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Qui peut prétendre connaitre son Pays, notre chère France ? 1 appareil photo, 1 voiture, 1 région et bien plus encore… L’art Culinaire est aussi à l’honneur, les palaces et les artistes… Alors suivez nous dans ce voyage initiatique, Imaginez vous dans cet te voiture, appareil photo au poing, prêt a dégainer un paysage… Enzo Minardi


sommaire 1 APPAREIL PHOTO 1 VOITURE 1 REGION 1 RESTAURANT 1 HOTEL 1 SPORT 1 ARTISTE 1 DIAPORAMA 1 GROUPE DE ZIQ 1 PROFESSION




THE CAMERA lumix Gh3

L’appareil Photo est la première pièce du puzzle, puisqu’il va être la pièce maitresse du MAG. Il va nous permettre de prendre toutes les images du numéro. Ainsi nous pourrons mettre en avant une marque un modèle, et obtenir un premier sponsoring. TEST de cet appareil.


Le nouveau boîtier est très agréable à prendre en mains et la construction a largement été améliorée avec une finition tout-temps. Conséquence, le GH3 a pris de l'embonpoint et se compare désormais aisément à un petit reflex. Le revêtement ca o utcho ut é es t confortable, la nouvelle disposition des commandes s'avère relativement intuitive et la rangée de trois boutons (ISO, balance des blancs et correcteur d'exposition) derrière le déclencheur n'est pas sans rappeler l'ergonomie de certains reflex Canon. On se surprend même parfois à rechercher l'écran LCD de rappel sur l'épaule du boîtier...en vain.

Vous retrouverez une interface évoluée avec 2 molettes de réglages, une roue codeuse au dos, des barillets (modes d'exposition, motorisation) et une profusion de commandes personnalisables : pas moins de 5 touches Fn physiques et 2 virtuelles sur l ' é c r a n . M a lheureusement, les options assignables diffèrent selon les touches Fn. Par exemple, le Wi-Fi, attribué par défaut à la touche Fn1, ne peut être relocalisé sur la touche Fn5 — une limitation difficilement compréhensible, mais qu'une simple mise à jour de firmware pourrait corriger. Le viseur électronique évolue notablement en abandonnant l'affichage


séquentiel des LCoS et les effets arc-en-ciel, au profit d'une dalle Oled fine (1 744 000 points) et efficace. En pleine lumière, l'affichage est fluide, précis et confortable. En basse lumière, de légères saccades sont visibles. Lors de nos tests, il n'a pas été possible de mesurer la colorimétrie du viseur électronique. Certains affectionnent les nombreuses informations affichables (histogramme, niveau électronique, visualisation en direct de la balance de blanc ou de l'exposition...) et la possibilité de "voir" dans la pénombre ; d'autres ne pardonnent pas cet écran électronique entre l'œil et la scène visée.


C'est avant tout une histoire de goût. Au dos, l'écran orientable monté sur rotule latérale affiche quant à lui 614 000 points (Oled), et s'avère également performant avec un contraste important et une colorimétrie assez fidèle, quoiqu'un peu froide. Avec le GH3, c'est un énorme reproche fait aux Micro 4/3 qui disparaît : le bruit au déclenchement. Plutôt sonores, les Lumix G n'étaient guère discrets jusqu'à l'adoption d'un obturateur électronique optionnel. Dans ce mode, le GH3 est totalement silencieux. Un vrai bonheur ! En contrepartie, le flash ne sera pas utilisable ; mais quand on recherche la discrétion... Notez que la sensibilité ISO est également limitée à 1600 ISO.




THE CAR NewBeetle 1.6

La voiture, autre pièce maitresse puisqu’elle va nous aider à voyager…Ici nous donnons nos impressions d’initié, et parlons du confort, de la vitesse, de la souplesse, de la finition du véhicule, que nous verrons tout au long du numéro.


Qu'elle est mignonne ! Qu'elle est craquante ! La plupart de ses utilisateurs se déclarent enchantés par son esthétique qui rappelle de façon très habile la silhouette inoubliable de son illustre aînée, la Coccinnelle, al voiture la plus construite de tous les temps ! Et elle profite de son fort capital de séduction pour se revendre à des tarifs le pus souvent coquets. Son côté rétro et ludique ne fait pas oublier qu'il s'agit d'une vraie voiture, et non pas d'un jouet au rabais. Elle a été conçue avec sérieux,… même si certains points de fiabilité demeurent critiquables.



Si le design extérieur de la New Beetle n'a franchement pas vieilli, le constat est un peu différent à bord. Pas tant au niveau du style, qui était franchement original au moment de la sortie du modèle en 1998… mais plutôt en matière de finition. Les plastiques durs sont ici légion et ils dénotent quelque peu sur une Volkswagen, même fabriquée au Mexique. L'ergonomie des commandes a également pris un coup de vieux, notamment les commandes de vitres électriques situées bien trop bas et les touches de l'autoradio, trop


Si le design extérieur de la New Beetle n'a franchement pas vieilli, le constat est un peu différent à bord. Pas tant au niveau du style, qui était franchement original au moment de la sortie du modèle en 1998… mais plutôt en matière de finition. Les plastiques durs sont ici légion et ils dénotent quelque peu sur une Volkswagen, même fabriquée au Mexique. L'ergonomie des commandes a également pris un coup de v ieu x, notamment les commandes de vitres électriques situées bien trop bas et les touches de l'autoradio, trop petites.

En revanche, la New Beetle Cabriolet donne des leçons d'habitabilité arrière à bien des concurrentes. Quatre adultes peuvent en ef fet prendre place à bord pour de courts ou de moyens trajets. Au delà, la banquette trop verticale et trop ferme aura raison des vertèbres des passagers arrière.


La sauvegarde de l'habitabilité s'est toutefois faite au détriment du coffre, dont l'accès est peu aisé et le volume réduit (201 litres). Il faudra donc faire un choix entre le filet anti-remous, le c o u v re - c a p o t e e t l e s bagages... forcément souples. En optant pour la finition d'accès Collector (notre modèle a été photographié sous l'ancienne f inition Coast), on dispose déjà d'un équipement complet : 6 airbags, système Easy Entry (facilite l'accès aux places arrière), autoradio CD 10 HP, capote électrique ultra rapide, filet anti-

remous, jantes alliage 16 pouces, régulateur de vitesse, radar de recul, antibrouillards avant… bref, la bête à bon dieu fait mieux que la plupart de ses concurrentes directes. La version Carat, qui a notre préférence, y ajoute les superbes jantes de 17 pouces et la sellerie cuir. La seule option disponible est la peinture métallisée à 466 euros. La New Beetle repose sur une plate-forme de Volkswagen Golf 4. Contrairement à cette dernière, la coccinelle moderne est beaucoup mieux amortie.


Ce n'était pas bien compliqué hélas. Assez confortable et freinant bien, elle est parfaite pour la promenade. Le châssis avouera toutefois certaines limites en haussant le rythme, mais après-tout, elle n'est pas faite pour ça. Sous le capot, le 1.6 essence est sans doute le meilleur choix. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'un cabriolet est une voiture plaisir, et qu'il est plus agréable d'entendre le gazouilli des oiseaux en cruisant à faible allure sur les routes de campagne, que de subir le timbre rocailleux du vénérable 1.9 TDI. Les 1.4, V5, 2.0 et 1.8

T sont quant à eux passés à la postérité... Fort de 102 ch et 148 Nm de couple, le petit 1.6 essence est loin d'être sobre (8,5 litres aux 100 km selon nos relevés) et ce n'est pas un foudre de guerre (0 à 100 km/h en 12,3 s). Néanmoins, il a le gros avantage d'être assez silencieux et souple, ce qui le rend à l'aise en agglomération et pas ridicule sur route.



LA REGION le Pays Basque

Ainsi grâce à l’appareil photo et à la voiture des deux première rubriques, nous nous rendons dans une région, où nous parlerons d’elle travers les images. nous n’oublierons pas de placer la voiture testée dans le paysage….



Une terre, un peuple, une langue et des traditions, voilà en quelques mots la d é f i n i t i o n d u Pa y s Basque, appelé ici Euskal Herria. D'une superficie de 20500 km2, il compte 3 millions habitants. A cheval entre la France et l'Espagne, le Pays Basque s'étend de la chaîne des Pyrénées au golfe de Gascogne. La montagne, bien installée, forme la frontière franco -espagnole, et partage les sept provinces constituant le Pays Basque. A quelques encablures de là, l'océan et ses falaises vertigineuses, ses plages de sable fin et la baie des corsaires qui affiche plus de 2000 ans d'histoire. Pour les aventuriers, dans les terres, entourées de collines douces, vous rencontrerez des trou-

de brebis et des pottoks (un petit cheval basque) Pour les sportifs, le Pays Basque est une terre de r u g b y, c o m p t e d e u x grandes équipes de rugby, B AYO N N E E T B I A RRITZ. Lorsqu’elles s'affrontent, lors du derby basque, le Pays Basque tout entier s’arrête, 80 minutes interminables. Le Pays Basque est aussi une terre de gastronomie, de nombreuses spécialités en font sa réputation, comme l'axoa, la piperade, le jambon de Bayonne, le piment d'espelette, le fromage de brebis. Amateurs de pêche en mer ou en rivière, du bord ou en bateau, vous trouverez votre bonheur au Pays Basque.


Socoa

Situé entre Ciboure et Urrugne, le quartier de Socoa et son fort sont un passage obligatoire. Son histoire commence sous Henri IV. Afin de protéger le cité des corsaires (Saint- Jean-deLuz), il souhaitait construire un fort. Celui-ci ne verra le jour que sous le règne de Louis XIII. Il repoussa de nombreux assauts. Bien des années plus tard, un nouveau problème apparut , la conquête de la mer. Lors des violentes tempêtes d'hiver, les maisons du rivage étaient détruites, la Nivelle s'ensablait et l'eau envahissait de nombreux quartiers de Saint-Jeande-Luz situés plus bas que le niveau de la mer.


En 1863, pour lutter contre la mer, les digues de Socoa, l'Artha et Sainte Barbe sont construites. De nos jours, lors de tempêtes, l'impact des vagues sur les digues propulse l'eau jusqu’à 10 mètres de haut. Toute l'année, des blocs de béton sont déposés pour renforcer le fort et lutter contre les assauts de la mer.

Depuis les digues, de nombreux pêcheurs viennent traquer le bar (appelé louvine au Pays Basque) les sparidés ou encore les céphalopodes. La pêche du thon rouge au Pays Basque: Depuis de nombreuses années, le thon est pêché à la traîne de façon traditionnelle avec un leurre appelé le "paeta", poisson


fourrage en basque. La feuille de maïs était utilisée à l'époque pour former le leurre. Dorénavant remplacée par du crin, le "paeta" est constitué d'un hameçon double monté sur une articulation de coton perlé, dite 'artsa' qui évite la rupture du monofilament et d'un mélange de crin et de raphia coiffés d'un octopus.


Depuis les digues, de nombreux pêcheurs viennent traquer le bar (appelé louvine au Pays Basque) les sparidés ou encore les céphalopodes. La pêche du thon rouge au Pays Basque: Depuis de nombreuses années, le thon est pêché à la traîne de façon traditionnelle avec un leurre appelé le "paeta", poisson fourrage e n basque. La feuille de maïs était utilisée à l'époque pour former le leurre. Dorénavant remplacée par du crin, le "paeta" est constitué d'un hameçon double monté sur une articulation de coton perlé,

du monofilament et d'un mélange de crin et de raphia coiffés d'un octopus. Il est de loin le leurre qui a pris le plus de thons sur toute la côte basque et beaucoup continuent de l'utiliser. Cependant une nouvelle technique de pêche est en train d'exploser, la pêche au leurre sur les chasses. Les quotas appliqués depuis plusieurs années sur le t h o n rouge ont rapproché le poisson de nos côtes. Dorénavant, à quelques miles , ils attirent l'attention de plus en



En abondance, le thon qui se nourrit chaque jour de 30 % de son poids, monte de plus en plus en surface pour s'alimenter et nous offre des chasses gigantesques. Il n'est pas rare de voir des chasses s'étendre sur plusieurs miles, elles peuvent durer de quelques minutes à plusieurs heures. Armé d'un canne performante, de leurres à armatures solides, vous pouvez partir à la

suite approchezvous le plus discrètement possible à une distance confortable de lancer. Attention! Appliquezvous! Bien souvent, vous n'aurez qu'un ou deux lancers. Lors d'une touche, vous aurez droit à un rush d’anthologie, le combat commence. Bien que les photos soient très tentantes, essayez de garder le plus longtemps possible le poisson dans l'eau, car lorsqu'il monte à bord, son taux de survie


suite approchez-vous le plus discrètement possible à une distance confortable de lancer. Attention! Appliquezvous! Bien souvent, vous n'aurez qu'un ou deux lancers. Lors d'une touche, vous aurez droit à un rush d’anthologie, le combat commence. Bien que les photos soient très tentantes, essayez de garder le plus longtemps possible le poisson dans l'eau, car lorsqu'il monte à bord, son taux de survie diminue considérablement.


Tout d'abord, il vous faudra trouver le poisson, ensuite approchezvous le plus discrètement possible à une distance confortable de lancer. Attention! Appliquez-vous! Bien souvent, vous n'aurez qu'un ou deux lancers. Lors d'une touche, vous aurez droit à un rush d’anthologie, le combat commence. Bien que les photos soient très tentantes, essayez de garder le plus longtemps possible le poisson dans l'eau, car lorsqu'il monte à bord, son taux de survie diminue considérablement. Cette technique a pu voir le jour grâce à

Une canne à thon est très spécifique. Contrairement à des carrangues ou à d'autres poissons exotiques, le thon ira sous le bateau, préférez donc des cannes à action plus parabolique que les cannes dites à action "de pointe". Le rêve de pêcher un thon au lancer est à la portée de tous. Plus besoin de partir à des milliers de kilomètres, vous retrouvez les mêmes sensations que lors d'un voyage exotique, en restant en France. Vous pouvez dorénavant vous éclater en spinning sur des beaux poissons la journée et vous régaler de tapas et d'un verre de sangria le soir.



le resto Ibarboure

Quoi de plus agréable de passer un bon moment , dans un beau restaurant… vous n’avez jamais rêvé qu ‘un grand chef vous fasse une recette avec les ingrédients du potager…et bien suivez le guide.



DENTI grillé de petit bateau, couteau de plongée en persillade Ingrédients pour 4 personnes - 2 Dentis de 600gr - Algues dulse 30gr - Laitue de mer : 30gr Couteau de plongée - Gros couteau : 4 pièces - Tête de veau : 50gr - Câpre liliput : 10gr - Echalote : 1 pièce - Citron jaune : 1/2 - Persil plat : 10gr - 1 gousse d’ail - Huile d’olive- 1cl de vin blanc


PREPARATION - Lever le Denti - Quadriller le Denti au grill - Cuire au four 3 minutes à 160° LE COUTEAU EN PERSILLADE - Ciseler une échalote - La faire revenir avec du beurre dans un sautoir, ajouter les couteaux et 10cl de vin blanc. Ceci nous sert à ouvrir les couteaux. Les enlever de la coquille et ne garder que la belle partie du coquillage. - Faire revenir 2gr d’ail haché, ajouter la tête de veau, câpres, citron, échalote ciselée. - Bien faire revenir le tout et ajouter les couteaux taillés. Débarrasser en suivant afin de ne pas trop cuire les couteaux. Saupoudrer de


e, Les Frères Ibarbour chemin Ttalienea, 64210 BIDART 05 59 47 58 30



L’hotel Café de Paris

Quoi de plus agréable d’arriver dans un cadre de rêve et de s ‘endormir en toute quiétude, après ce fabuleux repas…


pavée de Bellevue, brille l’élégant Café de Paris. écrin d’océan et de plages, dominant la superbe place couronnées, des artistes et des écrivains. dans cet Biarritz, destination de faste et de fête, ville des têtes

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res ont toutes les chamb and, et où tz ri ar Bi e d el m , gour Seul Hot laxant, captivant vue sur la mer…Re Son style Art Deco, largement transatlantique !!!bot Normandie, offre un rythme e inspiré du paquene lasse jamais. Au coeur même d de croisière qui et l’espace Bellevue, le Casino, la ville, le parkingVillas du XIXème, le massif d les somptueuses ges de sable fin, les spots de hortensias, les planautisme. !!!! surfs, les joies du



Le CafĂŠ de Paris, 5 Place de Bellevue, 64200 Biarritz, 05 59 24 19 33



Le sport Histoire du Surf Ă Biarritz 1957-1990


LES 4 MOUSQUETAIRES Jacky Rott prend les cotes de la planche de Viertel et en fait 2 répliques en balsa. En juin, Peter Viertel revient, fort de quelques sessions en Californie, avec une 2ème planche qu’il confie à Joël de Rosnay, le premier « grommet » de l’ époque qui fait rapidement des progrès. A la fin de l’été, la Côte Basque compte désormais 4 surfers assidus : Peter Viertel, Georges Hennebutte, Jacky Rott et Joël de Rosnay. Ils font ensuite d’autres adeptes, à commencer par Michel Barland . C’est le 11 Septembre 1957 que le Journal de Biarritz publie le premier article de presse sur le surf.

1958 Jacky Rott lance Neptune, la première marque de planches en France. Après la gaze anti-dérapante qui arrache le ventre, le liège qui boit l’eau, c’est finalement la paraff ine qui devient le produit idéal pour ne pas glisser. Puis, Barland et Rott s’associent pour fabriquer les premiers modèles français de série en plastique. En

septembre une équipe de Lifesavers australiens vient à Biarritz pour des démonstrations de sauvetage et montrent ce qu’ils savent faire : départ dérive en avant, monter à deux sur une planche, virages…Les locaux découvrent que le surf ne se résume pas à faire que de la longueur de vague.

1959 C ré a t i o n d u p re m i e r s u r f club : le Waikiki Surf Club à Biarritz C’est grâce au milliardaire Péruvien Carlos Dogny que naît le 16 Septembre 1959 le premier surfclub en France « Le Waikiki » qui s’installe dans les établissements des Bains de la Côte des Basques, équipé d’un râtelier d’une trentaine de planches. Les membres fondateurs sont : Carlos Dogny, Peter Viertel, Jacques Rot t, Georges Hennebutte, Joël de Rosnay et Michel Barland. Les membres du club sont : André Plumcocq, Robert Bergeruc, Pierre Laharague, Joseph et Jo Moraiz, Paul Ponde-


epeyre, Henri Etchepare et Claude Durcudoy.. C’est à cette époque d’Hennebutte met au point le « fil à la patte » que son neveu, Claude Durcudoy, finit par adopter. C’est dix ans plus tard que l’américain Clark brevette le modèle du leash aujourd’hui indispensable à la pratique du surf. Barland et Rott se lancent dans la fabrication de planches et produisent les premières planches en mousse polyuréthane avec polyester et fibre de verre.

1960 Le 11 septembre ont lieu les premiers Championnats de France. 1er : Joël de Rosnay. 2ème: Michel Barland. 3ème : André Plumcoq. Le jury est composé de Dedieu, Hiriart, Giese et Viertel

1961 En septembre ont lieu à Biarritz les premiers Championnats d’Europe. 1er : Jacques Rott. 2ème : Pierre Laharague. 3ème : André Plumcocq. 4ème : Joël de Rosnay. 5ème : Michel Barland.

1962 La France dans Surfer Magazine Suite à une correspondance entre Joël de Rosnay et John Severson, créateur de Surfer et futur père de Jenna De Rosnay, le premier article sur les vagues en France paraît dans le magazine de surf créé en 1960 avec des photos de Jacky Rott, Philippe Gérard et Eddie Ladd. Ce qui explique la venue de nombreux Californiens dès les années 60. Pour les championnats du monde au Pérou, c’est J.Rott et J.Moraïz qui représentent la France.

1964 Création de la Fédération Française de Surfriding dont le siège était à Biarritz Le Surf Club de la Chambre d’Amour devient le Surf Club de France qui rivalise avec le Waikiki de la Côte des Basques. A chaque spot son club : à la Grande Plage naît le Biarritz



Surf Club. Le 20 août a lieu la réunification des clubs sous la présidence de Guy Petit, maire de Biarritz. La veille avait eu lieu à 20h30 sur la seule chaîne de télévision de l’époque « les Coulisses de l’exploit », un reportage dédié au surfing. Le Surf Club de France fait l’acquisition d’un Peugeot, le surfmobile (surfcar de l’époque) pour transporter les groupes de surfeurs vers les différents spots. La Coupe Patou, sponsorisée par le célèbre parfumeur, est remportée par Eddy Ladd devant JeanMarie Lartigau et Yves Dumon. Quant aux championnats de France, ça se passe à la Barre et c’est Philippe Gérard qui grimpe sur la plus haute marche. Le 2ème est Joël de Rosnay, le 3ème, Eddy Ladd. C’est cette année-là qu’ont lieu les premiers championnats du monde à Manly à Sydney. Joël de Rosnay fait le voyage et en ramène le premier skateboard que lui a offert Phil Edwards.

1965-66 Un premier magazine de surf est lancé avec Surf Atlantique. Jo Moraiz est le premier à commercialiser le surf : il importe des pro-

californiens et anglais, ouvre le premier surfshop place Ste Eugénie. et la première école de surf un an plus tard. Surfer magazine fait paraître un nouvel article sur la France ('The fabulous french surf'). Les championnats de France sont remportés par les frères Lartigau. Ce titre marque l'émergence d'une nouvelle génération qui dominera le surf français jusqu'à la fin des années 70.

1970-75 Flower Power Le surf est dans l'air du temps. Il véhicule les valeurs issus de mai 68 et de la contre culture américaine (flower power). Le surf est associé au voyage, à une vie hédoniste voire marginale (hippie). Biarritz est une étape obligée sur les itinéraires des globes trotters de la vague.



Surf de masse Championnat du Monde amateurs à Biarritz remporté par Tom Curren, qui, quelques années plus tard, s'installera à Biarritz. Les années 80 voient l'ascension du surf qui passe d'une pratique confidentielle au surf de masse. En se démocratisant, le surf devient une activité sportive et de loisir représentative de la culture locale. En même temps, la compétition se développe. A Biarritz une génération de surfeurs truste les titres nationaux et élève le niveau technique du surf français : Thierry Sansoube, Pierre Nazeyrollas, Michel Larronde, Eric Graciet…. Le surf devient sport à part entière. Le surf business décolle à l'instar des sports de glisse en France. Installation de Quiksilver Europe à St Jean de Luz.

La presse surf Naissance à Biarritz de Surf Session : Premier magazine français de surf.

Biarritz Surf Master Première compétition professionnelle à Biarritz : Le surf Master

Un secteur d'activité à part entière Au cours des années 90, le surf à Biarritz devient plus sérieux. S'il participe de plus en plus à l'activité économique de la cité, il devient aussi un enjeu d'éducation à travers notamment la protection de l'environnement ( création de Surfrider Foundation Europe en 1990), l'épanouissement sportif de la jeunesse (structuration des clubs, amélioration de l'accueil et de l'apprentissage).





Le groupe LA FEMME


La Femme naît à Biarritz à l’aube des années X, quand Sacha et Marlon, munis d’une guitare et de Garageband, entament leurs premières compositions. Ils s’essayent à divers styles, de la chanson française pop des années 60’s / yéyé à la musique surf californienne. Ensemble ils triturent pianos, synthés et planches de surf. Marlon doit alors déménager à Paris, où il rencontre Sam, bassiste. Ils se font les dents avec S.O.S mademois e l l e , g ro u p e d e ro c k français à l’ancienne avec Olivier Peynot au chant, tandis qu’à Biarritz, Sacha affute ses riffs de guitare et fait pousser la reverb avec le groupe de surf “Les Redoutables !”. Sacha, bac en poche, rejoint ensuite ses potes à Paris. Ils écoutent des groupes de cold wave français, Deux en Tête, et les groupes à synthé, Marie et Les Garçons surtout, qu’ils apprécient beaucoup. Et ils affinent leur propre style : surf wave, bizarre wave, strange wave, weird witch wave, silly mental wave ou ‘Psycho Tropical Berlin’. Comme on veut, pourvu que ça se termine en vague.


Ainsi Sacha , Marlon et Sam créèrent LA FEMME. La Femme n’a pas de frontières, ni dans le style, ni dans les voix. Elle est une quête de nouvelles tex tures sonores, d’images et de sensations. Ils montent le premier live du groupe en quelques jours quand Pandora Decoster leur propose de se produire sur une grosse scène pour une compétition de surf à Biarritz. Noé à la batterie et Clémence au chant les rejoignent. La Femme, encore floue et changeante, prend forme. On est en 2010, elle offre alors un premier tube plutôt bon enfant, qui se fredonne en sifflotant ou en surfant : ‘Sur la planche’. La Femme se découvre : des garçons et des filles, autant de probabilités, pas mal de mystère et beaucoup d’énergie. Le groupe sort très vite son 2ème EP autoproduit « Paris 2012 », dont il réalise le clip. A la fin de la vidéo, ils font exploser la tour Eif fel. Il est temps d’aller voir ailleurs. Après avoir éclusé les bars de Paris, La Fe m m e p a r t e n mode tournée riche en aventures avec une trentaine de dates aux U.S, puis dès son retour en France, joue au Fes-


tival des Inrocks, aux F r a ncopholies de la Rochelle ou au Jazz festival de Montreux. Dans la foulée, bientôt rejoints par Nunez Ritter Von Merguez dit “la sauterelle” aux rythmes et à la danse et par la belle Clara Luciani au chant, La Femme se ballade un peu partout : d’outretombe à Berlin, en passant par Londres, Bruxelles ou encore Roubaix. Citoyenne et moderne, La Femme sillonne toute l’Europe. Et pour autant, La Femme reste un mystère, car rien n’est figé dans son univers perpétuellement en mouvement. Le groupe, tentaculaire, sera composé de 3 garçons (Marlon, Sacha, Sam) à temps plein et forcément dans le vent – des vagues de Biarritz au macadam de Paname -, rejoints en studio pour leur premier album par plusieurs chanteuses (Clémence, Clara, Marilù, Jeanne, au gré des envies, des octaves ou bien des dispos).


En Janvier cette année est paru un Ep quatre titres éponyme, illustré par un clip psyché double, petit court métrage épique et baroque de 11’ : « La Femme / Hypsoline ». En Avril sortira le premier album du groupe, « Psycho Tropical Berlin »: “donc voilà, c’est l ’ h i s t o i re d ’ u n couple qui a échappé au chaos et qui essaye de survivre en veillant l’un sur l’autre” – le danger est partout (liton dans le livret) Rock et pop, rococo bauhaus, sous influences multiples (Kraftwerk, Elli & Jacno…) La Femme n’a qu’une envie ; vous donner du plaisir. Généreuse et accueillante, elle vous tend sa main blanche ; si vous la saisissez, ce sera peut-être le frisson de votre vie.



Le diaporama L’IRLANDE






L’artist sam dougados


SAM, est venu à l’art par « besoin ». Après son adolescence, il ressenti la nécessité d’extérioriser sa sensibilité. Des émotions qu’il voulait garder vivantes et éventuellement partager en les transformants en œuvre. Il a commencé par ce qu’il y a de plus facile à mettre en place pour lui : l’écriture. Une image, une émotion et les mots qui lui viennent sont assemblés en proses ou en poèmes. Il s’essaya ensuite naturellement à la peinture et rapidement à la sculpture qui lui permit d’ajouter une nouvelle dimension à son travail. Il participa à sa première exposition lors du trophée des jeunes talents de Bayonne en 2003. Les avis positifs l’encouragèrent dans cette voie et il participa aux 3 éditions suivantes en présentant des sculptures. Fin 2006, les centres d’art Spacejunk Gallery situés à Grenoble, Bourg St Maurice, Lyon et Bayonne intéressés par son approche originale de la forme lui proposa de participer à leur exposition collective sur le thème « fight », chaque exposition faisant le tour des 4 galeries. D’autres suivront chaque années sur des thèmes variés. INFLUENCES Ses influences émergent du pop art, du street art, de la nature et de l’art contemporain. Il aime s’essayer à différentes techniques et matériaux et apprécie particulièrement la sculpture et les installations en extérieur. Il cherche l’équilibre et l’harmonie dans la forme pour faire ressortir la beauté simple de l’œuvre mais également provoquer le regard, créer une interaction entre l’œuvre et le public, l’œuvre et son environnement. L’ARTISTE D’AUJOURD’HUI Aujourd’hui il focalise son travail sur une forme d’art relativement peu connue et répandue : le land art et l’art environnemental. Il réalise des fresques à l’aide unique d’un râteau sur la plage. Cette discipline du land art qu’il aime appeler « beach art » en comparaison au street art par sa nature impulsive, gratuite et son appropriation d’un lieu commun « la plage » qu’il affectionne particulièrement. Ce lieu lui permet de s’exprimer sur un immense espace qu’aucun autre médium n’est capable de fournir. Ces performances en pleine nature (il en réalisa également sous d’autres formes) n’ont pas de cadre, pas de limite mis à part celle du temps. Ses œuvres éphémères ne durent que quelques heures, le temps d’une marée qui lui laisse pour le lendemain « une toile » vierge.


Ce travail éphémère permet de transformer pendant un court moment, un espace commun et connu et d’y apporter un nouveau regard, une réflexion pour ceux qui veulent regarder plus loin que leur serviette. C’est aussi un moment riche en émotions pour l’artiste, lorsqu’il commence à tracer ses fresques de plusieurs centaines de m² sur cet immense espace vierge. Un corps à corps avec la nature s’installe. La lumière n’est jamais la même, le sable bouge, le son des vagues, l’odeur des embruns et les goûts iodés de l’océan apportent une autre dimension à ce processus de création! Ce travail est double car avant que la marée n’efface ses fresques, il les photographie sous plusieurs angles, essayant de capter des instants particuliers où les baigneurs, les enfants s’approprient son travail pour en donner un nouveau sens et l’artiste après un passage sur ordinateur de ses clichés, les imprime sur aluminium brossé pour la texture et la luminosité particulière qui s’en dégage. Une histoire s’installe alors, cet te fresque se transforme, une atmosphère poétique se fixe sur cet te nouvelle image pour créer une deuxième œuvre, pérenne cette fois. Toujours dans l’univers de l’art environnemental et du Land-Arts Sam conçoit des installations avec et dans la nature. Ce qui l’intéresse dans ce travail, est de mettre en relation l’art et l’environnement, que ce dernier prenne part à ses œuvres. Comme notamment avec l’œuvre «I NEED», installée sur l’étang du château d’Arsac, qui dialogue avec l’élément (l’eau et son reflet) pour pouvoir exister. Dans son enrichissement personnel, Sam aime le partage et il essaie de multiplier les performances avec d’autres artistes de différents univers comme il a pu le faire avec des musiciens ou des peintres. Peut-être le retrouverons nous prochainement travailler avec des danseurs pour un nouveau projet ?



LE BEACH-ART OU L’ART EFFET MER C’est en voyant une vidéo de surf dans laquelle était montré le travail d’un californien, que Sam a découvert cet art si particulier et d’une dimension hors norme. Cet art, aussi appelé très récemment arenaglyphe (du latin arena : sable et du grec glyphe graver) est très primaire et basique dans sa nature : faire un dessin sur le sable avec un bâton ou un râteau. Nous nous y sommes probablement tous déjà essayés mais dans une m o i n d r e mesure. L’intérêt pour lui, sur sa plage de prédilection (la cote des Basques à Biarritz), est la dimension qu’une fresque peut prendre et donc l’impact qu’elle peut engendrer sur les promeneurs et baigneurs. Cet art appelé beach art peut être comparé au street art ou l’artiste prend possession d’un lieu commun pour y exprimer ses idées et provoquer le passant. Son travail est double puisqu’il réalise ensuite des clichés avant que la marrée n’efface ces traces. Clichés qui sont retravaillés plus ou moins pour y créer une certaine atmosphère, une lecture plus poétique, transformant parfois les baigneurs en simples


silhouet tes ou en cadrant un plan t rè s s e r ré afin de faire disparaî tre la notion d’espace. Parfois seul un détail de la fresque sera gardé. Une seconde œuvre, pérenne cette fois-ci est créée. Elles sont ensuite imprimées en édition limitée sur aluminium blanc ou brossé, pour sa texture et sa luminosité particulière qui accentuent encore plus cette atmosphère qu’il recherche.





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