Echos Start : Entreprendre avant 30 ans - Octobre 2016

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Toutes nos offres sur emplois.lidl.fr

Enquête Comment choisir la meilleure formation pour entreprendre // P. 2 ET 3 | Infographies Créer son entreprise : qui, quand, où ? // P. 4 ET 5 | Témoignages Ils ont entrepris loin de Paris // P.6 | Classement exclusif Les entreprises où les stagiaires sont heureux // P. 8 À 10 | Etude Indemnisation du stage : pas tous égaux ! // P 10 | Lexique Parlez-vous le startuppeur ? // P. 11 | MARDI 18 OCTOBRE 2016 // SUPPLÉMENT GRATUIT AU NUMÉRO 22300 | ISSN 0.153.4831 | NE PEUT ÊTRE VENDU SÉPARÉMENT

Entreprendre avant

Photo Denis Allard/RÉA, illustrations Shutterstock

30 ans , l'idée du siècle

Comment choisir ? Enquête exclusive sur les grandes écoles Etat des lieux en 13 infographies CLASSEMENT EXCLUSIF

PP. 8-10

Les entreprises où les stagiaires sont heureux LES LAURÉATS DE L’ENQUÊTE HAPPYTRAINEES 2016 DÉVOILÉS Non, le stage « photocopie » n’est pas un passage obligé pour entrer sur le marché de l’emploi ! Certains employeurs offrent même une place de choix aux plus jeunes dans l’entreprise. Sur 1.500 employeurs participants à l’enquête HappyTrainees, 2016 réalisée par notre partenaire Meilleures-entreprises.com, seuls 150 ont été labellisés. Parmi eux, Danone, Air Liquide, Orange, Mars France, Groupe Bel, Ubisoft…

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Eurêka ! L’ÉDITO

de Julia Lemarchand « Qu’est-ce que tu veux faire dans la vie ? » « Entrepreneur ! » Cette réponse aurait paru saugrenue à la fin du siècle dernier – il y a à peine vingt ans. Elle ne l’est plus aujourd’hui. Jamais autant de jeunes Français n’ont souhaité se lancer dans l’aventure entrepreneuriale, entre un quart et un tiers des 18-25 ans, selon les études. Plus que les Américains, c’est dire ! L’usine à start-up s’est mise en marche, au rythme de 1.500 créations par an en France. En plus de générer de l’emploi et des success stories très médiatiques, la start-up-mania suscite des vocations. Entendez : l’entrepreneuriat n’est pas un choix par défaut. Ni un caprice de diplômés des grandes écoles, les plus nombreux parmi les entrepreneurs. Lancer une start-up participe de cette recherche d’expérience si chère aux générations Y-Z, au même titre que partir à l’étranger ou s’engager dans un projet associatif. Une révolution discrète, à laquelle participent les établissements d’enseignement supérieur, bon gré mal gré, selon leurs moyens. En première ligne, les grandes écoles ont, pour leur part, été prises d’une fièvre entrepreneuriale, comme le montre l’étude exclusive réalisée par la Conférence des grandes écoles (CGE) pour « Les Echos START ». Leur offre de masters entrepreneuriat a tout simplement doublé en cinq ans. Cette stratégie se révèle doublement payante car également compatible avec leur vocation historique à former les futurs managers. Les jeunes professionnel(le)s doté(e)s d’une culture de l’innovation sont les seul(e)s capables d’embrasser les transformations numériques et d’en saisir les opportunités. Quitte, parfois, à bousculer les codes et à créer de nouveaux métiers. Le sens de l’histoire de notre siècle, en somme ! n

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