Lettre la grande distribution alimentaire en Lorraine

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PANORAMA La grande distribution alimentaire en Lorraine

Comenmerce

Lorraine

Etude réalisée par les CCI de Lorraine

n°2 - juin 2008 Le parc de la distribution à dominante alimentaire en grandes et moyennes surfaces présente en Lorraine une situation singulière et contrastée. Les 69 hypermarchés exploités en 2008 occupent une position forte et structurante dans le paysage commercial régional. Pour autant, leur place est constestée par une concurrence qui se modernise, se diversifie et se développe notamment avec la présence importante des supermarchés maxidiscomptes. Ces dynamiques interrogent la notion de proximité et recomposent le maillage commercial local et les logiques d’aménagement du territoire. Avec des groupes de distribution bien implantés, la Lorraine présente un niveau d’équipement commercial relativement élevé mais modulé selon les départements.

tab 1. Les grandes et moyennes surfaces à dominante alimentaire de plus de 300m² de surface de vente en Lorraine Grandes et moyennes surfaces à dominante alimentaire

nombre de points de vente

surfaces de vente en m²

surface de vente moyenne en m²

Hypermarchés

69

439 256

6366

Supermarchés

236

289 973

1343

Maxidiscomptes

281

197 555

703

Magasins alimentaires spécialisés

57

27 678

573

Magasins populaires

5

8640

1728

Supérettes (1)

27

9281

344

Magasins de Surgelés

25

9352

374

Ensemble

648

963 102

1486

source : CCI Lorraines - janvier 2008 - Commerce en Lorraine champ GMS (hors galeries marchandes)

La présence structurante des hypermarchés Les hypermarchés sont des magasins de commerce de détail d’une surface de vente supérieure à 2500m². Bien souvent implantés en périphérie des villes, ils disposent en moyenne d’environ 1000 places de stationnement pour une clientèle motorisée à 95%. Nés du concept «tout sous le même toit», les hypermarchés proposent en moyenne 3000 à 5000 références alimentaires et 20000 à 35000 références dans le domaine non-alimentaire (équipement de la personne, du foyer, culture-loisirs). En 2008, la Lorraine compte 69 hypermarchés totalisant 45,6% des surfaces de vente exploitées par les grandes et moyennes sur-

faces alimentaires. Ces 25 dernières années ont vu un développement très important des hypermarchés en dépit d’un ralentissement imposé en 1996 par un durcissement des conditions d’implantation (loi RAFFARIN). Le plancher commercial a doublé depuis 1990 et le parc s’est agrandi de 28 unités. Cette croissance a été alimentée non seulement par des créations, aujourd’hui devenues rares, mais aussi par l’extension de supermarchés ou d’hypermarchés existants. Pour ces derniers, l’amélioration de la logistique et des conditions d’approvisionnement des points de vente a notamment libéré des surfaces de stockage. Par souci de rentabilité, celles-ci sont transformées en surfaces de vente accessibles aux clients. En 2008, les hypermarchés sont exploités

Le régime des autorisations commerciales en France va bientôt être réformé pour respecter les règles du marché intérieur européen. Un projet de loi vient d’être soumis au Parlement. Il pourrait libéraliser les conditions d’implantations et consacrer la régulation du grand commerce par l’urbanisme de droit commun. Dans cette perspective, les Chambres de Commerce et d’Industrie de Lorraine ont choisi de faire le point sur la situation générale de la distribution alimentaire actuellement sous le feu de l’actualité. Il s’agit de prendre la mesure des enjeux locaux et de comprendre les dynamiques commerciales pour organiser, de manière équilibrée, le commerce de demain.

sur une surface moyenne de 6366 m², bien supérieure à celle enregistée au niveau national (5617m²). Sur le long terme, l’implantation des hypermarchés a eu des effets importants en matière d’organisation commerciale des territoires. Ils polarisent leur zone de chalandise jusqu’à une distance-temps moyenne de 15-20 minutes dans un territoire de vie devenu de plus en plus accessible par la modernisation du réseau routier. Cette fluidité a renforcé leur attractivité au détriment d’une offre de proximité suffisante notamment dans les espaces périurbains. La mise en concurrence des territoires est devenue plus sensible. En créant des flux d’achats réguliers, pérennes voire lointains, les hypemarchés ont servi de locomotives accélérant le développement des zones commerciales, générant un renforcement de leur capacité d’attraction.

Un trio d’enseignes d’hypermarchés bien présentes Trois enseignes dominent le parc régional d’hypermarchés. Exploitant 338 473m² de surface de vente, Leclerc (22 magasins), Cora (14) et Auchan (7) concentrent 77% du plancher commercial exploité par les hypermarchés en Lorraine (fig.1 et 2). Enseigne indépendante, Leclerc confirme sa position de leader régional et national, suivi Chambres de Commerce et d’Industrie de Lorraine

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Commerce en Lorraine

Exploités sur ur des surfaces de vente comprises entre 400 et 2499m², les supermarchés sont des magasins de libre-service proposant entre 3000 et 5000 produits. Les ventes de produits alimentaires génèrent plus de 65% du chiffre d’affaires total. Avec 490 points de vente, les supermarchés représentent près de 76% du parc de magasins alimentaires de plus de 300m² en Lorraine. Cette forte présence assure un maillage serré qui tend à se densifier et se ramifier tant en milieu urbain que dans les espaces ruraux et périurbains. Leur rayonnement à 5-15 minutes leur confère un rôle de plus grande proximité. Le parc lorrain des supermarchés se caractérise par la prépondérance ddu format discompte exploité dans 281 points de vente soit 57% du parc de supermarchés. La Lorraine enregistre un taux d’équipement discompte nettement supérieur à la moyenne métropolitaine (21,3m²/1000 hab. contre 12,7). D’une taille moyenne de 700m², les supermarchés discomptes proposent des assortiments plus courts de 700 à 1200 références. Par sa proximité géographique avec l’Allemagne, la Lorraine a été un espace pionnier d’expansion de cette forme de distribution depuis 20 ans. Les enseignes Lidl et Aldi sont les leaders incontestés sur ce marché très concentré. Leur développement a été soutenu par la présence de bases logistiques (Noisseville, Ennery et Gondreville) capables de desservir chacune 70 à 100 magasins. Le discompte est aujourd’hui bien installé dans le paysage commercial régional et dans les habitudes de consommation des ménages. Il est animé par des velléités de développement en particulier de la part d’enseignes françaises peu présentes. Sur le créneau des supermarchés «classiques», Intermarché (55 magasins) et Match (51 magasins) occupent des positions fortes. Ces deux enseignes sont moins dans une logique expansive que dans une stratégie de modernisation et de

« Tout sous le même toit » est le concept commercial fondateur des hypermarchés en France. Assimilés à la modernité et au discompte dans les années 60, les hypermarchés représentent aujourd’hui un format de distribution qui suscite des interrogations face aux évolutions de l’économie et de la société notamment : - L’intensification de la concurrence et la saturation du marché domestique - Les évolutions socio-démographiques (vieillissement, ménages monoparentaux, personnes seules) favorisant un retour des achats de proximité, - La diminution de la dépense commercialisable. La consommation est devenue plus volatile, plus immatérielle et plus complexe. Elle demande plus de réactivité privilégiant la segmentation et l’individualisation de l’offre.

Ces limites à la croissance des hypermarchés sont compensées par des stratégies de développement international, de diversification de l’offre commerciale et de services, par la modernisation et l’extension des points de vente (confort d’achat) ou des galeries marchandes attenantes, devenues des lieux de destination à part entière. Ces capacités d’adaptation sont importantes mais seront-elles encore durables ?

fig 1. La hiérarchie des enseignes par forme de distribution en Lorraine 500000 Autres enseignes

400000 surfaces de vente exploitées par enseigne en m²

Les supermarchés dominés par le discompte

- Le nombre annuel de visites des hypermarchés diminue (36,8) ainsi que le temps de leur fréquentation (40 min. contre 90 min. 20 ans plus tôt ). - La dépendance automobile des hypermarchés (95% des clients motorisés), le renchérissement des carburants, la congestion routière et donc le coût d’accès rendent plus fragile ce modèle né avant le premier choc pétrolier.

L’hypermarché : un modèle en question ?

300000

3

200000

Cora

2 Auchan

Autres enseignes Autres enseignes

3

77,1%

1

100000

Super U

Norma 3

2 Match

2

63,7%

1

Leclerc

0

Aldi

1

Intermarché

Hypermarchés

78,5%

Lidl

Supermarchés

Discomptes

fig 2. Le positionement des principales enseignes en Lorraine Hypermarchés d'agglomération Rayonnement élargi 10-30 minutes 150 000

Leclerc Cora

120 000 Intermarché

surface de vente exploités par enseigne en m²

par Cora bénéficiant d’un ancrage régional historiquement fort. Enfin, Auchan a rapidement conquis le marché lorrain à la faveur du rachat de Docks de France (dont Mammouth) en 1996. On remarquera que Carrefour, second distributeur national et mondial, occupe une place modeste en Lorraine en exploitant seulement 2 hypermarchés.

n°2 - juin 2008

90 000 Match Lidl

Auchan Aldi

60 000 Super U Atac 30 000

Champion

Carrefour Leader Price Ed Ecomarché Shopi

Supermarché Rayonnement de proximité 5-15 minutes

Norma

Thiriet 0

0

10

20

30

source : CCI Lorraines - janvier 2008 - champ OCL-GMS

40

50

60

70

80

90

100

110

120

nombre de points de vente exploités par enseigne

Chambres de Commerce et d’Industrie de Lorraine

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Commerce en Lorraine

n°2 - juin 2008

consolidation progressives de leur parc de magasins. Une rationalisation du parc, accompagnée parfois de changement d’enseigne, est en cours, se soldant parfois par des fermetures de points de vente. Plus confidentielle est la présence de 5 magasins populaires en centres urbains. Il s’agit de l’enseigne Monoprix qui cible un marché plutôt haut de gamme. Enfin, depuis quelques années, s’est accéléré le développement des surfaces spécialisées comprises entre 300 et 1000m² notamment sur la niche des produits issus de l’agriculture biologique ou en fruits et légumes. Il s’agit véritablement d’une tendance de fond qui concurrence un rayon de fidélisation des enseignes de supermarchés et d’hypermarchés.

Le poids des groupes : une autre lecture du paysage commercial Les groupes de distribution exploitent un réseau de points de vente comprenant une ou plusieurs enseignes (fig 3 et 4.). Ils sont le fruit de stratégies de développement tantôt monolithique (Lidl, Aldi, Norma) tantôt multiformats avec des gradations (Carrefour, Casino) pour s’adapter à tous les types de marchés de consommation. En Lorraine, les 10 principaux groupes concentrent 96% de la surface de vente et 88% ddu parc de magasins. Cinq groupes contrôlent plus ou moins directement 71% des surfaces de vente mais seulement 44% des points de vente. La holding Louis Delhaize (Cora, Match)

fig 3. Répartition de la surface de vente des principaux groupes de distribution alimentaire en Lorraine Norma Autres 3,9% 2,4%

Casino 4,3% Système U 5%

Nota Les groupes mentionnés ci-contre ne concernent que les enseignes de la distribution à dominante alimentaire. Des organisations capitalistiques peuvent contrôler à divers degrés un portefeuille d’enseignes plus large.

Louis Delhaize (Cora, Match) 22,6%

Aldi 6,3% Schwarz (Lidl) 7,5%

Les groupes de distribution réunissent des enseignes totalement succursalistes (L. Delhaize Aldi, Lidl, Norma) ou mixtes avec des points de vente exploités en franchise notamment (Carrefour, Auchan, Casino). Ils regroupent aussi des adhérent adhérents de groupements de commerçants indépendants (E. Leclerc, Mousquetaires) ou d’une coopérative (Système U.).

E. Leclerc 15%

Carrefour 9,9% Auchan 10,6%

Les Mousquetaires 12,6%

source : CCI Lorraines - janvier 2008 - LSA - DCASPL 2006

des enseignes (Bricomarché, Vêti, Roady, Restaumarché) gérées chacune par des commerçants indépendants. Auchan et Atac appartiennent au groupe nordiste Mulliez qui s’efforce de faire évoluer son on parc pour l’adapter à la concurrence, notamment en passant progressivement Atac sous l’enseigne Simply Market. Coté au CAC 40, le grou groupe Carrefour est, depuis l’absorption de Promodès, sans doute l’acteur qui a poussé le plus la diversification du parc commercial. De la supérette à l’hypermarché en passant par le discompte, le groupe Carrefour arrefour assure une présence importante sur le créneau de la proximité.

occupe une place prépondérante dans le paysage commercial. Il s’agit d’une particularité forte en Lorraine de la part d’un groupe attaché à son indépendance. Le groupe E. Leclerc dépend de la centrale d’achat Scapest située dans la Marne. L’enseigne assure sa présence avec ses hypermarchés. Il est vrai que nombre d’adhérents de centres commerciaux Leclerc adoptent une stratégie de diversification en développant une offre non alimentaire assimilée de fait à des rayons externalisés (Leclerc Electroménager, Espace Culturel,...). Le groupement des Mousquetaires présente un maillage dense d’enseignes alimentaires essentiellement représentées par Intermarché. Avec ITM Entreprises EST basée à Pagny-sur-Meuse, la logique de développement repose sur une complémentarité

Des différenciations départementales marquées La structure commerciale et le niveau

fig 4. Les principales enseignes et groupes de distribution alimentaire présents en Lorraine 100

Lidl

Nombre de points de vente *

Aldi

Auchan Casino

50 Norma Shopi

10

8 à Huit

Ecomarché

Ed Leader Price

Match

Champion

Intermarché

Super U Atac

Netto

Delhaize

Leclerc Cora

Mousquetaires

Record

Auchan

Mono-enseigne

Géant Casino

Carrefour

Intermarché

Spar Marché Plus

Carrefour

Monoprix

Taille -

Taille +

Supérettes

* surface de vente >300m²

Discomptes

avec un minimum de 5 unités par enseigne sauf hypermarchés (2 unités)

Une proximité à géométrie variable Le commerce de proximité fait partie de l’espace de vie quotidien des ménages. Pourtant la notion de proximité est très relative. Elle varie selon le lieu d’habitation, l’âge, la composition des ménages, leur statut économique et leur propension à se déplacer. C’est moins le com-

Supermarchés

Hypermarchés

source : CCI Lorraines - janvier 2008 - LSA - DCASPL 2006

merce de proximité que la proximité du commerce qui est recherchée par les consommateurs. Depuis quelques années, les enseignes de distribution s’efforcent de reconquérir des marchés de proximité dans les quartiers denses des villes où l’offre commerciale a diminué. Mais qu’en sera-t-il pour les espaces ruraux peu denses avec une population vieillissante

captive d’une offre qui se réduit ? Dans un contexte de mobilité généralisée, la proximité se fonde aussi sur la capacité à capter un flux sur des lieux de transit comme les plateformes intermodales de voyageurs . Enfin, les usages d’internet et du téléphone mobile offrent aussi de nouvelles capacités à recomposer une proximité virtuelle et fluide. Chambres de Commerce et d’Industrie de Lorraine

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Commerce en Lorraine

n°2 - juin 2008

fig 5. Densités commerciales par département 45,3

France

159,2

84,5

Lorraine

147,3

120,5

107,7

Vosges

89,2

Moselle Meuse

79,3

Meurthe-et-Moselle

66,8

355, 8

7,6

187,8

3,7

171,4

(1)

396,4

175,9

121,0

5,6

397,7

187,6

127,4

460,5

168,6

5,2

Discompte Supermarché

377,8

Hypermarché

0

50

91,6

100

199,5

150

200

250

7,6

300

350

365,6 400

Magasin populaire 450

500

Densités commerciales en m² pour 1000 habitants source : CCI Lorraines - janvier 2008 - DGCCRF 2008 ( ) ¹ Population de référence : Insee - 2006 publiée en janvier 2008 - Population sans double compte

Deux départements lorrrains bénéficient d’un niveau d’équipement proche de la moyenne nationale. En Meurthe-et-Moselle, la présence des hypermarchés est forte avec pour corollaire une sous-représentation des supermarchés et des discompteurs en particulier. La Meuse, pourtant fortement rurale, n’affiche pas de présence marquée des supermarchés en général. Elle s’avère bien pourvue en hypermarchés situés sur les agglomérations de Verdun et de Bar-le-Duc. Le département de la Moselle et surtout celui des Vosges se caractérisent par leur densité commerciale alimentaire élevée.

fig 6. Le maillage en grandes et moyennes surfaces alimentaires en Lorraine Longwy

Thionville Forbach Verdun Sarreguemines Metz

Bar-le-Duc

Toul

Sarrebourg

Nancy

Lunéville

Hypermarchés > 10 000m² 5000 - 9999m² Saint-Dié Epinal

<5000m² Supermarchés Classiques Discomptes

0

10

Limites départementales

20 km

Remiremont

Epinal

d’équipement commercial des départements lorrains révèlent des profils contrastés. Globalement la Lorraine présente un niveau d’offre commerciale sensiblement supérieur (396,4m²/1000 hab.) à celui enregistré à l’échelle nationale (355,8m²/1000 hab. hors DOM-TOM) et surtout des disparités structurelles importantes (fig 5.) . En Lorraine, la présence des supermarchés est en retrait contrairement aux hypermarchés et surtout aux discomptes dont la densité est presque deux fois plus forte que dans le reste de la France. Dans ce secteur de la distribution, la demande d’implantation des enseignes demeure élevée en Lorraine.

Principaux pôles urbains polarisant les aires urbaines Aires urbaines (insee 1999)

En Moselle, la taille et la diversité des marchés de consommation autorisent des formes de distribution plus variées notamment dans le commerce alimentaire spécialisé. Dans les Vosges, la polarisation des territoires par de nombreuses petites villes et le cloisonnement des vallées ont créé de nombreux bassins de vie de proximité. Cette situation a conduit à multiplier les implantations des supermarchés et les occasions d’accroître la concurrence. Ce département se singularise par la plus forte proportion de discomptes en Lorraine

source : CCI Lorraines - janvier 2008 - DGCCRF 2008

Définitions • Hypermarchés Magasins de détail non spécialisés qui réalisent plus d’un tiers de leur chiffre d’affaires dans la vente de produits alimentaires et d’une surface de vente égale ou supérieure à 2500m². • Supermarchés Magasins de commerce de détail non spécialisés qui réalisent plus des deux tiers de leur chiffre d’affaires dans la vente de produits ali-

mentaires, et d’une surface comprise entre 400 et 2499m². • Supérettes Elles exercent une activité de commerce de détail non spécialisé réalisant plus du tiers du chiffre d’affaires dans la vente de produits alimentaires, et d’une surface de vente comprise entre 120 et 400m² • Maxidiscompte Les magasins de discompte alimentaire sont

Commerce en Lorraine

Comenmerce Lorraine

Ce document est réalisé par les Chambres de Commerce et d’Industrie de Lorraine avec l’appui de la Chambre Régionale de Commerce et d’Industrie de Lorraine. Prochain numéro : n°3 - Le bilan de régulation commerciale en Lorraine 1997-2007

des libre-services alimentaires exploités sur des surfaces généralement comprises entre 400 et 800m² en moyenne et proposant un assortiment limité aux produits de base. • Magasins populaires Magasins qui exercent une activité de commerce de détail non spécialisé à prédominance alimentaire réalisant entre un tiers et deux tiers de leur chiffre d’affaires dans la vente de produits alimentaires, et d’une surface de vente comprise 400 et moins de 2500m².

Contacts : CRCIL 10, viaduc J-F Kennedy CS 4231 54042 NANCY CEDEX Tél : 03 83 90 13 13 Fax : 03 83 28 88 33 www.lorraine.cci.fr Chambres de Commerce et d’Industrie de Lorraine

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