Rapport de stage Fanny Blondiau
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Sommaire • Présentation Fanny Blondiau • Historique et présentation du CCRC • Ma place dans l’entreprise • Mission au sein du CCRC • Contraintes et problèmes • Conclusion • Remerciements
P.04 P.05 P.08 P..13 P.32 P.33 P.34
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Presentation
Fanny Blondiau 1992
2008
2010
2010
Stage « Mr Carte de visite » Étude Infographie
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2011
2013
L.E.S.I.T.E Études supérieures
• CESS infographie • Certificat de qualification en infographie
Formation Prestashop TechnocITé
2014
2014
3e L.E.S.I.T.E Stage « Centre Culturel Régional du Centre »
Diplômée du CESS en infographie ainsi que d’une qualification, j’ai commencé mes études supérieures à L.E.S.I.T.E à Saint-Ghislain. Je suis actuellement en dernière année dans mes études en bachelier et c’est avec plaisir que j’effectue un stage en infographie.
Historique
et
Presentation
Centre Culturel Regional du Centre Le CCRC (Centre Culturel Régional du Centre) a été fondé en 1978 sous le nom de ESCIFS (Centre d’Étude Socio-Culturelle/Information-Services), il est chargé de coordonner l’ensemble des activités culturelles locales, de développer des initiatives nouvelles, de susciter la collaboration des groupes et des individus à l’élaboration collective d’une politique à long terme. Il a été fondé par Jean DEQUAN, Jean-Pierre HUBERT, Claudine VAUS, Didier CAILLE, Salvatore DI MARTINO, Fredy TAMINIAUX, Jenny VASSEN.
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Il décide de fusionner avec le foyer culturel des deux Haine et le théâtre communal, il devient donc le 1er juillet 1983 le « Centre Culturel de La Louvière ». L’assemblée générale du 1er mars 1988 décide de transformer l’intitulé « Centre Culturel de La Louvière » en « Maison de la Culture de La Louvière ». En avril 1995, la Maison de la Culture obtient sa reconaissance transitoire en tant que Centre Culturel Régional de catégorie 2. En vertu du décret du 28 juillet 1992, la Maison de la Culture de La Louvière va se transformer en Centre Culturel Régional du Centre.
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CCRC
Aujourd’hui, le Centre culturel régional du Centre organise chaque saison plus de deux cents événements culturels, artistiques, citoyens. Disposant d’une importante infrastructure, il propose à la population une programmation basée sur la diffusion, la création et l’éducation permanente. Le Centre culturel régional du Centre est actif dans la diffusion du patrimoine culturel et artistique local, régional, national, mondial. Sa programmation est structurée en «secteurs» qui représentent autant de disciplines : arts de la scène, musiques, arts plastiques et expositions, cinéma, éducation permanente, information, ateliers et stages créatifs pour enfants, adolescents et adultes. Le Centre culturel régional du Centre est animé par les valeurs démocratiques. Les défendre, les promouvoir, à travers la sélection et la programmation d’activités en général, par la mise sur pied d’actions ciblées, est une de ses priorités. Creation de la CCRC
En partenariat avec
7
Ma
Place
dans
l’entreprise
Troisième étage : Infographiste • Responsable projets émergents • Responsable commu Liens/Centritude • Responsable acceuil artistes • Animatrice cinéma Deuxième étage : Openspace : Responsable commu • Article 27 • Responsable arts de la scène, théâtre, jazz/musique • Responsable théâtre scolaire • Animateur arts plastiques • Directeur Premier étage : Responsable ressources humaines • Comptable • Assistante de direction • Salle de repas/réunions
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Rez de chaussée : Accueil
Le
troisieme
etage
Catherine Chalon Graphiste prépresse Depuis septembre 2004.
Lorena Ciccone Responsable Centritude / assistante de rédaction Liens ! Depuis mai 2009.
Melanie Dumoulin Responsable projets transversaux Depuis décembre 2004.
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Le
troisieme
etage
Thomas Lechien Responsable projets transversaux Depuis octobre 2014
Bernadette Schiettecatte Responsable accueil hôtesse/artiste/public Depuis janvier 1987
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Alexia Zoina Programmatrice cinéma (Ciné club/Festival 5 sur 5) / Accueil du CCRC Depuis mars 2013
Le
bureau
11
Ma
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place
dans
le
bureau
Mission
au
sein
du
CCRC
etre graphiste au Centre Culturel Regional du Centre Cela a été un challenge pour moi, j’ai dû m’adapter à l’identité visuelle du Centre Culturel, c’est une chose importante avec laquelle j’avais du mal, mais ce fut une expérience intéressante. Mon style graphique étant très diffèrent de celui d’un centre culturel, j’ai dû faire face à des inconvénients qui, au fil du temps, sont devenus plus faciles à exploiter.
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Rafraichir Mon premier travail a été un vrai challenge, puisqu’il consistait à rafraîchir une feuille informative (pour le Cinéclub) à propos du film qui passait et des deux films suivants - sur traitement de texte Word -, afin que la responsable puisse le modifier sans utiliser les de prépresse destinés au graphisme.
Avant
Apres Titre du film Drame franco-italo-belge 2014 de Jean-Pierre et Luc Dardenne Avec Marion Cotillard, Fabrizio Rongione, Pili Groyne… Genre Drame / Durée : 1h35
« Le film fait l’éloge de cette « non performante », qui retrouve force et courage grâce à la lutte menée avec son mari. » JP Dardenne
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Un film 100% belge Le tournage de Deux jours, une nuit a débuté à l'été 2013 à Seraing, dans la province de Liège. D'origine belge, les frères Dardenne ont également constitué un casting aux couleurs de la Belgique : Olivier Gourmet, Christelle Cornille ou encore Catherine Salée. Festival de Cannes 2014 Deux jours, une nuit est le 7ème film consécutif des frères Dardenne sélectionné en compétition au Festival de Cannes. Les cinéastes belges débutent cette série en 1996 avec leur longmétrage La Promesse. Un prix oecuménique pour deux
Les réalisateurs ont reçu le prix spécial du 40e anniversaire du Jury oecuménique pour l'ensemble de leur oeuvre au Festival de Cannes. Décerné par des personnalités religieuses, ce prix récompense des films mettant en avant des valeurs humaines évangéliques. Selon les organisateurs du Jury oecuménique, toute l'oeuvre des frères Dardenne est empreinte d'une profonde humanité. "Elle traite des problèmes actuels dans un monde difficile, souvent austère, voire désespéré, elle parle de survie, de réconciliation et d'espérance. A ces valeurs évangéliques, s'ajoute une grande qualité artistique." précisent les organisateurs. Acteur fétiche Deux jours, une nuit marque la cinquième collaboration entre l'acteur belge Fabrizio Rongione et les frères Dardenne, après Rosetta (1999), L’Enfant (2005), Le Silence de Loma (2008) et Le Gamin au Vélo (2011). Une question de rythme Cela faisait déjà 10 ans que les deux réalisateurs avaient ce film en projet. C’est pourquoi l’écriture a été assez rapide puisque la période de script ne s’est étalée que sur 6 mois, à JP Dardenne d’ajouter que « L’urgence dictée par ce délai devait imposer son rythme au film. » Coup de coeur Les frères Dardenne ont rencontré Marion Cotillard en Belgique, alors qu'elle tournait le drame francobelge De rouille et d'os de Jacques Audiard, long-métrage pour lequel les réalisateurs officiaient comme coproducteurs. Lors de leur
rencontre furtive entre deux ascenseurs, Marion Cotillard portait son enfant dans les bras : "En rentrant sur Liège, dans la voiture, nous n’avons cessé de parler d’elle, de son visage, de son regard…" Une manière particulière de travailler Jean-Pierre : « Pendant un mois, nous avons fait des répétitions filmées avec [les acteurs]. Et auparavant, durant deux mois, Luc et moi avons préparé le tournage dans les lieux où il se déroule, en filmant avec notre caméra vidéo. » Luc : « Cette phase des répétitions est nécessaire avant de tourner pour trouver des rythmes et aussi créer le climat de confiance totale avec les acteurs pour oser les choses les plus simples. » Jean-Pierre : Nous avons tourné dans la continuité. Ce qui est important pour nous comme pour les comédiens. Le parcours de Sandra est autant physique que mental et il était essentiel pour Marion, Fabrizio et aussi les autres acteurs de l’emprunter dans la chronologie. »
Avant
Apres
ET ENSUITE…
PHILOMENA (15/10)
Film britannique 2013 De Stephen Frears Avec Gabrielle,Judi Dench, Steve Coogan, Sophie kennedy Clark,… Genre drame Durée 1h38
«C'est Coogan qui a eu l'idée d'adapter cette histoire tirée de faits réels, une chronique hallucinante de tristesse et de méchanceté qui pourrait passer pour repoussante si Frears, aidé par ses deux ambassadeurs, n'instillait pas d'humour dans sa réalisation".L’Express Culture «Alors que l’on croit s’installer dans une comédie, puis vers une enquête un peu picaresque, Philomena nous ramène, au détour d’une incroyable surprise, vers l’émotion, la profondeur mais aussi une réflexion mêlée de colère touchant au monde clérical.» Le Mad
Et ensuite… Deux jours, une nuit «C'est Coogan qui a eu l'idée d'adapter cette histoire tirée de faits réels, une chronique hallucinante de tristesse et de méchanceté qui pourrait passer pour repoussante si Frears, aidé par ses deux ambassadeurs, n'instillait pas d'humour dans sa réalisation". L’Express Culture «Alors que l’on croit s’installer dans une comédie, puis vers une enquête un peu picaresque, Philomena nous ramène, au détour d’une incroyable surprise, vers l’émotion, la profondeur mais aussi une réflexion mêlée de colère touchant au monde clérical.» Le Mad
Film britannique 2013 de Stephen Frears Avec Gabrielle, Judi Dench, Steve Coogan, Sophie kennedy Clark,… Genre : drame / Durée : 1h38
Dallas Buyers Club L’histoire est à peine croyable tonique et déchirante, zébrée d’humour désespéré. » Marianne « Le meilleur film de l’année. » St Louis Post Dispatch
DALLAS BUYERS CLUB (22/10) USA 2013 De Jean Marc Vallée Avec Matthew McConaughey, Jennifer Garner, Jared Leto… Genre biopic Durée 1h57
« L’histoire est à peine croable, tonique et déchirante, zébrée d’humour désespéré. » Marianne Réalisé par «Ethan Le meilleur de l’année. » St Louis Post Dispatch Coen, Joelfilm Coen
Avec
Film britannique 2013 de Stephen Frears Avec Gabrielle, Judi Dench, Steve Coogan, Sophie kennedy Clark,… Genre : drame / Durée : 1h38
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Bandeau Un travail tout simple qui consiste à créer un bandeau d’affiche de concert. Ce bandeau est collé sur chaque affiche, ce qui évite de faire des affiches differentes selon la date et le lieu du concert.
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Affiche
concert
Le sujet était «Rockabilly» pour une affiche qui promouvait un concert. Deux projets ont été réalisés, celui de droite a été choisi.
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Une
page
promotionnelle
Adapter, à partir d’une affiche, notre identité visuelle pour promouvoir un concert dans un magazine franco-belge qui nous consacre une page.
renan luce
+ BENSÉ
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JEU 06 NOV / 20:00
BRAINE-LE-COMTE (B) / SALLE BAUDOUIN IV WWW.CCRC.BE +32 64 21 51 21
Un
logo
pour
Le
Grand
Orchestre
Lunaire
Conception d’un logo pour un orchestre de la région.
Les
essais
GRAND ORCHESTRE NATIONAL LUNAIRE
Le
logo
GRAND ORCHESTRE NATIONAL LUNAIRE
choisi
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Cartes «je
veux»
Des cartes distribuées aux passants avec un explicatif pour les amener à exprimer leurs envies vis-à-vis de la ville.
Je veux
Je veux
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Je
veux
Je veux
Je Veux
Formulaire
d’inscription
Un formulaire d’inscription pour faire partie d’un orchestre.
GRAND ORCHESTRE NATIONAL LUNAIRE
GRAND ORCHESTRE NATIONAL LUNAIRE
Le fond de ce formulaire a été inspiré des éléments représentants l’orchestre : des visages d’enfants au bout d’un bâton et montrés au public pendant le spectacle, des chapeaux confectionnés avec des partitions pour les hommes, une plume sur le chapeau des femmes, des avions en papier lancés dans le public.
NOM PRÉNOM DATE DE NAISSANCE N°
ADRESSE BOÎTE
CODE POSTAL
VILLE TÉLÉPHONE
DATE D’ENTRÉE DANS L’ORCHESTRE INSTRUMENT(S) JOUÉ MODÈLE
NUM DE SÉRIE
VALEUR À NEUF
ANNÉE D’ACHAT
AUTRE GROUPE/FANFARE
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Une
page
promotionnelle
Un visuel pour promouvoir le centre culturel pour la période des fêtes dans un magazine qui nous consacre une page.
OFFREZ DES PLACES! (Ça ne prend pas de place)
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musiques > Al Manara / Lollo Meier Quartet / Jahwar Milla Brune + Sarah Letor / Jazz au féminin / Ablaye Cisokko & Volker Goetze / Convention Prog-Résiste théâtre > Roméo et Juliette / Orphelins / Van Gogh, 17 rue du Peuple, 7033 Cuesmes / Le jour où ma mère a rencontré John Wayne / A House in Asia / Discours à la Nation / On vous raconte des histoires / Silence Le soleil juste après
>>www.ccrc.be
Fete
des
voisins
Un visuel pour des affiches et flyers pour la fĂŞte des voisins.
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Carte
de
voeux
du
centre
culturel
L’idée est de sauver la culture. Superman a fait la liste de ses missions et il y a collé un post it prioritaire pour ne pas oublier de sauver la culture.
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Carte
de
voeux
-
Les
autres
projets
Les premiers projets de carte de voeux partaient sur l’idée de rimes.
En 2015 on vous souhaite que la culture rime avec
LUX
URE
En 2015 on vous souhaite que la culture rime avec
MUR MUR E
En 2015 on vous souhaite que la culture rime avec
FRI
TURE
En 2015 on vous souhaite que la culture rime avec
CONFI TURE
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Une
affiche
transformee
en
flyer
Une affiche que l’on m’a demandé de transformer en flyer avec quelques éléments supplémentaires.
Pour mieux situer le Grand Orchestre National Lunaire.... Il en a fait du chemin, depuis ses premières répétitions... et le coup de génie du compositeur Eloi Baudimont de faire vivre ce rassemblement hétéroclite et improbable de musiciens aguerris et amateurs. Voyez plutôt... Le Grand Orchestre National Lunaire est apparu lors de Décrocher la Lune en 2009. Neuf mois après... Franco Dragone lui offrait les honneurs de la première partie de son spectacle Kdo ! à Forest National. Quatre ans après cette première expérience de haut niveau, le Grand Orchestre National Lunaire se retrouve au cœur du plus vieux théâtre lyrique d’Europe – le San Carlo – pour célébrer, à Naples, le bicentenaire de la naissance du compositeur transalpin Giuseppe Verdi dans une version d’Aïda modernisée par le directeur artistique louviérois Franco Dragone, lui-même originaire de Campanie (Caïrano). Que de références témoins de la qualité de ce grand orchestre à découvrir dans UN SPECTACLE A NE PAS MANQUER A LA LOUVIÈRE ! Venez Décrocher Noel avec les septante musiciens de la formation louviéroise !
samedi 20 décembre 2014 à 19h30 Église Saint Joseph à La Louvière
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Place Maurgrétout / Ouvertures des portes à 18h30 Petite restauration / Bar à bulles, à vis, à tartes / PAF : 15€ (prévente) / 18€ Info et réservation : C. Gilquin 0495 50 58 33
La
brochure
du
cineclub
Le dernier travail a été de créer la brochure du cinéclub qui présentait tous les films de la saison et leurs horaires.
La charte graphique Le centre culutruel, chaque année, a une charte graphique qui est définie sur sa brochure annuelle (la couverture de celle-ci à gauche). Le Ciné Club fait partie des évenements officiels du centre culturel et se doit d’être mis en page avec cette charte graphique. Les traits diagonals pour les petites phrases, les lignes fines et épurées, la police : Arial MT, la photo en opacité réduite, les couleurs (#E2003B - # 82FFAB).
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Un menu cinéphile à 14€ comprenant plat, boisson au choix et dessert, sur présentation de votre ticket ou de votre Carte blanche chez notre partenaire. Valable uniquement les mercredis soir (ciné-club).
Brasseries Mansart
Comment vivre à la Robinson Crusoé dans la France des années 2000 ? Xavier Fortin avait prouvé que c’était faisable et Kahn s’attache à raconter cet épisode de plusieurs années avec réalisme, jusque dans les moindres détails. Comment se loger et se nourrir, comment échapper au quadrillage policier, rester à distance des villes, gagner un peu d’argent, soigner une blessure… Kahn trouve un très bel équilibre entre un vrai souffle romanesque, un lyrisme un brin naïf et une forme d’épure qui empêche le film de sombrer dans le mélo En mars 2009, Xavier Fortin est condamné à deux ans de prison pour avoir enlevé ses deux fils à leur mère, dont il vivait séparé, et mené en leur compagnie une cavale qui aura duré onze ans. C’est ce fait divers spectaculaire qui a inspire Vie sauvage à Cédric Kahn.
Ah oui, les comédiens sont excellents, et notamment Mathieu Kassovitz et Céline Sallette, prodigieux !
Vie sauvage est magnifique parce qu’il montre que les affects excèdent le social, ses règles et ses institutions. C’est aussi un film renoirien parce que, au-delà des conflits impossibles à dénouer, il est attentif à tous les protagonistes, à toutes les nuances de gris, respectueux de bout en bout des raisons de chacun des personnages. racoleur ou le film à thèse plombant, grâce notamment aux deux jeunes comédiens qui incarnent les deux petits garçons, et leur belle complicité avec Kassovitz.
Revoici Pauline Etienne, à nouveau épatante sur un mode solaire. Stefan Liberski l’a emmenée au Japon pour la filmer en apesanteur, vive et drôle, touchante et amoureuse, dans une réjouissante chronique alliant l’humour à l’émotion. (Le Soir) Née au Japon, Amélie y a passé les premières années de sa vie, avant de retourner vivre en Belgique avec ses parents. Lorsqu’elle y revient, Amélie n’a qu’une idée en tête : devenir une « vraie Japonaise ». Pour gagner sa croûte, elle enseigne le français. À un élève, surtout, Rinri, qui va devenir son amant. Un amour initiatique. Trouble, aussi. Et si, finalement, c’était l’Occident qu’il aimait en elle? Et si, au bout du compte, c’est du Japon qu’Amélie était amoureuse ? Une adaptation du roman Ni d’Eve, ni d’Adam d’Amélie Nothomb, incarnée par la jeune Pauline Etienne, splendide. RTBF
Un magnifique drame renoirien. Les Inrocks
> La Louvière Kultur
Une histoire d’amour humble, sensitive, où les mots s’apprennent du bout des doigts. Une âpre, forte et magnifique célébration de la vie. Le film décrit avec une précision épurée le dur et laborieux apprentissage qui conduit Marie des gestes les plus élémentaires aux notions les plus abstraites, de la frustration violente à l’épanouissement. A 14 ans, Marie Heurtin, née sourde et aveugle, est promise à un sombre destin. Dans la France de la fin du 19e siècle, son incapacité à communiquer est jugée comme un signe de débilité. Sœur Marguerite, une religieuse de l’Institut de Larnay, voit en elle une âme emprisonnée qui ne demande qu’à être libérée... Traité avec simplicité et sincérité, Jean Pierre Améris (sic), tire un récit d’une force bouleversante. Cinenews.be
mercredi 1er avril à 18h00 et 20h15 Cinéma Stuart à La Louvière
mercredi 22 avril à 18h00 et 20h15 Cinéma Stuart à La Louvière
mercredi 29 avril à 18h00 et 20h15 Cinéma Stuart à La Louvière
Drame français réalisé en 2014 par Cédric Kahn, avec Mathieu Kassovitz, Céline Sallette, David Gastou, Sofian Neveu - 106 min.
Comédie romantique belgo-franco-canadienne réalisée en 2014 par Stefan Liberski, avec Julie Le Breton, Pauline Etienne, Alice de Lencquesaing, Taichi Inoue, Akimi Ota - 98 min.
Drame français réalisé en 2014 par Jean-Pierre Améris, avec Isabelle Carré, Ariana Rivoire, Brigitte Catillon, Laure Duthilleul - 93 min.
lu > ve 10h00 > 13h00 14h00 > 17h00 billeterie@ccrc.be
Billetterie
marie heurtain
>>>
une nouvelle amie
tokyo fiancée
jeudi 12 février à 18h00 et 20h15 Cinéma Stuart à La Louvière
magic in the moonlight
>>>
my sweet pepper land
>>>
mercredi 25 février à 18h00 et 20h15 Cinéma Le Stuart à La Louvière
>>>
mercredi 4 mars à 18h00 et 20h15 Cinéma Stuart à La Louvière
Un film multiple, un western tourné du côté des Indiens, à l’humour absurde digne de Kusturica, capable de faire survenir la violence avec la même intelligence que De Palma. Time Out
Dans les années 1920, Wei Ling Soo est le magicien le plus célèbre du monde. Mais le grand public ne se doute pas que derrière ses tours fabuleux se cache Stanley Crawford, un Anglais snob, docte, arrogant. Son meilleur ami, prestidigitateur aussi, compte sur son talent pour l’aider à démasquer une prétendue médium, Sophie Baker, en train de faire les poches d’une richissime famille américaine...
Une vraie bonne surprise qui brise les tabous sans en avoir l’air. Toutlecine.com
Un film délicieux. Le plus délicieux des récents Woody. Télérama
Ozon brasse travestissements, hypothèses sexuelles, suspense sentimental, avec une virtuosité confondante. Les Inrocks
Comédie dramatique franco-germano-kurde coécrite et réalisée en 2013 par Hiner Saleem, avec Golshifteh Farahani, Korkmaz Arslan, Feyyaz Duman, Véronique Wüthrich - VOSTFR - 100 min.
Comédie étatsunienne écrite et réalisée en 2014 par Woody Allen, avec Emma Stone, Colin Firth, Marcia Gay Harden, Jacki Weaver, Hamish Linklater, Erica Leerhsen, Ute Lemper - VOSTFr. - 97 min.
Mélodrame français écrit et réalisé en 2014 par François Ozon, avec Romain Duris, Anaïs Demoustier, Raphaël Personnaz, Isild Le Besco, Jean-Claude Bolle-Reddat - 105 min.
Vaut-il mieux vivre heureux dans l’illusion que malheureux dans la vérité ? Allen crée une atmosphère à la fois comique, romantique et policière à travers une imagerie à mi-chemin entre Fitzgerald et Agatha Christie. Un de ses films les plus - secrètement - douloureux. Celui d’un magicien qui ne croirait plus en son pouvoir. Et il aurait bien tort !
Romance sur fond de western aux inflexions spaghetti, My Sweet Pepper Land évoque, en mode loufoque, les problèmes d’un État en construction. Dans un village perdu au cœur des montagnes kurdes, Baran, jeune officier de police plein d’illusions, rencontre Govend, la nouvelle institutrice. Ils n’ont d’abord en commun que leur statut de paria. Célibataire et vivant seule dans l’école, Govend est soupçonnée d’immoralité par la communauté très traditionnelle. Déterminé à faire enfin appliquer la loi dans cette région de contrebande, Baran menace le seigneur et parrain
du
Si j’existe, ma vie, c’est d’être femme. Telle est, en substance, la maxime de David, jeune père très affecté par la mort de sa femme, Laura. Une semaine après les obsèques, Claire, la meilleure amie de la défunte, le surprend en jupe, perruqué, fardé.
vie sauvage
premiere
local, Aziz Aga, déterminé à le faire plier ou disparaître comme ses prédécesseurs. Malgré le regard réprobateur du voisinage, Baran et Govend prennent l’habitude d’aller trouver conseils et réconfort l’un auprès de l’autre. Hiner Saleem revisite le genre du western dans un Kurdistan voisin de Hollywood. Golshifteh Farahani se mue en héroïne libre et fragile et Korkmaz Aslan en John Wayne déterminé et toujours juste. Le western est avant tout une question de territoire. Et il n’y a aucune raison pour qu’un désert paumé, bourré de rocailles et d’hommes à cheval, aux confins du Kurdistan, ne fasse pas l’affaire...
brochure
Toujours aussi fort en tout ce qui relève de la surface d’un film (netteté de la photo, limpidité du récit, fluidité du montage…), Ozon injecte, dans son univers ligne claire, du trouble, du mystère, de l’épaisseur, de la chair. Il réussit l’alliage de la comédie et du drame, du rose et du noir. Et une charge politique bienvenue en ces temps zemmouriens. Un film complexe et gonflé sur la naissance du désir, qui, grâce à son style pop, coloré et almodovarien, échappe au drame théorique sur la tolérance.
28
rue Sylvain Guyaux 16 7100 La Louvière 064 22 40 30 www.cinemastuart.be
Ciné Stuart
& place Jules Mansart 17 7100 La Louvière T 064 21 51 21 communication@ccrc.be www.ccrc.be
Centre culturel régional du Centre
tokyo anyway
pride
>>>
Justine, Armel, Camille et Félix sont amis depuis des années. Ils sont beaux, ont une belle situation, aiment la vie. Mais le cap de la trentaine se révèle plus délicat qu’ils ne l’auraient cru. Le même jour, Faustine est remise en cause dans son travail, Camille apprend qu’elle est enceinte, Armel perd son père, Félix est appelé à travailler à Tokyo. L’équilibre de leurs vies qui semblait si assuré vole en éclats en l’espace d’une journée.
Eté 1984, le Syndicat des Mineurs engage un bras de fer avec Margaret Thatcher. A Londres, un groupe d’activistes gay et lesbien décide d’aider les familles des grévistes. Le syndicat semble embarrassé... La réunion des exclus du néolibéralisme tourne au vaudeville : les excentriques visitent les corons. Le principe d’opposition fonctionne à merveille, dans ce pitch qui génére une comédie enlevée et joue savamment des clichés : les hommes gallois ne dansent pas et les lesbiennes sont toutes végétariennes...
Minimaliste, retenu, une sensibilté d’avance ! Cinenews
Attachant, drôle... La parfaite comédie pour la rentrée. The Guardian
Drame belge réalisé en 2014 par Camille Meynard, avec Violette Pallardo, Benjamin Ramon, Emilie Maréchal - 71 min.
Comédie dramatique réalisée en 2014 par Matthew Warchus, avec Bill Nighy, Imelda Staunton, Dominic West, Andrew Scott - durée : 117 min.
mercredi 25 mars à 18h00 et 20h15 Cinéma Stuart à La Louvière
mercredi 11 mars à 18h00 et 20h15 Cinéma Stuart à La Louvière
Mais sur son fond de tubes des années ‘80, Pride est aussi une ode à l’entraide, au-delà de toutes barrières, entre esprit militant et fond plus sombre évoquant l’arrivée du SIDA. Amitié, intérêts communs, soutien, capacité à pardonner et à se réconcilier en font un film plus que généreux : salutaire !
Ce drame, qui s’ouvre sur une journée de détente à la mer, dresse les portraits croisés de quatre Bruxellois. Tokyo Anyway séduit par son énergie et sa sincérité. Au fil de son premier long-métrage, Camille Meynard prend le pouls d’une génération peu encline à entrer dans le moule et qui cherche encore à vivre ses rêves. Une belle surprise que ce film auto-produit, tourné avec un budget rikiki de 30.000 euros...
La
La
face
cineclub
C >>>
surprise surprise accouchement surprise en plein décollage anniversaire surprise
La Louvière Janvier à Mai 2014
29 mommy
pain surprise
Beaucoup de
mercredi 14 janvier à 18h00 et 20h30 Cinéma Stuart à La Louvière
Un dernier beau film avant les vacances ? On ne vous dira rien, c’est une surprise ! (Vous pouvez nous faire confiance !)
surprise en flagrant délit la surprise du chef kinder surprise
Vous pouvez nous faire confiance !
une surprise ! les combattants
mercredi 21 janvier à 18h00 et 20h15 Cinéma Stuart à La Louvière
Drame québécois écrit et réalisé en 2014 par Xavier Dolan, avec Anne Dorval, Antoine Olivier Pilon, Suzanne Clément - 134 min.
Un dynamitage en règle de toutes les bienséances, sociales et cinématographiques. La comédie que le cinéma français attendait ? Les Inrocks Le Festival de Cannes devrait plus souvent ménager ce genre de merveilleuse surprise. Libération trouble de l’attachement. Steve ne connaît pas l’état normal, il est toujours too much et il faut toujours l’avoir à l’œil.
saint laurent
Arnaud, jeune type délicat, doit reprendre avec son frère aîné la menuiserie familiale, à contre-cœur. Madeleine, contre-fille dotée d’une carrure de videur, est obsédée par l’apocalypse, la survie. Elle se prépare à aux catastrophes qui ne manqueront pas de se produire dans un futur proche. Madeleine et Arnaud n’ont rien à faire ensemble et se retrouvent pourtant dans le même stage de survie... Surprenants de bout en bout, irrésistiblement drôles, Les combattants abordent les choses graves - la destruction de l’homme par l’homme, l’ultra-indivualisme - avec un humour tendre et acide et font surgir, comme par inadvertance, tendresse et sensualité. On adore !
gone girl
>>>
mercredi 28 janvier à 18h00 et 20h30 Cinéma Stuart à La Louvière
Comédie française réalisée en 2014 par Thomas Cailley, avec Adele Haenel, Franck Bruneau, Maxime Mège - 98 min.
Ouche ! C’est un coup de poing, une décharge d’adrénaline. Mommy est l’un des films marquants de Cannes 2014, une claque. La Libre Belgique Cet irrésistible psychodrame familial, à la fois ultrastylé et viscéral, a fait l’effet d’une bombe au milieu du Festival de Cannes, même s’il n’a pas remporté la Palme d’or, mais « seulement » le Prix du jury.
Exclusivement derrière la caméra, Xavier Dolan en oublie son nombril et se concentre sur ses personnages, jusqu’au format puisqu’il a opté pour un ratio 1:1, le format carré. Dans le cadre, il n’y a de place que pour les torrents d’amour, de violence, d’énergie, de folie.
Mommy est une œuvre débordante d’originalité, dont la subtilité réside dans le choc émotionnel ressenti par le spectateur, tour à tour troublé, charmé, comblé. Des films qui cartonnent auprès du public et salués par la critique (même la plus acerbe !), des récompenses multiples... Xavier Dolan est le nouveau chouchou du cinéma.
Sélection Un certain regard, Festival de cannes 2014 ! Sebastião Salgado, photographe aventurier brésilien, a témoigné des événements cruciaux qui ont modifié notre histoire récente : catastrophes, conflits internationaux, famines... Ce film va à nouveau tenter d’éveiller nos consciences. Le sel de la Terre est un témoignage qui, s’il ne nous amène pas à changer notre style de vie, devrait au moins nous y faire réfléchir et, à coup sûr, titiller notre capacité à nous émerveiller. Dans ce splendide document, la vie et l’oeuvre de Sebastião Salgado sont mises en lumière par les regards croisés de son fils, Juliano, qui l’a accompagné dans ses voyages, et de Wim Wenders.
surprise party
mercredi 20 mai à 18h00 et 20h15 Cinéma Stuart à La Louvière
Documentaire franco-italo-brésilien coréalisé en 2014 par Wim Wenders et Juliano Ribeiro Salgado durée : 109 min.
le sel de la terre
Veuve depuis trois ans, Diane a des mèches, s’habille très moulant, parle comme un charretier et adore son fils Steve, un adolescent blond bipolaire, impulsif et violent. Elle hérite de sa garde après son expulsion d’un centre correctionnel, où il a déclenché un incendie. Steve est un jeune homme ingérable. Mommy est une tigresse, toutes griffes vernies dehors quand on menace son enfant. Mais elle sait ce qui l’attend. Elle a beau avoir fixé les règles.
La cruelle désillusion d’une middle-class US bercée de chimères, une chronique eighties drôle et sensible, kitsch et grotesque, auscultant les affres glacées qui sommeillent sous la surface des choses et des êtres. Pour peupler son intrigue, Araki reste fidèle à ses habitudes en exposant une galerie de personnages extravagants, au langage fleuri, marginaux mais sympathiques. Il n’y a qu’Araki pour transformer et travailler à ce point les standards de beauté et les idées reçues de la « perfection », en faisant exploser la représentation de la famille idéale américaine, pour en tirer quelque chose de malsain et de fascinant. style unique, beau et toc à la fois, glissant trouble, étrangeté et perversion au cœur de son récit dramatique, et signant là son œuvre la plus aboutie depuis Mysterious Skin (2004).
shangai surprise
mercredi 13 mai à 18h00 et 20h15 Cinéma Stuart à La Louvière
Thriller franco-américain écrit et réalisé en 2014 par Gregg Araki, avec Shailene Woodley, Eva Green, Christopher Meloni, Thomas Jane, Shiloh Fernandez, Angela Bassett - VOSTFr. - 91 min.
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Steve est diagnostiqué TDAH (trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité), et il est aussi sujet à un
De ce point de départ, Gregg Araki tire un film hanté par le deuil. Moins trash et allumé qu’à l’époque de sa Teenage Apocalypse Trilogy, le cinéaste californien ne s’approprie pas moins son sujet en y appliquant son A travers ce portrait sensible d’une jeune femme surprise par les premiers frimas de l’âge adulte, Gregg Araki écorne le bonheur en trompe-l’œil d’une Amérique aux rêves réfrigérés. Kat a 17 ans lorsque sa mère disparaît sans laisser de trace. Alors qu’elle découvre sa sexualité, elle semble à peine troublée par cette absence. Mais peu à peu, ses rêves vont l’affecter et l’amener à s’interroger sur elle-même et sur les raisons véritables de la disparition de sa mère… Le nouveau bijou de l’un des meilleurs réalisateurs américains actuels. Car on ne va pas faire durer le suspense, White Bird est de très loin l’un des meilleurs films de cette année. Sens Critique
L’art baroque du photographe Sebastiao Salgado enluminé par le regard complice de Wim Wenders. Les Inrocks
mercredi 6 mai à 18h00 et 20h15 Cinéma Stuart à La Louvière
white bird in the blizzard >>>
mercredi 4 février à 18h00 et 20h30 Cinéma Stuart à La Louvière
Biopic français réalisé en 2014 par Bertrand Bonello, avec Gaspard Ulliel, Jérémie Renier, Louis Garrel, Léa Seydoux, Amira Casar, Helmut Berger, Micha Lescot, Valeria Bruni Tedeschi, Valérie Donzelli, Jasmine Trinca, Dominique Sanda - 150 min.
Dire que le Saint Laurent de Bertrand Bonello bat à plate couture le biopic superficiel griffé Pierre Bergé de Jalil Lespert n’est rien moins qu’une évidence. Le Nouvel Obs La voici enfin cette version « non autorisée » de la vie d’Yves Saint Laurent. Viscontienne par son lyrisme mondain et désenchanté et par la superbe vertigineuse de sa réalisation, pasolinienne dans son dédale orgiaque. L’âme du couturier vue par Bonello est là, dans un agglomérat d’images dont l’enchâssement dessine le portrait en creux d’un jeune déjà vieux ou d’un vieux s’épuisant à ressaisir ses jeunes années. Parce qu’il évite les clichés, parce qu’il donne vie et incarnation à un génie tout en préservant sa part de mythe, ce biopic sophistiqué et scintillant, parcouru d’une irrésistible polissonnerie mondaine, qui redore le genre, est un de nos musts !
Thriller étatsunien réalisé en 2014 par David Fincher, avec Ben Affleck, Rosamund Pike, Sela Ward, Emily Ratajkowski - VOSTFr. - 149 min.
Ben Affleck est impeccable, l’Anglaise Rosamund Pike trouve en Amy le rôle marquant de sa carrière, et tous les seconds rôles sont irréprochables… Bref, c’est du grand art, c’est un régal dont Alfred Hitchcock aurait raffolé. Hugues Dayez, RTBF Le couple jusqu’à la lie. Libération Où est Amy ? Disparue, le matin de son cinquième anniversaire de mariage. Au domicile conjugal, impeccable maison suburbaine, tout est calme, en ordre. Sauf le salon, table basse renversée, verre brisé. Les jours passent. Le mystère arrache la petite communauté locale du Missouri à son ennui mortel, puis gagne le pays, contamine la télé... Où est Amy ? La question mute peu à peu comme une cellule cancéreuse, sous l’effet de la fausse compassion, du voyeurisme. La jolie et blonde épouse était-elle heureuse ? Et de quel bois se chauffait son couple ? Nick, le mari, est toujours à côté de la plaque, incapable de
jouer pour les caméras son rôle d’homme brisé par l’angoisse. On lui en attribue vite un autre : suspect idéal. Frisant la farce, Fincher tire le portrait joyeux d’une Amérique comme fabrique à monstres et réaffirme son credo : le monde est une mise en scène, une illusion à laquelle rien n’échappe et certainement pas le mariage, avec sa promesse absurde de garder, tout au long de sa vie, les yeux grand fermés - eyes wide shut, comme disait l’autre. Pendant près de deux heures et demie, David Fincher entraîne le spectateur avec une maestria fabuleuse dans les méandres d’un film à tiroirs : Gone Girl est bien plus qu’un polar, c’est une étude de mœurs, une radioscopie du couple, une critique du pouvoir insensé des médias qui couvrent et déforment les faits divers. Fincher mélange les genres à la perfection, et signe un thriller psychologique implacable.
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contraintes et problemes Durant ce stage j’ai rencontré plusieurs contraintes telles que le respect de la charte graphique annuelle, le respect d’un thème donné ou du temps imparti. De plus, il m’a fallu travailler en équipe et donc dépendre d’une certaine coordination entre les différents services (communication, graphisme, imprimerie). Par moment, il fallait aussi travailler en fonction de l’avis du directeur, celui-ci ne maîtrisant pas toujours ce domaine.
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J’ai également rencontré quelques problèmes comme des techniques qui m’étaient inconnues, mais que je suis parvenue à maitriser ou encore, la prise d’initiatives lorsque mon maître de stage était absent (accueillir un partenaire, discuter du projet). Par ailleurs, j’ai dû développer de nouvelles aptitudes comme le travail sur un programme de traitement de texte au lieu d’In Design et aussi élaborer des idées qui n’étaient pas les miennes.
Conclusion Cette expérience a été très positive pour moi, j’ai rencontré des personnes extraordinaires, j’ai découvert ce qu’était le vrai métier de graphiste, travailler dans la précipitation due aux retards, être en plein rush, avoir un planning chargé. J’ai aussi découvert des outils que je ne connaissais pas dans certains programmes, des techniques diffèrentes de travail et surtout une autre forme de graphisme, un graphisme moins parlant, moins explicite et plus réfléchi. J’ai appris à réfléchir différemment, j’ai vu le vrai travail de graphiste et j’en repars encre plus motivée ! Ce stage a confirmé ce que je pensais, je sais que dans ma vie, j’aurai un travail que j’aime.
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Remerciements Au cours de mon apprentissage, j’ai fait la connaissance d’une personne qui a su me transmettre ses compétences et ses connaissances du monde de la prépresse. J’ai aussi eu la chance d’avoir trouvé une entreprise qui m’a fait confiance et dans laquelle j’ai pu m’épanouir. C’est pourquoi j’aimerais remercier Catherine Chalon (maître d’apprentissage) ainsi que toute l’équipe du Centre Culturel Régional du Centre pour l’aide et le soutien qu’ils m’ont apportés.
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Je tiens également à remercier tous mes professeurs de l’école en bachelier L.E.S.I.T.E qui m’ont apporté leurs connaissances et leur savoir-faire.
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