IV
L'INVOLUTION
Aucune créature ne pouvait
se subtiliser
de monter à Dieu pour apporter Ja terre
:
il
les supplications
de
a donc fallu que Dieu se réalisât jusqu'à
concrétion
la
au point
humaine pour
affluer
au monde
la
plénitude de la grâce et laisser à travers les sphères
un
par où
sillage perpétuel
la
prière atteignit le
créateur, par où le créateur put bénir la créature.
Les apparitions qui ne sont pas
la projection flui-
dique de invocateur, supposent une involution, à-dire traire
une matérialisation de
l'esprit
et
c'est-
au con-
toutes les disparitions qui ne sont pas
l'illu-
sion du témoin impliquent une évolution, c'est-àdire
une spiritualisation du corps. L'Art a vu plus
vrai que la magie
;
sans les peintres nous figure-
rions-nous les Anges gnorelli,
:
la
forme trouvée par Si-
Melozzo ou Angelico, dépasse ce que notre