Georges
HILBERT
1900-1982
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Georges
HILBERT
1900-1982
Contact Email jb.auffret@galerie-malaquais.com Adresse 14 rue Milton - 75009 Paris Téléphone +33 (0)6 08 58 48 38 / +33 (0)1 42 86 04 75 Site internet www.galerie-malaquais.com
Ce catalogue est publié à l’occasion de l’exposition «Georges Hilbert» du 22 mars au 22 avril 2022 à la Galerie Malaquais, sur RDV uniquement.
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Préface
Depuis une dizaine d’années, la Galerie Malaquais rassemble des sculptures et dessins de Georges Hilbert (1900-1982). Cet artiste aujourd’hui discret et même méconnu a pourtant bénéficié d’une reconnaissance internationale de son vivant. Présent dans de nombreuses collections publiques (musée national d’art moderne – Centre Pompidou à Paris ; Metropolitan Museum à New York ; musée des beaux-arts d’Alger…), il fut lauréat de très nombreux prix, exposé et admiré en France, aux États-Unis et dans toute l’Europe. Il prit part aux associations d’artistes animaliers aux côtés d’Édouard-Marcel Sandoz ou François Pompon. Né en Algérie, d’un père vétérinaire, il développe très jeune un intérêt passionné pour les animaux qui ne le quittera jamais. Georges Hilbert fréquente les zoos et ménageries mais est aussi un grand voyageur. Il profite de ses pérégrinations pour s’intéresser aux animaux endémiques des régions qu’il traverse. C’est ainsi qu’il dessine ou sculpte avec un égal talent poneys, chevaux, agneaux, lions, panthères, chacals ou aigles royaux et pécaris. Brillant observateur, amoureux de ses modèles et doué d’une sensibilité artistique rare, il s’inscrit dans l’art de son époque en faisant le choix de la taille directe, à la suite de Joseph Bernard ou Mateo Hernandez. Il se hisse au niveau des meilleurs, réussissant à donner vie et élégance à ses sujets dans un style synthétique et parfaitement maitrisé. Des qualificatifs qui valent aussi pour ses remarquables dessins où la ligne joue avec le vide et les volumes sont rendus grâce à quelques aplats de matière savamment disposés. La Galerie Malaquais est heureuse de pouvoir présenter aujourd’hui ce bel ensemble de dessins et sculptures de Georges Hilbert, et de lui rendre un hommage qu’il mérite. Marie Flambard
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Georges Hilbert (1900-1982)
Jeune cervidé allongé, vers 1930 Epreuve en bronze, sans numéro de tirage Fonte au sable Alexis Rudier Sigle de la CAF : Compagnie des Arts Français Signé : Hilbert H. 28 ; L. 36 ; P. 14 cm Provenance : France, collection particulière
20.000 euros
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Georges Hilbert (1900-1982)
Les deux biches, 1931 Crayon Signé et daté (en bas à droite) : Hilbert 31 Cachet de l’atelier (en bas à droite) : GH H. 32 ; L. 42 cm
Provenance : France, collection particulière
3.500 euros
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Georges Hilbert (1900-1982)
Grand-Duc d’Amérique, 1928 Crayon Signé et daté (en bas à gauche) : Hilbert 28 Cachet de l’atelier (en bas à gauche) : GH H. 30,5 ; L. 22,5 cm
Provenance : France, collection particulière
3.500 euros
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Georges Hilbert (1900-1982)
Agneau, 1926 Crayon Signé et daté (en bas à gauche) : Hilbert 26 Cachet de l’atelier (en bas à gauche) : GH H. 20,5 ; L. 26 cm
Provenance : France, collection particulière
3.000 euros
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Georges Hilbert (1900-1982)
Bovidé couché Crayon Signé (en bas à gauche) : Hilbert Cachet de l’atelier (en bas à gauche) : GH H. 24,6 ; L. 36,8 cm
Provenance : France, collection particulière
3.000 euros
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Georges Hilbert (1900-1982)
Bovidé de profil, 1925 Crayon Signé (en bas à droite) : Hilbert 25 H. 21 ; L. 26,5 cm
Provenance : France, collection particulière
2.500 euros
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Georges Hilbert (1900-1982)
Cheval et Cavalier à l’Antique, 1943 Relief en pierre Signé et daté sur la tranche à gauche : HilberT 43 H. 25,5 ; L. 30 ; P. 10 cm
Provenance : France, collection particulière
12.000 euros
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Georges Hilbert (1900-1982)
Ours penché en avant Encre et lavis d’encre Cachet de l’atelier (en bas à gauche) : GH H. 47,8 ; L. 36,5 cm
Provenance : France, collection particulière
5.000 euros
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Georges Hilbert (1900-1982)
Vache broutant Encre et lavis d’encre Cachet de l’atelier (en bas à gauche) : GH H. 47,1 ; L. 36,8 cm
Provenance : France, collection particulière
5.000 euros
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Georges Hilbert (1900-1982)
Tête de lion Crayon Signé (en bas à droite) : Hilbert H. 37,5 ; L. 25,5 cm
Provenance : France, collection particulière
3.500 euros
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Georges Hilbert (1900-1982)
Panthère couchée Crayon Cachet de l’atelier (en bas à gauche) : GH H. 20,8 ; L. 27,5 cm
Provenance : France, collection particulière
3.000 euros
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Georges Hilbert (1900-1982)
Tigre étendu de dos, 1976 Crayon Signé et daté (en bas à gauche) : Hilbert 76 Cachet de l’atelier (en bas à gauche) : GH H. 39,8 ; L. 52 cm
Provenance : France, collection particulière
3.500 euros
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Georges Hilbert (1900-1982)
Jeune chimpanzé, 1929 Crayon Signé et daté (en bas à droite) : Hilbert 29 H. 43,5 ; L. 34 cm
Provenance : France, collection particulière
3.500 euros
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Georges Hilbert (1900-1982)
Chacal ou Renard des sables, 1925 Granit des Vosges Signé et daté (sur la terrasse à gauche) : HilberT 25 H. 30 ; L. 61 ; P. 13 cm Exposé au Salon d’Automne de 1925, n°625 Provenance : France, collection particulière
60.000 euros
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Georges Hilbert (1900-1982)
Bébé lynx Crayon Signé à l’encre (en bas à droite) : Hilbert Cachet de l’atelier (en bas à droite) : GH H. 20,6 ; L. 26,5 cm
Provenance : France, collection particulière
3.000 euros
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Georges Hilbert (1900-1982)
Perruche de profil Crayon Signé (en bas à droite) : Hilbert H. 24,5 ; L. 34 cm
Provenance : France, collection particulière
3.000 euros
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Georges Hilbert (1900-1982)
Aigle de profil Crayon Signé (en bas à gauche) : Hilbert H. 34 ; L. 44 cm
Provenance : France, collection particulière
3.500 euros
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Biographie Georges Hilbert naît le 22 mars 1900 à Nemours (Djemaa el Ghazaouet), en Algérie. Son père, médecinvétérinaire à Oran, le sensibilise dès son plus jeune âge au contact avec les animaux. Il entre à l’école des Beaux-Arts d’Oran en 1918 mais y reste peu car il déménage la même année à Paris, où il poursuit sa formation artistique à l’école des Arts Décoratifs et à l’école des Beaux-Arts. Pourtant, c’est surtout au Jardin des Plantes, face aux animaux, qu’il apprend son métier. Il y réalise de nombreux dessins et sculpte aussi parfois dans la pierre tendre des esquisses. Puis, il réalise des tailles directes dans des blocs de calcaire, de granit ou de marbre. Il fait aussi venir ses modèles exotiques dans son atelier, installé dans une impasse tranquille de la rue Borromée (Paris, XVème arrt.), ce qui lui permet d’avoir tous ses outils à portée de main et des conditions de travail moins précaires qu’au jardin des Plantes. « À travers des formes singulières, longuement observées et réfléchies, c’est l’idée même du cerf, ou celle de la panthère, qu’il parvient à cerner »1. Deux sculpteurs animaliers inspirent en profondeur sa vision : il se nourrit du travail en taille directe de l’espagnol Mateo Hernandez (1885-1949) et il observe les proportions élégantes, la limpidité des volumes et l’expression sereine des œuvres de François Pompon (1865-1933). Il apprend aussi auprès de Joseph Bernard (1866-1931), autre chef de file de la taille directe. En 1921, Georges Hilbert est envoyé à Meknès au Maroc pour effectuer son service militaire. Dans le désert marocain, il croque des prédateurs, comme des chacals et des lions, mais aussi, des gazelles, antilopes, zébus et chameaux, ainsi que des hippopotames et éléphants2. Il rencontre le critique d’art et grand défenseur de la taille directe, Emmanuel de Thubert, en 1924. Grâce à ce dernier, il est invité à réaliser un des bas-reliefs ornant les piliers de la Pergola de la Douce France, sur l’Esplanade des Invalides, aujourd’hui installée à Etampes. La décoration de cet ambitieux projet fait appel à de grands noms de la sculpture en taille directe : François Pompon, Ossip Zadkine, Joachim Costa, Raoul Lamourdedieu, Jan et Joël Martel, etc... Dès 1925, il devient sociétaire du Salon d’Automne où il expose le Chacal en granit noir. Á partir de 1926, il participe au Salon des Tuileries et l’année suivante, au Salon des Indépendants. En 1928, l’obtention du prix Blumenthal3 lui ouvre les portes des collections privées et des musées américains, et lui permet de réaliser en 1930 un séjour en Égypte, où il retrouve la grande tradition de l’art animalier dans les temples de Louqsor, de Karnak, et dans les carrières d’Assouan.
1 Dubois, Patrice, « Hilbert le sculpteur du vivant », Revue des Artistes Français, 1983. 2 1928 CATALOGUE. 3 Le prix Blumenthal est un prix décerné de 1919 à 1959, par la fondation du couple Georges et Florence Blumenthal, afin de promouvoir l’art et la pensée français aux États-Unis. Il est ouvert aux peintres, sculpteurs, graveurs, décorateurs et architectes. Il a notamment permis de lancer la carrière des décorateurs Jacques Adnet (1900 – 1984) et André Arbus (1903 – 1969) respectivement en 1927 et en 1935, ainsi que celle de la sculptrice Germaine Richier (1902 – 1959) en 1936. 40
En 1928, la Arden Gallery de New-York organise sa première exposition particulière, sous l’impulsion conjointe de Georges Blumenthal (1858-1941), alors directeur du Metropolitan Museum of Art, et de Florence Blumenthal (1873-1930). Cette exposition rencontre un vif succès et lui permet de faire la connaissance du magnat de la presse William Hearst (1863 – 1951) qui, admiratif de son œuvre, assure sa publicité dans tous les États-Unis. S’en suivent de nombreuses expositions, dans les musées de Toledo, Milwaukee, Chicago, Indianapolis, Kansas City, Saint-Louis, Denver, et Baltimore. S’adaptant à sa clientèle américaine, il propose des dessins d’animaux endémiques, comme des pumas, des lynx, des coyotes ou des sculptures de pécaris ou de grands-ducs. Le pécari, ce petit cochon d’Amérique latine, est sculpté par Georges Hilbert rapidement après son premier voyage aux États-Unis. La sculpture en granit entre dans les collections du Metropolitan Museum of Art de New York en 1928 (acc.num.28.214), suite à la donation de l’homme politique écologiste Georges D. Pratt (1869-1935). Sa renommée se propage alors en Europe et il expose à Bruxelles, Naples, Prague et Vienne, mais aussi dans le reste du monde, à Tokyo ou Rio de Janeiro. À l’occasion de l’Exposition coloniale internationale de 1931 à Paris, Hilbert envoie deux singes en granit au pavillon du « Cameroun et Togo » et un groupe de Kangourous au musée des Colonies (Palais de la Porte Dorée). En 1933, il participe à l’exposition d’art animalier organisée à l’hôtel Ruhlmann, avec le Groupe des XII. Au sein de ce groupe, se trouvent des sculpteurs célèbres comme François Pompon, Jane Poupelet ou Paul Jouve mais aussi Charles Artus, Georges Guyot, Marcel Lemar...4 Les nombreux prix qu’il obtient, les achats des musées et des collectionneurs, et les commandes privées et d’État, lui permettent de réaliser des œuvres de grandes dimensions : cinq bas-reliefs pour la nouvelle fauverie du Jardin des Plantes (1935), une cuve baptismale pour la cathédrale du Grand-duché du Luxembourg (1937), quatre lions grandeur nature au Château de la Trousse (1951) et douze bas-reliefs pour la villa du Gouverneur de la Banque d’Algérie à Alger (1951). Cependant, la Seconde Guerre mondiale semble freiner l’ascension de Georges Hilbert : les grandes commandes se font moins nombreuses, et la participation aux expositions d’envergure plus rares. Pourtant, il ne cesse jamais de tailler et dessiner. En 1973, il devient membre de l’Académie des Beaux-Arts, reçoit le Grand Prix de Sculpture de la Société des Artistes Français5 et le Prix Edouard-Marcel Sandoz pour l’ensemble de sa carrière. Il meurt le 6 septembre 1982 à Saint-Martin d’Abbat (Loiret).
4 Fondé en 1931 par François Pompon et Jane Poupelet, le Groupe des XII favorise les échanges entre les artistes animaliers. 5 Pour son envoi de La Loutre au Salon des Artistes français de 1973. 41
Collections publiques (Liste non exhaustive)
Alger Musée national des BeauxArts -Panthère, av. 1931, bronze (inv. IG 2723 ; acquis en 1931) -Chacal, bronze (acquis en 1932) Autun Musée Rolin -Panthère, bronze (inv.HVS19 ; acquis en 1972) Barentin Mairie de Barentin -Puma, avant 1932, granit rose (inv. FNAC 3699 ; acquis par l’État en 1932) -Ara, avant 1940, pierre (inv. FNAC 6122 ; acquis par l’État en 1940) -Tête d’antilope, avant 1959, granit (inv. FNAC 9296 ; acquis par l’État en 1959) Étampes Square de la « Douce France » -Le Cheval sauvage pour la Pergola de la Douce France, 1925, bas-relief en pierre, taille directe (conçue pour l’exposition des Arts décoratifs et industriels de 1925 puis installée à Étampes en 1935) Montbéliard École nationale des Douanes -Perroquet, 1946, dessin (inv. FNAC
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20065 ; acquis par l’État en 1946) Mulhouse Mairie de Mulhouse -Panthère, avant 1947, pierre (inv. FNAC 7002 ; acquis par l’État en 1947) New York Metropolitan Museum of Art -Un pécari, 1927, granit (inv. 28.214 ; donation de Georges D. Pratt en 1928) Orléans Musée des Beaux-Arts -Chimpanzé, 1931, pierre calcaire (inv. D2011.0.12 ; dépôt de 2010 par Dauphine de Valence) -Gorille, 1931, pierre calcaire (inv. D2011.0.11 ; dépôt de 2010 par Dauphine de Valence) Paris CNAP -Tigre, 1946, mine de plomb et fusain (inv. FNAC 20064 ; acquis par l’État en 1946) Ménagerie du Jardin des Plantes, Fauverie -Ensemble de 5 bas-reliefs en pierre, 1936-1938 : Tigres (inv. MNHN. OA.789), Caracals (inv. MNHN. OA.790), Loups (inv. MNHN.OA.791),
Guépard (inv. MNHN.OA.792), Jaguars (inv. MNHN.OA.793) Musée d’art moderne de la ville de Paris -Tête de jeune cerf, 1933, dessin (inv. AMD 455 ; donation en 1934) Musée national d’art moderne – Centre Pompidou -Tête de bouledogue, 1930-1940, grès (inv. AM 5005 S) -Bœuf zébu, 1925, mine graphite (inv. AM 1479 D ; achat de l’État en 1927) -Faucon, 1932, fusain (inv. AM 1469 D ; achat de l’État en 1940) Palais de la Porte Dorée -Groupe de deux kangourous, 1930, granit Petit Palais -Jeune cerf, 1933, granit (inv. PPS 1661 ; acquis par l’État en 1953) Rodez Musée Denys-Puech -Ours, pierre (inv.1953.42.1 ; acquis en 1953)
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Bibliographie indicative
1925 ARTICLE : Alexandre Arsène, «Les sculpteurs de l’exposition», La Renaissance de l’Art français et des industries du luxe, octobre 1925 (sans pagination). 1927 ARTICLE : J.S., «Georges HILBERT et la taille directe», Minerve (?), mai 1927, pp. 247-253. 1928 CATALOGUE : Emmanuel de Thubert, Ramon Fina, HILBERT, New-York, Arden Gallery (460 Park Avenue), octobre à novembre 1928. 1929 ARTICLE : Emmanuel de Thubert, «HILBERT», L’Art et les artistes, mars 1929, pp. 194-198. 1974 GAUTHIER : Maximilien Gauthier, La fondation américaine Blumenthal pour la pensée et l’art français, Paris, Presses universitaires françaises, 1974. 1975 CATALOGUE : Georges HILBERT – Sculptures, Paris, Galerie Daber (24 avenue de Friedland – 75008), 18 avril – 10 mai 1975. 1975 DISCOURS : Georges Cheyssial, Réception de monsieur Georges HILBERT élu membre de la Section de sculpture en remplacement de Claude Grange, Discours prononcés lors de la séance publique tenue par l’Académie des beaux-arts le 25 juin 1975. 1977 ARTICLE : Alain Martin, «Un grand artiste méconnu : Georges 44
HILBERT», L’Algérianiste, décembre 1977. 1978 ARTICLE : Alfred Daber, «Georges HILBERT», Club Français de la Médaille, n°58, 1978, pp. 48-50. 1982 CATALOGUE : André Damien, «Georges HILBERT», Souvenir de Corot, juin 1982, (sans pagination). 1982 DISCOURS : Georges Cheyssial, «Hommage à Georges HILBERT 1900-1982», Revue des Artistes français, 12 octobre 1982, pp. 2-5. 1982 ARTICLE : Patrice Dubois, «HILBERT», Le Journal de l’amateur d’art, octobre 1982, p.39 1983 ARTICLE : Patrice Dubois, «HILBERT : le Sculpteur du Vivant», Revue des Artistes français, juillet 1983, n°15, pp. 14-16. 1983 CATALOGUE : Salon des artistes français (Bonnard, Roussel, Vuillard, Maillol, Belmondo, HILBERT, Ehlinger), Paris, Grand Palais, 2 mai au 23 mai 1983. 1983 CATALOGUE : Maurice Buffet, Geneviève Philippon, Hommage à Georges HILBERT, Ville d’Avray, L’Atelier de Ville d’Avray, 19 mai 1985. 1987 DISCOURS : René Clément, Notice sur la vie et les travaux de Monsieur Georges HILBERT (1900 – 1982), Discours prononcé lors de la séance publique tenue par l’Académie
des Beaux-Arts, n°29, 1987. 1988 ARTICLE : Paul-Louis Rinuy, «1907 : naissance de la sculpture moderne ? Le renouveau de la taille directe en France», Histoire de l’Art – Bulletin d’information de l’Institut national de l’histoire de l’art, n°3, octobre 1988, pp. 67-74. 1988 CATALOGUE : Patrick Elliot, Sculptures en taille directe en France de 1900 à 1950, Saint-RémyLès-Chevreuse, Fondation de Coubertin, 15 septembre au 13 novembre 1988. 2001 CAZENAVE : Élisabeth Cazenave, Les artistes de l’Algérie (1830-1962) : Dictionnaire des peintres, sculpteurs, graveurs, Paris, Éditions de l’Onde, 2001. 2005 ARTICLE : Élisabeth Cazenave, «Georges HILBERT : sculpteur oranien», Mémoire vive (Algérie-Maroc-Tunisie), 2005, n°41, pp. 34-36. 2017 ARTICLE : Maria P. Gindhart, «La Ménagerie dans les années 1930, patrimoine scientifique et artistique du Muséum», carnet “Muséum, objet d’Histoire” présentant les travaux du séminaire de recherche “Le Muséum national d’histoire naturelle, objet d’Histoire”, 23 février 2017, article en ligne.
La galerie Malaquais tient à remercier Patrice Dubois et Elisabeth Valency -Lagarde CATALOGUE NUMÉRIQUE ÉDITÉ PAR la galerie Malaquais en mars 2022 CREDITS PHOTOGRAPHIQUES : Galerie Malaquais / photos Laurent Lecat ; Galerie Malaquais / photos Luc Paris (p.21-23-29-31-35-37)
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