LES DRAMES POSTÉRIEURS A 1848.
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sont mises à contribution pour arriver à créer une
impression d'ensemble qui soulève
— ceux qui trouvent
l'être,
qui précède et ce qui
deux
êtres qui se
drame wagnérien
intention.
dramatique
«
sous prétexte que là
donnent des baisers,
êtres qui se battent, le
suit,
plus
emporte tout
et
et ici
— ceux-là peuvent n'est
ya
deux
se dire
que
je viens d'in-
diquer, la musique, pendant tout le reste
au
il
décidément pas créé à leur
— A partir du moment que
acte, se maintient
» ce
même
du second
niveau. Car la résolution
que prend Bruennhilde, lorsqu'elle vient annoncer à Siegmund sa mort, n'est que la contre-partie de celle que venait de prendre Wotan dans dente agit,
;
scène précé-
la
Wotan
bien encore la volonté de
c'est
mais conduite par l'amour,
pensée: «la pensée que, moi,
mais seulement sentie
et
je
qui
non plus par
n'ai
la
pas pensée,
».
wie mein eig'ner Rath nur das Eine mir rieth — zu lieben was du geliebt. »
«
Il
est évident
que seule
la
—
(1)
musique pouvait expri-
mer des mouvements de l'âme aussi profonds. — Au début du troisième acte, nous avons de nouveau une scène épisodique, qui nous montre encore une fois
un
fait
ses
s'accomplissant parce que
filles,
les
Wotan
l'a
voulu
Walkyries, conduisent des héros à
:
la
Walhalla. (1)
Gomme ma propre réflexion
«
chose
:
—
aimer ce que tu aimas.
— ne me »
conseilla qu'une