La 9ème en Mouvement, N°8

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Lettre d'information de l'UMP de la 9ème circonscription du Bas-Rhin numéro 8 - mars 2013

La 9ème en Mouvement Bischwiller - Brumath - Haguenau

OUI pour une Alsace plus forte ! Le 7 avril prochain, nous serons amenés, chacune et chacun d'entre nous, à nous prononcer, par référendum, sur le projet de fusion du Conseil Général du Haut-Rhin, du

Contactez-nous :

Conseil Général du Bas-Rhin et du Conseil Régional en un Conseil d'Alsace unique. Nous

UMP de la 9ème circonscription du Bas-Rhin

aurons la possibilité de décider nous-mêmes,

Frédéric HUSS

Alsaciennes et Alsaciens, du destin de notre

Délégué de Circonscription

Région, l'Alsace. Ce projet est le fruit de

19, rue St Wolfgang 67720 WEYERSHEIM

nombreux échanges, de nombreuses

Tel :06.60.27.28.35 - Fax : 03.88.36.11.45

concertations entre les élus régionaux, les élus

E-Mail : frederic.huss@gmail.com

départementaux et les représentants de la société civile et du monde économique qui ont pris parti aux travaux préparatoires. La concertation a duré plus d'un an et demi et a, de fait, remporté l'adhésion du plus grand nombre au sein du Congrès d'Alsace. Ce grand projet d'avenir, nous devons le porter maintenant afin que l'Alsace gagne en efficacité, en lisibilité, en solidarité et en représentativité. Aujourd'hui, il est temps de faire campagne ensemble et défendre ce projet que nous estimons nécessaire pour rendre l'Alsace plus forte et plus juste. Le 7 avril peut devenir une date historique pour l'Alsace si nous le voulons bien! Il nous appartient à tous de faire en sorte que l'Alsace devienne l'acteur et le moteur de son destin. En votant "OUI" nous affirmons que nous voulons transmettre à nos enfants une Alsace unie, une Alsace réussie, une Alsace voulue et non pas subie. Alors votons et encourageons notre entourage à aller voter le 7 avril 2013 !

Frédéric HUSS Votre Délégué de Circonscription


Xavier BERTRAND en Alsace : Une journée de rencontres sur le terrain dans la 9ème Circonscription

Lundi 25 février en gare de Strasbourg, quai 2. Il est 13h30, Bernadette THIEBAUT Secrétaire Départementale de l'UMP, Frédéric HUSS Délégué de la 9ème Circonscription, Claude SCHMITT, Conseiller National de l'UMP, Frank KOBI, photographe et Patricia SCHWERM, responsable d'une jeune entreprise locale, battent la semelle dans le froid vif. Souriant et jovial, Xavier BERTRAND, Ancien Ministre du Travail et de la Santé, Député de l'Aisne et Maire de Saint Quentin, est manifestement heureux de revenir en Alsace à la rencontre des militants de l'UMP et des entreprises locales. Eric SCHAHL, directeur au Groupe UMP du Sénat, et Conseiller National de l'UMP, l'accompagne. Avec d'emblée 15mn de retard du train, il faut déjà réorganiser en voltige le programme dense de la journée…

Arrivée en gareArrivée en gare

Au contact de l'entreprise familiale Premier arrêt à Brumath, accueillis par deux entrepreneurs prospères, Denis et Richard NONNENMACHER qui exploitent une gravière avec une quarantaine de salariés. Un café de bienvenue et les Bredele, spécialité régionale, proposés par mesdames NONNENMACHER signent déjà le chaleureux accueil à l'alsacienne. Dans la salle de réunion les deux frères parlent franc, à l'image de la passion qui les habite.

Sur le terrain : gravière Nonnenmacher

Rencontre chez INA/Schaeffler à HAGUENAU

Au menu, les charges perçues comme excessives et la disparition regrettée des heures supplémentaires défiscalisées. Xavier Bertrand les encourage à exprimer et lister ce qui selon eux entrave le fonctionnement, la gestion et le meilleur développement de leur gravière. Une visite de l'exploitation prolonge ces échanges et témoigne de la réussite de toute une vie de travail. Photo de groupe devant l'immense gravière aux couleurs hivernales Les quinze minutes de retard ne seront pas rattrapées : pour Xavier l'essentiel est d'être à l'écoute… Visite de l ’usine INA / Schaeffler

En visite chez INA/Schaeffler

La dimension mondiale en région 16 heures 15 : Après l'entreprise familiale, une autre facette de l'économie alsacienne avec Ina Schaeffler, filiale française d'une entreprise multinationale, à la rencontre de Marc BECKER, directeur général du site, entouré de son équipe de direction, du député-maire de Haguenau Claude STURNI, Nicole THOMAS, Conseillère régionale et Maire de Bischwiller et André REICHARDT, sénateur et Président de l'UMP du Bas-Rhin. Le site haguenovien, labellisé meilleur employeur 2010, mobilise 2300 salariés. Le groupe INA compte 180 sites dans plus de 50 pays, et environ 76000 collaborateurs à travers le Monde. La seule recherche et développement en occupe plus de 6000, répartis sur 40 sites et à l'origine du dépôt de plus de 1800 brevets par an. Avec 60% du CA issu de l'automobile et 40% de l'industrie, l'enseigne mise sur le zéro défaut et sur le développement durable, dans un environnement difficile qui a

Le temps de l’écoute et de la réflexion

entraîné une baisse de 10% des effectifs, dans un climat social tendu. Après une passionnante visite de l'usine – à laquelle s'est joint Eric WOERTH (député-maire de Chantilly, ancien ministre du Budget) arrivé entre temps – le verre de l'amitié et quelques photos souvenirs viennent clôturer la rencontre. Déclarations… en Douane ! A Haguenau, les militants et sympathisants sont déjà nombreux, réunis dans une Salle de la Douane pleine à craquer pour accueillir nos visiteurs, bientôt rejoints par Fabienne KELLER, sénatrice du Bas-Rhin, et Frédéric REISS, député-maire de Niederbronn. Xavier Bertrand est manifestement agréablement surpris par cette affluence exceptionnelle en-dehors d'une période d'élection. Un mal-être et un certain mécontentement anime cependant le public, en attente d'explications claires sur le cafouillage des élections internes et le déchirement de la famille UMP lors du débat entre Jean-François COPE et François FILLON. En besoin d'être rassurés face à leur avenir, faute de visibilité depuis l'arrivée au pouvoir des socialistes. Après les prises de parole successives d'André REICHARDT, Eric SCHAHL, Eric WOERTH et Xavier BERTRAND, le jeu des questions réponses a rempli une grande partie de la soirée. Nos Parisiens sont repartis avec quelques valises de questions.. à eux d'en faire l'inventaire et de proposer des réponses ! Patricia SCHWERM

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Mobilisés pour le OUI à l’Alsace unie

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Compte-rendu de l’ Assemblée Générale de la 9e Circonscription Mercredi 20 Février 2013 à Kaltenhouse Frédéric HUSS, Délégué de la 9ème Circonscription a ouvert l’ AG en souhaitant la bienvenue aux 108 participants présents , tout en soulignant que le sujet principal de la soirée sera soutenu par notre Président de la Région ALSACE, Philippe RICHERT : la campagne pour le OUI au référendum du 7 AVRIL 2013 sur le Conseil Unique d’ ALSACE. Après un bref bilan de l’année 2012, essentiellement occupée par les campagnes électorales présidentielles, législatives et internes à l’ UMP, Frédéric HUSS a donné les grandes lignes de l’agenda des mois à venir : 25 Février : Réunion publique avec Xavier BERTRAND à Haguenau 5 Mars : Grande réunion publique de lancement de campagne pour le OUI au Conseil Unique d’ Alsace à Neudorf, Salle du Lazaret Réunions Locales pour le OUI : Hoerdt, Brumath, Bischwiller, Haguenau, La Wantzenau, Vendenheim, Schweighouse 7 Avril : vote du Référendum pour le Conseil Unique d’ ALSACE 13 mai : Réunion-débat sur le Droit local d’ Alsace et Moselle 1er Week-end de Juin : Fête Champêtre de l’ UMP-67, à l’étang de Brumath Fin Aout : Voyage de 3 jours à Berlin organisé par Marcel Wurtz Septembre : nouveau vote interne à l’ UMP pour l’élection du président Frédéric a conclu sur le sujet très encourageant des adhésions, tout en rappelant à tous de bien renouveler leur cotisation 2013 afin de pouvoir participer au vote interne de l’UMP en Septembre.

La 9e Circonscription UMP compte (à fin 2012) 562 adhérents, dont 397 renouvelants et 165 nouveaux, sachant que le nombre d’adhésions au 2e semestre 2012 a été aussi important qu’au 1er semestre, notre 9e Circonscription est l’une des premières en Alsace par le nombre d’adhérents . Philippe RICHERT argumenta avec tout son cœur et sa conviction pour soutenir le projet de Conseil Unique d’ALSACE et le vote OUI au référendum du 7 Avril 2013 qui demandera aux Alsaciens s’ils sont d’accord pour cette étape historique pour notre région Alsace et notre pays la France. Le Conseil Unique d’Alsace a pour but de rendre l’Alsace plus forte en évitant la dispersion actuelle des collectivités ( Conseils Généraux 67 & 68 et Conseil Régional d’Alsace ) qui en se superposant ralentissent la réalisation de nombreux projets en accumulant les étapes administratives , ce qui coûte encore plus cher et affaiblit la région face au centralisme du fonctionnement de la France . Ainsi en réalisant le Conseil Unique d’Alsace il serait déjà possible lors de ses 5 premières années de fonctionnement d’économiser 100 Millions d’ €uros. Le siège sera à Strasbourg et les services regroupés des collectivités ainsi réunies seront répartis dans les locaux déjà existant à Colmar, Mulhouse et Strasbourg. La future Collectivité comptera un peu moins de 100 élus, contre 120 actuellement. Un seul Président, une seule Assemblée, un seul Executif, contre aujourd’hui 3 président, 3 assemblée, 3 exécutifs. Le meilleur exemple de regroupement efficace et bénéfique est celui de nos voisins du Bad Wurtemberg qui il y a 60 ans, en 1952 , ont décidé de réunir 3 Länder voisins : le Baden, le Wurtemberg et le

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Wurtemberg-Hohenzollern . Aujourd’hui le Land de Baden-Wurtemberg fonctionne avec un budget annuel de 48 milliards alors que celui de toutes les régions françaises réunies est de 28 milliards d’euros. Les adversaires du Conseil Unique d’Alsace , principalement les socialistes bas-rhinois , déclarent que ce Conseil met en cause l’unité nationale ! Bien au contraire, les Alsaciens toujours fidèles à la France, au drapeau tricolore et à la Marseillaise, ont su se retrousser les manches après la dernière guerre pour participer à la grande épopée du redressement de la France en particulier durant la présidence du Général de Gaulle. Aussi devenant une région pilote avec la Collectivité territoriale unique, l’Alsace pourra bien au contraire montrer la voie du redressement de la France lors de la crise que nous vivons. Déjà le Bas-Rhin, le Haut-Rhin et la Région Alsace se Classent aux 3e et 5e places de toutes les collectivités de France pour leur gestion efficace et économe , « dans le camp des fourmis », la Ville de Strasbourg étant classée en queue de peloton parmi « les cigales ». Toute la France nous regarde car d’autres régions ont envie de suivre notre exemple. Le 7 Avril 2013 , il n’y aura qu’un tour, et pour cela tous les militants et sympathisants UMP doivent se mobiliser pour faire voter OUI et participer au maximum de réunions en mobilisant tous leurs proches et faire du OUI un succès pour l’ UMP. Pour bien suivre la campagne pour le OUI au Référendum pour le CONSEIL UNIQUE d’ALSACE rendez-vous sur le site : www.alsace2013.fr . Jean-François MAIRE


Quelques clés pour comprendre le référendum du 7 avril et le projet du Conseil d'Alsace : 1. Un peu d'histoire En 1789, les révolutionnaires souhaitent une nouvelle organisation administrative pour notre pays. C'est ainsi que fut créé le département, destiné à suppléer les anciennes provinces, et dont les contours ont été arrêtés de façon à pouvoir se rendre en préfecture, de n'importe quel endroit du département, en une journée à cheval. Les régions sont apparues en 1972, en tant qu'établissements publics. Structures de mission, elles deviendront, sans avoir été redécoupées, collectivités territoriales de plein exercice avec l'élection au suffrage universel direct de leurs premières assemblées en 1986. 2.Les lois de décentralisation Pour se construire, la France avait besoin d'un pouvoir central fort, dominant les territoires excentrés. A partir des années 1970, la centralisation, et plus largement le jacobinisme, ont commencé à être remis en cause par de nombreux Français. Et c'est en 1982-1983 que les lois dites Gaston Defferre ont considérablement changé la donne, en autonomisant et en légitimant l'exécutif des collectivités locales, à la fois la commune, le département et la région, notamment en leur transférant des compétences nouvelles particulièrement importantes. En 2004, une deuxième phase de décentralisation a été entreprise sous l'égide de Jean-Pierre Raffarin, renforçant les compétences des départements et des régions. Aujourd'hui, un acte III de la décentralisation est annoncé par le Président de la République. 3.Un pouvoir partagé, fractionné Si le bloc communal « communes, syndicats, intercommunalités » est doté de compétences claires, le niveau intermédiaire, à savoir le département et la région, est d'une organisation beaucoup plus complexe, qui confère parfois à l'incohérence. Il s'agit d'ailleurs d'une spécificité française que d'avoir pour niveau intermédiaire un double niveau de collectivités. En réalité, cela s'explique autant par notre histoire que par la géographie. En effet, dans certaines régions, les populations sont culturellement régionalistes (Corse, Bretagne, Alsace), dans d'autres, le département s'est imposé de manière bien plus forte que la région. C'est le cas par exemple en Isère ou en Savoie. L'Etat n'a jamais su choisir entre ces deux niveaux d'administration, et de fait, a fractionné de nombreux champs de compétences, donnant aux uns et aux autres des compétences en matière scolaire, d'environnement, d'économie, de sport, de culture par exemple. Il résulte de cette organisation un enchevêtrement de structures et de politiques publiques. Dans les faits : de la lourdeur administrative et des charges pour les contribuables ! 4.Et en Alsace L'Alsace est la plus petite région française en termes de surface, elle représente 1,5% de la surface nationale et 3,3% de la population française. Région française, ce petit espace est partagé en 3 collectivités, 2 départements et 1 région. Les 3 collectivités de notre région se sont adaptées aux lois de décentralisation et ont fait leur travail avec constance et qualité. Pour autant, avoir trois collectivités avec des compétences souvent imbriquées les unes aux autres, sur un espace géographique et démographique aussi étroit, ne correspond pas à l'organisation administrative optimale. Qui plus est, cette organisation fractionnée est source de fragilité et de faiblesse de l'Alsace : face à Paris pour la défense de nos intérêts ; face à l'Europe pour la défense du rôle de capitale parlementaire de Strasbourg ; face à nos voisins du Bade-Wurtemberg qui ont unifié leurs collectivités il y a 60 ans déjà.

5. Le projet Le Haut et le Bas-Rhin, circonscriptions administratives de l'Etat, ne disparaîtront pas. Strasbourg et Colmar resteront préfectures, et Colmar demeurera le siège de la Cour d'Appel. Le projet consiste à fusionner 3 collectivités locales, 2 conseils généraux et le conseil régional pour donner naissance au Conseil d'Alsace. Un projet administratif : Le Conseil général du Bas-Rhin compte 3800 salariés, celui du HautRhin 2400 et la Région 1900. Les services de proximité (routes, collèges/lycées, services sociaux) resteront au cœur de nos territoires. Le projet est de rationaliser les services centraux qui comptent aujourd'hui par exemple 3 directions des finances, 3 directions de l'économie, 3 directions des sports… Une rationalisation des politiques publiques : L'exercice des champs de compétences départementales et régionales par une seule collectivité permettra à la même assemblée et à la même administration d'avoir une vision cohérente d'ensemble et donnera ainsi plus de sens et de pertinence aux politiques publiques. Cela permettra également de réaliser des économies d'échelle, même si ce point n'est pas le premier but recherché, l'objet étant de faire mieux avec les mêmes moyens. 6.Qui gagne, qui perd ? C'est d'abord le citoyen qui gagne dans le projet du conseil d'Alsace. Non seulement il y gagne en clarté, en lisibilité sur le « qui fait quoi ? », mais il y gagne également parce que le projet permet une meilleure utilisation de l'argent public. Les territoires ont tout à gagner dans un projet qui prévoit clairement l'élaboration de territoires de vie et la projection de services aujourd'hui concentrés sur les grandes villes vers les territoires déconcentrés. Strasbourg, Colmar et Mulhouse sont nos trois grandes villes : Strasbourg est notre capitale régionale ; Colmar, ville préfecture, siège du Conseil Général du Haut-Rhin, accueillera des fonctionnalités de niveau régional ; Mulhouse, qui regroupe avec la Haute-Alsace ¼ de la population alsacienne, a vocation à être renforcée. Le projet du Conseil d'Alsace garantit une juste place à chaque ville, à chaque territoire, dans la limite bien évidemment de l'utilisation optimale des deniers publics 7. Le référendum du 7 avril : une chance unique Pour la 1ère fois en France, un référendum est sollicité par une région, et non pas imposé par Paris. Tant l'ancien gouvernement que l'actuel ont donné leur accord à l'organisation de ce référendum et à l'organisation future du Conseil d'Alsace. Il s'agit d'une chance qui ne se représentera pas. Si l'Alsace échoue le 7 avril, une page de notre histoire se tournera définitivement. 8. Le référendum alsacien : une chance pour la France La France est un pays dont les mutations sont difficiles, en particulier au niveau du fonctionnement des collectivités locales, même si c'est un peu moins vrai dans nos territoires d'outre-mer. Le référendum alsacien est observé, souvent envié, car s'il réussit, il ouvrira la voie à d'autres évolutions dans les régions de notre pays, comme la fusion des deux Normandie, des deux Savoie ou l'évolution du Nord-Pas de Calais. 9. Un coup de cœur pour l'Alsace Le 7 avril, nous voterons. Et si le 7 avril, nous disions OUI à l'Alsace, à notre petite région, région française au cœur de l'Europe, fière de ses spécificités et de son histoire ? Le projet du Conseil d'Alsace est un projet cohérent, utile, nécessaire. C'est une chance pour permettre de mieux construire notre avenir dans un temps plus difficile où l'argent public devient chaque jour un peu plus rare. Mais au-delà, en disant OUI à l'Alsace, nous pouvons aussi marquer notre lien à notre région, à ce qu'elle est, à ses valeurs, à tout ce qui fait que nous sommes très attachés à elle. Bernard FISCHER

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* Photos, Textes et Impression : UMP du Bas-Rhin * Responsable de la publication : Frédéric HUSS * Contact : 06.60.27.28.35 / frederic.huss@gmail.com

Le 7 avril, une question, une réponse : OUI !


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