journal FDCF n°6

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Revue de la Fédération des Détaillants en Chaussures de France Décembre 2010 - numéro 6

Les soldes flottants Chères et chers Collègues, Le cycle des soldes est récurrent, toujours aussi aigu et encore plus d’actualité dans ce contexte social et économique difficile. Ce numéro est donc dédié aux soldes, aussi bien saisonniers que flottants. A ma dernière réunion à Bercy (document page 3), j’avais des chiffres pour étayer ma proposition de soldes (saisonniers) au 15 juillet 2011. En effet, les chiffres 2010 étaient révélateurs et confirmaient bien notre position sur cette date. Avec un mois de juin il est vrai à la baisse en chiffre d’affaires (- 12 %) mais à coefficient normal et un mois de juillet à + 26 % (meilleur chiffre mensuel du premier semestre), une saison en augmentation de 5 % et un meilleur coefficient, c’était l’embellie comme argumentation. Quelle n’a pas été ma stupéfaction lorsque Monsieur le ministre Hervé Novelli, suite au tour de table, a pris la décision de les faire démarrer le 21 juin 2011 (premier jour de l’été pour les soldes d’été), conforté en cela par le décret du 11 octobre 2010 ! Quant aux soldes flottants (objectif de la réunion), tous les participants étaient globalement contre mais le ministre a souhaité connaître l’avis du CREDOC (nous avons aussi envoyé un courrier au CREDOC) et nous a fixé un rendez-vous au 1er novembre ; celui-ci a été reporté, remaniement ministériel oblige. Mais suite aux documents ci-joints, j’appréhende que les soldes flottants deviennent des périodes fixes (avril et novembre). J’ai d’ores et déjà demandé un rendez-vous avec le nouveau secrétaire d’Etat au Commerce, Monsieur Frédéric Lefèbvre. Voilà mes chères et chers collègues un des faits qui jalonnent mon quotidien, mais sachez que, comme vous et tous mes collègues du Bureau ou du Conseil Fédéral, nous nous battons en permanence pour faire entendre nos voix. Et dans ce combat nous avons besoin de vous, de votre avis, de votre implication. Il en va de notre avenir. Jean-Pierre FABRE, Président

Sommaire 2/3 Les soldes flottants sont de retour ! 4/5 MICAM : le grand salon milanais 6 Tableaux des charges sociales et indices 7 L’Eco Contribution Faire travailler ses salariés les dimanches - Saisir le médiateur 8 La FDCF sur le web Petites annonces

La Une de Boutique2Mode n° 10.

Dans ce numéro nous faisons le point sur notre action auprès des institutions. L’important dossier pages 2 et 3 vous éclairera sur notre opposition aux soldes flottants et sur les actions en cours. Nous vivons aussi au rythme des saisons et des sessions d’achats. Dans ce cadre, le MICAM est fondamental pour certains d’entre nous qui en ont fait un passage obligé, le combinant souvent avec nos salons nationaux et régionaux. Voici les témoignages de détaillants fidèles à ce rendez-vous recueillis dans les coulisses du grand salon italien. Dans ce numéro, vous découvrirez aussi l’éco-taxe et vos obligations en la matière, largement méconnues. Décembre, ce sont aussi les dimanches travaillés. Nous faisons le point sur une réglementation pas si simple en téléchargement sur notre site (www.chaussure.org). Idéal aussi pour trouver l’un ou l’autre des multiples contrats de travail. Et en prime, toutes les rubriques habituelles. Bonne lecture ! Jean-Pierre GONET

www.chaussure.org


Les soldes flottants sont de retour ! Loin d’écouter les détaillants comme les organisations professionnelles, M Hervé Novelli, avant de quitter ses fonctions, a maintenu le dispositif des soldes flottants, et confié au CREDOC et à l’IFM le soin d’établir un rapport. Le magazine « Boutique2Mode » vous invite de nouveau à participer au débat…

Une fois n’est pas coutume, ce mois de septembre 2010 a semblé être le mois des soldes, pour les professionnels du moins, et plus particulièrement sur le sujet des soldes flottants. Début septembre, les détaillants français ont fait entendre leurs voix à l’occasion des salons dédiés à la Mode, porte de Versailles à Paris, et ont réitéré leur opposition à cette mesure, censée les aider ! Sur le salon Prêt à Porter Paris, où un débat animé par Philippe Maurel, rédacteur en chef du magazine Boutique2Mode, réunissait plusieurs responsable de la filière habillement : Patrick Aboukrat (détaillant - Abou d'Abi Bazar), Robert Brehon (administrateur d’UFC-Que Choisir), Charles Melcer (président de la FNH), Jean-Pierre Fabre (président de la FDCF) et Jean-Pierre Mocho (président de la Fédération française du prêt-à-porter féminin). Tous les intervenants se sont accordés sur la nécessité de supprimer ce dispositif de la loi LME, qui loin d’aider les détaillants les pénalise. Le sondage réalisé par le magazine Boutique2Mode (n°10), ainsi que les nombreux témoignages de détaillants, indiquent clairement les conséquences de ces « soldes intermédiaires » :

Lors de la conférence de presse sur le salon Prêt à Porter Paris portant sur les soldes flottants. Jean-Pierre Fabre est à l’extrême droite sur la photo. perte de repères de la clientèle, dévalorisation du produit, marge en baisse, marché de dupe, … Sur le Who’s Next, ce sont les détaillants qui se sont exprimés directement, et sur le stand du Café Conseils Boutique2Mode (cliquer sur le lien pour visionner en 3 minutes, cette vidéo exclusive dédiée aux soldes flottants) : http://www.boutique2mode.com/femininchic/menublog/actualite/ Mi-septembre, le secrétaire d'Etat au Commerce d’alors, Hervé Novelli, a réuni à Bercy les organisations professionnelles représentatives. Loin d’écouter leurs avis qui tendent pratiquement tous vers la suppression des soldes flottants, il a missionné le CREDOC et l’IFM pour obtenir un rapport avant le 1er novembre. Les gouvernements sont friands de rapports, pour justifier les décisions prises – ou, dans ce cas, en prélude à une mise en sommeil de cette mesure, à l’occasion du remaniement ministériel annoncé ? Le débat, l’échange, étant par nature bénéfiques à toutes prises de décisions, Boutique2Mode vous invite à nouveau à donner votre avis sur ce sujet. Vous avez été près de 500 à répondre et vos avis et suggestions ont étés repris en partie sur Boutique2Mode n°10. Si vous ne vous êtes pas encore exprimé, nous vous invitons à prendre 2 minutes pour

2 - Le journal du Détaillant - Décembre 2010

répondre au sondage : www.boutique2mode.com Nous transmettrons toutes les réponses au CREDOC, à l’IFM ainsi qu’au nouveau secrétaire d'Etat chargé du Commerce, Monsieur Lefebvre.

La rédaction de « Boutique2Mode »


Les soldes flottants vus par Bercy

A la lecture de ces 3 tableaux, on peut constater les éléments révélateurs de 3 critères : - Le peu d’engagement de nos collègues détaillants pour les soldes flottants (nous n’avons pas de taux de marquage extensible). 1er tableau : un tiers seulement de nos collègues détaillants ont fait une opération « soldes flottants ». - L’intérêt des sites Internet qui tirent le mieux leur épingle du jeu en attirant la clientèle avec des remises permanentes et des pourcentages alléchants. 2e tableau : très bon résultat sur le e-commerce. - La précocité des soldes qui oblige les détaillants à allonger leur durée pour attendre les nouvelles collections. 2e tableau : 20,4 % de nos collègues ont fait les soldes flottants à la suite des soldes saisonniers.

Le journal du Détaillant - Décembre 2010 - 3


MICAM : la chaussure au rang Pourquoi se rendre à Milan une ou deux fois par an ? Je crois que dans la vie d’un détaillant de chaussure il est important de faire cette expérience instructive. On parle de Paris comme « capitale de la mode ». C’est certainement vrai tant il y a de créativité chez nos stylistes. Par contre, si les silhouettes que l’on peut découvrir dans les revues de mode féminines nous semblent réservées à un petit nombre de femmes du monde du spectacle, il est surprenant de voir comment la femme de la rue italienne, et surtout milanaise, s’approprie ces tendances pour se faire des looks originaux mais tout à fait portables. De son côté, et c’est une tradition, l’habillement des hommes italiens est recherché ; ils osent la mixité qui choquerait chez nous ou qui les classerait dans les minorités. A Milan, la mode est partout ! Je pense que l’éducation des garçons par les « mamas » est importante en Italie au niveau de la politesse et du respect, et lorsqu’une femme se promène dans une tenue sexy, l’Italien qui la croise osera lui envoyer un « bellissima ! » auquel elle répondra, avec un grand sourire, « Mille Grazie ! ». En France cela risque plutôt de se traduire par un : « Elle est bonne ! » et de l’autre côté par un « sal c… ! ». Ce qui fait que la petite tenue sympathique risque de finir définitivement au placard. Un autre point qui peut inciter le chausseur à se rendre à Milan tient à la qualité et l’originalité de la présentation des magasins. A chaque coin de rue, les boutiques, régulièrement rénovées, présentent des concepts originaux et innovants. Les Italiens aiment les belles choses et n’hésitent pas à utiliser des matériaux nobles pour leurs façades. Mais la crise ne les épargne pas, aussi, de plus en plus, peut-on remarquer qu’avec leurs idées novatrices ils parviennent à faire des vitrines qui mettent en valeur les produits sans recourir à une débauche de luxe. Les grandes marques de luxe, elles, continuent à nous enchanter grâce à l’imagination des architectes. C’est donc une mine d’informations et d’idées à recueillir pour, le jour venu, transformer votre point de vente.

Le MICAM, pour faire évoluer son offre Enfin et surtout, il y a les très nombreuses collections présentées par le MICAM, en tel nombre que la première visite peut dérouter plus d’un chausseur ! Le nombre de fabricants français s’est réduit à un peu plus d’une centaine aujourd’hui, ce qui est triste. Les politiques italiens ont su préserver les conditions de survie de très nombreuses petites unités de pro-

Dans le prochain numéro : le salon Mess Around 4 - Le journal du Détaillant - Décembre 2010

duction dans toute l’Italie qui résistent à côté des grands noms qui nous font rêver. A mon avis, beaucoup de marques françaises nous préparent des collections innovantes et surtout très commerciales, celles susceptibles de plaire au plus grand nombre. C’est important pour beaucoup d’entre nous. Cependant, les consommateurs demandent aussi des produits plus confidentiels et plus mode, par conséquent plus difficiles à sélectionner. Visiter le MICAM permet de dégager des axes forts dès le début de la saison qui feront évoluer l’offre de votre magasin. La plus grande prudence est nécessaire : ce n’est pas parce que des centaines de stands présentent des escarpins avec 10 cm (et plus) de talon que les Françaises vont se précipiter sur ce type de chaussures. Par contre, les nouvelles empeignes, les formes plus ou moins rondes, les talons plus ou moins lourds, pourront orienter vos achats vers des produits que vous auriez délaissés sans ces informations. On ne fait pas que des bons achats au MICAM, et il faut savoir raison garder, mais tous les collègues qui s’y rendent vous diront que les informations et les découvertes font évoluer positivement leur offre. Avec les vols « low cost » et un peu d’anticipation, le déplacement à Milan peut être financièrement raisonnable. Le professionnel chausseur y gagnera une meilleure vision du marché et une expérience précieuse lorsqu’il se rendra ensuite dans les salons français, au Parc Floral ou dans les expositions régionales. Tentez l’expérience ! Philippe DAQUAI Détaillant à Soissons


de produit majeur de la mode TÉMOIGNAGES : Le salon MICAM, qui a lieu deux fois par an à Milan, est devenu au fil des saisons un moment privilégié dans notre vie de chausseurs, et ce à plusieurs titres : - Tout d’abord d’un point de vue purement ludique. Milan est une ville d’art et surtout de mode, où les vitrines de nos confrères italiens (bien que décalées de notre marché français), éveillent en nous curiosité et commentaires. Nous nous plaisons à nous retrouver, par petits groupes, devant leurs devantures, avant de flâner dans la cité où le luxe a la part belle. - Le salon proprement dit, est de grande dimension et plutôt bien articulé par pavillons, où 1 200 exposants présentent leurs collections. Notre but est de chercher et de trouver des produits qui ne sont pas très diffusés sur notre marché, et sur lesquels nous pouvons pratiquer des marges plus importantes que celles qui nous sont souvent imposées par nos fournisseurs ayant une « image de marque ». Ce salon nous permet aussi de regrouper nos achats chez certains fournisseurs nous demandant des quantitatifs importants. - Enfin, la coupure de la mi-journée nous permet d’échanger, autour d’un repas amical, nos impressions mais aussi de nous donner des rendez-vous pour des week-ends beaucoup plus ludiques.

Christophe DELMAS Détaillant à Mende Faire le MICAM est pour nous un rituel qui a commencé il y a quelques années à Bologne. Découvrir les nouveautés a quelque chose d’excitant et c’est un des plaisirs de notre profession. Nous restons deux jours sur place, deux jours pleins, de l’ouverture à la fermeture. Le premier jour est réservé au repérage des tendances, des nouvelles marques, le second aux achats. Une préparation est nécessaire tant ce salon est immense pour ne pas faire plusieurs fois le même secteur ou en oublier, éviter certains halls qui ne nous concernent pas. Cela représente entre 20 à 30 % de nos achats. En fait, nous préparons notre prochaine collection. Nous nous rendons à Milan par la route, soit environ 6 h de voiture, et logeons dans un B&B près du centre-ville. Les hôtels sont très chers à Milan aussi cette formule nous est-elle bien adaptée. Compter environ 90 euros la nuit. Profiter de cette ville qui est aussi une des capitales mondiales de la mode est très important. Dès le salon terminé nous prenons la ligne 1 et après une

dizaine de stations, on arrive place du Duomo, point de départ de célèbres artères milanaises ; Corso Victor Emmanuel puis via Monte Napoleone. C’est étonnant de voir les vitrines des grands chausseurs flashées de tous côtés par des paparazzi un peu spéciaux qui sont en fait des professionnels de la chaussure, des fabricants ou des détaillants… Puis c’est par un dîner dans l’une de ces « trattoria » dont on se transmet jalousement l’adresse que se termine une journée bien harassante. Dîner souvent partagé avec nos confrères du Nord ou du Sud-Ouest que l’on retrouve, fidèles, eux aussi, au « shoeevent » in the city of fashion.

Sophie GONET Détaillante à Montpellier Le journal du Détaillant - Décembre 2010 - 5


6 - Le journal du DĂŠtaillant - DĂŠcembre 2010


Vous avez des problèmes avec votre fournisseur, votre Eco Contribution ou Eco TLC assurance crédit, vos impôts Une nouvelle taxe : OUI pour la récupération et le retraitement des vêtements, du linge de maison et des chaussures usagées comme beaucoup de produits (matériel électronique). Ainsi en a décidé l’État . Pour qui ? Pour financer la réinsertion des travailleurs qui sont sortis du système afin de les remettre au travail dans des emplois simples . Qui gère ? Notre profession doit gérer ces produits en fin de vie contre une taxe d’environ 1 euro pour 100 paires mises sur le marché à partir de 2007 ( plus des frais de dossier coûteux ). Qui va payer ? Vous les détaillants qui ont acheté à l’étranger des chaussures sans passer par un importateur. La loi étant votée les fédérations du vêtement, du linge de maison et de la chaussure ont décidé de créer un organisme agréé publié au JO par le décret 602 du 25 juin 2008 qui s’appelle ECO TLC . Comment payer ? Votre Fédération a décidé de se charger de récupérer cette nouvelle taxe en même temps que les cotisations annuelles et deviendra votre mandataire de Eco TLC en remplissant les formulaires pour vous. Ainsi, les chausseurs qui verseront un forfait de 20 euros économiseront les frais de dossier et recevront un reçu fiscal. Les entreprises qui n’ont importé aucun produit étranger peuvent bien entendu s’en dispenser en nous adressant une attestation annuelle.

Philippe DAQUAI et Alain CORASSANT

MEDIATION DU CREDIT AUX ENTREPRISES Saisir le médiateur, un recours gratuit, simple et rapide pour accompagner les entreprises confrontées à des difficultés de financement ou de trésorerie, dès lors que leurs établissements financiers refusent un financement lié à une activité professionnelle. Piloté par les directeurs départementaux de la Banque de France (105 comptoirs en France), qui traitent les dossiers au plus des intérêts des entreprises, 65 % des dossiers sont réglés positivement. Pour en savoir plus, consultez le site internet www.mediationducredit.fr ou appelez le numéro azur 0 810 00 12 10 (prix d’un appel local).

UNE AUTRE SOLUTION FACE A LA CRISE La Commission des Chefs des Services Financiers (CCSF) vous permet de négocier le paiement des dettes fiscales et sociales jusqu’à 36 mois, ainsi que de bénéficier de remises de pénalités. La CCSF siège dans chaque département sous la présidence du Trésorier Payeur Général. Son secrétariat est toujours situé à la trésorerie générale dont l’adresse figure sur le site www.entreprise.gouv.fr (rubrique « votre interlocuteur local »). Il fonctionne comme un « guichet unique » en toute confidentialité auprès duquel le chef d’entreprise peut négocier des délais de paiements pour l’ensemble de ses dettes fiscales, impôts directs, indirects, TVA et sociales URSSAF, ainsi que l’ensemble des cotisations personnelles pour l’entreprise individuelle, dont RSI et retraite. L’octroi du plan CCSF et le respect du versement de son échéancier entraînent la suppression des poursuites financières et l’absence d’inscription des privilèges du Trésor et de l’URSSAF (dits créanciers privilégiés). Dès lors que la totalité du principal de la dette est remboursée, les entreprises bénéficient d’une remise gracieuse des majorations et intérêts de retard. La Fédération reste à votre disposition pour toute information complémentaire au 01 42 06 79 30.

Daniel BEAUFRE

Faire travailler ses salariés les dimanches : quelles conséquences ? A découvrir sur notre site internet : www.chaussure.org

Date des soldes d'hiver 2011 : 12 janvier 2011 Décret n° 2008-1343 du 18 décembre 2008

Date des soldes d'été 2011 : 22 juin 2011 Décret n° 2010-1203 du 11 octobre 2010

Nouveaux délais de paiement à partir du 1er janvier 2011 : 55 jours fin de mois. Décret n° 2009-1334 du 28 octobre 2009 portant dérogation aux dispositions relatives aux délais de paiement entre professionnels de la filière cuir. Le journal du Détaillant - Décembre 2010 - 7


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8 - Le journal du Détaillant - Décembre 2010

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