Ainsi parlaient nos ancêtres : essai d'éthnohistoire "Wayapi"

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De même, ils fugitifs&autres en fin

Brésiliens

de récit

-

ne comprennent recherchent

pas pourquoi

les Noirs

systématiquement

le combat

les.étrangers

vous trouvent

; PkkG

commente :

"Même quand on change de village, C'est

toujours.

Mais tu vois allaient

pour

cette

il

y avait

toujours

plus

du haut

avant

grand

arbre,

feu.

Entre

endroit

chasser colline

; ils et ils

de même loin"

y arrivèrent.

C'est

(un jour

cependant)

Les étrangers

les

grimpé

ob-

sur un très

<avaient

vu la fumée de leur

d'un

juste

la fumée de leur

y avait

marchaient.

; pour ça, ils

avaient

il

dirent

ruisseau,

à cet

feu. (les

Noirs).

comme ça que les

étrangers

font

te dis-je....."

même ordre

et il

son fils

Kwataka,pour

J.M.

de leurs

impitoyables

techniques

semble bien

"Les Kalai

couillonades

de manioc

(pour

Les Brésiliens grattees. parce

(Kalai)

que les paroles

le découragement de Mis2

BEAUDET, témoignent .

montaient

grandes

ça3 ils

loin.

à la source

Avec les Brésiliens

faire

étrangers

deux,pentes,

"Ce feu est tout

avec nous,

les

dans la forêt....

sur la colline,

là,

Mais ils

d'une

que (nos ancêtres)

toujours

. . . . . des hommes partirent servaient

raison

d'une

, ici solide

est du

traduites

par

connaissance

: souvent

(la

rivière)

avec les

Indiens.

mais faisaient Ils

grattent

des

les bourgeons

que ça ne pousse plus). ont fait

tas de tiges

de manioc

déjà

Même si on se sauve dans la forêt,

on ne peut

rien

qu'il

n'y

nous rendent

un gros

a plus

de manioc.

malheureux."

Quand les Brésiliens

font


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