Revue de presse mai 2016

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REVUE DE PRESSE LOUVIGNY

1 mai au 31 mai 2016

La commune s'engage dans une collaboration avec le Niger Louvigny - Publié le 06/05/2016 / Ouest France

Patrick Ledoux, maire, et Michelle Bresson, présidente d'Eau vive Normandie, ont signé la convention de partenariat. | Lundi soir, le conseil municipal a officialisé un partenariat avec l'association humanitaire Eau vive Normandie, dans le cadre d'une politique de coopération décentralisée avec le canton de Kornaka, au Niger.

« La commune avait le souhait de s'impliquer dans un projet avec le Niger. Après la participation de représentants du conseil à plusieurs réunions du comité de pilotage pour préparer un programme triennal, approuvé par le ministère des Affaires étrangères, Louvigny rejoint les communes de Castillon-en-Auges, Ifs, Colombelles, Mézidon-Canon et Mondeville, en déléguant la maîtrise d'oeuvre à l'association Eau vive Normandie. » Proche de la frontière avec le Nigeria, le canton de Kornaka compte une population d'environ 400 000 habitants pour une superficie équivalente à celle du Calvados. Michelle Bresson, Danièle Robergé et Hélène De La Porte, représentantes d'Eau vive Normandie, créée en 2008, ont présenté les actions pour 2016-2019. « Le programme, établi sur trois ans, vise à appuyer le développement local dans


le canton de Kornaka, de façon transversale, tout en apportant au territoire normand une ouverture sur le monde. Il s'articule autour de cinq volets : renforcement des capacités institutionnelles, animation du territoire et ouverture sur le monde, insertion socio-économique de tous les citoyens, appui à la sécurité alimentaire dans le canton de Kornaka, et accès à l'eau potable et à l'assainissement. L'ambition est de tendre à davantage de réciprocité dans la mise en place des projets avec l'ensemble des partenaires. » La commune s'est, par ailleurs, engagée à contribuer à la réalisation de ce programme par le versement annuel d'une subvention à l'association à hauteur de 840 €, soit 0,30 € par Loupiacien.

Switch sera en concert au Camion Jazz samedi Louvigny - Publié le 12/05/2016 / Ouest France

Switch est composé de Maxime Fougères à la guitare, Fred Nardin au piano et Samuel Hubert à la contrebasse. |

Samedi, le Camion Jazz accueille Switch, trois musiciens qui font écho à de célèbres trios comme celui d'Oscar Peterson ou de Nat King Cole. Un équilibre musical évident aussi présent dans le choix du répertoire : quelques standards connus ou moins connus revigorés, mêlés à de belles compositions originales. Leurs arrangements et leurs solos sont du même niveau : capiteux, charpentés et subtils.

Samedi 14 mai, à 21 h. Tarifs : 5 €, 7 € et 9 €. Réservations et renseignements : 02 31 97 03 21.


L'Atelier de l'horloge en concert à l'église dimanche Louvigny - Publié le 13/05/2016 / Ouest France

Bach, Schütz et Carissimi seront au programme de l'Atelier de l'Horloge. |

Douze choristes composent l'ensemble vocal de l'Atelier de l'horloge. Dirigé par Blandine Jeannest, qui s'appuie sur son expérience de soprano concertiste, cet ensemble s'apparente aux formations de l'époque baroque. Chaque musicien porte, individuellement et collectivement, l'interprétation des oeuvres. Dimanche, accompagnés de Slava Chesliakov à l'orgue, ils interpréteront le Magnificat de A. Schütz, la Cantate BWV21 de J.-S. Bach, ainsi que l'oratorio de G. Carissimi, Jephté.

Dimanche 15 mai, à 18 h, à l'église Saint-Vigor de Louvigny. Tarif : 10 € (gratuit pour les moins de 18 ans et les étudiants du conservatoire).


Louvigny. Trois partenaires malgaches puisent des idées pour l’eau Louvigny - Publié le 22/05/2016 / Ouest France

La délégation malgache a été accueillie, vendredi soir, par le maire, Patrick Ledoux et la présidente d’AMN, Nicole Bars. | Ouest-France

Ouest-France

Trois partenaires malgaches sont accueillis, depuis vendredi 20 mai 2016 et durant onze jours, par l’association Amitié Madagascar Normandie (AMN), à Louvigny.

Raulan Razafinandrasana, député du district de Vatomandry ; Maurille Rasoloniaina, maire de Niarovana, et Harifera Ratsaramiafara Ny Havana, directeur d’une entreprise de forage de puits, présentent un projet de développement autour de l’eau, élaboré en collaboration avec Amitié Madagascar Normandie (AMN). Ils témoignent :"La côte est de Madagascar est une région chaude et humide. Le problème n’est pas la quantité d’eau mais sa qualité et sa mise à disposition. L’eau, souvent non potable, entraîne un taux de mortalité élevé lié notamment aux maladies parasitaires. Hormis les problèmes de salubrité, il y a beaucoup d’eau stagnante qui alimente la prolifération de moustiques et donc un taux élevé de paludisme. Le fort taux de décès dû aux attaques de caïmans lorsque la population va puiser de l’eau aux rivières."


La 2e édition du Full débute par un apéro concert Louvigny - Publié le 24/05/2016 / Ouest France

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Bow Low, un groupe surprenant et attachant aux influences généreuses. | D.R.

Samedi, à la salle des fêtes de Louvigny, Cyril Savin lance le Festival unplugged live Louvigny. Une programmation éclectique où l'acoustique est de rigueur. Créé en 2015 par une bande de passionnés de musique, le Festival unplugged live Louvigny (Full) retrouve ses terres loupiaciennes pour une soirée 100 % acoustique. Une deuxième édition présentée par Cyril Savin, régisseur du festival. « Après un premier essai transformé en octobre 2015, l'équipe du Full a décidé de renouveler l'aventure en 2016, mais avec une date printanière et donc l'espoir d'une météo de circonstance pour profiter au maximum du site formidable, sur les bords de l'Orne à Louvigny. Artistes, mais aussi spectateurs, bénéficieront de deux scènes, dont une couverte en extérieur et l'autre, en intérieur. » Nouveauté pour cette année, un début de soirée dès 18 h, avec un apéro concert, avant de laisser place à six artistes locaux et nationaux qui n'ont qu'une seule consigne : adapter leur répertoire en version acoustique. « La programmation éclectique reflète les choix et les goûts musicaux de l'association avec, pour objectif, de faire plaisir au plus grand nombre. Ce rendez-vous familial est accessible à tous. » Au programme : la jeune lyonnaise, Buridane, et son grain de voix pop et chaleureux ; Jahen Oarsman, bercé par un univers folk rock ; l'inclassable Bow Low, qui oscille entre la pop, le rock et le western ; Fanny DX et ses accords de guitare mêlant pop, rock et parfois soul ; Simawé à l'accent reggae teinté de folk et mâtiné de groove.



Le Full 2e édition a fait le plein de sensations Louvigny - Publié le 30/05/2016 / Ouest France

Bow Low avait délaissé ses instruments électriques pour une version acoustique de son répertoire. |

18 h 30, samedi, dans le cadre calme et champêtre des rives de l'Orne, le public, déjà nombreux, applaudit aux premiers accords de guitare pop-rock de Fanny DX. La deuxième édition du festival Unplugged live Louvigny (Full) est lancée. Six heures plus tard, après une belle programmation qui a vu se succéder le groupe régional Bow Low, aux chansons oscillant entre rock, pop et western, la voix faussement sucrée de Buridane, qui a fait forte impression sur le public, l'univers folk rock redoutablement opérant et fascinant de Jehan Oarsman, le festival a éteint à regret le son et ses lampions sur le reggae énergique et mâtiné de groove de Simawé. « Une soirée originale par son choix du tout acoustique, servi par un son de très bonne qualité. L'endroit est magique et propice à la musique acoustique qui prend toute sa dimension dans un cadre bucolique. Si l'on ajoute à cela une programmation offrant une palette de talents éclectiques et une ambiance conviviale renforcée par une organisation sans faille, le Full fait le plein de sensations », de l'avis même de Pascale, une spectatrice qui découvrait le festival.


222 cyclistes ont participé au brevet de La Loupy cyclo Louvigny - Publié le 30/05/2016 / Ouest France

Deux circuits dont un de 60 km (en direction de la plaine sud de Caen) et un autre de 80 km (au coeur de la vallée de l'Orne) ont permis à 222 cyclistes de s'adonner à la petite reine, samedi après-midi, à l'occasion du brevet organisé par la Loupy cyclo. |


Caen et Agglo

Rives de l'Orne à Caen : le bilan à la veille de ses trois ans Caen - Publié le 10/05/2016 Ouest-France.

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Le centre commercial des Rives de l’Orne a été inauguré le 13 mai 2013 et ouvert au public le 14 mai 2013, au matin. | Ouest-France

À la veille de fêter le 3e anniversaire du centre commercial, ouvert le 14 mai 2013, Alice Omer, directrice depuis le 1er mars, pose un premier bilan optimiste. Entretien

Alice Omer, directrice du centre commercial des Rives de l’Orne. Vous avez pris la direction des Rives de l’Orne le 1er mars. Quelles sont vos premières impressions ? Je suis ravie de cette prise de fonction. Les Rives de l’Orne ont mangé leur pain noir. Elles ne mangent pas encore de la brioche, mais ça va venir. On y travaille avec une volonté de s’intégrer dans ce quartier en plein développement. Comment se portent les Rives de l’Orne ? Depuis septembre, les indicateurs sont très bons. En mars, la fréquentation du parking a enregistré une hausse de 25 % et celle du centre a augmenté de 15,8 % (par rapport à mars 2015) alors que la tendance nationale de fréquentation des centres commerciaux est de -2,3 % depuis janvier 2016 (par rapport à 2015). Il y a pourtant des locaux vides… Oui. Dans les galeries, cinq locaux sont vides à la suite du départ d’Alchimi, de 5e Saison (deux enseignes indépendantes), de Confo Déco, G-Star et Little Marcel.


Saccage du local du PS à Caen. La colère de Louis Mexandeau Caen - Modifié le 12/05/2016 à 10:54 | Publié le 11/05/2016 à 17:58

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Louis Mexandeau. | Ouest-France

Le local a été entièrement saccagé. | Jean-Luc Loury


Après le saccage du local, mardi soir, rue Paul-Toutain, Louis Mexandeau, ancien ministre de François Mitterrand, a fait part de son indignation et de sa tristesse.

Il fait le tour un à un de tous les cadres brisés et mis à terre mardi soir par un commando d'une quarantaine de personnes : François Mitterrand, Pierre Bérégovoy, Salvador Allende, Maurice Fouque, Jules Guesde et bien d'autres. L'infatigable militant socialiste Louis Mexandeau n'avait pas de mots assez durs ce mercredi après-midi pour condamner les actes qui ont mis à sac le local du Parti socialiste du Calvados.

Outre l'exposition, toutes les salles du local ont été dégradées, les armoires vidées, les murs tagués, des pots de peinture renversés...

Une plainte a été déposée dès mardi soir par Christophe Le Foll, premier fédéral, dégoûté face à de tels actes. « On peut combattre avec les mots et c'est ce que nous faisons, car, à titre personnel, je désapprouve le recours du gouvernement au 49-3. Mais rien ne peut justifier une telle violence. »


Beaucoup de militants et de responsables socialistes ont condamné les actes de mardi soir, le maire Les Républicains de Caen, Joël Bruneau, également.


« Caen n'a pas été détruite aux deux tiers en 1944 » Caen - Publié le 17/05/2016 à 04:53

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Une image recolorisée de 1948 montre l'étendue des dégâts entre l'église Saint-Jean et l'église SaintPierre. | Archives départementales recolorisées

La thèse d'un géographe pose un regard nouveau sur l'image de « Caen, ville détruite » par les bombardements. D'après lui, un tiers seulement de la ville aurait disparu sous les décombres. Patrimoine Caen, ville détruite à 75 % serait donc un mythe ? Les travaux d'un géographe de 34 ans apportent un regard aussi neuf que passionnant sur la question. Au bout de 850 heures de travail, Romain Stepkow bouscule les préjugés en affirmant, documents à l'appui, que « seulement un tiers des bâtiments a disparu sous les bombardements ». « Avant-guerre, les 25 km2 de Caen intra-muros abritaient 14 000 bâtiments. 4 000 ont été détruits par les bombardements, soit un tiers des bâtiments. » Selon lui, le traumatisme couramment véhiculé viendrait de ce que les livres d'Histoire se seraient un peu trop attardés sur la zone située « entre la gare et le château, et la Prairie et le quai Vendeuvre. Or, il faut prendre en compte tout le secteur du Bourg-l'Abbé jusqu'à la mairie, la rue Caponnière jusqu'à Venoix, et toute la rive droite aussi. » Le mythe serait par trop focalisé sur l'hypercentre ? « Oui, encore que le centre ancien, allant de la rue Saint-Pierre à la rue Caponière, n'a pas été si touché. Cette focalisation sur l'hypercentre a accentué l'imaginaire d'une ville presque entièrement détruite. Or, si on dézoome les perspectives à la bonne échelle, on se rend compte que 10 000 bâtiments étaient encore debout, même si certains étaient sérieusement endommagés, après les bombardements. » Pour en venir à ces conclusions, ce géomaticien proche de Cadomus, l'association qui a entrepris de reconstituer le Caen de 1936 en 3D, a établi une base de données cadastrales (bâtiment par bâtiment) pour comparer la tache urbaine du Caen d'avant-guerre avec celle de l'après-guerre. Avec un logiciel, il a aussi déterminé l'emprise au


sol de chaque bâtiment au mètre carré près. « Grosse coïncidence, ces deux études comparées en arrivent à la même conclusion : le tiers de la ville. » Un tiers des bâtiments, deux tiers des logements Pour les historiens, ce ne sera peut-être pas un scoop. Mais « son travail scientifique va confirmer ce qu'un certain nombre d'historiens ressentaient, salue l'historien Philippe Lenglart. Il est admis qu'un tiers des bâtiments ont probablement disparu, alors que deux tiers des logements ont été détruits. Des logements principalement compris dans la fameuse coulée entre le Calvaire-Saint-Pierre et le Cygne-de-Croix, avec de gros dégâts en sus à Vaucelles. » Un tiers des bâtiments, deux tiers des logements : c'est donc de cette nuance que viendrait souvent la confusion. Ce compromis ne satisfait pas parfaitement Romain Stepkow. « Yves Guillou, le maire d'après-guerre, disait lui-même que s'il avait fallu se fier à tous les dossiers de sinistrés, la rue Saint-Jean aurait été trois fois plus longue, tellement de nombreux habitants ont surévalué la taille de leur logement pour être relogés dans de bonnes conditions. Les statistiques cadastrales sont plus pertinentes. » Sous-entendu : c'est elles qui devraient faire foi. Sur la base de 350 photos de la Royal Air Force et de nombreuses cartes IGN, Romain Stepkow a déjà quasi bouclé la restitution en 2D du Caen d'après-guerre. Mais ses intentions sont encore plus grandes. Il compte s'attaquer à la version 3D de Caen et son agglomération. « Une sorte de Google Earth de Caen et sa région au lendemain de la guerre. »


Maisons de retraite autour de Caen : le palmarès de l'UFC-Que choisir

L'association de consommateurs vient de publier une nouvelle enquête qui met en concurrence 20 maisons de retraite de Caen et de son agglomération. La déclinaison locale d'un test national qui porte sur 1047 établissements dans tout l'Hexagone. 18/05/2016 / Liberté

La carte des maisons de retraite autour de Caen, notées par l'UFC-Que choisir.

MONDEVILLE


EHPAD La Feuilleraie Coût moyen : 2303 € Délai d’attente : moins de 3 mois Chambre : 3 Locaux : 3 Vie quotidienne : 3 Accueil : 3 TOTAL étoiles : 12 LOUVIGNY EHPAD Maison du Coudrier Coût moyen : 2518 € Délai d’attente : moins de 3 mois Chambre : 3 Locaux : 3 Vie quotidienne : 3 Accueil : 3 TOTAL étoiles : 12


A Caen, la bibliothèque centrale a définitivement tourné la page Caen - Modifié le 22/05/2016 / Ouest France

Dernier jour à la bibliothèque de la place Guillouard samedi. | Ouest-France.

Ouverte depuis le 1er octobre 1971, elle a fermé ses portes samedi soir. Avant de rouvrir sur la presqu'île à l'automne. Certains n'étaient pas au courant, d'autres n'auraient pas manqué de dire un au-revoir aux personnels devenus au fils du temps des confidents, d'autres encore, dernier jour ou pas, n'ont rien changé à leurs habitudes et sont venus consulter la presse ou leurs auteurs favoris. Les usagers de la bibliothèque du centre ville nous ont livré leurs impressions, en attendant de découvrir dans quelques mois la Bibliothèque multimédia à vocation régionale. Maintenant, place au déménagement des ouvrages.


Un projet de jardin entre Venoix et Louvigny Caen - Publié le 24/05/2016

Un jardin partagé, comme celui de Honfleur, devrait bientôt pousser dans les secteurs de Venoix, Louvigny ou Bretteville. | Archives Ouest-France

Jean-Luc LOURY.

Des habitants de Venoix, Bretteville-sur-Odon et Louvigny envisagent de créer un jardin partagé. Le projet Ce n'est encore qu'une petite graine qui ne demande qu'à pousser, mais le terrain semble fertile. Jeudi soir, des habitants des quartiers de Venoix-Beaulieu, mais aussi de Bretteville-sur-Odon et Louvigny se sont retrouvés pour évoquer la création d'un jardin partagé. « Il y a quelques mois, au sein de la paroisse Saint-Françoisdes-Odons, on avait évoqué l'idée de faire quelque chose pour la planète et qui serait une expérience humaine, explique Jean-Philippe Briand. Et on voulait aussi que ce projet dépasse le cadre de la paroisse. » Le concours de l'Ardes (Association régionale pour le développement de l'économie solidaire) a permis d'avancer le projet et d'organiser une première réunion publique, jeudi soir. « Plus de quarante participants sont venus : des personnes âgées mais aussi des jeunes couples et même un adolescent. » Et les idées ont fusé. « On ne voulait pas arriver avec un projet prédéfini mais vraiment co-construire avec tous ceux qui sont là. » Des personnes âgées, qui savent faire, sont prêtes à transmettre aux autres. Des apiculteurs sont venus aussi. Des parents ont souhaité un espace pour les enfants. Des non jardiniers mais bons cuisiniers ont proposé leurs services pour l'utilisation de la production. « On a senti une volonté de refaire des choses ensemble et de redécouvrir la terre. C'est assez stimulant », s'enthousiasme encore Jean-Philippe Briand. Le projet va poursuivre sa maturation. « Il faudra trouver un terrain, en campagne ou à la ville, on ne sait pas encore. La ville de Caen nous a déjà fait une proposition. On décidera tous ensemble. »


Le 18 juin, les acteurs de ce projet iront voir les autres exemples de jardins partagés qui existent dans la ville pour comparer les expériences. Enfin, il faudra rentrer dans le concret. Lieu ouvert ou fermé, participation régulière ou pas, choix des légumes ou fruits, la gestion de la production... « Tout se décidera de manière collective. C'est une aussi une autre forme de démocratie qu'on expérimentera. »

Chômage. La baisse se confirme dans le Calvados Caen - Publié le 25/05/2016

Le nombre de demandeurs d'emploi continue de baisser dans le Calvados. | Archives Ouest-France

Ouest-France.

Le nombre de demandeurs d'emploi dans le Calvados est encore en diminution en avril. Quelles que soient les catégories. Les chiffres du chômage en avril dans le Calvados viennent d'être publiés. Le département compte 34 470 demandeurs d'emploi de catégorie A (sans activité), soit une baisse de 0,7 % sur un mois, de 4,2 % sur trois mois et de 3,2 % sur un an. En ajoutant les catégories B et C (activité réduite), le nombre de demandeurs d'emploi dans le Calvados s'élève à 57 450 personnes. Cela correspond à une baisse de 1 % sur un mois, de 1,1 % sur trois mois et de 0,4 % sur un an.


Agglomération de Caen. ERDF s'installe sur un ancien site militaire Caen - Publié le 27/05/2016 Ouest-France.

Une vue du futur bâtiment. | Normandie Aménagement

La première pierre a été posée ce vendredi 27 mai 2016, au quartier Koenig, à Bretteville-sur-Odon. Le nouveau siège d'ERDF Normandie sera livré en 2017. Des services administratifs et techniques et près de 300 agents vont quitter d'anciens locaux, situés près de la gare SNCF de Caen, pour migrer vers Bretteville-sur-Odon. En 2017, ERDF s'installera ainsi sur une partie de l'ancien site du 18e régiment de transmission, fermé en 2010. Un bâtiment administratif neuf de 4 442 m2 de surface de plancher et 3 niveaux sortira de terre. Outre les locaux neufs, un bâtiment industriel existant (ancienne halle) sera réhabilité.


Caen. Le maire attaque le projet Ikea devant le Conseil d'Etat Caen - Publié le 30/05/2016 Ouest-France.

Ikea Centres prévoit un lac artificiel qui devient patinoire l'hiver, de nombreux commerces, une grande surface alimentaire et des lieux de loisirs. Le tout effraie beaucoup le centre-ville de Caen. | Archives Ouest-France

Joël Bruneau, maire LR de Caen, vient d'annoncer, ce lundi 30 mai 2016, qu'il déposerait un recours devant le Conseil d'Etat contre le projet d'Ikea Centres à Fleury-sur-Orne.

Comme en appel, ce recours sera une procédure conjointe de la mairie de Caen et de l'association des commerçants du centre-ville les Vitrines de Caen.

La cour administrative d'appel de Nantes avait débouté la ville de Caen et les Vitrines de Caen de leur procédure en appel, le 24 mai dernier, suivant en cela les préconisations de la Commission nationale d'aménagement commercial. L'enquête publique pour ce projet de centre commercial à l'américaine autour du magasin de meubles suédois, avec grand surface et boutiques, parc de loisirs et lac artificiel, a démarré le 20 mai et s'achèvera le 20 juin. Le document est consultable en mairie de Fleury-sur-Orne. Le projet d'Ikea Centres a été présenté en octobre 2014. Un projet à 200 millions d'euros d'investissements, comprenant un hypermarché de 10 000 m2, 15 moyennes surfaces, 70 boutiques, 18 restaurants et 5 cellules de loisirs. Un mail piéton, 708 places de parking aérien, près de 1 250 places de parking couvert autour d'un lac de 3 000 m2 y sont prévus.Un projet qui, selon Ikea, devrait générer 700 emplois directs, 350 pendant le chantier, 2,3 millions d'euros de recettes fiscales pour 7 millions de visiteurs annuels.


Palais Fontette : un diagnostic sera dressé Caen - Publié le 31/05/2016 Ouest-France.

Quel est l'état réel du palais Fontette et quel coût faudra-t-il investir pour le réhabiliter ? Une étude devra le dire. | Archives Stéphane Geufroi/Ouest-France

Quel est l'état réel de l'ancien palais de justice, place Fontette ? Une étude le dira. La proposition a été votée à l'unanimité, au conseil municipal, hier soir. Mais certains déplorent que le coût revenant à la ville de Caen, soit autant que celui de l'État et le double de celui du Département, pourtant propriétaire des locaux. Hier soir, le maire a fait adopter le projet d'une étude-diagnostic sanitaire du palais Fontette où résidaient jusqu'à la mi-21015, le tribunal de grande instance et le tribunal pour enfants de Caen. Cette étude « constituera une première mise pour envisager la reconversion du palais Fontette ». Son coût : plus de 81 335 € TTC, plus des diagnostics techniques (plomb, amiante, mérule, etc.) qui amènerait le tout à 100 000 €. L'Etat, via la Direction régionale des affaires culturelles, prendrait à sa charge 40 % ; le conseil départemental, 20 %. Prendre le temps de la réflexion « Je vous félicite d'engager une telle étude. La reconversion du palais Fontette doit être une des priorités de la Ville, compte tenu du caractère hautement patrimonial de ces bâtiments, mais aussi au regard de leur emplacement stratégique, à proximité de l'abbaye aux Hommes et de la place Saint-Sauveur », estime le socialiste Eric Vève qui ne trouve cependant pas une bonne idée, le fait de « vouloir récupérer les bâtiments pour un euro symbolique tant il me paraît financièrement risqué de prendre possession de ces bâtiments très vétustes ». « Le projet sera porté par le privé. On évoque des sommes de 40 à 50 millions d'euros pour le bâti, concède la maire-adjointe Sonia de la Provôté. Il faudra rendre une partie de ce patrimoine visible du public. Certes, on prend un risque mais le bâtiment le mérite. » Eric Vève préconise « le lancement d'un appel à projets donnant de quatre à six mois aux candidats pour présenter leurs candidatures et offres, laissant un minimum de deux à trois mois aux services pour les étudier, et prévoyant un délai de deux mois pour négocier et conclure un contrat ».


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