Pacto con las Aguas – Miriam Calzada

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comes directly or through the vegetation that flood its banks and often gives it shadow. Also included in her research, the outskirts of the capital, characterized by its tributaries, degraded and eroded by industrial discharges and the buildings erected on its banks; at the same time she let us know of the existence of caves in the suburbs of the city, just steps away from the Hippodrome, and shows us the extraordinary spectacle of light and color that they exhibit; images that recreates the nuanced atmosphere in that place of incredible beauty. It was this ability to see things beyond the common eye, which has allowed our artist to capture the specific nature of each river, lake or to suggest a kind of synthesis and the essence of these places. It has also been her aesthetic sensibility, away from the picturesque and bucolic nature, which has enabled her to offer examples of the numerous places, in all their freshness and vigor, that are not always hidden places and not yet degraded by industry or altered by the passage of an irresponsible tourism; the same as those in which the wounds are visible, caused by the inhabitants themselves who share their lives with those places, such as those found in plain sight at the mouth of the river in the capital. Either way, this essay is a tribute to what its author does to the Dominican nature and to the small and medium-sized communities alongside rivers and lakes and their inhabitants which maintain a special relationship. Included in these panoramic visions in which the author has demonstrated her expertise, are the most specific record of the sites she discovered in her patient conversation with the environment. These versions of the nature area at a macro and micro scale, give a very special category to this photographic set. In the contemplation of these places, through the distanced camera eye, one might perceive a return to that romantic sensibility trying to translate the most intimate feelings of nature. References to the Impressionist landscapes optical searches would be appreciated, and occasionally, an image reminiscent of the Pre-Raphaelista spirituality. Meanwhile, when she focuses her work on rivers, the author puts the emphasis on some specific subtopics that might have led to the monotony of the images: births, channels and flows, jumps, falls, pools and accidents often exhibit the same appearance. Where did she find the key to her work, which allowed her to display a visual richness in sites that, at first glance, look alike? Surely, the success lies in where and how she places her eyes; in the time she takes to click the camera, in the search of the desired angle, the accurate light, the most poetic detail. That patient look allowed her to find every river, lake or pond, its own personality, which in one case may be the bed of stones which refers to the more orthodox minimalist sculptors’ creations ; in others, the movement of water that curls or stops to form puddles, turned natural pools for the residents nearby. Or those jumps, bulky, discrete, stroking the side of a mountain like

la relation particulière que les rivières fournissent avec l’environnement aussi les différentes personnalités qui acquièrent, selon les caractéristiques du terrain, la lumière qui vient directement à travers de la végétation augmentée ses rives et souvent donne son ombre. Aussi dans sa recherche inclus, la périphérie de la capitale, caractérisée par ses affluents dégradés et érodés par les rejets industriels et les bâtiments érigés sur ses rives ; en même temps, nous connaissons l’existence des grottes dans les faubourgs de la ville, à quelques pas de hippodromo, et nous montre le spectacle extraordinaire de la lumière et couleur qu’ils présentent ; les images que recrée l’atmosphère en ce lieu de beauté incroyable. Était-ce la capacité à voir les choses au-delà de l’œil commun, ce qui a permis à notre artiste de capturer la nature spécifique de chaque rivière, lac ou suggerer une sorte de synthèse, l’essence même de ces lieux. également ses sensibilités esthétiques à l’extérieur de la nature pittoresque et bucolique qui lui a permis d’offrir des exemples de nombreux endroits, dans toute sa fraîcheur et de vigueur, il n’y a pas toujours des endroits cachés et non encore dégradés par l’industrie ou modifié par le passage d’un tourisme irresponsable ; les mêmes que celles qui sont visibles des blessures causées par les habitants eux-mêmes qui partagent leur vie avec ces lieux, tels que ceux qui se trouvent dans la vue à l’embouchure de la rivière dans la capitale. Quoi qu’il en soit, cet essai est un hommage à son auteur fait de la nature Dominicaine et les petites et moyennes collectivités, les rivières et les lacs voisins avec leurs habitants entretiennent une relation spéciale. de ces visions panoramiques dans lequel l’auteur a démontré son expertise à l’enregistrement le plus spécifique des sites qu’elle a découvert dans patiente conversation avec le milieu. Ces versions de l’échelle espace naturel macro et micro donnent à cet ensemble une catégorie photographique très spécial. Dans la contemplation de ces sites, à travers l’œil distancié de l’appareil photographié, elle perçoit autour de sensibilité romantique que d’essayer de traduire les sentiments les plus intimes de la nature ; on apprécie également des références aux recherches optiques des paysages impressionnistes, et de temps en temps, une image qui rappelle la spiritualité des préraphaélites. Pendant ce temps, en concentrant sur son travail sur les rivières, l’auteur a mis l’accent sur certains sous-thèmes spécifiques qui auraient pu conduire à la monotonie des images : les naissances, canaux et flux, sauts, chutes, piscines et accidents souvent présentent la même apparence. Où a t-elle trouvé la clé de son travail, qui lui a permis d’afficher une richesse visuelle dans les sites qui, à première vue ressemblent analogues? Certes, son succès réside dans où et comment elle place ses yeux ; dans le temps qu’il faut pour donner le clic à l’appareil photo, à la recherche de l’angle désiré, lumière précise, le détail plus poétique. Ce patient regard lui a permis de trouver chaque rivière, lac ou étang, sa propre personnalité, qui, dans un cas peut être le lit des pierres qui se réfère aux créations les plus orthodoxes des sculpteurs minimalistes ; dans d’autres, le mouvement de l’eau qui s’enroule ou s’arrête pour


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