BXL Sport Magazine - zomer/été by Prosport Brussels

BXL Sport Mag Été - Zomer 2021 LES ACTUALITÉS SPORTIVES DE LA VILLE DE BRUXELLES SPORTNIEUWS UIT DE STAD BRUSSEL

LÉA BAYEKULA OBJECTIF TOKYO MISSIE TOKYO

BASKETBALL FÉMININ À BRUXELLES VROUWENBASKETBAL IN BRUSSEL ROYAL EXCELSIOR BRUSSELS, ROYAL IV, ROYAL BC ECLAIR

NATATION ARTISTIQUE ARTISTIEK ZWEMMEN BRASS HOCKEY ROYAL PRIMEROSE CV LES FILLES DU HAUT – MEISJES BOVEN BrusselsSport

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SOMMAIRE - INHOUDSTAFEL Edito - Editoriaal ��3 Basketball féminin à Bruxelles - Vrouwenbasketbal in Brussel ��4 « Une équipe Séniors Dames dans les 3 ans » - “Een senior damesteam binnen de 3 jaar” Le RIV, une grande famille - Royal IV, een echte familieclub L’Eclair, presque 85 bougies, garde un cœur jeune - BC Eclair blaast bijna 85 verjaardagskaarsen uit Léa Bayekula �� 10 Léa Bayekula a Tokyo dans le viseur - Léa Bayekula heeft Tokyo in haar vizier Hockey ��13 Be Prim, Be Happy - Enkel tevreden gezichten bij Primerose Brass ��14 Le BRASS, orfèvre de la natation artistique - BRASS, de gouden diamant van het artistieke zwemmen

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C O P Y, P R I N T E R , S C A N , FA X & I T S O L U T I O N S

EDITO - EDITORIAAL

FR « Le sport reste encore un bastion du sexisme ». Avec ces mots, la judokate Charline Van Snick lançait #balancetonsport à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes. Début mai, avec une cinquantaine d’autres sportives et sportifs dont la Bruxelloise Lola Mansour, elle relançait un appel au monde politique, dont je suis, pour lutter contre le sexisme dans le sport.

NL "Sport blijft nog steeds een broeinest van seksisme". Met deze woorden lanceerde judoka Charline Van Snick de hashtag #balancetonsport ter gelegenheid van de Internationale Dag van de Rechten van de Vrouw. Begin mei riep zij samen met vijftig andere sporters, onder wie Lola Mansour uit Brussel, de politieke wereld, waaronder ikzelf, op om te strijden tegen seksisme in de sport.

Elles ont raison. Il faut changer de braquet.

Ze hebben gelijk. We moeten hiervoor resoluut naar een hogere versnelling schakelen.

Le monde du sport reste un monde trop masculin. A la Ville de Bruxelles, depuis deux ans, des critères objectifs ont été instaurés pour l’octroi de subsides aux clubs. La mixité est l’un des critères fondamentaux. La Ville de Bruxelles, comme organisatrice d’évènements, offre une place privilégiée aux femmes à chaque rassemblement sportif comme le BXL Tour. Elle facilite aussi l’accès à ses infrastructures aux clubs féminins, aux sportives. Tout cela suffit-il ? Bien sûr que non. Alors la Ville continue ses efforts multiples pour ouvrir un maximum ses portes aux sportives. Car on sait que le sport est moteur d’émancipation. On sait qu’avoir accès à un terrain, une salle, une piste c’est avoir accès à un lieu de liberté et d’indépendance. Et cette édition spécifiquement dédiée au sport féminin fait aussi partie de la recherche d’égalité de genre dans la politique sportive bruxelloise. Car tout commence par la place dans les médias. La médiatisation du sport féminin est un enjeu essentiel pour obtenir la reconnaissance de la place des femmes dans le sport. A nouveau, tout ceci suffit-il ? Encore une fois, non. La Ville de Bruxelles n’aura de répit que le jour où, dans le sport, auront cessé harcèlement, invisibilisation, dénigrement, discrimination,… Et cela, c’est ensemble, avec toutes les sportives mais aussi tous les sportifs que nous y arriverons.

De sportwereld is nog steeds te mannelijk. De Stad Brussel heeft de afgelopen twee jaar doelgerichte criteria ingevoerd voor de toekenning van subsidies aan clubs. Genderdiversiteit is een van de fundamentele criteria. De stad Brussel biedt als organisator van evenementen een bevoorrechte plaats aan vrouwen bij elk sportevenement, zoals de BXL Tour. De Stad Brussel vergemakkelijkt ook de toegang tot haar infrastructuren voor vrouwenclubs en sportvrouwen. Is dit allemaal voldoende? Zeker en vast niet. De Stad Brussel zet dus haar talrijke inspanningen voort om haar deuren zoveel mogelijk voor sportvrouwen open te stellen. Omdat we weten dat sport een motor is voor emancipatie. Wij weten dat toegang hebben tot een veld, een zaal, een piste ook toegang betekent tot een plek van vrijheid en onafhankelijkheid. En deze speciaal aan de vrouwensport gewijde editie past ook in het streven naar gendergelijkheid in het Brusselse sportbeleid. Omdat het allemaal begint met de aandacht in de media. De berichtgeving over vrouwensport in de media is van essentieel belang om erkenning te krijgen voor de plaats van vrouwen in de sport. Nogmaals, is dit voldoende? Opnieuw zeggen we zonder twijfel nee. De Stad Brussel zal pas kunnen rusten als er een einde komt aan pesterijen, onzichtbaarheid, denigrerend gedrag, discriminatie, enz. in de sport. En het is enkel samen, met alle sportvrouwen en sportmannen, dat we dit zullen bereiken.

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DOSSIER BASKETBALL FÉMININ À BRUXELLES - VROUWENBASKETBAL IN BRUSSEL FR

Il y a pour la province de Bruxelles – Brabant wallon un peu moins de 3000 dames (de 5 à 35 ans et plus) qui sont affiliées dans un club de basketball. Plus de 1800 sont des joueuses en activité ; un peu moins de 700 d’entre elles ont de 13 à 18 ans. Un chiffre qui augmente progressivement car, pour la saison 2018-19, les dames et demoiselles étaient juste sous la barre des 2500. Malgré une médiatisation toute relative autour des Belgian Cats et du basket féminin, il y a donc bien un effet Emma Meesseman ou Julie Allemand qui inspire les joueuses de demain…

BASKETBALL ROYAL EXCELSIOR BRUSSELS

In de regio Brussel - Waals Brabant zijn iets minder dan 3000 vrouwen (van 5 tot 35 jaar en ouder) aangesloten bij een basketbalclub. Meer dan 1800 speelsters zijn actief; iets minder dan 700 van hen zijn tussen 13 en 18 jaar oud. Een cijfer dat geleidelijk toeneemt, want in het seizoen 2018-19 zaten de dames en meisjes net onder de 2500. Ondanks de relatieve media-aandacht rond de Belgian Cats en het vrouwenbasketbal, is er wel degelijk een Emma Meesseman of Julie Allemand effect dat de speelsters van morgen inspireert...

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« UNE ÉQUIPE SÉNIORS DAMES DANS LES 3 ANS » ON ENTEND souvent parler du Phoenix Brussels dans les médias. Le club pro évolue en EuroMillions Basketball League. Le Royal Excelsior Brussels, c’est le nom et le matricule historique du club. Il désigne les jeunes de l’entité. En plus de son boulot chez les Garçons avec notamment la Phoenix Academy, l’Excel est désireux d’accorder à la balle orange féminine l’attention qu’elle mérite. « On sera présent en U12, en U14 et en U16. On a aussi des filles entre les U7 et les U12 dans des catégories mixtes. On a redémarré avec Régis Vermeiren et Sophie Urbain qui coacheront chacun une équipe. Le but est de proposer une formation aux filles qui étaient chez nous et qui s’en allaient faute de solution en Flandre ou ailleurs dans Bruxelles » résume Jean-Claude Vannyvel, coordinateur bruxellois.

Elina Scruel (12 ans) est une des basketteuses de l’Excel. Elle a commencé le basket en Flandre, dans une équipe mixte. « Comme les garçons ne faisaient pas beaucoup de passes », elle a rejoint via une amie le club de Neder-over-Heembeek. C’était il y a cinq ans. Elle évolue au poste de meneuse avec les U14. « J’aime le basket parce que chacun a un rôle important dans l’équipe. Je trouve qu’on est fortes quand on joue ensemble » estime Elina. J’adore le match et la compétition mais j’aime aussi qu’on s’entende bien toutes en dehors. J’ai appris avec toutes mes coachs. Avec Coach Sylvie (Martel), elle explique très bien et on apprend beaucoup de choses. Avec Coach Sophie (Urbain), on apprend plein de trucs aussi et il y a un bon feeling entre elle et nous, les joueuses. »

Basketball féminin à Bruxelles - Vrouwenbasketbal in Brussel

“EEN SENIOR DAMESTEAM BINNEN DE 3 JAAR” HET GAAT vaak over Phoenix Brussels in de media, de profclub die aantreedt in de EuroMillions Basketball League. Maar het is Royal Excelsior Brussels dat de naam en het historische nummer van de club is en dat eveneens verwijst naar de jeugd van de club.

Elina Scruel, Royal Excelsior Brussels

Si le plaisir reste la norme dans les catégories Jeunes, le coordinateur Vannyvel essaye de se projeter vers le haut du panier : « Notre but est d’aligner une équipe Seniors dans les 3 ans. Les choses évoluent dans le bon sens. Lors du dernier stage de Pâques, on a eu 25% de jeunes filles. Un chiffre qu’on n’avait jamais eu auparavant. Le basket féminin est devenu porteur grâce aux exploits des Cats. Je trouve que le club des Kangoeroes Malines montre le bon exemple avec une équipe professionnelle et une équipe pro Dames. Ce serait bien si on avait ça au Brussels. Ce serait formidable pour la capitale » conclut le Directeur technique pour le mini-basket.

Naast haar werk met de jongens van de Phoenix Academy, wil Excelsior graag het vrouwenbasket de aandacht geven die het verdient. "We zullen aanwezig zijn in U12, U14 en U16. We hebben ook meisjes tussen U7 en U12 in gemengde categorieën. We zijn opnieuw begonnen met Régis Vermeiren en Sophie Urbain die elk een team zullen coachen. Het doel is een opleiding aan te bieden aan de meisjes die bij ons waren en die vertrokken zijn bij gebrek aan kansen in Vlaanderen of elders in Brussel", zegt Jean-Claude Vannyvel, coördinator in Brussel.

Als plezier bij de jeugd de norm blijft, probeert coördinator Vannyvel zich naar de top te werken: "Ons doel is om binnen drie jaar een seniorenteam op de been te brengen. Het gaat de goede kant op. Op het laatste trainingskamp voor Pasen, hadden we 25% jonge meisjes. Een cijfer dat we nog nooit eerder hebben behaald. Het vrouwenbasketbal is veelbelovend geworden dankzij de prestaties van de Cats. Ik denk dat Kangoeroes Mechelen het goed voorbeeld is van een mannelijke profploeg en een vrouwelijke profploeg. Het zou mooi zijn als we dat hier bij Brussels ook kunnen verwezenlijken. Dat zou geweldig zijn voor de hoofdstad", besluit de technisch directeur van het mini-basketbal.

Elina Scruel (12 jaar) is één van de basketbalspeelsters van Excelsior. Ze begon met basketbal in Vlaanderen, in een gemengde ploeg. Omdat de jongens nauwelijks een pass gaven, kwam ze via een vriend bij de club van Neder-over-Heembeek terecht en dat was zo’n vijf jaar geleden. Ze speelt als point guard bij de U14. "Ik hou van basketbal omdat iedereen een belangrijke rol in het team heeft. Ik vind dat we enkel sterk zijn als we als team samenspelen," zegt Elina. “Ik hou van het spel en de competitie, maar ik vind het ook leuk dat we naast het spel goed met elkaar kunnen opschieten. Ik heb veel geleerd van al mijn coaches. Zowel met Coach Sylvie (Martel), ze legt alles heel goed uit en we leren er veel bij. Met Coach Sophie (Urbain) leren we ook veel nieuwe dingen en er is een goede verstandhouding tussen haar en onze speelsters." Été - Zomer 2021

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Basketball féminin à Bruxelles - Vrouwenbasketbal in Brussel

BASKETBALL ROYAL IV BRUSSELS

LE RIV, UNE GRANDE FAMILLE ON NE PRÉSENTE plus le Royal IV Brussels qui évolue au Palais du Midi. Le club est réputé pour sa formation et son école de jeunes. Reconnu pour son travail avec les garçons (l’équipe première évolue en Top Division Men 1, l’ancienne Division 2 tandis que la seconde équipe joue en Top Division Men 2, anciennement D3) le club progresse également en catégories Filles.

Autour de sa R2 et de ses U19 coachés par Abdellah Allouchi ainsi que de sa future P3, le RIV présente des équipes en U16 et en U14 (Coach Renato Castellani). Aux côtés de ses demoiselles, des filles plus jeunes sont inscrites au sein des équipes mixtes (U8-U10-U12). Soit un total de 70 basketteuses qui dribblent au Palais du Midi ou à la salle de la Place Fontainas. « Je pense que l’un des rêves de notre président Zarzouri serait d’avoir un jour une équipe en Division 1 avec Ena Musanovic, Sofia Ouahabi ou Sephora Yayouss. Des filles qui ont tâté de la D1 en Belgique ou, comme la dernière, qui poursuivent leurs études aux EtatsUnis en pratiquant du basket de haut niveau » indique Abdellah Allouchi. Nisrine Daïmoussi, Morgane De Roy, Gabriella Mendes, Formose Nzuzi, Soraya Robinet et Maïmouna Vancoppenolle incarnent à elles six les valeurs familiales du club bruxellois. Elles ont entre 21 et 28 ans et n’ont connu quasi que le Royal IV Brussels Nisrine : « J’ai récemment décidé d’arrêter le basket. Je reste tout de même une enfant du RIV, le club et ses membres m’y ont vu grandir. Je dirais que c’est comme une grande famille. Quasi tout le monde se connaît, c’est assez chaleureux. C’est d’ailleurs l’ambiance qui y règne qui m’a fait rester toutes ces années. On ne trouvera presque pas cette

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ambiance familiale dans les autres clubs et je pense que c’est en partie pour ça qu’on a en général du mal à s’en détacher. Malgré mon arrêt, je continuerai à supporter le club en allant voir des matchs quand les compétitions reprendront. » Morgane : « C’est comme une seconde maison. J’y ai grandi car mes parents sont impliqués dans le club depuis des années et je n’ai joué que dans ce club. En passant par Atomics, Atomia, RRBCB, ..., puis aujourd’hui Royal IV, j’ai pu voir son évolution. Ce qui n’a jamais changé, c’est cette ambiance chaleureuse et familiale quand on se rend à un match. Les week-ends de tournoi ou matchs à domicile où les jeunes et parents se mobilisent pour contribuer et aider le club, cela reflète aussi l’image et l’expérience que j’ai du RIV. C’est peut-être un peu subjectif, mais je pense que c’est ce qui fait aussi que beaucoup de celles et ceux qui partent, reviennent. Le nombre incroyable de jeunes de tous milieux qui ont la possibilité de rejoindre ce club et développer leurs talents / passion pour le basket, c’est beau à voir! Pour les plus jeunes, je trouve que cela leur

offre un cadre de loisir, mais aussi de sociabilisation, de discipline et des perspectives. Des jeunes talentueux sont partis mais le RIV est encore au cœur du développement de nombreux talents et futurs talents bruxellois. Pour résumer, je pense qu’il faut en faire l’expérience pour comprendre et se faire sa propre opinion sur ce qu’est de faire partie de la Royal IV Family. » Soraya : « Je suis passée par différents clubs mais je ne me suis jamais sentie aussi bien qu'au Royal IV. J'ai directement été séduite par son côté familial et solidaire. Il y règne une atmosphère très spéciale. Je m'y suis sentie comme chez moi dès le premier jour. »

Basketball féminin à Bruxelles - Vrouwenbasketbal in Brussel

ROYAL IV, EEN ECHTE FAMILIECLUB ROYAL IV BRUSSELS, dat in het Zuidpaleis speelt, hoeft na al die jaren geen introductie meer. De club is bekend om zijn opleiding en jeugdschool. Erkend voor het werk met de jongens (het eerste team promoveert naar de Top Divisie Heren 1, de vroegere Divisie 2 terwijl het tweede team in Top Divisie Heren 2 speelt, de vroegere D3) maar de club evolueert ook met de meisjescategorieën.

C'est l'ambiance familiale du club qui m'a fait y rester toutes ces années

Het is de familiale sfeer binnen de club die mij hier al die jaren heeft doen blijven

Rond de Reserve 2 en de U19 gecoacht door Abdellah Allouchi en zijn toekomstige P3, heeft de RIV teams in U16 en U14 (Coach Renato Castellani). Naast deze meisjesteams worden jongere meisjes ingeschreven in de gemengde teams (U8-U10-U12). Dat wil zeggen een totaal van 70 basketbalspeelsters die dribbelen in het Zuidpaleis of in de nieuwe sportzaal aan Fontainas. "Ik denk dat één van de dromen van onze voorzitter Zarzouri zou zijn om op een dag een vrouwenteam in Divisie 1 te hebben met Ena Musanovic, Sofia Ouahabi of Sephora Yayouss. Meisjes die al hebben geproefd van D1 in België of, zoals de laatste, die hun studie in de Verenigde Staten voortzetten terwijl ze basketbal op hoog niveau spelen" zegt Abdellah Allouchi. Nisrine Daïmoussi, Morgane De Roy, Gabriella Mendes, Formose Nzuzi, Soraya Robinet en Maïmouna Vancoppenolle belichamen de familiale waarden van de Brusselse club. Zij zijn tussen 21 en 28 jaar oud en hebben bijna niets anders gekend dan Royal IV Brussel. Nisrine: "Ik heb onlangs besloten om te stoppen met basketbal. Ik ben nog steeds een kind van de RIV, de club en zijn leden hebben me zien opgroeien. Ik zou zeggen dat het als één grote familie is. Bijna iedereen kent elkaar, het is een hele warme sfeer. Het is de sfeer die me hier al die jaren heeft gehouden. Deze familiale sfeer vind je bijna nooit bij andere clubs en ik denk dat dat één van de redenen is waarom het meestal moeilijk is om te

vertrekken. Ondanks mijn onderbreking zal ik de club blijven steunen door naar wedstrijden te gaan wanneer de competities worden hervat." Morgane: "Het is als een tweede thuis. Ik ben daar opgegroeid, want mijn ouders zijn al jaren bij de club betrokken en ik heb alleen voor deze club gespeeld. Via Atomics, Atomia, RRBCB, ..., en nu Royal IV, heb ik de evolutie van de club meegemaakt. Wat er nooit is veranderd, is de warme en familiale sfeer wanneer je naar een wedstrijd gaat. De weekends van toernooien of thuiswedstrijden waar jongeren en ouders hun steentje bijdragen en de club helpen, dat geeft ook het beeld en de ervaring weer die ik heb van de RIV. Het is misschien een beetje subjectief, maar ik denk dat velen die weggaan daardoor ook terugkomen. Het ongelofelijke aantal jonge mensen uit alle lagen van de bevolking dat de kans krijgt om zich bij deze club aan te sluiten en hun talenten/passie voor basketbal te ontwikkelen, is prachtig om te zien! Voor de jongere spelers vind ik dat het hen een kader biedt voor ontspanning, maar ook sociale omgang, discipline en perspectieven. Enkele talentvolle jongeren zijn vertrokken, maar het RIV staat nog steeds aan de basis van de ontwikkeling van vele talenten en toekomstige talenten van Brussel. Kortom, Ik denk dat je het van dichtbij moet meemaken om te begrijpen en zo je eigen mening te vormen over wat het is om deel uit te maken van de Roya l IV familie. " Soraya: "Ik ben lid geweest van verschillende clubs, maar ik heb me nog nooit zo op thuis gevoeld als bij de Royal IV. Ik werd onmiddellijk gecharmeerd door het familie- en samenhorigheidsaspect. Er heerst een heel speciale sfeer, ik voelde me er vanaf de eerste dag thuis. "

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BASKETBALL ROYAL BC ECLAIR

L’ECLAIR, PRESQUE 85 BOUGIES, GARDE UN CŒUR JEUNE

LE BC ECLAIR est l’un des plus illustres clubs de Bruxelles. L’alerte octogénaire est le plus vieux matricule de la capitale mais il a toujours bon pied et il garde un bon œil sur ses jeunes ouailles. Club familial par excellence, le club nederover-heembeekois a toujours ouvert ses portes à la jeunesse.

horaires pour sa jeunesse. Relancée il y a trois ans, la section féminine progresse. En tout, ses U10-U12 mixtes (Grégory Lauwers, Steve Duwé), ses U14 (David Quittner), ses U16-U19 (Najwa Ben-Hsain) et ses équipes provinciales (P2-P3 coachées par Sophie Urbain) concernent une cinquantaine de joueuses.

C’est après la Seconde Guerre mondiale que l’Eclair déménagea à Neder, en provenance d’Anderlecht. La section basket utilisa alors les caves comme vestiaires, et l’arrièrecour des écoles 37 et 40 comme terrain de jeu. Plus tard, elle joua également sur les pavés de la place Peter Benoit, en face de l’église Saints-Pierre-et-Paul. Le club utilisera plus tard le gymnase de l’école 37/40, l’Horizon, avant d’occuper la salle omnisports de la rue de Lombartzijde.

En collaboration avec le Brussels Athletic Performance du formateur Fred Marbaix, le club a accueilli de jeunes stagiaires aux dernières vacances de Printemps. « Ce fut une plus-value axée sur le travail individuel » résume le directeur technique Steve Duwé. « Le formateur a dit clairement qu’il ne venait pas pour l’argent et qu’il préférait un stage limité en nombre mais qualitatif. Le revers de la médaille, c’est qu’on a dû refuser du monde. Je peux vous dire que les jeunes présents, avec 20% de filles, ont été servis. On a eu de super échos des parents. Fred Marbaix leur a montré le développement technique du shoot. Il

A l’étroit dans ses murs et évoluant en bonne intelligence avec le voisin de l’Excelsior, le Royal BC Eclair aimerait obtenir davantage de créneaux

y a un Papa qui m’a demandé ce qu’on faisait car son enfant soupait et allait dormir à 20h00 chaque soir tellement il était fatigué. On a abordé les fondamentaux individuels mais aussi l’hygiène de vie et l’alimentation des sportifs. Ce fut une vraie réussite !» Les G.O. ont aussi fait venir Rochdi Benzouien et Elijah Tshibangu, jeunes pros au Brussels Phoenix. « Les jeunes ont posé des questions sur les privations, les contraintes, les efforts… Les joueurs ont parlé du côté pile mais aussi du côté face d’une carrière, de l’importance d’être bien entouré lors de creux. »

BC ECLAIR BLAAST BIJNA 85 VERJAARDAGSKAARSEN UIT DE BC ECLAIR is één van de meest illustere clubs in Brussel. De kwieke tachtigjarige is de oudste club van de hoofdstad, maar heeft nog steeds een goed karakter en houdt zijn jonge ploeg goed in de gaten. Als familieclub bij uitstek heeft de club van Neder-over-Heembeek altijd haar deuren geopend voor de jeugd. De club verhuisde na de Tweede Wereldoorlog van Anderlecht naar Neder. De basketbalafdeling gebruikte de kelders als kleedkamers en de achtertuin van de scholen 37 en 40 als speelveld. Later speelde het ook op de kasseien van het Peter Benoit plein, voor de Sint-Pieter-enPaulkerk. De club gebruikte daarna de sportzaal van school 37/40, de Horizon, alvorens te verhuizen naar de sporthal in de Lombartzijdestraat. De Royal BC Eclair zit krap binnen haar eigen muren en evolueert in harmonie met de buren van Excelsior

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en zou graag meer tijdsloten krijgen voor de jeugd. De vrouwenafdeling, die drie jaar geleden opnieuw werd gelanceerd, boekt vooruitgang. De gemengde U10-U12 (Grégory Lauwers, Steve Duwé), U14 (David Quittner), U16-U19 (Najwa Ben-Hsain) en provinciale teams (P2-P3 gecoacht door Sophie Urbain) tellen in totaal een vijftigtal speelsters. In samenwerking met het Brussels Athletic Performance van trainer Fred Marbaix heeft de club tijdens de laatste voorjaarsvakantie jonge stagiaires verwelkomd. "Het was een toegevoegde waarde gericht op individueel werk", vat technisch directeur Steve Duwé samen. "De trainer maakte duidelijk dat hij niet voor het geld kwam en dat hij de voorkeur gaf aan een parcours dat beperkt in aantal was, maar wel kwalitatief. De andere kant van de medaille is dat we mensen moesten afwijzen. Ik kan

u zeggen dat de aanwezige jongeren, met 20% meisjes, op hun wenken werden bediend. We hadden geweldige feedback van de ouders. Fred Marbaix toonde hen de technische ontwikkeling van de shooting. Een vader vroeg me wat we aan het doen waren omdat zijn kind elke avond om 20uur at en naar bed ging omdat hij zo moe was. We behandelden individuele basiskennis, maar ook levensstijl en voeding voor atleten. Het was een echt succes!" De G.O. bracht ook Rochdi Benzouien en Elijah Tshibangu, jonge profs bij Phoenix Brussels. "De jongeren stelden vragen over achterstanden, beperkingen, inspanningen... De spelers spraken over de hoogtepunten maar ook over de dieptepunten van een carrière, het belang van goed omringd te zijn tijdens mindere momenten is dus essentieel. "

LÉA BAYEKULA A TOKYO DANS LE VISEUR « Le sport a forgé mon caractère. Il m’a aidé à accepter mon handicap. Quand je suis sur la piste, je me sens complètement valide. Dans ma tête, je n’ai pas de chaise. Pour moi, je suis valide et je cours avec mes deux jambes ». Jeune athlète du White Star et de la Ligue Handisport Francophone (LHF), Léa Bayekula a la même percussion sur une piste qu’avec des mots. Bonjour Léa, vous avez repris la compétition à la mi-avril. Quelles sont vos chances d’atteindre les Jeux Olympiques ?

« Honnêtement, je m'entraîne énormément. Vraiment, je suis à fond ! Mon programme est intensif. Mon team est derrière moi à 200% pour m'accompagner dans cette préparation. En fait, je veux me donner les moyens de mes ambitions. Comme tout le monde, j'ai des rêves et j'essaye de tout faire pour les réaliser ! Je peux déjà vous dire que physiquement et mentalement, je suis en forme olympique ! Alors oui j'ai des chances de me qualifier pour les JO mais est-ce que le jour J, aux championnats d'Europe en Pologne le 5 juin, j'arriverai à tout donner pour me qualifier ? Je ne sais pas ! Mais une chose est sûre, je donnerai tout ce que j'ai pour atteindre les minima et être dans le top 4, croyez-moi ! ». NDLR: Léa est arrivée troisième au 100m en Pologne et remporte donc la médaille de bronze. Elle ne saura que le 9 juillet si elle est qualifiée pour les JO. Avec la pandémie, des compétitions ont été annulées. Quelles sont vos sensations ? « C'était dur ! Franchement, s'entraîner sans jamais se mesurer aux autres, être évaluée, gérer des conditions de stress... C'est dur pour un sportif de haut niveau. Mais par contre quel bonheur, quelle joie de

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retrouver les compétitions après tout ce temps. Les sensations étaient ''endormies''! Retrouver la compétition a provoqué chez moi encore plus de motivation, de détermination ! Sincèrement, en Italie à la mi-avril, j'ai fait un bon chrono. Pour la reprise, c'était très bien ! Cela me permet de gagner en confiance en moi. Comme tout le monde, après plus d'un an de crise sanitaire, de sacrifices, le doute a pris une place. Il faut le chasser très vite ! »

Le sport a forgé mon caractère. Il m’a aidé à accepter mon handicap.

Quelle distance préférez-vous ? « Le 100 mètres sans aucun doute. Cette distance me donne beaucoup de satisfaction. Au départ, il faut tout donner car la concurrence est rude, ça me booste à fond ! Au 100 mètres on n'a pas droit à l'erreur, ça me plaît ! Le moindre écart, la faute de main et la course est foutue. Le 100 mètres c'est LA discipline reine en athlétisme. Je m'entraine dur pour exceller et garder chaque année mon titre de championne de Belgique. Et je rêve d'emmener un jour la Belgique et le Congo sur la première marche au niveau international. Mais franchement, concernant le 400 mètres, je suis devenue fan et pourtant j'avais dit "jamais pour moi !". François Maingain, mon entraîneur, m'a forcée à goûter au 400m. Et franchement merci ! Maintenant j'adore ! Le fait de devoir tourner, tourner, tourner, c'est une autre technique et ça me plaît ! » Avant l’athlétisme, vous avez goûté au Basket-fauteuil… « C'était une chouette expérience le basket ! J'étais la seule fille en plus ! En entrant dans cette association (Le 6e Sens), dans ce groupe, j'ai découvert l'esprit d'équipe. J'ai appris à forger mon caractère. Au basket, si tu rates tu fais aussi rater l'équipe, c'est chaud ! » Vous citez souvent Marieke Vervoort comme exemple sportif. Pourquoi ? « Et comment ! Quelle athlète ! Quelle force, quelle détermination et quel talent surtout !

J'ai rencontré Marieke en 2013 à Gand. La première fois lors d'une journée d'initiation à l'athlétisme. Je n'y connaissais rien. Et au fil du temps, quand j'ai commencé à m'entraîner, j'ai toujours repensé à elle. C'est une athlète très inspirante. Quand je raconte mon parcours dans les écoles, je parle de Marieke, bien sûr. C'est plus qu'un exemple, c'est une référence. » Comment gérez-vous vos séances sportives avec vos études au Parnasse ? « Ah ne m'en parlez pas (Rires) ! Pour le coup le Covid a bien aidé... Grâce au distanciel, j'ai pu gérer plus facilement mes entrainements. Concilier mes études d'éducateur spécialisé avec mes ambitions, c’est parfois très sport ! Mais sincèrement, la volonté aide beaucoup. Si la formule "quand on veut on peut" est très bateau elle est aussi très vraie ! Mon statut a permis l'accès aux infrastructures de Louvainla-Neuve, j'ai donc eu la chance de continuer à m'entraîner malgré tout. »

©The Louise Company’

ATHLETISME

©The Louise Company’

LÉA BAYEKULA

Léa Bayekula

LÉA BAYEKULA HEEFT TOKYO IN HAAR VIZIER "Sport heeft mijn karakter gevormd. Het heeft me geholpen om mijn handicap te accepteren. Wanneer ik mij op de piste bevind, voel ik me volledig valide. In mijn hoofd, heb ik geen rolstoel waar ik in zit. In mijn gedachten loop ik daar op de piste met mijn beide benen.” Léa Bayekula, een jonge atlete van White Star en van de Franstalige Handisport Liga (LHF), heeft dezelfde uitstraling op een piste als met woorden.

Dag Léa, je doet sinds half april weer mee aan competitiewedstrijden. Hoe schat je jouw kansen in om de Olympische Spelen te halen? "Eerlijk gezegd, ik train enorm veel. Mijn programma is intensief en ik geef me ook volledig. Mijn team staat 200% achter me om me te begeleiden in deze voorbereiding. Ik wil mezelf de middelen geven om mijn ambities te verwezenlijken. Net als iedereen heb ik dromen en ik probeer er alles aan te doen om ze te verwezenlijken! Ik kan je nu al zeggen dat ik fysiek en mentaal in Olympische vorm ben. Dus ja, ik heb een kans om me te kwalificeren voor de Olympische Spelen, maar zal ik in staat zijn om alles te geven op D-day, op de Europese kampioenschappen in

Sport heeft mijn karakter gevormd. 11 Het heeft me geholpen om mijn handicap te accepteren.

Polen op 5 juni? Dat kan ik nu nog niet zeggen! Maar één ding is zeker, ik zal alles geven wat ik heb om de minima te halen en in de top 4 te komen. " NVDR: Léa behaalde een bronzen medaille in Polen op de 100 meter. Of ze effectief geslecteerd zal worden, weet ze hoogstwaarschijnlijk op 9 juli. Door de pandemie zijn sommige wedstrijden afgelast. Wat voor impact heeft dat op jou? "Het was zwaar! Trainen zonder jezelf te meten met anderen, geëvalueerd worden, stressvolle momenten onderdrukken... het is niet makkelijk voor een atleet op hoog niveau. Maar aan de andere kant, wat een genot, wat een vreugde om na al die tijd weer in dat competitiegevoel te zijn.

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De emoties waren even ingedommeld. Terug zijn in competitie heeft me nog meer motivatie en wilskracht gegeven! Eerlijk gezegd, half april in Italië, heb ik me goed vermaakt. Voor de hervatting liep het erg vlot. Het stelt me in staat om vertrouwen in mezelf te krijgen. Zoals iedereen, na meer dan een jaar van gezondheidscrisis, van opofferingen, nam de twijfel toe. We moeten het heel snel wegjagen! "

te brengen. Maar eerlijk gezegd, wat de 400 meter betreft, werd ik een fan en toch had ik gezegd "dit is niets voor mij!”. François Maingain, mijn coach, dwong me om de 400 meter uit te proberen. En eerlijk gezegd wil ik hem daarvoor bedanken, nu vind ik het geweldig! Het feit dat ik moet draaien, draaien, draaien, het is een andere techniek en ik vind het fantastisch. "

Gent op een introductiedag van atletiek. Ik kende er niets van, maar na verloop van tijd begon ik te trainen en moest ik elke keer opnieuw aan haar terugdenken. Ze is een zeer inspirerende atlete zowel op sportief als op persoonlijk vlak. Wanneer ik in scholen vertel over mijn parcours dan komt zij steeds aan bod. Voor mij is ze veel meer dan een voorbeeld, ze is dé referentie. "

Welke afstand verkies je zelf?

Alvorens je startte met atletiek probeerde je rolstoelbasketbal...

Hoe combineer je de sporttrainingen met jouw studies?

"Basketbal was een geweldige ervaring, bovendien was ik het enige meisje! Door lid te worden van deze vereniging (Le 6e Sens) ontdekte ik de teamgeest in deze groep. Ik heb geleerd om karakter op te bouwen. Wanneer je in basketbal mist, mist eigenlijk het hele team en dat maakt het zo uitdagend! "

"Goh, dat is een goeie vraag! (lacht) Covid heeft me hiermee echt geholpen... Dankzij het afstandsonderwijs kon ik mijn trainingen gemakkelijker organiseren. Mijn studies als gespecialiseerd opvoeder combineren met mijn sport is soms erg ambitieus! Maar eerlijk gezegd, doorzetten helpt veel. Als de formule "waar een wil is, is een weg" klopt, dan is dat hier erg op zijn plaats! Door mijn statuut had ik toegang tot de infrastructuur van Louvain La Neuve en zo kon ik ondanks alles blijven trainen. "

"De 100 meter zonder enige twijfel. Deze afstand geeft me enorm veel voldoening. In het begin moet je alles geven want de concurrentie is zwaar, maar dat geeft me een enorme boost. Op de 100 meter heb je geen marge om fouten te maken en daar hou ik van! De kleinste afwijking of misstap en de race is voorbij. De 100 meter is DE koninginnediscipline in atletiek. Ik train hard om uit te blinken en mijn titel van Belgisch kampioen elk jaar te behouden en ik droom ervan om op een dag België en Congo naar de top van de internationale rangschikking

Je haalt vaak Marieke Vervoort aan als sportief voorbeeld. Is daar een specifieke reden voor? "En of. Wat een atlete! Wat een kracht, wat een doorzettingsvermogen en vooral wat een talent! Ik ontmoette Marieke voor het eerst in 2013 in

©The Louise Company’

12 LEA BAYEKULA IN ENKELE CIJFERS

LEA BAYEKULA EN QUELQUES CHIFFRES

Léa Bayekula is een atlete met het stauut van Espoir Sportif bij het LHF.

Léa Bayekula est une athlète sous statut d’Espoir Sportif à la LHF.

Sport: atletiek Discipline: 100m - 200m 400m (rolstoelatlete) Classificatie: T54 Geboortedatum: 26/04/1995 Verblijfplaats: Brussel Club: Royal White Star AC

Sport: athlétisme Discipline: 100m – 200m – 400m (wheeler) Classification: T54 Date de naissance: 26/04/1995 Résidence: Bruxelles Club: Royal White Star AC

Palmares: Europees kampioenschap 2018 (Berlijn): 6e plaats op de 100m (19.41) en 6e plaats op de 200m (35.15) Wereldkampioenschap 2019 (Dubai): 9e plaats op de 100m (17:58) en 12e plaats op de 400m (1.00:81)

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Été - Zomer 2021

Persoonlijke records: • 100m in 16:95 (15.05.2021 Competitiewedstrijd in Zwitserland) • 200m in 30:32 (09.08.2020 – Brussels Grand Prix) • 400m in 57:61 (15.08.2020 - Belgische kampioenschappen)

Palmarès: Championnat d’Europe 2018 (Berlin): 6ème place au 100m (19.41) et 6ème place au 200m (35.15)Championnat du Monde 2019 (Dubaï): 9ème place au 100m (17:58) et 12ème place au 400m (1.00:81) Records personnels : • 100m en 16:95 (15.05.2021 – Compétition en Suisse) • 200m en 30:32 (09.08.2020 – Brussels Grand Prix) • 400m en 57:61 (15.08.2020 – Championnat de Belgique)

Hockey HOCKEY

HOCKEY ROYAL PRIMEROSE CB

BE PRIM, BE HAPPY ENKEL TEVREDEN GEZICHTEN BIJ PRIMEROSE

PRÈS DE 400 personnes dont 45 % de dames sont affilié(es au Royal Primerose C.B. Ce qui représente 11 équipes féminines sur 26 inscrites dans diverses compétitions. Les filles sont présentes et s’adonnent avec joie à leur hobby. Il y a peut-être un peu moins de hargne dans leur chef car nombre d’entre elles se tournent plus vers le hockey loisirs. Les garçons ont plus cette envie de devenir des (red) Lions. Les bons résultats des équipes nationales de hockey justement n’ont pas vraiment eu d’incidence sur la courbe des affiliations. Le club laekenois connaît une progression constante depuis plusieurs années. C’est à la fois un signe que ce sport a le vent en poupe auprès de la jeunesse et que le club renvoie une image crédible et dynamique.

Comme pour tous les autres sports, le Covid a sérieusement perturbé les activités habituelles. Les mordus du stick ont dû prendre leur mal en patience. «Les jeunes ont du mal à rester motivés en l’absence de match » explique Inès De Zeeuw, la secrétaire du Royal Primerose CB. «Cela reste quand même le but. On attend le week-end avec impatience pour pouvoir mettre en pratique ce que l’on a appris à l'entraînement la semaine. Malgré tout, nos jeunes restent motivés et viennent aux entraînements qui ont été organisés depuis le premier jour de la reprise par notre directeur sportif Christophe Vandenschrieck. Les U12 ont perdu très peu de sessions au final. Les U12-U19 ont plus perdu mais ont été ravis de la reprise, même si elle ne se matérialise qu’avec les entraînements. » Faute de compétition, le club a su rebondir : les stages pour keepers, le Pré-Easter Hockey Stage ou l’Entraînement Spécial Pâques ont récolté un franc succès.

BIJNA 400 personen, waarvan 45% vrouwen, zijn aangesloten bij de Royal Primerose C.B. Vertegenwoordigd in 11 vrouwenteams van de 26 die in diverse competities zijn ingeschreven. De meisjes zijn aanwezig en zijn vrolijk bezig met hun hobby. Er is misschien iets minder enthousiasme bij hun teamleider omdat velen van hen zich meer op vrijetijdshockey richten. De jongens hebben meer de wens om (red) Lions te worden. De goede resultaten van de nationale hockeyteams hebben de ledencurve niet echt beïnvloed. De club in Laken groeit al enkele jaren gestaag. Dit is een teken dat de sport populair is bij jongeren en dat de club een geloofwaardig en dynamisch imago heeft. Wat alle andere sporten betreft, heeft Covid de gebruikelijke activiteiten ernstig verstoord. De fans van de club hebben het rustig aan moeten doen. "Jongeren vinden het moeilijk om zonder wedstrijd gemotiveerd te blijven" legt Inès De Zeeuw uit, de secretaris van de Royal Primerose CB. "Dat is nog steeds het doel. We kijken uit naar het weekend, zodat we in de praktijk kunnen brengen wat we tijdens de training hebben geleerd. Desondanks blijven onze jongeren gemotiveerd en komen ze naar de trainingen die sinds de eerste dag van de hervatting worden georganiseerd door onze sportdirecteur Christophe Vandenschrieck. De U12's hebben uiteindelijk heel weinig sessies verloren. De U12 tot U19 hebben meer sessies verloren, maar waren des te meer blij met de hervatting, ook al zijn het momenteel enkel maar trainingen." Bij gebrek aan competitie heeft de club zich kunnen heropstarten: de keeperscursussen, de Pre-Easter Hockey Stage of de Speciale Paastraining waren een groot succes.

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BRASS

NATATION ARTISTIQUE

LE BRASS, ORFÈVRE DE LA NATATION ARTISTIQUE

NE DITES PLUS natation synchronisée dites natation artistique, le nouveau nom officiel de la discipline. Il est nécessaire pour pratiquer ce sport d'être un bon nageur, d'avoir de l'endurance, une bonne maîtrise et connaissance de son corps. La souplesse joue aussi un rôle crucial. Les nageurs et nageuses artistiques doivent aussi avoir des qualités qu'on retrouve dans la danse : grâce, rythme, expression. Le plus difficile est de pouvoir allier les deux et de réaliser des performances sportives de haut niveau, sans bâcler pour autant les aspects plus artistiques. Le Brussels Aquatic Synchro Swimming a été fondé il y a 16 ans par Fanny Bouvry et Laurence Lambremont. « Nous étions entraîneurs à l'ENN (Nivelles) et avons d'abord durant deux ans ouvert une antenne bruxelloise de l'ENN, habitant nousmêmes la capitale, avant de décider de voler de nos propres ailes, en 2005 donc, sous le nom BRASS » explique la première nommée. Plusieurs piscines de la région bruxelloise sont utilisées par les 182 membres (entraîneurs, juges et le comité). Les membres ont entre 5 et 50 ans. BRASS dispose d’un staff d'une quinzaine d'entraîneurs dont plusieurs diplômés de l'ADEPS ou en formation pour l'être. À Bruxelles, habituellement, le BRASS organise ses sessions synchronisées

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à l’École royale militaire, à la piscine du Centre et organise des spectacles à celle de Neder-over-Heembeek. « Actuellement, nous n'avons accès qu'à la piscine de Laeken et à l'ERM, mais nous espérons pouvoir retrouver des créneaux dès que possible dans les autres piscines car certaines de nos sections (débutantes adultes et débutantes plus de 12 ans notamment) sont encore à l'arrêt. Et d'autres ne bénéficient pas du nombre d'heures habituel. » La pandémie a eu des répercussions sur le club, principalement sur ses jeunes espoirs. « Elles n'ont pu s'entraîner de façon optimale et ont vu la plupart de leurs objectifs et compétitions reportés. Pour ces nageuses de compétition, c'est très difficile car elles sont habituées à consacrer beaucoup de temps à leur passion et la frustration est grande » poursuit Madame Bouvry. « Nous avons cependant, tout au long de la crise, maintenu un maximum d'activités pour tous nos groupes afin de consolider la condition physique notamment. D'abord de façon virtuelle, puis dès que les piscines publiques ont rouvert, nous avons organisé des entraînements en bulles et cherché de nouveaux objectifs, techniques notamment, pour motiver nos espoirs et plus largement tout le club. Nous avons tenté d'apporter un

maximum de soutien et d'opportunités d'entraînements à ces nageuses pour que, le jour du déconfinement total venu, elles puissent être à leur meilleur niveau. Et surtout qu'elles aient gardé l'envie de pratiquer ce sport et le sentiment d'équipe, qui est une des valeurs clés de la natation artistique. » Le club a toujours souhaité promouvoir l’égalité des genres dans le sport. Depuis sa création, il compte des garçons dans ses rangs. Le premier est Renaud Barral qui est actuellement coach et nageur seniors et qui travaille un duo mixte avec Lisa Ingenito. L'ambition est de le présenter dans de grandes compétitions internationales (le duo mixte est pour le moment la seule épreuve reconnue par la Fédération Internationale de Natation pour les hommes). Le BRASS compte un garçon en minimes (moins de 12 ans) et d’autres inscrits dans la section Baby Synchro. Depuis deux saisons, une section Masters Homme (plus de 20 ans) a été ouverte et compte actuellement une dizaine de membres assidus. Pour suivre cette équipe du BRASS sur Instagram (@fab.whales.brussels).

Brass

BRASS, DE GOUDEN DIAMANT VAN HET ARTISTIEKE ZWEMMEN ZEG NIET MEER synchroonzwemmen, maar artistiek zwemmen, de nieuwe officiële naam van de discipline. Om deze sport te beoefenen heb je meerdere capaciteiten nodig. Je moet een goede zwemmer zijn, uithoudingsvermogen hebben, een goede beheersing hebben en kennis van het eigen lichaam hebben. Daarnaast speelt flexibiliteit ook een cruciale rol. Artistieke zwemmers en zwemsters moeten ook de kwaliteiten hebben die in de dans voorkomen: elegantie, ritme, expressie. Het moeilijkste is om deze drie factoren te combineren en op hoog niveau te presteren, zonder de artistieke aspecten te verwaarlozen.

De pandemie heeft zijn weerslag gehad op de club, vooral op haar jonge aspiranten. "Ze hebben niet optimaal kunnen trainen en hebben de meeste van hun doelen en wedstrijden zien wegvallen. Voor deze competitiezwemmers is het erg moeilijk omdat ze gewend zijn veel tijd aan hun passie te besteden en de frustratie groot is " vervolgt mevrouw Bouvry. "Tijdens de crisis hebben wij echter een maximum aan activiteiten voor al onze groepen gehandhaafd om de fysieke conditie te consolideren. Eerst virtueel, maar zodra de openbare zwembaden weer opengingen, organiseerden wij trainingssessies in bubbels en zochten wij naar nieuwe doelstellingen, met name op technisch vlak, om onze aspiranten en in ruimere zin de hele club te motiveren. Wij hebben getracht deze zwemsters zoveel mogelijk steun en trainingsmogelijkheden te geven, zodat zij, wanneer de dag van

de totale heropstart nadert, op hun best konden zijn. En vooral dat zij nog steeds het verlangen hebben om deze sport te beoefenen en ook het groepsgevoel nog steeds in zich hebben, dat zonder twijfel één van de belangrijkste waarden van het kunstzwemmen is. " De club heeft altijd de gelijkheid van mannen en vrouwen in de sport willen bevorderen. Sinds zijn oprichting heeft het jongens in zijn rangen gehad. De eerste is Renaud Barral die momenteel senior coach en zwemmer is en die een gemengd duo vormt met Lisa Ingenito. De ambitie is om het in grote internationale wedstrijden voor te stellen (het gemengd duo is momenteel het enige door de Internationale Zwemfederatie erkende onderdeel voor mannen). BRASS heeft een jongen in de miniemen (onder 12 jaar) en anderen in de Baby Synchro afdeling. Sinds twee seizoenen is een afdeling Masters Heren (meer dan 20 jaar) gestart, die momenteel een tiental vaste leden telt. Je kan het leven achter de club BRASS ook volgen op Instagram (@fab.whales.brussels).

Brussels Aquatic Synchro Swimming werd 16 jaar geleden opgericht door Fanny Bouvry en Laurence Lambremont. "We waren opleiders bij ENN (Nijvel) en openden twee jaar lang een Brussels filiaal van ENN, woonden zelf in de hoofdstad, alvorens in 2005 te besluiten onze eigen weg te gaan, onder de naam BRASS" legt de eerstgenoemde uit. Verschillende zwembaden in de Brusselse regio worden gebruikt door de 182 leden (coaches, juryleden en het comité). De leden zijn tussen 5 en 50 jaar oud. BRASS beschikt over een staf van ongeveer 15 coaches, van wie verscheidene ADEPSgediplomeerden zijn of daarvoor in opleiding zijn.

zo snel mogelijk slots te kunnen vinden in de andere zwembaden, omdat sommige van onze secties (met name beginnende volwassenen en beginners ouder dan 12 jaar) nog steeds stilliggen. En anderen hebben niet het gebruikelijke aantal uren. "

In Brussel organiseert BRASS gewoonlijk haar synchroon wedstrijden in de Koninklijke Militaire School, in het zwembad van het Centrum en organiseert shows in het zwembad van Neder-overHeembeek. "Op dit moment hebben we alleen toegang tot het zwembad van Laken en de KMS, maar we hopen

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