Sciences et projets n°4 - octobre 2016

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Sciences et Projets

En direct d’UniLaSalle / N°4 / Octobre 2016

PAGE 1 Normand Serre : un complexe de pointe au service de la recherche

PAGE 2 Des collections patrimoniales reconnues

PAGE 3 L’entrepreneuriat monte en puissance

PAGE 4 Revue de presse

Agronomie

édito Plus de recherche En janvier dernier, LaSalle Beauvais et l’Esitpa ont fusionné. En unissant leurs forces, les deux écoles d’ingénieurs de Rouen et de Beauvais forment aujourd’hui un pôle d’enseignement supérieur de référence dans les sciences de la terre, du vivant et de l’environnement. Cette fusion constitue une véritable opportunité pour renforcer les capacités de recherche de ce nouvel ensemble baptisé UniLaSalle. Les compétences de Rouen (microbiologie des sols et agromatériaux) viennent renforcer celles de Beauvais dans l’univers des agroressources, des géosciences et de l’alimentation et santé. La nouvelle organisation des unités de recherche sera soumise à la validation de l’HCERES (Haut Conseil de l’Évaluation de la Recherche et de l’Enseignement Supérieure) qui audite nos établissements tous les cinq ans. C’est pour nous un formidable défi qui nous permettra d’approfondir nos champs de compétences et de renforcer notre positionnement scientifique dans le monde de la recherche.

PHILIPPE CHOQUET DIRECTEUR GÉNÉRAL D’UNILASALLE

Normand Serre : un complexe de pointe au service de la recherche UniLaSalle a inauguré à l’automne 2015 un complexe de serres et de laboratoires entièrement dédiés à la recherche en végétal et en agronomie : Normand Serre.

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mplanté sur le site du campus de Rouen et co-géré en partenariat avec l’Université de Rouen, le complexe Normand Serre a été inauguré à l’automne 2015. Cette infrastructure de pointe soutenue par la Région Haute-Normandie et les Fonds européens se compose d’environ 300 m² de surface de laboratoires et de serres expérimentales réparties dans trois espaces de confinement. Cette organisation autorise des recherches pointues sur la protection des végétaux dans des conditions contrôlées. Les paramètres tels que le chauffage, l’irrigation, la fertilisation, la teneur en CO2 ou l’hygrométrie sont ainsi parfaitement maîtrisés. Une station de phénotypage (caractérisation) des plantes complète les équipements des serres expérimentales, autorisant le suivi des plants

près de 300 m2 de laboratoires et de serres expérimentales

de l’échelle microscopique à macroscopique. Cette plateforme technologique permet ainsi le suivi et l’évaluation du développement et de la qualité des plantes au regard de la diversité de la biologie du sol, de l’application de techniques de biocontrôle ou de biostimulants. Les exemples de travaux qui seront réalisés dans ces laboratoires sont multiples et vont

de l’étude des pathologies végétales à l’expérimentation de nouvelles stratégies de lutte biologique, en passant par l’identification de biopesticides, de molécules d’intérêt thérapeutique et cosmétique, et de nouvelles voies de valorisation de la biomasse comme les agromatériaux ou agrocarburants. Des expérimentations ont d’ores et déjà débuté au

sein de cette plateforme dans le cadre d’un projet de recherche avec des partenaires privés. Les travaux de recherche vont évaluer l’efficacité agronomique de biostimulants à base de microorganismes, susceptibles d’apporter une efficacité a minima équivalente à une fertilisation chimique. Les expérimentations au sein notamment des enceintes climatiques visent à suivre le développement des plantes (mesures de croissance et observations phénotypiques) sous conditions contrôlées, mais également les impacts sur le fonctionnement biologique des sols (diversité des microorganismes présents et évaluation de leurs activités). Si les résultats sont encourageants, ils pourraient ouvrir la voie vers la mise au point de nouveaux mélanges biostimulants utilisables au champ, qui constitueraient une alternative possible à l’utilisation de la fertilisation chimique. n


En finale nationale du Challenge Auchan

Géologie

Des collections patrimoniales reconnues Plusieurs chercheurs étrangers sont venus consulter nos collections pour étudier des spécimens, les prendre en photos et même en emprunter. Un inventaire numérique est en cours.

À

Beauvais, les soussols de l’école abritent de très importantes collections géologiques qui attirent l’attention des chercheurs. L’an dernier, plusieurs spécialistes sont venus pour réaliser une « révision paléontologique » de spécimens des collections connues sous le nom de « Collections Lapparent » Deux chercheurs de Belgique et d’Espagne se sont intéressés pendant plusieurs semaines aux bivalves de la

famille des moules (mytilidés). Cette passion subite pour la moule s’explique par le fait que les chercheurs s’emploient aujourd’hui à mieux préciser l’environnement des dinosaures qui vivaient sur nos plages au Crétacé. Le troisième chercheur, venu de Pau, était attiré par le piquant des oursins d’une très vieille collection de 1850, la collec­ tion Sorignet, que le Muséum d’Histoire naturelle lui-même nous envie…. Dans le même temps, d’autres cher-

cheurs espagnols de l’université Zaragoza nous ont contactés pour un nouveau prêt pour une exposition sur Albert-Felix de Lapparent et ses découvertes de dinosaures dans les Pyrénées espagnoles. Parallèlement, un chercheur italien de l’université de Padova (en post doc à Urweltmuseum GEOSKOP de Thallichtenberg, en Allemagne) est venu chasser dans nos tiroirs à la recherche de traces de pas de reptiles de la fin de l’ère primaire c’est-àdire avant les dinosaures.

Traces de reptiles de la fin de l’ère primaire

Les collections patrimoniales constituent une matière scientifique rare et irremplaçable. L’inventaire numérique de nos collections a déjà été réalisé ; la prochaine étape sera de rendre cet inventaire accessible sur internet pour contribuer à une meilleure diffusion de la richesse de nos collections auprès des scientifiques de tous pays.

Agriculture

Des élèves au chevet du sol Un groupe d’élèves-ingénieurs en 4e année Agriculture s’est intéressé aux effets du semis direct sous couvert végétal sur la chimie du sol, les caractéristiques du couvert végétal et les communautés biologiques du sol. L’intensification de l’agriculture peut entraîner l’érosion, une perte de fertilité et une perte de biodiversité des sols. Pour limiter ces effets négatifs, des pratiques plus durables sont apparues dont le semis direct sous couvert végétal (SDCV). Cette agriculture sans labour, se pratique en plein champ en semant au travers d’une couche de culture, sans aucune intervention mécanique de travail du sol. À Beauvais, les étudiants d’UniLaSalle ont répondu à une demande de l’Association pour la Promotion d’une Agriculture Durable (Apad) en examinant les effets de cette pratique sur la fertilité et la biodiversité des sols, à l’échelle de l’exploitation agricole. Pendant 4 mois, ils ont suivi et échantillonné 22 parcelles réparties sur 16 exploitations, situées dans un rayon de 40 km autour de Beauvais. Ces parcelles présentaient différents itinéraires techniques contrastés, en conventionnel et en SDCV. Les échantillons ont été ensuite analysés en laboratoire sous la supervision d’Anne-Maïmiti Mercadal, Michel-Pierre Faucon et David Houben enseignants-chercheurs en Agro-écologie et chimie du sol. Des mesures physiques, chimiques et biologiques ont été réalisées : densité apparente du sol, vitesse de dégradation de la matière organique, caractérisation des communautés végétales (couvert intermédiaire) et animales (lombrics et collemboles).

Amélioration de la fertilité Les résultats ont mis en évidence que la présence de lombrics est fortement valorisée par la pratique du SDCV et son ancien-

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L’équipe UniLaSalle a remporté la finale régionale Ile-de-France du Challenge Auchan. Catherine Hetzel, Laurence Payet, Jacques Frassaint et Laure Leray, élèvesingénieurs de 4e année en Alimentation et Santé (parcours Marketing, communication, vente), ont su convaincre le jury par la qualité de leur travail, qui portait sur le magasin Auchan de Beauvais. À l’issue d’un long travail d’enquête et d’analyse, les étudiants ont livré au jury leurs recommandations pour améliorer la fréquentation du magasin de Beauvais, dans un contexte concurrentiel fort et en tenant compte des nouvelles tendances d’achat et de consommation. Le challenge Auchan fait travailler des étudiants de grandes écoles et universités sur des problématiques rencontrées par des hypermarchés Auchan de leur région. Neuf établissements étaient en lice pour cette finale régionale : AgroParisTech, ESCE, ESG, ICD, IESEG, ISEG Skema, Université Paris Dauphine et UniLaSalle. La finale nationale a été remportée par l’équipe de Kedge-Business School campus de Bordeaux.

Classe d’eau pour les élus

Plus de 22 parcelles échantillonnées

neté. La présence d’un couvert diversifié et dense permet une augmentation du nombre de lombrics. La biomasse qu’ils génèrent, également plus développée, peut être garante d’une meilleure fertilité. Du point de vue de la densité apparente du sol, aucune différence significative n’a été relevée entre les sols gérés en conventionnel et ceux gérés en SDCV. En conventionnel, le labour apporte une porosité à court terme mais celle-ci peut être sensible au tassement. En non-labour avec couverts végétaux intermédiaires, la vie du sol associée à une diversité des racines du couvert compensent l’absence de travail du sol par la création d’une porosité et l’amélioration de la stabilité structurale du sol. De nouvelles études sont prévues afin de mieux maîtriser les paramètres d’un système en SDCV. n

UniLaSalle, l’Agence de l’eau Seine-Normandie (AESN) et le Centre Permanent d’Initiatives pour l’Environnement) CPIE de l’Oise proposent gratuitement aux élus du territoire une « Classe d’eau » en 8 séances réparties sur 10 mois. Ce module de formation, développé par l’AESN et animé en partie par plusieurs enseignantschercheurs d’UniLaSalle a lieu sur la plateforme hydrogéologique de l’école. Au cours des séances seront abordées différentes thématiques : politique de l’eau, état écologiques des eaux superficielles et souterraines, règlementation, assainissement, les risques… de la théorie en salle le matin à la pratique ensuite avec des ateliers et visites sur le terrain.


Enseignement

L’entrepreneuriat monte en puissance Parcours académiques spécifiques et programmes ouverts à tous se développent pour sensibiliser et former les entrepreneurs de demain.

L

e Créa’Day, Pépite, le chantier créatif, parcours Start up… l’entrepreneuriat, problématique de plus en plus prisée des élèves, prend ses marques au sein des programmes académiques d’UniLaSalle. En 2012, dans le cadre de son plan pluriannuel de développement, l’école avait lancé le programme IES (Innover, Entreprendre, Servir) pour orienter ses choix académiques. Les ingénieurs lasalliens devaient être créatifs afin d’essaimer et d’irriguer le tissu local. Parallèlement, les enseignants– chercheurs de la spécialité Agriculture avaient identifié un véritable besoin d’initiation à l’entrepreneuriat pour les futurs exploitants agricoles formés à l’école. Avoir une posture d’entrepreneur agricole, capable de diversifier son activité, est aujourd’hui un moyen de résister aux effets négatifs de la mondialisation du marché des matières premières agricoles. À la rentrée 2013, le parcours EIA (Entreprendre et Innover en Agriculture) a été ouvert, pour les étudiants de 4e année Agriculture avec une vingtaine d’élèves, effectif qui a dépassé la trentaine d’étudiants les années suivantes. Au menu du parcours, des formations en marketing, finance, gestion mais aussi la participation au concours Start-Up pour faire émerger un projet sur une année. « Les étudiants co-animent égale-

ment un grand nombre d’événements comme le chantier créatif-48 heures pour entreprendre, le Créa’Day ou les cafés de l’entrepreneuriat » (voir encadré) expliquent Gaëlle Kotbi et Agathe Vuillemenot, responsables du parcours. La formation à l’entrepreneuriat ne se limite pas à aux étudiants du parcours EIA. Tout au long de leur scolarité les étudiants d’UniLaSalle sont invités à participer aux différentes manifestations liées au sujet. Il a été également décidé d’ouvrir un parcours à l’entrepreneuriat pour toutes les spécialités. Des étudiants en géologie ou en alimentation-santé pourront rejoindre en septembre 2017, le parcours Entreprendre et Développer une Activité Innovante (EDAI) en 5ème année. Pour accéder à cette formation ils auront dû en 4e année, tout en suivant leur parcours de spécialité, avoir participé au Bootcamp entrepreneuriat, obtenu leur statut d’étudiant entrepreneur et avoir suivi le programme des Entrepreneuriales. Un niveau d’exigence élevé qui met à l’épreuve de façon positive la motivation du futur créateur d’entreprise. Depuis la création du parcours, une quinzaine de projets ont été menés. Un panier de produits locaux composé à la demande (Declic@panier), un système de sécurité pour les tracteurs (Trap Contrôle), une météo à la parcelle (Opti météo)… les projets

Nouvelles technologies

Agriculture de précision : motivations et impacts Une étude sur les perceptions des exploitants agricoles passés à l’agriculture de précision a été présentée lors d’un colloque international en Grande Bretagne à l’université Harper Adams. Avec le soutien de la chaire agro-machinisme et nouvelles technologies UniLaSalleAGCO-Michelin, Olivier Scheurer et Elisa Marraccini, enseignants-chercheurs du campus de Beauvais ont participé au 12e colloque de l’International Farming Systems Association (IFSA) qui s’intéresse aux mutations contemporaines des agricultures. Ce colloque qui a eu lieu, du 12 au 15 Juillet 2016, à l’université britannique de Harper Adams, visait plus particulièrement les transformations sociales et technologiques des systèmes de production agricoles, notamment avec un atelier consacré au développement des systèmes autonomes dans les exploitations. Au cours de cet atelier, ils ont pu faire part des travaux menés à UniLaSalle sur la diffusion des techniques de l’agriculture de précision dans l’Oise. Ces travaux, menés Olivier Scheurer, Alicia Ayerdi-Gotor, Christine Leclercq et Elisa Marraccini, avec les élèves-ingénieurs en agriculture du parcours

UniLaSalle a accueilli et animé le premier « chantier créatif » organisé en Picardie

UNE FOISON D’INITIATIVES Les Mardis de l’entrepreneuriat : dans un espace ouvert à tous à Beauvais, huit rencontres au cours de l’année avec des entrepreneurs et des experts. Créa’Day : Défi collectif créatif. Des équipes d’étudiants en 2e et 3e année, animée par des étudiants en marketing de 4e année, partent d’une idée d’intérêt général (ex : vous avez 20 ans d’énergie gratuite), pour imaginer des projets d’entreprise. Les Entrepreneuriales : porté par le réseau Entreprendre, financé par la région, simulation sur l’année d’une création d’entreprise par des équipes d’étudiants inter-établissement qui participent à des concours régionaux puis nationaux. Le programme Start Up : animé par EPAPIC (Entreprendre pour Apprendre Picardie) parcours éducatif de simulation de création d’entreprise pour des équipes intra établissements avec concours régional puis national.

développés par les étudiants ont été variés. Certains ont été primés, d’autres ont donné lieu au dépôt d’une enveloppe Soleau (protection de

Le Bootcamp entrepreneuriat : Un programme animé par les professeurs d’UniLaSalle ouvert aux étudiants à partir de la 3e année et aux jeunes diplômés. Sur une semaine, fin octobre, sur le campus de Beauvais, un travail personnel sur les postures et les valeurs du chef d’entreprise pour mieux se connaitre soi-même et savoir si on est fait pour la création d’entreprise. Le tout sous un format novateur et ludique. Le chantier créatif – 48 heures pour entreprendre : financé par le conseil régional dans le cadre du programme Pépite (Pôles Étudiants pour l’Innovation, le Transfert et l’Entrepreneuriat. Les créateurs d’entreprise sélectionnés viennent travailler leurs projets pendant 48 heures avec des experts et des entrepreneurs. À l’issue des deux jours et suite à la présentation du projet, des prix sont attribués pour accompagner la poursuite du projet.

la propriété intellectuelle). Celui de Tract’Innov (sécurité au service des agriculteurs) continue son parcours vers une possible création d’entreprise. n

« Agronomie et Territoire » ont étudié les motivations des agriculteurs pour changer leurs pratiques, et leur perception de l’impact de ces nouvelles techniques. En effet, l’arrivée de nouvelles technologies (GPS, capteurs, cartographie numérique) permet aujourd’hui de travailler au plus près des spécificités de la parcelle, en modulant par exemple les apports d’intrants (engrais et traitement) à l’intérieur même du champ… Des entretiens ont été menés dans l’Oise auprès d’une vingtaine d’exploitants en grandes cultures (blé, colza, betterave). Parmi les raisons qui ont poussé les exploitants à adopter l’agriculture de précision (guidage par GPS, semoirs et pulvérisateur de précision), on trouve la surface importante de l’exploitation lorsqu’elle est cultivée par une seule personne, les contraintes physiques des parcelles (formes irrégulières, proximité d’un cours d’eau…), l’hétérogénéité du sol ou les contraintes liées à des techniques de culture spécifiques (traitement de nuit, désherbage mécanique, semis sous couvert végétal). Alors que l’agriculture de précision est souvent vantée pour les gains économiques et environnementaux qu’elle permet en cultivant au plus juste les parcelles et en limitant les intrants, c’est son impact social qui a d’abord été cité comme moteur de son adoption. Les agriculteurs interviewés ont majoritairement mis en avant le bien-être au travail et le temps gagné grâce à ces pratiques. Les impacts agronomiques, économiques et environnementaux sont perçus mais presque jamais quantifiés alors que ces techniques peuvent représenter un investissement initial conséquent. Ces résultats sont en accord avec les tendances mises en évidence au cours du colloque.

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Revue de presse

> 12 mai 2015 Pascale Gadonna dans le reportage « Aliments fermentés : la tendance qui nous veut du bien ! » > Février, avril et mai 2016

> 23 septembre 2015

> 10 juin 2016

Michel-Pierre Faucon a été cité dans un article de l’AFP (Agence France Presse) concernant une expérience menée en région parisienne pour essayer de dépolluer des sols par des plantes. Informations reprises par différents sites : lepoint.fr ; 20minutes.fr ; sciencesetavenir.fr ; futura-sciences. com ; liberation.fr.

Jean-Paul Bonhoure, sur l’alimentation, Jean-Didier Clément sur l’agro-écologie et Pascal Barrier sur la géologie ont enregistré des chroniques diffusées tout au long de l’année dans l’émission « Les pourquoi d’Annick Bonhomme » de France Bleu Picardie.

Thierry Aussenac, Directeur scientifique, a fait visiter à Valérie Létard, Vice-présidente de la région Hauts-de-France la plate-forme industrielle Ozone à lors en cours de construction, en bordure du campus.

Noémie, Lucile et Camille, élèves-ingénieurs en AlimentationSanté ont chacune composé quatre matinées de suite, en direct, des recettes sur des thèmes imposés par la rédaction.

légende

Directeur de la publication : Philippe CHOQUET - Chef de projet : Laurence ÉCOBICHON - Rédaction en chef : Béatrice WETTSTEIN Rédaction : Estelle BULTEZ, Pascal BARRIER, Laetitia MESLEM, Béatrice WETTSTEIN - Maquette : Éditédito - Crédit Photos : Anne-Lise et ses images, UniLaSalle - Parution : 1 numéro par an - UniLaSalle - 19, rue Pierre Waguet BP 30313 - 60026 BEAUVAIS CEDEX - Tél. : 03 44 06 25 25 - E-mail : stephanie.gania@unilasalle.fr

BULLETIN DE DON UniLaSalle, fidèle aux valeurs lasalliennes, a lancé en 2010 L.I.F.E ( LaSalle Institute For Earth) une campagne majeure de mécénat pour lutter contre les pauvretés par la formation et la recherche. Inventer l’agriculture de demain, préserver la santé de l’homme par l’alimentation et sauvegarder la ressource en eau sont les trois axes de recherche prioritaires soutenus par le mécénat. Par vos dons, vous pouvez nous aider à amplifier nos actions de recherche et nos propositions de formation en direction des étudiants les plus démunis. Les dons en faveur de L.I.F.E sont versés à la Fondation Jean-Baptiste Gagne et affectés à la réalisation des projets. Reconnue d’utilité publique, la Fondation Jean-Baptiste Gagne ouvre droit à des avantages fiscaux : déduction de 66% de l’impôt sur le revenu des sommes versées, déduction de 75% de l’ISF des dons versés…

Nous comptons sur vous ! £ Oui, je souhaite contribuer à la campagne L.I.F.E. £ Je vous adresse un don par chèque de .......... euros à l’ordre de la Fondation Jean-Baptiste Gagne. £ Afin de recevoir mon reçu fiscal annuel, je complète mes coordonnées. Nom :

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Bulletin à retourner, accompagné de votre don à : UniLaSalle Fondation Jean-Baptiste Gagne 19, rue Pierre Waguet- BP 30313 60026 BEAUVAIS Cedex

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www.unilasalle.fr

Document non contractuel – Octobre 2016

Dans la quotidienne de France 5, plusieurs interventions d’enseignants et d’étudiants.


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