Pour plus d’informations : http://www.biennaledakar.org/2012/ volets. Parallèles : réunissant la propo-
http://www.arts-works.com/
sition de Dimitri Fagbohoun « Is black a
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color ?» et l'œuvre de Pascale Obolo « Le
http://www.ndary-lo.com/
cadre dans le cadre », des œuvres qui
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renvoient à notre mémoire et à la ques-
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tion de l'identité. Clichés : une fresque
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urbaine composée d’images de photo-
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graphes d’univers différents sélectionnés
http://www.ifdakar.org/Serge-Alain-NITEGEKA.html
par Yves Chatap qui s'est construite sur
http://issuu.com/afrikadaamagazine/docs/00_dp_paralleles_cliches
l'enceinte extérieure de la galerie. Une composition poétique qui s’est enrichie chaque jour par couches successives. A l'heure où la biennale s’achève, après un mois intense où la capitale sénégalaise a vécu au rythme des vernissages qui se suivaient mais ne se ressemblaient guère, le bilan de cette édition est plutôt mitigé. Beaucoup de chemin reste encore à faire pour que la biennale de Dakar, maintenant bien installée, prenne une autre dimension. Il est peut-être temps
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que celle-ci se réinvente et devienne une biennale internationale
64 Windows: part 1, 2012, installation de Ndary Lo composée de bouchons de plastique et bidons d’eau minérale
«Clichés» la proposition de Yves Chatap in situ