Sergio Martínez Rodríguez, 4ºA.
La vie, c’est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l’equilibre. Ma vie sur scène est mon moment préféré.
J'ai vécu un rêve grâce à vous, les meilleurs fans du monde.
Mabel Corporán Andújar, 4ºA POÈME 15
J'aime quand tu te tais, parce que tu es comme absente, et tu m'entends au loin, et ma voix ne t'atteint pas. On dirait que tes yeux se sont envolés, et on dirait
qu'un baiser t'a clos la bouche Comme toutes les choses sont remplies de mon âme, tu émerges des choses pleine de mon âme. Papillon de rêve, tu ressembles à mon âme et tu ressembles au mot : mélancolie. J'aime quand tu te tais et que tu es comme distante. Et tu es comme plaintive, papillon que l'on berce. Et tu m'entends au loin, et ma voix ne t'atteint pas: laisse-moi me taire avec ton silence. […]
J'aime quand tu te tais, parce que tu es comme absente, distante et dolente, comme si tu étais morte. Un mot alors, un sourire suffisent, et je suis heureux, heureux que ce ne soit pas vrai. J’aime ma voix, tes yeux, mon âme, papillon de rêve que l’on berce au loin, et je suis heureux.
Marina Panés Mendoza, 4ºB
Samuel Mateo Cabrera , 4ºA
Sophie et Joséphine sont impatientes parce que cet après-midi elles ont rendezvous au centre-ville pour faire les boutiques car ce sont les soldes d'été.
Elles ont décidé d'aller dans les grands magasins où la plupart des articles affichent -50%. Ce sont surtout les grandes marques qui cassent leurs prix, on peut donc faire de bonnes affaires. À 14h, les deux copines se retrouvent << Chez Francis>> leur bistrot préféré.
Le Printemps et Les Galeries Lafayette ne sont pas très est nuageux loin mais le comme le temps ,métro. elles prennent Cet après-midi, elles cassent, à 14h, leur bistrot préféré. Le printemps est nuageux!
Quand on laisse parler son coeur, il n’est pas necessaire de choisir des mots !
Laisse son coeur choisir Mª Del Carmen Rodriguez Seijo, 4ºA.
On écrit sur les murs le nom de ceux qu'on aime Des messages pour les jours à venir On écrit sur les murs à l 'encre de nos veines On dessine tout ce que l'on voudrait dire Partout autour de nous,
Y'a des signes d'espoir dans les regards Donnons leurs écrits car dans la nuit Tout s'efface même leur trace On écrit sur les murs la force de nos rêves Nos espoirs en forme de graffiti On écrit sur les murs pour que l'amour se lève
Un beau jour sur le monde endormi Des mots seulement gravĂŠs pour ne pas oublier pour tout changer MĂŠlangeons demain dans un refrain nos visages, mĂŠtissages
Dans la nuit, l’amour change nos visages. Elena Sillero Sánchez, 4ºA
Heureux qui près de toi soupire. Recueil : Poésies fugitives (1802) Heureux celui qui près de toi soupire ; Qui sur lui seul attire ces beaux yeux, Ce doux accent et ce tendre sourire ! Il est égal aux dieux. De veine en veine, une subtile flamme
Court dans mon sein sitôt que je te vois ; Et, dans le trouble où s'égare mon âme, Je demeure sans voix. Je n'entends plus ; un voile est sur ma vue ; Je rêve, et tombe en de douces langueurs ; Et, sans haleine, interdite, éperdue, Je tremble, je me meurs. Araceli Calderón Brenes 4ºA
Près de toi une subtile flamme, mon âme sans voix, interdite, tremble.
FRANÃ&#x2021;AIS