LAMINOU ZABEIROU Nana Barira

Page 76

nous avons l’idée des molécules présentes, se sont la pénicilline G et/ou l’oxytétracycline et /ou le sulfathiasol (Eclipse farm3G). Cette étude devrait aboutir à des recherches plus poussées. 3.1.2. L’échantillonnage et la zone d’étude Pour la recherche, trois exploitations et trois centres des collectes de lait ont été ciblées. Leur choix se justifie par leur facilité d’accès, et elles font partie des sous bassin laitiers du Niger. Les prélèvements ont été effectués de façon aléatoire avec deux à trois passages à l’intervalle d’une semaine. 3.1.3. Résultats d’enquête D’après nos résultats, la population enquêtée est composée en majorité des peuls (86,7%), ensuite les zarma (6,6%), et les sonrai (6,6%).Ces résultats sont semblables à ceux obtenus par (MARICHATOU et al., 2005), AROHALASSI (2016), qui ont trouvé que respectivement, 89%des éleveurs périurbains sont des peuls contre 11% pour les autres ethnies et 92,5% des éleveurs sont des peulhs. Contrairement aux autres pays où l’élevage laitier bovin évolue avec des races exotiques, au Niger ce secteur reste dominé essentiellement par les races locales. Le choix est porté pour la majorité des éleveurs sur la race Djelli et dans une seconde mesure à la race Azawak (VIAS et al en 2003). Ceci concorde avec nos résultats montrant les races bovines élevées (Azawak et Djelli, 35% chacune, Bororo et Goudali, respectivement 20% et 10%).Et à ceux de MARICHATOU etal, (2005) qui ont montré que les races Azawak(22%) et la Djelli (63%) sont les plus élevées suivies de celle Bororo (6%) et Goudali (3%).

63


Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.