- 818
De même, ils fugitifs&autres en fin
Brésiliens
de récit
-
ne comprennent recherchent
pas pourquoi
les Noirs
systématiquement
le combat
les.étrangers
vous trouvent
; PkkG
commente :
"Même quand on change de village, C'est
toujours.
Mais tu vois allaient
pour
cette
il
y avait
toujours
plus
du haut
avant
grand
arbre,
feu.
Entre
endroit
chasser colline
; ils et ils
de même loin"
y arrivèrent.
C'est
(un jour
cependant)
Les étrangers
les
grimpé
ob-
sur un très
<avaient
vu la fumée de leur
d'un
juste
la fumée de leur
y avait
marchaient.
; pour ça, ils
avaient
il
dirent
ruisseau,
à cet
feu. (les
Noirs).
comme ça que les
étrangers
font
te dis-je....."
même ordre
et il
son fils
Kwataka,pour
J.M.
de leurs
impitoyables
techniques
semble bien
"Les Kalai
couillonades
de manioc
(pour
Les Brésiliens grattees. parce
(Kalai)
que les paroles
le découragement de Mis2
BEAUDET, témoignent .
montaient
grandes
ça3 ils
loin.
à la source
Avec les Brésiliens
faire
étrangers
deux,pentes,
"Ce feu est tout
avec nous,
les
dans la forêt....
sur la colline,
là,
Mais ils
d'une
que (nos ancêtres)
toujours
. . . . . des hommes partirent servaient
raison
d'une
, ici solide
est du
traduites
par
connaissance
: souvent
(la
rivière)
avec les
Indiens.
mais faisaient Ils
grattent
des
les bourgeons
que ça ne pousse plus). ont fait
tas de tiges
de manioc
déjà
Même si on se sauve dans la forêt,
on ne peut
rien
qu'il
n'y
nous rendent
un gros
a plus
de manioc.
malheureux."
Quand les Brésiliens
font