Magazine Sanitas 1/19

Mars 2019 Numéro 1 Le magazine des clients Sanitas

Interconnexion numérique Plus d’échange au bloc opératoire

Futurologie

Toilettes et miroirs intelligents

Santé numérique Plus rapide et personnalisée?

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Mon assurance complémentaire prend-elle en charge les coûts de ma nouvelle paire de lunettes?

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Chère lectrice, cher lecteur, Miroir, mon beau miroir, suis-je en bonne santé?

Non, dans ce numéro nous ne vous racontons pas de contes de fées, mais évoquons plutôt la multitude de nouvelles technologies que nous met à disposition la transformation numérique du système de santé. Prenons par exemple la collaboration des spécialistes dans le cadre des réunions de concertation pluridisciplinaire. Cette méthode de travail simplifie et favorise l’échange entre spécialistes aux quatre coins du monde. Les patients en profitent grandement. L’oncologue Meinrad Mannhart décrit dans l’article «Nouveau partage de connaissances» l’histoire impressionnante d’une patiente atteinte d’un cancer qui a pu garder son sein grâce à cette nouvelle forme de communication.

Couverture: Cortis & Sonderegger

Lorsque l’on parle du réseautage des professionnels de la santé, il faut également mentionner le dossier électronique du patient (DEP). L’objectif du DEP est de garantir que vos médecins, thérapeutes et pharmaciens – les assurances maladie n’y ont pas accès – puissent obtenir des informations à tout moment et travailler en réseau les uns avec les autres. Cela devrait éviter la prescription de thérapies inutiles, excessives ou trop faibles. Ainsi, la médecine devient plus sûre. Et vous ne devez plus répondre sans cesse aux mêmes questions lorsque vous consultez un nouveau spécialiste. Si vous le souhaitez, vous

Mais le numérique dans le secteur de la santé offre bien plus que l’échange d’informations entre spécialistes. Le bracelet Ava, disponible dans la boutique en ligne de Sanitas, aide à prédire les jours fertiles, tandis que les coachs numériques «Anna et Lukas» animent les enfants en surpoids à faire davantage d’exercice et à s’alimenter plus sainement. Et le meilleur pour la fin: comme vous pourrez le lire dans l’interview avec Karin Frick, analyste de tendances à l’institut Gottlieb Duttweiler, nous ne sommes pas si éloignés que cela des miroirs intelligents qui renseignent sur l’état de santé lors de la toilette matinale.

Je vous souhaite une bonne santé. Prenez soin de vous.

Meilleures salutations, Andreas Schönenberger, CEO

Autres thèmes Ce qui aide vraiment en cas d’allergie aux pollens En selle, prêt, partez: trois régions, trois randonnées à vélo Joshua, 12 ans, passionné de parkour

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pouvez même obtenir sans grandes formalités un aperçu de vos données personnelles de santé.

Éditorial

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L’œil humain est aussi rapide qu’une connexion à haut débit: il est capable de traiter jusqu’à un million de bits par seconde.

2 médecins sur 3 en Suisse sont favorables au numérique dans la médecine, mais ne sont pas encore prêts à utiliser les offres numériques au quotidien.

Développé en 1901, le premier appareil auditif pesait plus de

12 kilos.

70%

de la population suisse possède un smartphone. Ce qui entraîne de sérieux problèmes de santé, tels que la maladie du texto et le text nec . ne position et des mouvements non naturels du pouce et de la nuque peuvent entraîner des séquelles.

Attention, robots!

Serons-nous bientôt soignés par des robots et les implants imprimés en 3D? L’ère numérique fait évoluer la médecine.

Quelques faits surprenants sur les robots du secteur de la santé.

Texte: Helwi Braunmiller | Illustration: Svenja Plaas

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L’on recense plus de 00 000 applis santé dans le monde entier et un adulte sur trois en Suisse possède un ou plusieurs bracelets connect s.

En 2016, l’on recensait

3,2 milliards de téléchargements d’applis santé, contre 1,7 milliard en 2013.

Depuis 01 , il existe

Le volume de données généré électroniquement atteindra très certainement 163 zettaoctets (163 avec 21 zéros). Soit une pile de 40 billions de DVD dont la longueur correspondrait à plus de 100 millions d’allers-retours entre la Terre et la lune.

Helsin i

douze postes de travail numériques dans un nursing center virtuel, depuis lequel le personnel soignant veille sur les seniors en effectuant des c bervisites, c’est-à-dire en se connectant plusieurs fois par jour à un écran situé au domicile des seniors.

10% des personnes en

Suisse utilisent le dossier électronique du patient (DEP).

En Allemagne, 8 médecins sur 10 pensent qu’en 2030 les prothèses et les implants seront fabriqués, de manière standardisée ou individuelle,

par des imprimantes 3D.

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Nouveau partage d

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e de connaissances Dans le domaine médical, la transformation numérique est depuis longtemps une réalité quotidienne dont on n’imagine plus se passer. Grâce à elle, les spécialistes peuvent échanger et traiter des maladies de façon plus ciblée, où qu’ils soient.

Julia Meier* en a fait l’expérience.

Texte: Helwi Braunmiller | Photos: Cortis & Sonderegger

Au printemps 2018, Julia Meier, 40 ans, découvre une boule dans son sein. Une biopsie de la tumeur et des ganglions lymphatiques environnants est effectuée.

Meinrad Mannhart, oncologue à Cham, n’a pas de bonnes nouvelles: c’est un cancer du sein de stade 2.

Par le passé, on aurait certainement procédé au plus vite à une ablation du sein touché, au cours d’une intervention lourde.

Une table de réunion virtuelle Julia Meier a pourtant conservé son sein. Elle le doit notamment à la transformation numérique, qui facilite considérablement la mise en réseau des médecins. Quinze médecins de disciplines et d’hôpitaux différents, ainsi qu’une infirmière, se sont réunis pour étudier son cas. Ce type d’échange, qui autrefois se déroulait autour d’une table, s’effectue désormais de plus en plus souvent sous forme de conférence numérique. «Cela fonctionne de la même manière que le chat ou Skype – mais bien sûr, la conférence est sécurisée et n’est accessible qu’à un groupe prédéfini de personnes, car nous devons assurer la protection de données sensibles», explique Meinrad

«Plus les possibilités techniques facilitent la mutualisation des connaissances, mieux c’est.»

Dr Meinrad Mannhart

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Mannhart, qui dirige le tumor board du Centre du sein Aarau Cham Zoug. «Tous les participants reçoivent les informations nécessaires à l’écran: radiographies, résultats antérieurs, analyses des biopsies, études et tous types de rapports.»

Sur la base de ces informations, le comité a décidé d’attendre pour opérer Julia Meier et de commencer par une chimiothérapie. 20 semaines et 16 perfusions plus tard, l’équipe a eu une bonne surprise le jour de l’intervention: la tumeur avait disparu. Le chirurgien s’est contenté d’enlever quelques tissus environnants à titre préventif. Après une radiothérapie de sécurité, Julia a aujourd’hui de grandes chances de guérir complètement.

Encore un grand potentiel à exploiter «L’avantage de ce comité est qu’il offre une sécurité et une plus-value évidente pour les patients, qui bénéficient d’une meilleure qualité de traitement», conclut Meinrad Mannhart. Plus les possibilités techniques facilitent la mutualisation des connaissances, mieux c’est. L’échange d’expériences entre spécialistes – y compris à l’échelle internationale – est un atout précieux pour les patients, en particulier dans les cas complexes.

Pourtant, même si elle offre déjà de grands avantages dans beaucoup de situations, la transformation numérique est nettement moins avancée dans certains secteurs que dans d’autres. Rien qu’en oncologie, de nombreuses découvertes seraient possibles si les médecins pouvaient entrer les données médicales de leurs patients de façon normalisée dans un registre mondial du cancer. Ce volume de données permettrait d’établir des liens totalement nouveaux ou de corroborer des observations antérieures –

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par exemple, sur les facteurs qui favorisent le développement de tumeurs, les traitements qui ont fait leurs preuves dans certaines situations ou les groupes de population qui seraient plus souvent atteints. Plus que jamais, l’on pourrait faire de la prévention et traiter les patients sur mesure.

Les 75% de femmes atteintes d’un cancer du sein qui présentent des tumeurs hormonodépendantes à un stade précoce pourraient également en bénéficier. Le génome de plus de 10 000 de ces patientes a été analysé dans le cadre d’une vaste étude. Selon les conclusions, les oncologues pourraient se passer de chimiothérapie pour les deux tiers d’entre elles, car l’hormonothérapie seule est tout aussi efficace.

Ces femmes éviteraient ainsi les nausées, la fatigue et la perte de cheveux, mais aussi les éventuelles conséquences à long terme, telles que l’insuffisance cardiaque, des lésions nerveuses ou une leucémie.

et mises à disposition. C’est ce qui a permis de mener à bien cette étude sur le cancer du sein.

«C’est le grand problème: actuellement, les médecins doivent entrer les données en double ou en triple exemplaire, parce que les systèmes ne sont pas encore reliés. Ce phénomène est essentiellement dû au fait que la gestion des données sur les patients est strictement réglementée», explique l’oncologue Meinrad Mannhart. «Pour la médecine, plus les données sont protégées, plus leur manipulation est compliquée et moins l’ensemble est pratique à utiliser.» La transformation numérique a donc commencé depuis longtemps dans de nombreux domaines de la médecine.

Mais il y a encore du chemin à parcourir pour exploiter tout son potentiel. * Nom d’emprunt

L’obstacle de la protection des données Si de telles découvertes sont possibles, c’est d’abord grâce à l’augmentation constante des puissances de calcul. Les analyses génétiques génèrent en effet de très grandes quantités de données. Les données brutes correspondant au génome d’une seule personne représentent environ 100 gigaoctets. Converties en papier, elles couvriraient totalement 50 millions de pages A4, soit un poids de 250 tonnes.

Le docteur Meinrad Mannhart est oncologue au Centre d’oncolod’oncolo gie et hématologie de Zoug, qui fait partie du groupe Hirslanden.

Il dirige le tumor board du Centre du sein Aarau Cham Zoug.

Mais réaliser des analyses génétiques de pointe ne sert à rien si les données médicales ne sont pas uniformément traitées, stockées de manière centralisée

Des applis qui sauvent des vies

Un docteur dans l’ordinateur

Un rendez-vous vidéo avec un médecin, associé à la transmission sécurisée de photos, vidéos et enregistrements audio via une application? C’est possible depuis longtemps, notamment avec notre partenaire Medgate. Il existe également des ps c ot érapies en ligne dont l’e cacité a été démontrée, bien que le thérapeute soit un logiciel. L’avantage: comme le seuil d’inhibition est faible et que la peur de la stigmatisation disparaît, les personnes qui ont des problèmes psychologiques sollicitent de l’aide plus tôt. Sanitas propose également des programmes de ce type à l’adresse: sanitas.com/questionnaire-en-ligne (en allemand)

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Les applis santé comme les podomètres ou les cardiofréquencemètres sont légion. Pour les diabétiques, en revanche, l’aspect ludique passe au second plan: un capteur au niveau du bras mesure la glycémie en permanence, et non de façon ponctuelle comme avec une piqûre au bout du doigt. Le capteur transmet les informations à une appli sur smartp one. Ce s st me offre un vrai gain d’autonomie. Par exemple, les enfants diabétiques peuvent partir en camp scolaire pendant que leurs parents surveillent leur glycémie à la maison et donnent l’alerte si nécessaire.

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Imprimer des dents et des articulations

me s’il existe des prot ses articulaires de différentes tailles, celles produites par une imprimante 3D s’adaptent plus précisément. Des programmes informatiques calculent les proportions idéales à partir de clichés. Certaines cliniques emploient déjà des prothèses de ce type. De nombreux laboratoires dentaires ont aussi recours à cette technique pour fabriquer leurs implants. L’exécution est nettement plus rapide qu’à la main. En guise d’encre, les imprimantes utilisent du plastique, du métal ou de la céramique. L’ PF de uric travaille m me un c ur arti ciel créé par impression 3D. À lire: sanitas.com coeur-arti ciel

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La haute technologie au bloc opératoire

«Da Vinci» est souvent employé pour les opérations de la prostate. Ce système de chirurgie assistée par robot a été développé pour être utilisé dans les zones de guerre, lorsqu’il est trop dangereux pour le chirurgien d’opérer directement les blessés. Le chirurgien commande le «robot chirurgical» via une console. Sur l’écran, il peut voir en temps réel, en 3D avec un fort grossissement, ses mouvements transmis aux bras du robot.

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«Compter ses pas n’est qu’un début» Analyse, comparaison, assistance: quel sera l’impact de la transformation numérique sur notre santé? Karin Frick, analyste de tendances à l’institut Gottlieb Duttweiler, fonde de grands espoirs dans la santé numérique et nous dévoile ce qui nous attend.

Texte: Janine Radlingmayr | Photos: i-Stock/yulkapopkova

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À l’avenir, les miroirs intelligents nous donneront des informations sur notre état de santé quand nous nous regarderons dedans. Cela semble totalement futuriste.

Comment est-ce possible?

L’intelligence artificielle apprendra ce que les expressions du visage révèlent sur notre état de santé. Et bientôt, ces miroirs pourront mesurer des valeurs telles que la fréquence cardiaque ou la tension artérielle. Ils pourraient constituer un excellent moyen de surveiller l’état de santé des personnes âgées lorsqu’elles ne peuvent plus quitter la maison à tout moment pour un contrôle chez le médecin, par exemple.

Il existe des toilettes intelligentes qui recueillent des informations dans les urines.

Pour l’instant, ce ne sont que des gadgets. Mais à l’avenir, on pourrait trouver ces toilettes intelligentes dans les cabinets médicaux, les hôpitaux ou les pharmacies. Elles simplifieraient certains processus. Et dans certains cas, elles pourraient aussi s’avérer utiles à domicile. Qu’elle soit intégrée dans des toilettes ou des miroirs intelligents, la technologie qui permet de collecter des données existe déjà et ses applications sont pratiquement illimitées.

Rien que dans une salle de bain, on pourrait générer une immense quantité de données médicales. Mais que faire de toutes ces informations?

La question est plutôt: que faire des résultats préoccupants? Et comment les communiquer à l’utilisateur? Doit-il rester en état d’alerte parce qu’une valeur est dans le rouge? Pour les toilettes, il pourrait y avoir un système de feux tricolores. Après tout, on n’a pas toujours besoin d’un rapport d’analyse complet quand tout va bien. Je crois que la façon de communiquer les données aux utilisateurs constituera un domaine de recherche important.

Tout comme la question de savoir qui aura accès à nos données.

En réalité, l’enjeu est ce que nous, en tant que société, faisons des données. Qui en a le contrôle, qui peut les partager et les échanger? Ce seront des questions centrales d’un point de vue éthique, sociétal et politique. Il faut concevoir de nouvelles solutions sécurisées pour la protection et la gestion des données. Car le partage de données présente de grands avantages pour les malades, a fortiori pour les personnes atteintes de maladies rares.

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Le partage et l’utilisation de données médicales pourraient-ils révolutionner le secteur de la santé?

Techniquement, oui. La santé fondée sur les données est tendance. La preuve: des entreprises comme Apple et Google développent de nouveaux modèles commerciaux dans ces domaines. La transformation numérique peut aussi améliorer les interactions entre les acteurs du système de santé. Pour résumer, nous allons du diagnostic au pronostic. Avant, on consultait le médecin quand on avait mal quelque part. Maintenant, des applis santé, des moniteurs d’activité physique et autres produits nous donnent des informations sur les risques pour notre santé. Nous pouvons ainsi les minimiser et atténuer l’explosion des coûts dans le secteur de la santé. En effet, mieux vaut prévenir que guérir. Et un traitement précoce a généralement plus de chances d’être efficace.

Qu’attendez-vous personnellement de la santé numérique?

J’espère surtout qu’elle nous permettra de mieux comprendre notre corps dans son ensemble. Les gadgets numériques sont une chose, mais la connaissance de maladies complexes, comme le cancer ou la démence, et le traitement des maladies graves en est une autre.

La recherche se heurte encore à beaucoup d’inconnues. La santé numérique peut nous aider à en savoir plus et à découvrir des liens. Compter ses pas ou mesurer son pouls en continu n’est qu’un début.

Comment fonctionne un happimeter? Et quel est son rapport avec le smartphone? Pour le savoir, lisez l’entretien complet sur: sanitas.com/happimeter-fr

arin rick ans a récemment couru un marathon à Venise. Elle n’utilise plus de bracelet numérique pour mesurer son nombre de pas. Aujourd’hui, en tant que coureuse, elle sait qu’elle a une activité p sique su sante. Alors, des ns de recherche, elle porte un happimeter: une montre connectée conçue pour établir des liens entre les activités et les émotions. Économiste, Karin Frick travaille depuis 2000 à l’institut Gottlieb Duttweiler comme analyste de tendances.

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Dossier électronique du patient

À partir de 2020, le dossier électronique du patient (DEP) deviendra obligatoire pour les hôpitaux et les EMS en Suisse. Mais qu’est-ce que le DEP exactement et quels sont ses avantages pour les patients et les professionnels de la santé? Nous avons posé la question à cinq experts.

Texte: Ruth Jahn

2. n tant que patient que m’apporte le DEP? Le DEP rend les processus plus transparents et vous permet d’accéder plus facilement à vos données médicales. Finie la recherche fastidieuse des ordonnances, des radios et du carnet de vaccination! L’important est que vous décidiez quels seront les médecins, pharmaciens et thérapeutes qui pourront consulter vos documents. Votre emplo eur ou votre assurance maladie ne peuvent pas accéder à ces données. Le DEP peut vous aider à poser les bonnes questions aux médecins et à prendre des décisions éclairées. Mais il ne faut toutefois pas perdre de vue qu’il ne remplace ni une visite chez le médecin ni la consultation des médecins entre eux.

1. Que peut-on attendre du DEP sur le plan politique?

Le DEP est un outil qui contribue à améliorer la médecine, la rendre plus sûre et plus e cace. Il réunit, au sein d’une base de données unique, toutes les informations pertinentes pour le traitement d’un patient. Par exemple, la liste de ses médicaments, ses radios, son carnet de vaccination, le rapport de sortie d’un hôpital ou le rapport de l’aide et des soins à domicile. La qualité médicale et la sécurité des patients s’en trouvent améliorées. L’amélioration du ux d’information renforce, par ailleurs, l’e cacité du s st me de la santé et permet de responsabiliser davantage les patients.

arbara st directrice n rale de l’ r anisation suisse des patients S

drian Sc mid responsable d’e ealt Suisse le centre de comp tence et de coordination de la Con d ration et des cantons

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. uel est l’avanta e du

pour le m decin de amille et l’

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Le DEP représente non seulement un grand avantage pour les patients, mais aussi pour les médecins qui peuvent ainsi avoir acc s en tout temps aux documents pertinents pour le traitement. C’est le cas lorsque vous êtes transféré d’un hôpital vers un centre de réadaptation. Le personnel médical doit pouvoir véri er rapidement si vous tolére ou non un médicament ou quel est le traitement adéquat apr s une intervention. Pour cela, les informations contenues dans le DEP doivent pouvoir être traitées avec les logiciels disponibles dans les hôpitaux et les cabinets. vonne illi membre du comit central de la m decins suisses

.

d ration des

uels sont les avanta es du dossier lectronique pour les p armacies

Le pharmacien peut consulter le diagnostic du médecin et obtenir la liste de tous les médicaments prescrits. Cet aspect est particuli rement important lorsqu’une personne souffre de plusieurs maladies. Dans ce cas, le DEP nous permet d’évaluer le traitement médicamenteux dans son ensemble et de reconna tre immédiatement les interactions ou les effets secondaires et d’adapter ainsi la thérapie au patient.

Protection des données médicales sensibles Personne ne souhaite partager ses données médicales avec des personnes ou des entreprises non dignes de con ance. La loi sur la protection des données et la loi fédérale sur le DEP garantissent la sécurité des données contenues dans le dossier électronique. C’est pourquoi les fournisseurs du D P sont véri és, certi és et contr lés. me sans acc s au D P, la protection des données est une priorité absolue chez Sanitas, qui traite un nombre important de données personnelles de ses clients, collaborateurs et partenaires. Une grande attention doit tre pr tée, notamment en ce qui concerne les données médicales classées particuli rement sensibles» par le législateur. Chez Sanitas, la protection des données respecte les dispositions légales et prot ge aussi bien ses assurés que les utilisateurs de ses offres.

abian auc er pr sident de la Soci t suisse des p armaciens p armaSuisse

.

uelles conditions le doit-il imp rativement respecter a n qu’il constitue une plus-value pour le patient?

Il existe un grand potentiel d’amélioration de la part des médecins, des hôpitaux et des pharmacies concernant la sécurité de l’information, la transparence, la communication, la coordination et la qualité des traitements. Grâce au DEP, les processus peuvent être beaucoup plus rapides et e caces. Voil pourquoi la collecte de données doit devenir obligatoire pour tous les acteurs de la santé. Nous nous engageons à faire en sorte que les assurés puissent mettre volontairement les données la disposition des assureurs maladie. De cette mani re, le D P pourra mieux contribuer à endiguer les coûts de la santé. ius

n erle directeur de l’association des assureurs maladie Cura utura

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Apaiser le rhume des foins Nez qui coule, yeux larmoyants et éternuements fréquents: le pollen me cause de nombreux troubles. Que faire pour profiter du printemps malgré le rhume des foins?

Medgate: Avec le redoux, la nature sort de sa torpeur, les bourgeons pointent et les fleurs apportent une touche de couleur au quotidien. Pour les personnes souffrant d’une allergie au pollen, c’est le début d’une période désagréable qui peut durer jusqu’à la fin de l’été: leur système immunitaire réagit aux protéines des pollens, dont l’inspiration libère l’histamine dans l’organisme, provoquant une inflammation de la mu-

Medgate: service gratuit pour les clients de Sanitas Medgate vous met en contact avec un médecin, où que vous soyez. La clinique télémédicale Medgate se tient à votre disposition tout au long de l’année, 24h/24. Plus de 70 médecins expérimentés de Medgate s’occupent de vous par téléphone ou par vidéo, peu importe l’endroit où vous vous trouvez.

Grâce au service de Medgate, les assurés de Sanitas ont la possibilité d’obtenir à tout moment des conseils médicaux gratuits. Cela permet d’éviter les consultations inutiles chez les médecins, de gagner du temps et d’économiser de l’argent. Les médecins de Medagte sont joignables au 0 1 5 7j 7, .

Ne pas se laisser abattre Plusieurs médicaments disponibles sous forme de gouttes, de comprimés ou de spray nasal (p. ex. des antihistaminiques ou des corticostéroïdes) peuvent être utilisés pour traiter les symptômes d’une allergie pollinique. Une désensibilisation permet de s’attaquer à la cause de l’allergie*. Moins s’exposer aux pollens permet également de réduire les troubles.

Pour cela: • Limitez vos séjours à l’air libre lorsque la concentration de pollens est plus élevée. La pluie nettoie l’air en supprimant les pollens. N’hésitez pas à sortir après une averse!

• Portez des lunettes à l’extérieur.

• Aérez brièvement votre appartement.

• Lavez-vous les cheveux le soir afin de réduire la quantité de pollen «emportée» au lit.

• Privilégiez les sports indoor.

• Posez des moustiquaires anti-pollen. * Les deux premières possibilités doivent faire l’objet d’un entretien avec un médecin.

En savoir plus: medgate.ch/fr-ch

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queuse nasale et de la conjonctive des yeux. Les troubles qui s’ensuivent sont les suivants: écoulement nasal, yeux rougis ou irrités. En Suisse, quelque 1,2 million de personnes sont allergiques aux pollens.

L’allergie pollinique (ou rhume des foins) est l’allergie la plus fréquente sous nos latitudes.

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Contactez-nous!

Avez-vous des questions ou des suggestions? Nous sommes là pour vous:

Vivre plus longtemps à la maison

Sanitas et Goldstück, une collaboration précieuse Nombre de personnes âgées et souffrant d’une maladie chronique souhaitent rester le plus longtemps possible dans un environnement familier. Bien souvent, organiser les soins et la prise en charge de ces personnes est une tâche astreignante et qui prend beaucoup de temps. C’est pourquoi Sanitas propose à ses clients assurés en division privée ou demi-privée le service «Rester vivre chez soi».

Aide-ménagère, soins corporels, services de transport: en collaboration avec son partenaire «Goldstück», Sanitas conseille les seniors et les personnes souffrant d’une maladie chronique sur le type d’aide dont ils ont besoin, élabore un programme de soutien individuel et coordonne les différents prestataires.

• Par téléphone, e-mail ou courrier: les coordonnées de votre Service Center ou de votre conseiller personnel gurent sur votre police.

• Via le portail clients en vous inscrivant sur sanitas.com/inscription pour béné cier des nombreux services de notre portail clients.

• Par l’appli du portail de Sanitas: vous y trouverez les principaux numéros de téléphone et un service de messagerie.

Plus d’informations sur sanitas.com/appli-portail • Au moyen des formulaires de contact gurant sur internet à la rubrique «Contact» de sanitas.com • Le guichet de votre Service Center se tient à votre disposition.

• Twitter: twittez-nous vos demandes via @Sanitas_CH • Vous pouvez aussi nous contacter sur Facebook, XING et LinkedIn.

Si vous disposez d’une assurance en division demi-privée ou privée et que vous êtes intéressé par cette prestation, rendez-vous sur sanitas.com/goldstueck-fr en allemand

Profitez du partenariat avec swiss smile Outre une bonne brosse à dents et une hygiène dentaire méticuleuse, une visite chez le dentiste est particulièrement importante pour avoir un beau sourire. C’est pourquoi Sanitas a noué un nouveau partenariat avec swiss smile. Présent sur 16 sites en Suisse, swiss smile propose une offre complète de médecine dentaire professionnelle. Les assurés de Sanitas ayant souscrit l’assurance complémentaire Dental ou un produit ambulatoire couvrant un traitement dentaire ou d’orthodontie bénéficient des réductions suivantes: • 50 francs de rabais sur un détartrage effectué par une hygiéniste dentaire • 30 francs de rabais sur un détartrage effectué par une assistante en prophylaxie • swiss smile facturant les traitements dentaires sur la base du point tarifaire Dentotar 1,0, le rabais peut atteindre 20%.

En savoir plus: swiss-smile.com

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Nouveautés

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«Les tests de grossesse négatifs étaient démoralisants» Le r ve d’Ana Agudo s’est exaucé: elle est enceinte de son premier enfant. racelet et applis sur la fertilité et le c cle menstruel l’ont aidée. Force est de constater que toutes les aides numériques n’ont pas la m me efficacité.

Texte: Julie Freudiger | Photos: Christine Benz

Ava disponible chez Sanitas Contrairement aux autres capteurs du cycle menstruel, Ava ne mesure pas seulement un paramètre, mais plusieurs. l su t de le porter pendant la nuit. Ava est testé scienti quement et calcule cinq jours fertiles sur six avec une abilité de 9 .

En savoir plus: avawomen.com/fr

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Ana Agudo, enceinte de sept mois et cheveux en cascade, est resplendissante et très détendue. «Je ne me stresse pas», nous confie la jeune femme de 27 ans. Il y a à peine un an, elle ne pouvait pas en dire autant.

Pendant un moment, elle a même douté qu’elle puisse tomber enceinte un jour. «J’ai traversé un moment difficile», nous raconte-t-elle.

Ana et son partenaire savaient depuis longtemps qu’ils voulaient avoir des enfants. Quand Ana a cessé de prendre la pilule après huit ans de relation, les attentes étaient grandes. Pourtant, rien ne s’est passé.

En dépit de l’utilisation de deux applis sur la fertilité.

Avec celles-ci, les données sur les règles, la douleur, l’humeur et le poids doivent être saisies manuellement. Ensuite, une formule mathématique permet de calculer les jours fertiles. Le problème: ces applis sur la fertilité se basent sur un cycle théorique. «Chez moi, cela n’a pas fonctionné parce que j’ai un cycle irrégulier», souligne Ana. Chaque mois, j’étais de plus en plus déçue de ne pas être enceinte et me mettais la pression. «J’ai très mal vécu les tests de grossesse négatifs et me suis de-

mandé à plusieurs reprises ce qui n’allait pas chez moi.» Son compagnon aussi se faisait de plus en plus de soucis. Le couple envisage donc un test de fertilité. À ce moment-là, une amie d’Ana lui parle d’un bracelet qui détermine les jours fertiles de manière fiable. «Je me suis alors dit: pourquoi ne pas essayer?», se souvient Ana en riant. Trois mois plus tard, le couple part en vacances. «C’était l’occasion de penser à autre chose et se détendre», nous dit Ana. Elle se déconnecte de tout à l’exception de son bracelet de fertilité Ava, qu’elle continue de porter chaque nuit à son poignet. Au réveil, elle synchronise les données avec l’appli.

Au retour des vacances, Ana n’a toujours pas ses règles. Elle pense que cela doit être nerveux. Après une semaine, elle décide de faire un test de grossesse.

«Je n’en croyais pas mes yeux», se rappelle-t-elle. Elle refait quatre fois les tests pour être sûre: elle est bel et bien enceinte. uel est l’avis de l’experte ce sujet La g nécologue Sabine Steinmann nous en dit plus: sanitas.com/suivi-du-cycle

Sanitas est à vos côtés si vous souhaitez un enfant.

La consommation de café nuit-elle à la fertilité?

Et le sport la favorise-t-elle? Comment connaître ma période d’ovulation?

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Informations et formulaire d’inscription: sanitas.com desir-en ant

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Coaching numérique avec facteur «fun» Une appli qui donne envie aux enfants et aux adolescents en surpoids d’adopter un mode de vie sain? C’est la promesse tenue du projet «PathMate2».

Texte: Robert Wildi | Photos: Cortis & Sonderegger

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Sebastian (*) est mieux dans sa peau. Cet adolescent de bientôt 14 ans vient de s’acheter un sweat-shirt à capuche et un nouveau jean. Les autres ne lui vont plus, car il a perdu une taille et demie en six mois.

Sebastian l’a beaucoup répété: «Je fais plus attention maintenant. Avant, je me gavais de pâtes, de coca et de biscuits.» Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. «C’est un passé définitivement révolu», ajoute cet élève du secondaire avec certitude. Il a perdu quatre kilos en quatre mois. On est encore loin de voir les abdominaux «tablettes de chocolat», mais cette perte de poids lui a redonné confiance en lui et plus d’assurance.

Motiver au lieu de sanctionner Un petit coup de pouce initial était néanmoins nécessaire pour engager le «processus de transformation». Sebastian a participé au projet pilote «PathMate2» (voir encadré): les coachs numériques «Anna et Lukas» de l’appli aident les enfants en surpoids à modifier à long terme leurs habitudes alimentaires et quotidiennes.

Tobias Kowatsch, directeur de recherche au Center for Digital Health Interventions (CDHI), est l’esprit créatif à l’origine de ces aides numériques. «L’objectif du projet est de proposer aux jeunes patients, en plus des entretiens, des sortes d’adjoints médicaux par le biais d’‹Anna et Lukas›. Ces coachs numériques sont censés rendre la thérapie plus ludique.» Au quotidien, les enfants ont en quelque sorte des devoirs à faire dans les domaines de l’exercice physique, de l’alimentation et de la gestion du stress et sont récompensés par un système de points.

Le projet PathMate2 La «pilule numérique» qui aide à amé améliorer la condition physique, la qualité de vie et la santé a été développée et mise en œuvre techniquement début 2016 dans le cadre d’un partenariat entre l’Hôpital pédiatrique de Suisse orientale de Saint-Gall, le Center for Digital Health Interventions (CDHI), l’Université de Saint-Gall (HSG) et l’EPF de Zurich. L’appli a été évaluée et testée au cours des deux dernières années dans le cadre d’études cliniques parrainées par le Fonds national suisse.

de vie», s’enthousiasme Tobias Kowatsch. Si l’on considère qu’en Suisse, un enfant sur cinq est en surpoids, mais que seulement 0,02% d’entre eux suit un traitement approprié, les résultats du projet «PathMate2» sont prometteurs. C’est aussi l’avis de Sebastian, qui a marqué son retour dans le club de foot local après une pause de deux ans. (*) Nom d’emprunt Le projet: sanitas.com/pathmate-fr

Le principe de base est de privilégier la motivation et non la sanction. Ce qui a très bien marché pour Sebastian. «Les coachs numériques m’aident vraiment à rester actif et me rappellent constamment de manger sainement et de boire beaucoup d’eau.»

Un coca? Non, merci!

Après des débuts difficiles, l’adolescent est parvenu à changer ses habitudes. Aujourd’hui, il n’a plus du tout envie, par exemple, de boire du coca ou autres boissons sucrées. Et il a renoué avec le sport.

Sebastian n’est pas seul à avoir remporté une victoire. Les premiers résultats de «PathMate2» montrent que le taux de réalisation des tâches quotidiennes confiées aux jeunes patients sur une période de six mois est de 60%. C’est avant tout la condition physique qui s’améliore. «En collaboration avec les médecins du projet, nous souhaitons optimiser le coaching numérique afin d’obtenir des résultats médicaux encore meilleurs et améliorer ainsi la qualité

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Tobias o atsc ans est le créateur de la plate-forme open source MobileCoach (mobile-coach.eu) et cofondateur de la spinoff Pat mate Tec nologies de l’ PF de uric et de l’Université de Saint-Gall. Pathmate développe des méthodes de traitement numériques à la jonction de l’informatique et de la technologie comportementale.

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Trois ours pour les cyclistes

Que ce soit avec un vélo traditionnel ou électrique, pédaler est bon pour la santé et maintient en forme. La Suisse offre de belles pistes cyclables à tous les amoureux de la petite reine. Trois personnes de la branche du tourisme nous présentent leur itinéraire préféré.

Texte: Clau Isenring

La Suisse est un paradis tant pour les amoureux de la grimpette que pour ceux qui privilégient les chemins plats et faciles. Des milliers de kilomètres de pistes cyclables et de pistes de montagne sillonnant des paysages splendides sont à votre disposition. Le vélo a de nombreux atouts: outre le fait d’être une activité pratiquée dans la nature, il favorise la forme physique et la santé. Une étude de l’Université de Bâle, publiée en 2018 dans le Clinical Journal of Sport

Davos Dorf

In den Büelen Davos Platz

Medicine, révèle que faire du vélo électrique apporte les mêmes bienfaits pour la santé et la forme physique qu’avec un vélo traditionnel.

Vélo traditionnel ou électrique: si vous utilisez l’appli Active de Sanitas, vous pourrez également alimenter votre compte personnel. Cette dernière mesure l’activité à vélo et calcule la durée et les distances parcourues.

Circuit de la vallée de Davos «Qu’est-ce qui rend ce circuit si unique? Il permet de découvrir les vallées latérales, plus connues sous le nom de perles de Davos. Le circuit, idéal pour les familles, traverse prairies, alpages et forêts. Le point fort est l’Adventure Park Färich qui propose de l’accrobranche, un bikepark ainsi que le sympathique restaurant Chalet Velo. Ma recommandation culinaire: Zigeunerspiess mit halb/halb (brochette gitane avec des frites, salade et sauce maison.»

Fredi Michel, Destination Davos Klosters

Hof

Ufem Büel

Davos Frauenkirch

Davos Clavadel

Détails Di culté: facile Distance: 5, m principalement des c emins faciles Durée: 2h30 Saison: de mai à novembre Point de départ: Davos centre touristique et sportif Infos et autres circuits: davos.ch/bike

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Gstaad – lac de Lauenen «Ce circuit facile est également adapté aux vélos électriques. Il mène au célèbre lac de Lauenen et à la réserve naturelle avec ses impressionnantes chutes d’eau, ses glaciers et ses tourbières hautes. La piste cyclable mène de Gstaad à Lauenen. De là, le circuit monte jusqu’au magni que lac situé 1 1 m tres d’altitude. Le retour à Gstaad emprunte le même chemin. Le restaurant et l’aire de pique-nique installés au bord du lac sont parfaits pour faire une petite pause et offrent un panorama splendide.

Pédalez avec l’appli Active de Sanitas!

Vous pouvez télécharger gratuitement l’appli Active de Sanitas depuis l’App Store ou Google Play. Pour en savoir plus sur les avantages de l’appli: sanitas.com/appliactive

Antje Buchs, Gstaad Marketing GmbH Piandanazzo

Détails Di culté: mo enne Distance: , m c emins c clables et pédestres Durée: 2h30 Saison: de mai à octobre Point de départ: Gstaad

Caval Drossa

La Spesse

Infos et autres circuits: sanitas.com/gstaad-fr

Gstaad

Cne di Capriasca

Badweidli

Borisio Gmünte Spiher Bidogno

Tessin – Monte Bar Bike La vue panoramique qu’offre ce circuit en altitude dans l’arrière-pays de Lugano est une expérience à ne pas manquer. La nouvelle cabane de montagne Capanna Bar et sa vue spectaculaire sur les vallées de Lugano constituent l’un des points d’orgue de ce circuit. Les deux gérants de la cabane, qui travaillaient autrefois dans la haute gastronomie, réservent un accueil chaleureux aux cyclistes. Les gnocchis faits maison sont excellents.»

Stuckisweidli Fangmatte

Chasper

Lauenen b. Gstaad

Jutta Ulrich, Ticino Turismo

Rohrbrücke

Détails Di culté: mo enne Distance: , 5 m rev tement naturel: 7 m singletrail: m Durée: 3h45 Saison: de mai à octobre Point de départ: idogno district de Lugano

Rysch Höhi Dungel

Infos et autres circuits: ticino.ch/fr

Seebüel

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C’est carnaval!

Sani et Elina se sont déguisés pour le carnaval et mêlés à la foule. Les trouveras-tu? Où se cachent-ils?

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Illustration: Michael Meister

Gagne une minitable de ping-pong!

Trouve Sani et Elina et entoure-les au feutre.

Prends le dessin en photo et envoie-le à redaktion@sanitas.com.

Ou envoie la page par la Poste, sans oublier d’indiquer ton adresse et ton no de téléphone à: Sanitas, Rédaction Magazine, mot-clé «Carnaval», gergasse , case postale, 0 1 uric .

Le prix est sponsorisé par Sanitas.

Date limite d’envoi: le 12 avril 2019.

Illustration: Michael Meister

Le gagnant sera informé par écrit. Aucune correspondance n’aura lieu à propos du concours. Le versement en espèces et la voie juridique sont exclus.

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Sauts de chat et saltos: la passion du parkour Joshua Widmer d’Emmenbrücke s’entraîne depuis un an à l’association Parkour Luzern. Outre les techniques de sauts, il apprend aussi à motiver les traceurs en herbe.

Texte: Stefanie Bucher | photos: Matthias Jurt

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Ils sautent rapidement d’un mur à l’autre, se tiennent en équilibre sur les rampes les plus étroites avant de finir par un saut périlleux en arrière. Ceux qui exercent le parkour recherchent les obstacles en ville ou dans le parc et essaient de les surmonter avec un maximum d’efficacité et de mouvements fluides. «Le plus difficile est d’atterrir avec les deux pieds en équilibre», nous explique Joshua Widmer après avoir exécuté plusieurs fois une technique de saut précise devant l’objectif du photographe. Depuis un an, ce jeune de 12 ans s’entraîne au parkourpark de Grandstand en tant que membre de l’association Parkour Luzern, vainqueur du prix Challenge de l’an dernier. «Je trouve génial que les participants se soutiennent mutuellement et se donnent des conseils.

Je me suis fait beaucoup d’amis ici», nous raconte Joshua.

Plus qu’un simple entraînement Déjà lorsqu’il était enfant, Joshua n’avait peur de rien. «Il me demandait souvent: tu crois que je peux sauter de cette hauteur?», se rappelle Fiona, sa maman. «J’étais très contente le jour où j’ai appris que Joshua pouvait rejoindre l’entraînement et s’y défouler dans la limite de ses moyens», nous explique-telle. Pendant longtemps, il n’était pas possible de rejoindre le Parkour Luzern avant l’âge de 14 ans.

Depuis peu, l’entraînement est également accessible aux plus jeunes. Le niveau «Kids Training», qui est encore en phase de développement, a beaucoup de succès. La liste d’attente est déjà longue. C’est aussi grâce à Joshua et à sa maman que les plus jeunes peuvent aujourd’hui participer. «Nous avons insisté pour que Joshua et son ami puissent prendre part à l’entraînement», souligne Fiona. «Il favorise également le développement de la personnalité, car les jeunes s’entraident.»

Une habileté qui demande de la pratique Les traceurs de parkour s’entraînent une fois par semaine dans le parkourpark de Grandstand. À ces séances s’ajoutent des entraînements quotidiens organisés gratuitement en ville. «Ces circuits s’adressent aux traceurs plus âgés qui ont déjà une certaine expérience», ajoute Joshua. Lorsqu’il s’ennuie, il s’entraîne même à la maison. «Je sors, je grimpe les murs et je saute. Je m’initie aussi à différentes techniques.»

Le saut de c at deuxi me image est la tec nique préférée de os ua idmer.

Joshua. Il est ainsi possible de sauter par dessus un obstacle ou de s’y tenir en équilibre avant de reprendre la course.»

Joshua se dit qu’un jour il pourra peut-être aussi devenir entraîneur de parkour. Il aime aider les plus jeunes et leur montrer des techniques. «Et je veux absolument apprendre à faire des saltos!»

Depuis plus de 5 ans, Sanitas décerne le prix C allenge aux associations et organisations qui encouragent, avec des idées et des projets innovants, les enfants et les jeunes bouger davantage.

Pour en savoir plus: sanitas.com/prix-challenge

Son saut préféré est le saut de chat. «Pour ce saut, les bras prennent appui sur l’obstacle, avant que les jambes ne passent groupées entre les bras, explique

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Fitzi a la réponse

Quelle est la participation de Sanitas aux frais d’une paire de lunettes?

Je me suis acheté récemment une paire de lunettes. Au préalable, j’avais essayé de trouver si Sanitas participait aux frais des aides visuelles, mais ma police ne précise aucun montant.

Denise Fitzi, responsable Conseil au client, Winterthour

«Vous souhaitez savoir si Sanitas rembourse certains frais? Le Contrôle couverture vous donnera l’information.»

Nous contacter Avez-vous des questions sur votre assurance? Souhaitez-vous un conseil ou une offre Notre Conseil au client se tient à votre disposition.

Appele votre Service Center ou le 0 1 0 1 0 max. 7 ct. min . Vous pouvez aussi nous écrire à info@sanitas.com Clients assurés en division privée ou demi-privée: merci de vous adresser à votre conseiller personnel ou de composer le 0 170 170.

Denise Fitzi: Pour des questions de place, l’étendue des prestations est présentée de façon résumée sur la police pour chaque produit d’assurance. Vous trouverez des informations complémentaires dans les conditions d’assurance. Les jours ouvrés, vous pouvez également vous renseigner auprès de votre Service Center ou de votre conseiller personnel (voir encadré). Mais nous savons que nos clients ont aussi besoin d’informations sur l’étendue des prestations en dehors de nos horaires d’ouverture. C’est pourquoi nous avons créé le Contrôle couverture, disponible sur le portail clients de Sanitas ou son appli. Depuis votre smartphone ou votre ordinateur, vous obtiendrez ainsi toutes les informations nécessaires.

Comment ce service fonctionne-t-il?

• Ouvrez le Contrôle couverture dans le menu du portail clients ou de l’appli du portail de Sanitas.

• Sélectionnez-vous parmi les membres de la famille.

• Comme le mot «lunettes» est souvent recherché, il s’affiche directement. Vous pouvez aussi saisir d’autres termes dans la recherche.

Voici la réponse du Contrôle couverture: • Avec votre assurance complémentaire Classic, vous bénéficiez d’une participation aux frais de 300 francs tous les trois ans.* S’il s’est écoulé au moins trois ans depuis la dernière fois que vous avez acheté des lunettes, vous pouvez nous transmettre la facture de votre opticien via l’appli du portail de Sanitas. Pour cela, il vous suffit de sélectionner «Scanner les justificatifs» et de photographier la facture.

Le montant dû vous sera versé rapidement. * Attention: les contributions varient s’il s’agit d’enfants et selon les assurances complémentaires. Pour en savoir plus, utilisez le Contrôle couverture ou renseignez-vous auprès de nos conseillers clients.

Participation de Diversa Confort (non intégré dans le Contrôle couverture): 200 francs sur le coût non couvert par l’assurance de base des verres de lunettes ou des lentilles de contact visant à corriger une déficience visuelle. Une fois par année civile pour les enfants jusqu’à 18 ans révolus et une fois tous les 3 ans pour les adultes.

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Fit zi a la réponse

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Forum

Votre avis nous intéresse Coaching de course à pied Les reportages sur le coaching de course à pied m’ont beaucoup plu et j’ai suivi le projet dans votre magazine clients, sur Facebook et sur votre site web. Je tiens d’ailleurs à féliciter les deux participants, Nicole Abgottspon et Christoph Banik. Il fallait beaucoup de courage pour s’investir dans un tel projet.

D’autant que les médias les ont accompagnés pendant plusieurs mois et que les résultats étaient présentés au public. Ils s’en sont superbement sortis et ont bien géré la course de la Saint-Sylvestre. Chapeau!

T. M. Madame Abgottspon, Monsieur Banik, j’étais à la course de la Saint-Sylvestre et ai croisé les doigts pour vous (bien emmitouflés dans des gants chauds à cause du mauvais temps). Bravo! B. Z.

La fin du film

Bravo!

J’étais ravi de trouver votre magazine – que je trouve très intéressant – dans ma boîte aux lettres sans film plastique! Un vrai cadeau pour la planète.

M. H.

Nous avons reçu un exemplaire de votre magazine clients. J’ai trouvé le choix des sujets très intéressant et ai tout de suite téléchargé la version numérique.

S. E.

Votre décision de renoncer à l’emballage sous film mérite d’être saluée.

J’ai bon espoir que d’autres éditeurs suivront votre exemple. Pour les destinataires, les films sont gênants et difficiles à ouvrir. En plus, il faut les jeter séparément.

P. Z.

Je voudrais vous féliciter pour votre magazine clients: il est tout simplement super... Clair et concis, tout en restant très informatif. C’est l’un des rares magazines qui n’atterrit pas directement dans la pile de papier à recycler et que nous prenons le temps de lire à la maison. Merci!

A.Z.

L’homme de glace

C’est impressionnant ce que l’on peut accomplir par la force de la volonté. Mais pas besoin non plus de marcher à moitié nu sur la glace par des températures négatives. Cet homme est fou.

N. K.

Écrivez-nous!

Votre opinion nous intéresse. Écrivez-nous à redaktion@sanitas.com ou Sanitas, Rédaction Magazine des clients, case postale, 0 1 uric .

Impressum

Éditeur: Sanitas, gergasse , 0 1 uric , sanitas.com Contact: reda tion sanitas.com, tél. 0 150 150 Rédacteur en chef: ic ael Suter Commission de rédaction: aspar Trac sel, Claudia Sebald, Denise Fit i, Stefanie Heller, Valentin H sser, iccarda Sc aller, Felix Stein auer Traduction: Service de traduction de Sanitas Réalisation: Fran is a Neugebauer, is a.grap ics Impression: Swissprinters AG, swissprinters.c Crédit photos: toutes les images ne portant aucune mention particulière sont la propriété de Sanitas ou sont des images sous licence de Sanitas Tirage: env. 0 000 11e année imprimé sur papier écologique FSC Parution: par an en fran ais, allemand et italien Le proc ain num ro para tra en juin 2019.

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sanitas.com/shop-fr Cadenas LockSmart CHF 74.00 CHF 89.00

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Tous les rabais sont des offres de tiers et n’engendrent aucun coût pour Sanitas. Nous remercions toutes les personnes impliquées.

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