OpForce Magazine Issue 4 French

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pO Force Korps mariniers

korps commandotropen

netherland's Forces

M1 Garand Marushin

SIG 552 Commando ICS Glo

ck

1/2011

Traduit par: Malgorzata Dobecka

Magazine Militaire de Reconstruction d’Airsoft

Issue 4

17 A rmy


pO Force

Pris pour cible 2 4. Korps Mariniers

4 6 8

10. Unit Interventie Mariniers

10 12

14. Korps Commandotropen

14 16 18 20 22

24. Glock 17 Army

24

26. Dutch Combat Vest

26

14-23 L’une de deux unités principales des forces armées spéciales hollan-

daises. Créée à Achnecary, comme la majorité des unités spéciales européennes contemporaines est l’un des groupes destinés aux actions spéciales.

28 30 32. Dutch version of DPM

32 34

36. Reflex sight assembly

36 38 40

42. A Swiss for special assignment

42 44 46

26-31 Gilet tactique comme base de l’equipement contemporain. Critique du gilet modulaire hollandais. Réponse à la question si les Hollandais savaient inventer quelque chose de nouveau ou s’ils ont copié les solutions déjà existantes.

48 50 52. Whip for terminators

52 54 56

58. Under the Burlap

58

60. M1 Garand Marushin

60 62

64. Extreme passion

64 66

68. History of M1 Garand

68

70. Forgotten Master

70

72. In the next Issue

72

42-51 La precision suisse fermee dans le boitier pour un commandos.

Relation des tests de la réplique de la carabine militaire suisse SIG 552 Commando ICS. Comment se débrouillera un petit SIG au champ? Est-il capable de rivaliser avec les répliques plus grandes ?


Mot du Rédacteur en chef Nous avons passé les kilomètres suivants de notre voyage à travers des armées du monde. Dans le numéro précédent vous avez eu la possibilité de connaître la suivante – l’armée française. Dans ce numéro, nous jetterons un coup d’œil au delà de la frontière sud-ouest de la République Française et nous observerons de proche le Royaume de Hollande. Pourquoi on a choisi cette armée ? Rappelons qu’à la fin du XIX siècle les Pays Bas était une puissance coloniale qui donnait les cartes sur une grande surface du monde. Pour gagner et entretenir une telle puissance, on avait besoin de forces armées instruites et équipées parfaitement. Est-ce qu’on peut trouver quelque chose de cette ancienne puissance? Je pense que nos articles vous rapprocheront ce petit pays et ses unités. Le fait qu’il existait et il existe des liens proches entre les Hollandais et les Britanniques est très significatif pour notre expédition car ils sont présents dans l’adaptation du camouflage des britanniques aux besoins de l’Armée Néerlandaise. Vous pourrez regarder le camouflage à nos photos à l’occasion de vous présenter l’uniforme et l’équipement de l’Armée Néerlandaise. Dans le numéro vous trouverez le compte-rendu des tests de champ de la réplique SIG 552 en version Commando, fabriquée par l’entreprise ICS. Nous vous relaterons aussi à l’aide des photos, quelles possibilités possède cette réplique et quelle est son utilité aux jeux. Pour des amateurs de gadgets, cette fois on a la critique de la caméra sportive Solve AT-18. Et par cet article nous commencerons la revue des caméras faites pour les exploiter dans un tel hobby que l’Airsoft est. Pourtant, chacun de nous a vu une situation qui doit être éternisée et cela n’était pas possible – pour des raisons différentes. Grâce à nos articles vous pourriez connaître les caméras qui vous permettront d’éterniser non seulement un fragment mais même tout le jeu. De cette façon, vous serez sûrs que chaque instant important sera éternisé. Nous ferons aussi une revue précise des répliques exceptionnelles. Cette fois nous vous invitons à connaître un classique – la réplique du fusil M1 Garand de Marushin. L’article vaut notre recommande vu l’unicité de la réplique. L’arme de poing aura aussi son représentant. Cette fois ce sera Glock17 très populaire, fabriqué par Army. Notre obsédé des pistolets professionnel vous présentera tous ses avantages et inconvénients. Bonne lecture.

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Korps mariniers pO Force

Korps Mariniers Infanterie de Marine à la néerlandaise

Le XVII siècle était le siècle d’or dans le développement du Royaume de Hollande car il devint l’un des empires coloniaux. Les colonies néerlandaises se trouvaient en Amérique du Nord, en Afrique du Sud et en Nouvelle Zélande et la flotte marchande néerlandaise comprenait 16 000 unités. Bien évidemment, l’expansion néerlandaise n’était pas tranquille, au cours des siècles les Pays-Bas menaient de nombreuses guerres et participaient aux batailles singulières y compris celles navales. C’est naturel que le pays qui dispose une flotte si bien développée doive posséder dans son Armée des unités capables de lutter sur les navires. De telles unités que l’Infanterie de Marine. ’Infanterie de Marine néerlandaise c’est-à-dire le de l’occupation et le retour de Wilhelm V d’Orléans au Korps Mariniers comme l’appellent les hollandais pays qui était le roi légitime des Pays-Bas, l’unité fut fut créee le 10 décembre 1665 pendant la seconde récréée et depuis 1814 jusqu’à présent son appellation guerre anglo-néerlandaise par Johan de Witt qui à est le Korps Mariniers. ce temps-là gouvernait le Royaume et par Michiel de Ruyter qui était amiral de la Flotte Néerlandaise. L’Infanterie de Marine néerlandaise, comme unité miJusqu’à présent l’unité fête son anniversaire à la Place litaire au stage de plusieurs années, possède sa devise. de l’Ouest à Rotterdam. Le premier commandant de C’est une sentence latine Qua Patet Orbis qu’on peut cette nouvelle unité devint Willem Joseph van Ghent, traduire À la fin du monde ou moins littérairement Si un capitaine expérimenté qui participa à la guerre loin où le monde s’étend. Et il faut admettre que cette contre la Suède. devise est très juste. Au cours des années, l’Infanterie de Marine Néerlandaise était envoyée dans des coins du monde différents. Son début et une démonstration Il faudrait dire que la création de l’efficacité du Korps Mariniers à la fois, fut la bades unités de l’Infanterie de taille navale de Midway qui eut lieu en 1667. Pendant Marine était une idée assez des combats de quatre jours les Hollandais réussirent moderne pour l’époque. à se glisser sur le territoire britannique. En 1673 ils Le Korps Mariniers réussirent à repousser l’assaut des flottes britannique était la cinquième for- et française unies. Malgré des pertes graves à deux cômation de ce type tés, les Britanniques échouèrent à parvenir à la terre. dans le monde, En 1704, le Korps Mariniers avec les Anglais, sous le juste après celles commandement du prince George gagnèrent et maincréées par les tinrent Gibraltar durant la guerre de succession d’Esgouvernements pagne. En 1816 les chemins des Infanteries de Marine de l’Espagne, du britannique et néerlandaise se croisèrent de nouveau, Portugal, de la et cette fois à la campagne contre les pirates algériens. France et de la Pendant les années 1873 – 1913 le Korps Mariniers Grande Bretagne. participa à la guerre contre le sultanat d’Aceh. Cette unité se caractérisait par Pendant la Seconde Guerre Mondiale l’Infanterie de une histoire tourmentée. Marine néerlandaise entretint le pont sur la Meuse ce Au XIXème siècle les Pays qui croisa les projets allemands concernant RotterBas perdurent la souverai- dam. La résistance fut si acharnée que les Allemands neté au profit de la France étaient forcés de bombarder la ville. Malheureuseet l’unité fut défaite. Elle ment, malgré les efforts du Korps Mariniers, les Paysfut rétablie à l’ordre du roi Bas capitulèrent. Cela n’empêchera pas les militaires Louis Bonaparte, le 20 mars de cette formation de continuer de lutter. Certains 1801 sur le territoire de la s’enfuirent en Angleterre où ils créèrent une légion République batave sous dite la légion néerlandaise. Ensuite, avec l’approbation l’appellation du Korps Ko- de la reine Wilhelmine, elle changea d’appellation et ninklijke Grenadiers van de devint la Brigade de la Princesse Irène. Cette brigade Marine. En 1814, après la fin devint célèbre grâce à la bataille auprès de Tilburg en

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Foto: www.defensie.nl


automne de 1944. Après la fin de la Seconde Guerre Mondiale et la reprise de l’indépendance par les PaysBas, le Korps Mariniers servait sur le territoire de la Guinée Occidentale jusqu’à 1962. L’Infanterie de Marine néerlandaise n’est pas uniquement une unité dont les tâches sont les actions à la frontière entre la mer et la terre. Une grande expérience, un entraînement rigoureux et un armement parfait font que le Korps Mariniers se débrouille dans chaque milieu. La preuve de l’universalité de cette unité fut une action contre-terroriste effectuée le 11 juin 1977 par Bizjondere Bijstands Eenheid (BBE) dont partie font les militaires de l’Infanterie de Marine. Après les négociations échouées, ils donnèrent l’assaut à un train occupé par les extrémistes de la République des Moluques du Sud qui depuis le 23 mai était tenu avec ses passagers dans le village De Punt dans la province Drenthe. Malgré une rescousse réussie du train et la neutralisation du danger pendant l’assaut deux otages moururent. Pourtant, toute l’opération fut reconnue comme un grand succès. Il faut aussi rappeler qu’à cette époque-là les unités spéciales contre-terroristes n’étaient pas si populaires comme à présent. Même pendant le siège de l’ambassade iranienne en 1980 (l’opération Nimrod) il y avait des pertes du personnel civil. Les actions restantes au tournant de dernières vingt années sont liées avec la dignité de membre des Pays-Bas dans de telles structures comme l’OTAN ou l’ONU. Ce sont des opérations principales qui on pour but d’assurer la stabilisation, l’aide humanitaire et d’assurer la sécurité de la population civile. Bien sûr, il faut être conscient que pas toutes les actions du Korps Mariniers ne doivent être publiques. Celles qui le sont ce sont:

De plus, Korps Mariniers participait dans la reconstruction des provinces afghanes – l’équipe provinciale de reconstruction (ang. Provincial Reconstruction Team) dans la région Pol-e-Khomru, la province Baghalan jusqu’à l’an 2006 et puis, cette unité fut remplacée par l’armée hongroise. Les Hollandais étaient responsables du recrutement, de la construction et l’instruction de l’Armée Nationale Afghane. Dans les années 2003 – 2004 deux bataillons des Mariniers furent envoyés en Iraq juste après l’opération de libération de l’Iraq pour rétablir la stabilisation au sein de la Coalition militaire en Iraq (ang. SFIR – Stabilisation Force Iraq) et ils stationnaient dans la province Al.-Muthanna et ils étaient soumis indirectement au commandement britannique. Du 18 novembre 2003 au 19 février 2004 un pluton du Korps Mariniers participa à la mission de paix en Libéria. Dans les années 2005-2006 ils participèrent à la mission de paix au sein de l’ONU à la République du Congo. Cette mission était exceptionnelle parce que les Mariniers y furent choisis par Kofi Annan même. Le commandant principal devint le major de l’Infanterie de Marine, Patrick Cammaert. On lui préposa cette fonction en faveur de ses mérites et son expérience pendant effectuer les coordinations des missions de paix. En 2010 l’unité portait de l’aide aux victimes du cataclysme en Haïti.

Le Korps Mariniers comme toute unité militaire a sa structure intérieure propre. Comme totalité elle fait partie de la Marine Néerlandaise mais elle possède Du 18 février 1992 au 18 décembre 1993 les Hollan- sa structure de commandement propre MTC (ang. dais participèrent à la mission de paix au Cambodge Marine Training Command). Le Korps Mariniers se au nom des NU. La mission se composait de trois ba- compose de trois bataillons: taillons des Mariniers et un hôpital de champ de la Marine. De 1995 jusqu’à présent ces militaires accom- 1MARNSBAT – qui stationne sur le territoire des Pays plissent la mission de paix à Kosovo et en Bosnie. Bas, dont partie fait l’état-major du commandement et deux compagnes de l’Infanterie Marine: Du 28 juillet 2000 à 7 février 2003 la mission de paix sur le territoire de l’Éthiopie et de l’Érythrée 11 Coy qui se spécialise dans les actions militaires sur le terrain montagnard, arctique et Du 11 janvier 2002 au juillet 2010 le secours de la coalition en Afghanistan au sein de la Force Internatio- 13 Coy qui se spécialise dans les actions sur le terrain nale d’Assistance et de Sécurité – FIAS (ang. ISAF). forestier. Le deuxième bataillon, avec l’hôpital de champ stationnait à Mazar-e-Sharif en 2005. Leur objectif fut 2MARNSBAT - stationne aussi sur le territoire des d’assurer la sécurité dans le pays pendant les élections. Pays Bas et il comprend l’état-major du commande5


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Korps mariniers

Dans le cas d’un marin ordinaire tout l’entraînement initial dure 33 semaines environ et il a lieu au Centre 21ème spécialisée dans la tactique verte et les opéra- Opérationnel de l’Infanterie de Marine (Mariniers Opleidingscentrum) à Rotterdam. Il ressemble à celui tions fluviales. auquel participent les commandos britanniques. C’est aussi une instruction qui pose de hautes exigences 22ème spécialisée généralement et devant les candidats - aussi physiques que psychiques. 23ème spécialisée dans le combat sur le terrain urba- On estime qu’uniquement de 33 à 50% de personnes réussissent à la sélection initiale. Ceux qui y ont réussi, nisé. obtiennent un béret bleu marin et ils sont distribués Additionellement, il existe encore la 24ème compagne aux unités opérationnelles. qui a pour but d’assurer l’appui d’artillerie et l’antichar, Quant à l’instruction à la fonction d’officier, la question de l’instruction se présente autrement car elle dure 18 l’arrière logistique et d’effectuer la patrouille. Le Bataillon d’Appui Marine et Terrestre se compose de deux compagnes munies des barques et des véhicules de débarquement. Nous y trouverons aussi une compagne spéciale d’opérations marines. Le bataillon logistique (AMFLOGBAT) assure l’appui logistique pour toute l’unité. Cela doit contribuer au fonctionnement habile de tout le groupe. Il possède deux compagnes d’appui qui assurent les suppléments pour 1MARSBAT et 2MARNSBAT et le Groupe d’Appui Marin. ment et trois compagnes:

Comme on a déjà mentionné, les unités du Korps Mariniers sont aussi employées comme unités spéciales et contre-terroristes. Dans ce but, on a crée un bataillon spécial MARSOF (ang. Marine Special Operation Forces). Il a été crée par la jonction du Pluton Montagnard de reconnaissance, du Korps Mariniers et du pluton des plongeurs. Il comprend aussi le groupe BBE décrit ci-dessus autrement dit UIM (ang. Unit Intervention Marines). Pour faire partie de cette unité, les militaires doivent passer un entraînement rigoureux durant 40 jours. Grâce à cela ils feront la connaissance des techniques de patrouille, de reconnaissance et contre-terroristes. Elle est l’unité-sœur de l’unité britannique Special Boat Service (SBS) Le Korps Mariniers est l’une des unités d’élite les plus reconnaissables dans les forces armées du Royaume de Hollande. À propos de cela, pas chaque militaire peut en faire partie. De plus, seulement les hommes peuvent s’engager aux troupes opérationnelles encore que les femmes soient souvent assemblées aux unités d’appui comme officiers-médecins, administratrices etc. Ceux qui veulent s’enrôler à l’Infanterie Marine peuvent choisir deux chemins de carrière: du marin et de l’officier. La distribution dépend du niveau de la formation. Le programme d’entraînement en dépend aussi.

Source: www.defensie.nl mois. C’est l’une des instructions initiales les plus intensives. Les candidats passent les premiers six mois à l’Académie Royale de la Marine où ils sont soumis à une instruction à la fonction d’officier général. Elle est répartie en trois phases. Pendant la première les participants acquièrent des connaissances pratiques qui


peuvent être utiles au champ de bataille. L’étape suivante c’est un cours de huit jours qui du commandement d’une troupe de huit marins. La dernière phase la plus longue embrasse l’instruction du commandement du pluton. Elle est menée en accord avec des troupes britanniques de l’Infanterie de Marine. Si le candidat réussit à cette instruction et devient officier, il est dirigé à l’entraînement opérationnel MTC.

Équipement:

Comme le Korps Mariniers est une unité terre-eau, elle possède une gamme d’équipement de débarquement spécial. Toutefois, étant donné que ce sont les troupes spéciales, elles disposent d’une gamme d’équipement différent pas nécessairement uniquement de celui de débarquement. L’équipement le plus populaire ce sont L’Infanterie Marine doit être capable d’opérer dans les véhicules blindés Bendvagn 206, BvS 10 Viking, chaque milieu. Les unités du Korps Mariniers doivent Patria XA-188, Land Rover Defender. Le fusil d’assaut à l’entraînement opérationnel qui prépare les conscrits préféré des marins néerlandais c’est le Colt Canada en versions différentes. Ils utilisent aussi les fusils de soutien MAG et M2HB. Comme arme d’appoint ils utilisent le Glock 17. De plus, l’équipement standard se compose des mitrailleuses FN P90 et H&K MP5, des fusils de précision d’Accuracy International AZM et SSG 69. Au cours de cinquante années dernières, on a noué la coopération proche entre l’armée britannique et néerlandaise. Malgré l’histoire tourmentée, ces deux pays avaient noué un bon contact ce qui a donné naissance à la force militaire avec laquelle il fallait compter, ce dont les Espagnoles ont pu s’assurer (1702-1713). Comme on a déjà mentionné, pendant l’instruction des officiers du Korps Mariniers un échange international bilatéral a lieu. Il fait possible la connaissance réciproque des militaires, la perfection des compétences et la collaboration avec une autre unité à caractère pareil. Bien sûr, ici, il s’agit de l’Infanterie de Marine britannique. Depuis 1973 il existe un accord entre Korps Marinier néerlandais et Royal Marines Commando. Les deux unités créent ensemble une troupe de débarquement UK/NL. La collaboration a amené à l’intégration opérationnelle qui est fortement promue dans les structures de l’OTAN. Marcin „Mirra” Dudojć

aux actions dans les milieux différents: arctique, forestier, désertique et urbanisé. Pourtant, on insiste le plus sur l’opération dans le milieu terre-eau. De plus, au fur et à mesure que les militaires de l’Infanterie de Marine acquièrent de l’expérience, ils peuvent se spécialiser dans la fonction définie : d’instructeur, de tireur embusqué, d’éclaireur, de médecin, d’opérateur de radio ou s’engager aux troupes spéciales. Traduit par: Malgorzata Dobecka 7


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Korps mariniers

Films presentant des unites d actions et des entrainements d land Source: www.defensie.nl


differentes et des endroits des de l’infanterie de marine holdaise

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Unit Interventie Mariniers

Unit Interventie Mariniers

Les membres du Korps Mariniers faisant partie de l’UIM (Unit Interventie Mariniers) dans les années soixante – dix connu comme Bijzondere Bijstands Eenheid (BBE), créent le fondement des unités spéciales néerlandaises. BBE fut formé pour besoin d’unités qui pourraient protéger l’État contre l’assaut de l’intérieur. Les événements de 1973 montrčrent au monde qu’on était mal préparé aux attaques contre-terroristes et la tragédie ŕ Munich fut le catalyseur qui contribua au développement d’une branche militaire qui comprend les unités contre-terroristes. La premičre tâche de la nouvelle unité fut la rescousse d’un pénitencier en septembre 1974. Pourtant, l’opération la plus connue c’est l’opération du 23 mai 1977. Pendant l’incident en Drenthe, dans la région du nord-ouest du pays, les Extrémistes de la République des Moluques du Sud occupčrent l’école primaire et un train dans le village De Punt. Ils étaient répartis en deux groupes: de quatre personnes qui occupa l’école et tenait 105 enfants et 5 professeurs et de neuf personnes qui occupa le train avec ses 50 passagers. L’impasse se maintenait pendant 20 jours. Le 11 juin, aprčs les négociations échouées, ŕ 5 heure du matin, on fit l’assaut et en effet six terroristes et deux otages furent tués. Trois militants furent arrętés. En męme temps on fit l’assaut sur l’école mais dans ce cas les terroristes se rendirent prisonniers. Malgré les pertes en personnel civil, toute l’opération fut reconnue comme succčs. En mars 1978 les Moluques décidčrent de vérifier l’efficacité des militaires de BBE. Cette fois ils occupčrent l’hôtel de ville dans la province Assen en prenant 70 otages. Les troupes BBE firent l’assaut au moment critique parce que les terroristes voulurent fusiller deux otages comme exemple. Toute l’opération finit ŕ nouveau avec succčs et de ce temps-lŕ les extrémistes moluques cessčrent de faire des opérations sur le territoire du Royaume de Hollande. L’emploi public suivant de l’unité BBE eut lieu en 2004 oů pendant l’essai d’arręter deux membres du réseau Hofstad, un échange de coups de feu eut lieu. En effet, trois policiers furent blessés par une grenade. On envoya BBE sur place qui aprčs une action bien faite arręta les terroristes. En 2008 BBE, connu déjŕ sous l’appellation UIM, fut distribué ŕ la protection des navires avec l’aide humanitaire pour la Somalie contre les pirates. L’UIM participa ŕ nouveau ŕ une action contre les pirates quand en avril 2010 ils attaqučrent et occupčrent un pétrolier allemand Taipan. Tout l’assaut fut enregistré ŕ l’aide d’une caméra de casque et le film fut accessible sur Internet. (http://www.youtube.com/watch?v=_9jDCG0YwIk). L’UIM n’est pas bien sűr une unité policičre ordinaire.

Pourtant, elle peut ętre utilisée en fonction de forces intérieures pendant un état exceptionnel. Dans ce but on forma Dienst Speciale Interventies (DSI), qui a pour but de rassembler les opérateurs de telles unités que : UIM, Police Nationale (KLPD), SWAT, les gardes-frontičre et la gendarmerie. Comme totalité,

Source: www.defensie.nl l’unité est soumise ŕ KLPD et est un exemple de l’intégration parfaite des quelques branches des services militaires dont l’apport individuel fait partie de la collectivité des résultats. Cette structure interdisciplinaire a encore un avantage. Ŕ l’époque oů la meilleure maničre d’exprimer la désapprobation sociale et la lutte avec le systčme sont des attaques terroristes dont le but est la désinformation, la suscitation de la peur et la paralysie de tout le pays et les terroristes męmes agissent souvent dans de petits groupes difficiles ŕ détecter, l’unité qui par la structure complexe peut d’une façon habile coordonner les actions sur plusieurs surfaces est beaucoup plus efficace dans le combat et dans


Jusqu’ŕ présent, ils servent en Afghanistan, en ramassant les informations et en faisant les patrouilles ŕ la Bien évidemment les troupes de l’UIM ne sont pas portée lointaine. Bien sűr, ces opérations sont confiengagées ŕ la chaque opération menée par DSI. Dans dentielles et les informations sur elles sont limitées au le cadre de l’unité on distingue trois états de menace minimum. contre lesquelles luttent des formations différentes. Le premier niveau de menace représenté par les cri- L’UIM possčde aussi sa propre structure intérieure. minels armés est prévu pour les opérateurs de KLPD Cette unité comprend 130 membres répartis en trois et SWAT. Le deuxičme niveau ce sont des situations plutons. Chaque opérateur est instruit ŕ l’égard des acdéfinies comme situations de menace moyenne ŕ la tions sur le terrain urbanisé et la tactique noir largepetite échelle et au grand risque. Autrement dit, telles ment comprise. De plus, ils possčdent une gamme de que la situation de 1977. Une telle situation prévoit compétences qui leur permettent de survivre et d’agir l’emploi de la Troupe d’Intervention composée en sur le terrain hostile. majorité des militaires de l’UIM soutenus par KLPD. Les membres de l’UIM collaborent étroitement Il faut remarquer que par ce niveau, la vie des otages avec SBS britannique en créant ensemble le 7čme groupe. Pour ętre au courant et réussir aux actions quotidiennes, les membres de l’UIM entraînent réguličrement avec des unités du monde entier: Police britannique (CO19), FBI, GIGN français, URNA tchčque, GSG-9 allemande et KSK chinois. Cette approche assure un échange constant des expériences et la perfection des compétences. Cependant le succčs emporté par l’UIM n’est pas basé uniquement sur les compétences. Outre l’instruction parfaite et une grande expérience, ces unités sont parfaitement équipées. Jusqu’ici l’arme préférée des opérateurs était Diemaco canadien c’est-ŕ-dire C8 est ses versions. Toutefois, c’est un fusil de 12 ans et il est lentement chassé par plus moderne HK416. Son avantage principal est qu’il existe la possibilité de la configuration et l’accčs aux variantes différentes des canons p.ex. celui de 25 cm qui est destiné aux actions sur le terrain urbanisé. Sauf C8 et HK416 mentionnés, on peut y ajouter la mitrailleuse P90 et MP-5 standard de la production allemande. Comme arme d’appoint les opérateurs emploient Sig-Sauer P226 populaire. les actions contre ce menace.

compte le plus et pendant l’assaut les détentions sont traitées comme buts secondaires. Le troisičme niveau embrasse des actions contre-terroristes compliquées, menées ŕ la grande échelle sur le terrain urbanisé, ŕ la mer et dans l’air. Ŕ ces missions sont uniquement envoyées les membres de l’UIM dont l’expérience et l’instruction font d’eux des exécuteurs parfaits de ce type des actions.

Marcin „Mirra” Dudojć

Les membres de l’UIM sauf les actions typiquement contre-terroristes sont employés pour mener des opérations militaires spéciales. Avec ses collčgues de l’Infanterie de Marine, en 1997 ils furent envoyés en Yougoslavie pour interner les criminels de guerre. Traduit par: Malgorzata Dobecka 11


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Unit Interventie Mariniers Uniforme et equipement d’un militaire de l’unit Interventie Mariners

Béret d’un militaire d ri

Pistolet Mitrailleuse

Unif H&K MP5

Unites de l’Infanterie de Mar camouflage

Fusil de précision

AWSM

Fusil d’assaut Diameco C8


de ������������������� l’Infanterie de Maine

Pistolet Mitrailleuse

forme

rine hollandaise emploient le e woodland

FN P90

Pistolet SIG P226

Fusil d’assaut H&K 416

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Korps Commandotropen pO Force

Korps Commandotroepen

Les influences britanniques sont présentes d’une façon évidente dans l’Armée Néerlandaise. Cela est certainement provoqué par l’histoire commune que ces deux pays partageaient. Il faut admettre que les Pays Bas observent précisément les actions de la Grande Bretagne en domaine du militaire et ils en dégagent des conclusions très justes – en même temps ils ne commettent pas ses erreurs. Au cours des années l’Armée Néerlandaise élaborait des standards propres et un cadre militaire professionnel y compris le fondement des unités spéciales dont partie fait Korps Commandotroepen (KCT).

L

e KCT fut crée le 22 mars 1942 pendant la Seconde Guerre Mondiale (un an après la création de SAS) sous l’appellation de la deuxième troupe. Comme à ce temps-là les Pays Bas étaient sous l’occupation allemande, cette unité fut formée à Achnacarry en Écosse où se trouvait la base d’instruction principale des unités spéciales des Alliés. La tâche principale du KCT était de mener des opérations qui étaient trop compliquées et trop dangereuses pour les militaires ordinaires. Sa devise c’est „Nunc aut Nunguam”, ce qu’on peut traduire comme: Maintenant ou jamais. Cette maxime rappelle le fameux Qui ose gagne et il faut admettre que c’est juste car l’étendue des devoirs du KCT comme unité spéciale est très vaste. Elle participa aux actions de guérilla sur le territoire des Indes Orientales Néerlandaises comme le Korps Insulinde. Après la fin de la guerre, en 1945 l’unité fut défaite, cependant ses membres continuaient leur service dans d’autres unités. La partie des militaires de la 2ème troupe joignit le Depot Speciale Troepen et ils créèrent ensemble le Regiment Speciale Troepen (RST) qui fonctionnait de 1945 à 1950. RST participa à la guerre d’indépendance de l’Indonésie. Le reste de l’unité forma une école des commandos (Stormschool) sur le territoire des Pays Bas à Bloemendaal. Les chemins des vieux combattants se croisèrent de nouveau en 1950 quand les membres du RST et de Stormschool se joignirent pour recréer le KCT qui

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fonctionne jusqu’à présent. Pendant cette jonction on déplaça le siège de l’unité de Roosendaal. Vu la situation mondiale qui change, de nouveaux dangers apparaissent. Les attaques terroristes sont devenu un grand problème. Les conflits armés ont changé de forme parce qu’à présent les incisions chirurgicales et la collection des informations sont de plus en plus essentielles à la différence de la force brutale qui a pour but la destruction totale de l’ennemi. Dans un tel monde on a besoin d’unités qui réagissent vite et qui réussissent aux exigences qui sont posées devant elles. Pour cette raison au cours de plusieurs années de nombreux changements ont été introduits dans la structure du KCT. D’une unité à un caractère éclaireur on a crée un groupe pour des actions spéciales. On a aussi changé de façon de recruter de nouveaux membres. On a arrêté la conscription indirecte au profit du recrutement des militaires expérimentés des autres unités. La dislocation du KTC en Bosnie, à Kosovo, au Macédoine et dernièrement en Iraq, Afghanistan et Côte d’Ivoire a aussi permis à ses membres de gagner une nouvelle expérience et d’améliorer leurs compétences. Comme le KCT est une unité spéciale, il faut savoir


que la sélection est exigeante. Les candidats sont soumis à des tests préalables ayant pour but d’évaluer s’ils sont faits pour être opérateurs des unités spéciales. Ensuite, ils participent aux tests physiques et psychologiques et après les personnes qui y réussiront sont envoyées à Amsterdam pour passer des tests suivants et l’évaluation de prédisposition des candidats. S’ils remplissent tous les critères, ils sont envoyés à une instruction de 16 semaines (deux fois huit semaines). La première partie, introduisant, Vooropleiding (VO) et la partie suivante, Elementarie Commando Opleiing (ECO) qui montre aux

conscrits la spécifique des actions des unités spéciales. Cette dernière a lieu aux forêts qui entourent Roosendaal. Bien évidemment, tout le programme a le caractère confidentiel et on n’en sait pas beaucoup. Pourtant, des sources différentes disent que c’est l’entraînement le plus rigoureux dans l’armée néerlandaise pendant lequel l’endurance psychique et la physique sont mises à l’épreuve. Les candidats qui réussiront à VO et ECO sont dirigés au cours de continuation Voortgezette Commando Opleiding (VCO), pendant lequel ils sont entraînés pour agir dans des environnements différents et grâce à cela ils doivent être préparés aux actions sur le terrain forestier, désertique et urbanisé. L’arsenal du KCT est proche du celui qui est employé par d’autres unités néerlandaises. On peut y trouver Glock 17, Mossberg 590DA1, FN P90 ou C8A1 SD mérité qui est lentement chassé par H&K 416 et 417. Le KCT est une unité aux actions spéciales peu connue. Toutefois, son professionnalisme et sa capacité d’agir dans chaque environnement la placent e n haute position dans l’échelle des unités d e ce type. Cette position a été assurée par la détermination et l’efficacité confirmée qui a fait que le KCT est une unité avec laquelle il faut compter. Marcin „Mirra” Dudojć

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Unif

Uniforme et equipement d’un militaire de l’unit Korps Commandotropen

Béret d’un militaire de l pe

Mitrailleuse

FN MAG

Uniforme en camouflage DP Command Fusil de précision

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Fusil d’assaut

H&K 416


form

l’������������������ Korps Commandotroen

PM employe par le Korps dotropen

Fusil de précision

Barrett M82A1

Pistolet Mitrailleuse

H&K MP5 SD3

Pistolet Glock17

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Glock 17 Army

Glock 17 ARMY

Parmi les répliques à gaz de la classe basse-moyenne, à présent les plus populaires sont les répliques ARMY et WE. Si un joueur cherche un Glock et il y tient – hélas, WE ne fabrique pas des glocks. Il nous reste donc ARMY. Dernièrement, j’ai eu la possibilité de connaître un pistolet R17 de la 3ème génération. Voilà sa courte description.

O

n reçoit le pistolet dans une boîte grise ordinaire en carton ondulé, avec une surcharge argent «R17» et avec d’autres inscriptions. À l’intérieur on trouve la réplique mise dans un emballage en éponge où on peut mettre aussi un chargeur et un petit paquet de billes. Ce n’est pas une chose superbe mais on ne tire pas à la boîte. La première impression est assez bonne. Selon moi, le plastique de la poignée est trop brillant mais on peut le supporter. La culasse brille moins mais là, le vernis n’est pas tout à fait mat. Les désignations sont assez marquées et elles ont des bords pointus. Bien sûr, comme pour la réplique bon marché faite en Chine. De petits jeux de la culasse me surprennent positivement. Sous ce rapport c’est mieux que dans les Glocks KWA. Les désignations mentionnées... Peuh, elle ne sont pas tout à fait les mêmes que celles de l’original. On peut voir sur les photos que le fabricant a mis des inscriptions supplémentaires. Peu visibles, mais les personnes qui cherchent une réplique exacte du Glock seront déçues. Leur qualité est à son tour pas mauvaise. Malheureusement, je ne sais pas pour combien de temps le vernis sur la culasse résiste à l’écaillement et aux rayures. Les appareils de conduit de tir ne sont pas détestables mais on peut faire des reproches au guidon. La tache sur le guidon est déplacée vers le bord droit! À première vue,

don – les appareils sont très commodes, typiquement de glock. Ils sont relativement larges, et grâce à cela la claire-voie entre les bords du cran de mir et du guidon est à mon avis parfaite. De même façon la hauteur du guidon et du cran de mir. Ce sont des préférences individuelles et quelqu’un d’autre peut ne pas les aimer. Le manque de réglage des appareils. Le chargeur ressemble beaucoup au chargeur du Glock 17 TM. Les différences sont petites et délicates. À première vue, bien sûr parce que par exemple les joints sont de mauvaise qualité. À cause de ces joints ce Glock a du visiter mon service. Le fabricant a laissé dans le chargeur de la poudre bizarre qui avait l’air du vernis gratté. Après son élimination, le nettoyage et le graissage de tous les joints (sur les soupapes et sur le fond du chargeur et sur le joint des mâchoires du chargeur), le chargeur fonctionne normalement et rien n’annonce des problèmes pendant six mois suivants. Seulement la soupape inférieure m’inquiète. Elle est faite d’une matière très faible et elle est légèrement endommagée par le chargement ordinaire du gaz. Et la réplique est presque nouvelle.

Le canon est fait en plastique. À sa sortie elle a une copie de la rayure d’un vrai canon c’est-à-dire qu’elle ne diffère pas du standard sur le marché des répliques à gaz. Le canon intérieur est fait en laiton et elle fait une impression positive. Aux distances typiques pour l’arme d’appoint c ’e s t c’est-à-dire jusqu’à presque invisible mais si quelqu’un 25 mètres, il assure vise à l’aide d’un pistolet (et de tels la concentration joueurs existent, j’en ai vu quelques), suffisante. L’élascela peut être très agaçant. Pourtant, tique HU fait cela n’influence pas sa fonctionnalité u n e impression Le cran de mire est tout à fait normal. Il possède un n é g a tive. Il cadre qui me semble dessiné au moyen d’une ligne est mou et pâteux, blanche plus fine que dans le pistolet original. Je elle est plac é e n’avais pas l’occasion de voir tous les deux ensemble et l â c h e m e nt sur les comparer indirectement. Sauf le point sur le gui- le canon et il


tourne d’une façon moyenne ou même pire. Son avantage est qu’on peut le remplacer par l’élastique HU dédié au VSR 10 et aux répliques à gaz TM – ils sont les mêmes parce la chambre HU est aussi copié du Glock du fabricant japonais. L’appareil de rappel se compose de la perche du ressort du rappel, du ressort de rappel, un amortisseur en gomme et une bague coupée en plastique. Rien ne devra être en panne malgré le fait que la glissière est faite en zamak de mauvaise qualité. Il suffit de le nettoyer de temps en temps et l’enduire de la graisse épaisse. Mais pas trop. Le mécanisme BB se trouvant dans la culasse, c’est une construction typique, similaire à celle de Tokyo Marui. Mais ici, on voit le plus la, mise en oeuvre chinoise. Le cylindre gazeux est d’une couleur hétérogène et il est marbré avec de petites taches c’est-à-dire qu’on voit des espaces gris sur le cylindre noir. Cela montre que le plastique est hétérogène et pas trop résistant. La tête du blow-back s’étanche très faiblement dans le cylindre. Malheureusement, elle est adaptée à un joint atypique, à anneau et non à un joint torique ordinaire ce qui fait impossible d’enrouler la bande en téflon sous le joint afin de le presser aux parois du cylindre. D’ailleurs, c’est le trait caractéristique de la majorité des répliques à gaz. Celles avec des joints toriques ordinaires sont des exceptions. Sur le fût du mécanisme BB on voit certaines masselottes mais heureusement pas aux places où se trouvent des éléments mobiles importants. Elles ne devront pas influencer le fonctionnement de la réplique. Le ressort reculant le cylindre BB est seulement un malgré le fait qu’il y a de la place pour deux et la majorité des Glock en a deux. Une omission typique mais le manque d’un ressort et même de deux n’influence pas le fonctionnement d’une façon visible. Il faut encore nettoyer et enduire la totalité.

quement chinois sont visibles, présents même si c’est la 3ème génération. Mais si l’on prend pour l’arme d’appoint cela suffira. L’intérieur est une mauvaise surprise. Surtout le cylindre BB et la qualité des soupapes. Pour ces raisons la réplique n’est pas particulièrement économique mais elle est encore à accepter. Vu une telle température et pas une autre, je ne donne pas une valeur concrète mais pendant le remontage de la réplique et les tests à la maison sa consommation du gaz est tout au plus correcte. En se rendant compte que cette réplique provient de la Chine, je ne peux pas garantir que chaque R17 ait une culasse et un chargeur bien assemblés et des soupapes et un cylindre de mauvaise qualité. Il se peut qu’un autre exemplaire de la même réplique ait la situation inverse ou qu’on retrouve un modèle très réussi. Ou très échoué. Ce sont les charmes des répliques bon marché. Je remercie mon ami Stalker de rendre accessible cette réplique.f Jacek «Dexter» Reiter

Le mécanisme de chien est tout à fait typique pour les répliques Glock. Un petit chien intérieur, deux ressorts spiraux, un mentonnet, une règle de détente et 3 essieux. C’est tout. La qualité de matériau dont sont faits tous les éléments, n’est pas la meilleure mais elle est meilleure que la qualité de l’alliage que WE emploie. Sur la queue de détente se trouve une sécurité, exactement la même que dans l’original. Elle fonctionne sans reproche. Résumé : la réplique voir son prix surprend positivement en ce qui concerne la mise en oeuvre extérieure et l’assemblage de la culasse avec le fût et du chargeur (manque de jeux). Bien sûr les manquements typiTraduit par: Malgorzata Dobecka 25


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Combat Vest

Combat Vest à la néerlandaise

Les champs de bataille contemporains exigent d’un militaire une grande mobilité et la possibilité de s’adapter aux conditions changeantes du champ de bataille. Apparemment ces deux suppositions s’excluent mutuellement car l’adaptation exige l’emploi la quantité augmentée d’équipement et d’accessoires qui automatiquement accroissent la charge d’un militaire et la mobilité à son tour exige une grande liberté de bouger et la commodité de déplacer l’équipement mentionné. À vrai dire ces deux questions sont inconciliables mais on peut trouver de la place pour le compromis. Dans les armées contemporaines du monde, ce compromis ce sont des gilets tactiques permettant de déplacer une grande quantité d’équipement. Aussi l’Armée Hollandaise a-t-elle son équivalent du gilet tactique. Il faut donc le regarder de près.

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our écrire cette critique on se servira du gilet Modular Gevechtsvest Compleet, NT Woodland la taille M. C’est un gilet tactique de contact des Forces Armées des Pays Bas, employé dans le plein cadre des actions. Le gilet e s t

Pays Bas et de la Grande Bretagne. Il ressemble trop le gilet LCTV et plutôt son hybride avec le gilet Assault Vest aussi de la fabrication britannique. Numéro NSN du gilet : 8465-17-114-3445 Numéro NSN de la partie dorsale : 8465-17-114-4555 Numéro NSN des modules latérales : 8465-17-1168507 Première impression:

Le gilet se compose de trois parties de base – d’un module dorsal et de deux modules de poitrine. Le tissu principal c’est le filet en polyester sur lequel on a cousu des bandes du système molle. Cela le distingue de son équivalent britannique qui n’est pas modulaire (ici on parle du gilet Assault Vest et il ressemble plutôt au LCTV). Hélas, les étiquettes ne nous diront pas quel tissu était employé pour fabriquer ce modèle. Le module dorsal est assemblé avec les modules de poitrine de deux façons. Sa partie latérale est attachée à l’aide des cordes en gomme (comme paracord), grâce à cela on a rendu possible le réglage du pourtour de la poitrine sur le corps d’un militaire. Ce réglage se passe par resserrer ou relâcher la corde sur le pince clip. Cela donne une grande liberté dans le réglage et n’est pas spécialement gênant. La deuxième partie du réglage du p a r - tout se trouve dans la partie antérieure u n e du gilet et le réglage est effectué à l’aide des cordons vraie preuve aux fastex qui ferment le gilet. d’une proche collabora- Le deuxième assemblage fait le réglage de la longueur tion des Forces Armées des du gilet possible et grâce à cela on peut l’adapter à la


taille de chacun. Le réglage même se fait de deux fa- minée avec le lacet de serrage. Elle sera utile quand on çons. La partie d’épaules est doublée de la bande velcro y mettra de petites choses qui pourront tomber penà l’aide de laquelle on peut très vite régler la hauteur dant l’exercice des actions aux exigences personnelles de chaque militaire. On de champ normales. peut exceptionnellement régler vite le gilet au champ, Il faut encore si on en a besoin, par exemple en raison du changedire qu’on peut ment de quantité d’équipement transporté et ce qui créer des comsuit aussi de poids. Après avoir réglé la partie d’épaule, binaisons quelon peut protéger le gilet à l’aide des cordons qui sont conques de ces cousus sur les deux fins de chaque épaule. On gagne trois méthodes de cette façon la sûreté que le gilet ne se déboucle pas de fermeture soudainement. présentées ciIl convient de noter que le gilet après le réglage, à la dessus. distinction du LCTV britannique n’est pas trop lâche La poche est et il va parfaitement à l’uniforme - on n’a pas besoin faite solidede mettre au-dessous un gilet avec une plaque parement et il ne balles. se distingue pas des standards contempoModules: rains pour ce type d’équipement. Le matériau dont on l’a faite est solide, Le gilet est parvenu chez nous avec quatre poches - des coutures sont irréprochables. Le matériau de la deux d’utilité général, une porte-grenade et une hori- partie intérieure de la poche est couvert d’une couche zontale, détachable aussi d’utilité générale. Outre cela, de stratifié en gomme et grâce à cela la résistance à il y a un panel de cuisse avec un porte-couteau. l’inondation des choses y placées. On ne peut rien reAjoutons que ce n’est pas une liste de poches complète procher aux boutons pression du système modulaire. accessible pour ce gilet. Elles sont accessibles dans la Ils semblent être solides pour porter tout ce qu’on plupart des magasins de surplus militaire. voudrait mettre dans la poche. Liste de poches:

2. Obouwtas Algemeen, Klein, Polyurethan 280 gr/m (grenade)

1. Obouwtas Algemeen, Klein, Polyurethan 280 gr/m Une petite poche dont la destination est de transporter (d’utilité général) une grenade à fusil antipersonnel (ou une autre si vous en possédez). On a employé le même matériau pour Ce type de poches est appelé Utility Pouch cela veut coudre cette poche que dans le cas de la poche précédire d’utilité générale. Les projeteurs hollandais ont dente. La partie centrale de cette poche est contrecolpensé que les poches mentionnées seraient d’utilité lée ce qui protégera le contenu contre l’humidité. Rapgénérale non seulement vu leur appellation mais aussi pelons que ces gilets sont employés par l’infanterie de leur utilité polyvalente. En effet, la poche possède trois marine hollandaise donc leur exposition à l’humidité fermetures différentes (oui, elle en possède trois), qui est assez grande. facilitent le transport et le stockage de chaque maté- La poche possède la ferriel. meture du type citex, La première fermeture dont on dispose c’est le rabat qui facilite un accès extérieur attaché à l’aide d’une boucle du type fastex. rapide à son conteLa solution commode mais juste au moment où on nu. met des gants quelconques. Aussi au moment où on sait qu’emploiera-t-on la poche mentionnée très sou- 3. Obouwtas vent et ici, le temps d’accès à son contenu comptera, le Algemeen, Klein, fastex pourrait nous gêner. Pour éviter cette situation, Polyurethan 280 gr/m on a la possibilité de profiter d’une fermeture par la (détachable, d’utilité gébande velcro qui est beaucoup plus rapide que celle néral) mentionnée ci-dessus. La troisième façon de fermer notre poche est la che- Une petite poche, desti27


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Combat Vest née à transporter par exemple des pansements individuels. Elle possède une double fermeture. Tout d’abord la fermeture éclair qui ferme toute la poche. Et un rabot supérieur auquel on a cousu des velcros. Le rabot protége supplémentairement le contenu de la poche contre la pénétration de l’humidité à l’intérieur et en particulier contre les éclaboussures. La totalité est cousue du même matériau que les poches restantes. 4. Obouwtas Algemeen, Klein, Polyurethan 380 gr/m (panel de cuisse avec un porte-couteau) Le dernier module auquel nous avons l’accès c’était la poche de cuisse destinée à fixer un couteau. À présent c’est plutôt un gadget bien que les survivants expérimentés n’acceptent pas cette constatation. Nous devons décider nous-mêmes si nous voulons posséder un couteau contre notre gilet ou non. Le panel de cuisse est cousu d’un matériau plus épais qu’en cas de poches restantes. Il est attaché au gilet à l’aide de la combinaison des jonctions. On voit ici qu’on a pourpensé la possibilité de détacher le module du reste, on a donc utilisé le nombre augmenté de protections. Comment effectuer l’attachement? Premièrement on attache le module au gilet à l’aide du fastex en réglant avant la longueur de la bande. Ensuite, on le règle par le détachement ou attachement du velcro sur lequel sont fixés quatre boutons pression. Après le réglage on attache la poche au gilet à l’aide du bouton pression (et plutôt à l’élément qui joint le bouton pression avec le gilet) en la protégeant en plus contre le détachement. On stabilise le module à la cuisse à l’aide d’une bande ductile (gomme textile) et on le ferme par le fastex. La possibilité d’attacher le panel au côté droit du gilet c’est un grand inconvénient de sa fixation. On n’a pas pensé à coudre un joint de deux côtés ce qui provoque un confort diminué d’utilisation d’un couteau par un militaire gaucher et l’impossibilité de

monter une gaine de cuisse avec une arme de poing à droit sans son détachement. Outre les poches modulaires, le gilet possède aussi deux poches intérieures, cousues dans les modules de poitrine. On obtient l’accès à ces poches par l’ouverture de la fermeture éclair dans la partie antérieure de l’ensemble. On les trouvera en deux côtés à la poitrine. Leur grandeur nous permettre de stocker des cartes ou d’autres documents - même assez grands. La partie dorsale du module contient des ceintures du système molle et grâce à cela on a la possibilité d’attacher un équipement supplémentaire p.ex. le butpack ou le camelback. Au-dessous des ceintures à la hauteur de la nuque on a fixé une poignée de sécurité permettant de prendre un militaire blessé à part à un endroit sûr. Elle sert aussi à transporter le gilet à de courtes distances. Résumé: Avantages: Poids du gilet Modularité et possibilité de réglage, selon les besoins et les préférences Solutions des protections contre un détachement accidentel durant l’usage Gommage des poches du côté intérieur Poches intérieures Inconvénients: Fixation du panel de cuisse Le gilet est un peu trop grand pour les gens de petite taille La rédaction du magazine remercie le magasin www. militarny.com.pl d’avoir rendu accessible le gilet pour les tests.


Poche porte-grenade

Poche ŕ destin général

Poche horizontale

Traduit par: Malgorzata Dobecka 29


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Combat Vest

Épaule doublée par un velcro

Poche porte-grenade a fusil antipersonnel

Poche d’utilité générale

Panel de cuisse avec un porte-couteau


Fastex protégeant les épaules

Poche horizontale

Ceintures du système modulaire

Fastex fermant le gilet

Traduit par: Malgorzata Dobecka 31


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DPM

DPM à la néerlandaise

Presque chaque pays possède son propre modèle du camouflage. Il se peut que dans son arsenal il y en ait plus. Principalement, ce sont les plus grands pays qui chaque année prévoient les budgets significatifs pour équiper ses forces armées et ils sont capables de supporter les frais des essais et puis les frais de l’introduction de leur propre modèle. C’est une large dépense dans le budget de chaque pays. Quand même il y a des pays qui empruntent, en imitant ou en achetant la licence, des camouflages utilisés par d’autres pays. Ils introduisent souvent de petites modifications qui signifient beaucoup. Une telle situation a lieu au Royaume de Hollande où les deux versions du camouflage personnel sont valables – la copie du DPM britannique à l’Armée et du Woodland américain à l’Infanterie de Marine. Dans cet article nous regardons de près la copie du camouflage britannique.

C

omme ce numéro a pour le guide l’Armée du Royaume de Hollande, l’équipement de base d’un militaire néerlandais c’est-à-dire l’uniforme doit être aussi présent. Étant donné que les Forces Terrestres Néerlandaises ont décidé d’admettre l’uniforme en camouflage DPM et au moins sa variation, on a décidé de le comparer avec son frère aîné – le DPM britannique. On comparera non seulement les camouflages p arce que c e ne sont p a s seul e -

hollandaise, la couture même et sa fonctionnalité. Première impression: La première impression nous dit que quelque chose ne va pas avec l’uniforme hollandais. Au moins si on le compare avec son équivalent. Le camouflage hollandais semble être déteint, élavé, ses couleurs diffèrent des couleurs vives de l’uniforme britannique. Ce n’est pas la faute de l’exploitation trop intensive parce que c’est visible qu’il est nouveau. De plus, les années de production ne montrent pas qu’il a passé beaucoup de temps dans les stocks de l’Armée Hollandaise car l’étiquette sur le pantalon a une surcharge avec la date 2004 et celle du blouson 1999. Il en doit résulter que le pantalon et le blouson même

s’ils ont été employés avant, ils ont du se distinguer par leur teinte. Mais ce n’est pas comme ça. La conclusion est donc suivante. Le camouflage hollandais se distingue de son prototype britannique par la couleur et au moins par sa saturation. ment e u x q u i décident de la qualité d’un uniNous rede près qui

Tissu:

forme. garderons le tissu a été utilisé pour coudre la tenue

Le tissu dont on a cousu l’uniforme c’est un mélange de polyester et de coton en proportion 35% à 65% Il semble être solide, épais, non susceptible aux endommagements mécaniques pendant l’emploi normal. Il endure des branches, des pierres pointues ou d’autres surpris qu’on puisse rencontrer au champ. L’épaisseur du tissu est proche de l’ACU américain ou du Flecktarn allemand. De plus, la technique de la texture connue comme Rip-stop parle


pour son endurance.

sède deux, ACU deux, Flectarn une, DPM une. Le nombre total de poches – 6, deux cargo (latérales), deux devant, un derrière et une de côté sur le mollet. Pour comparer le MCCU en a 6, l’ACU 8, le fleck 5, le DPM 5.

Couture: La couture semble être solide et les files sont de haute qualité. Cela garantit l’endurance de notre objet d’observation à toutes les décousures en longueur des coutures.

Le pantalon se ferme à la taille par un bouton et par la fermeture éclair, comme dans le cas du DPM britannique. Les poches, sauf cette du derrière qui se ferme par un bouton, ont des boutons pression cousus. Une solution controverse parce que j’ai entendu les opinions que les boutons pression étaient beaucoup plus bruyants et pour cette raison ils peuvent dévoiler la position à un moment névralgique. Ils sont aussi plus difficiles à changer que les boutons ordinaires. Cette idée m’a plu beaucoup parce que les boutons pressions sont maniables et rapides. L’endurance des boutons pressions à l’arrachement me semble plus grande que celle des boutons. Chacun peut décider luimême si cette solution est, selon lui, positive ou négative.

Fonctionnalité: La majorité des uniformes doivent être évalués en tant que totalité finie, en prenant en considération tous les aspects qui ont influence directement ou indirectement sur sa création. Comme l’une des composantes on énumère souvent, outre le tissu employé et la qualité de la couture, la fonctionnalité d’un tel uniforme. Bien sûr, nous pensons ici à la façon de projeter un uniforme donné. Regardons donc quelle est la fonctionnalité de ce modèle concret. Pantalon : Nous commencerons comme d’habitude par le pantalon. Au premier moment déjà la façon d’ajustement à la taille est surprenante. Notamment les projeteurs hollandais ont décidé d’augmenter l’universalité du pantalon et ils ont donné aux militaires la posde régler le pantalon à la L’idée base sur les bandes avec un velcro cousu à la des poches antérieures. Grâce on peut ajuster la largeur du chaque utilisateur. Simple et

Blouson:

sibilité taille. du tissu hauteur au velcro pantalon à génial.

Nombre de poches dans le

pantalon:

Une poche derrière, MMCU

en

pos-

Le blouson destiné aux militaires hollandais est cousu d’une manière classique. Classique cela veut dire que la couture de la majorité des uniformes que j’avais l’occasion voir. C’est un blouson à une rangée de boutons avec un col (et non avec un pied de col comme c’est dans le cas de l’ACU) avec une manche longue. Nombre de poches du blouson: quatre, nique deux.

Trois poches. ACU et MCCU Flectarn trois aussi et DPM britan-

Le blouson se ferme au moyen des boutons pression – 33


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DPM au long du torse et aux manches. Seulement les poches ne possèdent aucuns boutons pression. Les poches à la poitrine sont fermées par la fermeture éclair et la petite poche sur la manche possède un velcro. J’avoue franchement que les fermetures éclaires sont plus maniables que les boutons pressions. Deux poches à la poitrine sont grandes et vastes. On peut les reconnaître comme avantage qu’elles sont distribuées classiquement (l’ouverture en haut). En écrivant de l’uniforme hollandais, j’ai employé la constatation que c’est une construction classique. On voit que les Hollandais ont perfectionné cette couture classique en l’adaptant aux exigences actuelles. C’est visible si on regarde les velcros qui ont été cousus au blouson. À droite au-dessus de la poche, on trouvera une place à attacher une bande avec le nom, à droite un morceau carré de velcro avec la place pour l’insigne de l’unité. Bien sûr, l’uniforme décrit n’est pas un idéal. Il possède aussi des inconvénients, par exemple sous forme des épaulettes, qui abaissent la note et témoignent d’une construction désuète. En fin, le monde entier renonce aux épaulettes. Résumé: En résumant la critique de l’uniforme hollandaise il faut dire clairement que c’est une construction meilleure que son équivalent précédent - Combat Uniform britannique. Quelques modifications simples que les Hollandais ont introduites à leur uniforme semblent beaucoup augmenter sa valeur d’utilité. Quelques amélioration sont à niveau le plus haut – si on mentionne au moins le réglage de la largeur du pantalon à la taille. Pour conclure, c’est un uniforme qu’on peut recommander pour les stylisateurs ou les reconstructeurs. Un joueur ordinaire sera aussi content d’utiliser cet uniforme intéressant. Nous remercions au magasin [militarny.com. pl] pour la possibilité de tester l’uniforme.


Traduit par: Malgorzata Dobecka 35


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Montaż

Montage d’un viseur collimateur

Le sens de monter des viseurs collimateurs aux pistolets est fortement discutable dans la réalité de l’ASG et une telle solution rencontre l’étonnement. Pourtant le collimateur monté à la réplique du fusil n’étonne personne. Quand pendant le combat un pistolet nous sert d’une arme principale, cet appareil monté sur le pistolet est un aide exceptionnel. Je prendrai le risque de dire qu’il y est plus utile que dans la réplique du fusil car la préparation au coup de feu, l’harmonisation des appareils de conduite de tir occupe beaucoup moins de temps que dans le cas du pistolet. e collimateur au pistolet ne peut pas être monté à la culasse. Il y a bien sûr des exceptions comme - un archet avec une lame pointue par exemples certains Docters qu’on peut monter au - une grande lime pour métaux (35 cm de longueur lieu du cran de mire. Sans que nous avions un pistolet environ, 4 cm de largeur) dépourvu de BB mais un pistolet sans une culasse mo- - une moins grande lime pour métaux, finisseuse bile n’est pas une bonne arme principale. Le SOCOM (20cm de longueur environ, 2cm de largeur) de Tokyo Marui décrit par moi dans les numéros pré- - un ensemble d’aiguilles plates cédents peut y être une exception glorieuse. - une vieille brosse à dents - un ensemble de tarauds avec des mèches pour les Quand j’ai décidé de monter un montage pour un col- lumières pour vis limateur à mon HC 5.1 j’ai commençait à regarder des - un étau tournant solide offres des magasins. Dans des magasins locaux je n’ai - une perceuse rien trouvé. Dans des magasins étrangers l’offre est à - un pointeau, un marteau son tour très riche. Le choix des fabricants et des mo- - un feutre à pointe fine baguée dèles est vraiment abondant. Certains prix sont élevés. - de l’alcool dénaturé Hélas. Et alors une idée m’est venue à l’esprit - je pouvais le faire moi-même. Et vas y!

L

Après avoir regardé plusieurs photos de divers montages sur des pistolets différents, j’ai constaté que mon montage serait monté à gauche du fût au-dessous du canon mais de coté et non par-dessous à l’aide de 5 vis M3. Une telle solution exige une ingérence importante au fût de la réplique et c’est une ingérence irréversible qui potentiellement peut exposer notre réplique à la destruction. Mais... En cas d’endommagement j’achèterais un nouveau fût.

On commence le travail par mettre la cornière de cette façon qu’elle embrasse le pistolet du côté gauche supérieur. Le bord postérieur de la cornière devra presque parvenir à la base du cran de mire. Souvenons-nous qu’avant, il faut démonté le guidon. On copie plus au moins les dimensions d’une telle façon. En bas pardevant – la surface rectangulaire à l’aide de laquelle le montage sera fixé au fût au dessous du canon.

La première chose que j’ai faite quand j’avais déjà une idée, c’était chercher du matériau. Au début je voulais recourber un élément approprié d’un morceau de tôle en aluminium de 4 mm coupé convenablement mais puis j’ai trouvé une cornière assez grande et épaisse. Ses dimensions étaient: 60 mm x 30mm (épaisseurs des éléments perpendiculaires l’un l’autre) et 500mm environ de longueur. L’épaisseur de la paroi c’est 4mm. C’est une dimension adéquate. Elle assure une réserve de la matière de tous les côtés et en même temps elle épargne le temps de limer. Bien évidemment, nous n’avons pas besoin de totalité de ce morceau de 50cm, il nous suffit 110mm y compris la réserve pour limer.

Ensuite, un parallélogramme à une telle inclinaison que la surface supérieure de la cornière soit déplacée vers le derrière après la coupure. Le parallélogramme se trouvera à la surface latérale de la culasse. Après la longueur de la surface supérieure du montage sur laquelle le collimateur sera monté. On marque cette dimension sur la partie plus étroite, perpendiculaire de la cornière. Celle de 30mm d’épaisseur. On dessine sur le métal toutes les dimensions avec un feutre à pointe fin baguée ou un greffe et à l’aide d’une règle en laissant 1-2mm de réserve pour limer. Il vaut faire la surface latérale du parallélogramme plus ajourée. Mais cela dépend de vous, moi j’ai laissé des côtés étroits aux bords. J’ai limé le reste.

Avant commencer à travailler il faut préparer:

On installe notre cornière dessinée dans le tournant


et on coupe. Si la lame pointue s’enraye en aluminium et il s’enrayera sûrement pendant limer avec une lame pour l’acier, il faut mouiller les places de la coupure de l’alcool dénaturé. On coupe successivement au long de tous les bords en se souvenant de laisser la réserve. Après avoir limé la totalité, on travaille des bords restants – au début à l’aide d’une lime dégrossisseuse, puis d’une moyenne et enfin des aguilles plates. La chose suivante que j’ai faite c’était de percer les lumières (l’une à côté de l’autre) sur la surface du parallélogramme, j’y ai placé une scie à métaux plus étroite et j’ai limé la lumière à tour de rôle. Ensuit analogiquement - le limage et l’aplanissement des bords. Ici, on emploi une vieille brosse à dents. La lime pendant le limage de l’aluminium a une tendance à se bourrer. Il faut la nettoyer toute la minute du limage. Il faut encore préparer une plaque de distance. La culasse des pistolets est un peu plus large que le fût. Et c’est pourquoi nous devons y installer une distance convenable pour que le montage fixé au fût n’y s’accroche pas. J’ai coupé ma distance de la tôle en aluminium de 1 cm d’épaisseur et puis je l’ai limé à de telles dimensions que le fragment rectangulaire inférieur du montage. Elle a été collée à l’aide de la colle Araldite (époxy, élastique, probablement cette colle est dans le livre des record Guinness) à la surface convenable du fût. Bien évidemment, la façon de coller dépend de la colle, moi, je devais presser les éléments pour 36 heures, il faut donc y penser assez avant. La chose suivante est de viser le rail de montage à la surface supérieure du montage. Dans ce but on mesure un morceau de rail convenable (le mien c’est concrètement, un court rail antérieur venant du fût de la réplique SPR mk. 12 mod0 BOYI). On a besoin de longueur et d’espacement de lumières pour les vis. Tout d’abord on marque l’axe sur lequel le rail sera monté. Elle doit être parallèle à l’axe du canon pourtant le déplacement même de 2-3 mm à droit ou à gauche n’aura pas une grande influence car le viseur sera réglé. Quand même l’esthétique sera détruite. Pourtant, il faut faire attention à ce que la totalité soit montée parallèlement. Après avec un pointeau on marque très précisément toutes les lumières. Sans une perceuse d’établi c’est plus difficile mais toujours faisable. Je m’en suis assuré moi-même. Il est important que la mèche soit pointue et à un tel diamètre que la grandeur de la lumière avant le taraudage. J’ai percé pour les vices M5 à une tête fraisée car elles allaient très bien au rail. La question suivant – le taraudage. Le taraudage de l’aluminium est assez facile. Mais à condition que nous

avions des taraudes pointus. Je vous déconseille franchement «des émulateurs des taraudes chinois». Vous pouvez détruire l’effet du travail de plusieurs heures. Taraudage: On mouille l’outil de l’alcool dénature, on le place dans le mandrin de taraudage et puis on installe le montage dans le tournant de cette façon que le taraud puisse sortir de l’autre côté de la lumière. On mouille l’outil de l’alcool dénaturé et lentement, calmement en pressant au début (au moment où le taraude ne saisit pas), on visse dans la lumière. Le principe – une moitié de rotation en avant, un quart en arrière – appliqué au taraudage de l’acier, ici on n’en a pas besoin. Le taraudage s’enfonce assez facilement. Ensuite, on répète cette action avec l’autre taraud qui forme définitivement. On fait la deuxième lumière de la même façon. La colle a pris et on peut passer à la partie la plus difficile - à percer les lumières dans le fût. Bien sûr, au début il faut percer les lumières à un tel diamètre qu’une vis passe dans notre montage, dans sa partie perpendiculaire inférieure. Après, pour percer dans le fût, on choisit la mèche convenable au diamètre de la lumière pour une vis M3. L’espacement de lumières au montage et au fût doit être identique, si non on devra limer les lumières. Et cela menace la stabilité de la fixation du montage. Il faut le faire une fois et précisément. Surtout qu’on possède un fût et on ne veut pas dépenser 80 EUR pour acheter un nouveau parce qu’on a percé une lumière inégalement. On fixe le fût stablement dans le tournant et en tenant la perceuse perpendiculairement à la surface dans laquelle on perce, on commence. Il vaut pointer les places pour les lumières pour que la mèche ne se déplace pas. Ensuite, on perce dans le matériau en rotation lente, en pressant moyennement. Après avoir percé les lumières il faut les tarauder – identiquement comme les lumières pour le rail de montage. Ensuite, il faut nettoyer les bavures de métal. On aura besoin de brosse de dents et d’un morceau de papier abrasif. Si les lumières correspondent aux lumières du montage - on visse les vis au moment de la résistance minimale et on regarde si elles ne débordent pas à l’intérieur du fût. Si elles débordent – il faut les limer et rectifier. Si on ne le fait pas la culasse s’enrayera. Maintenant, il faut nettoyer le fût de limaille, remonter le pistolet, fixer le montage et visser le collimateur. On peut tirer! Traduit par: Malgorzata Dobecka 37


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Montaż Quelques conseils Il vaut protéger les vis de la colle à rayures mais pas trop. Cette construction exige dévisser le montage pour nettoyer le pistolet. Vous devez être patient quand vous la limez et rectifiez. Une faute parfois et il faut commencer de nouveau. Vu la grandeur du rail de montage, on peut limer la plupart de la surface supérieure. Notre construction sera plus legère. Jacek «Dexter» Reiter


Preparation du montage pas a pas

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Reklama


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SIG 552

Un suisse aux actions spéciales

En 1812 les militaires suisses reçurent une inscription aux décisions du Traité de Versailles tout à fait séparée. Cette inscription interdisait aux citoyens de ce pays montagnard, inhospitalier de s’engager aux armées étrangères. On fit une seule exception pour l’État de la Cité du Vatican où la Garde Suisse pontificale sert jusqu’à présent. Pourquoi fit-on cette inscription ? Parce que les militaires de ce pays alpin étaient des Spartiates contemporains, parfaitement instruits et très dangereux. Les conditions de vie difficiles auxquelles ils demeuraient de leur enfance, créaient d’eux des militaires parfaits. Les Suisses exploitent ces expériences aujourd’hui, aussi à la production de l’arme. Faites donc la connaissance de ce guerrier suisse contemporain – le SIG 552 Commando.

N

otre héroïne sera la réplique du fusil d’assaut SIG 522 Commando projetée et fabriquée par ICS l’entreprise connue à tous. Aspect extérieur: La réplique qu’on a reçue pour les tests, c’est un modèle fabriqué à la licence de l’entreprise SIG Arms grâce à cela possède les désignations de son original. Heureusement, nous ne trouvons pas, une création inventive sous la forme des additions comme le nom du fabricant de la réplique ou le lieu de sa production en Extrême-Orient. Une seule exception de ce principe est le bouton qui relâche la moitié supérieure du boîtier car là, il y a le nom du fabricant gravé. Ce nom est si petit qu’on peut le remarquer quand on la regarde très minutieusement. Dans ce cas on peut constater que la réplique est à 100% «kasher». Une seule désignation qui ne provient pas de l’original, c’est un autocollant informant que le produit est destiné aux adultes. Cet autocollant est décollé le plus vite possible juste après l’achat. Toutes les désignations sont gravées par un laser dans lequel on a mis de la peinture. Cela devra protéger les inscriptions pour un temps plus long que dans le cas de la surcharge ordinaire. La réplique est construite en partie des éléments métalliques et en partie des éléments plastiques. Les parties intérieures sont métalliques y compris Gearbox V3, et certains éléments extérieurs sont en plastique. Ce sont : la crosse pliable, la poignée pistolet, la garniture du bloc gazeux antérieur y compris les rails RIS, la cacheflamme et la maquette de la culasse.

On voit que les éléments en plastique sont faits des matières de bonne qualité qui assureront l’emploi sans problèmes dans des conditions normales. Il faut faire attention aux températures basses car les éléments en plastiques peuvent devenir f rag i les et susceptibles aux end om magements causés par la gelée. Une

telle si-


tuation a eu lieu en ce qui concerne notre exemplaire. Le plastique qui se déplace dans le fût de la culasse, exposé à la gelée après avoir appuyé le bolt-catch a frappé à la paroi du boîtier et s’est cassé tout simplement. La température -15 degrés n’était pas l’une des catégories de choix du matériau à sa mise en oeuvre. On ne peut dire rien de mauvais de l’assemblage des parties extérieures car pendant l’exploitation et une observation précise, on n’a constaté aucun manquement dans ce domaine. Tout est assemblé précisément et grâce à cela il n’y a d’effet de vacillation nulle part. Aussi les jonctions y compris la maquette du bloc gazeux dont l’intérieur sert à cacher les piles, ne démontrent-t-ils pas les moindres lacunes dans le procès de production. Données statistiques: Longueur: 728 mm Longueur (avec la crosse pliée): 470 mm Poids (sans piles): 2 600g Capacité des chargeurs: 450 billes chacun Culture de travail: La culture de travail de ce modèle était haut niveau. Le travail de Gearbox était sans problème, il n’y avait pas de

au

quelqu’un placera parfaitement un tel petit élément. Aussi tous les éléments mobiles comme la crosse, le verrou de chargeur, le sélecteur de feu, le mécanisme de rechargement et le cran de mire fonctionnent-ils sans reproche et précisément. Ergonomie: La disposition de tous les boutons et tous les cadenceurs de tir est parfaite ce qui est un fait très important pour l’utilisateur. Dans ce cas, leur apparence est moins importante que leur utilité. Commençons notre revue par la crosse. Crosse: La crosse est pliable ce qui est normal dans les modèles destinés aux unités spéciales. Ce fait résulte des dimensions de l’arme pendant son transport. Il faut prendre en considération que les unités spéciales sont souvent transportées au lieu de l’action d’une manière qui exige l’exploitation de l’espace accessible au maximum. C’est le cas des sauts en parachute ou du transport sous-marin. La totalité du mécanisme de crosse est métallique ce qui a été vérifié. À plusieurs reprises, on peut retrouver des répliques dont les fabricants ont employé du zamak et pendant l’emploi normal de tels éléments s’usent. Dans ce cas cela n’existera pas car autant le verrou que le gond sont faits en métal de bonne qualité. Sélecteur de feu:

bruits anormaux provenant de l’intérieur de la réplique. Un seul inconvénient qu’on peut remarquer pendant l’examen visuel des éléments intérieurs et pendant les tests de tir, c’est l’élastique HU. Ce défaut peut être détruit même par un laïque, nous mentionnons ce fait en raison de l’obligation journaliste. Soit dit en passant, la majorité des répliques a le même manquement de fabrique. Ce n’est pas un fait surprenant car les employés qui assemblent les éléments ont des normes établies à faire et personne n’attendra au moment où Photo: Szymon Reiter

Dans cette réplique le sélecteur de feu est mis bilatéralement et grâce à ce fait une personne gauchère pourra s’en servir aussi facilement qu’une personne droitière. Cela est aussi significatif en ce qui concerne les changements de main pendant les combats dans les immeubles quand nous ne pouvons pas nous permettre de se servir de la réplique d’une façon illimitée. Le sélecteur seul est fait en plastique de bonne qualité, d’une dureté appropriée et grâce à tout cela il n’aura pas une tendance de s’arracher. Le sélecteur possède trois positions - bloquée, coup par coup et tirer par rafales. Chaque son changement de position et mise en la position appropriée provoque un bruit grâce auquel il ne faut pas suivre les changements de position. C’est un petit détail mais pendant les combats dans des pièces obscures ou la nuit quand la visibilité est limitée au minimum, il peut désigner être ou ne pas être au champ de jeu. 43


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SIG 552

Un seul inconvénient du sélecteur est visible, il est peu accessible. Tant le changement de position bloquée à l’aide du pouce de la main embrassant la poignée en position coup par coup ou tirer par rafales ne pose pas beaucoup de difficultés tant le changement inverse est peu réalisable sans le changement de position de la main. Et je dois avouer que j’ai de longs doigts et de grandes mains. Pour les personnes qui ont de petites mains ce sera beaucoup plus difficile. Le mouvement du sélecteur est fluent mais il y a une petite résistance. Grâce à cela nous ne soucierons pas d’un déplacement accidentel.

Si on parle de l’ergonomie, il faut mentionner les garnitures du bloc gazeux antérieur qui cachent la place pour la pile. Certains seront désolés car à l’intérieur il n’y a pas trop de place et assortir soi-même une pile convenable peut être problématique. Aucunes constructions classiques ne vont à cette place y compris les piles Li-Po à une tension de 7,4 et à une capacité de 1300 Mh qui sont exceptionnellement petites. On peut uniquement rêver d’y mettre une pile classique Mini de type Ni-Mh. On voit donc que nous sommes forcés d’employer des piles spéciales à une construction non standard. Et seulement de petites piles cela veut dire uniquement de type Li-Po. Nous Détente: avons réussi à installer dans la poignée antérieure une pile Li-Fe à une tension de 6,6 et à une capacité de La détente est fabriquée en plastique de bonne qualité, 1300 Mh, mais vu la température -6 C°, elle ne vouà une facture agréable pour la main. Son ergonomie lait pas collaborer avec la réplique. Il est difficile de est sans reproche. La résistance opposée à l’index est constater uniquement si c’était la faute de la gelée ou suffisante et la détente seule n’est pas trop dure grâce à peut-être de la réplique car cette pile était employée cela il ne faudrait pas utiliser beaucoup de force pour avec succès dans les répliques des autres fabricants. l’appuyer. Malheureusement, seulement aux températures plus La protection de la détente est déviée ce qui nous hautes, nous n’avons donc aucune comparaison. donnera du confort d’utiliser la réplique dans les conditions hivernales quand on porte des gants de Le boîtier du bloc gazeux est fait en plastique. De protection plus épais que d’habitude. Aussi pour les même que les rails RIS y montés. Les rails, pour les personnes qui préfèrent porter des gants tactiques à la amateurs de rails métalliques, ont une facilitation à semelle épaisse sur l’index cette solution devra-t-elle leur tour. Ils sont montés à l’aide des vis à six pans être bonne. Il faut encore ajouter que la détente est creux, leur changement va donc prendre quelques faite tout à fait en métal. minutes. Le bloc est assemblé assez étroitement ce qui détruit Crabot du chargeur: des jeux quelconques ou la vacillation des parties composantes. Les deux éléments, inférieur et supéLe crabot du chargeur fonctionne très bien et sa mise rieur se touchent parfaitement. Pourtant un tel bon en oeuvre est de haute qualité. Le plastique employé assemblage coûte cher. L’assemblage est si précis et est aussi de haute qualité et se présente solidement. Le étroit qu’il est difficile de parvenir aux piles. Il existe ressort qui le bloque est suffisamment dur. le danger d’arracher ou d’endommager les crabots qui tiennent la partie supérieure à sa place. Chaque Guidon et cran de mir: démontage de la partie supérieure porte crainte de l’endommagement. Peut-être cet élément s’usera et le Les deux parties du viseur, le guidon et le cran de mir problème disparaîtra. Bien sûr, si on peut connaître le sont réglables. fait de l’assemblage parfait comme un problème. Le cran de mir possède 4 positions différentes et la possibilité de réglage verticalement et horizontale- Gearbox et chambre HU: ment. Il est fait en métal et l’assemblage des parties est très bon. Je n’ai trouvé aucunes lacunes dans sa mise Lorsqu’on a vu précisément l’apparence et l’ergonomie en oeuvre. de la réplique décrite, il faudrait maintenant passer à Le guidon est aussi réglable. Il possède deux positions l’analyse de l’intérieur et donc à ses éléments qui inet la possibilité de le régler verticalement. Dans ce cas fluent indirectement sur l’utilité au champ de combat le boîtier est fait en plastique et les parties restantes du d’airsoft. mécanisme sont faites en métal. La chambre HU c’est un projet typique de G36. Avec Garnitures antérieures: tous ses inconvénients et avantages. On n’a rien à écrire car ces chambres ont été décrites plusieurs fois


Photo: Szymon Reiter

et encore une critique de ce type imiterait l’information de ceux qui l’ont fait plus tôt. Dans la chambre est inséré un canon intérieur d’une longueur de 263 mM et donc assez typique pour les répliques destinées à tirer à de petites distances. À l’intérieur des répliques on va trouver le Gearbox v.3 avec quelques renforcements. La réplique qui nous est parvenue, possédait un ressort M120 dans le stock, et grâce à cela la vitesse de tir oscille vers 390-400 fps. Ce n’est pas, bien évidemment la puissance destinée au CQB donc les personnes qui veulent employer la réplique dans de tels jeux seront forcées de remplacer ce ressort par un ressort plus faible. Le reste devrait être content des résultats que la réplique offre avec les parties montées. Comme dit le magasin madanion.eu dans le Gearbox il y a beaucoup de parties renforcées. Ce sont entre autres, des crémaillères en acier adaptées à la collaboration avec des ressorts jusqu’à M140 y compris. On a aussi pensé à monter des contacts à une faible résistance et des câbles ayant diminuer la consommation du courant électrique. La totalité est entraînée par le moteur vérifié ICS Turbo 300. Chargeurs:

Dans la boîte du SIG on a trouvé deux chargeurs de type Hi-Cap, chacun comprenant 450 billes. Ce sont les chargeurs faits en matière plastique transparente qui ont pour tâche d’imiter des chargeurs originaux de l’entreprise SIG Arms. La culture de travail des chargeurs est en haut niveau. Nous n’avons aucun problème en ce qui concerne le passage des billes, l’enrayage ou une vacillation excessive. Le mécanisme tendant le ressort fonctionne très poliment et par cela on peut voir que c’est une réplique de haute qualité. Les chargeurs, et j’ai mentionné au-dessus, ce sont HiCap, possèdent un volet de l’ouverture de l’entrée par laquelle on verse des billes à l’intérieur du chargeur. Les projeteurs de l’entreprise ICS avaient pensé un peu et en effet on a reçu une protection contre l’ouverture accidentelle ou non voulue du couvercle. Un petit détail qui nous réjouit. Les problèmes peuvent apparaître au moment où nous voudrons acheter des chargeurs de réserve, et pas nécessairement de l’entreprise ICS. Pendant les tests, nous avons aussi essayé d’employer les chargeurs de Tokyo Marui qui étaient destinés à sa réplique SIG 552 Commando et malheureusement, nous avons dû y renoncer. Ces chargeurs ne vont pas tout simple45


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SIG 552 ment à la version d’ICS du fusil suisse. La situation pareille pourra avoir lieu dans le cas des chargeurs du JG car la réplique chinoise est la copie de Tokyo Marui. Nous ne l’avons pas vérifié faute d’accès aux chargeurs chinois mais peut-être c’est possible.

En regardant les résultats, il faut se souvenir qu’on a à faire à une réplique de stock dont le canon intérieur est plus court que 300 mm. Vu cette valeur, les résultats reçus sont plus que satisfaisants.

Tests de champ:

Résumé:

Puisque nous avons décrit des traits principaux il faut passer au fond de cette critique – des tests pratiques. On a testé la réplique à l’aide des billes de Guarder qui pèsent 0,28 gramme. Juste au moment de tester, nous avons disposé seulement des billes à un tel poids (si on parle des billes de la marque produit). Notre test a eu lieu dans les conditions typiquement hivernales. Et peut-être non si typiques car ce jour-là la température est passée un peu en dessus de zéro et nous avons protégé notre réplique contre la gelée. Mais il y avait de la neige qui n’a pas encore fondu donc le paysage était plutôt typique pour cette saison de l’année. Cela a dû avoir une petite influence sur le comportement de la réplique et plus exactement de l’élastique HU qui n’est pas adapté à de telles températures. On a pu le constater parce qu’il a dû réchauffer après un arrêt plus long. Nous avons testé le SIG à des distances de 20, 40 et 60 mètres (chaînées), une feuille de papier était la cible. La première distance n’était pas un défit spécial pour notre modèle de test et neuf sur dix billes se sont trouvées dans le cadre de la cible. Une bille est passée à coté, en touchant uniquement notre cible. La deuxième distance c’est-à-dire 40 mètres de la cible, n’était pas si facile à battre aux billes, tirées de la réplique du SIG. Cette fois-là la moitié de dix billes tirées ont trouvé son chemin à notre cible. Le reste l’ai manquée au minimum, en touchant aux distances qui auraient encadré la cible ressemblant au torse d’un homme. La troisième réplique était uniquement le test de la portée maximale de la réplique. La touche à cette distance exige une correction et un peu de bonheur car les conditions atmosphériques ont trop grande influence sur la bille volant. Et sa vitesse à la fin de la distance n’est pas si grande que la cible ne réussirait pas à se soustraire. Cependant, il faut remarquer que le combat à cette distance est absolument possible et toucher à une silhouette en prenant la correction, n’était pas spécialement difficile. Surtout que cette fois-là un homme vivant était la cible et il a signalé la touche immédiatement. Personnellement, à la distance au-dessus de 40 mètres je vous recommande de profiter des rafales, principalement à 3 où à 5 projectiles car ici, la possibilité de toucher une cible aussi grande qu’un homme augmente d’une façon significative.

Une chose qu’on peut reprocher à la réplique du SIG 552 Commando c’est une petite résistance du plastique qui bouge dans le fût de la culasse. Peut-être c’est n’est pas un grand inconvénient mais il faut faire attention à cet élément. En particulier, si le jeu se passe aux températures en dessous de zéro. N’oublions pas l’espace misérable pour la pile qui limitera beaucoup son choix. Heureusement ce n’est pas une réplique où on a besoin de grande puissance et donc la pile peut être petite. Une grande portée et une assez bonne précision de tir, un bon travail du Gearbox est ce sont les avantages. Il faut encore mentionner les désignations de l’original qui ajoutent un peu de saveur et pour les reconstructeurs elles sont une position obligatoire. L’avantage suivant c’est le bolt-catch fonctionnant, qui peut-être n’est pas un élément dont on a besoin nécessairement mais il est un accessoire valeureux qui nous donne beaucoup de plaisir et nous épargne une mise en place du Hop-Up peu commode. Finalement, ajoutons à notre liste les chargeurs fonctionnant très bien, avec quelques commodités et nous recevrons une réplique vraiment solide - destinée non seulement au combat à de courtes distances. En bref: Inconvénients: plastique peu résistant à la gelée un petit espace pour les piles

Avantages: haute culture de travail du Gearbox très haute précision de tir vu un canon si court une assez grande portée maximale Bolt-catch fonctionnant chargeurs de haute qualité Échelle:


Resultat de tir a une distance de 20 metres – apres le rechauffage de l’elastique HU

Résultat de tir à une distance de 20 mètres

Resultat de tir a une distance de 40 metres Photo: Szymon Reiter

Traduit par: Malgorzata Dobecka 47


8/10 Ci-dessous vous trouverez les photos des cibles de ce tir. Nous remercions au magasin (www.madonion.eu) d’avoir rendu accessible la réplique pour les tests.

Réplique dans toute sa splendeur

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SIG 552

Chargeur du SIG


Front avec les rails ris et le cache-flamme.

Foto: Szymon Reiter

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SIG 552 pO Force

Culasse et designation qui se trouvent au dessous de la culasse

Vue sur les appareils de condui

Chargeurs ajoutés au SIG

Crosse pliable

Foto: Szymon Reiter

Vue sur la partie latérale de la réplique du côté de la culasse

Vue raprochee sur la partie pos


Vue raprochee sur la partie posterieure avec le cran de mire.

it de tir

sterieure avec le cran de mire.

Vue rapprochĂŠe sur le rail RIS. Vis fixant le rail au corps visibles

Guidon

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whip for terminators

Eliminateur des terminators?

L’un des inconvénients de l’Airsoft, au moins aux yeux d’une personne qui ne s’y connaît pas est le manque de trace après la touche. Pendant un jeu du Paintball chaque touche est visible d’une manière évidente et grâce à cela la tricherie n’est pas si facile que pendant les jeux avec les répliques de l’ASG. Jusqu’ici uniquement l’honnêteté des participants des rencontres était le déterminant de l’élimination de l’ennemi. Peut-on changer de cet aspect d’une manière ou d’autre? Les fabricants de l’équipement sportif qui ont crée une caméra destinée à éterniser des événements extrêmes s’empressent de nous donner la réponse Cette caméra n’est pas peut-être destinée indirectement à l’ASG mais certainement cela changera vite. Cependant exploitons la technique telle qu’elle est disponible au moment donné. Devant vous la première partie de la série d’articles consacrés aux caméras sportives et leur exploitation dans l’Airsoft. chaque fou d’Airsoft – aussi dans notre pays. Le modèle le moins cher que nous ont trouvé c’était ma proposition de l’entreprise Solve de Tychy - c’est la caméra AT-18. Ce modèle coûte 250 PLN environ (80 USD, 60 EUR), donc chaque joueur peut se l’offrir. Quelle est donc sa qualité si le prix est si bas? Première impression: La caméra se trouve dans une boîte solide, en carton et sur laquelle il y a des photos de la caméra aux positions différentes. La boîte est donc irréprochable. Pourtant, ce qui est le plus important pour nous c’est son conteien sûr, la destination essentielle de la caméra ce nu. Finalement, même un produit le plus chétif peut n’est pas d’éterniser des tricheurs mais plutôt le jeu être enveloppé très bien et vendu comme un produit même. Ces appareils nous permettrons de conserver de haute qualité. Regardons donc à l’intérieur. les souvenirs des événements qui d’une certaine façon ont formé nous-mêmes. Ils nous permettrons aussi de Voilà ce que nous trouverons dans la boîte (à l’ordre de conserver les souvenirs concernant des événements tirer de la boîte) importants pour nous, des lieux intéressants et des gens qu’on a rencontrés sur notre chemin. Mode d’emploi en anglais Jusqu’ici nous devons choisir entre le viseur de l’ap- Carte mémoire SD 8GB Kingston pareil photo et de la lunette. Jouer avec un appareil Garantie photo ou une caméra et la réplique en même temps Tract concernant le produit n’était pas trop commode et ne l’est pas jusqu’à présent. un mini CD contenant les pilotes informatiques Rien d’étonnant – ces appareils n’ont pas été projetés à ceinture en gomme à fixer la caméra sur le casque/ les utiliser en même temps. Bien évidemment, il existe heaume. des gens qui ont réussi à réconcilier ces deux choses deux ceintures fixant avec un velcro d’une certaine manière - cela est prouvé par notre Câble USB héros de l’article sur la réplique CA-8-2 qui a monté Câble audio vidéo sa caméra dans une boîte qui a été fixée juste après Caméra le viseur sur le corps de la réplique. Hélas, en effet de La boîte avec des accessoires supplémentaires (de la cette opération il a perdu totalement la possibilité de graisse, une pince à serrer, quatre bandes en gomme profiter de la lunette de visée. On a demande à Mar- de spacers autocollant protégeant). cin de tester pour nous des caméras sportives qui vont plus aux applications d’Airsoft que les appareils tradi- Vous pouvez remarquer que la liste qu’on reçoit avec la tionnels. caméra est assez longue. C’est avantageux car la majorité de ces éléments seront utiles. Nous commençons notre compte-rendu du marché des caméras sportives par un modèle accessible à L’appareil même est fait solidement et il doit endurer

B


la majorité des situations qu’on peut rencontrer au champ. Le boîtier est faite en une matière plastique solide qui en quelques endroits est couvert de gomme. Cela assurera la résistance augmentée aux endommagements mécaniques et protégera l’appareil contre les éclaboussures. Au début, le capot de l’afficheur semble être solide. Passons quand même à l’élément le plus important – à l’objectif. Souvenons-nous bien que ce sera l’élément le plus susceptible au danger indirect du coup de feu car il sera mis en face de l’ennemi. Et sa sécurité est dans ce cas essentielle. Heureusement, après l’examen visuel préliminaire il semble que le verre devra endurer le coup de feu sans un grand danger de l’endommager. Ergonomie: Ici, le plus important est l’accès aux fonctions de la caméra cela veut dire le service normal pendant les jeux et pas moins importants ses possibilités et le mode de montage. Commençons par la fonction d’enregistrement. Boutons: Dans la partie supérieure de la caméra nous trouverons 3 boutons disposés autour d’un petit afficheur LCD responsables de fixer tous les paramètres de la caméra. Le bouton central qui est aussi le plus grand, met en marche et coupe l’enregistrement. À gauche il y a le bouton d’activation et de désactivation de la caméra, à droite le bouton menu responsable de ses fonctions. Les boutons ne sont pas susceptibles à une pression accidentelle ce qui est un trait caractéristique des appareils employés pendant faire du sport. Pour activer une fonction de la caméra, il faut diriger un peu de force pré-

cisément sur le point dont il est question. Bien sûr, cela peut rendre difficile l’activation de l’enregistrement aux joueurs qui portent des gants vu le fait de la surface tangente augmentée et la précision diminuée mais pourtant je trouve qu’il est mieux d’enlever le gant pour servir l’appareil qu’avoir quelques dizaines de minutes d’enregistrer une vidéo accidentelle. Les fonctions de menu ne sont pas nombreuses. Souvenons-nous que c’est une caméra sportive et la pluralité de fonctions n’est pas nécessaire. Le matériau dont sont faits les boutons c’est une gomme assez dure. Le choix du matériau est assez évident si la caméra doit fonctionner aux conditions de champ et assurer la possibilité d’enregistrer même s’il pleut. Nous avons vérifié l’imperméabilité à l’eau nous-mêmes car pendant la dernière session le temps était pluvieux. Je n’ai rien à reprocher aux boutons. Bien évidemment, certains trouvent que les boutons marchent trop durement mais je pense que c’est un avantage. Montages: Le fabricant ajoute un ensemble de montages qui satisferont les besoins de chaque joueur. Cette partie de l’ensemble a réveillé notre admiration. La caméra peut être montée sur chaque surface qu’on peut inventé. Nous l’avons montée sur : la lunette de visée à l’aide du montage rond; sur la tête et sur le front de la réplique à l’aide d’une ceinture en gomme. On peut la monter sur le poignet ou sur le heaume grâce aux ceintures avec un velcro. Ici, se présentent la multifonctionnalité de la caméra et sa compatibilité avec toute surface. Il faut ajouter que chaque montage était stable et ne permettait pas à la caméra de bouger librement. En plus, la caméra était stable et sûre, même au 53


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Whip for terminators moment où nous avons réussi à arracher les crabots de heaume dont le manque devra la dépourvoir de traits d’utilité dans cette configuration. Un grand avantage. Tests : On a testé la caméra de deux manières. Premièrement, nous voulons s’assurer que ce modèle était fait à l’enregistrement des jeux d’airsoft par rapport à l’endurance des parties extérieures et la mise en oeuvre générale. Nous n’avons pas omis une telle question importante que la possibilité de monter l’appareil sur la réplique et son équipement. Nous savons bien que ce n’est pas un appareil dédié aux joueurs de l’ASG. Nous avons décidé de faire les tests de champ pendant l’un des jeux qui se passent partout – indépendamment de la ville, du pays, du continent. Dimanche, un matin ordinaire. Ajoutons que l’action se passe en décembre. Cela aura une grande influence sur notre critique. La température oscille vers moins 6 °C environ et cela grâce au soleil qui brille et qui a augmenté des températures précédentes beaucoup plus basses. La caméra a été préparée à fonctionner un jour avant. Nous l’avons fixée sur la lunette de visée de la réplique de sniper à l’aide de la poignée ajoutée à l’ensemble. Ici, il faut mentionner que l’ensemble d’accessoires fixant ajouté à la caméra est suffisant à la fixer à chaque surface. Cela a une grande influence sur les valeurs d’utilité de l’appareil même car la possibilité d’une fixation arbitraire est essentielle au point de vue d’un joueur. Nous ne devons pas profiter du même équipement ou de la même réplique. La caméra Solve AT-18 a dû être l’une de deux caméras travaillant le même jour pour éterniser notre rencontre. Grâce à cela, nous aurions eu le matérau comparatif permettant d’évaluer la qualité de l’enregistrement et la fiabilité du fonctionnement de tout le système. La deuxième caméra était fixée juste derrière l’oculaire de la lunette du fusil et donc au centre de l’axe de viser. Nous avons réussi à fixer à la lunette le modèle qu’on a reçu pour le tester sans problèmes – juste derrière les sélecteurs rotatifs de réglage. De cette manière, on a reçu une étendue d’enregistrement comparable. Nous avons commencé notre jeu après une heure et juste au début la caméra a été mise en marche. Notre objet était d’enregistrer toute la rencontre et puis évaluer la qualité d’enregistrement en assortissant des scènes particulières pour les présenter dans cet article. Malheureusement, le temps a contrecarré nos projets d’une façon assez inattendue. La basse température a provoqué la diminution du rendement des piles qui ont été installées dans la caméra testée. Finalement, cela a

causé sa mise hors marche automatique. Nous étions tellement occupés que nous n’avons pas remarqué si l’appareil nous informait des problèmes d’alimentation. Pourtant, ce qui était le pire c’était la vérification de la carte mémoire à la quelle l’enregistrement aurait dû se trouver. J’utilise la forme du passé car l’appareil n’a enregistré absolument aucune information du jeu. Il est probable que le fabricant ne prévoie pas une telle situation et il n’a pas pris en considération l’enregistrement automatique dans les périodes du temps définies ou dans le cas où la source d’alimentation s’épuise. Particulièrement, cette deuxième option serait très utile si on prend en considération notre aventure et le bon sens. Et il faut mentionner que la caméra possède l’afficheur qui montre à l’utilisateur le niveau de charge des piles. On peut donc admettre que l’appareil serait capable d’effectuer l’action que j’ai mentionnée ci-dessus. Il suffisait d’introduire quelques lignes du code au logiciel directeur. Il faut aussi faire attention à la place où on fixera la caméra. Dans notre cas, après l’avoir montée sur la lunette, il s’avérait que le plus probablement, le moteur engendrait des perturbations électromagnétiques trop fortes qui ont provoqué l’oscillation de l’image. Le changement de place de montages – on l’a montée sur le front de la réplique (d’un autre type) a éliminé ce problème. Quand la caméra était montée sur la tête le problème n’existait pas aussi. Le deuxième essai vu le temps de Nöel, s’est éloigné un peu. Toutefois, cela nous a donné la possibilité de faire les tests à nouveau et grâce à cela ils seront plus précis qu’en cas de les faire seulement une fois. La vraisemblance du test d’enregistrement a augmenté par rapport aux conditions atmosphériques vraiment désavantageuses. Une basse base des nuages et une bruine incessante ont fait que la limpidité de l’air a diminué très fortement. Aussi le niveau de l’humidité de l’air était-il très haut. Vous pouvez regarder tout cela sur les photos et dans le film qui a été enregistré ce temps-là. Quelques soient les conditions, la caméra fonctionnait toujours. Les piles, elles ne se sont pas épuisées pendant tout le temps d’enregistrement. En un mot, la caméra a réussi à nos tests aux conditions un peu extrêmes. Plus loin, cela ira très bien. Résumé: La caméra est très utile au moment où on veut enregistrer le film d’une action. Les vidéos ne sont pas de haute qualité mais il faut prendre en considération le prix de la caméra qui ressemble aux prix d’un collimateur ou d’une lunette. Et ici, on parle des prix moyens ou les plus bas.


La caméra même peut être une solution superbe pour les groupes qui veulent enregistrer de cette façon ses entraînements ou actions afin d’en parler aux conditions plus favorables. Ce sera aussi un bon achat pour les personnes qui désirent avoir un souvenir des manoeuvres auxquels ils ont participé et ils n’ont pas envie de dépenser plus de 1000 PLN pour un appareil qui leur permettra d’enregistrer une vidéo en qualité HD. On recommande cette caméra à ceux qui cherchent un petit appareil capable de contenir un assez grand nombre de vidéo. Un tel appareil qu’on peut fixer partout - sur la réplique, l’équipement, le heaume, ou tout simplement sur la tête. La caméra Solve AT-18 est destinée juste pour eux.

Service des cartes mémoires populaires et bon marché Boîtier solide Compacte Légèreté Afficheur LCD Possibilité de fixer tous les paramètres sans accès à l’ordinateur

Avantages:

Ci-dessus vous trouverez la vidéo d’un des jeux pendant lesquelles on a testé cette caméra.

Prix Grand nombre d’additions de montage Service des piles généralement accessibles

Inconvénients: Clarté faible de l’afficheur LCD Définition d’image maximum 640x480 Manque d’enregistrement automatique des données Perturbations provenant du moteur travaillant/GB Grande sensibilité au type de piles Qualité du son

Nous l’avons testé grâce à la gentillesse de l’entreprise Solve Elektronika, distributeur des caméras AT-18 et AT19. Nous vous invitons à visiter le site du fabricant www.solve.pl.

Traduit par: Malgorzata Dobecka 55


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Whip for terminators


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Under the burlap

U n d er th


e Bu r lap D

ans la nouvelle édition de la section Under the Burlap vous trouverez la description de la légende militaire mondiale - le fusil M1 Garand. Nous vous présenterons l’histoire de sa création et sa réplique pour ses passionnés qui a été préparée par l’entreprise Marushin. Nous avons aussi invité un passionné de répliques de sniper qui a changé son CA-8-2 en une véritable terreur avec plus de 600 fps. Il dévoile ŕ l’OpForce comment il a créé ce monstre. Pour connaître le tireur embusqué suivant, nous devrons reculer dans le temps. Nous vous présenterons la silhouette d’Adelbert Waldron – un tireur embusqué le plus efficace des forces armées américaines. Bonne lecture.

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garand marushin

M1 Garand – une légende des légendes

Il existe de telles répliques qui malgré leur utilité au champ du jeu d’airsoft, réveillent encore le ravissement et elles sont les rêves de plusieurs joueurs. Parfois c’est leur mise en œuvre étant une copie magnifique de leur original parfois seulement leur singularité de la construction qui créent la légende et le besoin irréfutable de les posséder. Il est rare que une telle rareté tombe dans mes mains – pour passer une révision indispensable. En ce moment je peux me réjouis de ce modèle, regarder dans son intérieur, peaufiner. Cette situation a eu lieu pas si longtemps quand la réplique M1 Garand de Marushin s’est trouvée sur la table de mon atelier.

L

’utilité de cette réplique au champ de bataille d’airsoft est fortement limitée. La capacité du chargeur, des résultats bas, une construction atypique surtout du système HU, le manque de parties pour le tunnig, une exploitation chère. On peut énumérer sans fin. Malgré tout cela, beaucoup de joueurs voudraient l’avoir. Tout simplement, seulement pour la posséder, pour le lancement et pour la pendre au mur. Et à vrai dire, ce n’est rien d’étonnant.

La réplique est faite uniquement en métal et en bois. Le bois n’est pas de très haute qualité, verni, et seulement à l’extérieur. Pourtant, elle a l’air esthétique. Les parties en bois ce sont : la crosse avec le fût et la garde-main pour le canon. Dans la crosse terminée par un pied en métal, il y a un conteneur pour le kit de nettoyage. Les parties en métal c’est un peu de laiton, d’aluminium coupé et beaucoup de pièces coulées de zamak. Le zamak est pourtant de haute qualité et il est sûrement meilleur que dans la majorité des répliqués que je connais. Le fusil est facile à utiliser comme l’orignal. On met le chargeur qui ressemble à un chargeur caractéristique dans l’écrou de la culasse, on ferme la culasse et on peut tirer. Seulement 8 fois comme dans l’original bien sûr. Après ce fait, la culasse s’arrête dans la position postérieure et le chargeur saute en haut. Il faut mettre un nouveau chargeur et fermer la culasse. On peut jeter le chargeur pas vidé à la fin de la réplique à l’aide d’un bouton se trouvant à gauche côté

de la chambre de culasse. Le levier de sécurité placé comme dans original sur le devant de la protection de la détente de la même façon que dans les répliques du M14 connues aux plusieurs joueurs, qui était la version progressive de Garand. Le viseur réglé dans deux plans, à pinnule, ressemble à celui

au M14 mais il est fait sans jeux. Le guidon avec des protections latérales, est monté en forme de la queued’aronde et serré d’une vis. Une vis à six pans creux ce qui détruit l’image de la totalité. La réplique possède le système HU mais pas sous la forme connue par tous les joueurs. Ce qu’on appellerait la chambre HU, c’est en réalité la place du montage du canon et l’introduction de la bille. Là, il y a un joint et un petit cliquet qui maintiennent la bille sur place jusqu’au moment du coup de feu. Et là, il n’y a pas d’élastique HU. Il se trouve 15cm environ de la sortie du canon, derrière «une petite bosse» très bizarre. Probablement cette petite bosse sert à perturber le vol de la bille dans le canon de cette façon qu’elle se presse au bord supérieur du canon et retrouve l’élastique HU. À première vue le canon est tout simplement courbé. De plus, au 1/3 initial de sa longueur, le canon possède deux trous de deux côtés, chacun d’un diamètre de 2mm environ. Ils servent à faciliter le montage de la totalité parce qu’il faut visser le canon à la chambre et il faut l’opposer avec un écrou. Les trous facilitent le déplacement le canon en position convenable. Toutefois, les trous doivent influer sur les résultats d’une façon néfaste, ils ont été donc enroulés par une bande en téflon sur laquelle j’ai mis une isolation thérmorectractable et je l’ai réchauffée. L’élastique HU a été traité d’une façon pareille. Il a la forme d’une ceinture pour le canon avec une petite bosse appropriée tournant qui entre dans

l’échancrure sur le canon. Il a été enroulé avec du téflon et pressé par l’isolation pour faire disparaître des injections d’air. La culasse de la réplique ressemble dans son fonctionnement à la culasse de la réplique M14 mais elle possède le mécanisme BB. La culasse se compose d’une lamelle montée dans la partie supérieure qui simule une vraie culasse, sous laquelle se trouve une tuyère introduisant une bille du chargeur à la chambre avec


l’entrée du gaz du côté et dans la partie postérieure de la culasse spécifique, un butoir avec lequel la culasse frappe le fond de la chambre de culasse. La lamelle est assemblée avec la culasse juste d’une façon rotative et alors, elle simule le mouvement de déverrouillage de la vraie culasse. Sur l’assemblage de ces deux éléments en zamak il y a une douille de frottement en laiton et grâce à cela les éléments coopèrent poli-

La grandeur de tout le mécanisme BB, du cylindre gazeux et du ressort de rappel est motivée par la masse de tout l’ensemble mobile culasse-glissière. La saccade seule, au coup de feu n’est pas formidable en raison de la petite vitesse du mouvement de la culasse et de la grande masse de tout le fusil. Le

c ont e n e u r ment et d e gaz se trouvant devant le mécanisme de ne s’usent pas trop vite. détente est assez plat mais il a une capacité suffisante. On le charge d’en bas et la soupape de chargement est L e mécanisme BB c’est une question séparée. montée juste devant la protection de la détente. Il est très atypique comme pour une réplique GBB. Au début, si on trifouille dans ce mécanisme, il réveille un Le mécanisme de détente m’a plu beaucoup. Il n’a pas vrai effroi quant aux éléments, mais après un temps de mentonnet mais il possède le crabot du coup par on observe une ingéniosité énorme des constructeurs. coup comme le chargeur AK. La simplicité de foncEn prenant en considération l’âge de la construction, tionnement et la fiabilité et de plus, en raison d’une il faut noter qu’avant il n’y avait pas des modèles qu’on bonne mise en œuvre, un travail agréable de la dépourrait imiter et de cette façon, la construction com- tente plairont à chaque obsédé. mence à réveiller l’admiration. La soupape dans la tuyère qui couperait l’amenée du gaz au canon et aug- Le démontage du fusil c’est aussi un plaisir. Nous menterait la pression dans le cylindre BB, n’y existe commençons par écarter le pontet en avant et par le pas. Mais il y a deux soupapes séparées, l’une dirige le tirer en bas. Tout le mécanisme de détente et le chien gaz arrivant au canon et la deuxième au mécanisme doivent sortir. Le détail suivant qui réjouit: le chien BB. Ces deux soupapes sont mises en marche à l’aide possède un galet en laiton à la place où la culasse d’un chien. Le cycle d’un coup de feu est comme suit : l’arme. Cela diminue le frottement et l’usure des mécale chien se trouve par derrière, la culasse fermée, une nismes. Ensuite, on dévisse une vise par derrière et on bille dans la chambre. Après appuyer la gâchette, le démonte la crosse et les «mécanismes» avec le canon chien presse deux soupapes, l’une un peu plus tôt que et la garde-main pour le canon. Après avoir démonté l’autre. Cette première mène le gaz à la tuyère et à le guidon, sa base et les garde-mains en bois pour le l’aide d’elle – elle repousse la bille. La deuxième sou- canon, on peut démonter le canon en deux parties, pape ouverte un fragment de seconde plus tard mène desserrer les vis sur la bague sur laquelle s’appuie le le gaz dans un tuyau long et étroit finit par un pis- ressort de rappel, la tirer avec le ressort, la glissière ton avec un joint. Le joint se trouve dans le cylindre et le cylindre BB. On démonte la chambre de culasse monté à la glissière et à la culasse. Le gaz, après avoir en dévissant deux vis de deux côtés et par derrière et passé le tuyau étroit, arrive à l’espace devant la tête de après on a l’accès à la culasse et à tout ce qui se trouve ce piston et à l’intérieur du cylindre en provoquant à l’intérieur. Au début le démontage et le montage c’est son mouvement en arrière. Après avoir atteindre la un horreur parce qu’il faut suivre un ordre mais un fin du cylindre qui n’est pas fermé de front, le surplus peu d’habitude et on se débrouillera sans problème. de gaz est délivré. Le chien est armé à nouveau, les Il faut faire attention au mécanisme responsable de soupapes sont donc fermées. La culasse avec la glis- bloquer la culasse par derrière et le lancement du sière et le cylindre BB sous l’influence d’un ressort de chargeur vide. Il est typiquement méchant. Il exige de rappel énorme (presque 50cm de longueur quand on plier deux ressorts individuels, de dévisser les vis etc. le tire de la réplique!) enroulé sur le canon extérieur J’ai fait marcher ce mécanisme plus d’une heure. S’il (on ne voit pas ce fragment de l’extérieur!), rentre à sa marche donc – ne pas le toucher. position initiale. Comme dès le début, j’ai traité ce fusil comme rareté, 61


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garand marushin un exemplaire pour collectionneurs, je ne dirai rien donc de ses résultats. D’ailleurs, en raison de son chargeur à 8 billes, son utilité au champ de bataille est nulle. Mais sa mise en œuvre, les désignations (conformes à l’original!), le bruit de rechargement et le fonctionnement des mécanismes ravissent. Chaque réplique a quand même ses inconvénients et si j’y écris principalement la mise en oeuvre de la réplique - je devrais aussi décrire

les inconvénients de la mise en oeuvre. Premièrement, la vis qui joint la glissière et la culasse est un peu visible de l’extérieur, et la vis est à six pans creux. Pour moi, un crime. Deuxièmement, la garde-main du canon et la partie antérieure du canon extérieure ont une tendance d’avoir des jeux. On est capable de visser tout cela en une totalité mais cela exige beaucoup d’effort et d’intuition. Le mécanisme était, après le monter dans le canon, décalé un peu et non dans son axe. C’était visible et agaçant. Le bois n’était pas fini à l’intérieur et plein d’échardes tout simplement. Et pas verni. La complication inutile des mécanismes ne témoigne pas bien de cette réplique mais je suis capable de le pardonner - ce modèle est assez ancien. La poignée est assez large et pour moi peu commode mais je ne sais pas quel est l’original, je ne sais pas donc si c’est un inconvénient ou peut-être un avantage. Sauf cela – tout est parfait. Je ne conseillerai cette réplique à personne qui veut tirer. Elle consomme beaucoup de gaz, les chargeurs sont difficilement accessibles, uniquement 8 billes par un chargeur, la masse, la longueur. Pour les groupes de reconstruction, pour les besoins de LARPs ou d’autres manifestations où le tir n’est pas si important – prenez la franchement. Jacek «Dexter» Reiter


Traduit par: Malgorzata Dobecka 63


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Ekstremalna Pasja

Une passion extrême

Rien ne réveille plus grand effroi parmi les joueurs que le cri - Tireur embusqué! C’est facile à comprendre parce qu’au champ de l’ASG un tireur embusqué est exceptionnellement dangereux. Bien sûr, on parle ici des tireurs embusqués de profession qui ont choisi cette profession parce qu’elle reflétait leur personnalité et non parce qu’elle était une fascination instantanée basée sur les films et les jeux vidéo. Pour se vérifier dans ce rôle archi difficile il faut beaucoup plus que l’enthousiasme. Ici, il n’y a pas de place pour l’erreur ou l’improvisation. Un tireur embusqué c’est un joueur d’échec du champ de bataille contemporain.

L

a partie essentielle du rôle du tireur embusqué c’est la préparation de l’équipement. Outre le camouflage qui est l’équipement passif, le tireur embusqué dispose aussi de l’équipement actif – un fusil. Sa préparation exige un grand savoir théorique et pratique et de plus, beaucoup de sueur pendant l’ajustement d’une partie à l’autre afin d’obtenir finalement un outil de destruction des cibles potentielles exceptionnellement précis. Vu toutes ces choses mentionnées ci-dessus, il n’y pas beaucoup de tireurs embusqués d’airsoft. Et en particulier ceux qui connaissent leur équipement parfaitement sont peu nombreux. Ceux qui ont su presser de la réplique chaque fps en restant souvent à la limite de la possibilité du matériau donné. Et à plusieurs reprises, ils dépassent cette limite généralement grâce à l’application des rationalisations dans les projets originaux. Dans la partie suivante de l’article vous allez connaître un tel tireur embusqué. Czesio, car sous ce pseudonyme il est connu au groupe plus large de passionnés est une personnage exceptionnellement caractéristique d ’A i r soft. Ce n’est pas pourtant lui-même qui se distingue mais l’outil qu’il utilise. Sa réplique préférée c’est le CA-8-2 Classic Army – une réplique de sniper inappréciée. Qu’est-ce que Marcin peut nous dire de ce design très originaire ? La réplique CA-8-2 (étant une copie inexacte du SL-9 Heckler&Koch) était ma deuxième réplique (j’ai en-

core le G36C 350 fps JG au CQB et j’avais encore le AK 74 chinois que j’ai vendu parce que les chargeurs m’énervaient, le MP5 Kurtz et l’UMP) durant mon aventure de 5 ans avec ce sport. Je ne compte pas des jouets qui ont fait le fondement de mon hobby. Mon SL-9 (admettons que je vais employer ce nom dans la partie suivant de cet article) a remplacé la réplique

MP-5 aussi de Classic Army dans mon arsenal. Pourquoi j’ai choisi cette réplique concrète? J’avoue franchement que les questions esthétiques ont joué le rôle essentiel. Et en un mot – cette réplique m’a plu beaucoup. Depuis toujours. Par rapport au fait que c’était la réplique de l’arme de sniper il faudrait augmenter sa puissance. Au début la réplique avait au-dessous de 400 fps (320) fps mais le premier servis de garantie a provoqué le dépassement de cette limite magique. Malheureusement, cette réplique bénéficiait trop du service pour que je puisse s’en réjouir. Une curiosité innée et le mécontentement de la défectuosité m’ont poussé à connaître le service et


le mode de fonctionnement des répliques électriques. Le mécontentement du fonctionnement de la réplique a vaincu même la peur de la perte de la garantie (malgré le fait que j’avais un peu d’expérience dans le service des répliques dès le moment où j’ai démonté mon MP5 Classic Army). La deuxième panne des crémaillères m’a poussé à faire un tunning délicat dans l’un des magasins. Les assistants service ont atteint la puissance de 450 fps. La réplique ne marchait pas parfaitement mais cette fois - l à

la réparation se limitait au réglage du moteur. Malheureusement, j’ai demandé aux vendeurs de me conseiller un bon baril de précision de 650 mm et j’ai reçu un baril de l’entreprise SRC. Pourtant, dans ce cas il fallait dire que la qualité du baril n’était pas bonne. Je étais allé avec la réplique refaite à un départ de 48h où pendant l’un des premiers combats j’ai remarqué que pendant le coup de feu une fumée bizarre sortait du canon. C’était même chouette et j’ai attribué cette fumée à la haute humidité. Cependant, le jour suivant il faisait beau et l’humidité a disparu et ma réplique se comportait comme j’aurais employé de la poudre. J’ai réussi à parvenir à la fin du jeu et quand je suis rentré chez moi, j’ai constaté que la surface inférieure du canon couverte de chrome, s’est brûlée. La partie suivante de mon aventure avec S1-9 c’était un tunning incessant. Et comme les gens ont commencé à apporter leurs répliques pour les réparer, j’achetais aussi des parties pour eux et pour moi-même. Vu de grandes sommes que j’ai dépensées, j’ai pu négocier les

rabais profitables dans un magasin. Cela m’a permis d’acheter une nouvelle partie pour la tester. Chaque nouveauté s’est trouvée dans mon S1-9 et j’ai testé la qualité de sa mise en œuvre et son endurance. À ce temps-là j’utilisais des parties de Systemy y compris des ressorts mais après un temps leur qualité est devenue pire et j’ai du y renoncer. En particulier les ressorts qui étaient probablement trop trempés parce que ils ont commencé à se répandre. Non seulement chez moi mais chez autres joueurs aussi. J’ai trouvé les ressorts de Guarder dont je suis vraiment content. Aujourd’hui, dans mon SL-9 est monté le ressort Ultimate que je teste après son achat. En ce moment j’en suis assez content parce que le chrono a montré une telle puissance qu’il devrait avoir selon les données du fabricant. L’une des parties les plus importantes qui fonctionnent dans les répliques électriques sont les crémaillères. Dans ce cas, j’ai laissé les crémaillères de Super Torque Up Classic Army parce que leur rapport de la qualité au prix était plus que satisfaisant. Un seul inconvénient qu’on peut remarquer pendant leur emploi, c’est le pignon forçant aux charges très grandes. Une telle crémaillère doit être soudée après pour l’utiliser normalement. Dans ma réplique se trouve le baril de précision de 650 mm de Mad Bul qui n’est pas trop conseillé par la majorité des tireurs embusqués d’airsoft. J’avais seulement deux barils de cette entreprise qui étaient défectueux. Et il faut prendre en considération que j’en monte beaucoup dans les répliques. Je déconseille des moteurs Systemy parce que j’en avais brûlé trois avant j’ai conclu qu’ils étaient trop délicats pour les charges que j’avais dans ma réplique et qu’ils avaient besoin de protection sous la forme de Mosfet. La glissière du ressort ne peut être ni conique ni passante c’est-à-dire qu’elle ne peut pas être pleine. À présent je possède la glissière Ultimate dont je suis content. Avant, j’avais la glissière Systemy et je n’ai Translation: Michal “Magnus” Kasinski

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Ekstremalna Pasja observé aucuns problèmes pendant son emploi. En ce qui concerne les blocs, mon SL-9 en ai testé beaucoup. Le meilleur bloc c’était le bloc en aluminium de Systemy. À vrai dire, il a une tendance de couper ses dents mais seulement jusqu’à un moment. Après ces premières petites coupures, je n’ai pas constaté d’autres pertes sur les dents du bloc. Les blocs en plastique JBU avec une règle en métal sont aussi très bons, je les ai testés. Un peu pires mais très satisfaisants aussi sont de nouveaux blocs de Big Dragon avec une règle en métal. En ce qui concerne la tête du bloc, je vous conseille une tête en aluminium Bore-up d’ICS. C’est à mon avis le meilleur choix pour de forts tunnings. Il faut assortir un bon joint torique pour cette tête. Si vous choisissez le cylindre, je vous conseille un cylindre plein c’est-à-dire un tel cylindre qui ne possède aucuns trous sur sa surface. Une pleine compression est nécessaire aux canons longs et le cylindre plein l’assure. Je déconseille les cylindres Bore-up d’ICS parce que j’en ai vu quelques où le chromage se retirait du matériel. Je recommande les têtes du cylindre Systemy ou Classic Army mais non Deep Fire car elles sont défectueuses.

Le frais total de faire une telle réplique comme la mienne, avec un plein tunning à 600 fps, c’est 650 EUR. En admettant bien sûr que le frais de la réplique c’est 300 EUR environ. Le tunning seul peut osciller vers 450 EUR. Au dessous je présente la liste de parties qu’il faut énumérer pour recevoir une telle puissance et une telle précision de tir que mon SL-9 possède.

1. Moteur – un moteur chinois court des répliques A&K et pareilles. Ces moteurs sont très forts et résistants. Ils tirent chaque ressort et leur prix est très modéré. 2. Crémaillères – Super Torque Up Classic Army mentionnées déjà mais il faut remplacer les tiges par les tiges plus longs pour qu’ils s’appuient sur tout le palier et pour qu’ils n’aient pas de jeux. 3. Ressort m170 – Guarder M170 4. Élastique HU – un élastique violet de Prometheus 5. Chambre HU - un produit de Pro-Win mais ici, parfois il y a la loterie à cause de la question du contrôle de la qualité 6. Paliers - à billes 7 mm Classic Army, Kings Arms 7. MOSFET Gate 4004 AB Les chambres Hop-up doivent être assorties sous le 8. Glissière – Ultimate avec palier au GB v3 même angle – la chambre doit être en métal. Cela ré- 9. Block – en aluminium Systemy, en plastique JBU sulte du fait que les prises de la chambre se détachent 10. La tête du bloc – bloc en aluminium Bore-up ICS en leur version en plastique. Malheureusement, il n’y 11. Cylindre – plein, p.ex. Systemy a pas un grand choix parmi les chambres en métal et 12. Tête du cylindre – p.ex. Bore-up Classic Army ou il faut les capter. Systema 13. Tuyère - Bore-up

What chronograph shows after modyfications of CA-8-2


Classic Army

Marcin „Czesio” Dudek Si ce texte ne vous explique pas précisément comment on peut refaire la réplique du GB v.3 en une réplique de sniper, Marcin déclare qu’il expliquera tous les doutes. Il suffit de lui écrire : dudek_marcin1@o2.pl.

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Garand Historia pO Force

M1 Garand – un fusil révélateur

Il y a dans le monde uniquement quelques constructions qui s’inscrivent à l’histoire comme constructions révélatrices. Certaines d’elles avaient l’occasion de participer indirectement aux événements marquants en les modelant à l’aide de leur modernité. L’un de ces fusils était M1 américain. Le fusil qui apparut au moment où l’histoire changea totalement de son sens et il eut la possibilité d’influencer le destin des millions. Ce qui est encore important - sa construction de base, employée dans des modèles suivants de l’arme à feu, nous accompagne jusqu’à présent. éjà au début du XXème l’Armée Américaine mission approuva le projet et le modèle fut dirigé à la commença à s’intéresser à l’arme semi-auto- production. Dans l’entre-temps on corrigea le projet matique. Les raisons les plus importantes étaient: la de la version 30-06 et on le testa à nouveau. Les tests vitesse d’action et la facilité du service au champ de finirent avec succès. Informé des résultats, le Chef de bataille. l’État-major de l’Armée, le général Douglas McArthur En 1911 on commença les premiers tests de nou- qui n’était pas pour la réduction du calibre dans le veau système et on les continua pendant toute la pé- nouveau fusil, décida d’arrêter les travaux sur la verriode de la Première Guerre Mondiale. Des travaux sion.276 et de déplacer toutes les ressources à la prosérieux sur un fusil semi-automatique pour duction de la version au calibre plus grand. l’Armée Américaine commencèrent en 1919 quand le haut comman- En mai 1933, on transmit aux tests les premières 75 dement constapièces. Pendant les tests, on avait découvert quelques ta, en se basant problèmes qui furent résolus par Gasur les expériences de rand et son équipe. Le la guerre passée, que le fusil était prêt projectile dans le fusil M1903 employé à la standarà l’époque, est trop fort dans les condidisations du champ de bataille normal. tion La même année, l’usine de Spriengfield, fondée par et à George Washington, engagea au poste de l’ingénieur l ’ i n civil un jeune enthousiaste, John Garand. Il commen- troduction ça les travaux sur un nouveau type de fusil semi-au- à la production tomatique. de masse. Le premier moSon premier prototype, désigné comme M1922 fut dèle statistique apparut le 21 prêt en 1924. Ce premier modèle était un fusil de ca- juillet 1937. libre .30-06 qui possédait le chargement par la culasse. Le service du fusil M1 Garand durait presque Après un concours irrésolu pour le fusil semi-auto- 30 ans. À peine en 1965 il fut totalement remmatique, Garand commença à améliorer son projet et placé par son successeur – M14. À ce temps-là en effet il créa le modèle M1924. on fabriqua 5,4 millions d’exemplaires environ Les essais suivants menés en 1927 donnèrent les résul- de cette arme. Jusqu’à présent, elle est très populaire tats moyens pourtant Garand projeta en effet un mo- parmi les collectionneurs et les organisateurs des dédèle à un projectile de calibre .276. Un an plus tard, monstrations militaires. suite aux résultats, l’Armée et la Cavalerie indiquèrent le modèle M1924 de calibre .30-06 comme plus pré- Spécification: féré que le modèle de calibre plus petit. Cartouche: .30-06 Springfield (7.62 x 63mm), Au printemps de 1931, le projet de Garand se trouva Capacité du chargeur: 8 cartouches dans la lame charavec le fusil T1 de Pedersen dans le final de la pro- geur, mise dans le chargeur intérieur cédure de soumission. Malheureusement, suite à la Vitesse à la sortie: 2750-2800 pieds (850 mètres)/secassure de la culasse pendant les tests, on rejeta la ver- conde sion munie de cartouche 30-06. Le deuxième projet Portée effective: 540 mètres. de Garand, muni de cartouche plus faible vainquit le Cadence de tir: 16-24 projectiles/minute concurrent et gagna le concours. Le 4 février, la com- Poids: 4,3 kg

D


Longueur: 110 cm Longueur du canon: 61 cm Accessoires supplémentaires: baïonnette M1905 ou M1942, lance-grenades

John C. Garand devint icône de l’industrie de l’armement américain. Une ironie évidente est le fait que comme plusieurs d’autres inventeurs ou scientifiques, Garand n’était pas Américain. Né 30 km de Montréal où ses parents avaient une ferme et son accent francocanadien trompait son origine. Né comme septième de quatorze enfants, ce qui contribua à son indépendance rapide. Quand il avait 12 ans il travaillait déjà comme balayeur et bobineur assembleur à l’usine des textiles de à New England. Cette période lui laissa l’amour des machines de tous les types. Pendant toutes les pauses quand les bobines renouaient de files, il passa le temps au parc des machines en observant les réparations de l’appareillage. Un an après le commencement du travail, son amour de la mécanique fit paraître le propre brevet – un nouveau type de vis. Au moment où il commença à gagner de l’argent, il commença aussi à épargner pour acheter un fusil. Pendant toute la journée, avec l’un de ses frères ils regardaient le catalogue vente par correspondance d’arme pour acheter enfin le fusil Winchester.32-30. Ils s’exerçaient plus tard sur les collines voisines, en débusquant des brebis des fermiers. À l’age de 18 ans Garand était un mécanicien qualifié. Dans le cadre du travail intermittent il décida de créer avec son frère un champ de tir qui n o n seulem e nt pour subventionner le budget mais aussi pour avoir de la satisfaction du travail avec cela ce qui était son hobby suprême – l’arme à feu. Le contentement de John était si grand qu’il prédestina la majorité du revenu du champ de tir aux cartouches à son fusil, en s’exerçant à tirer sans cesse.

L’occupation suivante de jeune John était le travail à l’usine des outils à Rhode Island. C’est juste à Providence où il déménagea après avoir obtenu le poste mentionné, il a mordu l’appât suivant – les courses de moto. Le moteur construit par lui, lui aida à gagner quelques courses sur le territoire de la Nouvelle-Angleterre. Il faisait aussi du patinage, mais jamais aucun hobby ne reprit le dessus sur son amour de l’arme. Les années précoces de la Première Guerre Mondiale touchèrent Garand à New York où il travaillait à l’usine des produits précis sur Manhattan. C’est juste là, pendant l’une des sessions de nuit, quand il se préparait aux cours suivants (il complétait sa formation), il lut dans un journal local des problèmes du gouvernement avec une mitrailleuse satisfaisante pour des unités luttant en Europe. Il n’était pas capable de comprendre pourquoi un tel problème existait et il projeta une telle mitrailleuse lui-même. Il mit les dessins dans une enveloppe et les envoya au Commandement de Marine à Washington. Il n’attendit pas longtemps la réponse. Dans la capitale, les experts étaient intéressés à son idée et ils l’invitèrent à la conférence à Washington. On lui proposa le poste du projeteur au Bureau des Standards et il reçut la possibilité de préparer le prototype marchant de la mitrailleuse projetée par lui. Malgré le fait que le salaire sur ce poste était bas de moitié, Garand accepta la proposition. Dans l’entre-temps la guerre en Europe finit et la demande de mitrailleuse disparut. Garand reçut une nouvelle proposition – créer le projet du fusil semiautomatique qui aurait remplacé le Sprinfield M1903 usé. Ce fut en 1919 et cinq ans plus tard on créa le prototype d’un fusil connu plus tard comme M1 Garand.

Source: Popular Science, Décembre 1940.

Traduit par: Malgorzata Dobecka 69


Zapomniany Mistrz pO Force

Un maître oublié

Chaque nation a ses héros. Ceux du passé éloigné et ceux qui ont participé aux événements contemporains. Les compétences et les prédispositions avancées qui révèlent souvent aux moments névralgiques décidaient de la singularité de ces unités. Dans les cas des tireurs embusqués, le traitement unitaire prend une signification spéciale. Ces hommes, principalement les solitaires, au moment d’atteindre la maîtrise dans leur métier, ils sont rarement oubliés. Quand même de telles situations ont lieu. Une telle situation eut lieu dans le cas du sergent Adelbert «Bert» Waldron III – le meilleur tireur embusqué américain.

N

é le 14 mars 1933 à Syracuse (l’état New York). À l’âge de 20 ans il s’engagea à la Marine où il servit jusqu’à 1965, en terminant comme sous-officier de la classe E5. Trois ans plus tard, en mai 1968, Waldron s’engagea à nouveau, en choisissant cette fois-là l’Armée et non la Marine. On lui laissa le degré, qu’il possédait depuis sa distribution à US Navy et on le dirigea à la compagne B 3 du Bataillon du 60ème Régiment de l’Infanterie qui faisait partie de la 9ème Division de l’Infanterie stationnant à Vietnam. La même année le sergent Waldron fut dirigé à l’Extrème-Orient où comme tireur embusqué fut dirigé à l’école des tireurs embusqués, organisée sur place par les membres d’AMU (Army Marksmanship Unit c’est-à-dire l’Unité des Tireurs Embusqués de l’Armée). Après l’instruction, le sergent Waldron déjà comme

tireur embusqué fut dirigé au terrain du Delta du Mékong où l’unité MFR (Mobile Riverine Force - les Forces Fluviales Mobiles) dont la 9ème Division, comme l’unité unique de l’Armée Américaine faisait partie opérait. «Bert», comme l’appelait les collègues de l’unité, commença son service aux bateaux dont la tâche fut de purifier le Delta de guérilla communiste et d’éliminer des voies de transfert. Ces terrains étaient l’un des endroits les plus dangereux de Vietnam de l’époque, plein d’unités hostiles et par rapport à une couverture végétale riche, exceptionnellement difficiles à mener des actions. Déjà au début de 1969 Waldron avait sur son compte 109 touches confirmées ce qui le fit le plus efficace tireur embusqué dans l’histoire du militarisme américain. Il en résulte qu’il se débrouilla très bien dans les conditions mentionnées ci-dessus, et il créa l’occasion des incommodités. Ce qui était important c’était le fait qu’il servit dans l’Armée Américaine et non comme en cas de majorité des tireurs embusqués de ce conflit - dans la Marine. L’arme qu’il employait était aussi différente. Pendant que les tireurs de la Marine employaient des fusils semi-automatiques, Waldron employait le fusil M14 remanié, désigné comme M21. Cette version concrète, en nombre de1435 pièces fut préparée par l’entreprise Rock Island Arsenal à remplir la fonction de fusil de précision. Cet ensemble se composait, sauf le fusil, d’un viseur Leatherzood 3x-9x ART et d’une suspension M1907. Le fusil en la même version permettait de tirer d’une manière efficace à une distance de 800 mètres (selon les données du fabricant) en utilisant la munition standard M118 de calibre 7,62 NATO. Ensuite on adapta un viseur de Starlight et un silencieux. Tous ces accessoires furent utilisés avec succès par le sergent Waldron pendant son service à la région du Delta du Mékong. Pendant une nuit «Bert» eut 9 touches. On lui attribue l’un de plus célèbres coups de feu qui devint presque mythique.


Un matin pendant la patrouille du fleuve sur le bateau du type Tango, l’unité fut pilonnée par un tireur embusqué hostile. Tous les militaires commencèrent à chercher le tireur qui se trouvait au bord à une distance de 900 mètres du bateau, le sergent Waldront prit son fusil de précision et à un coup de feu il tua un tireur embusqué de Vietcong tirant de la pointe du cocotier. C’était autant plus difficile que Waldron tira du bateau qui se déplaçait. Décoré de la Silver et Bronze Star et de deux Croix pour Service Distingué, il termina son tour à Vietnam et il fut déplacé à l’Unité des Tireurs d’Élites de l’Armée comme instructeur-chef où il servit au moment de la démobilisation en 1970. Ensuite, il travaillait pour un officier ancien de la CIA et un grivois Mitchell WarBell III dans son école d’entraînement privée connue comme Ferme au poste d’instructeur de tir. Il mourut le 18 octobre 1995 en Californie - à l’âge de 62 ans.

Traduit par: Malgorzata Dobecka 71


pO Force

w bastępnym numerze

Jacek “Dexter” Reiter

Marta Ozieblowska

Rédacteur de la section Under the burlap. Passioné de fusils à ressort. Un sniper né mais il joue au CQB. Idéal comme OpForce.

Slaviste de formation et de passion. Les défis, même d’airsoft ne la découragent pas.

Marcin “Mirra” Dudojc

Malgorzata Dobecka

Obsédé de l’Airsoft depuis 2004. Il est aussi passionné de thé à 17h et de tout ce qui est britannique.

Romaniste, passionnée de cuisine méditerranéenne, de littérature de Melchior Wankowicz et des terrains orientaux (Kresy wschodnie).

Michal “Magnus” Kasinski Rédacteur de l’édition anglaise. Jusqu’à dernièrement l’ habitant des Îles Britanniques.

Pawel Fabisiak Rédacteur de l’édition allemande. Un grand passionné d’histoire, particulièrement d’histoire de la Seconde Guerre Mondiale. Andrzej Walaszek Rédacteur de l’édition bulgare. Un militariste zélé et l’historien. Il a mordu à l’appât de l’airsoft.


L

Dans le numéro suivant:

’arrêt suivant sur notre carte de la stylisation c’est la Péninsule Italienne. On fera la connaissance de l’Armée Italienne et de ses unités – en particulier des unités spéciales. On comparera les uniformes Vegetato en camouflage, employés à présent par les Italiens. La critique concernera l’uniforme original et sa copie ce qui nous permettra d’observer les différences en leur mise en œuvre. Il y aura beaucoup d’espace pour les tests des répliques. Cette fois, on aura la possibilité de décrire la réplique de Galila israélien sur lequel vous avez pu lire dans le premier numéro OpForce Magazine. Il y aura la deuxième partie du test des caméras sportives. On vous présentera le produit de haute qualité – la caméra VholdR Contour HD. Attendez le numéro suivant car toutes les attractions mentionnées ci-dessus ne seront pas les uniques que nous avons préparées pour vous. Souviens-toi que tu peux toujours joindre notre équipe. Si tu es amateur du militaria, si tu as quelque chose d’intéressant à dire sur le militarisme, l’airsoft etc. écris-nous: tomasz.niwinski@opforcemagazine.com. Les devoirs principaux d’un employé: * la préparation des articles sur un sujet donné * ramasser des informations * gagner des informations des sources personnelles * la préparation autonome des matériaux sur les sujets coïncidents au numéro publié. * prendre soin de la solidité et de l’exactitude des informations pour les articles préparés. Nous attendons aux candidats: * l’indépendance et l’initiative dans la réalisation des objectifs * l’efficacité et la conséquence dans le travail * la capacité de penser logiquement et d’une façon analytique * être responsable et communicatif: * une bonne organisation du travail * la créativité, l’efficience et les idées non conventionnelles * la capacité de travailler en groupe et sous la pression du temps * la connaissance de l’Open Office * la passion et le savoir en ce qui concerne le militaria et/ou l’Airsoft * la passion de journaliste On appréciera aussi: * les publications précédentes sur le militarisme et/ou l’Airsoft * l’expérience à l’écrit * les étudiants des études humanistes telles que le journalisme, la philologie polonaise, les RP, l’histoire. Nous offrons: * la possibilité de participer à un projet inusuel * l’acquisition de l’expérience internationale * la possibilité de la collaboration fixe

Contact: Rédaction: Rédacteur: Tomasz Niwiński tomasz.niwinski@opforcemagazine.com. Rédacteur de la section Under the burlap: Jacek Reiter dexter@opforcemagazine.com Promotion: reklama@opforcemagazine.com 73




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