CAMPING 20I3
Dossier de prĂŠsentation 17/05/12
En 2013, la capitale européenne de la culture accueillera 10 millions de visiteurs. Un flux important auquel il faudra proposer différentes capacités d’accueil. Hôtels, bed and breakfast, appartement à louer, auberge de jeunesse, Marseille étoffe sa capacité d’accueil. Mais aucun camping à moins de 30km de la cité phocéenne.
De ce manque, nous en avons fait un rêve.
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Notre projet :
Ouvrir un camping en plein centre de la capitale européenne Notre défi :
Notre camping ne se contentera pas d’améliorer et de diversifier l’offre de logement de la ville mais proposerait une expérimentation singulière d’habiter une ville et d’aborder un évènement culturel. Objectif : créer les outils du vivre ensemble, de la convivialité, de la fête, de l’esprit d’initiative et de l’échange culturel et artistique.
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Fonctions Hébergement - Des cabanes urbaines proposant des couchages de 1 à 4 personnes dont la conception serait confié à des artistes, architectes, designers. - Une aire de bivouac pour tentes ou camping-cars.
Des commodités Sanitaires, douche, vaisselle….
Un espace de convivialité Restauration, animation, loisirs, représentation
Un espace polyvalent Espace de performance, ateliers de production, collecte et stockage de matériaux
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Workshop Cette plateforme fera l’objet d’un workshop de conception regroupant des artistes de différents domaines dont les démarches individuelles ou collectives convergeront vers la réalisation de ce projet commun. Les expérimentations sur la mise en œuvre de formes urbaines atypiques en Europe est aujourd’hui très riche. Il est question ici, en croisant ces savoirfaire, de leur proposer la thématique commune de « la ville fantaisie » dont l’approche ludique ira à la rencontre d’une grande diversité de public autour de la culture populaire.
Animation Une fois en place, ce camping éphémère, de 3 à 6 mois pendant la période estivale, devient polyvalent. Il est conçu pour accueillir une partie de la programmation du OFF de Marseille 2013 et lui servir de base. Son fonctionnement vise un autofinancement de son coût de fonctionnement. L’idée est que les recettes d’hébergement et de repas des visiteurs puissent financer la production des résidences artistiques. Les coûts d’hébergements et de bouche des artistes réduits au maximum par l’offre du « Camping 2013 ». Visiteurs et artistes partageront un quotidien allant plus loin que le simple rapport acteur-spectateur.
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Le camping, une forme populaire à réinventer Forme populaire liée au développement du tourisme de masse dans les années 60, le camping constitue aujourd’hui le moyen d’hébergement temporaire préféré des familles. Pour autant, le camping et plus largement l’architecture nomade, pose la question de la frontière entre le loisir et la précarité. De ces démarches prospectives émergent des solutions pratiques et innovantes. La question que pose l’appropriation de lieux par des formes d’architecture performative et d’urbanisme temporaires, fait partie depuis quelques années des champs d’investigation où se rencontrent des domaines tels le design, l’architecture, l’art contemporain, le théâtre de rue … Cette scène émergente est maintenant toujours représentée dans les grands événements culturels. Chaque expérience nourrit la réflexion sur nos modes d’habiter et notre culture urbaine.
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Le Camping 2013 s’inscrit à l’intersection de ces deux mouvements. Pour répondre aux multiples désirs d’un touriste qui souhaite profiter de la cité phocéenne en ébullition culturelle, le Camping 2013 propose donc plusieurs formules d’hébergement : • Une « classique », où l’on trouvera des emplacements pour tentes voire camping car. • Une « expérimentale », où l’on pourra disposer de structures architecturales conçues par des artistes du monde entier. Son fonctionnement sera étroitement liés aux nouvelles technologies de l’internet et de la gestion des fluides. Le camping sera doté d’un espace dédié à la réalisation d’une programmation artistique construite comme une interface culturelle poreuse avec la capitale européenne de la culture. Il deviendra alors un véritable lieu culturel où se mêleront plusieurs activités artistiques, de l’art contemporain, du design, ou de l’architecture. Chacun des intervenants aura une réflexion à part entière concernant la micro-architecture et l’architecture nomade. Le Camping 2013 ne sera plus un camping comme les autres mais un véritable lieu d’expositions, de créations et de représentations artistiques. Il sera alors un lieu de vie à part entière et non plus seulement « l’ endroit à dormir ». Un espace événementiel. Ephémère, modulaire, il permettra pendant 4 mois de réinventer la ville dans la ville, comme une projection fantasmée de ce que pourrait être la cité phocéenne radieuse.
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Le camping, entre écologie et économie La localisation dans l’aire urbaine marseillaise du camping permettra aux utilisateurs de ce dernier de jouir pleinement du territoire en proposant l’utilisation des transports en commun. Ce camping doit donc être à proximité d’une ou plusieurs lignes de bus, d’une ligne de métro, d’une ligne de tramway ou même d’une gare de bateau-bus. Afin de réduire son empreinte énergétique au sein de l’écosystème qu’il occupera, le camping produira au maximum sa propre énergie. Une étude sur la gestion de l’eau sera menée : traitement et récupération des EP et EU, raccordements aux réseaux publics, flexibilité du camping,... Les constructions réalisées in situ par les artistes le seront le plus possible en matériaux recyclés. Une zone de stockage et de collecte de matériaux recyclés sera à la disposition des artistes. Une monnaie spécifique, le Gaston, sera mise en place dans l’enceinte du camping. Elle permettra de payer les services, les commerces.
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Le camping, entre matériel et virtuel En 2013, Marseille sera la terre d’accueil d’un nouveau tourisme, celui de l’événementiel culturel et technologique. Consultant le programme de la capitale européenne sur leur smart phone, les touristes parcoureront la ville pour aller d’une exposition à un spectacle en passant par la visite d’un quartier historique ou une promenade dans les calanques. En 2013, les visiteurs qui séjourneront dans la cité phocéenne se comporteront alors en nomade technologique. La plateforme numérique constituée autour du camping servira de relais d’informations et de support d’une certaine vision artistique (nuage). Elle aura aussi un rôle prépondérant dans l’organisation du camping puisqu’elle permettra à la fois au campeur de réserver son emplacement et aux organisateurs d’anticiper les morphologies possibles du camping.
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Un camping artistique sur l’ancien site de la fiesta des suds Le quartier d’Arenc se situe en plein coeur de l’opération Euroméditerranée, projet phare de transformation de la ville de Marseille. Si les building se construisent depuis plusieurs années pour redéfinir la skyline de Marseille, le quartier n’en demeure pas moins marqué par une mixité urbaine, une empreinte industrielle et une activité portuaire symbole de l’identité maritime de Marseille. Le site des Docks des Suds représente, dans ce perpétuel chantier, un repère stable où est revitalisé, chaque automne, la scène culturelle de Marseille. Planter le camping dans l’ancien Docks des Suds permet de s’inscrire aux croisements de ces histoires. C’est aussi donner au camping une vocation profondément urbaine qui déplace la fonction estivale du Camping sur une expérience urbaine et artistique
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C’est enfin bénéficier des infrastructures de transport (tramway) facilitant l’accès au site, un délimitation précise (les containers servent de «clôture» ainsi que les structures existantes des Docks des Suds (sanitaire, eau, électricité, salle de concert). C’est définitivement un espace fantastique pour inspirer les artistes conviés à créer des habitations éphémères et offrir aux touristes l’opportunité de vivre une expérience urbaine inoubliable. Le projet du camping du OFF a d’ores et déjà reçu le soutien de l’équipe de Latissimo, qui gère les Docks des Suds.
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Module d’échaffaudage 6x6m = 36 m2 Hébergement 37 modules
Accueil, technique et affichage Commodités Douches, linge et vaisselle
escaliers
convivialité Restauration, bar, espace polyvalent
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Notes sur l’éco-gestion du camping Il s’agit dans cette approche de réfléchir dans la construction et le fonctionnement du camping à la réduction de son impact environnemental. Au pied de la tour CMA CGM sur un terrain appartenant à Euroméditerranée en bout de ligne d’un transport en commun et aménagé pour recevoir la FIESTA DES SUDS depuis de nombreuses années, le site bénéficie de nombreux atouts intrinsèques réduisant les pistes de réflexion possibles autour des enjeux environnementaux d’un camping implanté là pour une durée de quelques mois. Néanmoins quelques pistes de recherche pour étayer la recherche d’un mieux vivre ensemble ont pu être identifiés.
Energie Le site urbain est alimenté en électricité depuis le réseau. Il est sur cette base là, et sur une durée réduite d’utilisation, peu intéressant et économiquement peu justifiable de réfléchir à une autonomie complète du camping d’un point de vue énergétique. Le réseau EDF sera donc la source principale d’énergie du camping pour ses différents usages. - Cuisson, avec possibilité de recourir ponctuellement au bois ou au gaz. - Eclairage et mise en lumière des différents espaces d’accueil, d’hébergement, d’atelier et de pratique artistique, de circulation. - Eau chaude sanitaire, l’électricité venant en appoint d’une installation solaire de chauffage de l’eau. - Technologie informatique et internet. La démarche de gestion de l’énergie prend donc deux axes : La réduction des besoins : - Mise à disposition d’un nombre limité de kWh/emplacement/jour. - Absence de dispositif de chauffage ou de rafraichissement des espaces de vie ou d’accueil, le confort hygrothermique étant envisagé par des dispositifs passifs.
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- Réflexion menée sur les dispositifs d’éclairage de sécurité et de circulation par un balisage doux des cheminements. Le recours aux énergies renouvelables pour des usages restreints et adaptés : - Recours à la technologie photovoltaïque autonome pour des petites puissances, par des spots et balises solaires individuelles pour les cheminements et le marquage des lieux. Une expérimentation est envisagée de recourir à des dispositifs phosphorescent ou fluorescent ou bioluminescent. - Recours au chauffage solaire de l’eau chaude sanitaires pour les douches, la vaisselle de la partie hébergement. - Des dispositifs simples et efficaces favorisant le recyclage de déchets sont envisagés pour cette production d’ECS solaire, de type thermosiphon monobloc ou auto-stockeur en série. - Le bois pour une partie de la cuisson des aliments.
Eau Dans un camping l’eau représente un enjeu important notamment en climat méditerranéen et d’autant plus suite à l’accueil par Marseille en 2012 du forum mondial de l’eau. Là encore, le site bénéficie de tous les réseaux nécessaires à un bon fonctionnement.
De l’eau potable alimente le site, des toilettes aux normes pour l’accueil du public sont implantées et un raccordement à l’égout pour l’évacuation des eaux usées existe. Que faire alors pour un camping dont les besoin en eau seront : - Les douches nécessitant une eau de qualité irréprochable - La vaisselle idem - Les toilettes ne nécessitant pas forcement une eau potable mais qui aujourd’hui sont alimentés par le réseau EP de la ville. L’implantation de ces différents organes nécessaires au bon fonctionnement du camping est réfléchie et envisagée autour du cycle de l’eau afin de réduire les consommations de cette ressource qui n’est pas inépuisable du tout. L’enjeu est d’arrêter d’utiliser de l’eau potable pour évacuer les excréments. Il est donc envisagé le recyclage des eaux grises issues des douches et de la vaisselle après filtrations adaptées pour alimenter les sanitaires. Ce recyclage permettant d’envisager une vraie réduction des consommations d’eau potable.
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Déchets Toute société ou groupe d’individu dès qu’il vit sur un territoire défini y fait entrer des produits matériaux ou matière à consommer et en évacue des déchets. Implanté en milieu urbain à Marseille le site bénéficie de l’enlèvement des ordures ménagères ainsi que des bornes d’apports volontaire pour le tri sélectif. Le troisième enjeu d’éco-gestion du camping est la réduction du volume de déchets évacué, par la valorisation au maximum, après un tri optimisé, au travers de l’atelier et de la zone de création artistique.
Matériaux Echafaudage métalliques : rapidité de montagedémontage, mise en sécurité et aux normes éprouvées. Adaptabilité à la pente du terrain Ballons et cuves métalliques peints en noir issus des chauffe-eaux récupérés en déchetteries ou dans les rues : ballon tampon pour la production d’ECS. Menuiseries recyclées et valorisées autour des cuves métalliques peintes en noire : effet de serre et augmentation du rendement de la production d’ECS solaire. Voiles ou toiles perforées de couleur claire : protection à l’ensoleillement et au vent, protection visuelle, réduction de l’impact de la pluie.
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Phasage
Phase 1
Phase 2
Phase 3
Montage de projet
Construction
Exploitation
Juin 2012 > FĂŠvrier 2013 (9 mois)
Mars > Mai 2013 (3 mois)
Juin > Septembre 2013 (4 mois)
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Equipe
Nicolas Detrie
Olivier Bedu
Eric Pringels
William Martin
Montage et pilotage du projet
Conception
Programmation artistique et communication
Ingénérie HQE
Diplômé ESSEC MBA – Chaire d’Economie Urbaine – en 2006
Développe un travail sur la question du mobilier urbain et de l’appropriation de l’espace public.
Diplômé d’architecture, graphiste et webdesigner. Il conçoit et réalise des identités, des sites internet, des scénographies ainsi que des signalétiques.
Depuis Juin 2007, il dirige les Ateliers Internationaux de Maitrise d’œuvre urbaine (Cergy-Pontoise), association / réseau international constitué d’universités, de professionnels et de décideurs qui, à la demande de maîtres d’ouvrage, organise des ateliers internationaux sur des sujets d’aménagement urbain ou de développement territorial.
Réalise des projets d’architecture temporaire avec le collectif «Cabanon Vertical» dont il est cofondateur. Il conçoit des projets architecturaux avec son agence Struc Archi. Il collabore avec des artistes (Tadashi Kawamata, Krijn de Koning) pour la réalisation d’œuvres pérennes.
Après des études de biologie et de chimie à l’université, il fait un passage à l’école d’architecture et de paysage de Bordeaux et rencontre Robert Celaire son mentor depuis. Il à collaboré avec l’agence ARM Architecture de Matthieu Poitevin et occupe actuellement le poste de Chargé d’affaires QEB et maîtrise de l’énergie chez G2I Ingénérie
www.ateliers.org/
www.lecabanonvertical.com www.strucarchi.com
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Membre fondateur du OFF de Marseille 2013, il cherche, développe et accompagne les projets et leurs auteurs.
www.marseille2013.com
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Partenaires
MycityLab
Les Docks des Sud
Protocoles Meta
Artstock
MyCityLab est une plate-forme communautaire et territoriale créée par les membres du réseau ECAS (European Cities for Advanced Sound) dont le but est d’encourager le citoyens à l’action locale et participative. Mycitilab invite les citoyens à débattre de leur environnent. Il les assiste en suggérant des solutions et les aide à promouvoir leur idées favorites.
Depuis 1997, l’association Latinissimo est installée au Dock des Suds, ancien bâtiment portuaire, transformé en médina de 6000 m2 et y organise des évènements qui visent à valoriser les cultures du Sud, créer du lien social et favoriser les métissages et les mélanges.
Les « protocoles méta » sont des ateliers organisés par Jean-Paul Thibeau, professeur à l’Ecole des Beaux Arts d’Aix. Ils prennent pour hypothèse de départ d’être un mode d’agir, de faire, pour surmonter les procédures habituelles d’exposition, de performance ou de spectacle. Artistes, commanditaires et publics sont mobilisés pour expérimenter ensemble.
Crée par cinq professionnels issus du milieu du spectacle vivant, l’association ArtStock récupère, stocke, valorise et transforme les décors et accessoires destinés à la poubelle afin de les réinjecter dans de nouvelles productions artistiques.
www.dock-des-suds.org
www.artstock.fr
www.protocolesmeta.com
www.mycitylab.eu
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Phasage - Budget Phase 1 - Montage de projet Juin 2012 > Février 2013 (9 mois)
Dépenses
Volontariat
13 560 €
82 jours
Subvention de lancement (1/2) 72 jours 7 560 €
Assistance juridique
3 000 €
Etudes techniques
3 000 €
10 jours
185 250 €
540 jours
Phase 2 - Construction (35 emplacements) Mars > Mai 2013 (3 mois) Subvention de lancement (2/2)
60 000 €
Réseau électricité propre + raccordement
15 000 €
Réseau eau + installations douches
15 000 €
Palissade et autres aménagements du sol
10 000 €
Finition : budget 1000 € par emplacement en moyenne
35 000 €
Force de travail : 30 personnes sur 3 semaines
+ récup 540 jours
Accueil des 30 personnes sur 3 semaines (25€/j)
20 250 €
Eléments Cuisine
20 000 €
Phase 3 - Exploitation Juin > Septembre 2013 (4 mois)
180 000 € 80 000 €
Location planchers et structure Layher
Etudes techniques et autres
20 000 € 20 000 €
Gestion du projet : mise en place d’une structure dédiée, recherche de partenariats, réalisation des plans, mise en œuvre juridique, devis, communication... (2j / semaine) 2 stagiaires
Recettes
10 000 € 168 000 €
1200 jours
342 600 €
Recettes hébergement : 35 emplacements x 6 personnes x 15 euros x 50% d’occupation x 120 jours
189 000 €
Recettes restauration : 80 repas x 2 x 8 euros x 120 jours
153 600 €
Gardiennage / Maintenance (4 SMIC)
24 800 €
Direction du camping (2 ETP)
32 000 €
Coût cuisine : 3 SMIC + 2 euros / repas
63 200 €
Consommation Eau / Electricité (3000 € / mois)
12 000 €
Matériel
12 000 €
Accueil / Cuisine (10 volontaires en permanence) Défraiements des volontaires Divers taxes Phase 4 - Finalisation - Octobre 2013 (1 mois)
1200 jours 14 000 € 10 000 € 169 810 €
Frais de démontage (+ volontaires)
10 000 €
TVA
34 810 €
Autres imprévus
15 000 €
Frais bancaires Total (hors emprûnt)
0€ 20 jours
20
10 000 € 336 620 €
1822 jours 300 €/j 546 600 €
342 600 €
Contact
Nicolas DĂŠtrie
Olivier Bedu
Eric Pringels
06 28 32 44 64
06 87 38 54 77
06 09 31 57 61
nicolas.detrie@gmail.com
bedu.olivier@gmail.com
eric@marseille2013.org
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