Le Gyptis Programme 3
24 décembre 2014
Cinéma Arts de la Scène 3 février 2015
136, rue Loubon 13003 Marseille www.lafriche.org
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Bus 31/ 32 / 32 B / 33 / 34 Bus de nuit 533
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Parking conseillé pour le Gyptis (Gratuit)
Bus 49 / 52 Vélo 3321 Bus de nuit 582
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inFos pratiques
parking à proximité gratuit place Cadenat rat no on H e Ru
en bus : Aller : Lignes n° 31 et n° 32, n° 32b, arrêt place Caffo.
Lignes n° 33 et n° 34 arrêt Belle de Mai Loubon. ligne de nuit : n° 533 direction Faculté de St Jérôme, arrêt Belle de Mai Loubon. retour : Lignes n° 31 et n° 32, n° 32b, n° 33, n° 34, arrêt place Caffo.
gare St. Charles
ligne de nuit : n° 533 direction Canebière Bourse
Vélos en libre-serVice : Borne d’attachement 3320 à la rue Bonnardel. (Place Cadenat) stAtionnement Vélo : Place Caffo.
ContaCts :
PArking : Place Cadenat.
04 95 04 96 25 Nicolás Román Borré coordination et relation avec les établissements scolaires nromanborre@lafriche.org Susana Monteiro action culturelle pour les centres sociaux smonteiro@lafriche.org équipe
tariFs plein tariF : 5,5 € tariF réduit : 4,5 € (étudiants, chômeurs, moins de 20 ans, RSA, + 65 ans) tariF de groupe ( + de 10 personnes) : 3,5 €
séanCes jeune publiC et Famille : 2,5 € abonnement dix séanCes (valable 1 an) : 35 €
Juliette Grimont et Thomas Ordonneau à la programmation.
Emelyne Guillier et Jean-Noël Pané à la Caisse et dans la Cabine de projeCtion.
> programmation complète et actualités sur la page Facebook du gyptis et sur www.lafriche.org
Votre nouveau cinéma au cœur du quartier de la Belle de Mai
la nouveauté de ce troisième programme : deux thématiques non pas sur une, mais sur deux semaines. et ainsi, plus de chance de trouver une séance à sa convenance, et de venir voir plusieurs films de la même thématique !
6 jours sur 7, toute l’année
pour noël, pensez-y, offrez la carte d’abonnement au gyptis : 5 places pour 35€
Friche la Belle de Mai
> chaque
semaine thématique est composée de 7 à 11 films qui se répartissent sur une vingtaine de séances dont : unE séancE
répErtoirE le mArDi soir une pépite du patrimoine cinématographique à (re)découvrir cherchez le picto :
>
chaque semaine thématique propose aussi son lot de “bonus”… en vrai cherchez le picto :
Rencontres avec les réalisateurs, avec des “spécialistes, cartes-blanches, ciné-philo, anniversaire, expos, performances, ateliers... et des surprises à guetter au fil des semaines. oubliez Vos DVD et Votre Petit écrAn !!!!
un tiErs dE séancE jEunE public les mercreDis, sAmeDis et DimAnches des films pour les tout-petits et les plus grands (dont mercredi à 14h30, samedi et dimanche à 11h ) cherchez le picto : unE séancE famillE le DimAnche en fin D’APrès-miDi un film pour tous vous permettra d'envisager le reprise du lendemain matin avec sérénité et à tarif réduit cherchez le picto :
* lunDi C’EST JOuR dE FERMETuRE attention : LE CiNéMA EST FERMé LES 31 déCEMBRE ET 1ER JANviER
Les seances FamiLLe & Jeune PubLic sont au prix réduit de 2€50 pour tous ! alors ne boudez pas votre plaisir !
Le Musée des Objets Ordinaires de Marseille au Gyptis INAUGURATION JEUDI 29 JANVIER À 19H, JUSQU’AU 28 FÉVRIER
Un projet artistique participatif La compagnie Théâtre de cuisine, sur l’invitation du Théâtre massalia, crée un musée éphémère dans le hall du cinéma Le Gyptis. ce musée est un atelier dans lequel, les directeurs artistiques de la compagnie invitent chacun à imaginer et fabriquer un musée. un musée qui raconterait votre quotidien, à partir d'objets ordinaires ou délaissés. un musée révélateur de la poétique du réel et qui donnerait de l'épaisseur à cet "infra-ordinaire”, en référence à Pérec : le musée des Objets Ordinaires.
MOOM Mode d’emploi en 3 points
1 choisissez un objet ordinaire, un peu cassé, qui ne sert plus, mais que vous aimez. 2 apportez-le au du musée des Objets Ordinaires 3 nous lui accrochons une belle étiquette et dessus, vous en écrivez la légende. toutes les légendes commencent par : moi, mon grand père... / moi, ma grand-mère... Par ce geste artistique, chacun peut ainsi faire partager une part de son histoire familiale, intime, réelle ou inventée. Le moom sera ouvert du mercredi au dimanche de 15h30 à 19h30. Pour en savoir plus : théâtre massalia. 04 95 04 95 70. www.theatremassalia.com en partenariat avec La Friche la Belle de mai.
Du 24 au 30 décembre
Flocon, fêtes, vampires, luge, vacances, ski, hôtel, famille, bonhomme de neige, Alaska
Sous la neige Y aura-t-il de la neige à noël ? à marseille, on ne peut rien vous promettre, mais au gyptis, oui. Petits et grands pourront découvrir les nouveautés très réussies du film d’animation : Les Merveilleux contes de la neige et De la neige pour Noël. noël est synonyme de nombreuses séances pour le jeune public à 2,50 € la place… pour tous. Pour les plus grands, quelques films revigorants pour s'extirper de la quiétude des fêtes et mettre nos sens en alerte. au Gyptis, gardons les yeux ouverts. L’événement de la semaine : l’avant-première de Snow Therapy de Ruben Östlund samedi 27 décembre, film-avalanche, grinçant, et aussi très drôle. cadeau. cadeau ? Le Gyptis vous offre aussi quelques films cultes et glacés : La comédie déjantée Le Bal des Vampires, inventrice de la luge-cercueil. et Shining, où on se perd avec le jeune héros dans un terrifiant labyrinthe blanc. Pour ceux que les fêtes n’enchantent pas, venez vous souvenir que La Vie est belle, surtout en compagnie de James stewart un 25 décembre ! Le film sera suivi d’une conférence par nicolàs Roman borre, le coordinateur du Gyptis, admirateur du chef d’œuvre de capra. bonnes fêtes !
dimanche 28 décemBre à 18h mardi 30 décemBre à 15h45
Fargo de joël et ethan Coen Avec William H. macy,
Frances mcDormand, steve buscemi usa/1996/1h37/ Vo interdit aux moins de 12 ans Nous sommes en plein hiver, dans Minneapolis enneigée. Jerry Lundegaard, un vendeur de voitures d'occasion, est endetté jusqu'au cou. il fait appel à deux malfrats pour enlever son épouse, et ainsi partager avec les ravisseurs la rançon que son beau-père paiera pour la libération de sa fille… Les comédiens fétiches des frères Coen (surtout la formidable Frances Mcdormand – flic pleine d’appétit !) s’en donnent à cœur joie dans ce mélange de comédie et de thriller, à la saveur si particulière aux films du duo.
Vendredi 26 décemBre à 19h mardi 30 décemBre à 17h45
Le Bal des vampires de roman polanski Avec Roman Polanski, Jack macGowran,
sharon Tate
samedi 27 décemBre à 19h30
Avant-première !
Snow Therapy de ruben Östlund Avec Johannes bah Kuhnke,
Lisa Loven Kongsli, clara Wettergren suède/2014/1h58/ Vo une famille suédoise passe quelques précieux jours de vacances dans une station de sports d’hiver des Alpes françaises. Le soleil brille et les pistes sont magnifiques mais lors d’un déjeuner dans un restaurant de montagne, une avalanche vient tout bouleverser. L’univers familial est ébranlé, le père tente de garder la tête haute malgré la lâcheté dont il a fait preuve devant le danger … La tension monte ! une comédie grinçante sur le rôle de l’homme au sein de la famille moderne qui, l’air de rien, distille son venin, détruit avec bonheur l’image d’Epinal d’une famille bourgeoise en vacances. A découvrir !
usa/1968/1h48/ Vo Professeur Abronsius, savant fou encore souple pour son âge, parcourt en traîneau la Transylvanie, accompagné de son jeune et maladroit assistant, Alfred. il est à la recherche de vampires… L’enlèvement d’une jeune femme (Sharon Tate, dont le spectateur ne manque pas de tomber amoureux en même temps qu’Alfred - et que Polanski) les amène sur la trace du comte von Krolock… un conte cruel hilarant, magnifiquement mis en lumière par un chef opérateur que nous avions déjà croisé dans le précédent programme avec Cyclone à la Jamaïque, douglas Slocombe.
ça aurait pu être : Y aura-t-il de la neige à Noël de sandrine Veysset 8 Femmes de François ozon Edward aux mains d'argent de tim Burton La Classe de neige de claude miller La Chose de John carpenter …
Jeudi 25 décemBre à 19h Le film sera suivi d’une conférence de nicolàs roman borre, coordinateur du cinéma.
Vendredi 26 décemBre à 16h15 samedi 27 décemBre à 16h45
samedi 27 décemBre à 15h15 mardi 30 décemBre à 20h
Shining
Nanouk l’Esquimau
La Vie est belle
de stanley kubrick Avec Jack nicholson, shelley Duvall,
de robert j. Flaherty usa/1922/1h10 a partir de 6 ans La vie quotidienne de Nanouk et de sa famille, esquimaux de la région d'ungawa, sur la rive orientale de la baie d'Hudson, dans le grand nord Canadien. Cette famille a une vie nomade, à la recherche perpétuelle de nourriture. Toujours à la frontière du documentaire et de la fiction (certaines scènes sont rejouées à la demande du réalisateur), ce film est un jalon incontournable de l’histoire du cinéma, posant la base du « cinéma-vérité » (repris plus tard par Jean Rouch) et du cinéma ethnographique. C’est aussi un plaisir pour les enfants comme pour les adultes !
de Frank Capra Avec James stewart, Donna Reed,
Danny Lloyd
Lionel barrymore usa/1946/2h09/ Vo un homme – James Stewart – est au bord de la faillite et désespéré. Le soir de Noël, le Ciel dépêche à ses côtés un ange de seconde classe, qui pour gagner ses ailes devra l'aider à sortir de cette mauvaise passe... Ce bijou de l’âge d’or hollywoodien tient à la fois de la fable morale, de la critique sociale, du récit fantastique et de la comédie effervescente. Les genres s’y mêlent à la perfection pour former une composition équilibrée, colorée, inouïe, magistrale.
usa/1980/2h26/ Vo interdit aux moins de 12 ans Attention, frissons sur grand écran ! Jack Torrance, gardien d'un hôtel fermé l'hiver, sa femme et son fils danny s'apprêtent à vivre de longs mois de solitude. danny, qui possède un don de médium, le "Shining", est effrayé à l'idée d'habiter ce lieu, théâtre marqué par de terribles évènements passés... Et il a bien raison, car les drames vont ressurgir, plus terrifiants que jamais ! Film d’épouvante venu s’ajouter à l’impressionnant catalogue des genres explorés par Kubrick, Shining est une pure pépite où la neige fige le monde, emprisonnant Jack Torrance dans sa folie.
JEUNE PUBLIC tarif réduit pour tous : 2€50
mercredi 24 décemBre à 16h15 Jeudi 25 décemBre à 16h Vendredi 26 décemBre à 15h samedi 27 décemBre à 14h dimanche 28 décemBre à 11h
Les Merveilleux contes de la neige de Hilary audus angleterre/2012/50min à partir de 3 ans Ces merveilleux contes rassemblent deux films d’animation. dans le premier, une petite fille perd son ours en peluche qu’à sa grande surprise, un ours polaire vient lui rendre dans la nuit. dans le deuxième, c’est un petit garçon qui, à son tour, a perdu un être cher : son chien. il construit un petit bonhomme de neige en forme de chien en souvenir du sien. À la nuit tombée, il prend vie. vous serez entraînés dans des rêves où la neige se modèle pour prendre la forme de nos désirs.
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séance répertoire •
mercredi 24 décemBre à 14h30 samedi 27 décemBre à 11h dimanche 28 décemBre à 14h mardi 30 décemBre à 14h
Jeudi 25 décemBre à 17h15 Vendredi 26 décemBre à 11h dimanche 28 décemBre à 16h mardi 30 décemBre à 11h
De la neige pour Noêl
Grizzly
de rasmus a. sivertsen norvège/2013/1h16/VF à partir de 4 ans C’est bientôt Noël à Pinchcliffe. Comme tous les habitants, Solan et Ludvig attendent la neige. Hélas, elle ne tombe pas... Leur ami Féodor décide alors de fabriquer un canon à neige ultra-puissant. Mais lorsque l’ambitieux directeur du journal local s’empare de la machine, Solan et Ludvig doivent prendre les choses en main pour éviter la catastrophe... Entièrement fait à la main avec des marionnettes animées image par image, une aventure pleine d’humour qui ravira les petits.
d’alastair Fothergill, keith scholey usa/2014/1h18VF à partir de 5 ans Après Félins et Chimpanzés, disney a choisi de nous faire découvrir la vie des grizzlys, mammifères ambivalents, féroces et pourtant symboles de l’animal rassurant pour tous les enfants. Le temps d'une année avec une famille de grizzlys en Alaska, entourée de loups, saumons, orques, venez découvrir la vie trépidante de ces animaux emblématiques dans des paysages grandioses.
séance Famille •
séance Jeune Public •
séance événément
Voyage intérieur, jouet, course-poursuite, récit initiatique, chauffeur, désert, nuit, vitesse, mémoire, sensations fortes
Du 31 décembre au 6 janvier
En voiture
2/2
la première semaine consacrée à la voiture au cinéma a été un succès, nous repartons sur les routes à la (re)découverte des trésors du road movie. après Drive, film déjà culte, une nouvelle création des mêmes producteurs est à découvrir sur notre écran : Night call. Deux oiseaux de nuit qui nous font arpenter Los angeles à des vitesses folles, à la recherche de sensations fortes. D’autres roulent plus lentement, dans des machines à gags inépuisables : c’est le cas des deux idiots de Dumb & Dumber, que nous programmons à l’occasion de la sortie d’un nouvel opus de leurs aventures dans leur formidable voiture-poilue. Jacky Goldberg, critique cinéma aux inrocks et grand amateur de la comédie américaine contemporaine, est avec nous samedi à 16h pour discuter du film après sa projection. La séance famille à 2,50 € pour tous réunit petits et grands autour de la figure de Fantomas avec Louis de Funès, Jean marais, et l'incroyable fantomobile, tandis que pour notre séance répertoire, nous avons choisi un chef d’œuvre du road movie, Paris, Texas. Le film de Wenders est à voir mardi soir dans très belle copie numérisée et restaurée à l'occasion de ses trente ans. un début d’année 2015 sur les chapeaux de roues !
ça aurait pu être : Rubber de Quentin dupieux Carancho de pablo trapero The Green Hornet de michel Gondry Crash de david cronenberg Boulevard de la mort de Quentin tarantino …
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séance répertoire •
séance Famille •
séance Jeune Public •
séance événément
SOUS-RÉSERVE
samedi 3 JanVier à 16h Le film sera suivi d’une rencontre avec jacky goldberg, journaliste aux inrocks.
Dumb & Dumber de peter et bobby Farrelly Avec Jim carrey , brady bluhm,
cam neely usa/1994/1h46 / Vo Après un malentendu à l'aéroport, deux amis, Lloyd et Harry, spécialistes de l'élevage de lombrics, partent à la recherche de Mary qui semble avoir oublié sa valise. ils traversent les Etats-unis à bord d’une voiture-chien… Dumb & Dumber est le premier film des frères Farrelly, rois de la comédie américaine régressive. ils y déploient tout leur humour, leur sens de l’absurde et du burlesque que vous avez pu déjà savourer dans Mary à tout prix, Fous d’Irène ou encore dans la suite du film, Dumb & Dumber De ! Voiture : Voiture-chien
Vendredi 2 JanVier à 20h dimanche 4 JanVier à 18h
Drive de nicolas Winding refn Avec Ryan Gosling, carey mulligan,
bryan cranston usa/2011/1h40 / Vo interdit aux moins de 12 ans un jeune homme solitaire, "The driver", conduit à Hollywood, le jour pour le cinéma en tant que cascadeur, la nuit pour des truands. ultra professionnel et peu bavard, il a son propre code de conduite. Jamais il n’a pris part aux crimes de ses employeurs autrement qu’en conduisant - et au volant, il est le meilleur… Le thème de la vitesse et de la route contraste idéalement avec une mise en scène contemplative, portée par la chanson entêtante de Kavinsky, Night call. Film déjà culte ! Voiture : Chevrolet Malibu de 1973, Chevrolet Impala, Ford Mustang 5.0 de 2011, Chrysler 300 C…
Vendredi 2 JanVier à 16h et 18h samedi 3 JanVier à 19h dimanche 4 JanVier à 19h45
mardi 6 JanVier à 19h
Night Call
de Wim Wenders Avec Harry Dean stanton,
de dan gilroy Avec Jake Gyllenhaal, Rene Russo,
Riz ahmed usa/2014/1h57 / Vo Les producteur de Drive continuent sur leur lancée, et nous proposent cette fois les errances en voiture de Jake Gyllenhaal dans les rues de Los Angeles. Branché sur les fréquences radios de la police, Lou parcourt la ville de nuit à la recherche d’images choc qu’il vend à prix d’or aux chaînes de Tv locales. La course au spectaculaire n'aura aucune limite... Le film est une critique des médias "à sensations" qui capitalisent sur la violence et la criminalité régnant en ville. il est aussi un portrait d’une ville la nuit, parcourue à toute allure. Voiture : Dodge Challenger modèle SRT8 342
Paris, Texas nastassja Kinski, Hunter carson usa/1984/2h27/ Vo un homme réapparaît subitement après quatre années d'errance, période sur laquelle il ne donne et ne trouve aucune explication. il retrouve son jeune fils, avec lequel il part au Texas à la recherche de la mère de l'enfant. une quête vers l'inconnu, un récit initiatique, ce formidable road movie dans des décors désertiques nous emmène au cœur de la rencontre d’un fils avec son père. Pour le premier, c’est une aventure à la découverte du monde et de son histoire, et pour l’autre, il s’agit de retrouver la sienne dans les tréfonds de sa mémoire ! un voyage autant géographique qu’intérieur… Voiture : une voiture bleue et une Chevrolet rouge
JEUNE PUBLIC
tarif réduit pour tous : 2€50
Vendredi 2 JanVier à 14h samedi 3 JanVier à 14h dimanche 4 JanVier à 16h
Vendredi 2 JanVier à 11h samedi 3 JanVier à 11h dimanche 4 JanVier à 11h et 14h30
Fantômas
Panique chez les jouets
de andré Hunebelle Avec Jean marais, Louis de Funès,
de joel
mylène Demongeot
France/2014/42min a partir de 3 ans un programme de trois films d'animation (Macropolis, Le Petit Dragon, La Bûche de Noël ), où les jouets prennent vie et explorent le monde qui les entoure. En traîneau, en patin à roulettes et bien sûr en voiture, nos héros affrontent les dangers du monde extérieur. Avec eux, les jeunes spectateurs s’amuseront comme des petits fous ! Voiture : taco rouge
France/1964/1h34 a partir de 6 ans un personnage mystérieux commet des vols et des crimes dans la capitale sous le nom de Fantômas. Le commissaire Juve et le journaliste Fandor enquêtent chacun à leur manière sur cette affaire. ils ne croient pas à l'existence d'un tel malfaiteur. Mais ils se retrouvent confrontés à Fantômas, dont la méthode consiste à utiliser des masques pour commettre ses méfaits. il prend ainsi diverses identités dont celles de nos deux héros. une course poursuite magistrale pour ce premier épisode d'une trilogie Fantômas sur laquelle nous ne manquerons pas de revenir. Voiture : Fantomobile
simon, bruno Collet, Vincent patar et stéphane aubier
Du 7 au 20 janvier
Résistance, entrainement, retour, espoir, violence, front et arrière, civils, vétérans, fraternisation, prisonniers
Guerre et paix dans le foisonnement des films de guerre, tournés par centaines sur tous les conflits du monde, nous avons choisi de nous éloigner des combats et de la propagande, s’y sont pourtant essayé des auteurs de talent – d’Howard Hawks à jean renoir en passant par Frank Capra et alfred Hitchcock. Voici des films qui préfèrent l’arrière au front, montrent la vie des guerriers redevenus civils, le difficile retour à la paix, ou encore les parenthèses de quiétude au milieu des tempêtes. une soirée spéciale accompagnée par amnesty international est consacrée au magnifique film eau argentée samedi 10 janvier. un chef-d’œuvre en même temps qu’un film choc, qui nous donne à voir une conversation entre un syrien exilé à Paris et une Kurde dans Homs assiégée. Tous deux s’épaulent, tentent de comprendre et de surmonter les drames, se donnent mutuellement la force de survivre à l’exil ou à la guerre. ce film, diffusé sur arte en septembre, sort ici en salle dans une version spéciale. il a fait l’événement au festival de cannes cette année, et c’est l’événement de la quinzaine au Gyptis ! Dans la suite des commémorations du centenaire de la première guerre mondiale, nous revenons mardi 13 janvier sur la Grande illusion de Renoir, accompagnée d’une conférence de boris Henry, intervenant pédagogique et formateur.
dimanche 11 JanVier à 18h mercredi 14 JanVier à 20h Jeudi 15 JanVier à 18h dimanche 18 JanVier à 20h
‘71 de Yann demange Avec Jack O'connell, Paul anderson,
Richard Dormer angleterre/2013/1h39/ Vo interdit aux moins de 12 ans Belfast, 1971. Tandis que le conflit dégénère en guerre civile, Gary, jeune recrue anglaise, est envoyé sur le front. La ville est dans une situation confuse, divisée entre protestants et catholiques. Lors d’une patrouille dans un quartier en résistance, son unité est prise en embuscade. Gary se retrouve seul, pris au piège en territoire ennemi. Ce thriller haletant, jamais manichéen, immerge son public dans la poisse et la lourdeur qu'implique une guerre qui ne dit pas son nom. Lieu du conflit : Belfast, 1971
Jeudi 8 JanVier à 20h Séance présentée par le goethe institut
Entre deux mondes Dernier rendez-vous de la programmation Guerre et paix : vendredi 16 janvier Laurent bécue-Renard, réalisateur de Of men and war sera présent pour discuter de son documentaire consacré au pouvoir guérisseur de la parole sur les syndromes post traumatiques qui accablent les vétérans. Laurent bécueRenard montre avec virtuosité la grande force et la grande faiblesse de ces hommes qui luttent contre une nouvelle guerre : les souvenirs qui les assaillent. une quinzaine politique et pacifiste, donc, pour mettre en évidence la grandeur des hommes même dans l’absurdité de la guerre.
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séance répertoire •
séance Famille •
séance Jeune Public •
séance événément
de Feo aladag Avec Ronald Zehrfeld, mohsin ahmady,
Felix Kramer allemagne/2014/1h38/ Vo Jesper, un officier allemand, a perdu son frère au combat dans la poudrière afghane. Pourtant, il accepte d’y retourner avec les forces de l’OTAN. il est chargé de protéger un village. Avec l’aide d’un jeune interprète, Tarik, il tente de gagner la confiance de la communauté et des chefs locaux. La réalisatrice, qui a effectué un énorme travail de préparation avec l’armée et les populations dans des zones encore dangereuses, construit ici un film très intelligent, montrant des personnages qui tentent de reconstruire un monde commun, toujours entre guerre et paix. Lieu du conflit : Afghanistan, 2014
Suivi d’une rencontre avec le réalisateur !
Of Men and War de laurent bécue-renard France/2014/2h22/Vo Partis combattre pour l’Amérique, les douze guerriers de Of Men and War sont rentrés du front sains et saufs mais l’esprit en morceaux, consumés de colère, hantés par les réminiscences du champ de bataille. Guidés par un thérapeute pionnier des traumatismes de guerre, ils vont peu à peu tenter ensemble de se réconcilier avec eux-mêmes, leur passé, leur famille. Le Pentagone estime que plus d’un tiers des 2,6 millions de vétérans des guerres en irak et en Afghanistan souffre de syndromes post-traumatiques. Pour le réalisateur, ces soldats parlent aussi pour tous ceux des autres guerres du monde entier. Lieu du conflit : USA, retour d’Irak et d’Afghanistan, de tant à tant
mercredi 7 JanVier à 20h15 Vendredi 9 JanVier à 20h15 samedi 10 JanVier à 18h mercredi 14 JanVier à 18h samedi 17 JanVier à 20h dimanche 18 JanVier à 14h
mercredi 7 JanVier à 18h Vendredi 9 JanVier à 18h samedi 10 JanVier à 16h samedi 17 JanVier à 16h dimanche 18 JanVier à 18h
Timbuktu
de sarah leonor Avec Jérémie Renier, surho sugaipov,
d’abderrahmane sissako Avec ibrahim ahmed dit Pino,
Toulou Kiki, abel Jafri France-mauritanie/2014/1h37 Non loin de Tombouctou tombée sous le joug des extrémistes religieux, Kidane mène une vie simple et paisible dans les dunes, avec sa famille. En ville, les habitants subissent, impuissants, le régime de terreur des djihadistes. Kidane et les siens semblent un temps épargnés par le chaos de Tombouctou. Mais un jour, leur destin bascule. Présenté en compétition officielle au festival de Cannes cette année, le film, éminemment politique, dénonce les extrémismes, et la terreur, l’état de guerre, que les fanatiques font subir aux populations. Lieu du conflit : près de Tombouctou, aujourd’hui
Le Grand Homme Ramzan idiev France/2013/1h47 détachés en Afghanistan, les légionnaires Markov et Hamilton sont pris en embuscade lors d’une expédition non autorisée par leur hiérarchie. de retour à Paris, Hamilton, convalescent, souhaite rester légionnaire, tandis que Markov, désormais civil et sans papiers, tente de s’en sortir avec son fils Khadji. Le Grand Homme, passant du soleil aveuglant des déserts afghans (l’espace du conte) à la lumière des lampadaires de Paris (le lieu du réel), croise avec finesse les questions intimes (la paternité, l’amitié, l’identité) et politiques (l’injustice du sort des sans-papiers). il n’a pas été assez montré à Marseille, profitez-en ! Lieu du conflit : Paris, retour d’Afghanistan, début des années 2010
Extrait de presse
SAMEDI 10 JANVIER À 20H Séance présentée par amnesty international Jeudi 15 JanVier à 20h samedi 17 JanVier à 18h15
Eau Argentée d’oussama
mohammed, Wiam simav bedirxan
syrie, France/2013/1h33 / Vo Ce film est un choc immense. une tentative incroyable de retrouver du sens là où le monde des hommes semble n’être plus qu’absurdité et destruction. Les réalisateurs de cette correspondance filmée entre Homs et Paris réussissent la prouesse de réaliser un magnifique film de cinéma tout en abordant frontalement un drame humain monstrueux Lieu du conflit : Syrie, 2011
d’abord, le film est un incontestable chef-d’œuvre. ensuite, il vient de syrie, pays dont le martyre, toujours en cours sous nos yeux qui se détournent, est une plaie vive qui entaille l’humanité toute entière. son auteur, ossama mohammed, 60 ans, réfugié à Paris depuis 2011, l’a coréalisé à distance avec une syrienne de homs de 35 ans inconnue de lui, Wiam simav Bedirxan, qui a filmé le quotidien de la ville assiégée depuis trois ans. (…) il y a cette pensée profondément enracinée chez ossama mohammed que le cinéma peut tout montrer et, partant, tout sauver, jusqu’aux images de l’abjection. il y a cette idée, aussi, que toute image enregistrée, quel qu’en soit l’auteur, doit être inscrite dans ce film, qui veut témoigner de ce que fut – dans la joie et dans le sang, dans l’espoir et dans l’abandon, dans l’héroïsme et dans l’infamie – la grande tragédie collective syrienne. ainsi s’explique son incipit : « c’est un film de mille et une images prises par mille et un syriens et syriennes, et moi. » (…) et c’est la seule facture de ce film – telle une grande rêverie élégiaque et carnassière, écarquillée de beauté et d’horreur – qui rend tolérable ce parti pris. La voix blanche du cinéaste, les cartons chapitrés, les fondus au noir, le coupes du son et les décharges de couleurs, les effets de fragmentation et de décomposition, les failles de l’encodage numérique, la musique de noma omran, tout ce qui en somme attaque l’intégrité de l’image, et lui permet paradoxalement de montrer, sans l’obscénité qui s’attache à cette plénitude, et l’horreur et la beauté. Film baudelairien donc, qui s’empare de l’informe (le chaos voyeurisme de Youtube, la barbarie de la répression) et l’élève à un haut degré de célébration cinématographique. Le deuxième temps du film se fixe dans homs assiégée. Fin de la guerre de mouvement, début de l’enlisement, isolement de la résistance, faim et massacre organisés, bombardements quotidiens, préfiguration du tableau final d’apocalypse. ici éclate un autre film, nourri des seules images de Wiam simav Bedirxan. simav enfermée à homs, qui filme enfants vivants et enfants morts avec la même douleur et la même tendresse. simav qui continue rembrandt et soutine dans ces animaux écorchés vifs au regard qui vrille, simav qui se fait le bras armé du cinéastepoète devenu présence en absence, simav (« eau argentée ») qui donne son nom à ce film dont on aura compris qu’il est le tombeau de la souffrance syrienne, le cri des morts sans voix qui nous regardent désormais au fond des yeux.
Le Monde Jacques Mandelbaum ça aurait pu être : La Ligne rouge de terrence malick Flandres de Bruno dumont Zero Dark Thirty de Kathryn Bigelow Des hommes et des dieux de xavier Beauvois …
Du 7 au 20 janvier
Guerre et paix (suite) mardi 13 JanVier à 19h Séance suivie d’une rencontre avec boris Henry, historien du cinéma À l'écart des combats, au cœur de la guerre
La Grande Illusion
L'une des forces et des beautés de La Grande Illusion, est de se concentrer sur les relations entre des prisonniers de guerre et leurs geôliers, mais de ne pas perdre de vue ni le conflit, ni les rapports de classe, ni ceux humanistes qu'il est – parfois ? – encore possible d'établir.
France/1937/1h54 Première Guerre mondiale. deux soldats français sont faits prisonniers par le commandant von Rauffenstein, un Allemand raffiné et respectueux. Conduits dans un camp de prisonniers, ils aident leurs compagnons de chambrée à creuser un tunnel secret… François Truffaut écrivait à propos de ce film : « La Grande illusion est construit sur l'idée que le monde se divise horizontalement, par affinités, et non verticalement, par frontières. », ou comment une amitié peut créer une parenthèse de paix dans un monde en guerre. Lieu du conflit : Belfast, 1971
de jean renoir Avec Jean Gabin, Pierre Fresnay,
marcel Dalio
tarif réduit pour tous : 2€50
Jeux interdits de rené
Clément
Avec brigitte Fossey, Georges Poujouly,
Lucien Hubert France/1952/1h25 a partir de 6 ans 1940, une orpheline est recueillie par une famille de paysans. Elle devient l'amie de leur jeune fils. Après avoir enterré le chien de Paulette, les deux enfants constituent peu à peu un véritable cimetière pour animaux. Les jeux auxquels ils se livrent sont pour eux l’unique moyen de se réapproprier une réalité face à laquelle ils sont sans défense. Là où le cinéma français de l’époque s’était surtout attaché à relayer l’engagement des Résistants, jamais un film n’avait figuré avec autant de réalisme et de tendresse les conséquences directes de la guerre sur la vie quotidienne. Lieu du conflit : France, 1940
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séance répertoire •
Charlot soldat de Charlie Chaplin Avec charlie chaplin, edna Purviance,
syd chaplin usa/1918/40min a partir de 5 ans En 1918, Charlie Chaplin se mobilise. Pour remonter le moral des troupes, il envoie Charlot, son personnage, à la guerre ! Parviendra-t-il à marcher au pas, à rentrer dans le rang ? Le film commence dans un camp militaire, à l’entraînement. C’est épuisant pour Charlot. Aussitôt l'exercice fini, il s'endort… Et nous offre sa vision onirique de la guerre ! Chaplin réussit à mêler comédie et émotions, burlesque et tragédie. il évoque l'éloignement des troupes de leurs familles, le contact maintenu par courrier… et crée ainsi une fable à partir du quotidien des soldats, qui se regarde, 96 ans après, avec toujours autant de plaisir. Lieu du conflit : USA, première guerre mondiale
séance Famille •
séance Jeune Public •
Voyage au bout de l’enfer de michael Cimino Avec Robert De niro, christopher Walken,
meryl streep usa/1979/3h03/ Vo interdit aux moins de 16 ans 1968. Mike, Steven, Nick, Stan et Axel travaillent dans l’aciérie du bourg de Clairton, Pennsylvanie, et forment une bande très liée. À Clairton, les histoires de coeur vont bon train... Mais cette tranquillité est rattrapée par la guerre du vietnam lorsque Mike, Steven et Nick sont mobilisés pour partir au combat. Voyage au bout de l’enfer est, avec Apocalypse now de Francis Ford Coppola, un des deux grands films sur la guerre du vietnam. d'abord un regard éclairé et lyrique sur l'immigration, le monde ouvrier ; et ensuite, une description hypnotique du bourbier vietnamien. Lieu du conflit : USA et Vietnam, 1968
JEUNE PUBLIC
mercredi 7 JanVier à 14h30 samedi 10 JanVier à 11h dimanche 11 JanVier à 14h30 mercredi 14 JanVier à 16h samedi 17 JanVier à 14h30 dimanche 18 JanVier à 11h
dimanche 11 JanVier à 16h dimanche 18 JanVier à 16h
mardi 20 JanVier à 19h
séance événément
mercredi 7 JanVier à 16h samedi 10 JanVier à 14h30 dimanche 11 JanVier à 11h mercredi 14 JanVier à 14h30 samedi 17 JanVier à 11h
Gros-Pois et Petit-Point de lotta et uzi geffenblad suède/2011/43min a partir de 2 ans Le premier est couvert de pois, tandis que l’autre est parsemé de points. Et ils sont très heureux comme ça. Mais vous n’êtes pas au bout de vos surprises car les aventures de Gros-Pois et Petit-Point riment avec imagination, observation et expérimentation... un délice pour les plus petits où se développe, avec sensibilité et de légères touches d'humour, l'essentiel des thèmes liés à la petite enfance. La suite de leurs aventures sort le mois prochain : à suivre ! Lieu du conflit : tout va très bien entre Gros-Pois et Petit-Point, pas de conflit en vue
Entretien avec le réalisateur
Laurent Becue-Renard quelques mots de laurent bécue-renard, réalisateur du documentaire Of Men And War, présentée au gyptis, en sa présence, lors d’une soirée exceptionnelle le vendredi 16 janvier à 19h Nous venons d’apprendre que tu as reçu le Grand Prix dans la compétition des longs-métrages au Festival International du Film Documentaire d’Amsterdam, Bravo !
Ce film fait partie d’une trilogie ? Peux-tu nous en dire plus sur le troisième volet ?
L B.R. : C’est le plus grand festival de documentaires au monde, on est très content. Après avoir eu la reconnaissance du plus grand festival au monde de cinéma, à Cannes, on a la reconnaissance du plus grand festival de documentaire. C’est bien pour la vie du film. il a deux jambes bien équilibrées maintenant.
L B.R. : Le troisième chapitre de cette trilogie « généalogie de la colère » va se centrer sur la figure de l’enfant. Enfant de la guerre, qui est déjà présent en filigrane dans De guerres lasses et dans Of Men And War. Nous, les contemporains, avons hérité de la guerre. C’est ce portrait que je voudrais faire : comment nous sommes des enfants de la guerre, comment nous portons le poids de la guerre à notre insu, à notre corps défendant.
Dans ton précédent film, De Guerres lasses, tu traitais déjà de la question des souffrances que continue de provoquer la guerre, alors qu’elle est dejà finie, sur les hommes. Mais dans le cas de ce précédent film, tu t’intéressais aux civils. Qu’est ce qui t’as donné envie de donner la parole aux guerriers, et pourquoi aux Etats-Unis ? L B.R. : Je n’ai pas vu ça comme une opposition civil/militaire. Plutôt femme et homme. Le premier film était un film sur la mère, la veuve de guerre, la femme dans la guerre, et comment elle vit avec la guerre après la guerre. Of Men And War, c’est un film sur le guerrier et le père. Avec la même question centrale : la vie avec la guerre après la guerre. La question des circonstances est assez peu importante pour moi, mais là le fait d’avoir choisi ces soldats-là est très important pour moi. il y a le fait que l’Amérique était en guerre et que, depuis la guerre du vietnam, elle a beaucoup réfléchi à la guerre. Mais surtout, d’un point de vue cinématographique, j’ai conçu mon film en opposition à l’essentiel des représentations du cinéma de fiction, qui véhiculent dans notre inconscient de spectateur des images du guerrier. Ce cinéma est le cinéma américain. L’idée était de déconstruire la représentation en allant à la source géographique et culturelle, en prenant des garçons qui ressemblent énormément aux héros des films de fiction et en montrant qu’ils n’ont rien à voir avec les images qu’on en a. Que ce soit dans les films guerriers ou les films anti-guerre (dans le cas de la guerre du vietnam par exemple), on est toujours dans des figures héroïques. Or là, l’idée est d’aller chercher des hommes qui ressemblent à ces images mais véhiculent une toute autre vérité. C’était un défi, en tant que cinéaste, très stimulant. Ça a imposé le choix de l’Amérique.
C’est un film de paroles. Ce tournage et le précédent t’ont-ils fait découvrir un pouvoir de la parole que tu ne supposais pas ? L B.R. : Je suis venu au cinéma à l’issue d’un séjour d’un an en Bosnie pendant la guerre, en rencontrant la thérapeute qui est le personnage autour duquel est centré le premier film et en observant une thérapie de groupe. En étant le témoin d’une tentative de mise en mots de ce qui est éprouvé, de sentiments extrêmement violents, ça a déterminé pour moi le choix du cinéma documentaire. Avant le premier film je n’étais pas forcément sensible au travail thérapeutique. Maintenant, dans l’enchainement des tournages des deux films, j’ai passé plus de 16 ans dans des thérapies. Je suis émerveillé de voir comment le fait d’aller vers la parole est pour les protagonistes, dès le départ, le choix de la vie. Est-ce que les séances de thérapies sont des situations cinématographiques ? L B.R. : Le jour où j’ai filmé la première séance de thérapie collective en Bosnie, j’ai été stupéfait de voir que le cadre thérapeutique engendrait une dramatisation au sens théâtral, et combien la scène thérapeutique était une scène qui avait un très fort potentiel cinématographique. dès la réflexion sur le premier film il y a 18 ans, l’idée centrale qui m’a habité est que les films que je voulais entreprendre n’avaient de sens que si la caméra jouait un rôle dans le processus thérapeutique. C’est une posture, une approche, qui a présidé au choix des films que je voulais faire et à leurs constructions.
Du 21 janvier au 3 février
Nuit blanche « je rôde comme les chats, je glisse comme les souris et dieu, lui-même, ne sait pas ce que je peux faire de mes nuits. »
Noctambule, insomnie, fête, étoiles, rupture, vampire, aventure, retrouvailles, lune, traque
barbara, les Insomniest
Le cinéma est un songe, il est fait de la matière de nos rêves. un art de nuit, avec ses étoiles, ses cauchemars. il s’apprécie dans le noir. nous allons faire un tour cette quinzaine du côté des oiseaux de nuit. si la nuit est le repère des bandits en tout genre (moment des trafics dans Quand vient la nuit, ou de la traque dans La Nuit du chasseur), elle est aussi celui des insomnies ! nuit blanche dans la fête, dans l’amour, dans l’angoisse. certaines nuit semblent pouvoir durer toujours (celles d’Oslo, 31 août ou de Before midnight)... au cinéma de les rendre éternelles ! Quelques personnages, issus de la littérature, sont de grands noctambules : casanova et Dracula en sont deux exemples majeurs. Que penser alors de leur rencontre dans le même film ?! c’est ce que propose albert serra avec Histoire de ma mort, un film dans lequel la nuit, tout est permis ! cette projection, le dimanche 25 janvier, est pour nous l’occasion de nous intéresser au cinéma catalan, dont serra est le fleuron. Le ciné-club du comptoir de la Victorine nous offre une soirée spéciale : autour d’un buffet catalan, en présence de Julio Lamaña, Historien, professeur de cinéma. un atelier pour les enfants vous est proposé mercredi 28 janvier après la projection du magnifique Jean de la lune. L’occasion de découvrir l’univers de Tomi ungerer, grand dessinateur alsacien dont est issu ce film ainsi que Les trois Brigands que vous avez pu voir au Gyptis en octobre. Le film et l’atelier sont au tarif unique de 5€ ! une quinzaine qui va ravir les insomniaques, les vampires et les noctambules. Venez avec vos cernes !
Only Lovers Left Alive de Jim Jarmush La 25ème Heure de spike Lee Ma Nuit chez Maud d'eric rohmer Ascenseur pour l'échafaud de Louis malle Les visiteurs du soir de marcel carné …
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séance répertoire •
séance Famille •
séance Jeune Public •
séance événément
dimanche 25 JanVier à 18h30 soirée catalane Le ciné-club du Comptoir de la victorine et Cultura Mundi vous proposent une soirée catalane ! venez découvrir un court métrage sélectionné dans les festivals du monde entier (Godka Cirka d'Antonio Tibaldi et Àlex Lora, 10 minutes), assister à une discussion autour du cinéma catalan avec Julio Lamaña (Historien, professeur de cinéma et Secrétaire Général de la Fédération internationale des Ciné-Clubs, FiCC). vous pourrez ensuite profiter d’un buffet catalan et découvrir l’ovni cinématographique Histoire de ma mort d’Albert Serra. une soirée exceptionnelle. Au tarif unique de 5,5€ !
Histoire de ma mort d’albert serra Avec Vicenç altaió i morral,
Lluis serrat masanellas, noelia Rodenas espagne/2013/2h28 / Vo Casanova quitte un château suisse aux ambiances galantes et libertines typiques du 18e siècle, et passe ses derniers jours dans les terres pauvres et sombres de l’Europe septentrionale. Là-bas, son monde de mondanités et sa pensée rationaliste s’effondrent face à une force nouvelle, violente et romantique portée par dracula et son pouvoir éternel. Albert Serra a construit son film comme une rencontre nocturne entre deux siècles, le 18e et le 19e, un moment où deux façons de vivre et de penser se confrontent. un film intrépide et hypnotique, au charme vénéneux.
mercredi 28 JanVier à 20h15 samedi 31 JanVier à 18h dimanche 1er FéVrier à 17h30
Before Midnight mercredi 21 JanVier à 18h Jeudi 22 JanVier à 20h15 Vendredi 23 JanVier à 18h Jeudi 29 JanVier à 20h Vendredi 30 JanVier à 18h
Oslo, 31 août de joachim trier Avec anders Danielsen Lie,
Hans Olav brenner, ingrid Olava norvège/2011/1h36 / Vo C’est le dernier jour de l’été et Anders, en fin de cure de désintoxication, se rend en ville pour un entretien d’embauche. il y passera aussi une nuit, sur les traces de sa vie passée et verra ressurgir ses vieux démons… En été à Oslo, il ne fait presque pas nuit. Les hommes profitent de la lumière qui leur manque tant l’hiver. Les nuits sont blanches, au sens propre du terme. L’errance de ce héros sensible dresse aussi un portrait juste d’une ville noctambule.
de richard linklater Avec Julie Delpy, ethan Hawke,
seamus Davey-Fitzpatrick
Quand vient la nuit
usa/2013/1h48 / Vo Céline, son mari Jesse et leurs deux filles passent leurs vacances chez des amis en Grèce. La veille du retour, surprise : les amis offrent au couple une nuit dans un hôtel de charme, sans les enfants. Les conditions sont idylliques mais la soirée en amoureux tourne vite au règlement de comptes. Céline et Jesse seront-ils encore ensemble le matin de leur départ ? dans ce troisième volet de la trilogie de Richard Linklater (réalisateur du très ambitieux Boyhood), nous retrouvons ce couple que les années ont éprouvé, lors d’une nuit où le temps semble devenir plus dense… un film aux longs dialogues, profonds et drôles, savoureux.
de michael r. roskam Avec Tom Hardy, noomi Rapace,
tarif réduit pour tous : 2€50
mercredi 21 JanVier à 16h mardi 27 JanVier à 19h samedi 31 JanVier à 16h mardi 3 FéVrier à 19h
La Nuit du chasseur de Charles laughton Avec Robert mitchum, shelley Winters,
Lillian Gish usa/1956/1h33/ Vo un prêcheur inquiétant poursuit dans l'Amérique rurale deux enfants dont le père vient d'être condamné pour vol et meurtre. Avant son incarcération, le père leur avait confié dix mille dollars. Pourchassés sans pitié par ce pasteur psychopathe et abandonnés à eux-mêmes, les enfants se lancent sur les routes. échec commercial, peu commenté par les critiques de l'époque, ce premier film fit peu à peu parler de lui au fil des années pour finalement devenir ce qu'il est aujourd'hui : un chef d'œuvre incontournable ! Sous son apparente féerie, ce conte adapté du roman de davis Grubb est d'une noirceur rarement égalée.
mercredi 21 JanVier à 20h Jeudi 22 JanVier à 18h Vendredi 23 JanVier à 20h mercredi 28 JanVier à 18h Vendredi 30 JanVier à 20h samedi 31 JanVier à 20h15 dimanche 1er FéVrier à 19h45
James Gandolfini usa/2014/1h47 / Vo Bob Saginowski, barman solitaire, suit d’un regard désabusé le système de blanchiment d’argent basé sur des bars-dépôts – appelés « drop bars » - qui sévit dans les bas-fonds de Brooklyn. Avec son cousin et employeur Marv, Bob se retrouve au centre d’un braquage qui tourne mal. il est bientôt mêlé à une enquête qui va réveiller des drames enfouis du passé... Pour son deuxième long métrage, Michael R. Roskam suit les traces de James Gray en signant un polar urbain crépusculaire et mystérieux, au scénario méticuleux et implacable. Haletant !
JEUNE PUBLIC
samedi 24 JanVier à 11h mercredi 28 JanVier à 14h30 samedi 31 JanVier à 14h dimanche 1er FéVrier à 11h et 15h30 MERCREDI 28 JANVIER À 16H15 Atelier autour de Jean de la lune
mercredi 21 JanVier à 14h30 samedi 24 JanVier à 14h samedi 31 JanVier à 11h dimanche 1er FéVrier à 14h15
il s'agit de proposer aux participants de l’atelier de découvrir l’ouvrage de Tomi ungerer « Jean de la lune » et de s’en inspirer pour créer un jardin de nuit. Grâce à une simple technique pop-up, chaque participant pourra réaliser un jardin en volume avec un mélange de papiers colorés et de papiers préparés à la gouache. tarifs : film + atelier : 5€ réservation obligatoire au 04 95 04 86 25 ou au cinéma aux heures d'ouverture
de Fabienne collet, Gil alkabetz,
Jean de la lune de stephan schesch allemagne/2012/1h35/VF a partir de 6 ans Jean de la Lune s’ennuie tout seul sur la Lune. il décide de visiter la Terre. un jour, il s’accroche à la queue d’une comète et atterrit chez nous. Le Président du Monde, persuadé qu’il s’agit d’un envahisseur, le pourchasse. Pour lui échapper, Jean de la Lune va devoir compter sur les enfants et ses amis… un film au graphisme somptueux, dans une atmosphère douce-amère, qui aborde les thèmes de la liberté et de la différence avec poésie, dans un univers très proche du conte de Tomi ungerer dont il est adapté.
Le Rêve de Galileo Ghislain avrillon, alex cervantes France, espagne, allemagne/2011/40min/VF a partir de 3 ans voici un programme de cinq courts-métrages d’animation, sur le thème du ciel et des étoiles. Si ces dessins animés ne disent pas tout à fait la vérité aux enfants sur les énigmes du ciel, c'est pour leur raconter les plus beaux mensonges…
Samedi 24 et dimanche 25 janvier
Agnès Varda le cinéma dans tous ses états états d’urgence (d’une sans-toit-et-sans-loi, sandrine bonnaire, jusqu’aux militants pour les droits civiques des Black Panthers) et états de grâce (dans les moments suspendus de Cléo de 5 à 7). en tout état de cause, les personnages d’agnès Varda sont toujours bien vivants, ouverts au monde et traversés par lui. dans ses films, réel et fiction s’interpénètrent pour former les mensonges les plus vrais. agnès Varda nous fait le plaisir d’être avec nous durant deux journées marathons, une parenthèse solaire dans notre quinzaine nocturne. ne manquez pas ce voyage dans la filmographie d’une des plus grandes réalisatrices françaises, des années soixante à la fin des années 2000 ; et une rencontre exceptionnelle avec cette grande dame dimanche 25 janvier à 11h !
samedi 24 JanVier à 15h15
Sans toit ni loi d’agnès
Varda
Avec sandrine bonnaire, macha méril,
samedi 24 JanVier à 17h30
Agnès Varda in California ! deux films réunis en une séance pour découvrir une partie des créations américaines d’Agnès.
stéphane Freiss
en présence d’Agnès Varda
France/1985/1h45 une jeune fille errante est trouvée morte de froid : c'est un fait d'hiver. Etait-ce une mort naturelle ? C'est une question de gendarme ou de sociologue. Que pouvait-on savoir d'elle et comment ont réagi ceux qui ont croisé sa route ? C'est le sujet du film. La caméra s'attache à Mona, racontant les deux derniers mois de son errance… Avec ce film appartenant au genre dit du "documenteur", une œuvre à la croisée du documentaire et de la fiction selon la réalisatrice, Agnès varda crée un personnage inoubliable, puissant et opaque, qui avance sans cesse, à la découverte du monde et dans une mystérieuse quête.
Documenteur d’agnès Varda Avec sabine mamou, mathieu Demy,
Lisa blok usa, France/1982/1h05 Emilie, secrétaire d'un scénariste, emmène son fils Martin à l'occasion du tournage d'un film à Los Angeles. Loin de celui qu'elle aime, elle souffre de l'ennui provoqué par cet exil. Elle prend un appartement pour s'y sentir chaque jour un peu plus seule au fur et à mesure que Martin apprend à se débrouiller par lui-même. inspiré par un épisode de la vie de la réalisatrice, ce film brouille joyeusement les pistes entre documentaire et fiction. Précédé de
Uncle Yanco d’agnès Varda usa, France/1982/22mn "C'est un portrait-reportage du peintre Jean varda, mon oncle. dans les faubourgs aquatiques de San Fransisco, centre intellectuel et cœur de la bohème, il navigue à la voile latine et peint des villes célestes et byzantines, car il est grec. Cependant, il est très lié au jeune mouvement américain et reçoit des hippies et des contestataires dans son bateaumaison. Comment j'ai découvert mon oncle d'Amérique et quel merveilleux bonhomme il est : c'est ce que montre ce court-métrage en couleurs." Agnès varda.
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séance répertoire •
séance Famille •
séance Jeune Public •
séance événément
RENCONTRE AVEC
AGNES VARDA
DIMANCHE 25 JANVIER À 11H une heure de discussion autour de ses créations. voyage avec la réalisatrice dans son œuvre buissonnière, naviguant avec joie et naturel de documentaire à fiction et de fiction à documentaire, d'une rive à l'autre de l'atlantique.
samedi 24 JanVier à 20h en présence d’Agnès Varda
dimanche 25 JanVier à 14h en présence d’Agnès Varda
dimanche 25 JanVier à 16h
Les Plages d’Agnès
Cléo de 5 à 7
d’agnès Varda France/1990/1h58 a partir de 8 ans il était une fois un garçon, élevé dans un garage où tout le monde aimait chanter. C'était en 1939, il avait 8 ans, il aimait les marionnettes et les opérettes. Puis il a voulu faire du cinéma mais son père lui a fait étudier la mécanique. C'est de Jacques demy qu'il s' agit et de ses souvenirs. C'est une enfance heureuse qui nous est contée, malgré les évènements de la guerre et de l'après-guerre.
d’agnès Varda France/2008/1h50 En revenant sur les plages qui ont marqué sa vie, Agnès varda invente une forme d'auto-documentaire. Elle se met en scène au milieu d'extraits de ses films, d'images et de reportages. Elle nous fait partager avec humour et émotion ses débuts de photographe de théâtre puis de cinéaste novatrice dans les années cinquante, sa vie avec Jacques demy, son engagement féministe, ses voyages à Cuba, en Chine et aux uSA, son parcours de productrice indépendante, sa vie de famille et son amour des plages. une femme libre et curieuse !
d’agnès
Varda
Avec corinne marchand, antoine bourseiller, Dominique Davray France/1962/1h30
Cléo, belle et chanteuse, attend les résultats d'une analyse médicale. de la superstition à la peur, de la rue de Rivoli au Café de dôme, de la coquetterie à l'angoisse, de chez elle au Parc Montsouris, Cléo vit quatre-vingt-dix minutes particulières. Son amant, son musicien, une amie puis un soldat lui ouvrent les yeux sur le monde. Agnès varda est téméraire dans sa façon de s’emparer de motifs si mélodramatiques pour les plonger dans un bain de modernité documentaire : le Paris encore populaire, parfois dangereux, du mois de juin 1961. Film composite, hybride, rencontre insensée du surréalisme et de la Nouvelle vague, Cléo ne ressemble à rien de connu.
Jacquot de Nantes
du 31 décembre au 6 janvier
En voiture
Sous la neige
du 24 au 30 décembre les merveilleux Contes de la neige (à partir de 3 ans, 50 min) de la neige pour noël (à partir de 3 ans, 1h16) grizzly (à partir de 3 ans, 1h18) shining (2h26) Fargo (1h37) le bal des vampires (1h48) la Vie est belle (2h09) snow therapy (1h58) nanouk l'esquimau (1h10)
mer 24
jeu 25
Ven 26
sam 27
dim 28
mar 30
16h15 14h30
16h
15h
14h 11h
17h15
11h 16h15
11h 14h 16h
14h 11h
18h 19h 19h30 15h15
mer 31
jeu 1
Ven 2
sam 3
dim 4
11h
11h
Fantomas (à partir de 6 ans, 1h34) drive (1h40) night Call (1h57)
14h 20h 16h 18h
14h
11h 14h30 16h 18h 19h45
Nuit blanche Guerre et paix Guerre et paix
mer 7 14h30 16h 18h 20h15
du 21 au 27 janvier
Weekend Agnès Varda
19h
du 7 au 13 janvier
le rêve de galileo (à partir de 3 ans, 40min) oslo, 31 août (1h36) quand vient la nuit (1h47) jean de la lune (à partir de 6 ans, 1h35) sans toit ni loi (1h45) agnès Varda in California (Documenteur, uncle Yanco, 1h55) les plages d'agnès (1h50) rencontre avec agnès Varda (1h) Cléo de 5 à 7 (1h30) jacquot de nantes (1h58) la nuit du chasseur (1h38) Histoire de ma mort (2h28) + soirée catalane
du 28 janvier au 3 février
sam 10
dim 11 14h30 11h
18h 20h15
11h 14h30 16h 18h
mar 13
18h 16h 19h + rc
mer 14 14h30 16h 20h 18h
jeu 15
Ven 16
sam 17 11h 14h30
18h 20h 18h15
20h
dim 18
mar 20
11h 20h 14h
19h + rc 16h
18h 16h 19h
mer 21 14h30 18h 20h
jeu 22
Ven 23
sam 24
dim 25
mar 27
14h 20h15 18h
18h 20h 11h 15h15 17h30 20h 11h 14h 16h
16h
19h 18h30 + rc
mer 28
atelier autour de tomi ungerer (1h) quand vient la nuit (1h47) before midnight (1h48) oslo, 31 août (1h36) le rêve de galileo (à partir de 3 ans, 40min) la nuit du chasseur (1h38)
16h15 18h 20h15
événément
Ven 9
20h + rc
14h30
Jeune Public •
jeu 8
20h
jean de la lune (à partir de 6 ans, 1h35)
Famille •
19h
mar 6
16h + rc
Charlot soldat (à partir de 6 ans, 46min) gros pois et petit point (à partir de 2 ans, 43 min) le grand Homme (1h47) timbuktu (1h37) entre deux mondes (1h38) eau argentée (1h33) ‘71 (1h39) jeux interdits (à partir de 6 ans, 1h25) la grande illusion (1h54)
du 14 au 20 janvier
Nuit blanche
20h
panique chez les jouets (à partir de 3 ans, 42 min)
gros pois et petit point (à partir de 2 ans, 43 min) Charlot soldat (à partir de 6 ans, 46min) ‘71 (1h39) timbuktu (1h37) eau argentée (1h33) of men and War (2h22) le grand Homme (1h47) jeux interdits (à partir de 6 ans, 1h25) Voyage au bout de l'enfer (3h03)
15h45 17h45
19h + rc
dumb and dumber (1h46) paris, texas (2h27)
rc : rencontre •
16h45
jeu 29
Ven 30
20h 20h
sam 31
dim 1
14h
11h 15h30
20h15 18h
19h45 17h30
11h 16h
14h15
mar 3
18h 19h