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Les distances interlinéaires ne sont en moyenne que les 2/3 de celles des harmoniques d'ordre n; mais ne se pourrait-il pas qu'au point de vue mécanique, des harmoniques d'ordres différents pussent être équivalents ? C'est ce que le cas du chlorure de baryum me paraît indiquer*. En résumé, nous voyons que, malgré de bien grandes analogies, le spectre du chlorure de baryum s'éloigne bien plus de celui du chlorure de strontium que celui-ci du CaCl3. La marche des propriétés chimiques des trois métaux donne lieu à une remarque semblable. Il me reste à signaler une dernière et remarquable différence entre le spectre du chlorure de baryum et ceux de ses congénères. Les bandes ombrées se dégradent vers le violet dans les chlorures de strontiun* et de calcium, tandis que c'est vers le rouge que se portent les ombrés lumineux dans le chlorure de baryum. Cet effet, déjà perceptible avec le BaCl*additionné d'acide chlorhydrique, D'autres considérations militent aussi en faveur de la supposition qui consiste à admettre que le spectre visible du BaCl4 est an quatrième harmonique. Depuis la rédaction de la présente note j'ai reconnu qu'en effet le spectre visible du BaCl8 était un 4° harmonique et que le spectre calculé qui correspond aux spectres visibles de CaGP mais j'ai aussi reconnu et SrCl? était bien un 3e harmoriiqub que les spectres GaCls et SrCW étaient eux-mêmes des 3°' harmoniques. j L'anomalie dépendant des nos d'ordre des harmoniques disparaît donc entièrement! tandis que celle relative aux espaces intèrlinéairès est encore a expliquer.


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