Recherches sur les fièvres, selon qu'elles dépendent des variations des saisons. 2-2

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TABLE

DES

MATIÈRES.

L’auteur passe au traitement, en suivant encore Huxliam,

115,

116. Long passage d’Huxham, qui roule sur la nécessité de la saignée, ses indications, le temps où l’on doit l’employer, les précautions avec lesquelles il faut la mettre en usage, et la 116 et suiv. qualité du sang que l’on doit tirer, La saison de l’année, la nature de la constitution de cette saison, aident à déterminer la quantité de sang qu’il est à propos de tirer, 121. La fièvre commune, jointe à la contagion pestilentielle, exige moins la saignée que lorsqu’elle est simple, ibid. La saignée facilite le vomissement, 122. Passage d’Huxham, où il expose la raison pour laquelle ou doit saigner dans le commencement. Elle n’est pas indiquée dans les maladies contagieuses, en tant que contagieuses, ibid. , 123. La rougeole et la coqueluche, deux espèces de contagion, qui augmentent l’inflammation. Qualités du sang que l’on tire ibid. dans ces deux maladies, Il ne paraît pas que le poison de la petite-vérole agisse comme dissolvant puissant et spécifique du sang visqueux. Observations qui prouvent cela, 124. Très-long passage d’Huxham, qui roule sur la nécessité de nettoyer de bonne heure l’estomac et les intestins, et sur les moyens qu’on doit employer pour produire cet effet, 125 et suiv. La diarrhée qui survient lorsque les fièvres sont dans leur état ou à peu près, est un symptôme fréquent et fort embarrassant. La méthode que propose Huxliam réussit trèsrarement. Quelle est celle qu’il faut lui substituer ? L’auteur entre à ce sujet dans une légère discussion, 133, 134. Trois fièvres communes, savoir : la synoque non putride, la synoque putride et la fièvre bilieuse, dans lesquelles est fréquente une diarrhée symptomatique, lorsque la maladie est dans son état ou à peu près ; mais le même traitement ne convient pas dans toutes, ibid. La diarrhée qui survient dans l’état de la synoque non putride, ne doit pas être traitée par les opiats , mais par le vomitif et le purgatif, qui auraient dû être donnés au commencement, 135. Parmi les particularités propres à cette fièvre, il ne faut pas oublier celle-ci, savoir : que la diaphorèse critique doit survenir vers le quatorzième jour. En conséquence, il faut la favoriser dans les jours de la diarrhée, par les moyens 136 convenables,


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