http://www.actu.co.il/journal/pdf/106

Page 36

z Rav Dynovis

Parachat Ki-Tétsé 29 août 2009

résent P s p m e T u d h a r o T ière partie né sur terre - Prem

rs enraci Peuple dans les ai t en évidence un point

qui représente entiel sur notre terre, Pourquoi, l’endroit essn’est-il pas la propriété des tribus re histoire me notre souveraineté, ne lecture attentive de not D. a gardé sous d’Israël ?! upe occ pré se ureusement) évidente : e surprenant. terr La réponse est (malhedroit le plus convoité et le plus jalousé deit u qui s’installe sur rune se en s ion dat fon l’en té Tout peuple nouveacho ses Sa seule proprié ait qu’aucun autre endroit au monde ne sera t se de consolide avant toute autre itale, modèle de sa dimension nationale et notre terre, car Il sav toutes les nations et qu’Israël ne pourraisa ion cap ens choisissant une s envers ple, modèle de sa dimgeantes. Tem un t autant revendiqué par isan stru con y telles pressions et attaque diri politique, en lissant ses institutionsd’u porter et repousser dele propriétaire. sup étab en . et , ion rale nat mo ne et ers spirituelle taire, Il s’assure et capitale s’il en était, lui, la royauté sont les 3 pili t Son statut de proprie e La capitale, le Temple, etdans le cinquième Livre que nous lisonse Ainsi, en maintenan, que pourra jamais nous prendr ne ne son per ure La Torah elle-même prévient qu’une fois installés sur notre terrai ass s nou t, tou sur s en ce moment, nou un Temple dans l’endroit que Je choisir s révèle Jérusalem. té sur notre capitale, nou « nous construirons m » et que nous devrons placer au-dessus e chose qui même temps, Sa proprié lqu en que is er Ma oci nég No de n me Mo à mê pour y poser que nous ne sommes! pas Je choisirai ». ion est restée de nous « un roi que l’hi des peuples, notre natcap st « pas à nous » « c’est Lui qui choisit l’endroit du ire n’e sto s s san dan e, ital que uni s Or, fait De même, dire queeigne qu’aucune obscurité temporaire ne ts ans sur sa terre, san r défini clairement pendant plus de cinq cen Temple », nous ensse la décision divine de faire de cet endroit, st-à-dire, sans un pouvoi Temple et sans roi (c’eses . les) règ ses et peut remettre en cau i Mon Nom », qui n’est certainement pas lois été s, ns avec ses institution à l’époque du Roi David nous avo ts « le lieu où Je poseraah, mais AVAYE, le D. éternel d’Israël ! : qu’ cre jus con s Depuis Josué airs », sans fondement les s d’après la Torah, All s expriment cette réalité en disant quere dan t nai pla qui ion « une nat à l’endroit de not le. Là encore les Maître ma » nor e ion iell nat ent te vid tou culte étranger s’érigecom pro comme me à l’époque où « même si un lieu de de cette « décisionui encore : D. voulait teté de sain fon sa te pro tou tion de ten gar L’in Temple, cet endroit it ». essentiel, aujourd’h stru est porteuse d’un messagepeuple que les vrais piliers et fondements con ge. t le Temple étai l’actualité de ce messaque lement faire comprendre à Son ns sur la profondeur etnou e toute sur sa terre, sont totalog ndr isso ion pre éch nat com Réfl que e t fair e tan s iqu en ce de est de la de son existen illusion passagère Il est clair que l’intention procèdent aucunement être perçue comme une « surnaturels » et nepeuples. présence étrangère doient cause le statut fondamental et éternel de les res s aut san des e ion sell nat univer qui ne peut remettre t survivre en tant que le pouvoir, mais les Aucun peuple ne peu cet endroit. capitale, le Temple et » est au dessus de tous 3 piliers que sont, la ce sur une force totalement « hors logique de la « propriété divine nce ssa pui La e. sten ain stoire hum Israël fonde son exi pelle le aléas temporaires de l’hi ore, cet endroit s’ap e divine, et hors histoire ». nous, aujourd’hui enc les yeux juifs si, se doit, par ordonnanc r « aus Pou lui que ël, r nt Isra pou poi nt, que me au e », prendr Bien évidem « Mont du Temple même pas la mosquée ! s choses, mais, il doit com ent différente de se doter de ces troitroi véritables » n’y voientencore plus forte lorsqu’elle s’applique au s piliers est fondamentalem ces à tion rela la est lui, Mais cette notion ge. ples. s la Torah par de celle des autres peu pouvoir qui nous diri sur notre terre ne doit être que « l’habit »« prime très clairementJe dan droit l’en ai, isir cho Et cette différence s’ex que e vill la », ai Le vrai pouvoir juifpouvoir divin » qui est le seul qui aura le isir cho stJe c’e que l’expression « le roi que Je choisirai,peuvent et ) qui enveloppe le « ple Tem (le ai isir ne et que Je cho st pas conforme ions M’appartiennent oci dernier mot ». ens dim de s et troi ns atio ces « re : toute décision qui n’e à-dire, Dit d’une autre maniè de concessions, de nég damentalement, Il n’y a jeu fon , le e car , fair hec cas l’éc à un ée auc en à Sa volonté est vou ge. (À suivre) revendications ». rement expliquée dans le cas de Jérusalem, que Lui qui nous diri Cette notion est clai été pas m n’a la capitale. expliquent que « Jérusale Les Maîtres du Talmuusd (à la différence de toute la terre) et n’est trib les re ent partagée ». donc pas leur propriété

U

N

Ecoutez tous les jours le direct de Jerusalem. PlusRav Dynovisz en d’u de shiurim disponibles surne centaine le net.

www.ravdynovisz.

tv

Torah de L’Intériorité Les 5 niveaux de l’âme - Suite

ous avons expliqué dans le dernier numéro l’importance de l’union entre la ‘Haya et la c’est-à-dire, entre la croyance et l’intelligence.Néchama, Nous avons expliqué aussi que toute action humaine véritable était un subtil mélange de croyanc e et d’intelligence, comme dans un mariage, par e, où toutes les preuves que « c’est la bonne » neexempl peuvent suffire à s’engager pour la vie, si ce n’était la confian la croyance et l’espoir que « c’est pour toujours ». ce, L’homme est « profondément religieux » dans sa c’est-à-dire qu’il fonctionne et s’engage essentie nature, sur la « foi » (l’espoir) qu’il fait le bon choix. llement La manière dont il parle de « sa religion » n’est que pure convention. Qu’il l’appelle D., hasard, ou chance, il parle fait toujours du même phénomène «irrationnel » quiendirige sa vie et en qui il « place sa confiance». Les « non croyants » sont de « vrais religieux », eux aussi : ils ont tout simplement décidé de parler de la même chose mais d’une autre manière. La seule vraie différence est que la « religion des non croyants » soumet dieu à l’homme et c’est précisément l’interdiction de « l’idolâtrie ». Lorsque j’appelle D. le « hasard » et le Créateur, la

« nature », je deviens un « idolâtre » parce que je parle du même D. que le vrai croyant, mais je refuse de l’appeler par Son vrai Nom. En changeant Son identité, je me construis une « idole ». Chaque génération a ses dieux, et les nôtres, à notre époque moderne, sont le hasard, la chance, le destin, la nature… Combien de fois faut-il se tordre la langue par peur de dire la vérité et de remplacer tous ces noms d’idole par le seul nom qui exprime la noblesse de l’hommes qui l’invoque : Hachem, Créateur du monde et Maître de l’histoire. Pour imager le subtil équilibre qui doit s’instaurer entre la croyance et l’intelligence, nos Maîtres donnent l’exemple d’un roi sur la tête duquel est posée une couronne. La tête est l’intellect et la couronne, la foi. La couronne (la foi) ne peut être posée que sur une tête (l’intellect), ce qui exclut la croyance aveugle, fanatiq ue et moyenâgeuse. Mais sans couronne, la tête n’est plus celle d’un roi ! C’est la foi qui confère à l’homme la splendeur et la noblesse royale.

Téoutst é i-sid K e c n ra v li é D la e d h as ToCorammentaire selon les Maîtres de la H

à l’exil mandement fait allusion Ils expliquent que ce comChe’hina- Présence divine) s’est sser cha « de ce (la e nan l’ordon d’Israël où la mèr otre Paracha parle de s’emparer des oisillons » oisillons). éloignée des enfants (lesl’ex la conséquence de nos la mère avant de min, un nid d’oiseau. s tous que il n’est que parfaitement le sens. son pen che s en Nou ve, trou de s l’on dre sen que le pren lors que com » d en ons pren com croy s « nou de ndement fautes et timent Apparemment, tout le mon raison dépasse notre ente cultiver en l’homme un sen Cependant, la « vraie » les (pour l’instant) de savoir et de ce commandement est deextrême qui doit s’exercer même à et nous sommes incapabnt les vraies raisons de l’exil. de pitié et de sensibilité comprendre véritablemedonnées sur nos fautes ne sont que les l’encontre d’oiseaux. », en effet, que de prendre les enfants Toutes les explications s non les vraies. Rien n’est plus « cruel de la mère. ifié raisons apparentes mai s le commandement du nid d’oiseau terr rd du rega s devant le surprenante, les Maître‘Ho fait à e tout Exactement comme danraison est la pitié mais il s’agit en fait ière q man ne Or, d’u ce commandement eston un que où nous pensons que la notre entendement. ent eign e ens tabl ud véri Talm , une loi dont la rais d’un ‘Hoq qui dépasse s enseigne que derrière les raisons par excellence, c’est-à-diret et notre intelligence !! Ce commandement nou ents que nous vivons, se cachent ce que dit dépasse notre entendemen qui i u’à dire que celu apparentes des évènemons que personne ne peut comprendre la de s sen le Plus encore, ils vont jusq fane à notre pitié, pro toujours, les vraies rais commandement fait appele ! aujourd’hui. Torah et mérite de se tair s profond de l’enseignement des Le Zohar révèle le sen Maîtres.

N


Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.