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PENURIE DE MAIN-D’ŒUVRE QUALIFIEE
Nous prenons soin de notre image | Il est de notre devoir de prendre soin de notre image et de nous positionner clairement auprès des milieux de l’économie et de la politique, et auprès du public. Nous sommes vos partenaires | Les relations avec nos membres se basent sur les valeurs humaines fondamentales; le respect et le fair-play en font partie. Nous agissons avec anticipation | Nous exerçons une influence sur les possibilités de formation et de perfectionnement de nos membres. Nous prenons en compte les événements actuels et futurs. Nous sommes pragmatiques | Nous investissons judicieusement les ressources qui nous sont imparties. Nous sommes à l’écoute des besoins de nos membres.
arc hi te co ctu ns re tru cti on /b oi in se s fo rv rm ic ma at es rei chi ique ls/ ne s ins s/a tru pp ad mi me ani nt str s . tra publ iqu ns e co por m t/ au mun traf tre ica ic/ s p tio res ns ta au de s tion tre er s ind vice us art trie / rés isan at ult at glo ba l
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Actuelle pénurie de main-d’œuvre qualifiée vue par secteur
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oui
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Future pénurie de main-d’œuvre qualifiée vue par secteur
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Nous accueillons les nouveautés avec confiance | Nous avons un esprit ouvert. Nous attendons de nos membres qu’ils nous disent «pourquoi pas» plutôt que «oui mais».
oui
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Nous établissons des contacts | Nous élargissons notre réseau de manière continue sur le plan national et international. Afin de faire jouer nos relations plus efficacement.
0%
te
Nous défendons notre statut professionnel | En tant qu’association nationale, nous portons une grande responsabilité. Dans le système éducatif suisse, nous représentons nos membres avec soin.
20%
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Nous nous plaçons dans une dynamique de concurrence | Nous représentons les diplômés des écoles supérieures en Suisse, en Europe et dans le monde.
40%
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Nous représentons nos intérêts | Nous sommes une association de diplômé(e)s ES active au niveau national. Nous sommes indépendants et sans appartenance politique.
60%
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«Nous devons être le changement que nous désirons voir dans notre monde» | Mahatma Gandhi (1869–1949)
Moins de 20% des participants évaluent l’actuelle pénurie de main-d’œuvre dans leur branche par «oui» et 44% «plutôt oui». Cela signifie que la majorité des participants (62%) voit une pénurie dans leur branche. Les participants issus des secteurs de la construction/bois évaluent l’actuelle pénurie dans leur propre secteur au plus par «oui» (24%) et «plutôt oui» (43%). Egalement à un taux très élevé, les employés de l’administration publique répondent par «oui» (23%) et «plutôt oui» (44%). Les secteurs de l’architecture et «autres services» estiment la pénurie de main-d’œuvre qualifiée aujourd’hui le plus faiblement, néanmoins à plus de 50% encore. Le plus intéressant est la situation des secteurs informatique et construction métallique: bien que la pénurie soit médiatiquement surreprésentée, la situation actuelle semble être plus sereine que dans les autres secteurs. Environ 25% des participants estiment une future pénurie dans leur secteur par «oui» et 49% par «plutôt oui». Dans le domaine de la construction/bois, près de 90% pensent qu’une pénurie va se produire. Par ailleurs, l’administration publique et les transports/trafic/communications, avec 80% des participants, s’attendent à une pénurie. Ceux qui évaluent plus faiblement la pénurie actuelle dans leur propre secteur que dans les autres le voient aussi ainsi à l’avenir. On ne peut pas en déduire qu’il y aura des déplacements massifs d’un secteur à l’autre.
80%
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POINTS FORTS DE L’ODEC
Comment les secteurs voient-ils la pénurie de main-d’œuvre qualifiée?
100%
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«Nous sommes le représentant des intérêts de tous les diplômées et diplômés ES»
trées sur le premier graphique (cf. page précédente), la majorité des participants ne semblent pas pouvoir dire où se trouve la pénurie aiguë de main-d’œuvre qualifiée.
Les secteurs ont-ils appris la pénurie par la presse?
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VISION
ODEC-Bulletin 1|2015
oui
plutôt oui
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non
L’âge, un problème de secteur? 12 janvier 2015, un titre dans le Tagesanzeiger: «L’Union patronale et Economiesuisse veulent rendre les collaborateurs plus âgés attractifs» . Qu’il s’agisse de pénurie de maind’œuvre qualifiée ou d’autres défis économiques, les associations et les gouvernements jouent un rôle central. Ils préparent des procédures, des concepts et des scenarii, et sont l’avant-garde des entreprises ou des particuliers qu’ils représentent. Et pourtant, ce n’est que théorie, si
les sociétés ou les personnes ne mettent pas en œuvre ces modalités adoptées. Dans le cas de la pénurie de main-d’œuvre qualifiée p.ex., ce sont principalement les entreprises qui décident quels employés elles veulent engager, si elles recrutent en Suisse ou à l’étranger, et qui décident aussi du type de formation, des compétences ou du groupe d’âge qu’elles assignent à un poste spécifique. La pénurie de main-d’œuvre qualifiée est également associée aux valeurs et à la
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