Culture
Fauteuil pas loin de l’hôtel Intercontinental.
Chaise à Neos Kosmos. Photos © copyright Christos Chryssopoulos (Disjunction - 2014)
se superposent en une accumulation éternelle. On ne remplace rien, on ne modernise rien, on ne rénove jamais. On ajoute seulement en accumulant. Le résultat, c’est un ensemble désordonné qui renvoie à la définition du terme « entropie ». Athènes donne l’image d’une horloge dérégulée. Des détails de la vie quotidienne semblent absurdes et contradictoires. Cependant, Athènes n’est pas une ville tout à fait atypique ou « dystopique ». Les Athéniens vivent tous ensemble de leur propre manière. Le charme d’Athènes constitue, en même temps, sa maladie. « Disjunction » tente d’enregistrer et de concevoir une ville dérangée et en même temps autorégulée. Une ville qui arrive enfin à être dans un état d’homéostasie. Avec l’aimable autorisation de GrèceHebdo. photoskiasis.wordpress.com/category/p-r-o-j-e-c-t-s-3/disjunction/page/2/
Ses romans publiés chez Actes Sud : Une lampe entre les dents, chronique athénienne (2013), La destruction du Parthénon (2012), Monde clos (2007), Le Manucure (2005).
Lampadaire et poubelle devant la mairie d’Athènes.
Jeune coureur de la place Syntagma.
Chicane et ruban barrière sur la place Syntagma.
bonjour athènes | Hiver 2014
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