SPA SPA DE NAGE BALNÉO SAUNA HAMMAM

Salle de bain INFRAROUGE SANTUARY

! 0 2 0 2 r u o p x u e o v s r u Nos meille www.lamaisondelapose.fr 240, rue V. Puiseux 39000 LONS-LE-SAUNIER

03 84 47 15 24

SPA extérieur


MaG Élus Lettre de la vie politique et des échéances électorales - 01-09/19

Une longue période électorale se profile… Les élections municipales, intercommunales, départementales et régionales nous mènent, en effet, jusqu’en 2022. Pays de Lons entre en campagne avec un nouveau dossier mensuel, Mag’élus, consacré à l’actualité politique. Contact rédaction : Yvon Amiot au 06 81 33 19 67 ou yvonamiot@orange.fr

Lons-le-Saunier : trois élus de lʼactuelle majorité en concurrence… Jacques Pélissard n’avait sûrement pas imaginé un tel scénario. Ils seront trois candidats de sa propre majorité pour lui succéder, Christophe Bois, John Huet et Cyrille Bréro. A chacun son programme…

LONS-LE-SAUNIER - CHRISTOPHE BOIS - VIVRE LONS

“Les Lédoniens attendent une équipe sérieuse...” Christophe Bois est né à Lons, il est marié et père de deux enfants. Il est proviseur de lycée, élu au Conseil municipal depuis 2014 et Conseiller départemental de Lons 1 depuis 2015. A trois mois du scrutin, comment vous situezvous ? Avec Sophie Olbinski, nous sommes au travail en mairie, aux côtés de Jacques Pélissard et ce, jusqu'à la fin du mandat que nous ont confié les Lédoniens. En parallèle, nous constituons une équipe en vue des élections municipales dont je serai la tête de liste, le candidat au poste de maire. Notre équipe se finalise avec une belle diversité et une belle dynamique. Cette liste s’appellera “Vivre Lons”, une invitation à l'action mais aussi synonyme d'habiter, participer, échanger... Cela nous ressemble et on s’apprête à “Vivre Lons” au quotidien. A titre personnel, La République en marche me fait confiance, Sophie Olbinski est, de son côté, sympathisante Les Républicains et notre liste est traversée par des sensibilités de droite et de gauche. Pour nous, le principal est d’avoir Lons dans le cœur. Comment se passe votre présence sur le terrain ? Très bien ! Ceci n’est pas une nouveauté pour moi. Dans ma vie personnelle, professionnelle, d'élu au Conseil municipal et au Conseil départemental, j'ai des échanges courtois, amicaux et chaleureux avec les Lédoniens. Nous sommes en relation de confiance avec les habitants, les associations, les commerçants, les entreprises. On écoute, c'est un moment important pour répondre ensuite aux attentes. On commence à expliquer notre projet, à faire des premières propositions.

Comment définir Lons ville d’eau, ville verte ? C’est notre environnement, le bien-être aussi, le tourisme. L’eau se conjugue avec les thermes, les bains, les fontaines... Nous souhaitons revaloriser l’eau dans la ville et la rendre accessible à tous, l’eau est apaisante, rafraîchissante et c’est un formidable levier touristique. La ville verte, c’est la protection de l’environnement mais c’est aussi un état d’esprit. La mixité des mobilités, la production d’énergie renouvelable, la protection des ressources en eau... Lons a une histoire avec la protection de l’environnement et l’innovation écologique, nous resterons dans cette démarche volontariste. La fiscalité et la solidarité, source de lien social ? C’est une globalité. Avec une fiscalité maîtrisée, nous avons la volonté de maintenir le pouvoir d’achat des Lédoniens. C’est permettre la rénovation de logements vacants, c’est optimiser, améliorer et coordonner les services à la population, c’est soutenir le monde associatif sportif, culturel, caritatif, c’est ainsi maintenir le lien social. Nous souhaitons coordonner les énergies de chacun et associer les habitants à la citoyenneté. La question de l’hôpital inquiète ? C’est un sujet sensible que gère l’agence régionale de santé. Des difficultés sont affichées au niveau des urgences. Nous resterons vigilants sur le rôle central de l’hôpital. On peut amener aussi d’autres services autour de l’hôpital, comme une maison des patientèles par exemple.

Avez-vous dégagé les grandes lignes de votre programme pour Lons ? Oui, notre projet se structure autour de trois points essentiels : 1. Lons capitale, ville attractive et de services publics 2. Lons ville d'eau et ville verte 3. Lons sans augmentation d’impôt et socialement solidaire.

Le projet de musée divise, quelle est votre position ?

Que veut dire Lons capitale, ville attractive et de services publics ? Cela veut dire aller de l’avant. Lons est légitime pour être capitale et vitrine du Jura. Lons est la ville préfecture, nous disposons de belles industries, d'un centre-ville attractif, de beaux équipements sportifs et culturels, de Juraparc et du projet d'un futur musée moderne. Des investisseurs souhaitent venir à Lons, à nous de les aider à s'installer, à nous de démontrer que Lons est une belle ville où il fait bon vivre. Donnons-nous les moyens de réussir. Cela va de paire avec l’arrivée de nouvelles familles, de nouveaux habitants. Les services de proximité au public sont importants quand on évoque l’attractivité, les citoyens attendent des services de qualité et veulent se sentir bien accompagnés. A cet effet, nous créerons une maison des services pour répondre efficacement aux interrogations des Lédoniens sur tous les sujets que cela soit les aides à la rénovation, l’accès au droit... La santé, la propreté urbaine, la sécurité sont aussi des services légitimement attendus par les citoyens.

Lons, c’est aussi une agglomération avec les communes voisines. Elu maire, briguerez-vous la présidence ?

Je suis favorable à ce beau projet, c’est une chance à ne pas laisser passer pour Lons et le Jura. Le dossier est à construire et nous aurons le résultat des études de faisabilité courant 2020. Nous déciderons, en fonction, le moment venu. C’est un projet ville de Lons, la situation financière le permet d’autant plus que des subventions importantes sont attendues.

La ville de Lons doit se renforcer, l’agglomération aussi. Je suis pour une présidence lédonienne et pour ma part, je n’exclus rien. Les enjeux sont importants, nous devons réussir. C’est l’économie, le commerce, le tourisme, les équipements sportifs, la culture, le patrimoine, l’environnement... Celui ou celle qui portera le projet communautaire devra être fort politiquement pour faire bouger les lignes. Nous devons écrire l’avenir du bassin lédonien et fédérer autour d’un projet commun à grande échelle. Un projet de territoire est en place, nous le poursuivrons et le compléterons. Les listes se multiplient pour les municipales, quel est votre sentiment ? Nous avons tendu la main, en vain. Autant de listes c’est bon signe pour la démocratie, mais cela peut être un peu gênant pour la lisibilité de l’action politique. Ne comptez pas sur moi pour semer la zizanie. Nous défendrons un programme clair et lisible. Les

Christophe Bois

électeurs choisiront... Je pense que les Lédoniennes et les Lédoniens attendent aussi une équipe sérieuse et expérimentée pour succéder à Jacques Pélissard. Ils veulent faire confiance à un projet sincère, un projet porté par une personne crédible et en mesure de l’incarner. Oui, Jacques Pélissard nous soutient, cette confiance nous

honore. Je compte aussi sur ma personnalité et ma détermination pour convaincre les Lédoniens. Je compte sur eux et ils peuvent compter sur moi, voilà 47 ans que l’on se connaît...

LONS-LE-SAUNIER - CYRILLE BRÉRO

“Bouger Lons, Ancien attaché parlementaire de Jacques Pélissard, Cyrille Bréro a déclaré dernièrement sa candidature. Il est Conseiller municipal et Conseiller départemental, vice-président en charge des sports et de la jeunesse… Pourquoi cette candidature à la mairie de Lons ? Voilà maintenant sept ans que je fais de la politique, que je suis au contact des habitants, des associations, des élus et des collectivités pour suivre les dossiers de ce territoire. Beaucoup me sollicitent, me disent se reconnaître en moi, m’incitent et m’encouragent à me positionner. C’est une belle marque de confiance et après une longue réflexion, j’ai décidé de me présenter à la mairie de Lons. Le mandat de maire, ce n’est pas rien, c’est le contact direct tous les jours avec les habitants. Cette proximité me correspond, j’aime cette ville, je me sens déjà aujourd’hui pleinement investi, c’est un attachement fort. L’après Jacques Pélissard, c’est particulier ? Forcément c’est particulier ! C’est cinq mandats, 30 ans de confiance auprès des Lédoniens. Le nom de Jacques Pélissard restera gravé à jamais dans l’histoire de Lons, un homme qui a fait évoluer sa ville. Permettez-moi de lui rendre hommage et de lui adresser mes remerciements, je lui


LONS-LE-SAUNIER - JOHN HUET - ATOUTS LONS

“Les Lédoniens attendent un nouveau souffle…” John Huet ne cache ses intentions depuis de longs mois. Temps qu’il a passé à rencontrer les Lédoniens pour préarer son programme… Dans quel état d’esprit êtes-vous aujourd’hui ? Je suis très confiant. Nous avons rassemblé une équipe compétente, de toutes générations, avec des élus expérimentés, des personnalités de la société civile et de toutes convictions politiques. Nous proposons un projet construit avec les citoyens depuis plus de deux ans, avec les acteurs économiques, associatifs et culturels. Un projet chiffré, finançable et sans augmenter les taux de la fiscalité communale. Quelles sont alors les priorités exprimées par les Lédoniens ? Les Lédoniens attendent un nouveau souffle. La santé, la sécurité et l’emploi ressortent en priorité lors de nos échanges et nos rencontres. On ressent une grande inquiétude sur l’avenir de l’hôpital. Les Lédoniens se plaignent de l’augmentation des incivilités et des nuisances, mais aussi d’un manque de propreté de la ville.

surer la tranquillité publique, ainsi nous signerons une convention de coordination avec la Police Nationale pour déterminer les missions de chacun et pour être plus performant ensemble. Les locaux mutualisés de la police municipale et des travailleurs sociaux du CCAS seront positionnés au centre-ville afin d’être plus visibles et plus accessibles. Que proposerez vous pour l’économie et l’emploi ? En ce qui concerne l’économie et l’emploi, nous souhaitons mieux accompagner les entreprises locales dans leur développement, notamment dans la recherche de locaux ou de terrains et dans leurs problématiques de recrutement. Nous valoriserons notre territoire pour attirer les entreprises extérieures et les aider à s’implanter sur le bassin lédonien. Il nous faudra aussi montrer qu’il fait bon vivre et entreprendre ici à Lons-le-Saunier.

Que leur répondez-vous sur la santé ? Nous prendrons immédiatement rendez-vous avec l’Agence Régionale de Santé pour contracter une convention d’objectifs et de moyens afin d’améliorer l’organisation de l’hôpital. Nous rapprocherons l’hôpital de la médecine de ville en permettant des consultations de praticiens de l’hôpital au sein de la nouvelle maison de santé pour désengorger les urgences. Nous tisserons des partenariats avec les universités et les étudiants en créant des bourses en contrepartie de leur installation sur Lons au terme de leurs études. Nous défendrons âprement l’hôpital, Lons doit garder un hôpital performant avec plus de moyens.

Voyez-vous d’autres enjeux majeurs pour Lons ? Oui, permettez-moi quelques mots sur l’éducation, la formation, l’environnement et le centreville. Sur l’éducation et la formation, nous souhaitons permettre à nos enfants d’avoir les mêmes chances de réussite à l’école. Une de nos premières mesures, que nous avons déjà annoncée, consiste à proposer la cantine à un euro pour tous les enfants dès septembre 2020. Nous pensons qu’une alimentation suffisante et de qualité permet aux enfants d’être dans les meilleures conditions et ainsi de mieux suivre leur scolarité. Nous accompagnerons la montée en puissance de la « digitale académie » au campus numérique. Cela doit permettre aux jeunes d’obtenir un diplôme universitaire à distance. Nous souhaitons par ailleurs encourager l’apprentissage en créant des postes au sein des effectifs de la ville et de l’Agglomération.

La sécurité est une préoccupation majeure dites-vous ? Oui et nous souhaitons répondre aux demandes des habitants notamment ceux des quartiers Marjorie et Mouillères. Nous créerons une vraie police municipale avec six agents en coordination étroite avec les travailleurs sociaux du CCAS. Notre mission et d’as-

Pour ce qui est de l’environnement ? Notre priorité sera de proposer un plan vélo avec pour objectif d’avoir un réseau cyclable optimal en 5 ans. Nous solutionnerons les discontinuités des pistes cyclables, nous améliorerons la signalétique horizontale et verticale et nous proposerons un système de location de vélos électriques au départ de la gare. La végétalisation du centre-

ville sera importante, notamment places de la Liberté et de la Comédie. En terme énergétique, nous envisageons un plan ambitieux de reconquête des logements vacants pour les réhabiliter et les remettre sur le marché. Que souhaitez-vous pour le centre-ville ? Nous soutiendrons le commerce de centre-ville avec notamment le dispositif Fisac. Nous devons assurer la pérennité du commerce du centre-ville en soutenant toutes les nouvelles initiatives telles que les boutiques éphémères et les pépinières commerciales. On expérimentera des samedis piétons avec des animations et la gratuité des parkings. On désengorgera la circulation du centre-ville en mettant en place en entrées de ville, des panneaux lumineux qui indiquent le nombre de places libres dans les parkings. Quel est votre sentiment sur le projet d’un nouveau musée ? Oui pour un musée mais pas comme le projet est actuellement présenté. … Vu l’état financier difficile d’ECLA, je ne souhaite pas que la ville rencontre les mêmes difficultés budgétaires à court terme. À ce

lʼinscrire dans lʼavenir…” dois beaucoup. Il laisse une ville aux finances saines, une ville équipée, une ville entretenue... La prochaine équipe et le prochain maire bénéficieront d’une belle situation qu’il ne faudra pas gâcher. Oui l’après Pélissard est une forte responsabilité. Que souhaitez-vous pour Lons ? J’ai envie d’une ville dynamique, que l’on cesse de la comparer à une “belle endormie”. Je souhaite plus de services de proximité, je souhaite plus d’attractivité pour l’économie et l’emploi, je souhaite concrétiser des dossiers importants comme la descente de Montaigu, la requalification de la rocade, le musée... je souhaite une relation étroite avec la vie associative, sportive et culturelle, je souhaite proposer de nouveaux événements innovants et populaires... Il faut bouger Lons, l’inscrire dans l’avenir en tant que capitale du Jura. Quelles sont vos priorités pour Lons ? Je veux des citoyens dans une ville sûre et vivante. Une ville sûre dotée d’une police municipale renforcée avec des missions redéfinies, une ville vivante avec une plus grande participation des citoyens à la vie publique et une politique jeunesse innovante. Mais la priorité est de renforcer les services de proximité, à commencer par la santé et la défense de l’hôpital. Le futur maire de Lons sera le premier défenseur de l’hôpital pour assurer sa pérennité, l’offre de soin et la qualité de travail des personnels. Le

maire sera le premier interlocuteur avec l’agence régionale de santé pour peser, Lons ne sera pas une ville forte avec un hôpital menacé ou en danger. Vous envisagez une autre pratique démocratique ? Oui, c’est ce qu’attendent les citoyens. Le mouvement des gilets jaunes a révélé un fossé énorme entre les Français et le monde politique. Les citoyens attendent un dépassement des postures partisanes pour se mettre au service de l’intérêt général. Au-delà de la gauche et de la droite, il y a la République, je propose une autre façon de vivre la citoyenneté avec des outils nouveaux et une participation accrue des habitants. Que souhaitez-vous pour l’environnement ? Que Lons reste un modèle écologique, un exemple national. L’environnement est un enjeu mondial avec une prise de conscience locale. L’eau, les déplacements doux, l’isolation thermique, la végétalisation du centre-ville, la gestion des déchets… doivent retenir toute notre attention au quotidien. Nous nous appuierons sur le plan climat établi par ECLA Lons agglomération, pas sur une écologie punitive mais sur une écologie participative et responsable. Quels sont les enjeux pour Lons et l’agglomération ? Il faut une ville forte dans une agglomération forte. Dans la lignée du travail effectué par Patrick Elvézi pour renforcer le lien entre Lons et les villages du

jour, on ne peut pas financer 30 millions d’euros pour un musée : c’est tout de même l’équivalent de quatre Juraparcs ! Les Lédoniens doivent-ils fiscalement supporter seuls, le fonctionnement cet équipement ? Pour moi, non. Revenons à un projet plus cohérent et global en lien avec l’Hôtel-Dieu et l’ancien Hôtel de ville. Nous proposons un musée plus mesuré, supportable financièrement. Nous souhaitons y associer un hôtel quatre étoiles avec espace bien-être, une cité des savoir-faire et du terroir et l’office de tourisme. Beaucoup de décisions se prennent maintenant à l’échelle de Lons Agglomération. Élu maire, souhaitez-vous en être le président ? La mandature qui s’ouvre reposera sur une meilleure coopération entre l’ensemble des communes d’ECLA. Le projet de territoire initié en 2017 est une base solide. Nous axerons nos priorités sur la création d’emplois par l’accompagnement des entreprises. Distinguer la fonction de Maire de Lons et Président d’ECLA est à poursuivre. Le Président ou la Présidente sera issu de Lons ou d’un village d’ECLA et devra avoir de solides compétences juridiques, administratives et financières dans ce contexte contraint. Il aura à rassembler tous les élus des communes d’ECLA vers un projet commun. Vous êtes trois candidats issus de sa majorité. Le combat est réel. N’est-ce pas un problème, un risque même de tout perdre ? L’élection municipale est un temps démocratique et je respecte les velléités de chacun. Nous proposons un projet différent des autres candidats et j’ai rassembler la majorité des élus de l’actuelle équipe municipale. Le choix reviendra uniquement aux Lédoniens. Quel message personnel souhaitez-vous faire passer pour conclure ? Lons est pleine d’atouts ! Avec mes collègues élus, nous avons démontré notre capacité à tenir nos engagements sur l’actuel mandat. Rassemblés avec d’autres personnalités locales, nous avons prouvé que nous pouvions construire avec les lédoniens, un projet partagé et concerté pour les dix prochaines années. Unis, nous répondrons aux grands enjeux auxquels Lons est confrontée. Lédoniens, nous comptons sur votre confiance, comme vous pourrez toujours compter sur nous !

bassin lédonien. C’est capital pour s’inscrire et peser dans le département, la grande Région Bourgogne Franche-Comté... Je serai un maire à plein-temps et j’imagine un élu expérimenté de notre majorité comme président de l’agglomération. Lons impulsera avec respect et on construira notre avenir avec l’ensemble des communes. Certains dossiers comme Burger King, le nouveau musée, la rocade, la cité des sports... s’invitent dans la campagne. Quelles sont vos positions ? Je ne suis pas contre la présence du Burger King qui est source d’emplois. C’est son emplacement qui pose problème. Quel lien avec la rocade et ce carrefour très passant de la ville ? Je ne sais pas où nous en sommes de l’autorisation du permis de construire, c’est un dossier à suivre de très près. Moi, je n’ai pas voté pour cet emplacement en conseil municipal. En ce qui concerne la nécessaire requalification de la rocade, qui pourra la défendre mieux que moi en tant que maire et vice-président au Conseil départemental du Jura dont dépend en grande partie ce dossier ? Pour ce qui est du projet d’un nouveau musée dans l’Hôtel Dieu, c’est une chance historique qu’il ne faut pas laisser passer. Comment passer à côté d’une telle opportunité si les subventions annoncées se confirment ? Les chiffres avancés par certains sont fantaisistes, laissons les études se mener, on verra ensuite où on positionne le curseur. Il est évident que nous serons responsables, nous ne ferons pas n’importe quoi à n’importe quel prix. Pour la cité des sports, le projet est validé par ECLA et c’est tant mieux. Nous n’avons aucune raison de revenir dessus, on répond enfin aux attentes des clubs sportifs face à des condi-

tions indignes qui durent depuis de longues années. Les candidatures pour cette élection sont nombreuses. Que retenez-vous ? Je respecte toutes les candidatures même si j’aurais, il est vrai, aimé un rassemblement des sortants de la majorité. On n’y est pas arrivé, j’en prends ma part de responsabilité pour des raisons politiques mais aussi personnelles. À chacun maintenant de défendre son programme, avec ses valeurs et ses convictions, mais aussi son bilan. Après 30 ans de Jacques Pélissard, il est normal que chacun s’exprime, ce n’est pas étonnant, c’est la démocratie. Moi, j’y vais pour gagner, pas par dépit. J’ai une personnalité, un bilan, une ambition pour cette ville, pour l’agglomération. Le premier tour sera primordial, j’inviterais les Lédonniennes et les Lédoniens à se rendre aux urnes. C’est un moment important pour l’avenir de Lons. Votre liste est maintenant constituée ? Pratiquement, avec une équipe autour de moi sans étiquette partisane. J’ai réuni des personnes d’horizons différents, des personnes compétentes avec de l’expérience... une belle représentativité de la diversité de la ville, une belle liste renouvelée avec un nouveau regard et un beau projet commun. Les Lédoniens peuvent nous faire confiance, me faire confiance. Je suis ambitieux pour notre ville et resterais attentif au bien-être de chacun.


Vincent Deffeuille : “Nous avons su évoluer, saisir les opportunités…” Vincent Deffeuille est à la tête du groupe Deffeuille automo­ biles. Un groupe de 300 collaborateurs que l’on associe prin­ cipalement à la marque Renault­Dacia mais à laquelle il faut ajouter Fiat, Jeep, Alfa Roméo, Volkswagen, Seat, Audi, Kia, et Mitsubishi. Neuf concessions que l’on retrouve dans le Jura, le Doubs et l’Ain. Rencontre avec un homme passionné de 50 ans, marié à Claire, son épouse qui l’accompagne dans l’entreprise et avec qui il a fondé une famille de trois enfants. M. Deffeuille, comment est né ce groupe automobile ? Ma famille est originaire du Haut­Bugey dans l’Ain. Mon grand­ père est venu dans le Haut­Doubs en tant que fromager et toute la famille est restée dans le lait ou le fromage. Seul mon père s’est orienté vers la mécanique, il a repris un pe t garage Renault à Belleherbe en 1965 et ensuite la concession Renault à Pontarlier, ville où je suis né en 1969. Voilà comment a débuté l’aventure Deffeuille automobiles qui dure encore aujourd’hui. Un groupe que vous dirigez. Quel fut votre parcours pour en arriver là ? Après des études dans le commerce à l’ESC Chambéry et une expérience de chef des ventes chez Leborgne en Savoie, j’ai rejoint la concession familiale à Pontarlier, après 2 ans de forma on à l’automobile chez RENAULT, que j’ai finalement reprise progressivement entre 1995 et 1997, voilà 23 ans avec mon épouse. Une concession qui en appellera d’autre part la suite ? Oui en effet, nous sommes arrivés dans le secteur de l’auto­ mobile à une période où il connaissait une forte concentra on. Nous avons racheté en 2000 les concessions Renault de Saint­ Claude et Lons­le­Saunier. Nous nous sommes dès 2001 asso­ ciés avec la famille Cône, une associa on qui se poursuit jusqu’en 2007, année de la retraite de Jean­Pierre Cône. Notre groupe s’étendait largement sur la Franche­Comté et nous avons décidé en 2009 de réduire le périmètre, de se limiter géographiquement mais de se développer en associant Renault à d’autres marques complémentaires. Aujourd’hui, nous sommes installés à Pontarlier, Oyonnax, Lons­le­Saunier, Saint­Claude et Dole. Cela représente quatre concessions Renault Dacia, deux Fiat Alfa Roméo Jeep et Abarth, une Kia, une Mitsubishi, une Audi Volkswagen Seat. Autant de marques qui nécessitent une approche propre et par culière. Un beau groupe et une belle diversité ? Oui, un grand groupe parmi les pe ts et un pe t groupe parmi les grands ! C’est un projet que nous partageons en couple et nous sommes fiers que notre groupe familial compte aujourd’hui 300 collaborateurs ! Cela nous permet d’être proche de nos clients sur un territoire sur lequel nous souhaitons être un partenaire majeur du secteur automobile. Nous avons su évoluer, saisir les opportunités et opter au bon moment pour plus de marques dans un périmètre plus restreint. J’ai souhaité garder une proximité avec nos clients et nos équipes dans un monde automobile en constante évolu­ on ! L’avenir reste encore à écrire, à inventer… Cela va encore beaucoup bouger dans les années à venir et il faudra encore s’adapter, il faudra passer de l’automobile à la mobilité…

Renault et l’ADMR du Jura : vous avez dit proximité ? En ce e fin d’année 2019, le groupe Deffeuille a livré sur l’ensemble du Jura 380 Renault Captur au personnel de l’ADMR, spécialiste du service à domicile. “C’est une très belle collabora on, elle est unique et la plus impor­ tante au niveau na onal ce e année. Cela marque notre ancrage territorial avec un point de service à moins de 10 minutes de toute implanta on de l’ADMR. Le Renault Captur est adapté à la mission de l’ADMR et offre confort et sécurité. Un plus pour l’ensemble des collaborateurs de l’ADMR” explique Vincent Deffeuille. Pour Mme Carbonneau, Présidente de la Fédéra on ADMR du Jura, “ ... le déploiement de 380 véhicules de service cons tue un projet important pour les 30 asso­ cia ons du Jura. Avec ce e ac on, nous entendons fa­ ciliter le recrutement de collaborateurs, les fidéliser et assurer de bonnes condi ons de sécurité à l’occasion de leurs déplacements”. Pour Thomas Scrive, directeur de l’ADMR du Jura “ce e proposi on a été retenue pour son offre économique adaptée à notre ac vité, grâce au maillage des concessions du groupe Deffeuille dans tout le Jura et pour finir pour faciliter l’accompagne­ ment de l’ADMR sur la par e liée à la flo e automobile”

Claire et Vincent Deffeuille dans les locaux de la concession Renault à Lons­le­Saunier Il faut savoir rester à la hauteur de ces évolu ons parfois très pointues ? C’est notre souci permanent ! Nous sommes poussés par l’évolu­ on technologique mais aussi par l’exigence de notre clientèle. On joue un rôle important dans la vie des familles, la voiture reste centrale au cœur de la vie de tout le monde. Oui nous devons rester à la hauteur en apportant une qualité de service toujours plus grande. Le secteur est très concurrencé et nos clients sont très sollicités avec tous les moyens marke ng et digitaux d’au­ jourd’hui ! Le personnel et l’accueil sont importants ? Ici, c’est l’esprit de service avant tout ! Il faut savoir vendre des voitures, les entretenir, les réparer, les louer aussi… on pra que de mul ples mé ers. Nous restons en alerte permanente pour nous adapter. La forma on et la mise à niveau de nos équipes sont une priorité. Nous recrutons de nombreux appren s qui sont suivis en interne par des tuteurs et des maîtres d’appren s­ sage. On suit la technologie, la progression et les exigences des constructeurs. Il faut perpétuellement évoluer, mais c’est une vraie source de mo va on et de valorisa on ! Comment envisagez­vous l’avenir ? Le groupe Deffeuille vend 10 000 véhicules par an, 5 500 voitures neuves et 4 500 occasions. Nous souhaitons maintenir ce niveau. On ne s’interdit pas de se développer encore en fonc on des opportunités et toujours de la cohérence géographique. Nous restons a achés à ce e entreprise et nous espérons à l’avenir que l’aventure familiale Deffeuille se poursuivra… on verra le moment venu. On souhaite pour l’heure rester un acteur local incontour­ nable dans le secteur automobile, poursuivre le chemin parcouru avec nos équipes et être toujours au service de nos clients. Ils a endent encore beaucoup de nous. Ce e proximité et le service que nous leur apportons restent essen els. Nous devrons pren­ dre le tournant imposé par l’évolu on du secteur automobile tout en conservant les valeurs qui ont fait notre succès.

Mme Claire Deffeuille : “Je suis par e prenante depuis la pre­ mière heure en 1995. Nous sommes avec Vincent très complémentaires, c’est une aventure partagée. Nous avons eu trois enfants, tous majeurs aujourd’hui. Je me suis occupée de la vie familiale, un équili­ bre important pour Vincent. Aujourd’hui, je l’épaule dans les projets du groupe, le marke ng et la communica on... Je tra­ vaille au développement de notre ac vité loca on courte durée qui progresse. Nous sommes passionnés par notre travail. En famille, on aime le ski et le vélo, des ac­ vités que l’on a pu partager ensemble durant toutes ces années.”

JURA RENAULT / DACIA / SORECA AUTOMOBILES (Lons­le­Saunier, Dole, Saint­Claude) JEEP / FIAT / ALFA ROMEO / FIAT PROFESSIONAL / ABARTH SERVICE / SODIVI 39 (Lons­le­Saunier) VOLKSWAGEN / AUDI / VOLKSWAGEN UTILITAIRES / SEAT SERVICE THEVENOD SAS (Lons­le­Saunier)

Livraison d’une par e des 380 Renault Captur “ADMR”

AIN RENAULT / DACIA / SORECA AUTOMOBILES (Oyonnax) DOUBS FIAT / ABARTH / ALFA ROMEO / FIAT PROFESSIONAL / JEEP / SODIVI 25 (Pontarlier) KIA / DSA MOTORS / (Pontarlier) MITSUBISHI / DSA MOTORS / (Pontarlier)

www.auto-deffeuille.fr


OuLaLa ! Mag’culture

L’Amuserie

AGENDA

Divertir ou périr Souvenez-vous de la créa “Comique” de Théâtre Group’ : un poil controversée et dérangeante. Et bien la Cie N°8, très fortiche dans l'épluchage saignant et spectaculaire des travers de notre société, s'attaque aussi au “rire” ! Leur création est très tonique, ludique et cinglante aussi… heureusement ! Ils sont 7 à poser la question : de quoi rit-on ? Et ils nous font rire en la posant, soyez rassurés...

DOM COLME (chanson française, pop)

MER 8 JAN 18 h 30

DARIUS CLUB

Dom Colmé sʼest penché sur les sources vives musicales qui lʼont porté depuis ses débuts, sur ces fondamentaux à lui, pour en recapter la bonne substance et lʼinsuffler dans ses nouvelles compositions. Résultat un nouveau LP intitulé “Dans les cordes”

Vendredi 10 janvier - 21 h - 5 € / 10 € Réservation possible (mais pas obligatoire) au 03 84 24 55 61

BILLETTERIE EN LIGNE

LOBSTER (folk, hip hop, pop)

Projection privée

MER 15 JAN 20 h 30

L'équipe de Christophe Vincent, notre ami, monte une pièce de Rémi De Vos. Du vrai bon théâtre du quotidien. Vache et drôle ! Une histoire de couple entre vaudeville déjanté et série télé, féroce et pleine d'humour. Le trio d'acteurs jubile dans cette comédie bien ficelée qui est le reflet décalé de nos histoires de couples enlisés.

DARIUS CLUB

“Cʼest de la pop qui va piocher dans le rock, la folk, les rythmes hip-hop et par moment dans les harmonies jazz”, décrit Brice Sarrazin, guitariste, chanteur, et compositeur dans Lobster. Mélancoliques ou heureuses, les émotions sʼinversent et sʼéquilibrent comme dans une colère apaisée ou dans un cri silencieux. BILLETTERIE EN LIGNE

LYNCH THE ELEPHANT

Vendredi 24 janvier - 21 h - 5 € / 10 € - Réservation possible (mais pas obligatoire) au 03 84 24 55 61

Les Scènes du Jura

MER 22 JAN JEU 23 JAN 21 h 00

(electro, pop) Planant, décomplexé, mélancolique… Lynch The Elephant, cʼest une synthpop rétro moderne lumineuse, et parfois même bien cramée. Leur EP “Pieces” est lʼexpression de leur fabrique à rêves…

DARIUS CLUB

BILLETTERIE EN LIGNE

Ben & Luc “Duo de désert”

MASS HYSTERIA (metal)

Entre danse traditionnelle et danse contemporaine africaine et sur le thème pourtant rebattu de la rencontre, Ben & Luc constitue une poche d’émotion rare qu’il vous appartient de crever. Car, au pays des hommes sensibles, il n’est pas interdit, devant un spectacle, d’avoir les yeux qui brillent ou carrément les larmes qui coulent...

“Maniac”, le nouvel album du groupe vient enfoncer le clou de manière magistrale : cet album est le plus extrême de leur carrière. Tout au long des 10 titres, si le chant si caractéristique de Mouss est là pour adoucir le propos, le 9e album de Mass Hysteria risque dʼen laisser plus dʼun K.O.

SAM 25 JAN 20 h 30

GRANDE SALLE

Lons-le-Saunier, Le Théâtre, mercredi 15 jan à 20 h 30. Durée 1 h. Dès 12 ans. Danse Mickaël Phelippeau

BILLETTERIE EN LIGNE

ASSIGNED FATE (soirée et after)

I-Sole “Continuer tu dois”

MER 29 JAN 21 h 00

Ce que Jérôme Thomas n’a pas encore exploré, c’est très précisément cela : le fait de dire. Au bout de trois décennies de jonglage muet, la parole lui est donc apparue comme le tout dernier défi à relever. Dans i-Solo, et même s’il continuera de faire virevolter balles, plumes, cannes, chaises et autres objets, Jérôme Thomas, pour la première fois, jonglera avec les mots...

DARIUS CLUB

Sébastien et Emmanuel (chants), Thomas (basse), Adrien (batterie), Jonathan et Côme (guitares) prêchent la bonne parole metal sous le nom Assigned Fate. Un metal lourd, travaillé, mélodique et une belle énergie. Un son dans la veine de Lamb of God. BILLETTERIE EN LIGNE

TRIO LILAS (jazz)

Lons-le-Saunier, Le Théâtre, jeudi 23 jan à 20 h 30. Durée 1 h 10. Dès 9 ans. Cirque

Meaulnes “Le conte des mille et une vies”

DIM 02 FEV 18 h 30

DARIUS CLUB

Cette intrigue oscillant entre réalisme et merveilleux, c’est celle du Grand Meaulnes d’Alain-Fournier qui, dès sa parution en 1913, connut un colossal succès. Et c’est ce célèbre roman d’aventures intérieures que Nicolas Laurent a voulu adapter au théâtre, en se disant que si les blouses d’écoliers, les carrioles et les ombrelles qu’on y trouve pouvaient paraître un poil désuètes en 2019, son sujet, qui est l’envie de vivre ses rêves et de découvrir le monde, avait encore des chances de toucher la jeunesse d’aujourd’hui...

Douceur et énergie se dégagent des compositions et de lʼalchimie des timbres utilisés, pour une musique qui se veut à lʼimage de cette fleur emblématique du printemps : parfumée, colorée et symbole de renouveau. Le Trio fera souffler un air de printemps en plein cœur de lʼhiver, nous avons hâte de le recevoir ! BILLETTERIE EN LIGNE

Un partenariat

Infos, programmation, billetterie…

www.lebœufsurletoit.fr

Lons-le-Saunier, Le Théâtre, lundi 27 jan à 20 h 30. Durée 1 h 30. Dès 14 ans. Théâtre Alain-Fournier / N. Laurent

Pour toutes vos réalisations Enrobés à chaud et travaux de finition

Sarl Franc-Comtoise de Travaux Publics Fabricant d’enrobé “non recyclé” Particuliers - Professionnels Communes

Cours • Chemins Parkings • Cours d’usine

03 84 44 14 89 Email : sfctp@wanadoo.fr

505, rue des Piochys - 39140 COMMENAILLES - www.franc-comtoise-tp.fr


A , A A A A

&$ & 0 & ' > ' '&$ $ $ %'$ $$ ' & !'$ &=== % %! & &!'% ') 0% 5;5< & ! '" & ' " ' '%0 % ')A $&% ! %A A ' $= C5;5<A5;::D> 0 / $ " &$ 0 $ % % !' %> %& "$0% & ( # & ') ? A A A = % ' "& '$ C5;5<A5;:9D $& %& '$ %% > 0 - ! * &$ /$ % & ! *> %@ %&> ' > %& 0 ' $ +A A '%%0 ( ! % %! & $ % ' "&'$ % #'@ 0 '0> - % !$&> ' '%0 = % 3'($ % $ $#' % #' (!'% #' $ + " % @! % $( $ ( & !' "$/% ( % & @ )"!% & ! #' '$ $ ! ?

= ! " $& ' $ 0 - % /$ " $ '%0 % ')A $&%= !' )"!% & ! %!'% !$ ') " $ !'$% !$ ') #' #' & " % @ &0$1&= " $ % % @ ""$! % '%% " $ @ & !%" /$ %"0 #' #' %@ 0 = B = % %% % & % $ ('$ % 0 '0% " $ @ $& %& > ! % $(0% " $ '%0 > $ %& '$0% & 0(! 0% "!'$ @! % ! = % 3'($ %> "!'$ " '" $& 0 0 %> !4 $& % - $$ ' " $ % % % " &$ %> % ' "& '$%> $ ( '$%= ( $% &0 #' !'% 0 $ %'$ ( ' % ' "& '$> !& & !$% %! " %% - 0 % - ! &$ 5;7: & 5;86> % '%% " '% & $ %'$ %! ""$! & %! &$ ( " $%! =

B

$ $ " & 4 & 5<96 ' 3'($ & &' 0 = A %@ %" $ &!

" & " $ !'$ & 5;99 & #' > %! & "%> & % ' & ' &0 & % %' &0 ' %' &= ! & & %' & & ' ' #' ! " $ & %" $ $ & % @0(! '& ! % " &'$ & % % ' "&'$ .! $0 '$$ & = && )"!% & ! $ ('$ % & % ' "&'$ % %& ' ' $ &> "$ %#' ' ! % %% ! > ' &0$ %% & $0 ) ! %'$ @ ' & @ %" $ & ! $& %& #' = % ') ' ( $%> " '&2& & %& %> %! & '& '% & !$ %&$0% " $ !$!& 0 $ % ! A & ! % ')A $&% & ! %% $ @ )"!% & ! = ! 0 0 & ""$! ! > ' 0 $ && '> ' ( % ! ! " 0 & $ %'$ ') $& %& % '$% ' '%0 = ( $% $ ===

, , ,

, , - , , * !$ )% %( '% $! - / * * * . , *

* . "% , "( + + "% , ") #& "

Hell

by

Compromis Théâtre

VEND. 7 FÉVRIER

Totalement 80

Yves Jamait Bénabar

Chanson

Concert

LUNDI 20 JANVIER

JEUDI 23 JANVIER

Black M

Concert

Concert

VEND. 14 FEVRIER

SAMEDI 21 FÉVRIER

Réservations Dole Tourisme Place Grévy - Dole 03 84 72 11 22 billetterie@hellodole.fr www.hellodole.fr www.lacommanderie-dole.fr

Chanson

Marc Lavoine

Supertramp &

Celtic Legends

Dire Straits Tribute

Spectacle

Concert

MERCREDI 8 AVRIL

SAM. 7 MARS

David Hallyday

Chanson - MARDI 10 MARS

www.doletourisme.fr

VENDREDI 31 JANVIER

www.lacommanderie-dole.fr

www.dolexpo.fr


“Quincados” :

les nouveaux seniors ! Les mutations de la société font apparaître de nouveaux seniors : les quincados. De la génération des 50-60 ans, ils inventent une autre façon de prendre de l’âge sans vieillir ! Encore un néologisme ! Après les 60­75 ans qualifiés de “jeuniors” par le marketing qui cible leur pouvoir d’achat, voici les “quincados”, contraction de quinquagénaire et adolescent. Ce nouveau concept ne s’arrête pas à une vision consumériste mais traduit l’évolution d’une conscience de l’âge et du mode de vie qui en découlent. Spécialiste des enjeux du vieillissement de la population, le sociologue Serge Guérin vient de lui consacrer un ouvrage “Les Quincados” aux éditions Calmann­Levy. Le terme quincados désigne l’actuelle généra­ tion des 50­60 prenant conscience que l’allon­ gement de l’espérance de vie leur offre une forte probabilité d’avoir encore une bonne trentaine d’années à vivre. “Ce qui offre des perspectives, l’opportunité de rester jeune plus longtemps”, souligne le sociologue. L’émergence de ces nouveaux seniors est por­ tée par les mutations économiques et socié­ tales : une plus grande autonomie financière,

culturelle et sociale des femmes dans une société de services qui “valorise la connais­ sance, la capacité d’apprendre et à compren­ dre, le relationnel et l’émotion. Des valeurs qui vont bien avec l’âge, lorsqu’il est associé à l’ex­ périence et à la capacité de prendre du recul”.

Séniorité positive Les quincados sont autant (voire plus) des femmes que des hommes. Une population plu­ tôt en bonne santé, urbaine et profitant d’un bon niveau de vie mais plus hétérogène qu’il n’y paraît, pas épargnée par le chômage, notam­ ment de longue durée ni par la baisse des reve­ nus liée à la retraite. “Ce n’est pas, ou plus, une

problématique financière ou matérielle qui est en jeu, mais une nécessité de vivre comme ils le désirent, une capacité mentale à récuser les normes de l’âge imposées par le discours domi­ nant et les directions d’entreprise, qui propage des représentations éculées des seniors mais encore particulièrement présentes”. Les quincados soignent leur apparence et leur corps pour rester en forme plus longtemps, ne renoncent pas aux rencontres et à l’amour. “Mais ils ne jouent pas aux jeunes, ne se pren­ nent pas pour des ados, précise Serge Guérin. Etre quincados, c’est vivre sa séniorité de manière positive et avec l’ambition d’avoir tou­ APEI jours des projets”.

LE SAVIEZ-VOUS ? AIDES SOCIALES : À QUOI AVEZ-VOUS DROIT ? Plus d’un tiers des personnes qui pourrait prétendre à des aides sociales n’y ont pas recours. Et vous, savez-vous qu’il existe des prestations spécifiques à partir de 55 ans ? Longtemps ignoré, le phénomène du non-recours aux aides sociales est aujourd’hui pris en compte par les organismes publics. Selon, l’observatoire Odenore “non-recours aux droits et services”, près de 40 % des personnes qui pourraient prétendre à des prestations sociales n’en bénéficient pas. Cela représente au moins 10 milliards d’euros non distribués chaque année. Ce qu’on peut considérer comme un gâchis vient de l’obligation pour les bénéficiaires potentiels de solliciter ces aides pour y avoir accès. Avoir droit à une prestation ou un service ne suffit pas, il faut en faire la demande. Or, beaucoup ne les connaissent pas ou en ont entendu parler mais ne savent pas en quoi elles consistent ni comment les obtenir. D’autres pensent qu’ils ne sont pas concernés. À cela s’ajoutent la complexité de la démarche, la peur d’être stigmatisé, l’impression de “quémander” alors qu’il s’agit de faire valoir ses droits.

Profiter d’un simulateur individuel Les aides sociales couvrent les différents secteurs de la vie quotidienne : emploi, famille, santé, logement, loisirs-vacances, transport… Il existe, par exemple, une aide complémentaire à la santé (ACS) permettant aux personnes possédant de faibles ressources de souscrire une mutuelle à taux réduit. Mais elle est peu connue. Dès l’âge de 55 ans, des aides spécifiques peut être débloquées pour aménager son logement dans le cadre du programme “bien vieillir chez soi” proposée par l’Assurance retraite. À partir de 65 ans, diverses allocations (solidarité, autonomie, aide à domicile…) sont prévues en fonction de la situation familiale et financière des seniors. Pour savoir à quoi vous avez droit, vous pouvez consulter le site Internet www.aide-sociale.fr qui présente clairement le fonctionnement et les conditions d’accès de 200 aides existantes mais qui propose aussi un simulateur individuel. Très simple d’utilisation, celui-ci vous permet d’estimer vos droits et établit la liste des aides qui vous concernent. APEI­actualités

Seniors et cinéma :

un amour réciproque ! Les plus de 50 ans assurent désormais près de la moitié des entrées dans les salles de cinéma et de plus en plus de films français leur sont destinés. Une love Story qui s’inscrit dans la durée. Les seniors vont de plus en plus au cinéma et ça fait 10 ans que ça dure ! Alors que le nombre d’entrées devrait battre un nouveau record en France sur l’ensemble de l’année 2019, on assiste à une chute vertigi­ neuse du jeune public qui préfère les plates­formes numériques notam­ ment Netflix. Au contraire, les plus de 50 ans fréquentent de plus en plus les salles obscures dont ils représentent désormais 44 % des entrées et font grimper la moyenne d’âge à 46 ans. Le cinéma français consacre de plus en plus de longs­métrages aux seniors. Un bon filon au regard des succès au box­office de trois films sortis en 2019 : “Tanguy le retour” avec Sabine Azéma et André Dus­ sollier en retraités heureux qui voient leur fils de 44 ans s’incruster chez eux suite à une rupture ; “C’est quoi cette mamie ?!”, une comédie autour d’une grand­mère excentrique interprétée par Chantal Lade­ sou ; “Joyeuse retraite !” dans lequel Michèle Laroque et Thierry Lher­ mitte incarnent un couple de sexagénaires rêvant d’une retraite au soleil mais contraints d’user de tous les stratagèmes pour contourner les sollicitations familiales et ne pas avoir à garder leurs petits­enfants ! Et selon AlloCiné, la séquence senior devrait se prolonger, “beaucoup de films français destinés prioritairement à ce public s’apprêtent à déferler en 2020”.

Trois films sortis en 2019 consacrés aux seniors

N° 160387

Construction bois sur-mesure 140, Chemin du Pré Patey 03 84 24 52 54

39570 PANNESSIERES

Mail : info@abris­olivier.com

www.abris­olivier.com

PRÉSENTS AUX 39e JOURNÉES DE L’HABITAT À DOLE PARC DES EXPOSITIONS DOLEXPO

DU 24 AU 27 JANVIER


10

- janvier 2020

Ski de fond : la glisse au rythme des seniors

LE SAVIEZ-VOUS ? INSUFFISANCE CARDIAQUE

Un rythme lent et régulier, pas d’impact sur les articulations, le plaisir d’avancer en pleine nature… le ski de fond est un sport d’hiver bien adapté aux seniors.

DES SYMPTÔMES SOUVENT NÉGLIGÉS

L’insuffisance cardiaque est la première cause d’hospitalisation à partir de 6065 ans et pourtant, elle reste une maladie méconnue car ses symptômes peuvent être banals.

“J’aime le ski de fond car on peut avancer à son rythme sans craindre de gêner les plus jeunes qui dévalent les pistes à toute allure. Et ça permet d’admirer le paysage tout en fai­ sant de l’exercice physique. Je garde un souve­ nir ému d’une randonnée dans les Vosges. Le temps était brumeux mais arrivés sur un vaste plateau, le soleil s’est levé d’un coup, décou­ vrant un paysage merveilleux de nature pré­ servée dans un calme absolu. Grandiose !” Comme Catherine, 63 ans, de plus en plus de seniors apprécient les sports d’hiver en dou­ ceur, loin des foules qui font la queue aux remontées mécaniques. Dans le Jura, les Vosges, les Alpes, les Pyrénées, le Massif cen­ tral, les stations de moyenne montagne pro­ posent des parcours de ski de fond en pleine nature, sur terrain plat ou un peu plus val­ lonné. La glisse version tranquille qui permet d’alterner l’endurance et l’intensité modérée, si on le désire.

“Avant, le cœur de mamie l’embêtait tout le temps, il la réveillait toutes les nuits, elle ne pouvait même plus promener Scotty, le chien. Elle avait du mal à monter les escaliers et était très essoufflée. Elle n’arrivait plus à mettre ses chaussures et ses pieds étaient tout gonflés. Mais un jour, Mamie a parlé avec son docteur et grâce à lui, son cœur est devenu plus sage. Et maintenant, elle peut faire plein de choses avec moi !” En voix- off d’un joli film d’animation, la jeune Juliette évoque l’insuffisance cardiaque, une maladie qui touche près d’un million de personnes en France mais qu’on connaît peu. Pour y remédier, le groupe pharmaceutique Novartis mène une campagne de sensibilisation. L’insuffisance cardiaque est une maladie chronique grave mais qui n’empêche pas de profiter de la vie, avec un traitement adéquat et en respectant une bonne hygiène de vie.

Un travail du corps sans traumatisme La pratique du ski de fond a l’avantage de faire travailler le corps de manière globale et d’éviter les traumatismes. Non seulement, les chutes sont rares mais les articulations sont peu sollicitées. “C’est une activité de longue durée qui active la fonction cardiaque et maintient l’équilibre ainsi que la masse mus­ culaire des membres inférieurs mais aussi supérieurs. Sans impact sur les genoux et les hanches, ce sport peut même être pratiqué par les personnes qui montrent des premiers signes d’arthrose”, affirme sur France 3, le médecin du sport Xavier Bigard. Outre les bienfaits sur le plan physique, le ski de fond procure un sentiment de bien­être grâce aux paysages variés qu’il permet de

Comment réduire le risque ? Les signes qui doivent alerter sont l’impression de manquer d’air, un essoufflement fréquent, la sensation de fatigue qui ne s’estompe pas, une prise de poids inhabituel, un gonflement des jambes et des pieds. Si les objets que vous soulevez vous paraissent plus lourds, si vous avez du mal à dormir à cause d’une gêne respiratoire, il faut consulter un médecin. Le tabac, l’alcool et la “malbouffe” sont ses principaux ennemis. Pour réduire le risque, il est conseillé de pratiquer une activité physique régulière, d’apprendre à gérer le stress et d’adopter une alimentation saine et équilibrée. Pour en savoir plus : www.suistoncœur.fr APEI

BIEN CHOISIR SA COMPLÉMENTAIRE SANTÉ Lorsqu’on prend sa retraite, il est fréquent de devoir changer de complémentaire santé. Alors que le “reste à charge zéro” est entré en vigueur depuis le 1er janvier 2020, comment bien choisir ? La retraite, c’est une nouvelle vie qui commence mais aussi des revenus qui baissent et des conditions d’accès qui évoluent en matière de complémentaire santé. Faut-il pour autant changer de mutuelle ? La question se pose si celle-ci relève d’un contrat individuel mais aussi si vous êtes adhérent d’une mutuelle employeur. Dans ce second cas, vous avez la possibilité de la garder mais pas dans les mêmes conditions. C’est avantageux, notamment pour les fonctionnaires auxquels s’appliquent souvent des tarifs moins onéreux que durant leur vie active. Les salariés du privé bénéficiant d’un contrat de groupe avec leur entreprise conserve les garanties souscrites mais la cotisation est plus chère (jusqu’à + 50 %) après la première année de retraite et l’employeur n’en assure plus sa part de financement. Optique, dentaire, audition Pour l’optique, les prothèses dentaires et les aides auditives, la réforme “100 % santé” introduisant un reste à charge zéro s’applique depuis le 1er janvier 2020. Prenez-la en compte en étudiant le niveau de garanties proposé sur ces postes mais n’oubliez pas qu’elle se limite à certains équipements dans un cadre technique et tarifaire précis. Au-delà, votre prise en charge dépendra de votre mutuelle. Sur Internet, des comparateurs vous aideront à trouver des offres personnalisées et à faire jouer la concurrence. Et n’hésitez pas à demander des devis gratuits. APEI­Actualités

découvrir sans se lasser. Côté technique, le traditionnel pas alternatif est facilement accessible. La progression se fait dans deux traces parallèles marquées au sol. Un système d’écailles sous les skis évite de reculer en montée. Plus exigeant au niveau cardiaque et respiratoire, le skating s’apparente au pas de patineurs comme le roller ou le patin à glace. La tenue est beaucoup moins onéreuse que celle du ski alpin. Un T­shirt moulant et absor­ bant pour limiter la transpiration, une polaire et un coupe­vent, un collant thermique et extensible, une paire de gants chauds suffi­ sent. En forme de bottines, les chaussures sont attachées au ski uniquement sur le devant pour permettre le mouvement des chevilles. APEI

LE JURA, C’EST PLUS DE 1 000 KM DE SKI DE FOND BALISÉS ! “Pour promeneurs ou sportifs expérimentés, le Jura vous offre un cadre idyllique pour vos vacances ! Vous prendrez du plaisir en ski nordique sur ce paradis blanc, au cœur du Parc naturel régional du Haut­Jura. Que vous empruntiez les pistes de la forêt du Risoux, du Massif de la Haute­Joux, des Hautes­Combes, de la

forêt du Massacre, du Glacier à Morbier ou du Grand­ vaux, vous trouverez à coup sûr le parcours qui vous correspond ! Et peut­être aurez­vous la chance d’aper­ cevoir un chevreuil ou un chamois, témoins de la nature préservée et accessible du Jura.” www.jura-tourism.com

LA STATION DES ROUSSES RECONNUE PAR LE LABEL NORDIC FRANCE Le label Nordic France a reconnu la Station des Rousses comme l’un des sites nordiques ayant la meil­ leure qualité en France (5 “nordics”). Gage de qualité pour tous les amoureux de Nordique, ce label permet d’évaluer le niveau de l’offre de chaque station dans 4 catégories : le domaine skiable, la diversité des acti­ vités nordiques proposées, les différents services offerts aux pratiquants ainsi que la prise en compte du développement durable.

La Station des Rousses, c’est 200 km de pistes ski de fond et 100 km d’itinéraires raquette. LES TEMPS FORTS DE JANVIER SONT :

• Les Jeux Olympiques de la Jeunesse, les épreuves de Biathlon, Combiné nordique et Saut à ski qui se dérou­ leront sur la Station des Rousses, au stade des Tuffes, du 9 au 22 janvier. • La Transjeune, le mercredi 22 janvier. Toutes les animations sur www.lesrousses.com

Musclez votre cerveau en jouant aux échecs

Réclamant concentration, logique et mémorisation, le jeu d’échecs est considéré comme un sport cérébral. Une stratégie gagnante pour les seniors. “Le cerveau est un muscle et les échecs son fitness !” Le multiple champion du monde Vladimir Kramnik résume ainsi son sport favori, auprès du maga­ zine suisse Le Temps. “Le jeu d’échecs aide à développer une pensée logique et cohérente, favorise la capacité de se projeter dans l’avenir, de voir dans l’espace, d’élaborer une stratégie, de concevoir une tactique”. Et en plus, c’est ludique ! Considéré comme un sport cérébral, les échecs ne requièrent pas une condition physique d’athlète. C’est une pratique intergénération­ nelle qu’on peut commencer dès l’enfance ou bien après. Il n’est jamais trop tard pour apprendre et découvrir, autour d’un carré de 64 cases noires et blanches, un univers où l’imagination et la créativité permettent d’anti­ ciper ses coups et de mettre en œuvre la stratégie. “Il y a plus d’aventures sur un échiquier que sur toutes les mers du monde”, assure Gérard Depardieu qui interprète un entraîneur d’échecs dans le film “Fahim” qui est sorti sur les écrans en octobre dernier, retraçant le parcours d’un jeune immigré bangladais qui a obtenu l’asile en France grâce à sa vic­ amené à cultiver bon nombre de qualités telles que la patience, la mémorisation, toire au championnat du monde des moins de 12 ans. la logique, la concentration et la sérénité”. Au­delà du plaisir du jeu, les échecs créent du lien social, entretiennent la joie de Entretenir sa vivacité d’esprit vivre, renforce l’estime de soi. Il constitue un outil efficace de prévention de la Cette invitation au voyage séduit aussi les seniors qui profitent de ses nom­ maladie d’Alzheimer. Raison de plus pour pousser ses pions sur l’échiquier et infli­ breux bienfaits pour la santé cognitive. “Le jeu d’échecs constitue un excel­ ger un échec et mat à son adversaire ! lent moyen pour entretenir sa vivacité d’esprit”, confirme Guy Bellaïche, Vous trouverez facilement un club près de chez vous, la France en compte près médecin engagé auprès de la fédération française d’échecs. “Le joueur est d’un millier. Il est également possible d’apprendre et de jouer sur Internet. APEI

OFFRES BEAUTÉ Institut de beauté

L&M Beauté ­ 73 rue des Salines ­ Lons­le­Saunier

wwww.institut­lonslesaunier.marycohr.com Tél. 03

84 24 41 32

Institut ouvert le lundi : 14 h à 19 h Mardi à vendredi : 9 h à 19 h ­ Samedi : 9 h à 16 h

­30%

­20% sur un soin + un produit*

* Offre valable jusqu'au 31 janvier 2020. Voir conditions à l’institut.

sur le 2e produit*


Rodot

Céline et Fabien répondront à toutes vos questions.

Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays de Lons n° 145

MARBRERIE & POMPES FUNÈBRES

LA MARBRERIE POMPES FUNÈ­ BRES RODOT est chargée de l’orga­ nisation des obsèques, qu’elle soit civile ou religieuse, de l’inhuma­ tion, de la crémation, du rapatrie­ ment des corps, du choix du cercueil, des démarches adminis­ tratives, de l’établissement d’un

devis… Céline Amiet —Conseillère Funéraire— accueille avec respect et bienveillance les familles dans la peine 7 j/7 et 24 h/24 (en cas de décès). La Conseillère répond éga­ lement à une demande croissante : celle de la présentation du Contrat de Prévoyances Obsèques. “Les avantages de ce contrat sont mul­ tiples. Il permet d’anticiper le financement et de prévoir l’organi­ sation de vos obsèques, d’avoir la garantie que vos volontés et les coutumes auxquelles vous êtes attachées seront respectées et de soulager vos proches le moment

venu”. Fabien Boivin que chacun dans la contrée appelle “l’enfant du pays de Vincelles” (Valsonnette) se charge de la cérémonie conve­ nue avec la famille, qu’il s’agisse d’un service civil ou religieux. RODOT MARBRERIE & POMPES FUNEBRES propose un grand choix de monuments et d’articles funé­ raires, de fleurs artificielles et réa­ lise les travaux funéraires mais aussi les travaux de cimetière comme la remise en place d’une tombe, d’un entourage, la pose de graviers, la réfection d’épitaphes…

Contrat obsèques personnalisé

Devis gratuit Travaux de cimetière Caveau - Monuments - Plaques

Ouvert du lundi au vendredi

Permanence 24h/24 - 7j/7 en cas de décès

47 route de Bellecombe - 39570 MACORNAY - 03 84 44 23 10 - agence.macornay@pf-rodot.fr



Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.