Pays de Lons 143

N°143

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Novembre 2019

Pays de Lons

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Une organisation collégiale… p. 6

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USINE BEL - LONS-LE-SAUNIER YANN WEDERICH - DIRECTEUR

“LA VACHE QUI RIT® RESTE LA PREMIÈRE MARQUE DU GROUPE MAIS N'EST PAS LA SEULE...”

Un nouveau logo dans le parc de l’usine de Lons…

350 SALARIÉS

Yann Wederich est arrivé comme directeur de l’usine Bel le 1er avril 2019… Il est à la tête de l’usine historique du groupe à Lons-le-Saunier. Vache qui rit®, Apéricubes®, Pik et Crok® et Kiri goûter® sont fabriqués ici… Comment se porte le site au moment où le Groupe Bel affiche sa nouvelle identité ? Rencontre…

FOR ALL, FOR GOOD… POUR TOUS, POUR DE BON…

M. Wederich, vous êtes un tout jeune directeur ?

Comment êtes-vous arrivé à la direction de l’usine de Lons ?

Oui en effet j'ai 35 ans et je suis directeur depuis le 1er avril 2019. Je suis originaire de Moselle où mes parents étaient instituteurs. J’ai toujours été fasciné par le fromage et les produits laitiers. J'adore le fromage et je trouve fabuleux ce que l'on peut faire avec un litre de lait ! J’ai ainsi orienté mes études dans ce sens avec après le BAC, une préparation et une école d'ingénieur à Nancy. Je suis sorti diplômé en 2008 avec un stage de fin d'études en production dans une fromagerie industrielle. J'y suis resté sept ans en production avec une évolution régulière pour finir responsable d'exploitation, de l'arrivée du lait à l'affinage des produits. J'ai souhaité rejoindre le Groupe Bel pour ses valeurs. J’ai commencé par une mission de quatre ans dans le développement industriel sur la zone Afrique du Nord et proche Moyen-Orient. J’ai découvert le monde du fromage fondu avec la capacité et la volonté du groupe de proposer le produit le mieux adapté aux populations mondiales dans des conditions souvent bien différentes. C'est la magie du fromage fondu !

L'opportunité s'est présentée. Je souhaitais diriger une usine pour partager une vision avec une équipe.

Je suis convaincu qu’avec une équipe bien pilotée, avec un engagement fort, on peut faire de belles choses. Ma nomination est une très belle marque de confiance de la part du Groupe. C’est pour moi une grande fierté et une grande responsabilité. Je prends cette mission très à cœur, je suis pleinement engagé et investi. La marque Bel a 150 ans, La Vache qui rit aura 100 ans en 2021, et le site de Lons 100 ans en 2026. Ici, c’est l'usine historique du groupe. On produit 21 000 tonnes de fromage par an, 6 000 tonnes de Vache qui rit en portions, 4 000 tonnes d'Apéricubes et 11 000 tonnes de Pik et Crock et Kiri goûter.

Lons est encore la seule usine du groupe à produire ces deux derniers produits. Nous sommes 350 employés sur le site et l'usine de Lons abrite toujours le centre de développement du fromage fondu pour le groupe. Cela représente 50 personnes. L'usine de Lons est ainsi ouverte aux nouveaux process de développement avec un atelier pilote. Cela fait partie de l'ADN de l’usine, c'est notre particularité. N'oublions pas que Bel c’est 32 usines dans le monde avec 12 600 collaborateurs et 6 marques cœur : Vache qui rit, Kiri, Boursin, Babybel, Leerdammer et Pom’Potes. N’oublions pas La Maison de la Vache qui rit qui est très importante pour le Groupe. C’est notre vitrine ici à Lons, nous en sommes fiers !

6 000 TONNES DE VACHE QUI RIT® 4 000 TONNES D’APÉRICUBES®

Comment se porte l'usine de Lons ?

40 CDI RECRUTÉS EN 2019 ON RECRUTE DES POSTES EN MAINTENANCE…

L'usine se porte bien avec encore de la capacité pour accueillir les innovations du Groupe. Nous développons par exemple un Apéricube sucré à destination du marché asiatique. Nous avons recruté quarante CDI en 2019 et nous recrutons encore pour des postes en maintenance. On recrute et nous formons en Interne. Il y a un état d'esprit dans cette usine. C’est une grande famille, chacun est fier de transmettre et cela assure la pérennité du site. Tous les jours, je suis heureux de partager avec des employés qui aiment leur usine.

Oui mais vous avez enlevé la vache sur le logo !

Et oui ! C'est une volonté forte du groupe. C'est plus qu'un logo, c'est une évolution historique. C'est la conviction affichée d'apporter le meilleur pour tous dans le monde. Oui la Vache a disparu... La vache qui rit reste la première marque du Groupe mais n'est pas la seule. Il est important d'afficher une image commune pour l'ensemble de l'activité en associant, comme vous le remarquerez, une goutte de lait avec une feuille. Signe du Groupe de développer à l’avenir des produits à base de végétal comme Pom’Potes. Ce logo correspond à ce que le groupe Bel souhaite.

“For all, for good” incarne l’engagement de Bel en faveur d’une alimentation plus saine et responsable tout en préservant les ressources de notre planète. C'est un logo orienté vers les jeunes et futures générations. "Pour tous, pour de bon !" est un beau message, c’est maintenant le même pour les 130 pays où est implanté le Groupe Bel. Ici, les employés s'interrogent, mais ils ont vite compris que ce logo était une nouvelle identité commune à toutes les marques, un logo volontaire à tous niveaux et adapté aux activités présentes ou futures du groupe. Je tiens toutefois à rassurer les Lédoniens, nous conserverons quelques Vache qui rit historiques sur les murs de l'usine de Lons ! L’identité historique de notre usine reste forte...

La Vache qui rit restera en bonne place à Lons…

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MaG Élus Lettre de la vie politique et des échéances électorales - 01-09/19

Une longue période électorale se profile… Les élections municipales, intercommunales, départemantales et régionales nous mènent, en effet, jusqu’en 2022. Pays de Lons entre en campagne avec un nouveau dossier mensuel, Mag’élus, consacré à l’actualité politique.

Contact rédaction : Yvon Amiot au 06 81 33 19 67 ou yvonamiot@orange.fr

LONS-LE-SAUNIER - CLAUDE BORCARD (CHANGER DE CAP) :

“On sent que quelque chose se passe...”

Claude Borcard est élu à Lons depuis 2014, alors sur la liste de Marc-Henri Duvernet. Il siège dans l'opposition au Conseil municipal mais aussi à Ecla Lons Agglomération. Il est un des quatre élus de gauche qui animent le groupe « Changer de Cap” pour la prochaine municipale de 2020. Rencontre...

Vous êtes venu à la politique tardivement ?

En tant qu'ingénieur en chef des travaux publics de l'Etat, il n'était pas possible pour moi de siéger comme élu. La retraite est arrivée au bon moment juste avant la municipale de 2014.

J’avais alors envie de poursuivre dans la vie publique, de l'autre côté du miroir. Je suis dans l’opposition, nous avons beaucoup travaillé, nous avons été très actifs. Aujourd’hui cela nous aide beaucoup, nous avons une vision globale.

C'est finalement Jean-Yves Ravier qui conduira la liste de gauche. Pourquoi pas vous ?

On s'est engagé à quatre pour préparer cette élection municipale. Quatre élus de l’opposition à Lons : Anne Perrin pour les Verts, Thierry Gaffiot pour le parti communiste, Jean-Yves Ravier qui ne représente aucun parti et moi-même pour le parti socialiste. On savait dès le départ qu'un d'entre-nous serait tête de liste. C'est finalement Jean-Yves Ravier, c’est une décision sans conteste et réfléchie en commun. Pour ma part, cela me convient bien car c’était trop tard pour moi d'être tête de liste. Je respecte ce choix, le plus important est maintenant de garder la dynamique et la volonté d'aller jusqu'au bout.

Jean-Yves Ravier est à même d'y parvenir ?

C'est un très bon candidat ! C’est un citoyen

lédonien bien ancré dans la ville. Il a la capacité de rassembler et je lui fais confiance pour mener cette nouvelle équipe. Il a de l’expérience, il est volontaire, il a envie... C'est un très bon choix, tout le monde était d’accord ! Maintenant il faut mener campagne et le choix de la tête liste donne un nouvel élan.

La nouvelle équipe est prête ?

Tout est prêt car nous avons déjà beaucoup travaillé.

On connaît la situation de la ville et nous avons des compétences dans tous les domaines. Nous rencontrons peu de soucis pour composer la liste, elle sera bien équilibrée. On a tous envie de gagner et de changer de politique à Lons. On ne doute pas, nous sommes déjà opérationnels et bien organisés pour occuper le terrain. Nous avons établi de solides fondations.

Claude Borcard représente le parti socialiste au sein du collectif “Changer de cap”.

d'être très bon ! “changer de cap”, cela veut bien dire que l'on veut aller de l'avant. On est déjà sur le terrain et ça se passe bien. On sent que quelque chose se passe. Une dynamique est née, la confiance s'installe...

L'union n'est-elle pas votre atout majeur ?

C’était naturel pour nous, on travaille ensemble et on construit depuis 2014. On connaît bien les dossiers, c'était presque une évidence. On se complète bien avec des parcours différents dans l'enseignement, la santé, l'insertion, l'environnement... De plus, je pense que nous donnons une meilleure image de la politique, une image plutôt sereine, qui rassure. Oui, c’est un atout majeur.

Il vous faudra un programme ?

Plus qu’un programme, que l’on présentera prochainement, il y a un nouveau modèle de vie à créer. Un nouveau modèle à construire en tenant compte des citoyens et de l’environnement. Nous souhaitons inventer un terrain de vie pour les 20 ans à venir. Il y a à Lons du positif, des points d’ancrage intéressants.

Nous voulons remettre le service public à sa place, proche des citoyens, travailler sur la rénovation de l’habitat au centre-ville, sur le rôle de Lons dans l’agglomération en lien avec les villages voisins. Nous aurons de belles choses à proposer suite à nos échanges avec les habitants.

2020, l'opportunité est belle ?

Oui, c'est une belle opportunité, c'est le moment

Justement, l'agglomération parlons-en... Aurez-vous personnellement un rôle à jouer ?

On a un projet pour l'agglomération avec les villages du territoire. Il faut retrouver de la confiance et des finances pour avancer tous ensemble. C'est très important, là aussi il faudra inventer quelque chose de nouveau. Président est un poste à temps complet, nous souhaitons un duo Maire / Président solide, capable de partager les actions dans l'interêt géneral. Si j’espère jouer un rôle ? Pourquoi pas ? Tout dépendra des forces en présence. Mais il faut déjà gagner la ville !

Vous semblez globalement confiant ?

Oui globalement nous sommes confiants. Notre organisation fonctionne bien, ce n’était pas gagné. On évolue avec une nouvelle équipe dans la simplicité, avec de vrais objectifs pour les citoyens d'abords. On travaille pour un nouveau cycle, pour “Changer le cap”.

LONS-LE-SAUNIER - STÉPHANE BILLAUDEL (ATOUTS LONS) :

“Notre seule préoccupation : les habitants…”

Il est important de se donner les moyens ?

Ce doit être le combat à mener pour les élus : défendre les conditions permettant à chacun de gagner sa vie, partager l’espace public équitablement et retrouver du plaisir à vivre ensemble. Nous avons déjà le cadre de vie, nous pouvons travailler encore mieux pour développer nos filières d’excellence, l’agroalimentaire, le bois, l’agriculture, la viticulture, le tourisme… Maintenir notre dynamisme commercial… Nous devons aussi assurer une meilleure promotion de nos savoirs faire à l’extérieur, pourquoi ne pas prendre exemple sur l’excellent « Made in Jura » pour créer enfin un « Made in Ecla » ?

Nous manquons d’une identité forte, il faut que l’on résolve ce déficit de notoriété.

L’avocat lédonien Stéphane Billaudel fut régulièrement cité parmi les potentiels successeurs à Jacques Pélissard. Finalement il n’en sera rien… ou presque. Stéphane Billaudel s’engage pour cette municipale à Lons aux côtés de John Huet, déclaré tête de liste ”Atouts Lons”. Pas tête de liste mais animateur majeur… Rencontre…

M. Billaudel, pouvez-vous vous présenter ?

Je suis jurassien et lédonien d'adoption depuis l’âge de onze ans.

Je suis marié et père de deux enfants. J’ai fait des études de droit à Lyon et à Strasbourg. Devenu avocat, j’ai choisi de m’installer à Lons, là où j’ai vécu mon adolescence. Un enracinement pour moi, Lons et le Jura, une ville, mais proche de la nature. J’ai eu l'opportunité de devenir rapidement associé d’un cabinet déjà existant en 1994. J’ai été deux fois Bâtonnier de l’Ordre des avocats, en 2003 et en 2014. Amené de part ma profession à rencontrer beaucoup de monde, je connais donc très bien la ville de Lons.

Vous êtes aussi investi dans le monde associatif ?

Je suis en effet investi dans la vie associative, dans les associations humanitaires et caritatives. J’ai vécu une expérience forte en tant que Président de la Maison Commune à La Marjorie durant trois années. Je me suis investi avec détermination au sein de ce centre social associatif parce que c’est un endroit où l’on peut constater le délitement de notre modèle républicain laïc et égalitaire, mais où chacun s’efforce de maintenir la fraternité et la cohésion entre les habitants.

Pourquoi ce moment pour vous investir politiquement ?

J’ai envie aujourd’hui de participer au renouvellement de la gouvernance d’une ville comme Lons. On sait que Jacques Pélissard ne se représentera pas, c’est un bouleversement pour notre ville après trente années de sécurité. Soudainement, c’est l’inconnu pour les Lédoniens. Cela ouvre de nouvelles opportunités, mais c’est aussi une grande responsabilité. C’est un vrai défi : que proposer maintenant aux Lédoniens ? Je partage cette réflexion avec John Huet depuis deux ans, nous avons constitué le groupe Apo’lons dans le but d’installer un débat public. Aujourd’hui cela aboutit à une liste menée par John Huet : « Atouts Lons ».

Pourquoi n’êtes-vous pas vous-même tête de liste ?

Ma profession reste ma priorité et ne me paraît pas compatible avec l’emploi du temps d’un maire à 100%. Et puis je ne suis pas élu, je n’ai donc pas l’expérience nécessaire pour ce poste. Pour moi, la méthode de gouvernance est primordiale, comment l’adapter aux attentes de nos citoyens ? Comment la partager, tout

Stéphane Billaudel

en les responsabilisant ? On travaille beaucoup sur ce sujet avec le groupe qui est un collectif aux multiples sensibilités. La tête de liste doit accepter la gouvernance collective sur la base d’une charte associant les citoyens, mais aussi des agents municipaux qui sont la première richesse de la ville. La seule préoccupation, ce sont les habitants et leur territoire. John Huet est maintenant déclaré comme tête de liste… C’est clair, c’est net. Le top départ est donné, on a un leader pour mener cette campagne.

Quel regard portez-vous sur Lons ?

Lons a plus d’atouts que de handicaps. Les Lédoniens sont globalement satisfaits de vivre ici à Lons et ils aiment leur ville. Mais l’équilibre est précaire. L’enjeu est celui du développement harmonieux. Dans une ville comme la nôtre, cela suppose pour les élus de défendre becs et ongles l’offre la plus large de services publics. Ce sont les services publics qui maintiennent la densité d’une population et c’est cette densité qui permet de développer les entreprises locales, lesquelles, en retour, maintiennent et créent de l’emploi. Penser l’inverse est un leurre. De nos jours, aucune entreprise ne survit ou ne s’installe dans le désert.

L’agglomération lédonienne est importante ? La ville de Lons y est essentielle ?

C’est un sujet qui me passionne ! Celui de l’évolution de la démocratie territoriale. Un nombre très important de compétences ont été transférées à l’Agglomération sans que la population ne participe directement à l’élection de son président et des membres qui la gouvernent. C’est anachronique et cela freine l’installation d’un sentiment d’appartenance.

Malgré le travail entrepris par Patrick Elvezi, dans l’esprit de la plupart des habitants, Ecla reste « une entité administrative de plus », alors qu’elle nous gouverne et que sa cohérence juridique et sa santé financière conditionne notre avenir collectif. Il va falloir nous réveiller sur ce point pour ne pas compromettre les chances de développement de notre territoire.

C’est un enjeu fort et si l’occasion m’en est donnée, je m’investirai dans cette réflexion, Lons devant assurer son rôle de « loco-motivante » !

Comment voyez-vous cette campagne qui se prépare ?

La multiplicité des listes pour la ville de Lons est une bonne chose. Elle prouve la vitalité démocratique de la cité. C’est très positif. Rien n’est pire que les jeux faits d’avance. J’ai fait le choix de m’engager aux côtés de John Huet car il ne milite que pour les habitants. Il est jeune mais il associe l’expérience de l’élu et la compétence professionnelle d’un cadre de collectivité territoriale. Il a donc une double vision et il connaît bien les enjeux. Avec lui et tous ceux qu’il a déjà fédérés, j’ai confiance en nous.

EXPOSITION - MUSÉE DES BEAUX-ARTS - LONS-LE-SAUNIER

Entre amitié et influence, un autre regard sur Perraud et Courbet...

Ils sont tous deux nés en 1819 et occupent une belle place au musée des Beaux-arts de Lons-le-Saunier. Gustave Courbet (1819-1877), le célèbre peintre né à Ornans dans le Doubs, est présent avec cinq tableaux : Le chasseur allemand - La grotte Sarrazine - Le calme, marine - Le château de Chillon - Portrait de Jean-Paul Mazaroz. Le sculpteur Jean-Joseph Perraud (1819-1876) artiste jurassien, né à Monay entre Sellières et Poligny, s’est, lui, installé au rez-de-chaussée avec le fonds de son atelier de sculptures qu’il a légué, à sa mort, au musée. Des œuvres remarquables que vous ne manquerez pas d’observer avant ou après la visite de l’exposition qui leur rend hommage : « 1819-2019, Regards sur Courbet & Perraud ». Un hommage particulier imaginé à sa manière par le musée des Beaux-arts. Une double exposition sous la forme de deux parcours originaux qui ne manquent pas d’intérêt.

De par les angles d’approche mais aussi de par l’atmosphère spécifique qui s’en dégage.

• Un regard sur les œuvres des amis de Jean-Joseph Perraud. Des dessins et des gravures légués par l’artiste, conservés par le musée, restaurés et dévoilés pour l’occasion. Des œuvres, pour la plupart dédicacées, offertes à Perraud par ses amis peintres, sculpteurs, graveurs. Une diversité qui nous éclaire sur la vie du sculpteur, notamment lors de son passage à la Villa Médicis à Rome entre 1847 et 1852, mais aussi plus tard sur son approche et son travail personnel.

• Un regard sur l’influence de Gustave Courbet sur le travail de Jean Vimenet un artiste du XXe siècle. Ce dernier peint en effet en 1962 une œuvre intitulée Hommage à Courbet. Celle-ci s’inspire de la toile Le Sommeil peinte par Courbet en 1866 et qui, en son temps, fit scandale du fait de la nudité et de la sensualité du sujet.

Un hommage intime et subtil et une influence qui accompagnera et inspirera Jean Vimenet dans l’évolution de sa peinture et sa sculpture de façon récurrente. Cette exposition de gravures et sculptures en est un beau reflet, presque une obsession, une intéressante réflexion sur l’influence et l’inspiration artistique.

Ces deux univers, plutôt intimistes, sont minutieusement orchestrés par Dorothée Gillmann en charge des collections Beaux-arts et commissaire de l’exposition. Un hommage décalé et approfondi, un éclairage inattendu, une vision complémentaire sur deux artistes majeurs du musée. Un bel anniversaire...

Le Sommeil de Gustave Courbet, une source d’inspiration…

Du 26 octobre 2019 au 9 février 2020 1819-2019 - Regards sur Gustave Courbet et Jean-Joseph Perraud Musée des Beaux-arts de Lons-le-Saunier - Place Philibert-de-Chalon – Lons-Le-Saunier Tél. 03 84 47 64 30 – musees@lonslesaunier.fr www.lonslesaunier.fr/les-musees - www.facebook.com/museelons Ouvert du mardi au vendredi 14 h - 17 h, samedi, dimanche & jours fériés 14 h - 18 h Fermé le lundi et du 25 décembre au 1er janvier inclus

Les amis de Jean-Joseph Perraud…

6 actus

Pays de Lons n°143 - novembre 2019

EquiLons - Dimanche 17 novembre 2019

EquiLons : une vente de chevaux organisée par les élèves du lycée Mancy EquiLons est maintenant un événement incontournable dans le monde de l'équitation. En effet, cette vente annuelle de chevaux et poneys draine professionnels et particuliers venus du Jura, des départements voisins, mais aussi plus largement de la France entière. Organisée par et au lycée Mancy, la prochaine édition est programmée dimanche 17 novembre. Explications...

Cette manifestation est organisée à Lons­le­Sau­ nier par le lycée agricole Mancy, plus précisément même par les élèves. Un beau défi et une belle expérience pour cette centaine d’étudiants inves­ tis. L’organisation générale de l’événement est effectuée par les classes de BTS DATR de première année (Développement Animation Territoire Ruraux) et la classe de Terminal CGEH (Conduite Gestion de l’Entreprise Hippique). La restauration est organisée par la classe CAPa SAPVER (Service Aux Personnes et Vente en Espace Rural). La démonstration des chevaux est réalisée par la classe CAPa Ps (Palefrenier Soigneur).

Une organisation précise...

EquiLons est une vente de chevaux qui se déroule sur une journée, en l'occurrence cette année le dimanche 17 novembre de 10 h à 17 h, au centre hippique du lycée. “On peut compter en moyenne une centaine de chevaux à vendre. Des chevaux de concours, des poneys, des chevaux comtois... On accepte tout le monde ! C'est ouvert aux profes­ sionnels, aux clubs et aux particuliers qui doivent inscrire leur cheval à la vente (avant le 11 novem­ bre) en joignant une description précise de l’ani­ mal” expliquent Adeline Genin et Céline Zurbach, deux étudiantes en charge de la communication et des relations presse. L’objectif est d’inscrire un maximum de ventes et que tout soit opérationnel le jour J. Il est important aussi d’attirer le grand public à cette belle manifestation pour en faire une belle journée festive. “Cela donne une belle image du cheval, de notre lycée et de nos formations.

Une organisation collégiale…

L’idée est de faire toujours mieux, c’est une décou­ verte pour nous tous. On se réunit une fois par semaine depuis la rentrée, on échange beaucoup entre nous et on se partage les responsabilités. On veut que tout soit parfait ! On a un peu la pression mais pour l’heure tout se passe bien” ajoutent Adeline et Céline. Par ailleurs, afin d’équilibrer le budget, les élèves démarchent des sponsors et pro­ posent une présence dans le catalogue de présen­ tation des chevaux ou sur le site même de la mani­ festation. “Les étudiants sont ainsi confrontés aux réalités du terrain et de la filière. C’est une organi­ sation collégiale pour une journée importante

autour du cheval. Les élèves s’investissent pour don­ ner une belle image de leur lycée. C’est une belle opération de communication pour le lycée mais aussi pour les étudiants qui rencontrent la profes­ sion...” conclut Pierre Mirande un des enseignants qui accompagnent les étudiants dans ce projet.

Un spectacle, un défilé et beaucoup de convivialité…

Le matin, la vente débute par un beau défilé de tous les chevaux proposés à la vente. Une équipe spéciale est présente pour conseiller les acheteurs et si environ 50 % des ventes se font le jour même,

d’autres se feront plus tard. Après le défilé, il est de tradition de se retrouver autour du repas franc­ comtois, un grand moment d’échange et de convi­ vialité. Un concours de sauts d’obstacles est orga­ nisé et un vide­sellerie, dépôt­vente de matériel hippique, se tient aussi toute la journée. Celle­ci se termine par la remise des diplômes aux élèves de la promotion précédente. Un grand moment en famille ! La veille le samedi, les organisateurs pro­ posent comme nouveauté cette année un specta­ cle équestre : “Les cavaliers de tous temps” de 18 h à 20 h sur place au lycée. L’entrée est fixée à 5 € et les réservations se font au 03 84 47 16 63.

EquiLons : dimanche 17 novembre de 10 h à 17 h.

Entrée libre - Lycée Mancy Lons-le-Saunier.

Inscriptions et renseignements : www.equilons.fr Facebook /EquiLons - 06 25 33 19 66

Entreprises

“Réussir le changement en entreprise” : un forum particulièrement réussi !

La 4e édition de ce forum organisé le 10 octobre à l’initiative de la Plateforme RH Jura a réuni, afin qu’ils échangent sur leurs pratiques, une bonne centaine de responsables d’entreprises ainsi que des experts, des coachs autour du thème “La conduite du changement et les clefs de la réussite”.

E TAT C I V I L

Ce dispositif territorial est piloté par les 3 cham­ bres consulaires, les acteurs de l’emploi, des RH de l’insertion et de la formation. Répartis en petits groupes dans diverses salles du lycée Jean­Michel, les participants ont pu échanger et mettre en com­ mun leur vécu au sein de leurs entreprises respec­ tives. Pour l’avoir entendu au cours de ces débats particulièrement constructifs, il apparaît que le changement – quel qu’il soit –, est à manipuler avec précaution et délicatesse. En effet, un coach explique par exemple que le remplacement d’un photocopieur, bouleversant les habitudes, peut déclencher un malaise, créer des suspicions voire

Gatien de Maxime CLERC et Laetitia BORGOGNO, La Marre Edgar de Edouard KUHNI et Aurélie TRIQUET, Zola de Émilien THIERRY et Marine CATTENOZ, Lons­le­Saunier Bletterans Salomé de Romain KEMEL et Amélie RAMBOZ, Théo de Olivier FOSSE et Karine ANGONIN, Lons­le­Saunier Blye Julie de Franck CUENIN et Vanessa BESSARD, Adélie de Steeve JANVIER et Diana SALMI, Lons­le­Saunier Cesancey Giorgio de Emanuele MENDOLA et Daniela Naël de Gwenaël ARBEZ et Mylène BELARDO, Lons­le­Saunier BROUILLON, Chamole Romy de et Malaury GAILLARD, Lucien de Alexandre COLLINET et Dolores Lons­le­Saunier DA FONSECA, Chapelle­Voland Ethan de Thierry BILLARD et Charlotte Coralie de Zondo EKLOU et Sonia DELMETZ, ATANGANA, Lons­le­Saunier Clairvaux­les­Lacs Clotaire de Cédric FUMEY et Myriam FREHEL, Karel de Romuald BRIANCHON et Charline Mirebel UEBEL, Condamine Lilian de Martin BARÇON et Anaïs COMTE, Hugo de Marc SECRETANT et Manon Montmorot PAQUETTE­­SINIBALDI, Conliège Noham de Clément CHAPOUTOT et Anaïs Liam de Yannick VALLOT et Martyna SIMONET, Nance SZUMOWICZ, Cosges Mia de Thomas PECHOT et Carole Léandre de Mathieu PUTIN et Ludivine JOURDAN, Orbagna NGOUESSINGA, Frébuans

NAISSANCES

Éloa de Christophe BRIDOUX et Amélie BILLET, Orgelet Léon de Mathieu BOISSON et Noémie PONCET, Poligny Amélina de Sylvain JACQUIER et Céline MICHON, Présilly Ésmée de Nathan NEUVILLE et Cheyenne BADET, Relans Nils de Johan REMUSAN et Aurore THIEBAUX, Saint­Germain­lès­Arlay Lélio de Matthieu TROUILLER et Tiffany TORTERAT, Saugeot Gabin de Baptiste BAGUEREY et Caroline VÉRAND, Sellières Caylie de Kevin TROCA et Charlène BROULHET, Verges Lily­Rose de Sébastien MARTIN et Maryline ROUSSEAU, Vincelles

DÉCÈS CLEMENT Gilbert, Beffia, 71 ans GUYOT Simone, Bletterans, 81 ans

Mme Carine Boissenin, Manager Stanley Black & Decker à Damparis anime le débat.

déstabiliser une équipe quitte à mettre à mal une bonne entente régnante.

Il n’y a pas d’entreprise pérenne sans adaptations mais pour les réussir, il convient d’obtenir l’adhé­ sion des personnels concernés en les impliquant en amont, en considérant leurs réticences, enfin

CARD Romain, Chapelle­Voland, 80 ans JACQUEMIN Nicole, Chaumergy, 74 ans CORDIER Christiane, Chaumergy, 95 ans CHÊNE André, Chilly­le­Vignoble, 74 ans DUGUY Jeannine, Clairvaux­les­Lacs, 83 ans DUMONT Gisèle, Courbouzon, 95 ans VALETTE Henri, Cousance, 72 ans NICOD Gaston, Digna, 92 ans BELEY Germaine, Domblans, 103 ans MARILLIER Gisèle, Doucier, 94 ans ROZE Marcelle, Le Chateley, 87 ans CAVET Suzanne, Lons­le­Saunier, 93 ans POLINICE Hélène, Lons­le­Saunier, 93 ans BOURSIN Marc, Lons­le­Saunier, 61 ans GENILLON Jacques, Lons­le­Saunier, 92 ans GUIZOL Jeanne, Lons­le­Saunier, 94 ans DALLOZ Claude, Lons­le­Saunier, 92 ans MILLET Noëlla, Lons­le­Saunier, 86 ans SALIGNON Julienne, Lons­le­Saunier, 102 ans VUILLEMOT Simonne, LONS­le­SAUNIER, 97 ans MILLET Gisèle, Lons­le­Saunier, 95 ans RICHARD Michel, Lons­le­Saunier, 87 ans HUG Roger, Lons­le­Saunier, 83 ans

en leur laissant découvrir que “ce sera mieux après”. Il est sans aucun doute primordial de préparer, d’associer, de présenter, et d’expli­ quer le changement pour le réussir.

BILLOT Catherine, Lons­le­Saunier, 56 ans COUTURIER Lucien, Lons­le­Saunier, 93 ans PÉDRON Ysabelle, Lons­le­Saunier, 52 ans BILON Paul, Lons­le­Saunier, 87 ans LECHARTIER Jeanne, Lons­le­Saunier, 85 ans BELLAT Madeleine, Lons­le­Saunier, 89 ans JEANNIN Christian, Messia­sur­Sorne, 71 ans COQUEREAU Renée, Monay, 94 ans CORDIER Joël, Montmorot, 80 ans MOTTET DE LA FONTAINE Chantal, Montmorot, 67 ans CLÉMENT Jean­Pierre, Montmorot, 74 ans JANOD Paul, Orgelet, 90 ans CHAFFIN Paulette, Perrigny, 83 ans PICHOT Simone, Perrigny, 97 ans MINGUET Berthe, Poligny, 89 ans ARDIET Monique, Poligny, 83 ans GROSSIORD Huguette, Publy, 70 ans DILAS Bernard, Ruffey­sur­Seille, 70 ans CESSIN Jacques, Sellières, 86 ans DAVIET Denise, Vevy, 95 ans PROST Denise, Villeneuve­sous­Pymont, 89 ans BAILLY Anne­Marie, Voiteur, 91 ans

B.W.

Zone des Epenottes BP 212 - 39102 Dole Tél. 03 84 82 50 21 n°ISSN : 1 778-820X Imprimé en France

Rédaction : redaction@paysdelons.fr

Régie publicitaire Tél. 03 84 82 50 21 Portable 06 33 79 00 94 commercial@paysdelons.fr

15/16/17 NOV. 2019 LONS-LE-SAUNIER Édition

organisé par

©Fotolia : t.paisit

2019

salon-immo-jura.fr salon-immoalon-immo-jura.fr

onneur h ’ d é it Inv Vaucluse

Le

uclusienne Epicerie la Vaduits

Le temps d’un week-end

Entrée libre Horaires d’ouverture vend 14h-19h sam 10h-20h dim 10h-19h

70 producteurs de la France entière Plus de 300 produits à découvrir et à déguster 6 concours régionaux 9 conférences autour de la gastronomie et des savoirs-faire 8 ateliers culinaires animés par des experts En continu, un espace enfant, de multiples activités proposées

Chefs Ambassadeurs du Goût des Terroirs

0 pro s Plus de 15 présenté cteurs re u d ro p 30

Et en exclusivité

Dimanche 24 novembre

Le Brunch étoilé Joël Césari

chef de l’Hôtel-Restaurant

La Chaumière à Dole

Loïc JIULLIAND Chef de parti du Restaurant

L’hôtel de Ville de Crissier (Suisse)

Matthias MARC

Tom MEYER

Chef du Restaurant

Chef exécutif de

Substance à Paris

Anne-Sophie PIC à Valence

Romuald FASSENET Chef et MOF de l’Hôtel-Restaurant

Le Château du Mont Joly à Sampans

30€ / Informations et réservations

Dole Tourisme - 03 84 72 11 22 contact@hellodole.fr

Un week-end gourmet : Régalez-vous des différentes formules proposées

Régal’Bar un avant goût des fêtes (Bar à huîtres, crevettes et escargots)

La pause automnale et la ronde des producteurs Une farandole de surprises gustatives

8 vivre ici

Pays de Lons n°143 - novembre 2019

Réinsertion

Justice, prison : sortir du cercle vicieux Favoriser la réinsertion familiale et sociale des détenus, sous forme d’activités ou d’accompagnement des familles sont les missions de l’Association locale Culturelle et Sportives des détenus des familles. Dans le cadre des Journées nationales en prison, elle organise la projection d’un film pour mieux sensibiliser le public.

C’est avec une voix posée et apaisante que Thérèse Perrot, bénévole à l’Association Cultu­ relle et Sportives des détenus des familles nous présente la structure. “Les activités en prison créent du lien social, donne des envies et une ouverture culturelle. Il faut que l’on en fasse le plus possible. On sait que c’est impor­ tant pour combattre l’oisiveté”. Sept à huit fois par an, des spectacles, conférences, concerts, ateliers d’arts plastiques ou de théâtre d’im­ provisation, sont organisés avec la direction de la maison d’arrêt et une conseillère du service pénitentiaire d’insertion et de probation.

“Nous ne sommes pas des professionnels, mais nous sommes là pour écouter” Si la quinzaine de bénévoles mènent des actions au sein des prisons, leur mission est aussi d’accompagner les familles qui le souhai­ tent, avant ou après un permis de visite. Au sein de leur local, au 9 bis rue du Puits Salé, à

300 mètres de la prison, les familles viennent chercher du réconfort. “Nous ne sommes pas des professionnels, mais nous sommes là pour écouter. C’est important dans ces moments­là.

Les personnes viennent boire un café, vider leur sac… Nous ne sommes pas dans le juge­ ment, c’est simplement un échange…”.

Projection du film “Après l’ombre” Pour la 26e année, les Journées nationales en prison sont l’occasion de “faire connaître les problématiques liées à la prison et le milieu carcéral. Il faut faire connaître ces questions et y réfléchir…” souligne la bénévole. Cette année, un film de Stéphane Mercurio, “Après l’ombre” est projeté pour l’occasion au cinéma les 4 C, dans la continuité de la semaine nationale. D’anciens détenus de longue peine sont rentrés dans le jeu et mon­ trent comment on sort d’une longue incarcé­ ration. “Le film veut faire comprendre que l’on peut se sortir d’une longue peine…”.

F.P

Projection du film “Après l’ombre” au cinéma les 4C le vendredi 13 décembre à 20 h avec rencontre de la réalisatrice, aux tarifs habituels.

Jeux vidéo

Poligny’s Games arrive d’entrée de jeu !

Alors qu’en France une personne sur deux joue aux jeux vidéo, sur console, smartphone ou supports innovants, la ville de Poligny organise “Poligny’s Games”. Deux jours pour échanger, découvrir et bien entendu… jouer.

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FENÊTRES, PORTES & BAIES VITRÉES

STORES & MOUSTIQUAIRES

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DEVIS

Vous avez envie de tester des jeux de réalité virtuelle ? De faire découvrir à vos enfants les anciennes consoles de jeux ? Le temps d’un week­end, Poligny’s Games va devenir le paradis des gamers jurassiens et francs­comtois mais pas que… “Nous voulons créer du lien et que les parents échangent avec leurs enfants qui passent de plus en plus de temps avec les jeux vidéo” explique Cédric Holley, responsable muni­ cipal des animations. Alors que Poligny compte 1 200 étudiants, c’est aussi un moyen “d’étoffer l’offre envers les jeunes”. Si habituellement ce genre d’évènement est orga­ nisé dans les grandes villes, le concept, décliné “dans le milieu rural” est assez “révo­ lutionnaire”…

Du rétrogaming à la réalité virtuelle Les associations locales sont mobilisées via l’association “Le Pixel Bisontin”. Le maga­ sin polinois, Speed Games, est aussi impliqué dans la manifestation. Au programme : du rétrogaming avec la découverte de bornes d’arcade notamment, des tournois de Super Smash Bros Ultimate, des initiations e­sport, une conférence abordant les jeux dans la famille et les tendances, une exposition sur les évolutions du jeu, la présence de la réalité virtuelle… “La réalité virtuelle est quelque chose que l’on n’a pas forcé­ ment à la maison, qui coûte cher et qui est un peu particulier. Nous emmenons dif­ férents casques qui vont permettre de s’immerger dans le jeu, de se déplacer avec un effet de vraie présence et cette impression d’avoir des objets devant soi. Cela fait partie des choses que l’on trouve rarement ailleurs…” souligne Simao Sanchez, le pré­ sident du Pixel Bisontin.

Un rendez-vous à pérenniser ?

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À terme, le rendez­vous pourrait être pérennisé annuellement. Si le gymnase est déjà entièrement investi et organisé par pôle pour cette édition, le chargé municipal des animations n’exclut pas l’investissement d’un gymnase pour de prochains ren­ dez­vous, si cela s’avérait nécessaire… Pour rassembler les joueurs tout au long de l’année, il n’y a pas encore d’association connue sur les jeux vidéo à Poligny. “Si besoin, nous sommes prêts à accompagner des personnes voulant monter une struc­ ture” explique le président de Pixel Bisontin basé à Besançon. À bon entendeur…

F.P

Poligny’s Games les 23 et 24 novembre à la salle des fêtes de Poligny. Entrée gratuite. Samedi 23 nov : e-sport à 13 h 30, tournoi de Super Smash Bros Ultimate à 15 h, conférence sur les jeux à 18 h 30. Dimanche 24 nov : e-sport à 11 h et tournoi à 14 h.

Funérarium de Poligny Rue Roger Thirode - ZI - 39800 Poligny - 03 84 37 14 94 Pour vous accompagner, notre écoute, la tradition de notre savoir-faire, la pérennité du souvenir…

Les Pompes Funèbres TANIER sont à votre écoute avec une assistance 7j/7j et 24h/24h

ARBOIS 03 84 37 50 89

DOLE 03 84 71 71 71

TAVAUX 03 84 80 06 05

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OuLaLa !

Mag’culture

Ça bouge au Bœuf !

EMMA s’est installée au Bœuf L’École de Musique Moderne et Amplifiée qui forme musiciens et amateurs de musique, des enfants aux adultes, s’est désormais installée dans l’enceinte du Bœuf sur le Toit.

L’année dernière, nous avions rencontré Isabelle Lecoultre, directrice de l’École de Musique Moderne et Amplifiée, EMMA, rue des salines à Lons. C’est désormais au Bœuf sur le Toit que l’école a élu domicile depuis le mois de septembre. “Dans l’en­ ceinte du Bœuf, l’école a vraiment pris sa place dans le milieu culturel de Lons.

Nous sommes entourés d’autres associa­ tions, avec qui nous sommes désireux de collaborer. Cela créé une bonne dyna­ mique, avec une augmentation du nom­ bre d’élèves. Cette année, nous avons huit professeurs et intervenants, contre six l’année dernière…” explique la direc­ trice. L’école propose des cours de batte­ rie, basse, guitare, chants ou clavier, à chaque fois pour des cours particuliers ou

en groupe. Elle compte depuis cette ren­ trée un professeur de basse diplômé et propose également du ukulélé, une disci­ pline surprenante, qui a été demandé lors du Forum des associations. L’instru­ ment est proposé aux adultes, mais aussi aux enfants. “Cet instrument à 4 cordes est une première étape intéressante avant de passer à la guitare, surtout quand ils ne peuvent pas encore la tenir”.

EMMA reste ouverte aux nouvelles ins­ criptions à tout moment. D’ici la fin de l’année, des stages d’écriture, de Musique Assistée par Ordinateur (MAO), de guitare et de batterie seront proposés.

La gestion des locaux de répétition Outre ses cours, l’association EMMA a

repris la gestion des locaux de répétition existants au Bœuf. Une vingtaine de groupes, professionnels ou amateurs, viennent régulièrement répéter dans les studios de répétition. “Les musiciens ne sont plus partagés entre les locaux d’EMMA et ceux du Bœuf comme avant”. Désormais, tout est désormais sur un même site. Le déménagement de l’école et la reprise de ces salles de répé­ tition s’inscrivent dans un projet global cohérent. “Les élèves, musiciens ou pro­ fesseurs nous ont fait ressortir le besoin et l’envie de se rencontrer. Nous leur avons créé cette opportunité. Il y a une réelle dynamique dans le milieu musical F.P à Lons…”.

Cours de musique à l’EMMA : de 14 € à 21 € le cours particulier, 5 € le cours groupé, 200 € le cours d’éveil musical dès 4 ans. Renseignements et inscriptions : 06 63 61 91 44.

Utilisation des locaux de répétition, 4 € de l’heure, réservation auprès du président de l’association, Karim, au 06 09 10 50 53.

Mystical faya le 20 novembre

EMMA : les concerts du mercredi au Darius en plus !

L’association musicale EMMA assure désormais la gestion des concerts du mercredi. Ces “Mercredis du Darius” sont désormais programmés chaque semaine, avec un apéro-concert dans le mois.

En s’installant dans l’enceinte du Bœuf sur le Toit, l’École de Musique Moderne et Amplifiée – EMMA – a repris la gestion du club musical Le Darius. “Christophe Camacho de PROD’IJ cherchait quelqu’un pour reprendre la gestion. Le lieu a toujours été géré par des associations” souligne Isabelle Lecoultre, de l’association EMMA. Cet investissement était cohérent avec les motivations de la structure, désormais installée au Bœuf. L’association musicale EMMA assure donc la gestion des concerts du mercredi depuis la rentrée. Et elle les a même développés… Si d’ordinaire, les concerts étaient programmés quelques mercredis par mois, ils sont aujourd’hui affichés tous les mercredis soirs, avec des styles allant du rock, au reggae, au hip­hop, aux musiques du monde, jusqu’au métal. Des groupes en émergence de toute la France se produisent désormais dans cette salle, se trouvant dans l’enceinte du Bœuf sur le Toit.

Des apéros-concerts Le premier mercredi du mois, les concerts ne sont pas program­ més à 19 h mais à 21 h pour un afterwork. “Ces apéros concerts sont parfaits pour ceux qui sortent de cours de musique ou du travail. Nous avons créé ce rendez­vous avec les personnes qui n’ont pas forcément l’habitude de venir aux concerts de soirée”.

Et chose étonnante, d’une façon générale sur tous les mercredis, “le public est très féminin”. Vers 22 h 30, à la fin du concert, la soirée se poursuit tout en convivialité autour d’un verre et d’une ambiance musicale. “La saison a très bien démarré. Nous sommes très contents d’accueillir chaque semaine un peu plus de monde…” se réjouit Isabelle Lecoultre qui ne manque pas de mentionner que l’accès est libre, après l’achat d’une carte à 10 € pour la saison.

F.P

APAJ : Il n’y a pas photo !

Si la photo vous attire, l’APAJ devrait vous intéresser. Nul besoin d’acheter un gros appareil photo pour commencer, l’essentiel est, dans un premier temps, d’avoir l’œil…

Les membres de l’Association des Photographes Amateurs du Jura lors d’une sortie

La photographie attire tous les âges, c’est en tout cas le constat que tire l’Association des Photo­ graphes Amateurs du Jura, qui compte trente mem­ bres à la veille de ses dix ans. Si sur un appareil photo, nous n’utilisons qu’une part infime de ses possibilités, nul besoin d’investir dans un gros appa­ reil photo pour commencer. “Rien qu’avec l’appareil photo d’un bon téléphone, on fait de beaux clichés.

Une bonne photo est avant tout un cadrage, avoir l’œil, savoir repérer un sujet intéressant et le mettre en valeur... La technique c’est presque secondaire, même si, c’est bien de la maîtriser” tient à souligner Johanna Carrez, présidente de l’Association Photo­ graphes des Amateurs du Jura. Des ateliers théo­ riques sont donc programmés chaque semaine pour

Concert tous les mercredis à 21 h (19 h le premier mercredi du mois) au Darius situé dans l’enceinte du Bœuf sur le Toit. Entrée libre tous les mercredis sur présentation de la carte spectateur en vente sur place à 10 € et valable jusqu’en juin. Vente de la carte à tout moment aux bureaux PROD'IJ et EMMA au Bœuf sur le Toit. Informations : 03 84 44 73 19.

NOTEZ LE PROGRAMME - 6 novembre à 19 h : Black Limbo (soul, blues, pop) - 13 novembre à 21 h : Brume (new wave) - 20 novembre à 21 h : Mystical Faya (reggae, sunset acoustic). (Photo ci-contre) - 27 novembre à 21 h, Tabir Sarrail (groupe invitant au voyage, alliant musique et cinéma. À découvrir !)

Toutes les dates sur Facebook, page “Darius Club officiel”.

gérer les prises de vue et les techniques, sans oublier les ateliers pratiques pour bien cadrer ou régler son appareil sur le terrain. “On explique ce qu’est un appareil photo pour que chacun puisse l’utiliser suivant ses connaissances et le rendu qu’il veut en avoir. C’est un échange avec les plus expérimentés”, notamment lors des sorties le dimanche matin. “La plupart des gens restent en mode automatique. Les appareils sont maintenant très bien faits, avec aussi des modes spécifiques – sportif, portrait, paysage… – On passe au mode semi­manuel pour régler la vitesse et la profondeur de champ, lors d’une prise de photo créative, comme photographier un sujet inhabituel, faire passer des messages, chercher une émotion…”. Les clichés des membres font d’ailleurs l’objet de débriefing pendant la séance hebdomadaire de l’associa­ tion.

Des photos par tous les temps…

Et l’on peut dire que l’APAJ ne se laisse pas impressionner par le mauvais temps et sort toute l’année. Outre la pluie et le froid qui décharge un peu les batteries des appareils, la photo se pratique chaque mois, ce qui est encore plus beau pour suivre les animaux ou l’évolution de l’eau aux abords des cascades. De l’aspect brumeux, à la neige ou la glace, l’eau se révèle alors F.P sous tous ses états…

Plus d’informations sur l’APAJ : http://apaj.e-monsite.com. Adhésion annuelle de 57 €.

Contact : contact@apaj.e-monsite.com

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OuLaLa !

Mêta Jura

L’Arc JURAssien sous toutes ses formes

Mêta Jura, Milieux, Etres et Territoire de l’Arc JURAssien est implanté depuis 2009 sur notre département et plus minoritairement en Suisse. “Nous avons des membres des deux pays car l’Arc Jurassien a une partie en France, une autre en Suisse. Le Jura est aussi un département français et un canton Suisse…” explique MarieJeanne Lambert, présidente de Mêta Jura. L’association est atypique car elle s’articule autour de trois thématiques complémentaires : des entretiens un jeudi par mois sur les acteurs de la vie du Jura, des sorties culturelles et l’édition de livres directement gérée par l’association. La cinquantaine de membres, sensibilisée à la culture, a à cœur de “vulgariser l’information” pour la rendre accessible à tous.

“C’est un travail scientifique pour la valorisation du patrimoine” La découverte des territoires et de leurs acteurs passe par des thèmes très éclectiques : de la découverte des vignes, des forêts, à l’histoire de la fondation de l’abbaye de Saint-Claude et de son rayonnement. “On essaye de s’ouvrir à un maximum de choses possibles et

nous avons envie de voir différents points de vue”. Outre les échanges/rencontres avec des acteurs économiques locaux, les connaissances acquises par les membres sont retranscrites dans des livres, à l’aide de spécialistes. “C’est un travail de fond scientifique pour la valorisation du patrimoine auprès du grand public…”. Les livres sont réalisés en interne, de la rédaction, à la mise en page, à la prise de photos… puis vendus dans des salons, auprès de libraires ou depuis le site Internet.

Selon chaque projet, des aides financières peuvent venir de la région, de certaines collectivités et même de banques. Et la plus belle des récompenses reste les reconnaissances comme le livre “La parole de Pierre” de Pierre Overnoy, vigneron à Pupillin qui a été traduit par un Japonais ou encore le prix décerné par l’Organisation Internationale de la Vigne et du vin en 2014 pour l’ouvrage sur Château-Chalon, qui a mobilisé 39 auteurs. Le prochain sort en décembre et sera consacré à La Baume du Coudrier, cavité secrète découverte en 2011, au-dessus de la reculée des Planches près d’Arbois, avec de nombreuses photographies pour la découvrir alors qu’elle est fermée au public…

F.P Entretien/rencontres chaque 3e jeudi du mois de 18 h 30 à 20 h au centre social à Lons-le-Saunier. Sorties découvertes régulières. Les ouvrages sont à découvrir et commander sur : www.meta-jura.org. Pour rejoindre l’association : 10 € annuel, se présenter à meta.jura@laposte.net ou par courrier : Mêta Jura, 65 chemin de Mancy à Lons-le-Saunier.

Hell

Mag’culture

Chorale

Un chœur à cœur Joie La chorale À cœur Joie de Lons-le-Saunier, marquée par un fort enthousiasme de la part de ses membres, porte bien son nom !

Tableau musical avec François Lacroix, président de la structure.

“Je conseille aux gens surbookés de faire partie d’une chorale” souligne François Lacroix, président du groupe vocal lédonien À cœur Joie. Évoquant le quotidien intense des actifs, parfois stressant, il se souvient : “Quand je travaillais, il me suffisait de dix minutes de chant pour tout oublier alors qu’il me fallait trois semaines de vacances pour déconnecter…”.

Avec plus de quarante ans de présence à Lons, la chorale a su évoluer pour proposer, outre des chants de style renaissance, des chants du monde, des chansons populaires, du gospel… “Les gens sont là pour se faire plaisir et faire plaisir au public”. Quatre à six concerts sont proposés par an au niveau local ou régional, dont le prochain est d’ailleurs programmé pour Noël. Il n’est pas rare que des concerts d’effectuent avec d’autres chorales, comme ce fut le cas avec Besançon en mai dernier ou récemment avec Louhans ou la commune allemande de jumelage Offenburg. “Tout est bon pour arriver à faire des

choses ensemble”, surtout que “le Jura est un département très riche en chorales…”.

“Même si l’on chante faux, on peut venir !”

Pour François Lacroix et la trentaine de membres, menés par la cheffe de chœur bénévole Isabelle Visage, un concert se vit. “Nous recherchons la convivialité, mais aussi le frisson et la réussite. La salle nous porte !”. Il sait aussi que nombre de personnes sont intégrées dans d’autres chorales. Selon lui, c’est une belle ouverture pour apporter “d’autres colorations, des envies et des idées pour monter un concert”. Des membres se nourrissent même de leur participation annuelle au théâtre antique de Vaison-la-Romaine, rassemblant jusqu’à 5 000 choristes ! Et pour intégrer l’association À Cœur Joie, ne vous fiez pas à votre niveau de chant : “Même si l’on chante faux, on peut venir ! Quelqu’un qui chante faux ne s’entend pas, sûrement par manque d’habitude ou parce qu’il F.P n’a pas appris…” souligne-t-il.

Chorale A cœur Joie à Lons, répétition le jeudi à 20 h 15 au Conservatoire. Adhésion : 65 € l’année. Contact : François Lacroix au 07 77 98 00 98.

© crédit F Schifferdecker

Sous son nom atypique, Mêta Jura propose l’étude et l’expression des milieux, des êtres et du territoire de l’Arc jurassien, tout cela en passant par les rencontres, la découverte et l’édition. Une association multitâche qui a beaucoup à nous apprendre !

Belvédère lac de l'abbaye : Mêta Jura multiplie les sorties découvertes.

by

Bénabar Concert

JEUDI 23 JANVIER

Yves Jamait Chanson

VENDREDI 31 JANVIER

Véronic Dicaire Humour

DIMANCHE 24 NOVEMBRE

La reine des glaces

Andalousie

Marc Lavoine

Opérette

Chanson

DIMANCHE 1er DÉCEMBRE

SAM 7 DÉCEMBRE DIMANCHE 8 DÉC.

MARDI 21 JANVIER

Compromis Totalement 80 Black M Théâtre

Concert

Concert

VENDREDI 7 FÉVRIER

VENDREDI 14 FEVRIER

SAMEDI 21 FÉVRIER

Réservations Dole Tourisme Place Grévy - Dole 03 84 72 11 22 billetterie@hellodole.fr www.hellodole.fr www.lacommanderie-dole.fr

David Hallyday Ines Reg Chanson

One man show

MARDI 10 MARS

VENDREDI 13 MARS

Anne Roumanoff One woman show

www.doletourisme.fr

www.lacommanderie-dole.fr

www.dolexpo.fr

VENDREDI 27 MARS

ProdʼIJ et Musik ApʼPassionato présentent

AGENDA CLAUDINE, L’IMPERTINENTE

SAM 9 NOV

20 h 30

Le théâtre de la petite montagne propose une lecture dépoussiérée de « Claudine à lʼécole » dans une mise en scène gaie et légère. Cʼest lʼhistoire dʼune élève surdouée qui entraine sa classe à toutes les facéties, et mène les adultes « par le bout du nez ».

Billetterie en ligne : Tarifs : plein 12 €, réduit 8 € (Carte Avantages Spectateurs/Carte Avantages Jeune) BILLETTERIE EN LIGNE

LOFOFORA

DIM 10 NOV

20 h 30

Véritable Phoenix de la rage, Lofofora persiste et signe ce quʼil faut considérer comme un sacerdoce, une mission et un nouvel album « Vanités ».

Billetterie en ligne : 22 €

BILLETTERIE EN LIGNE

CELTIK PUNK NIGHT

SAM 23 NOV

WARO

18 h 00

Billetterie en ligne BILLETTERIE EN LIGNE

Danyel

Danyel WARO est une figure du maloya, genre musical créole propre à lʼîle de la Réunion et hérité de lʼesclavage. Il est resté fidèle à la tradition acoustique du maloya, et en est le « héros » reconnu. Chanteur, musicien et poète, il sait faire chanter le créole avec une émotion sans pareil : “Pour moi le maloya, cʼest dʼabord le mot. Je cherche la cadence, lʼimage, le rythme dans le mot. Grâce au maloya, jʼai pris du recul par rapport à la philosophie cartésienne, aux jugements trop conceptuels. Le maloya mʼa remis en accord avec la Réunion, avec les gens, avec notre langue.”

BŒUF SUR LE TOIT LONS-LE-SAUNIER

DIMANCHE 1er DECEMBRE 18 h00 - 17 € / 22 €

SAM 30 NOV 20 h 30

OʼARO

SOVIET SUPREM + LES FORCES DE L’ORGE Plus dʼinformations sur www.moulindebrainans.com Billetterie en ligne : tarifs : plein : 20 €, réduit : 15 € / 18 € BILLETTERIE EN LIGNE

DIM 1er DEC 18 h 00

DANYEL WARO + ANN O’ARO BILLETTERIE SUR Danyel WARO est une figure duPLACE maloya, genre musical créole propre à lʼîle de la Réunion et hérité de lʼesclavage. Il est resté fidèle à la tradition acoustique du maloya, et en est le « héros » reconnu. Chanteur, musicien et poète, il sait faire chanter le créole avec une émotion sans pareille !

Billetterie en ligne : tarifs : plein : 22€, réduit : 17€ (Carte Avantages Spectateur/Carte Avantages Jeune/ Adhérent Musik Apʼpassionato)

Ann OʼARO aime tout ce qui touche au mouvement du corps, des rythmes et de la voix : « Je viens des arts martiaux et de la musique, avant de choisir le maloya pour chanter sur des sujets intimes et tabous ».

Ann

Les Ramoneurs de Menhirs/Les Sales Majestes/Pipes and Pints/Sons Of OʼFlaherty/Gunther Tarp

BILLETTERIE EN LIGNE

SAM 7 DEC 18 h 30

CIE KADAVRESKY “LES MADELEINES DE POULPE” Performances chorégraphiques, virtuoses de skirque, laissez-vous emporter par ces madeleines déjantées, énergiques et musicales. Chaque bouchée est un hymne au plaisir et à la découverte !

Billetterie en ligne : plein : 8 €, enfant – 12 ans : 5 € BILLETTERIE EN LIGNE

DIM 8 DEC 18 h 30

OLD SCHOOL FUNKY FAMILY Un concert original, énergique, déjanté, mais attention : un groove bien en place et des sonorités impeccables, de vrais musiciens... Cʼest au confluent du funk, du jazz et de lʼafro-beat, ça déménage et ça groove puissamment !

Billetterie : plein : 8 €, réduit : 5 € (Carte avantages spectateur/Adhérent Frontenay Jazz) BILLETTERIE SUR PLACE

Infos billetterie…

www.lebœufsurletoit.fr

Un partenariat

Infos, programmation, billetterie…

www.lebœufsurletoit.fr

“Qu'est-ce que le bien-être et comment le trouver ? Le bien-être, comme le bonheur est fait d'une multitude de petites choses qui, mises bout à bout, peuvent nous conduire à nous sentir bien dans nos corps et dans nos têtes.

Le 9 juin a été institué “Journée mondiale du bien-être”. Même si au départ cette journée semble avoir été créée pour des raisons commerciales, elle révèle tout de même l'existence d'un besoin chez beaucoup de monde. En effet, de plus en plus de personnes se mettent en quête de davantage de bien-être. La faute à quoi ? À qui ? Peut-être à notre mode de vie occidental si grand pourvoyeur de stress et d'angoisses diverses; à l'accélération du monde où tout va toujours plus vite dans tous les domaines : travail, moyens de transport, systèmes de communication, flux de capitaux, de marchandises, d'informations... nous sommes emportés dans un véritable tourbillon.” Isabelle Ducau, Blogueuse Les carnets du bien-être

Des livres pour le bien-être des adolescents Comme un coach bienveillant, ces ouvrages leur donneront de nom­ breux conseils (saupoudrés d’humour) pour les aider à mieux vivre cette période sensible de leur vie et être bien dans leur tête !

Il s’agit d’une véritable cure de développement personnel.

Les 6 clés essentiels au bonheur de l’enfant En s’appuyant sur les dernières découvertes en neurosciences affec­ tives, Catherine Gueguen délivre 6 clés essentielles au bien­être de l’enfant dans son livre “vivre heureux avec son enfant”.

Pour aller bien, l’enfant a besoin : • de l’amour inconditionnel de ses parents, mais cela ne suffit pas, il a besoin aussi : • de recevoir de l’empathie, c’est­à­ dire que ses émotions agréables et désagréables soient accueillies, • de pouvoir exprimer librement ce qu’il ressent : joie, enthousiasme, colère, tristesse, peur, • de ne pas vivre dans la crainte d’être puni quand il fait des erreurs, mais au contraire de savoir qu’il peut dire ce qu’il ressent sans être jugé, critiqué, • de se sentir encouragé, soutenu dans ce qu’il entreprend ; il sera d’autant plus motivé et apprendra mieux, • d’un adulte qui le guide avec bienveillance, qui lui montre le chemin, lui donne des repères tout en lui laissant la liberté de faire les choix qui lui conviennent.

“Ado Blues” de Michel Piquemal et Jacques Azam Entre les fous rires avec les copains, un corps qui se transforme, la vie au lycée, l’apprentissage de l’indépendance, les injustices de la vie et du monde, les interrogations sur l’avenir, c’est pas tou­ jours simple d’être un adolescent. À l’adolescence, on doute de tout, de soi, des autres, des parents. Rien de plus normal, car c’est l’âge où tout change en soi et autour de soi : l’adolescent passe dans la cour des grands au col­ lège, son corps se transforme, sa famille l’étouffe. Michel Piquemal examine avec précision et humour les sujets de préoc­ cupation quotidiens et propose conseils, astuces et solutions simples à des situa­ tions souvent compliquées.

Source : “Vivre heureux avec son enfant” de Catherine Gueguen.

Sur le même thème :

“140 astuces strictement réservées aux ados” de Alda Bournel et Gregory Bricout 140 astuces rien que pour les ados, voilà qui promet ! Un large choix de questions et de réponses à picorer en fonction des envies, entre conseils psycho et combines de la vie quotidienne.

Ce livre s’adresse aux collégiens et traite de nombreux sujets liés à leur quotidien, leurs sentiments, leurs peurs et leurs espoirs. À travers les questions qu’ils se posent, l’auteur aborde ces thèmes, qu’ils soient graves ou légers, et fournit aux ados des astuces qui les aideront à se dépêtrer de situations embarrassantes.

Pour chacune des questions, une foule de conseils et des témoignages d’ados !

- Colère, agressivité,… : les conseils de Catherine Gueguen pour réagir avec bienveillance

Source : https://adozen.fr

- Les immenses vertus d’une éducation bienveillante (avec Catherine Gueguen) - Les clés de la bienveillance dans l’éducation (Catherine Gueguen)

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Hommes - Femmes - Enfants - Barbe - Avec et sans rendez-vous

Sandra Pépin qui a repris CUT and CO, le salon de coiffure situé dans la galerie marchande de HYPER U dresse un bilan plutôt flatteur de cette première année d’exercice à Montmorot.

UNE ÉQUIPE INCHANGÉE Fidèles au poste les coiffeuses sont à ce point passionnées par leur métier que s’établissent avec elles des relations privilégiées voire amicales. “Ainsi, lorsqu’on prend rendez­vous, on peut demander à être coiffée par Camille, Léa, Amélie” confient les habituées de CUT and CO qui apprécient particulièrement cette marque réciproque de confiance.

ESPACE BARBIER : taille, entretien, coloration La mode actuelle avec ses barbes foisonnantes nécessite entretien et taille réguliers. L’espace réservé à ces messieurs est à leur disposition en Non­stop

également. “Selon le travail à effectuer, barbe­coiffure, coiffure ou barbe seule…, il convient de prévoir un rendez­vous régulier”, détaille la professionnelle qui ajoute un nouveau service pour les hommes. En effet, pour les barbes qui commencent à blanchir, les barbiers de CUT and CO que sont Camille et Léa savent répondre à la demande grandissante de coloration. “Les hommes qui se teignent la barbe pour plaire ou se plaire sont de plus en plus nombreux et puis il existe aujourd’hui les produits ainsi que le savoir­faire pour réussir parfaitement cette coloration. Demandez conseil à CUT and CO”. Sur les présentoirs pour les cheveux ou pour la barbe, la gamme complète des produits DEFI pour Homme conçus et fabriqués en France qui représentent “la Marque premium véhiculant une image d’excellence”. Une idée cadeau pour les fêtes de fin d’année ?

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OUVERT NON STOP Ouvert en permanence, “CUT and CO offre la possibilité de se faire faire une beauté, coiffure seule, barbe seule ou les deux... pendant la pause du midi. C‘est très pratique pour ceux qui n’habitent pas sur place”, lâche Mickaël, un jeune homme des environs.

Le salon est ouvert du lundi au vendredi : de 9 h à 19 h 30. le samedi : de 9 h à 19 h.

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- novembre 2019

Bouger à tout âge Quel que soit l’âge, l’activité physique joue un rôle essentiel pour le bien­être et la santé.

L’activité physique permet d’améliorer la qualité de vie et le bien­être et, à plus long terme, de diminuer le risque de certaines pathologies.

Adolescent(e)s À l’adolescence, l’activité physique devrait être une pra­ tique quotidienne mais c’est souvent une période où la pratique diminue. L’implication de la famille dans l’acti­ vité physique des adolescent(e)s est donc un élément important.

Il est recommandé que les 12­17 ans fassent au moins 1 heure par jour d’activités physiques dynamiques.

Ces recommandations permettent notamment de préve­ nir l’obésité et de favoriser la santé osseuse. L’activité physique à l’adolescence, essentiellement au moment de la puberté, joue un rôle fondamental pour augmenter son capital osseux et le préserver à l’âge adulte.

Il est recommandé : • qu’ils ne restent pas plus de 2 heures d’affilée assis ou allongés (en dehors du temps de sommeil et des repas), • qu’ils marchent quelques minutes au bout de 2 heures d’affilée en position assise ou allongée, • qu'ils limitent à 2 heures par jour leur temps de loisirs passé devant un écran.

Avoir une activité physique régulière, est un bon moyen d’améliorer la qualité et la quantité de sommeil. Cette dernière doit être de 8 h 30 à 9 h 30 par nuit à l’adoles­ cence. Il est aussi recommandé qu’il/elle évite le manque de sommeil répété. De même, l’utilisation des écrans doit être arrêtée au moins 1 heure avant le cou­ cher pour faciliter l’endormissement.

Femmes enceintes Enfant Il est recommandé que les jeunes enfants, jusqu’à 5 ans, soient actifs au moins 3 heures par jour par le biais d’activités physiques et de jeux. Ce temps doit se composer de mou­ vements et d’activités variés et ludiques comme la marche, la course, les sauts, les lancers, les jeux d’équilibre ou bien la décou­ verte du milieu aquatique pour les tout­ petits. En lui proposant une grande variété d’activités physiques et de jeux, vous favori­ sez les capacités de votre enfant à être actif en grandissant.

Il est aussi recommandé de ne pas laisser votre enfant en position assise ou allongée pendant plus d’une heure d’affilée en dehors des heures de sommeil et de sieste. Ce temps passé assis ou allongé inclut le temps passé devant un écran, qu’il est recom­ mandé de limiter. Avant 5 ans, son temps de sommeil se situe entre 11 h et 14 h.

Bouger pendant et après la grossesse pro­ cure de nombreux bénéfices pour la forme et le bien­être. La grossesse ne doit pas être un frein. Conserver une activité phy­ sique régulière et modérée a de nombreux points positifs. L’activité physique : • améliore la forme physique, • favorise le bien­être, • améliore la qualité du sommeil, • améliore la circulation sanguine, • diminue le mal de dos et la prise de poids excessive, • n’augmente pas le risque d’accouchement prématuré, • contribue à réduire le risque de survenue d’un diabète gestationnel (si pratiquée avant ou en début de la grossesse).

Femmes à la ménopause Seniors • Marcher, jardiner, bricoler, jouer avec ses petits­enfants, faire du sport...

Pratiquer une activité physique chaque jour et réduire le temps passé assis est bénéfique à la santé, quel que soit son âge : cela protège de certaines maladies (hypertension artérielle, maladies cardiovasculaires, diabète, ostéopo­ rose, etc.), prévient la prise de poids et préserve l’autonomie en maintenant le capital musculaire, osseux mais aussi cérébral. C’est un excellent moyen de rester en forme.

Pratiquer une activité physique régulière et limiter la sédentarité est particulièrement important pendant la ménopause. En effet, c’est une période de fragilité des os, qui perdent de leur densité. L’activité physique peut ralentir cette perte de densité osseuse.

L’activité physique est un allié pour votre bien­être. En plus des bénéfices que l’acti­ vité physique apporte aux adultes, elle a aussi une influence sur la santé osseuse des femmes à la ménopause, plus particulière­ ment sujettes au risque d’ostéoporose et de fracture. Bouger est donc essentiel afin de rester en forme et en bonne santé pendant la période de changement qu’est la méno­ pause.

Adultes L’activité physique quotidienne vous procure de nombreux bienfaits Adopter un mode de vie actif permet d’améliorer votre qualité de vie et votre bien­être et, à plus long terme, vous aide à prévenir certaines mala­ dies.

Pour votre bien­être : pratiquer une activité physique permet de se distraire, de penser à autre chose et de se vider l’esprit, mais également d’augmenter les émotions positives et l’estime de soi. L’activité physique durant la jour­ née, surtout en hiver, a également des effets positifs sur le sommeil. L'effet de l'activité physique se combinera à celui de la lumière du jour pour amé­ liorer le rythme et la qualité de votre sommeil.

Il est recommandé de pratiquer différents types d’activité physique pour développer l’endurance, le renforcement musculaire, la souplesse et l’équili­ bre. Bonne nouvelle, l’activité physique ne se limite pas à la pratique spor­ tive ! Se déplacer à pied ou à vélo, porter une charge, monter ou descendre les escaliers, être actif/ve à son domicile…

Personnes en situation de handicap Si vous avez une incapacité ou êtes en situation de handicap, les recommandations de pratique d’activité physique pour les adultes et les enfants peuvent être le plus souvent adaptées à vos envies de pratiques, à vos besoins et à vos capacités, notamment en ajus­ tant l’intensité, la progressivité et la durée de l’activité physique. Ainsi, et autant que pos­ sible, il est nécessaire de pratiquer 30 minutes par jour (ou trois fois 10 minutes) d’activi­ tés physiques qui font travailler le cœur et les poumons.

Ainsi, chaque jour, il est recommandé : • de se déplacer aussi souvent que possible, si besoin avec l’aide d’une personne ou avec une aide technique (canne, déambulateur, fauteuil, etc.), • de faire des exercices de respiration, éventuellement à l’aide de techniques de relaxation, • de faire des exercices d’assouplissement, qui favorisent le relâchement du tonus musculaire.

Ces exercices peuvent être pratiqués à l’extérieur comme chez soi, sur un tapis au sol ou sur un lit. www.mangerbouger.fr

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Émilie et Élodie à votre service

Id’Coiff

Un cocon unique au cœur des vignes !

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C’est une belle histoire que nous raconte Emilie Bon ­Maître artisan créa­ teur­ et patronne de ce charmant salon de coiffure situé en plein cœur du vil­ lage, 21 bis route de Robinet à L’Etoile.

Fidélité de la clientèle, retour d’élodie, nouveaux décors… À vrai dire Emilie Bon est bien obligée de constater que tous les éléments sont à nouveau réunis pour qu’ID’COIFF redémarre de la plus belle des manières. “Je tiens tout d’abord à saluer ma clientèle pour sa compréhension et à la remercier pour sa fidélité”. Mettant dernièrement à profit l’inondation malencontreuse de son commerce ouvert il y a six années, Emilie Bon rebondit, change la décora­ tion, remplace le mobilier afin de créer une ambiance cosy. A l’ambiance bois/métal elle mêle des fauteuils confortables, pose un sol clair, alimente des luminaires modernes procurant ainsi à l’ensemble le brin de confort dis­ tingué qui donne envie de revenir. ID’ COIFF ce salon intime aux abords de la grande ville nous fait retrouver, c’est sûr, “le charme des lieux où règnent chaleur et convivialité”.

Le retour d’Elodie ajoute au renouveau de l’endroit. En effet après avoir passé une année à mi­temps, la voici qui revient. Le conseil pour la coupe, le coup d’œil pour la couleur, le sourire pour l’accueil… avec Elodie le salon est

ouvert non­stop. “Cette complicité existe entre nous depuis toujours”, confient les deux.

Émilie Bon coiffe toujours à domicile, les lundis et mardis !

Native de Chassal, formée pendant 4 ans dans le salon de madame Goyard à Saint­Laurent en Grandvaux. Emilie Bon, la professionnelle, n’oublie pas ses premiers pas dans le métier et tient à conserver les liens de proximité qu’elle a établie au cours des sept années de déplacements dans les familles. “Inti­ mité, confiance, confidences… pour faire ce métier il faut juste aimer les gens”, glisse celle qui continue d’œuvrer de Lons au secteur de la Petite Montagne

puisque c’est à Fétigny, le village de ses grands parents, que tout a commencé.

“De mes déplacements auprès des per­ sonnes âgées, des personnes isolées à domicile, des malades en cours de réta­ blissement qu’elles soient à l’hôpital ou dans les EPAHD, j’ai tellement appris que j’ai la volonté de leur être encore un peu plus utile”.

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