Journal du détaillant n°13 avril 2013

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Revue de la Fédération des Détaillants en Chaussures de France Avril 2013 - numéro 13

L’engagement de la fédération Mes chers collègues, Votre Fédération s’engage en permanence et avec beaucoup d’opiniâtreté pour défendre notre profession. Les sujets sont nombreux et toujours autant d’actualité. Nous nous engageons avec le Conseil National du Cuir pour une augmentation des délais de paiement. Nous nous engageons avec le Collectif National contre les Villages de Marques pour limiter leur implantation et leurs M2. Nous nous engageons avec les partenaires sociaux contre les ouvertures dominicales. Et enfin, nous engageons des procédures contre tous ceux qui ne respectent pas la réglementation, aussi bien en magasin physique que sur la toile. Sur ce sujet aujourd’hui sensible, nombre d’entre vous nous interpellent pour nous indiquer que certains de leurs fournisseurs vendent en direct au consommateur sur leur site les mêmes produits que nous proposons au prix souvent conseillé par la même marque, en pratiquant aussi des remises et autres promotions. Nous regrettons cet état de fait mais nous remplirons notre rôle en vous indiquant les marques qui se laissent aller à ces pratiques. En effet, notre mission première est de donner l’information, QUE l’information mais TOUTE l’information, et nous manquerions à notre premier devoir de ne pas vous informer de ce qui se passe dans notre profession. Jean-Pierre FABRE, Président de la FDCF

Sommaire 2 La ministre du Commerce chez Chauss’Mômes. 3 L’activité en chiffres 4 Ventes privées sur le Net 6 Les tableaux sociaux 7 De la difficulté à faire respecter nos droits 8 L’AG de la FDCF en Charente

Des actions au long cours Vous râlez et les raisons ne manquent pas : cette fichue « crise » mine le pouvoir d’achat, rend le consommateur frileux et les perspectives 2013 bien sombres ! Pour ne rien arranger, on peut compter – façon de parler – sur la concurrence sournoise et déloyale des sites « pure-players » et des sites de vente directe de certains de nos fournisseurs. Concurrence encore et toujours de centres et autres villages de marques aux quatre coins de la France. Enfin, pour couronner le tout, les autorisations d’ouvertures dominicales se font toujours plus nombreuses du fait de l’extension des PUCE. Dans tous ces combats, nous sommes engagés. Nous sommes engagés dans des procédures longues et coûteuses contre des multinationales aux moyens sans commune mesure avec les nôtres, qui finissent souvent en Conseil d’Etat. Je n’entrerai pas ici dans le détail de nos procédures contre certains sites de vente en ligne qui pratiquent des soldes déguisés. Elles sont en cours (lire l’article de Philippe Daquai). Notre opposition aux centres de marques est totale. Un collectif national (voir ci-contre) conteste chaque nouvelle implantation. La procédure peut durer des années, avec à son issue la décision du Conseil d’Etat. Enfin, sur le dossier des ouvertures dominicales, nous avons fait condamner l’Etat (le Préfet) qui avait élargi un PUCE à l’ensemble de la région Ile-deFrance (voir le document ci-dessus). En 2013, la fédération sera toujours aux avant-postes ! Jean-Pierre GONET, Secrétaire général adjoint de la FDCF

www.chaussure.org


Visite ministérielle chez notre confrère

Chauss’Mômes à Lille Sylvia Pinel, ministre du Commerce, de l’Artisanat et du Tourisme, a visité le magasin Chauss’Mômes de Lille, accompagnée du préfet du Nord et du président de toutes les CCI du Nord, Philippe Vasseur. Philippe et Manuela Papillon, qui dirigent l'entreprise familiale de chaussures – 140 ans cette année –, ont ainsi pu échanger avec ces personnalités.

Manuela Papillon face à la ministre du Commerce Sylvia Pinel. En arrière-plan, le préfet du Nord, le président de la CCI de Lille et des membres du Ministère. Le premier sujet abordé, du fait de la présence du préfet du Nord a concerné la sécurité des commerces en centre-ville. Chaque jour et chaque nuit, on dénombre une dizaine d’agressions ou de vols dans le petit commerce de la région lilloise, alors que les grandes surfaces en sont le plus souvent protégées car bien organisées contre ce genre de délit. S’agissant des soldes flottants et des ouvertures du dimanche, la ministre est bien au fait de ces questions et ne cache pas son opposition. En matière de réduction des délais de paiement et de réduction de prix sur le net, elle a été franche et loyale en déclarant qu’elle n’en avait pas connaissance. En fait, ces dossiers sont traités par d’autres ministères. Ainsi, les soldes flottants sont aussi du ressort du ministre chargé de l'Economie sociale et solidaire et de la Consommation. Pour ces deux dossiers, elle devait demander à ses services compétents de faire le point et d’apporter une réponse (voir lettre ci-jointe du 22/01/2013 du Ministère du Commerce).

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Le 13 février dernier, la CGPME, CCI France et la Confédération Des commerçants de France (CDF) ont collectivement demandé à Sylvia Pinel, ministre de l’Artisanat, du Commerce et du Tourisme, et Benoît Hamon, ministre de la Consommation, la suppression des soldes flottants. Une table ronde étant annoncée en février, la Confédération a jugé important, dans cette période difficile sur le plan économique, que les pouvoirs publics adressent un message de soutien à l’égard des commerçants.


L’activité en chiffres sur deux années par Michel FOURNEYRON, consultant/formateur indépendant

Chers Détaillants. Sans faire dans le nombrilisme, mais en restant concret, c’est grâce aux panélistes de MFC, qu’il faut remercier au passage, que je suis en mesure de vous présenter cidessus sous la forme d’un graphique l’évolution mensuelle du Détail dont vous faites partie. Pour mémoire, vous pouvez découvrir les résultats de 2011. Comme je l’annonçais dans ma newsletter Trajectoire, depuis quelque temps force est de constater que 2012 ressort quelque peu négatif mais 2 fois moins qu’en 2011. Michel Fourneyron. - Sur 2012, 7 augmentations comme en 2011, dont deux à 2 chiffres. Le + 21 % de mars a surpris tout le monde, car anormal. Ce plus exagéré a été tout de suite rectifié en avril avec un - 35 % ! Moralité : il faut toujours se méfier des variations excessives. - Si, comme MFC le préconise, vous découpez l’année en séquences, on observe qu’à fin février 2012 vous étiez à + 1,8 % contre - 3,2 % en 2011. - Puis le printemps est arrivé, avec comme dit ci-dessus mars et avril affichant

des variations à faire rêver en bien ou en mal. A fin juin, le cumul des 4 mois de ce PE 2012 affichait un - 4 % à l’inverse d’un + 4 % sur le PE 2011. - Un nouveau pointage en fin de saison PE donnait les chiffres suivants : - 3 % sur la saison PE 2012 contre - 1 % pour celle de 2011 ; - 2,2 % depuis le début de l’année 2012 contre - 1,5 % l’année précédente. - Un coup de fouet a été donné avec le + 13 % de septembre. Ce résultat laissait présager un résultat annuel de 0 %. Cet espoir a été de courte durée avec le - 6 % d’octobre, faisant passer le cumul année à moins 1 %. Novembre avec ses + 7 % redonnait de l’espoir. Malheureusement, le - 8 % de décembre n’a fait qu’accentuer ce léger recul sur l’année. 1/ Au niveau des variations mensuelles : Deux variations anormales toujours difficiles à gérer, je veux parler ici de mars et d’avril. Un mois de septembre plein d’espérance resté sans lendemain. 2/ Au niveau du poids des mois : Octobre garde sa place de leader bien qu’avec 1 % de moins. Février reste toujours l’éternel dernier avec le même poids de 5 %. Septembre reprend 5 places. Pour info, en valeur, PE et AH sont équivalents entre 49 et 51 %.

Que nous réserve 2013 ? En étant consensuel et dans la lignée de nos gouvernants, je dirai “normal”. Ceci étant, je lance quelques types de réflexions et d’orientations. Le Détail, d’après les dernières études, ne représente plus que 18 % en valeur. A travers de récents interviews, vous dites que les temps sont difficiles et que vous risquez pour certains de disparaître ? Les importations semblent se réorienter à la hausse. Même dans le bas de gamme, les prix progressent de 5 à 10 %. La qualité dans l’absolu baisse. Les chaussures en cuir se font plus rares au détriment de la toile. De plus, force est de constater que les consommateurs citoyens sont confrontés à plusieurs augmentations de produits de première nécessité comme l’habitat et l’énergie.

Aussi, sans tomber dans la sinistrose, 2013 sera difficile. Je vous souhaite de faire au moins le chiffre de 2012. Surveillez votre taux de fréquentation ! S’il baisse, réagissez au plus vite en essayant d’en trouver la ou les causes et mettez sur pied une stratégie adaptée ! Quoiqu’il arrive, vos vendeuses et vous-même devront faire encore plus preuve de patience et recharger au plus vite leur dose d’enthousiasme. Merci de votre attention ! N’hésitez pas à m’interpeller ! Je suis preneur de critiques constructives. Bien à tous !

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Opérations de déstockage : 186 en 2007, 5 119 en 2012 !

VENTES PRIVÉES… Quand les fabricants se débarrassent Nous enregistrons toutes les opérations de déstockage de chaussures (sauf spécialisées dans la pratique sportive) réalisées sur les sites de « ventes privées » pendant l’année. Le plus connu de ces sites et www.vente-privee.com, mais il a été rapidement rejoint par www.brandalley.com, www.fashionPrivilege.com, www.BazarChic.com, www.AchatVIP.com, www.privateOutlet.com, www.vente-dudiable.com ou www.vente-en-or.com. Certains sont spécialisés dans l’équipement de la personne mais la majorité propose aussi bien de la décoration et de par Philippe DAQUAI, l’électroménager, des voyages, des bijoux, trésorier de la FDCF de l’électronique, parfois même des voitures neuves. Les deux premiers prennent le plus gros du marché. L’évolution du nombre de ventes est exponentielle et lorsque les médias annoncent des hausses « à deux chiffres » des ventes sur Internet, il faut également analyser l’offre qui est proposée pour se faire une idée réaliste de ce marché. En 2007 : 186 opérations de déstockage. En 2008 : 385 opérations de déstockage. En 2009 : 827 opérations de déstockage. En 2010 : 1 690 opérations de déstockage avec 540 marques différentes. En 2011 :, 2 280 opérations de déstockage avec 760 marques différentes. En 2012 : 5 119 opérations de déstockage avec 993 marques différentes. Pour les 6 premières semaines de 2013 : déjà 1 254 opérations de déstockage !!!

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Aucune marque ou presque n’est absente de la liste puisque nous avons trouvé près de 1 000 griffes différentes présentes au moins une fois. Certaines sont connues mais beaucoup sont anecdotiques. On peut se demander si ces dernières servent à écouler des produits fabriqués tout spécialement pour ce réseau ? Depuis quelque temps, nous voyons apparaître des fournisseurs espagnols et italiens qui écoulent leurs invendus sur le marché français. On constate de grandes disparités puisque le nombre d’opérations de déstockage enregistrées pour une griffe se situe, en 2012, entre 1 et 65 ! Certaines opérations font l’objet de ventes ponctuelles (vente-Flash) sur une journée et sont une spécialité de Brandalley en majorité et Vente-privée, parfois. Mais la plupart durent 3 à 5 jours, avec une durée qui a plutôt tendance à se réduire d’année en année.


de leurs invendus sur le net Les « stars » du déstokage… En 2012, un groupe de marques connues est presque présent en moyenne une fois par semaine sur un site ou sur un autre. C’est le cas de Timberland (65 fois !), Les Tropéziennes (59 fois), Converse (55 fois), Diesel (52 fois). Ce sont des griffes qui font fabriquer dans les pays à faibles coûts de main-d’œuvre. Ensuite vient un groupe de marques que l’ont voit fréquemment : Buffalo (50 fois), Robert Clergerie et Sebago (44 fois), Lollipops (42 fois), Cafènoir (41 fois), Hush Puppies (40 fois), Caterpillar (39 fois), Espace (38 fois), Guess (37 fois), Castaner et Tatoosh (35 fois). On constate donc que les opérations doublent en nombre d’une année à l’autre. Certaines proposent quelques séries comportant toute la grille de pointures. D’autres reprennent un thème et mélangent les marques (exemple : les chaussures rouges) et peuvent comporter jusqu’à une trentaine de pages de 100 modèles chacune (soit une offre de 3 000 produits différents !). Mais il n’est pas possible de connaître le nombre de paires à la pointure et, par conséquent, le nombre total de paires proposées. Ce marché sur Internet tend à remplacer les ventes dans les centres de magasins d’usine, qui fonctionnent encore bien cependant. Il faut se rendre à Troyes pour s’en convaincre. Les parkings y sont toujours bien fréquentés surtout lors des périodes de promotion (soldes, anniversaires, …). Le succès des ventes internet a réduit les ouvertures de centres dont les projets sont toujours aussi nombreux mais les réalisations beaucoup moindres. Il faut dire que les associations de commerçants locales s’y opposent farouchement avec un certain succès. Lors de la dernière réunion du Ceddec (l’association des détaillants en chaussures européens), j’ai interrogé mes collègues des autres pays sur ce type de ventes : il semble que, là encore, ce soit une spécificité du marché français. Dans les pays germaniques, leur plus gros souci est la présence des pureplayers (commerçants vendant exclusivement sur Internet), en particulier Zalando dont le nom, en deux ans, est devenu plus connu chez les jeunes que Coca-Cola ! Mais il s’agit alors des collections de la saison, présentes également dans les magasins traditionnels, comme nous avons en France avec Spartoo et Sarenza (lesquels sont pratiquement inconnus chez eux). Le gouvernement français espère trouver une solution permettant de créer une fiscalité du net à temps pour l'intégrer dans la prochaine loi de finances 2014 qui devrait être présentée en septembre, a déclaré la ministre de l'Economie numérique Fleur Pellerin sur France Inter, après avoir souligné que cela nécessitait une profonde réflexion et une refonte des concepts fiscaux classiques. « Nous sommes obligés de réviser complètement nos concepts fiscaux (...) puisque la fiscalité actuelle n'est pas du tout adaptée à l'économie numérique ». Le gouvernement s'est notamment vu remettre en janvier le rapport Collin et Colin, deux experts chargés de réfléchir sur une « contribution à l'effort fiscal » des groupes internationaux qui « éludent ou minorent » leur imposition en France, tels Google, Apple, Facebook et Amazon.

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Tableaux sociaux

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De la difficulté à faire respecter nos droits Dans tous les pays d’Europe, les ventes sur Internet sont un secteur de distribution qui voit sa part croître d’année en année. La VPC a été le premier secteur à pâtir de la démarche très agressive des sites de ventes en ligne. Il est vrai que la concurrence fait rage sur le net pour pouvoir exister et être vu des millions d’utilisateurs d’ordinateurs. Dans tous les pays, la part de l’équipement de la personne achetée en ligne se situe déjà entre 5 et 18 %. La chaussure fait des score plus modestes et nombre de site peinent à avoir un modèle économique rentable. Tout est donc mis en œuvre pour se démarquer, y compris utiliser des moyens frauduleux pour tromper la clientèle. Nous sommes très attentifs à ce qui se passe, nous faisons la chasse à ces excès déviants et nous les traquons. Il n’est pas toujours aisé de faire la preuve d’une fraude. Internet est fait de telle sorte que lorsqu’on constate une fausse promotion, il faut avoir enregistré, auparavant, des copies d’écran pour démontrer que le prix de référence indiqué n’est pas celui utilisé avant l’opération. Malgré tout, nous arrivons à démontrer régulièrement les tentatives de fraudes et nous demandons à nos avocats de déposer plainte en notre nom.

Sur une autre planète ! Deux récents jugements montrent qu’aux yeux de certains juges, ce qui se passe sur Internet se passe sur une autre planète et leur jugements sont pour le moins surprenants !

Dans le premier cas, un site internet gonflait les prix de références pour faire croire à des promotions particulièrement intéressantes en affichant de grosses remises alors que le prix était proche de celui utilisé dans les magasins. Si l’infraction était bien étayée et a été reconnue, nous avons été débouté car nous

n’avons pas pu faire la preuve qu’un consommateur s’était fait avoir et avait commandé le produit ! Dans le deuxième cas, le Tribunal de Commerce de Paris s’est dit non compétent. La compétence du tribunal étant celle du lieu de l’infraction, il lui fallait connaître soit le siège (la ville de Lyon dans cette affaire), soit le lieu d’hébergement du site internet car rien n’indiquait que les serveurs étaient installés à Paris. De telles décisions sont graves car elles créent une différence de traitement entre le commerçant qui a pignon sur rue, facile à identifier et facile à condamner, et le site internet, difficile à identifier, pas toujours français qui jouit d’une relative impunité. Cela ne nous décourage pas et chaque échec renforce notre connaissance juridique. D’ailleurs, nous pouvons le constater, les sites respectent de mieux en mieux les textes. F.D.

Lyne Cohen Solal sur le stand de la Fédération au TEC C'est avec beaucoup de conviction que notre vice-président a défendu la position de la FDCF auprès d'une personnalité dont on connaît la position au sein du parti au pouvoir. Ce n'était pas notre première rencontre mais l'occasion de relancer les dossiers en suspens, à savoir le repos dominical ainsi que les soldes flottants. Sur ce dernier point, ça coincerait du côté de Benoît Hamon, ministre délégué auprès du ministre de l'Economie et des Finances, chargé de l'Economie sociale et solidaire et de la Consommation. Nul doute que le lobby des multinationales et des grands magasins n'y est pas étranger. À Lille (page 2) comme à Paris, nous sommes mobilisés pour faire avancer nos demandes.

J.F.Bessec vice-président de la FDCF avec Lyne Cohen Solal, adjointe au maire de Paris chargée du Commerce sur le stand FDCF au TEC .

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Assemblée générale le 3 juin 2013 Le programme

Apéritif au Cognac sur sa terrasse face à la Charente (photo ci-contre)

Dimanche 2 juin 2013

Angoulême.

Arrivée à Angoulême à l'hôtel Mercure. Pour ceux qui arrivent tôt vous pouvez déjeuner dans les établissements suivants : « Chez Paul, COBANA » voir plan 13h30 Visite d’Angoulême à pied avec un guide. Durée 1h30 à 2h.

15h30 départ en car pour Cognac avec une visite de chai et une dégustation.

Repas au Cognac (5 plats). C’est exceptionnel et très atypique. Retour au Mercure en car.

Lundi 3 juin 2013 Le car nous emmène à La Rochefoucauld pour l’AG aux Ets RONDINAUD (fabricant de chaussures, pantoufles et charentaises).

Assemblée Générale de la FDCF Repas aux établissements RONDINAUD.

17h30 avec le car nous nous rendons à la Ribaudière à Bourg-Charente, restaurant étoilé (Thierry Verrat) en région de Cognac qui ouvre spécialement pour nous son restaurant.

Visite de l’usine. Nous y verrons différentes fabrications comme : - Montage « Strobel » et la vulcanisation - L’injecté - Le cousu retourné - La création des collections - Le fonctionnement du service achat - L’impression des tissus à la demande Pour les personnes accompagnantes : visite du château de La Rochefoucault et d’une Chocolaterie.

Réservations et renseignements auprès de notre bureau !

Tél. : 01 42 06 79 30 / 01 42 06 79 40 - Fax : 01 42 06 52 09 Du lundi au vendredi de 9h00 à 17h00 fdcf@chaussure.org www.chaussure.org 46, boulevard de Magenta 75 010 Paris. Conception : Nicolas Petit - 05 53 62 55 15

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Imprimeur : Graphicentre - 35300 Fougères


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