10 minute read

UN PARTENAIRE DE CHOIXPOUR LESECTEUR MÉDICALEN ALGÉRIE

Le secteur de la Santé est par essence, un secteur en constante mutation. Le flux permanent des innovations, l’allongement de la durée de la vie, l’accès aux soins d’un nombrecroissant de personnesainsiquel’améliorationdelaqualitédes traitementssontautantderaisonsquipositionnent Expensimedcommeunpartenairederéférencedu secteur médical

C’est dans ce contexte que la société Expensimed représente l’interlocuteur privilégié des décideurs des systèmes de Santé. En effet, notreentreprise s’engageavecintransigeanceàapporterauxéquipes médicales des solutions adéquatesetindividuelles avecuneréellevaleurajoutée.

Advertisement

Créée en 1995 et basée àAlger,270 employés mettent àladisposition des thérapeutes, près de 30 années d’expérience en ingénierie hospitalière et en fournitured’équipements et de dispositifs médicaux. Expensimed asus’imposer comme un partenaireprofessionnel fiable et d’excellente réputationdansl’environnementmédical.Médecins, pharmaciens, centres hospitalo-universitaires bénéficient d’un suivi sans faille de la partdenos équipesdepuisdelonguesannées.

UN ALLIÉD’EXCEPTION«BIONIME»

Grâce àl’appui des pouvoirs publics algériens en matièredeprotection desinvestissements et de promotion de la production nationale, Expensimed est fier d’avoir noué des liens avec un alliéd’exception,enl’occurrencelasociétéBionime, spécialiséeen«diabètemanagement»,quiutilisela nanotechnologiepourlafabricationdebandelettes detestglycémique.

inventive. Le potentiel est une chose, son exploitation en est une autre, hélas.

De quoi l’Algérie a-t-elle le plus besoin aujourd’hui? De modernité, tout simplement. En politique, d’abord, pour instaurer un véritable débat démocratique et remplacer ceux qui ont fait leur temps. La nation ne peut plus s’offrir le luxe de se dispenser des idées neuves d’hommes et de femmes moins enclins à rechercher et à conserver des privilèges – ou à lécher les babouches du zaïm qu’à bien faire leur travail : proposer, discuter, faire bouger les lignes, préparer l’avenir, représenter dignement leurs électeurs. Ensuite, l’économie. Il faut en finir une fois pour toutes avec cette défiance maladive à l’égard du secteur privé, considéré depuis trop longtemps comme l’ennemi à abattre. Pourquoi renoncer à la créativité dont font preuve chaque jour les Algériens? À cette aptitude, érigée en art, à toujours se débrouiller pour contourner les obstacles? Pourquoi ne pas « légaliser » un secteur informel parmi les plus dynamiques du monde?

Car ce n’est que par le secteur privé qu’on pourra enfin diversifier une économie « monomaniaque » et créer des emplois.

Enfin, le volet social. Inonder de dinars – et il y en a moins qu’hier –ceux qui ne s’en sortent pas (salaires, allocations-chômage et pensions viennent d’être augmentés), sans se pencher sur les raisons de leurs difficultés, c’est soigner les symptômes du mal sans jamais s’attaquer à ses racines. Donc une aberration à moyen terme Une société, quelle qu’elle soit, a aussi besoin d’air, et c’est peu dire que la société algérienne étouffe, asphyxiée par le conservatisme, les tabous, l’absence de loisirs et d’accès à la culture, la corruption et le culte de l’argent facile. Et s’enferme dans le déni : son code de la famille, et la place qu’il réserve aux femmes en particulier, est un autre anachronisme difficilement compréhensible.

Oui, il y a bien lieu de s’inquiéter avec autant de fers aux pieds, depuis si longtemps. Pour les fils et les filles du pays, notamment les plus jeunes, qui ne peuvent envisager un avenir serein, mais aussi pour nous-mêmes. Car l’Afrique ne saurait se passer d’une Algérie ouverte, engagée dans son développement et dans la quête de souveraineté du continent. Le Maghreb, évidemment, qui subit les conséquences désastreuses et invalidantes de décennies de guerre froide avec le Maroc. Quel gâchis! Le Mali, qui aurait bien besoin du grand frère voisin, celui qui le connaît le mieux La Libye, « chaos debout », qui ne se remet toujours pas de la chute de Mouammar Kadhafi, en 2011. L’Union africaine dans son ensemble, elle aussi freinée par le bras de fer

Humour et sagesse

Pour réfléchir ou sourire, chaque mois, notre sélection des citations les plus marquantes, les plus intelligentes ou les plus drôles M.B.Y.

La vie est un défi à relever, un bonheur à mériter, une aventure à tenter

Mère Teresa

On ne peut vaincre la nature qu’en lui obéissant Francis Bacon

Mettre tout en équilibre,

Victor Hugo permanent entre Alger et Rabat dans l’intégration continentale qu’elle est censée promouvoir ou organiser. Dans bien des secteurs, les compétences et les moyens dont dispose l’Algérie sont à même de satisfaire les besoins exprimés, de Bamako au Cap. Énergie, évidemment, mais aussi agroalimentaire, industrie pharmaceutique – et, plus largement, santé –, BTP, infrastructures, services, numérique Les échanges sont pourtant réduits à la portion congrue. Encore une aberration.

Il fut un temps où les leaders de cette jeune nation née d’une lutte exemplaire pour son indépendance siégeaient au panthéon des héros panafricains. Un temps où, à l’avantgarde de l’épopée tiers-mondiste, pleine de rêves et d’ambition, elle était aussi populaire que respectée. L’époque n’est évidemment pas comparable, mais c’est de l’âme et de l’esprit de cette Algérie-là dont nous avons tous besoin. Or mieux vaut se nourrir d’espoir que de souvenirs…

J’ai appris qu’un homme n’a le droit d’en regarder un autre de haut que pour l’aider à se lever. Gabriel García

Márquez

Le cœur d’une mère est un abîme au fond duquel se trouve toujours un pardon.

Honoré de Balzac

Quand Einstein a rencontré Chaplin en 1931, Einstein lui a dit : « Ce que j’admire le plus dans votre art, c’est son universalité. Vous ne dites pas un seul mot et, pourtant, tout le monde vous comprend. »

« C’est vrai, répondit Chaplin, mais votre renommée est encore plus grande Tout le monde vous admire alors que personne ne vous comprend. »

UN LABORATOIRE PHARMACEUTIQUE100% ALGÉRIEN

Fort de ses 30 ansd’expérience, LesLaboratoires

FRATER-RAZES sont dotés d’un potentielhumainde 1600 employés, toutes spécialitésconfondues, formés en Algérie, avec unemoyenne d’âge de 29 ans.

LE SAVOIR-FAIRE DES LABORATOIRES

FRATER-RAZES s Unemaitrise de tout le circuit pharmaceutique :dela rechercheetdéveloppement,production,distribution, formationjusqu’à l’exportation s Unegammedeproduits diversifiés sous 6formes galéniques, touchantl’ensemble des aires thérapeutiques :133 produits sur le marché concernant 14 airesthérapeutiques d’unegrande diversité touchant notamment les maladieschroniques et 172produitsencoursde développement. s Des équipements industriels de dernière génération aux normes internationales.

LES LABORATOIRES FRATER-RAZES

PENDANT LA CRISE DU COVID-19

L’Algérieapufairefaceàlapandémie grâce àla production locale qui apermis la disponibilité des traitements au moment où plusieurspays dans le mondeconnaissaient des ruptures. Les Laboratoires FRATER-RAZES ont activement participé àl’effort national de luttecontreleCOVID-19 en mettant àla dispositiondesautoritéssanitaires,7médicamentssur les8prévus dans le protocolehospitalier de traitement du COVID-19.

L’EXIGENCE DE LA QUALITÉ PASSEPAR UN PATRIMOINE INDUSTRIEL ÀLAPOINTE DE LA TECHNOLOGIE

6Pôles pharmaceutiques s Pôle des formes Injectables (5 unités de production) : >50millions de flacons et 150 millions d’ampoules. s Pôle des Biotechnologies (3 unités de production) : >50millionsdeseringues préremplies et 5millions de flacons s Pôle des formes sèches (2 unités de production) : >50millions de boîtes de Comprimés, Sachets et Gélules. s Pôle contrôle et assurance qualité : >3000procédures,2500m²d’espacedecontrôlequalité, agréés par lesautorités. s Pôle santé naturelle (1 unité de production et 27 années d’expériencedans lescomplémentsalimentaires): >40produitsfabriquésselonlesBPF(bonnespratiques de fabrication) sPôleCRD:notreCentredeRechercheetdeDéveloppement >Centre de recherche en partenariat avec des universités algériennes, des instances scientifiques et desexperts internationaux

>Incubateur de projets de recherche nationaux et internationaux dans le domaine pharmaceutique

>Actuellementplusieursprojetsendéveloppementdont 4encours d’obtention de brevets

> Conseilscientifiquedeslaboratoires FRATER-RAZES dont lestravaux sontorientésversl’innovation pharmaceutique.

Représentant 1,5 milliard de dollars à l’exportation, l’agroalimentaire constitue une importante source

Exportations

Objectif : 10 milliards de dollars

Sucre, huile, dattes, mais aussi ciment et acier : entre 2019 et 2022, le volume des ventes à l’international – hors secteur pétro-gazier – a quadruplé. Des résultats qui récompensent les efforts déployés par les autorités pour diversifier l’économie.

Dans ces vastes plaines arides où aucun arbre ne pousse, des enfilades de serres à perte de vue qui rappellent la mer de plastique d’Almería, dans le sud de l’Espagne, où 3 millions de tonnes de fruits et de légumes sont produites chaque année.

Ici, sous les serres de Biskra, à 400 km au sud d’Alger, on cultive des milliers de tonnes de tomates, courgettes, aubergines, poivrons et melons qui finissent dans les assiettes des Algériens. Depuis une quinzaine d’années, cette région semi-désertique fournit plus de 40 % de la production agricole du pays pour un chiffre d’affaires qui dépasse les 3 milliards d’euros Certains chefs d’entreprise qui investissent massivement dans ces serres exportent déjà leurs produits vers l’Europe et le Moyen-Orient, ou ambitionnent de les placer sur ces marchés Département à vocation agricole, Biskra abrite aujourd’hui 480 exportateurs. Le pays en compte 5500 tous secteurs confondus.

Miser gros sur l’agroalimentaire

C’est le cas de la famille Tahraoui, dont le groupe, fondé en 1974, s’est spécialisé dans les travaux publics, la médecine, l’hydraulique, et exploite 400 ha de cultures maraîchères

Chaquejour, ce sontplusieurs tonnes de légumes, dont une partie destinée à l’exportation, qui sortent des serres des Tahraoui.

LesfèvessevendentauCanada, les tomates et les melons en France et en Espagne, et les poivrons à Dubaï. Les frères Tahraoui, dont l’un est brutalement décédé à l’été 2021, visent désormais l’Ukraine et la Russie, la Chine ou la Côte d’Ivoire. « Le pétrole n’est pas éternel, la terre si », disait Mohamed Tahraoui lorsque Jeune Afrique l’avait rencontré, deux ans avant sa disparition.

Exporter est devenu le maître mot des autorités algériennes, qui ont pris au cours des trois dernières années des mesures drastiques pour, d’abord, réduire la facture des importations et, ensuite, booster celle des exportations. Selon les statistiques officielles, les importations de l’Algérie pour l’année 2022 se sont élevées à 38,7 milliards de dollars. La même année, le total des exportations a atteint 56,5 milliards de dollars (dont 49,5 milliards pour les hydrocarbures). Cette hausse est due essentiellement à la flambée des cours du pétrole en raison de la guerre en Ukraine. Bon an mal an, plus de 90 % des revenus en devises du pays proviennent ainsi des revenus pétroliers. D’où l’impérieuse nécessité de diversifier les exportations, pour réduire la dépendance aux hydrocarbures et à leurs cours toujours fluctuants.

En janvier 2023, le président Tebboune a pu annoncer que les exportations hors hydrocarbures étaient passées de 1,7 milliard de dollars en 2019 à 7 milliards en 2022. Nouvel objectif : atteindre la barre des 10 milliards de dollars Mission impossible ? De nombreux opérateurs pensent que l’objectif est réalisable et estiment que l’un des premiers gisements de croissance des exportations est l’agroalimentaire, même si actuellement ce secteur ne dépasse pas 1,5 milliard de dollars de marchandises vendues à l’étranger.

L’agriculture pour faire entrer des devises, les frères Souakri, qui dirigent le groupe éponyme, y croient. Depuis l’indépendance, la famille possède une petite exploitation agricole dans la Mitidja, jadis considérée comme le grenier de l’Europe. Aujourd’hui, près de Touggourt, à 600 km au sud-ouest de la capitale, sur un terrain de 1000 ha, lesdeuxfrèresdéveloppentungigantesque projet de culture de tomates. L’ensemble de la production sera destiné à l’exportation.

Faire fleurir le désert

Dans le pays, faire fleurir le désert n’est pas une vue de l’esprit. C’est l’ambition du milliardaire Djilali Mehri, qui a créé en 2008 un complexe touristique de 1 000 ha à El Oued, surnommée la ville aux mille coupoles, à 650 km au sudest d’Alger. Aux côtés des villas de luxe, l’homme d’affaires y exploite un grand domaine agricole avec 35 000 dattiers et 25 000 oliviers, dont quasiment toute la production s’exporte aux quatre coins du monde Certes les quantités de dattes et d’huile d’olive algériennes exportées sont négligeables, mais elles pourraient devenir des placements à forte rentabilité pour peu que des chefsd’entrepriseinvestissentmassivement dans ce secteur. En 2021, l’Algérie a exporté 600000 litres d’huile d’olive vers 19 pays pour 2 millions de dollars. Ce chiffre pourrait être porté à 5 millions à l’horizon 2024. « C’est de l’or vert que l’on possède sur nos terres. On peut le développer tout aussi bien que l’or noir qui sort des entraillesdudésert»,s’enthousiasme Hamid Kiriad, dont l’huile extravierge de Kabylie a obtenu plusieurs distinctions internationales, notamment en France et en Grèce.

Lesprojets,toutefois,neselimitent pas aux productions agricoles. Le ciment semble lui aussi particulièrement prometteur. Au début des années 2000, la tension sur ce secteur était telle, en raison des grands programmesdeconstructiondeloge- investissements locaux ou en partenariatavecdesentreprisesétrangères, turques en particulier, ont permis de doublerlaproductiondeferetd’acier, pour atteindre 2 milliards de dollars à l’exportation. Un opérateur économique met toutefois en garde contre l’excès d’enthousiasme à propos de ces quantités d’acier et de ciment exportées «L’excédentàl’exportation est dû au recul du marché local qui consommait ces produits. Si les activités du BTP venaient à reprendre, commedanslesannées2010,avecles grands projets structurants, l’Algérie ne pourrait presque plus exporter de ciment et d’acier. »

Lever les entraves bureaucratiques

Pour ne rien gâter, à la fin de 2022, c’est du côté de Cevital, premier groupe agroalimentaire privé du pays, qu’une bonne nouvelle est arrivée. Bloquée pendant de longues années, son usine de Béjaïa de production d’huile devrait entrer en service au printemps de cette année. Ce projet, qui a nécessité un investissement de 150 millions d’euros, vise à dégager 2,2 milliards de dollars de chiffre d’affaires, dont 750 millions à l’exportation.

ments en cours, que le pays devait importer pour plusieurs centaines de millions de dollars de ce produit stratégique. Et la situation a perduré : en 2016, l’Algérie importait encore du ciment. Aujourd’hui, la production locale est à ce point excédentaire que le ciment algérien s’exporte partout dans le monde, pour 500 millions de dollars par an.

« Les prix du ciment et de l’acier algériens sont les plus compétitifs de la planète », assure d’ailleurs un ancien ministre de l’Industrie. La productiondel’usinedeBiskra,gérée en partenariat par le groupe Souakri et Lafarge Holcim, part ainsi pour l’Afrique subsaharienne, l’Asie et l’Amérique latine. « Notre ambition est d’atteindre un chiffre d’affaires de 100 millions d’euros à l’exportation », explique Abdenour Souakri, le patron du groupe.

Le secteur de la sidérurgie montre un fort dynamisme. Les

Le conglomérat de la famille Rebrab est également l’un des premiers producteurs locaux de sucre destinéauxmarchésalgérienetétrangers. Jusqu’à une mesure temporaire d’interdiction d’exportation prise en décembre 2022, Cevital exportait 300000 tonnes de sucre en Tunisie ainsiquedansd’autrespaysafricains, générant un chiffre d’affaires annuel de 300 millions de dollars.

« Il est impératif de lever les entraves bureaucratiques et bancaires pour booster les exportations algériennes », observe un ancien ministre. « Mais la grande priorité reste de réduire la facture des importations et de lutter contre les surfacturations qui avaient permis aux anciens oligarques d’amasser des fortunes, en Algérie et à l’étranger. Maintenir le cap des importations à 35 milliards de dollars par an sera déjà une grande victoire quand on sait qu’elles culminaient à presque 60 milliards de dollars il y a dix ans. »

Legroupeifrivousaccompagneavecsesdi

L’entreprise

D’une petite entreprise familiale fondée en 1985, la Société IBRAHIM &FILS -ifri est devenue en 30 ans l’un des géants de l’industrie agro-alimentaire algérienne.

En 1996, ifri commercialise la première bouteille PET en Algérie pour le conditionnement de l’eau minérale naturelle. La capacité de production actuelle atteint 520 millions de bouteilles par an.

En 2008 le père Ibrahim Laid acréé la filiale oléicole dénommée Huilerie Ouzellaguen en réalisant un complexe doté d’une exploitation oléicole de près de 500 ha, soit 50 000 oliviers, situé dans la vallée de la Soummam en Kabylie. Ce projet donne naissance àl’huile d’oliveViergeextra sous la marque NUMIDIA,lapremière huile certifiée BIO en Algérie, obtenue par des procédés de pression àfroid préservant ses vertus.

Pour un engagement qualité, en 2012, la Société IBRAHIM & FILS lance la première ligne de production aseptique ambiant en Afrique, pour les jus de fruits sous la marque Ifruit et par la suite deux autres lignes aseptiques pour l’ensemble des catégories de boissons lancées àsavoir, ifri Gazouz (Sodas), AZRO (SportDrinks), IZEM (EnergyDrinks).

Le Groupe ifri ne cessed’investir dans des process garantissant aux consommateurs qualité et traçabilité des produits et respect de l’environnement. Outre la production d’eau minérale, de boissons et d’huile d’olive, le Groupe s’est également diversifié en intégrant des filiales Béjaïa Logistique dans le transportetlalogistique et General Plast pour la production des préformes en PET et bouchons.