CCIGinfo no 6 by CCIG

Mensuel Juillet /Août 2010 No 6

Bulletin d’information de la Chambre de commerce, d’industrie et des services de Genève

Sans l’AIG, Genève serait une bourgade

Editorial

Charge à l’Etat de maintenir le cap Le Conseil d’Etat s’est récemment livré à un exercice de transparence inédit en publiant un programme de législature intitulé «Donner un cap». Il convient de souligner cet effort d’ouverture, même si l’exercice n’est pas exempt de défauts. Il n’est en effet pas possible de se départir de l’impression de découvrir un inventaire à la Prévert à la lecture de cette «feuille de route». Les diverses mesures qu’elle suggère ne mettent pas en évidence les priorités et une mise en regard des charges et dépenses d’investissements en jeu aurait pu souligner les véritables enjeux. Enfin, l’absence d’indicateur précis rend illusoire l’évaluation de l’atteinte de nombre des objectifs cités. Sur le fond, la mise en avant de certains dossiers essentiels pour les conditions cadre de l’économie genevoise est à relever. On peut notamment apprécier la détermination à accélérer la rénovation et l’assainissement énergétique des bâtiments, la politique volontariste en faveur de la construction de logements et l’énoncé de projets d’infrastructures touchant l’ensemble des modes de transports. L’absence de la réforme du statut de la fonction publique, en parallèle avec le projet de fusion des caisses de prévoyance publiques, et d’un projet fiscal concret en faveur des entreprises sont cependant à regretter. La démarche du Conseil d’Etat «Donner un cap» est toutefois rassurante. La navigation à vue est un luxe de mer calme et de beau temps, que la conjoncture actuelle n’autorise pas. Appliquer à l’Etat les pratiques de bonne gouvernance en vigueur dans l’économie privée semble couler de source. Pourquoi leur mise en œuvre se fait-elle tant attendre? Charles Lassauce Membre de la Direction

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«Sans son aéroport, Genève serait une aimable bourgade de province» relevait le président du Conseil d’Etat François Longchamp dans une interview 1. Ces propos relatifs à l’Aéroport international de Genève (AIG) font écho à l’étude GVAcube qui a été menée récemment par la CCIG en collaboration avec le Laboratoire de la production d’architecture de l’EPFL. Coup de projecteur sur cette infrastructure aéroportuaire et son influence sur l’urbanisme de Genève. L’aéroport, partie intégrante de Genève L’AIG, porte d’entrée internationale de Genève, est mondialement connu et son excellence reconnue. Il a participé à l’essor de la région depuis la seconde moitié du 20e siècle et a contribué, par sa proximité avec la ville, à donner à Genève un avantage concurrentiel qui a permis de maintenir une forte représentation des organisations internationales sur le territoire cantonal. Le transit de plus de 11 millions de passagers par an en fait un pôle essentiel pour les déplacements de la population du bassin du Genevois et au-delà. Le 21e siècle devrait encore modifier l’ancrage de l’aéroport dans la cité sur deux plans, ceux de la mobilité et de l’urbanisme. 1

Un nœud multimodal Les dernières décennies ont vu la démocratisation progressive des transports aériens. L’Europe et une bonne partie du monde sont accessibles depuis Genève. La modernisation des terminaux est un souci constant pour la direction de l’AIG afin de répondre aux besoins croissants en termes de mobilité. Le prochain défi se dessine toutefois sur un plan beaucoup plus local: faire de la zone aéroportuaire le principal pôle de transport multimodal de l’agglomération. Depuis 1987, l’aéroport est desservi par les CFF et la gare de Genèveaéroport permet aux passagers de rejoindre le centre-ville et Cornavin en quelques minutes.

Genève 2010 «L’Année de l’Aéroport des Congrès et du Tourisme», Promoedition SA

Fiche pratique RH Vous avez le sentiment d’être toujours débordé, vous courrez toujours et il vous arrive de manquer des

Presque 25 ans plus tard, il est temps de repenser ce schéma de transports et de développer la gare centrale et internationale de Genève à l’aéroport. Une station en cul-desac n’a pas de sens: il convient de prolonger les voies et réaliser une jonction ferroviaire à la hauteur de

Chambésy. De nombreux trains intercity et internationaux n’auraient plus besoin de transiter par Cornavin. Cette gare pourrait alors être desservie avec des fréquences accrues par le réseau RER dont le suite en page 2 >

Vie de la Chambre

délais importants ? Il est temps d’apprendre à déléguer grâce à la fiche pratique RH élaborée par Geneva Business News, le média des ressources humaines et du marché de l’emploi.

Dans la rubrique « Vie de la Chambre », découvrez les nouveaux membres ainsi que les différentes activités de la CCIG. Dans ce numéro, compte-rendu du Midi de la Chambre du 20 mai dernier.

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Sommaire

Vitalis Events SA Découvrez, grâce à un exemple concret, les compétences de Vitalis en matière de gestion de crise. Vitalis Events SA est une agence suisse, basée à

GVAcube, une étude urbanistique de l'EPFL exposée par la CCIG aux Bastions

Genève, dont le cœur de métier est l’organisation de réunions, conférences, séminaires, incentives et lancements de produits aux quatre coins du monde. page 7 >

Editorial: Charge à l’Etat de maintenir le cap Dossier: «Sans l’AIG, Genève serait une bourgade» Fiche pratique RH Commerce international Vie de la Chambre La révision de la LAA Sponsor corner Agenda

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développement a été plébiscité au travers du CEVA. D’autres transports publics pourraient également se trouver valorisés, notamment en lien avec le second grand défi à relever dans ce périmètre, l’ouverture de l’aéroport sur la cité.

Le tour du propriétaire

Dans ce contexte, l’aéroport a également une carte importante à jouer. L’autoroute est une tranchée qui le coupe de ses racines genevoises. Malgré la rareté des surfaces à disposition, il y aura lieu de définir une urbanisation ambitieuse mais concertée. Dans les trente ans à venir, le périmètre entre Cornavin et Cointrin devrait devenir un nouveau quartier de la ville et certainement un centre de développement économique important. L’impact de l’aéroport sur l’économie et la conjoncture genevoise est plus que jamais tangible. Il restera un atout majeur de l’attractivité de la région franco-valdo-genevoise. La Chambre continuera à l’assurer de son soutien actif pour que l’ouverture régionale que vivra Genève durant les prochaines décennies ne se conjugue pas avec une diminution de ses relations internationales. ■ Charles Lassauce

Un moteur du développement urbain Plusieurs études urbanistiques – dont celle soutenue par la CCIG et présentée lors de l’exposition GVAcube – s’accordent à voir dans le périmètre compris entre les routes de Ferney et de Vernier une des deux zones stratégiques du renouvellement urbain de Genève avec le secteur Praille-Acacias-Vernets. Ce secteur, actuellement occupé de manière assez disparate et peu dense, se trouve à moins de 5 km du centre-ville et est de mieux en mieux irrigué par les lignes de transports publics. Il doit indéniablement faire l’objet, à moyen terme, d’une réaffectation en faveur de diverses formes d’habitats collectifs, avec

une densité élevée permettant une utilisation rationnelle du sol.

François Longchamp, président du Conseil d’administration de l’AIG

L’aéroport est une priorité de l’Etat de Genève. François Longchamp, président du Conseil d’Etat et du Conseil d’administration de l’AIG, apporte la vision du propriétaire sur les questions de mobilité et d’urbanisme qui lui sont liées. L’AIG est à quelques kilomètres seulement du centre-ville. Pourtant, il apparaît comme

isolé de la cité. A l’heure des discussions sur le projet d’agglomération, intégrer l’AIG dans une politique de mobilité ambitieuse pour la région n’est-il pas une manière de répondre à ce paradoxe? François Longchamp: L’aéroport est à 5 minutes de la gare de Cornavin, et celle-ci à moins de vingt minutes en bus, taxi ou tram de n’importe quel endroit de la ville. Autrement dit, pour aller de votre bureau sur la rive gauche jusqu’à votre destination finale en Europe, vous avez besoin de moins de temps qu’un trader londonien ou parisien de son bureau à la porte d’embarquement! Non seulement l’aéroport n’est pas déconnecté du centre-ville, mais sa proximité est bien l’un de ses atouts majeurs par rapport à ses concurrents. Le CEVA améliorera encore cet attrait pour toutes les communes de la rive gauche. Cependant, nous devons améliorer l’accessibilité de l’AIG pour les autres usagers, ceux qui ne peuvent se satisfaire de l’excellente liaison CFF Cornavin-aéroport. Avec près de 12 millions de passagers par an, nous sommes déjà à l’étroit en matière de places de parking, mais

L’AIG, porte d’entrée internationale de Genève, fait partie intégrante de Genève

aussi et surtout nous manquons d’accès autoroutier et ferroviaire depuis l’est. Nous devrons donc trouver des solutions novatrices pour construire plus de places de parc - et éviter de saturer la zone avec des projets qui pourraient nuire à cette évolution. C’est aussi pourquoi j’ai oeuvré, avec mes collègues, pour que Vaud et Genève s’allient pour accélérer la construction de la 3 e voie CFF Genève-Lausanne et pour promouvoir la 3 e voie autoroutière. A terme, il est impératif que les CFF, Genève et la Confédération songent à boucler une liaison entre l’AIG et le Vengeron. Cela nous permettra de tripler le nombre de trains desservant l’AIG chaque heure. De même, la traversée autoroutière du lac, que nous espérons d’ici à 2030, drainera la zone de chalandage du Département de Haute-Savoie en contournant Genève. Les bâtiments de l’AIG sont à l’étroit, limités entre la piste et l’autoroute. Ne serait-il pas temps de franchir cette dernière et d’entamer le développement urbanistique de la région de Cointrin? L’activité aéronautique impose des contraintes de sécurité et de lutte contre le bruit qui limitent forcément la capacité de développement de l’AIG dans des zones urbanistiques, et réciproquement. L’AIG ouvrira cette année le plus grand chantier de son histoire, la fameuse «aile est» pour les gros porteurs. Nous serons prêts à accueillir jusqu’à 15 à 17 millions de passagers par an. Mais il est vrai que la configuration des lieux nous pousse à trouver des solutions très originales. Cela dit, nous avons encore du potentiel pour garantir la croissance des prochaines décennies.

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Les défis qui attendent l’Aéroport mentation de passagers jusqu’en 2025. Et comme tous nos précédents investissements, ce chantier sera assumé par l’AIG, sans recours aux finances publiques.

Robert Deillon, directeur général de l’AIG, un aéroport en pleine expansion

L’Aéroport International de Genève (AIG) se développe bien. Pourtant d’importants défis l’attendent : croître dans un site qui ne peut pas être agrandi et avec des installations relativement anciennes. Robert Deillon, son directeur général, en explique les raisons. 350 millions vont être investis dans les infrastructures de l’aéroport, notamment dans l’aile est. Qu’est-ce que cet investissement va permettre ?

Si nous parlons de chiffres, pourriez-vous commenter la répartition des recettes en 2009 ? L’essentiel pour un aéroport est d’avoir un équilibre entre les revenus aéronautiques et non aéronautiques. En 2009, les revenus aéronautiques ont dépassé les recettes non aéronautiques pour la première fois depuis très longtemps et ont atteint presque CHF 150 millions, soit 50,8% des recettes totales. Les revenus non aéronautiques ont connu une baisse exceptionnelle de 5%, due principalement au recul des ventes dans les concessions commerciales. Le climat économique mondial, la cherté du franc suisse et les travaux de modernisation ont influencé ces résultats. En

Robert Deillon : La construction de l’aile est fait partie de la deuxième tranche du plan directeur 2007-2015. Elle va nous permettre d’adapter notre capacité à la demande. Il ne s’agit pas de créer du trafic supplémentaire mais simplement de répondre à une demande qui augmente. Nous avons un besoin accru de capacité pour les avions gros porteurs qui manquent actuellement de places de stationnement. En augmentant le nombre de positions de contact, nous pourrons accueillir les long-courriers dans de meilleures conditions de confort tout en répondant aux contingences liées à la sécurité. En modernisant notre structure, nous pourrons faire face à l’aug-

Et au niveau du chiffre d’affaires ? Le chiffre d’affaires augmente bien entendu avec le trafic de passagers. Nous tablons sur une croissance de 3% par année. Mais nous n’avons pas l’ambition de devenir un aéroport de transit. Notre vocation est de desservir le marché régional, d’être l’aéroport de la Suisse romande et de la France voisine. Ce qui ne signifie pas qu’il n’y aura pas de nouvelles liaisons intercontinentales. Nous souhaitons évidemment offrir le meilleur réseau possible. D’ailleurs, avec près de 140 destinations, nous devons avoir une des meilleures dessertes au monde proportionnellement au nombre d’habitants. Mais il faut bien comprendre que la mise en place de liaisons est un travail de longue haleine dont la décision revient aux compagnies aériennes.

Une aérogare qui a déjà gagné 7500 m2 ces dernières années

2010, les recettes commerciales vont croître notamment grâce aux améliorations de l’infrastructure. Cet équilibre entre les deux types de recettes est important car il permet de garder basses les redevances aéroportuaires (redevances passagers, d’atterrissage...), de rester ainsi compétitif et donc d’attirer de nouvelles compagnies.

Les fiches pratiques ressources humaines Chaque mois, en collaboration avec Geneva Business News, le média des ressources humaines et du marché de l’emploi, retrouvez les fiches pratiques et explorez un aspect de la vie quotidienne en entreprise.

Fiche n°18 Apprenez à déléguer!

Pourtant en 2010, il y a eu une éruption volcanique qui aura un impact. L’avez-vous déjà chiffré ? Nous avons perdu 180’000 passagers mais c’est une supposition car certains n’ont peut-être fait que repousser leur voyage. En tout, 1800 vols ont été annulés. Un manque à gagner que nous estimons à CHF 4 millions pour l’aéroport. Quels sont les défis à relever pour l’AIG ces prochaines années ? L’un des défis majeurs est de trouver, dans un espace réduit, des possibilités d’installer de nouvelles infrastructures afin de répondre à l’augmentation de trafic : nous prévoyons quelque 15 millions de passagers en 2020. Le site de l’aéroport ne peut pas être agrandi car il est entouré de bureaux, d’habitations et d’infrastructures routières. Pas plus qu’il n’est possible de construire une nouvelle piste en raison du manque d’espace. Mais à l’intérieur du périmètre de l’aéroport, il est encore possible d’agrandir et de moderniser les bâtiments, et d’ajouter des places de stationnement pour les avions. Nous devons être ingénieux, car ces travaux doivent être réalisés tout en continuant l’exploitation. L’aérogare condense toutes ces difficultés. Réalisée en 1968, elle a donc duré beaucoup plus longtemps que la première, construite en 1949. Pour un bâtiment aéroportuaire, 40 ans c’est beaucoup. On ne peut pas la démolir et dire aux passagers d’aller prendre l’avion à Lyon. A défaut d’avoir pu en construire une nouvelle, nous avons procédé ces dernières années à d’importants travaux de rénovation et d’agrandissement. L’aérogare a ainsi gagné 7500 mètres carrés de surface d’exploitation. Mais malgré ces transformations, nos installations restent anciennes par rapport à la majorité des aéroports. Propos recueillis par Frédéric Vormus

Malgré nos précédentes fiches pratiques, vous êtes toujours débordé … Il est sûrement temps pour vous de déléguer une partie de votre travail. « Mais cela sera moins bien fait ! », entend-on souvent de la bouche de nombreux cadres et dirigeants … ce qui revient à nier les compétences de ses

Voici 10 règles à respecter 1. Identifiez les tâches que vous pouvez déléguer, ce qui commence par clarifier votre propre rôle dans l’entreprise; ne soyez pas surpris si vous découvrez que la majorité de votre temps n’est pas consacré à votre cœur de mission, c’est hélas souvent le cas! C’est précisément là que vous pourrez déléguer. 2. Dans cet esprit, déléguer n’est pas se débarrasser des tâches qui vous embêtent ou que vous méprisez! Encore une fois, réfléchissez à votre rôle. 3. Une fois que vous avez listé les tâches à déléguer, identifiez le ou les collaborateurs qui s’en chargeront; pensez à exploiter les potentiels, donnez par exemple une responsabilité nouvelle à quelqu’un. 4. Définissez clairement la mission, donnez un objectif précis à atteindre. 5. Laissez de la latitude à vos collaborateurs; ne faites pas du

employés, à scléroser l’entreprise, à vous surcharger et à vous stresser. Déléguer, c’est réinstaurer la confiance, la progression et la motivation, tout en vous permettant de dégager du temps pour vous consacrer à ce qui crée votre valeur ajoutée. Voici dix étapes-clés pour y parvenir. micro-management en étant toujours derrière leur dos! 6. Par contre déléguer n’est pas abandonner! Prévoyez des réunions de suivi pour faire le point, conseiller et recadrer. 7. De même, vous veillerez à ce que vos employés disposent du support nécessaire à l’accomplissement de la tâche (nouveaux moyens informatiques, par exemple). 8. Acceptez que les tâches soient accomplies moins vite, voire moins bien, que si vous les aviez effectuées vous-même; lâchez prise! Fixez des délais et un seuil de qualité par rapport aux objectifs, pas en comparaison avec vous. 9. Prévoyez un bilan une fois la mission accomplie; donnez un retour à vos employés et demandez-leur ce qu’ils en ont retiré. 10. Enfin, profitez du temps gagné pour vous concentrer sur la stratégie, la définition d’objectifs, le management, bref ce qui vous incombe vraiment!

Prochaine fiche: Ne soyez plus stressé! Retrouvez l’article complet sur: www.gbnews.ch

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Commerce international

Exposition 2010 à Shanghai: Genève se présente sous le thème de l’eau

ATASwiss, la nouvelle plate-forme de gestion des Carnets ATA Depuis le mois de juin, ATAonline a été remplacé par ATASwiss. La nouvelle plate-forme www.ataswiss.ch permet de remplir des demandes de Carnets ATA en ligne et de les transmettre à sa Chambre de commerce. Après vérification, cette dernière imprime les feuillets du Carnet ATA. Celui-ci est envoyé, comme jusqu’ici, au demandeur par la poste ou remis au guichet.

ATASwiss est une application réalisée par WebExpert et proposée par différentes Chambres de commerce, dont la CCIG. Elle possède de nombreux avantages: • il n’est plus nécessaire de commander des formulaires de demandes • les demandes peuvent être effectuées 24h/24h, 365 jours par an • l’envoi de la demande par la poste n’est plus nécessaire

• les données sont contrôlées et validées immédiatement • le système est sûr et les informations cryptées. Cette méthode est l’occasion pour tous les exportateurs genevois d’utiliser un moyen plus avantageux, plus convivial, plus sûr et plus rapide pour mener à bien leurs exportations, sous réserve de disposer d’une connexion à Internet haut débit et d’un ordinateur équipé d’un navigateur récent.

Le Carnet ATA Le Carnet ATA est un document douanier international qui peut être utilisé en lieu et place des documents douaniers nationaux habituellement nécessaires, pour l’importation et l’exportation temporaire de marchandises, ainsi que pour leur transit. Le pavillon des villes de Bâle, Genève et Zurich se compose d’une passerelle entourée d’une surface d’eau, d’un écran géant à 360 degrés, d’un stand d’information et d’un espace pouvant accueillir jusqu’à 120 personnes

L’Exposition Universelle la plus grande réalisée à ce jour, dont le thème est la qualité de vie en milieu urbain, se déroule du 1er mai au 31 octobre 2010 à Shanghai. Pas moins de 70 millions de visiteurs sont attendus et, pour la première fois, les villes sont invitées à participer. Ainsi, en complément au Pavillon de la Confédération pour promouvoir la Suisse, Bâle, Genève et Zurich sont représentées au sein du pôle « Urban Best practice area », un espace spécifique dédié aux meilleures pratiques en matière de gestion urbaine. Le pavillon des trois métropoles suisses aborde sur 720 m2 la gestion durable de l’eau. Œuvre de l’association PR’EAU LEMAN, le contenu genevois du pavillon est consacré à l’assainissement du lac Léman. Pollué il y a

30 ans, il bénéfice en effet aujourd’hui d’une eau d’une excellente qualité. Ce résultat est présenté selon trois thématiques, à savoir la coordination entre les acteurs publics et privés, la mise en valeur des activités urbaines en lien avec le lac et la spécificité de la démarche genevoise et ses transpositions possibles à d’autres contextes. Aujourd’hui, l’ensemble du canton de Genève est alimenté par l’eau du lac Léman. Ce dernier constitue non seulement un axe de développement pour la région mais aussi un réservoir unique de biodiversité et une base de loisirs pour la population. Pour plus d’informations, voir le site www.basel-geneva-zurich.org.

Le Carnet ATA peut être utilisé pour des échantillons pour démonstration, du matériel professionnel et des objets destinés à des expositions, foires et congrès.

Le Carnet ATA permet à son titulaire ou à son représentant d’éviter le paiement ou le dépôt de droits de douane ou de tous les autres droits et taxes perçus à l’importation. Le Carnet ATA est valable pendant 1 année. Il ne peut être prolongé. Important : les autorités douanières étrangères sont habilitées à réduire, par exemple à deux ou trois mois, le délai fixé pour la réexportation. Ce délai abrégé est

inscrit sur la souche d’importation et doit être impérativement observé, même si la durée de validité du Carnet est plus longue. La CCIG, en tant que Chambre de commerce émettrice, assume la fonction de caution à l’égard des autorités douanières étrangères. Afin de couvrir les risques que cet engagement entraîne pour la Chambre, le titulaire du Carnet doit fournir une garantie (caution).

Les étapes de l’élaboration d’un Carnet ATA en quelques clics: Etape 1: Demander un accès • Connectez-vous à ATASwiss (www.ataswiss.ch) et sélectionnez la CCIG. • Remplissez le formulaire de demande de compte online, vous recevrez un contrat par email à signer et retourner à la CCIG. • Dès réception du contrat, vous recevrez un compte par email de la part de la CCIG. Etape 2: Préparer une demande de Carnet ATA • Connectez-vous à ATASwiss.ch et sélectionnez la CCIG. • Introduisez votre login. • Cliquez sur le bouton «Nouveau» dans la barre d’outils. Etape 3: Remplir le formulaire de demande • Saisissez une référence, les informations relatives au responsable et au représentant. • Indiquez le nombre de feuillets, l’utilisation prévue et le mode d’expédition. • Saisissez l’itinéraire prévu, la liste de vos articles et «Soumettez la demande».

Etape 4: Le carnet est prêt! Le Carnet ATA vous est délivré par courrier ou est à retirer au guichet. Pour plus d’informations Les collaborateurs du Service Visas et Légalisations de la CCIG se tiennent à disposition pour tout renseignement complémentaire. Contact: Fabio Quero, responsable du Service Visas et légalisations de la CCIG, tél. 022 819 91 02, e-mail: f.quero@ccig.ch

Une brochure faisant état de ces différentes étapes est à disposition au guichet de la CCIG, bd du Théâtre 4, Genève ou sur le site internet de la CCIG: www.ccig.ch/Fournirdesservices/ Exportations/CarnetsATA.aspx et celui d’ATASwiss www.ataswiss.ch Ont participé à cet article: Raphaël Kummer et Hervé Sanglard, WebExpert

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Vie de la Chambre

Bienvenue aux nouveaux membres

Midi de la Chambre du 20 mai 2010

admis lors de la séance du Conseil de la CCIG du 14 juin 2010 ALLIANZ SUISSE Compagnie d’assurances www.allianz-suisse.ch

ECUER Philippe Conseils en matière de main-d’œuvre étrangère

QUEST PARTNERS SA Private Equity www.questp.com

Monsieur Andreas BISCHOFF Consultant indépendant www.trans-cultura.com

INPHO GROUP Services télécommunications

RADIO ONE FM SA Station radio www.onefm.ch

JYOTI RELOCATION Agence de relocation www.jyoti-relocation.ch

B(Business)-NURSERY SA Centre d’affaires www.b-nursery.com CAPIVAL GESTION – BUSINESS PARK HOTEL Résidence de tourisme et d’affaire www.business-park-hotel.com

WIDER SA GENEVE Atelier d’ébéniste, agencement d’intérieurs

Monsieur Erwin MEYER c/o GENEVE TOURISME & BUREAU DES CONGRES Membre individuel

Comme chacun des Midis de la Chambre, celui du 20 mai dernier a permis de nombreux échanges

WINDOOR SA Fabrication, distribution et commerce de mécanismes de manœuvre de portes et autres Monsieur Pierre-Yves équipements techniques Monsieur Jean-Marc DELARUE MUEHLEBACH C/o Clio Conception www.windoor.ch C/o ROSBANK (Switzerland) SA de Logiciel Objet SA WISEKEY SA Membre individuel Membre individuel Société de certifications numériques DTI Devis Travaux Immobiliers Sàrl NEXAVIS www.wisekey.com Société de courtage en travaux Prestations de services en www.illico-travaux.ch informatique - www.nexavis.com

Sponsors

IDDI INFORMATIQUE Sàrl Société Informatique www.iddi-informatique.ch

Co-sponsors

SALON DES CHOCOLATIERS Sàrl Evénementiel www.salondeschocolatiers.com SWICA Organisation de santé Compagnie d’Assurances Maladie et Accident www.swica.ch EVERSHEDS SCHMID MANGEAT SA Etude d’avocats www.eversheds.com ARTYS SUISSE SA Télé, vidéo-surveillance www.artys.ch

Partenaires

2010

Organisée chaque mois, cette manifestation qui permet aux membres de la CCIG de se présenter brièvement rassemble quelque 50 participants.

problèmes habituels des banques, grâce à une approche d’investissement simple, transparente et reposant sur le bon sens. www.bordier.com

MICROGESTION Grâce à son concept global, Microgestion propose des solutions sur mesure aux particuliers et aux entreprises dans les secteurs suivants: finances, assurances, fiduciaire, immobilier et conseil aux Corporate, PME, PMI et indépendants. De plus, dans ses nouveaux bureaux au Geneva Airpark, une nouvelle plate-forme a été créée: le GENEVA SERVICE CENTER. Cette dernière permet, en un seul «clic», de trouver tous les services dont peuvent avoir besoin les expatriés mais également la population locale. www.microgestion.ch et www.geneva-service-center.ch

ADVtools Sàrl. Internet est de plus en plus un outil indispensable, un formidable espace de savoir, d’échanges et de liberté. Mais c’est aussi le terrain de jeux de pirates informatiques et donc aussi un risque qu’une entreprise doit gérer. ADVtools aide ses clients à relever ces défis que ce soit pour tester leur infrastructure réseaux ou leurs applications web, ou les aider lors d’une attaque de virus informatique. www.advtools.ch

BAECHLER TEINTURIERS SA développe depuis 1834 une longue tradition d’expertise dans l’entretien des textiles en Suisse. Leader sur son marché avec quelque 100 magasins, Baechler appartient depuis 2001 au groupe international 5àSec, présent dans 22 pays et totalisant 1800 pressings. Depuis quelques années, l’évolution de la gamme des services de Baechler Teinturiers offre l’opportunité aux entreprises de profiter d’une qualité pressing pour leur textile de travail mais aussi pour le textile privé des collaborateurs, déposé et livré au bureau. www.5asec.com BORDIER & Cie, depuis 1844, est le Banquier privé de référence pour la gestion d’un patrimoine familial. Son concept répond aux deux exigences fondamentales d’un investisseur privé d’aujourd’hui: avoir confiance en sa banque et obtenir la meilleure performance. Loin des

Somptueux buffet de Novae qui a régalé papilles et pupilles des participants

NOVAE RESTAURATION SA est une société genevoise qui se positionne en tant qu’entreprise totalement indépendante de tout groupe, active uniquement en Suisse romande et ayant la volonté de faire du «sur mesure» pour chacun de ses clients. Créée en 2004, Novae fête cette année sa sixième année d’existence et compte, à ce jour, 55 restaurants principalement dans les cantons de Genève et Vaud, et prochainement à Fribourg. Sa vocation n’est pas d’être la plus grande société de restauration concédée de Suisse mais d’être un prestataire privilégiant une relation de proximité et de confiance avec ses clients, ses fournisseurs et ses équipes. www.novae-restauration.ch

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Publirédactionnel

Des économies qui coûteront cher La révision de la loi fédérale sur l’assurance-accidents (LAA) générera des augmentations de primes, comme nous l’explique Edouard Currat, membre de la Direction générale de la Suva. Des coûts pour la Suva ! Non ? La Suva étant une mutuelle, ces coûts devront être supportés par les entreprises. Quant aux coûts directs, en voilà qui feront réfléchir. Relever ce taux minimal d’invalidité aura de sérieuses conséquences sur le plan de la responsabilité civile des entreprises (art. 328 CO). En effet, si l’employeur ne peut prouver qu’il a pris toutes les mesures de protection nécessaires, il devra assumer le dommage causé, même si sa faute est légère. Sans parler des tracas et frais de procédure. Edouard Currat, membre de la Direction générale de la Suva

Où en est cette révision ? La Commission de la Sécurité Sociale et de la Santé publique du Conseil national (CSSS-N) achèvera ses travaux en juin puis le projet sera soumis au Conseil national.

maladie qui pourront seuls offrir plus de prestations. Sous prétexte d’assainissement, la commission diminue les prestations et réalise des économies qui coûteront cher aux entreprises.

Quelles sont les tendances ? Peu réjouissantes. On s’efforce de traiter, certains disent assainir, la seule assurance sociale dans les chiffres noirs, non subventionnée et gérée à satisfaction par les partenaires sociaux. Cela évoque la boutade « une personne en bonne santé est un malade qui s’ignore ».

Des exemples de ce paradoxe ? Il y en a plusieurs; j’en relève deux. D’abord, l’augmentation de 10 à 20% du degré d’invalidité donnant droit à une rente. A priori, on se dit que supprimer ces quelque 600 rentes octroyées chaque année générera l’économie des 60 millions de francs de prestations. C’est faux! Ces coûts évitent le versement d’autres indemnités et endiguent les bagarres judicaires pour obtenir des rentes plus élevées. Par ailleurs, ces petites rentes facilitent la réinsertion professionnelle des accidentés.

Et à qui profitent ces soins ? Pour reprendre l’image, à ceux qui pourront vendre davantage de médicaments, soit aux 36 assureurs-accidents privés et caisses-

Et l’autre exemple ? La CSSS-N veut abaisser la fourchette du gain maximal assuré de 92–96% à 85–90%, lequel pourrait passer de CHF 126’000.- à 101’600.-. Cette dégradation de la couverture d’accident a un coût. D’une part, les entreprises seront contraintes de souscrire des assurances complémentaires pour que leurs cadres (chefs d’équipe, contremaîtres, etc.) aient les mêmes couvertures. D’autre part, les taux de prime de l’assurance obligatoire devront être majorés de 2% en moyenne pour compenser la perte de ces assurés.

Mais la Suva offrira ces complémentaires ? Non! Nos entreprises assurées sont aujourd’hui dans l’impossibilité de souscrire chez nous une complémentaire LAA. Pourtant, cela permettrait de diminuer leur surcharge administrative et les coûts de leurs complémentaires, puisque la Suva ne finance ni dividendes ni appareil de vente coûteux. Diminuer les coûts, vraiment? Tout à fait! Les caisses-maladie et les assureurs-accidents privés réalisent des gains allant jusqu’à 60 % de la prime nette des complémentaires (chiffres 2000–2006 de l’Office fédéral des assurances privées). Nos frais de gestion

de l’assurance ne représentent que 8 % environ. Votre espoir ? J’espère que le Conseil national se souviendra du cinglant rejet par le peuple du projet de baisse du taux de conversion LPP; le même type « d’assainissement est en cours avec la LAA ». Sous prétexte d’économies, on démantèle l’assurance sociale des partenaires sociaux tout en programmant l’augmentation des coûts pour les entreprises, les assurés et le système de santé suisse. Propos recueillis par Henri Mathis Suva, Communication d’entreprise Tél. 026 350 37 80 henri.mathis@suva.ch

17 SEPTEMBRE 1755,

fondation de Vacheron Constantin.

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No 6 / Juillet-Août 2010

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Gestion de crise / «Crisis Management» L’éruption du volcan Eyjafjallajökull a mis en évidence l’importance des qualités humaines dans une gestion de crise: dévouement, écoute, gestion du stress, sens de la négociation, disponibilité, réactivité, oubli de soi sont absolument indispensables. En plus de toutes ces qualités, une excellente condition physique est nécessaire afin de faire face au manque de sommeil et aux situations hors normes imposées par une situation exceptionnelle.

15 avril, 01:00 du matin Au début était l’éruption d’un volcan. Et l’éruption fut, quelque part, en Islande. A Genève, chez Vitalis Events, à 8h00, l’équipe vaquait à ses tâches avec un peu plus de nervosité que d’habitude. Le 15 avril, n’était-ce pas le jour de l’Assemblée générale de la CCIG, et Vitalis n’avait-il pas offert son soutien pour l’organisation logistique de la journée ? Une autre équipe prépare la participation de 300 personnes à un congrès qui aura lieu dans quelques jours à Nice, et à Rio de Janeiro une 3e équipe s’apprête à accueillir 200 personnes venues d’Amérique latine et plus de 100 Européens à l’occasion d’un symposium scientifique.

15 avril 2010 Genève, 12:00 Un message arrive sur un natel : « Assistance requise de toute urgence. Tous vols annulés au départ de Genève, merci trouver solution pour rapatrier VIPs à Bristol, Bruxelles, Helsinki et Venise ».

Gestion de crise ? On prend rapidement connaissance de la gravité de la situation sur internet : • Fermeture de tous les aéroports du Royaume-Uni, puis de ceux d’Europe du Nord, et annulation de tous les vols vers le nord de l’Europe au départ de France, d’Allemagne et de Suisse. • Aucune prévision de réouverture pour les prochaines heures, ni même les prochains jours. • Le sud de l’Europe reste épargné pour le moment. Tâche n° 1 : Garder le cap sur l’Assemblée générale de la CCIG, dépêcher du secours auprès d’un client en demande, jauger nos équipes disponibles et, comme un général avec son armée, utiliser au mieux les forces en présence. Ceci fait, au prix de multiples rendez-vous, coups de fil, ajustements, courses en taxi, Vitalis parvient à se procurer 3 billets de train pour Paris, Bruxelles et Venise. Il reste encore près de 4 heures pour savoir comment rejoindre Londres depuis Paris alors que les «Eurostars» sont déjà complets, et ensuite trouver une solution pour relier Helsinki au départ de Genève. Un nuage volcanique bloquant le ciel, ne restaient que les voies terrestres ou maritimes.

Ash clouds, Eyjafjallajokull Volcano Eruption

16 avril 2010 Rio de Janeiro: par téléphone et internet, le Vitalis Team brésilien se tient informé du rythme des fermetures des aéroports européens. Le retour des participants est prévu le 18 avril.

17 avril 2010 A Rio de Janeiro, le symposium scientifique s’ouvre par un point sur la situation des aéroports en Europe. Inhabituel, comme l’est toute la situation. Instantanément, les personnes en charge de la logistique se mettent à pied d’œuvre. Oubliée la tension des préparatifs du symposium, oubliés les levers à l’aube, les départs au milieu de la nuit, esprits

et corps sont tendus vers un seul et même objectif : calmer l’anxiété de participants pour les rapatrier au plus tôt vers leur pays d’origine, en faisant fi des prévisions alarmistes annonçant les départs les plus proches dans une dizaine de jours. C’est alors que la connaissance des arcanes de l’aérien, celle des particularismes locaux, la maîtrise des langues étrangères, le sens de la diplomatie, un refus du défaitisme, font merveille: Vitalis parvient à inscrire des clients en priorité sur les listes des compagnies aériennes, reroute des groupes sur d’autres compagnies, utilise les services d’autres aéroports pour augmenter les chances de départ. Ceux qui ne peuvent partir le jour même prendront le temps de découvrir

Rio de Janeiro pour s’envoler le lendemain, car une autre équipe s’est activée pour mettre sur pied des excursions, organiser un dîner, prolonger les réservations des chambres d’hôtel, improviser un internet café pour permettre les appels gratuits aux familles. Le 21 avril, les 103 participants européens ont quitté Rio de Janeiro, Vitalis a organisé un accueil personnalisé à 5:30 à Lisbonne, et un autre à Paris. Le 22 avril 2010 à 16:00 : l’équipe Vitalis brésilienne repart enfin avec une immense fatigue et une tout aussi immense satisfaction : la crise a été bien gérée, les messages de remerciements et de félicitations commencent à affluer. ■

info

No 6 / Juillet-Août 2010

Save the date

Midi de la Chambre Organisée une fois par mois dans les locaux de la CCIG, bd du Théâtre 4 à Genève, les Midis de la Chambre ont pour but la mise en relations d’affaires. Lors de chaque rencontre, six entreprises membres se présentent à une trentaine de participants. Les Midis jouent un rôle de networking très apprécié.

Prochains Midis: • Jeudi 16 septembre 2010 • Jeudi 14 octobre 2010 • Jeudi 18 novembre 2010 • Jeudi 9 décembre 2010 Plus d’informations: Sylvie Burnier, tél. 022 819 91 12, s.burnier@ccig.ch

Parlons avenir – Les rencontres emploi de l’Université de Genève Du 18 octobre au 8 novembre 2010 A Uni-mail et dans les entreprises Uni-emploi propose cet automne des rencontres qui ont pour but de préparer la relève pour les entreprises et de faire découvrir aux étudiants et jeunes diplômés les différents métiers qu’elles recèlent.

liers «cas pratiques» en relation avec un stage ou un emploi proposé et tables rondes sont proposées avec, cette année, la possibilité pour les entreprises d’organiser des rencontres dans leurs locaux.

Présentations suivies de discussions en petits groupes, animation d’ate-

Plus d’informations: www.unige.ch/emploi

En 2011, soyez partenaire de la CCIG!

IMPRESSUM

Premier Salon du vin de la CCIG

info bulletin d’information de la CCIG. Paraît 10 fois par an, 3200 exemplaires Responsable d’édition: Pascale Roch-Gigandet Rédaction: Sonam Bernhard, Fabienne Delachaux et Pascale Roch-Gigandet

Jeudi 30 septembre 2010 - Ecole hôtelière de Genève Vous voulez déguster les vins du terroir genevois en bonne compagnie? Vous souhaitez bénéficier de conseils avisés pour choisir votre cadeau d’entreprise cette année? Alors joignez l’utile à l’agréable et venez participer au 1er Salon du vin de la CCIG! Vous pourrez y goûter les derniers crus des viticulteurs membres de la Chambre et passer commande sur place. Et comme à l’accoutumée, cet événement sera l’occasion de nouer des relations d’affaires. Le Salon étant en cours de maturation, vous en apprendrez plus dans le prochain numéro – mais réservez d’ores et déjà la date du 30 septembre en fin d’après-midi!

Agenda

Publicité: Promoguide SA Tél. 022 809 94 63 Concept et Graphisme: ROSS graphic design - Rolle Impression: Atar Roto Presse SA - Genève Informations: publications@ccig.ch Ont participé à ce numéro: Charles Lassauce, Frédéric Vormus, Morgane Le Lostec (Commerce international).

Siège de la Chambre 4, boulevard du Théâtre - 1204 Genève

Plus d’informations: Sonam Bernhard, tél. 022 819 91 24 s.bernhard@ccig.ch

Adresse postale Case postale 5039 - 1211 Genève 11 Tél. 022 819 91 11 - Fax 022 819 91 00

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mique genevoise, la CCIG vous offre, à travers ses nombreuses activités, son réseau unique et ses supports de communication, la possibilité de mieux vous faire connaître. Pour découvrir ses formules de partenariat, réunies sous l’enseigne «Ensemble pour mieux réussir», veuillez contacter Philippe Meyer, tél. 022 819 91 11, e-mail: p.meyer@ccig.ch.

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