Rene Binet -- Contribution a une ethique raciste -- Clan9 Identitaire Front National

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contribution à une éthique raciste

maintenir la ‘‘ dictature du prolétariat ‘’, faire appel à des ‘‘ étrangers à la classe au pouvoir ‘’, se trouve réduite à néant. Le socialisme appartient à tous, chacun y trouve sa place et chacun s’y trouve à sa place. Si des querelles de familles éclataient encore parfois, le parti et l’État, arbitres du peuple parce qu’élites du peuple et de la race, sauraient les résoudre et les apaiser. La loi n’est donc pour le socialiste raciste ni le résultat d’un sursaut politique provisoire d’une clique au pouvoir, ni la manifestation de l’intérêt d’une classe, mais la règle légitime et permanente, inspirée par les intérêts supérieurs du peuple et de la race, par la défense, la protection et le développement du peuple et de la race. L’autorité qu’il accepte de subir comme une loi morale à laquelle il obéit spontanément dans la conduite de sa vie personnelle, il la retrouve dans l’esprit des lois de l’État. Loin de lui paraître une loi qu’on ne respecte que par la seule ‘‘ peur du gendarme ‘’, elle est la règle volontairement admise ‘‘ parce qu’il n’en peut être de meilleure ’’ pour lui-même et son peuple dans l’état de développement particulier où ils se trouvent. Ainsi sont réunies les conditions d’une liberté aussi complète qu’elle est possible dans la vie en société ainsi que de la discipline la plus librement acceptée pour le bien commun. Le socialiste raciste se réjouit de voir cette unité de la discipline et de la liberté réunies aussi facilement et de retrouver entière sa responsabilité individuelle dans le choix et l’adhésion. En revanche le socialisme sémitique tend de plus en plus à lui imposer une orthodoxie étouffante dont la manifestation dernière montre ses résultats en U.R.S.S. — Ainsi en même temps qu’un fil conducteur, un point de repère lui est donné de façon permanente, la race. Il voit assurer à son développement personnel et à l’activité de son esprit, une indépendance qu’il avait cessé d’espérer. Enfin il retrouve sa spontanéité propre en plongeant aux sources vives du génie de sa race dont il était coupé depuis si longtemps. Il n’est plus pour lui d’opposition entre l’activité de la collectivité tout entière et la sienne propre puisqu’elles puisent désormais à la même source. De toute manière, l’application de la loi, qu’elle soit personnelle ou collective, cesse d’être l’observance imposée par l’autorité policière de règles sans vie. Elle devient comme un contact permanent du citoyen avec son peuple et sa race, exactement sans doute comme à un autre moment où la loi et la foi pouvaient se confondre, l’homme du moyen-âge ne voyait pas de différence essentielle entre la règle de l’État et celle de l’Église, entre la règle de l’Église et sa propre conception de la vie. Le christianisme était à ce moment adapté entièrement à la race. Il avait, pour un temps, su réunir toutes les couches du peuple autour d’un idéal et d’un but commun et réaliser une forme d’unité populaire dont beaucoup encore aujourd’hui gardent la nostalgie. Or faute d’avoir vu clairement l’importance de la race et de son unité, qu’elle a pressentie parfois, l’Église a laissé s’oublier cette organisation, cette conception et cette attitude. Le temps d’une relève dans le domaine temporel semble donc venu. La mission dont elle n’a pas pu s’acquitter, le socialisme raciste la conduira à son terme.

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