Bulletin bimestriel Contretype n° 116/Bimonthly Contretype's Bulletin n° 116

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SÉBASTIEN REUZÉ INTIME ET UNIVERSEL Contretype

10 février - 2 1 mar s 20 10

Janvier – février 2010 / Bulletin bimestriel n°116 / Ne paraît pas en juillet et août / Bureau de dépôt: Bruxelles X - P104021


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INTIME ET UNIVERSEL Cher Jean-Louis, L’exposition que nous préparons pour le mois de février 2010 s’intitulera Intime et Universel. Elle reposera sur le rapprochement de photographies réalisées entre 2002 et 2009, associant, dans leur diversité, un regard porté sur la photographie domestique, sur le paysage, sur l’abstraction, sur la nature morte ou encore sur le portrait. Le choix de cette période tient au fait que j’observe, à partir de 2002, un changement sensible de ma manière de photographier et de mon rapport au sujet. Les cadrages deviennent très structurés, droits, quand auparavant les mouvements paraissaient, en comparaison, empreints d’insouciance. Les sujets observés sont plus graves. On sort alors du travail sériel pour s’orienter vers une existence essentiellement individuelle des images, dont la justification tient dans leur quotient fictionnel, c’est-à-dire dans leur capacité à orienter la lecture, la pensée, la réaction, vers une histoire, vers une fiction, vers une transformation intellectuelle du réel. Un second degré de lecture éloigné des préoccupations didactiques de la photographie documentaire. Je n’ai pas cette vocation. Même si la série Friche, réalisée à l’été 2009 à Berlin - à l’occasion d’une résidence offerte par Air Antwerpen -, présente certaines zones du passage de l’ancien Mur comme une jungle, poussée de vie sur un ancien no man’s land, entourée d’une ville. J’observe dans les choses du réel leur capacité de transformation, je m’intéresse à ces possibles contenus dans une réalité observable que l’on pourrait qualifier de présence fantôme. Pour l’exposition est développé un livre-objet, qui fera partie des pièces exposées, au même titre que des photographies disposées au mur. Ce livre a pour but d’associer les différents travaux réalisés entre 2002 et 2009, mais d’être aussi évolutif: il s’agit d’un livre non relié, aux pages non-numérotées, dont les cahiers sont réorganisables, et dont les feuillets sont des pièces exposables. Imprimé en offset et en plusieurs phases, le livre sera alimenté, en amont comme en aval, au rythme des projets et des expositions. La première phase est un cahier de 64 pages, d’autres phases viendront s’y ajouter ultérieurement, s’y imbriquer littéralement. Les images s’y articulent selon les oppositions et les correspondances qui les rapprochent. Par leur confrontation, les différents sujets observés adoptent un statut quasi identique. Par sa nature, le livre fait le pont entre le document consultable et l’objet d’exposition. C’est dans cet esprit et en songeant à ces projets nouveaux que je me réjouis, cher Jean-Louis, de préparer cette exposition avec toi, Sébastien

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Sébastien Reuzé, Crash, 2008

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INTIMATE AND UNIVERSAL Dear Jean-Louis, The exhibition we are preparing for February 2010 will be called Intimate and Universal. It will be based on the photos I took between 2002 and 2009, which brings together a diverse range of domestic and landscape photography as well as abstract photos, still-lifes and portraits. I have chosen this period because, since 2002, I have noticed significant changes in my approach to taking photos and in my relationships with my subjects. My compositions have become very structured and fixed, whereas before they showed movement and were, by comparison, somewhat carefree. My subjects have become more serious and I seem to have moved on from taking photos as part of series to an essentially individualistic approach, where the subject justifies itself by its fictional aspect - that is to say its capacity to influence how we read it, think about it and react to it as an intellectual transformation of the real world. My photos can also be read on another level, far from the didactic preoccupations of documentary photography, for I don’t have that vocation, even if my Friche series, taken during the summer of 2009 in Berlin – as part of an Air Antwerpen-sponsored residency – shows certain former crossing points of the dismantled Berlin Wall resembling jungles bursting with life on what used to be a no man’s land, surrounded by a city. I notice the capacity of things in the real world to be transformed, I’m interested in the possible contents of an observable reality that could be described as a ghostly presence.

SÉBASTIEN REUZÉ est né à Neuilly-sur-Seine, France, en 1970. Il a fait des études artistiques à l’Ecole Nationale des Arts Visuels de La Cambre à Bruxelles (1993-1997) où il réside. Son travail photographique est régulièrement exposé en Belgique, en France, au Canada, en Angleterre et en Allemagne. Pour la Belgique, citons plusieurs expositions personnelles qui lui ont été consacrées: Galerie du Crédit Communal, Bruxelles (1999), Espace Photographique Contretype, Bruxelles, (Propositions d’artistes édition 1999), Galerie P, Bruxelles (2000). Il participe également aux Nouvelles de l’Ouest, Looking Glass, Bruxelles (1999-2000) et à l’exposition Quais, coorganisée par Contretype et Recyclart à la gare Bruxelles-Chapelle en 2000. Citons encore Life Parade à Galerie du Botanique, Bruxelles (2001); La Criée centre d’art contemporain, Rennes et l’Espace Photographique Contretype, Bruxelles (2003). En 2005, il remporte le Prix de la Jeune Peinture belge (Palais des Beaux-Arts, Bruxelles). Autres expositions personnelles: Ciels, à la galerie de La Lettre volée, Bruxelles (B); Forwart Art Fair, Gent, Belgique; Le Troisième visage de Mathilde Morel, au C.C.A. Bazouges-La-Pérouse, France (2005); Tous Les Jours à la galerie de La Lettre volée, Bruxelles, Belgique; stand de la Communauté Française de Belgique, ArtBrussels Fair, Bruxelles (2006). Il prend également part à l’exposition collective CO2 – Bruxelles à l’infini (Cracovie, Pologne; Bucarest, Roumanie; Sao Paulo, Brésil; Paris, France). En 2008, il participe à plusieurs expositions collectives. Citons: Le Centre du Monde aux Établissements d’en Face, Bruxelles; Territoire de Convergences au Musée d’Ixelles, Bruxelles; Convergence de Territoires à la galerie Les Filles du Calvaire, Bruxelles. En 2009, une exposition personnelle intitulée Numeristic Choregraphy lui est consacrée à la galerie Le Triangle de Rennes, France. Infos: www.sebastienreuze.com

Sébastien Reuzé, Désert, 2005

For the exhibition, I have also developed a book-object, which will be one of the exhibits, under the same title as the photos arranged on the walls. This book aims to bring together various photos I took between 2002 and 2009, but it will also continue to evolve: it will not be bound, the pages will not be numbered, the loose-leaf pages can be re-ordered and even taken out and used in exhibitions. It will be offset-printed in several parts, more-or-less according to the rhythm of projects and exhibitions. The first part is a portfolio of 64 pages, and others will be added later, literally interweaving themselves. The photos will be arranged according to the similarities and differences which link them. By setting various opposing subjects against each other, they will gain a quasi-identical status. By its nature, the book will bridge the gap between a reference object and the objective of the exhibition. It is in this spirit, and thinking of the new projects to which I am looking forward, that I am delighted, dear Jean-Louis, to be able to prepare this exhibition with you. 6

Sébastien Translation: Chris Bourne / Nederlandse tekst: www.contretype.org

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Sébastien Reuzé remercie l’Ambassade de France à Bruxelles pour son soutien, ainsi que Jef Cuypers et Laurence Vaes (graphisme-montage)

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CHANTAL MAES - LES BRUISSEMENTS DE L’ÂME Voyage out à VOX, Centre de l’image contemporaine à Montréal, Québec, du 16 janvier au 27 février 2010 Chantal, on dirait qu’elle croit la rencontre improbable, toujours différée, avec son travail. Ses photographies, en effet, nous laissent sur le seuil, certes accueillant, mais sans l’invite expresse d’entrer. Elle voudrait dire beaucoup, mais tout en nuances, avec discrétion, et elle semble hésiter. C’est comme lorsqu’elle parle: elle rougit, elle cherche avec précision ses mots. Mais l’on reste médusé, coi, devant cette intensité muette, cette concentration pour dire l’indicible, devant son attention aiguë au silence ou à la parole émergente. Elle nous laisse dans une pensée qui n’est plus sûre d’elle-même. C’est salutaire. Elle nous laisse presque sans mot et l’activité discursive qui revient, paraît-il, au regardeur, s’estompe. Son travail nous fait voir ce qui se passe vraiment devant l’œuvre d’art: nous sommes, au premier contact, plongés dans un quant-à-soi où le langage fait souvent défaut, dans un magma mental et un corps à corps trouble, dense et silencieux. Il n’est pas aisé de formuler ce qui nous regarde, même quand l’émotion est durable. Ou justement parce que l’émotion est durable. Dans mon souvenir, ou même dans le face-à-face réitéré avec ses portraits photographiques, avec ses vidéos qui, de manière descriptive, ne montrent que des mots, je pense toujours que Chantal montre des lèvres. Une image obsédante. Des lèvres entrouvertes ou mi-souriantes, des lèvres qui pensent, des lèvres qui hésitent sur le dire. Qui sont sur le point d’énoncer mais qui se retiennent, indéfiniment, pour trouver une juste formulation. L’on se sent comme gagné par la douce et perspicace, presque jubilatoire, indécision de la photographe. La forme est en devenir, même figée par l’appareil. C’est un choix consenti, qui la satisfait, et qui laisse le spectateur en suspens.

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Vous avez vu ses photographies (il n’y a aucun intérêt à lire un texte, j’en suis convaincue, avant d’avoir vu le travail auquel il tente de se rapporter). Vous avez vu cette Catherine, qui s’interroge entre deux suspensions de mots. D’une image à l’autre de ce diptyque, la bouche esquisse un mouvement presque imperceptible, tandis que les yeux restent fixés avec la même émotion sur les bruissements de l’âme. C’est comme si elle avait oublié la photographe, alors qu’elle fixe son objectif. Un moment de grâce, dit-on. Rien que cette évanescence de la parole, pourtant complice. Quant à Laurence, la durée de la pensée se dit dans l’inconcevable contraction temporelle de l’unique photographie. Déjà, Inward Whispers, travail entrepris à la fin des années 1990, condensait, dans chaque image, un laps de temps indéterminé, un hiatus dans la vie. Cette série de portraits d’employés d’aéroport mettait à nu

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Chantal Maes, extrait de la série Voyage Out, 2003-2009, 60 x 90 cm

ces moments que l’on dit d’absence alors qu’ils permettent un retour sur soi, même s’il est fait de dérives, de déplacements qui échappent à la conscience. Les yeux écarquillés semblent s’ouvrir sur un espace tout d’intériorité. Leur fascinant silence n’en laisse pas moins deviner un monologue privé, plein de ruptures et de bifurcations, d’articulations incontrôlées. Voyage out poursuit en quelque sorte cette précédente série car, selon ses propres mots, Chantal tend à «rendre visible une errance mentale», en référence aux Tropismes de Nathalie Sarraute. Les visages en gros plan évoquent un va-et-vient subtil entre présence à soi et porosité aux micro-événements extérieurs. L’errance des modèles, entre concentration et disponibilité aux associations les plus inattendues, traduit celle de la photographe à l’œuvre et renvoie immanquablement aux mouvements de pensée du spectateur. Avec la vidéo Take a look from the inside, titre qui pourrait concerner tout son travail, Chantal suit au plus près les jeux de l’esprit que suscite la lecture. De manière très nette, elle les donne à voir par le déplacement de la caméra qui filme une page imprimée, bribe par bribe, tout en prononçant les mots à voix haute, sur un rythme disloqué, celui du déchiffrement à travers le viseur. Le défilement saccadé de l’image et de la parole opère une vertigineuse mise en abîme du texte de Christian Dotremont, Qu’il nous arrive de bafouiller.

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Une plongée au cœur même de la création en train de se dire, en contraste avec le plan opaque de la feuille blanche. Celui-ci nous ramène à la photographie, aux visages-écrans, qui laissent pourtant entrevoir l’insondable profondeur de l’être, et aux récents paysages. Les vues de l’espace urbain ont pour point central deux images qui, selon l’artiste, marquent un retour à la conscience, une irruption du temps présent. Un enfant déguisé en Spiderman court dans un parc, une camionnette blanche et floue semble flotter dans une rue. Ils se dirigent vers nous, accusent en effet une incursion de l’extérieur, mais, à mon sens, ces surgissements énigmatiques donnent encore un sentiment d’absence. Le mouvement figé du gamin, masqué, l’apparition fantomatique, déréalisée, du véhicule, se manifestent dans une semblable suspension de l’espace et du temps. Et en effet Chantal a dû revenir sur les lieux avec sa chambre technique, pour ne montrer de la plaine de jeux qu’un espace d’une singulière vacuité. Les paysages, bien que toujours liés à la ville, semblent déshumanisés, s’érigent en scènes désertes, où même le ciel fait défaut, et l’on se heurte à ces pans très construits en deux dimensions. Le all-over de haie taillée s’avère emblématique de par sa surface opaque qui redouble la planéité de la photographie. Ces vues - qui ne sont en fait pas plus des «paysages» que les visages des «portraits» - traduisent aussi des cheminements de l’esprit, extériorisés ici par le déplacement spatial (la modification du point de vue, le flou) ou temporel (marqué par exemple par le changement de climat). La répétition opère comme un déploiement de la pensée. La cohérence du travail s’affirme, au-delà de toute thématique. Il y a quelques jours, Chantal m’évoquait quelque relation avec le travail de Walker Evans. Si je ne fis pas d’abord cette association, je la comprends bien maintenant. Elle a d’abord mentionné, bien sûr, la série dans le métro new-yorkais, Many are called, témoin des égarements de la pensée dans ce lieu de transition spatio-temporelle, où la promiscuité réclame un repli sur soi. Mais c’est peut-être, d’une manière plus générale, la conviction de l’aporie du portrait photographique qui relie ces deux auteurs si différents. Et aussi l’affirmation que l’image ne peut aller au-delà de la surface du visible. Plus encore, leurs travaux nous rappellent la vanité de vouloir tout dire, tout montrer, de croire que l’image révélerait une vérité. Catherine Mayeur

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Cette exposition s’inscrit dans le projet de coopération Wallonie-Bruxelles/Québec, une collaboration entre VOX, Centre de l’image contemporaine à Montréal et l’Espace Photographique Contretype à Bruxelles et est incluse dans le Programme de Résidences d’Artistes initié par Contretype avec le soutien de la Commission Communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale (COCOF). www.voxphoto.com

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Tirages aux pigments sur papier d’art, baryté APP Photolab Avenue du Prince Héritier 73 B- 1200 Bruxelles Tél. (32) 2 735 01 52 www.app.be info@app.be

et chiffon, sur toile, etc. N/B & Couleur. Conservation parfaite.

Prochainement à l’Espace Photographique Contretype

ANDRÉ CEPEDA – ONTEM du 24 mars au 2 mai 2010 Infos: www.contretype.org


Couverture: SÉBASTIEN REUZÉ Le Cri (détail), 2006

Ouverture: le mardi 9 février 2010 en présence de l’artiste vernissage de 18 à 21 h. Exposition: du 10 février au 21 mars 2010 Horaire: ouvert du mercredi au vendredi de 11 à 18 h, samedi et dimanche de 13 à 18h (sauf jours fériés). Editeur responsable: Jean-Louis Godefroid 1, avenue de la Jonction 1060 Bruxelles

Secrétaire de rédaction: Evelyne Biver Abonnements: Alain Hije

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Publication bimestrielle tirée à 3500 exemplaires avec l’aide du Ministère de la Communauté française Wallonie-Bruxelles.

Espace Photographique Contretype 1, avenue de la Jonction B - 1060 Bruxelles Tél: 02/538 42 20 Fax: 02/538 99 19 contretype@skynet.be www.contretype.org Les bureaux sont ouverts du mardi au vendredi inclus de 10 à 18h. L’Espace Contretype est accessible au public du mercredi au vendredi de 11 à 18h, samedi et dimanche de 13 à 18h (sauf jours fériés).


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