La vie suit ses propres lois, indépendamment de nos projets ou de nos souhaits. Nous en avons fait la douloureuse expérience cet automne. Une collègue de travail estimée et amie a perdu la vie dans le tragique accident de funiculaire qui a eu lieu à Lisbonne début septembre. Quelques jours plus tard, un collègue de la même équipe décédait subitement au travail d’un arrêt cardiaque.
Ces deux décès nous ont profondément affectés. Tous les objectifs et les projets auxquels nous travaillions avec détermination sont soudain passés au second plan. Les progrès ont cédé la place à l’inertie. Au lieu de nous réjouir d’une année favorable en matière de sinistres, nous avons ressenti la peine d’avoir perdu deux personnes chères. La vie n’a eu aucun égard pour nous et nos calendriers – et c’est sans doute là l’une de ses réalités que nous devons accepter malgré tout.
Le temps guérit les blessures – nous y croyons. Chaque jour qui passe nous aide à assimiler le vécu, à regarder de nouveau en avant et à reprendre confiance. Et il y a de bonnes raisons d’espérer: l’agriculture tire un bilan globalement positif de l’année écoulée. Lorsque ce secteur se porte bien, il en va généralement de même pour l’assurance contre la grêle. Fait réjouissant, la charge de sinistres est restée faible, en Suisse comme sur nos marchés étrangers. Nous pouvons donc nous attendre à un exercice 2025 positif. Par ailleurs, nous sommes fiers de la mise en œuvre réussie des réductions de primes octroyées par la Confédération – un projet qui nous a tout d’abord inspiré un certain scepticisme.
Grâce à notre engagement décisif, nous avons réussi à créer les conditions nécessaires à cet effet et à les intégrer dans nos systèmes informatiques. L’ordonnance a été appliquée avec efficience et sans le soutien des cantons, normalement compétents en matière de politique agricole. Nous avons ainsi pu demander à l’OFAG un montant d’environ 2 millions de francs au titre de la réduction des primes, que nous avons entièrement reversé à nos clientes et clients.
Nous voulons continuer à façonner l’avenir: avec notre programme GrêleAdapt, nous nous engageons activement pour l’adaptation au changement climatique. Vous trouverez des précisions à ce sujet, ainsi que de nombreux autres articles intéressants, dans la présente édition.
Nous vous souhaitons une très agréable lecture.
Adrian Aebi Directeur
Bilan des sinistres 2025
Entretien avec Urs Schuler, responsable Assurances plantes Suisse
Quel bilan dresses-tu de l’année 2025: positif, négatif ou en demi-teinte?
Urs Schuler: Jusqu’à présent, l’année agricole 2025 se montre sous son côté positif. Même si plusieurs orages ont été accompagnés de grêle, l’étendue des dommages est dans l’ensemble restée modérée. Heureusement, cette année a été épargnée par des épisodes de gel et de sécheresse ainsi que par des inondations de grande ampleur.
Quels événements naturels ont été à l’origine des principaux dommages en 2025?
Urs Schuler: Les sinistres majeurs ont surtout été causés par la grêle. Cette année a été marquée par des dommages de chaleur sur les pois à écosser en raison des températures élevées en juin ainsi que par la germination des céréales panifiables provoquée par les conditions de récolte difficiles début juillet.
Quelles ont été les cultures les plus touchées?
Urs Schuler: La plupart des indemnités au titre de 2025 concernent les grandes cultures et les cultures maraîchères, suivies de la vigne. Mais aucun groupe de cultures n’a été plus touché que d’autres.
À quels égards les processus de traitement des sinistres ont-ils bien fonctionné, et où subsiste-t-il un potentiel d’amélioration?
Urs Schuler: Dans l’ensemble, le traitement des sinistres a fonctionné sans encombre. Le règlement des sinistres successifs pendant une brève période pourrait toutefois être amélioré. Dans de tels cas, les nouvelles annonces ne peuvent pas être traitées automatiquement dès que les dommages causés par un événement antérieur ont déjà été attribués aux groupes d’experts. De plus, il est important de renforcer la stabilité de «grelexpert».
Quelles sont les adaptations nécessaires pour pouvoir mieux se préparer aux futurs événements extrêmes?
Urs Schuler: D’une part, nous devons continuer à recruter et à former de nouvelles expertes et de nouveaux experts pour toutes les cultures. D’autre part, il est possible d’automatiser encore plus certains processus.
La Suisse Grêle recherche des expertes et des experts engagés aptes à contribuer à une expertise équitable et professionnelle des dommages grâce à leurs connaissances et à leur expérience. Pour en savoir plus sur l’activité d’experte ou d’expert à la Suisse Grêle:
Urs Schuler
Introduction de la réduction de prime: premier bilan
La réduction de prime introduite par la Confédération pour les assurances récoltes a des effets positifs. Dès la première année, cette mesure a incité davantage d’agricultrices et d’agriculteurs à conclure une assurance contre les risques de gel et de sécheresse. L’objectif consistant à améliorer le taux de conclusion sur une période de huit ans a ainsi connu un départ prometteur.
Soucieux de soutenir cette initiative, nous avons déployé de grands efforts pour adapter notre système informatique et nos processus internes. La réduction de prime accordée par la Confédération a été intégrée automatiquement pour les ayants droit, ce qui garantit un traitement efficace, sans charge administrative supplémentaire pour les personnes assurées. Cela prouve qu’il est possible d’introduire de nouvelles mesures sans accroître les formalités – un engagement que nous avons pris dans l’intérêt de nos assurées et assurés.
Nous avons informé les personnes assurées à l’aide d’un plan de communication clair et transparent. De plus, nous avons formé tous nos agents et agentes afin de garantir une mise en œuvre cohérente et professionnelle de la mesure.
Même si le potentiel d’amélioration n’est pas encore épuisé, les premiers résultats sont encourageants. Le travail réalisé en amont a été décisif pour la réussite de l’introduction.
Nouvelle offre d’assurance bovins
Entretien avec Luzia Kaufmann, docteure en médecine vétérinaire, spécialiste Assurances épizooties
Luzia Kaufmann, vétérinaire
Madame Kaufmann, pourquoi une assurance contre les épizooties est-elle particulièrement appropriée pour les exploitations bovines aujourd’hui?
Luzia Kaufmann: Les foyers de fièvre aphteuse découverts récemment en Allemagne, en Hongrie et en Slovaquie montrent que les épizooties peuvent se déclarer à tout moment et causer des dommages économiques importants. La tuberculose en Autriche, la dermatose nodulaire contagieuse (DNC ou lumpy skin disease) en France et en Italie ainsi que la maladie de la langue bleue en Suisse confirment que ce risque est bien réel pour les élevages bovins.
Qu’est-ce qui distingue la nouvelle offre d’assurance bovins des assurances existantes et quelles sont les nouveautés?
Luzia Kaufmann: L’assurance reste axée sur la couverture des pertes de rendement, mais désormais toutes les unités de gros bétail (UGB) d’une exploitation sont assurées, avec quatre sommes d’assurance au choix. Il est possible d’assurer en plus la valeur de l’animal par UGB, ce qui est très utile en cas de botulisme. Les veaux et les bœufs sont ainsi inclus. Des indemnités forfaitaires sont versées en fonction de l’épizootie pour la perte de rendement et la valeur de l’animal, et les coûts supplémentaires sont calculés en fonction des dépenses réelles, comme auparavant.
Quelles épizooties et maladies cette nouvelle offre couvre-t-elle et à quoi les agricultrices et les agriculteurs doivent-ils particulièrement veiller?
Luzia Kaufmann: Actuellement, treize épidémies sont assurées, dont la fièvre aphteuse, ainsi que le botulisme. En novembre, nous déciderons si la maladie de la langue bleue (BTV-3 et 8, hors marchandises et frais) et la dermatose nodulaire contagieuse (DNC) seront intégrées.
À quel type ou quelle taille d’exploitation l’assurance convient-elle particulièrement?
Luzia Kaufmann: Les grosses exploitations qui tirent leur revenu principal de la détention de bovins, surtout, doivent se demander si elles ont intérêt à assurer le risque d’épizootie.
Outre l’assurance, quelles mesures les agricultrices et les agriculteurs peuvent-ils prendre pour protéger au mieux leur bétail?
Luzia Kaufmann: De nombreuses maladies sont transmises par contact direct entre animaux, par des insectes, par le fourrage ou indirectement par les appareils et les vêtements. Être conscient de ces risques et les réduire de manière ciblée permet de protéger son cheptel le mieux possible.
Bienvenue Igor Mastromonaco, CFO
Igor Mastromonaco dirige les finances de la Suisse Grêle depuis juillet 2025. Nous l’avons interrogé sur ce nouveau défi et sur ses objectifs.
Pourquoi avoir choisi la Suisse Grêle et quelles lignes voudrais-tu faire bouger en premier?
Igor Mastromonaco: La Suisse Grêle allie pragmatisme et proximité avec la clientèle tout en garantissant la sécurité en cas de risque de préjudices économiques. Parce qu’elle se trouve dans une phase de transformation intéressante, elle ose le changement sans renier ses racines. J’apprécie sa manière singulière d’unir l’humain et le progrès. Avant de changer quoi que ce soit, il me tient à cœur de gagner la confiance et d’assurer la continuité. Ensuite, j’aimerais simplifier les structures et accélérer les processus.
Quels sont les plus grands défis qui t’attendent et comment les relèveras-tu à court et à long terme?
Igor Mastromonaco: Être à la hauteur des exigences réglementaires croissantes, rechercher des solutions créatives pour pallier les possibilités d’investissement réduites et planifier nos ressources dans un souci d’efficience sans surcharger l’organisation – grâce à une définition claire des priorités à court terme et à des structures durables à long terme: tels sont les défis majeurs.
Quelles sont les valeurs qui guident tes décisions financières, y compris à l’égard des exigences ESG?
Igor Mastromonaco: Mes décisions financières sont fondées sur le «triangle magique des placements»: sécurité, liquidité et rendement – des dimensions antagonistes. Le triangle est complété par les critères ESG, ce qui complique l’équilibrage. Notre mot d’ordre, en tant qu’assureur, c’est intégrer les critères ESG le plus largement possible sans compromettre la stabilité financière et la capacité d’action: une vraie quadrature du cercle! La transparence, la détermination et la pensée alternative sont cruciales pour moi: je n’investis que dans ce que je comprends vraiment, j’applique mes décisions de manière systématique et je recherche sciemment des voies nouvelles, non évidentes au premier abord, pour créer durablement de la valeur.
Quels chiffres vérifies-tu le matin sur ton tableau de bord et pourquoi?
Igor Mastromonaco: À la Suisse Grêle, nous avons une grande force: nous sommes résistants aux crises. Seul un scénario de fin du monde, ou presque, pourrait véritablement nous secouer. C’est pourquoi je ne débute pas mes journées avec des chiffres financiers classiques, mais avec un indicateur très particulier: la proportion de courriels adressés directement ou en copie. Ce chiffre m’indique si nous communiquons avec précision et assurance, si nous appréhendons clairement le rôle de chacun et si nous employons de manière optimale notre ressource la plus précieuse: le temps.
Quel rôle joue la réassurance dans notre stabilité et qu’est-ce que cela implique pour les primes?
Igor Mastromonaco: Pour nous, la réassurance est comparable à un airbag: elle répartit les risques, allège notre capital et garantit que même les plus gros sinistres n’ébranleront pas notre stabilité. Cela nous donne de la prévisibilité et préserve les personnes assurées de brusques hausses de primes. Dans le même temps, cet «airbag» a naturellement un prix: les dépenses de réassurance sont intégrées à long terme dans les primes.
Igor Mastromonaco
Une année de croissance et de résolutions décisives
Ces derniers mois ont été marqués par des développements significatifs pour notre entreprise. Depuis début 2025, nous sommes actifs non plus dans trois, mais quatre pays. Le choix de notre partenaire pour le projet de numérisation transnational InnoGrêle a marqué un jalon important. Ensemble, nous développons à présent la future solution d’assurance.
L’objectif est de regrouper les systèmes des différents pays – jusqu’ici séparés – sur une plateforme commune et de centraliser les données. Cela exige de la part de nos collaborateurs une forte implication en matière de coopération et d’adaptation des procédures selon une approche prospective et porteuse d’avenir. À long terme, l’allègement des processus, l’uniformisation des normes, ainsi que des échanges d’informations nettement plus rapides profiteront tant à notre clientèle qu’à nos équipes.
Parallèlement, nous remanions notre gamme de produits afin de la rendre plus simple, plus claire et plus compréhensible. Nous voulons que notre clientèle
puisse faire ses choix plus facilement et avoir un accès plus transparent à nos prestations au moyen d’un portail en ligne moderne.
L’adaptation aux règles de subventions agricoles propres à chaque État reste une tâche ardue. Ces exigences, qui influencent la conception des produits, doivent être prises en compte dans la nouvelle solution d’assurance.
Au total, pendant l’année écoulée, nous avons jeté des bases fondamentales en vue d’une efficience accrue, de meilleurs processus et, surtout, d’un avenir qui réponde encore mieux aux besoins de notre clientèle.
De profondes racines
Les coopératives occupent une place centrale et jouissent d’une grande confiance dans le secteur agricole suisse. D’après l’étude 2025 sur les coopératives, 95% des agricultrices et agriculteurs estiment que les coopératives sont porteuses d’avenir, et 90% qu’elles sont importantes pour leur entreprise. Elles incarnent la solidarité, l’ancrage régional et l’efficience, mais il reste un potentiel de développement en termes d’innovation et de dynamisme.
Les attentes à l’égard des coopératives sont claires: les agricultrices et agriculteurs attendent des coopératives qu’elles renforcent leur force d’innovation, en particulier dans la production végétale, et qu’elles soutiennent des projets sociaux et écologiques. Les coopératives doivent non seulement être stables sur le plan économique mais aussi contribuer activement à la durabilité et à la viabilité de l’agriculture.
La Suisse Grêle prend cette responsabilité au sérieux. S’appuyant sur sa mission «Ensemble et en misant sur l’innovation pour sécuriser les rendements de demain», elle mise sur la collaboration, la force d’innovation et des solutions durables. Des mesures de prévention et des approches innovantes renforcent la résilience climatique des exploitations et garantissent les rendements même dans un environnement en perpétuelle mutation. Forte d’un degré de notoriété élevé et de la
confiance témoignée par la population agricole (89% des agriculteurs la considèrent comme une institution fiable), la Suisse Grêle est un partenaire de choix au service d’une agriculture viable.
Il ressort clairement de l’étude que les coopératives sont des piliers du secteur agricole suisse. La Suisse Grêle allie tradition et esprit d’innovation, garantit la sécurité et renforce le sentiment de confiance des agricultrices et agriculteurs. Grâce à des mesures ciblées dans les domaines de la prévention, de la durabilité et de la coopération, l’agriculture devient plus résiliente, plus rentable et est mieux préparée aux défis de demain. L’interaction entre confiance, volonté d’innover et action durable fait de la Suisse Grêle un partenaire indispensable pour les exploitations, aujourd’hui comme demain.
Vers l’étude:
LE RÔLE DES COOPÉRATIVES DANS L’AGRICULTURE EN SUISSE
IMPORTANCE DES COOPÉRATIVES
95% des agriculteurs considèrent que les coopératives sont porteuses d’avenir
90% estiment qu’elles sont importantes pour leur entreprise
ATTENTES ENVERS
LA SUISSE GRÊLE
Une plus grande force d’innovation en particulier dans la production végétale
Promotion de projets sociaux et écologiques
Préservation d’une agriculture résistante grâce à des produits d’assurance équitables
Soutien du secteur agricole dans l’adaptation au changement climatique et à la hausse des événements météorologiques extrêmes qui en résulte
RÔLE DE LA SUISSE GRÊLE
Nouvelle offre de soutien Grêle Adapt : unis pour une agriculture résiliente au climat
Le changement climatique entraîne une hausse des risques de fortes précipitations, de sécheresse et de gel. C’est pourquoi nous lançons GrêleAdapt, une offre de soutien destinée à nos assurés et partenaires au sein du réseau agricole. En effet, seule l’interaction entre adaptation et couverture d’assurance permet de sécuriser les rendements de demain et de continuer à assurer les risques climatiques.
Profiter de GrêleAdapt en tant que personne assurée
30% de rabais sur les formations
Les connaissances sont indispensables pour pouvoir atténuer efficacement les risques climatiques. Avec GrêleAdapt, vous bénéficiez de 30% de rabais sur des offres de perfectionnement sélectionnées de nos partenaires. Ces cours mettent en avant des solutions contre la sécheresse, les fortes précipitations et le gel.
Promotion de projets pour les assurés
Nous soutenons des projets d’exploitations assurées, individuelles ou regroupées, qui mettent en œuvre des mesures contre la sécheresse, les fortes précipitations ou le gel. Il s’agit par exemple de projets en lien avec la gestion de l’eau, la composition du sol ou la protection contre le gel. Nous pouvons aussi envisager d’aider une coopérative d’irrigation à se réorganiser ou à se professionnaliser dans le but de relever les défis liés au changement climatique.
Campagne de rabais avec des partenaires
Nous travaillons avec des partenaires pour offrir des rabais exclusifs. Actuellement, nous coopérons avec l’entreprise Raindancer, qui met au point des solutions d’irrigation efficaces pour les grandes cultures. En tant que personne assurée, vous pouvez obtenir leur produit à prix réduit. De plus, nous prenons en charge pendant trois ans une grande partie des frais d’abonnement annuels, même si vous possédez déjà un Raindancer.
Profiter de GrêleAdapt en tant qu’organisation au sein du
réseau agricole
Les organisations agricoles bénéficient également de contributions financières destinées aux projets, aux associations ou aux réseaux. Nous encourageons les solutions innovantes contre la sécheresse, les fortes précipitations ou le gel et soutenons des manifestations dans le cadre du sponsoring. Actuellement, nous nous engageons en faveur du Forum sur la gestion durable de l’eau dans l’agriculture, du Prix Climat 2025 et de Soil Evolution 2026. Nous soutenons aussi des événements de plus petite ampleur comme des études de terrain.
Consultez notre site Internet pour obtenir des informations complémentaires sur toutes les offres!
Vous avez des questions sur GrêleAdapt? Toutes nos offres sont présentées en détail sur notre site Internet. Si vous avez des questions, n’hésitez pas à nous les poser via le formulaire de contact.
CONCOURS: GAGNEZ DES BILLETS D’ENTRÉE POUR SOIL EVOLUTION 2026
Venez nous rendre visite au festival Soil Evolution qui se tiendra du 2 au 5 juin 2026 au Gurten. Nous mettons en jeu 20 billets d’entrée parmi nos assurés.
Les gagnantes et gagnants pourront choisir le billet de leur choix: un pass de 1, 2 ou 3 journées. La date limite de participation est fixée au 31 mars 2026.
La hausse des événements climatiques extrêmes représente un risque pour les grandes cultures. Avec l’offre de soutien Grêle Adapt, la Suisse Grêle aide le secteur agricole à s’adapter au changement climatique.
