1860 - 1960 Machines à coudre et Jouets français
Thimonnier
EDITION:Jean-Claude LAMBINET 2007
Sewing machines and French toys
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Sommaire INTROduction.................................................3 BABY...................................................................................4 CEMP................................................................................15 elva..................................................................................16 lakner.....................................................................20 journaux..............................................................23 smj.....................................................................................26 kipic...............................................................................34 mC, PIKEKOU, macousette.............35 hurtu..........................................................................36 PREFECTO.................................................................38 lp.........................................................................................39 C.PEUGEOT & CIE...........................................40 lEGAT.............................................................................41 l’IMCOMPARABLE...........................................42 l’INCONNUE.........................................................43 hommage..............................................................44 pRESS.............................................................................45 reMERCIMENTS...............................................48
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Considérations
Si jamais une invention mérita la reconnaissance de tous, c’est, à coup sûr celle de la machine à coudre dont le propre est de servir l’humanité entière. Digne d’une perpétuation universelle est la mémoire de l’homme qui, d’un outil, a su faire un instrument de bien-être et de moralisation, un moyen de développer la fortune publique. La machine à coudre est une de ces découver tes qui marquent une étape considérable dans la marche d’un peuple vers le progrès ; c’est une de ces révolutions pacifiques dont tous les pays se disputent la priorité avec orgueil, et nous aimons trop notre patrie pour ne pas nous associer à la pensée généreuse des hommes distingués qui ont revendiqué pour la France l’honneur de cette précieuse invention. Des écrivains autorisés comme M. le professeur Meyssin ; des recherches de la Société des sciences industrielles de Lyon ; le jury de l’Exposition universelle de 1855, ainsi qu’un secours justement accordé, le 8 juin 1866, à la veuve de Thimonnier, par M. le ministre de l’agriculture, du commerce et des travaux publics, ont établi d’une manière irréfutable que l’honneur de l’invention de la machine à coudre revient tout entier à notre compatriote Barthélemy Thimonnier, né à l’Arbresles (Rhône) en 1793. Quoique défectueuse encore, la machine Thimonnier a été incontestablement le point de départ de tous ces appareils perfectionnés qui ornent à l’envie le salon ; que l’on trouve dans les chaumières comme dans l’atelier. Vainement donc, par esprit de concurrence, essaierait-on de ravir cette gloire au pauvre inventeur
français qui, bien que triomphant de son idée, ne mourut pas moins de misère à Amplepuis (Rhône), le 5 août 1857. C’est depuis que des économistes et des industriels compétents ont compris et préconisé l’œuvre de Thimonnier. Nul aujourd’hui ne met plus en doute l’utilité et l’importance de la machine à coudre ; en vain les préjugés et d’injustices préventions ont voulu la briser, elle est sortie de la lutte victorieuse et considérée. La cause de la machine à coudre gagnée, restait à résoudre le philanthropique problème de ne léser, par cette innovation, les intérêts de personne ; de mettre, au contraire, la classe si intéressante des travailleurs à même de produire plus et mieux ; par conséquent de gagner davantage, tout en augmentant les profits de ses commettants. Pour cela, il fallait perfectionner, modifier, obtenir une précision mathématique; mettre en vente des machines d’une parfaite exécution, qui, par leurs propriétés mécaniques, leur solidité, leur élégance, leur bon marché relatif, s’imposent au choix des acheteurs, sans distinction de rang, et rallient la confiance si souvent trompée. Tel est le but incessant de nos efforts et, par l’extension rapide qu’ont prise nos relations et nos opérations commerciales, par la faveur dont jouissent nos produits dans les cinq parties du monde, nous sommes persuadés de l’avoir atteint et de remplir, en même temps, un devoir sacré pour tout fabricant aussi soucieux de sa réputation industrielle que de ses intérêts.
HURTU, HAUTIN et DILIGEON EDITION:JEAN-CLAUDE LAMBINET 2007
EDITION:Jean-Claude LAMBINET 2007
SUR L’ORIGINE, ET LE PERFECTIONNEMENT DES MACHINES A COUDRE
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BABY Manufacture de jouets scientifiques Comby et Panisset 19 Rue des Filles du Calvaire Paris(3) usine :109 Rue de Paris à Ivry (seine)
*Fabrication unique en France* Machines à coudre *Baby* Moteurs à vapeur
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Machine à écrire, chaudière à vapeur, et bien d’autres jouets composent la fabrication de jouets scientifiques de cette marque leader sur le marché français. La production de machine à coudre a commencé vers les années 1920 et se terminera vers 1964.
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Représentant exclusif: M.Fadet
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BABY
On retrouve sur le manuscrit, le cercle formé de : RW. JC. LP.
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Ce brevet porte le n° 185753.
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Robert Wybo dépose un brevet le 10 novembre 1919, au greffe du tribunal de commerce de Paris.
Les initiales gravés sur la plaque aiguille correspondent à : Jean Comby - Louis Panisset - Robert Wybo
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BABY 1920 Jean Comby
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Le cercle formé de JC . LP . RW est imprimé en rouge sur le côté de l’emballage. D ’après le tarif, cette machine à coudre est assurément la première de Baby. L’année de sa mise en route remonte vers 1920. Une variante avec un volant suivra ce modèle.
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En 1937, la marque Baby distribue cette petite machine à coudre J.C dont la technique économique, pour ne pas dire rudimentaire, sera affichée sur le catalogue du Bazar de l’hôtel de ville rue de Rivoli à Paris.
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BABY Jean Comby Le fonctionnement du crochet est très particulier.
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Figure : 2 Le pied de biche appuie sur la plaque aiguille et transporte le tissu. La plaque aiguille inclinable épouse le mouvement du pied. Réglage de la longueur du point. Figure : 3 Sur la barre aiguille est gravée SGDG sous garantie du gouvernement . Un petit triangle de couleur rouge trouve sa place sur le plateau .
JC pour : Jean Comby. UNIS France.
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Figure : 1 Nous voyons l’aiguille en position de prise de boucle pousser le boucleur en arrière.Pas de mécanisme reliant la partie supérieure à la partie inférieure.
Pour: Union des Fabricants Français.
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BABY 1932 Bazar de L’Hôtel de Ville Ce modèle de machine à coudre Baby se différencie de la gamme.
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Un ressort de rappel ramène le crochet de position de prise de boucle.
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Sa came en acier se loge dans l’axe inférieur après un excentrique qui commande l’action des griffes.
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BABY 1930 Grand modèle Baby
Longueur : 28 cm Largeur : 16cm Hauteur : 20cm Matériaux : Socle et tête en fonte d’aluminium.
Deux gammes seront proposées dans les magasins parisiens. Le classique avec ses décors fleuris de couleur vert et or et le style Art Nouveau avec ses formes angulaires et un dessin abstrait de couleur or rouge et vert .
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Longueur : 23 cm Largeur : 14cm Hauteur: 16cm Socle en fonte. Tête en fonte d’aluminium
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Petit modèle Baby
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BABY Les Galeries-Lafayette en 1930 proposaient ce jouet en fonte avec son socle style Art Nouveau. Grand modèle Baby
Longueur : 23 cm Largeur : 14 cm Hauteur : 16 cm Matériaux : Socle en fonte. Tête en fonte aluminium.
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Petit modèle Baby
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Longueur :28cm Largeur : 16cm Hauteur : 20 cm Matériaux: Socle et tête en fonte.
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BABY Au Bon Marché 1926
1930
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Avec les machines N°3, 4 et 5 ce point peut être obtenu plus ou mois grand à l’aide du levier placé sous la table de couture .
1932
Dans la machine N°5, de conception toute récente, le levier se trouve sous le socle . N°5
5 Extrait de la notice de la Baby
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Nos modèles N°4 et N°5 , dont le corps et le socle sont en fonte , sont munis aux quatre pieds de tampons de caoutchouc qui leur assurent une adhérence suffisante .
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Nos modèles N°1 et 2 en tôles embouties, seront fixés sur une table au moyen du pied mobile livré avec ces modèles.
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BABY 1938
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Machine proposée au : Bazar de l’Hôtel de ville rue de Rivoli, Paris.
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Modèle luxe dans un coffret façon marqueterie
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BABY 1950 - 1964 En 1960 , corps en métal laqué, éclairage et moteur électrique, alimenté par une pile de 4.5v, sur un socle en bois vernis.
1950
1964
1960
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Baby fonte proposée avec un moteur électrique: .Un socle en bois verni supporte la tête de la machine de couleur bleu turquoise. Le moteur et le câblage sont vissés soigneusement à l’intérieur du coffre. Des reliefs sur la fonte remplacent les décors du modèle noir précédent.
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En 1964 , ce dernier modèle avec un moteur électrique figurait à la vente «Au Bon Marché» à Paris.
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BABY 1954 En 1950 jusqu’à 1970 les fabricants de jouets construisaient avec un réalisme les répliques d’appareils ménagers :
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Machine à laver Mixeur Aspirateur Fer à repasser Scooter. EDITION:Jean-Claude LAMBINET 2007
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cemp 1950 - 1960
Notice collée au fond de la boîte en carton.
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Produite dans la région de Lyon à Villefranche sur Rhône. Modèle en aluminium, crochet rotatif pour un point de chaînette. La fixation est intégrée au socle de la machine, construite en plusieurs coloris et dans un emballage en carton représentant des fillettes. 4 Modèles formeront la gamme de cette fabrication Cemp.
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elva 1950
Fabriquée en aluminium pour le corps et en tôle pour le socle, la marque Elva conserve pour les modèles qui la précéderont, l’aspect et la couleur.
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La première Elva construite en 1948. Sans aucune démultiplication, le tour du volant donne un point de chaînette. Le fil traverse la fonte de la machine pour rejoindre la tension supérieure.
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elva 1950
La machine repose sur un socle en bois de chêne claire verni. Deux pignons entraînent la machine donnant souplesse et précision. Point de chaînette avec un boucleur rotatif et fixation pour un blocage parfait. Le pied se relève et pivote sur la gauche. Une belle mécanique générale pour cet ensemble compact.
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A.MERLE 2 rue Jarente 13 rue Vaubecour LYON- PERRACHE 69
Machine à coudre et moteurs électriques
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elva 1960
Cette marque se transforme en 1960. L’éclairage se loge dans le corps supérieur et dans son socle en bois, l’alimentation trouve son emplacement pour la pile de 4.5v. Une chaîne relie les mécanismes sous un carter aluminium.
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Le corps de cette machine Elva fabriqué en aluminium, repose sur un socle en fer embouti. Un autre modèle sera fixé sur un socle en bois, pour la protéger une petite mallette de couleur rouge fermera l’ensemble .
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elva 1960-1970
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Cette petite machine Elvavit est dotée d’un vrai moteur de machine à coudre. Une petite pédale donnera la vitesse de couture à cet ensemble bien construit sur le plan mécanique et électrique.
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lakner 1860-1870
Machine de style Manuélin. Ce courant se caractérise par une abondance de motifs décoratifs. Il constitue un mélange de style de l’époque, prenant ici au style roman, là un peu au style gothique, là des inspiration mauresques. C’est un mélange d’éléments liés aux découvertes et à la marine portugaise : des cordages, poissons, coquillages... Au XIX siècle il est souvent utilisé pour des petites pièces mécaniques visibles, pour des fontaines, pour des objets courants de décoration... Sur la machine on reconnaît aisément des éléments tel que le poisson avec la queue retournée. Benoit Lakner et Philippe Eugéne Morhain Brevet 101111 du 12.10.1873
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E.s La ménagère Couseuse & brodeuse Déposée à Paris
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lakner oct 1874
Benoit Lakner 1874 octobre 105 269 La favorite «enfentine» La favorite soutacheuse
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Benoit Lakner : mécanicien Philippe - Eugène Morhain: négociant
Brevet 105269 du 13.10.1874
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lakner 1890 - 1900
Ce plateau en forme de violon décoré d’une rose dorée attire notre attention. Peinte à la main comme tous ces modèles Lakner, la technique reste la même que pour la marque Journaux.
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Machine en fonte, entraînement par le pied de biche sans réglage de longueur de point.
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Journaux 1860 - 1900 Machine à coudres JOURNAUX 11 rue d’Arcole Paris
Cette princesse Journaux, porte bien son nom, avec son socle recouvert d’un velour bleu roi. Machine en fonte nickelée, longueur de point réglable par une vis en bronze. Système spécifique d’un boucleur élliptique. Le plateau constitue un élément remarquable de part son originalité et son élégance.
Les brevets sont délivrés à Mme Marie, Rosalie, Joséphine Journaux née Le Blond.
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Petite machine pour fillette.
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Journaux
Ce jouet nous était proposé à la vente dans le Grand Magasin de la ville de Saint Denis, rue de Paradis Paris. Machine à coudre cartonage riche avec accessoires au prix de : 9.75fr Machine à coudre plus petite au prix de : 6.50fr. Le coffre solidaire de cette machine lui procure un rangement et une protection parfaite. Le traitement à base de nickel adouci ce jouet très fin et renvoie en tournant la manivelle, des ombres sur le plateau en forme de violon. Sur le carton d’emballage de ce jouet les initiales J et L y sont imprimées : Journaux-Leblond
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1903
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Journaux 1860 Un constructeur très innovant pour son époque, car différents points étaient proposés à la clientèle:
La marque Journaux se distinguait par son raffinement en décorant ses machines de belles peintures. Certaines reposaient sur des pieds d’animaux pour leur donner plus d’élégance. Une attention particulière est portée sur un mécanisme souvent visible, on distingue l’arbre supérieur sur presque toute la gamme.
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point noué deux fils point de chaînette un fil point de chaînette deux fils
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smj 1920-1950 Les grands magasins Parisiens Le Bon Marché La Samaritaine Le Louvre
Pour le grand public les machines S.M.J sentaient bon la fabrication française ! La marque Baby monopolise les grands magasins parisien. Une technique de point de chaînette pour tous les modèles. Crochet alternatif, entraînement par griffe, plaque aiguille gravée: S.M.J. déposé France .
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Après la première guerre mondiale nos deux pays, pour échanger des produits, ont recréés des sous-marques pour vendre leur production.
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smj 1920-1950 3 Neuf modèles forment cette petite fabrication Allemande, destinée au marché Français. Les poignets et les volants sont plombés et nickelés. n°1, 2 : les Jumelles.n°1 Casige,n°2 Müller
Sur la plaque aiguille est inscrit: SMJ déposé France *1920*
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n°3 : Petite variante pour ce modèle à pied. Un plan de travail plus grand.
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smj 1920
Coffret complet comportant: petit patron, accessoires de couture outillages de broderie outillages de canevas fournitures de fil bride de fixation en acier ciseaux de broderie en acier chapeau de paille
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Les jouets SMJ se vendaient peu dans les grands magasins parisiens. J’ai trouvÊ un document au Printemps de 1921 concernant leur distribution.
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smj 1935 Machine SMJ * La Benjamine* Socle et carter en aluminium. Mécanisme sur un support en tôle.
. .. .
des bielles entaillées pour un dégagement de mouvements. la fixation de la plaque aiguille. inscription de la marque sous la plaque aiguille Une machine lancée hâtivement pour prendre la part de marché à la marque Baby présente dans les grands magasins parisiens .
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Ce jouet ressemble à un prototype :
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smj 1930 Machine en tôle de très grande qualité. Pour ce modèle on se rapproche de la marque Baby. Le système de démultiplication et les dessins sont de couleur rouge et or.
Vous remarquerez l’écriture sur la boîte d’emballage. S- M. J Caractéristiques : démultiplication 3 points au tour crochet alternatif tôle épaisse
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Les quatre pieds rivetés donnent une finition soignée au socle.
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smj 1930
A la fin des années 30, l’importation des jouets en France est contingentée par le gouvernement qui prit des mesures draconiennes pour enrayer la pénétration sur notre territoire de jouets provenant de la concurrence Allemande. Néanmoins, quelques grossistes français détournent la loi en important des éléments dits de réparation ce qui est autorisé par la loi. Cette formule permet de fabriquer intégralement certains jouets dans des quantités importantes. Cet article extrait du collectionneur 2006 peut s’appliquer à cette marque SMJ.
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Ces 3 machines SMJ possèdent le même mécanisme. Un mouvement démultiplié par pignons . Une barre aiguille et un crochet solidaire sans possibilité de réglage.
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smj 1930 Cette petite machine à coudre S.M.J. complète la gamme.
Les cousines Muller et Casige apportent un choix et de la concurrence sur le marché du jouet français. Décorée d’une lithographie rouge et or sur un fond noir, le style harmonieux reposant sur quatre pieds, donne de la hauteur à cette mécanique de précision.
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L’avance du crochet et la hauteur de barre aiguille restent solidaire.
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smj
Jouet GG
1930-1950
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Deux modèles fabriqués sur la même base de la S.M.J. Le porte bobine vertical se distingue pour l’Arpète (signifiant apprenti) en bleu et le socle arrondi sans pied, pour ce modèle vert sans marque.
Marque déposée Made in France Breveté S.G.D.G
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kipic 1949
LES ATETIERS INOV 10 rue des Mûriers, PARIS 20 présentent leurs nouveaux modèles de machines à coudre pour enfants. Standard luxe Garantie deux ans Livrée en valise Pour ce modèle Kipic, un mouvement élliptique du boucleur et un mécanisme des griffes remarquable. La plus perfectionnée des machines jouets!
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Fabrication française: gros succès à la foire de Paris en 1949!
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MACOUSETTE mC PIKEKOU 1947 Diffusées par les ETS JEAN PALLIER
Bien réalisées et originales, les MACOUSETTES apporteront le confort demandé à l’époque. Le moteur et l’éclairage figurent dans le cahier des charges. Les couleurs vives de la coque en plastique donneront une grande diversité pour la vente. Un grand succès commercial pour ce dernier modèle français.
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Construites depuis 1947 dans son usine située à Marseille, les machines PIKEKOU en tôle. En 1960 la marque ma cousette, avec un style des années 1960, passe les fontiéres du département des bouches du Rhône.
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hurtu 1858 La Merveilleuse La Merveilleuse est la première machine Hurtu.
Nouvelle Machine à chaînette à un fil, pour famille, montée sur socle et marchant à la main. Prix : 50fr
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Point de chaînette un fil avec réglage de la longueur de point. Machine fabriquée vers 1858. Les brevets d’inventions portent les noms de Hurtu et Hautin.
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hurtu 1910 La manufacture de machines à coudre française Hurtu, depuis le début de sa longue carrière, remporte de multiples prix. La marque Hurtu, figure en relief sur la partie supérieur du jouet. Cette machine unique se distingue par la finesse de son moulage en fonte d’un seul bloc.
L’arbre supérieur est visible à l’arrière de la machine. La construction de cette machine à coudre et sa technique de point, a pour modèle une mécanique similaire de Journaux.
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Des fleurs peintes à la main décorent l’ensemble.
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prefecto 1921 ETS PERFECTO 3 rue charcot Neuilly Perchée sur quatre pieds surdimensionnés, cette petite machine à coudre avec un volant plein et son décor floral de couleur or, bordé d’un contour rouge, reste le seule modèle de la marque.
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Fabrication artisanale.
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LP 1870
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Point de chainette un fil, le tissu est entrainé par le pied presseur et le réglage de la longueur du point s’éffectue sur la plaque frontale.
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c.Peugeot &c.
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Usine sous roche de la machine. C.Peugeot et cie. constructeurs, à Audincourt Doubs . « L’éloge de nos produits n’étant plus à faire, nous nous contenterons d’appeler l’attention de notre clientèle sur les perfectionnements apportés à nos machines et sur les nouveaux modèles que nous lui présentons à l’occasion de l’Exposition Universelle de 1889. Notre couseuse Peugeot avec navette à mouvement alternatif reste malgré tout le type accompli du genre. Sa simplicité la rend d’un maniement facile aux personnes les moins adroites et les moins expérimentées. C’est un outil de premier ordre et pour les marchands surtout le plus avantageux à propager.»
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1865-1878
extrait de la publicité du livre de Peugeot
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Legat 1894 Avrial Augustin 45 rue San Sébastien Paris
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Marque déposée 06/04/1893 «LA POPULAIRE» Son système a été vendu et fabriqué par Legat de 1893 à 1896.
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l’incomparable 1887 Paris Vendue par les ets Martin Henri Rumph. L’inventeur de cette machine est Wilhelm von Pitteler.
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Machine à coudre avec moteur à entrainement roue libre. Marque : L’INCOMPARABLE
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L’INCONNUE 1900 Fabriquée en tôle ce jouet étonne par sa fabrication.
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Barre aiguille trouée de trois passages de fils pour le réglage de la tension, riveté et non démontable, le décor de couleur or représente un végétal.
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hommage max sandt 1998 Sous la marque :Steinfeldt & Blasberg Max Sandt produit ces merveilleuses machines à coudre, restant à ce jour les plus originales de la fabrication mondiale. Année de cette naissance 1890.
La mise au point de cette machine à coudre m’a rapproché de Max Santd. En lui rendant un hommage en 1998. Les rencontres avec les amis collectionneurs du monde entier resteront des grands moments de mon parcours professionnel. Le Mangeur de Banane fabriqué par : Arnaud et Jean Claude Lambinet. Mon frère Jean-Pierre a réalisé les pièces mécaniques. Mon fils Arnaud a eu l’idée de la banane. Remerciements à : Remy Ciocca , Albrecht Mey, Roger Auriel, Paul et Dominique Garabédian et à Patrick et Ghyslaine Bitoun.
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D’après un simple dessin, de Max Sandt resté à l’étude, j’ai pu réaliser cet automate avec la participation de mon ami d’enfance sculpteur et artiste Bernard Brochard.
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BABY elva lakner smj cemp
Jean Claude Lambinet.
kipic
Une collection est le fruit du hasard, de la recherche et de la passion. Toutes ces machines exposées dans nos vitrines sont des cadeaux de ceux qui ont su les protéger: enfants, parents, marchands, collectionneurs....
MA REALISATION
Je vous remercie de l’attention que vous avez apporté au travail que je viens de vous présenter.